" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso

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" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso
n°122 - février 2016 | www.ecoconso.be | Une question ? 081 730 730 | info@ecoconso.be

SOMMAIRE                                      Retrouvez-nous sur
• Edito
• L'actu d'écoconso
• Dossier
• Et vous, vous en pensez quoi?
• En bref, ce mois-ci
• Agenda
• Dans le prochain numéro

EDITO

« La chambre verte », dites-vous ?
Les candidats à la construction ou à la rénovation seront probablement de nouveau 200 000 à
300 000 à arpenter les allées des 12 palais de Batibouw du 25 février au 6 mars.

Batibouw, c’est « le plus grand salon belge de la construction, de la rénovation et de l'aménagement
». Dans ce secteur, c'est la construction qui se porte le mieux : selon la Confédération de la
Construction, le nombre de permis octroyés est en hausse pour la nouvelle construction, en particulier
pour les appartements. Pour les rénovations, c’est l’inverse : la tendance est négative. Dommage
lorsque l’on connaît les enjeux de la rénovation en matière de performances énergétiques (et donc de
climat), de salubrité et de densification de l’habitat. C’est en rénovation que devraient se concentrer
les efforts, avec le soutien d'une politique forte en la matière.

Si la rénovation est présente à Batibouw, il n'y a guère de place réservée à l’éco-construction ou à la
performance énergétique. À pointer : une conférence le 25 février de la Ministre Flamande de
l’Énergie, Annemie Turtelboom, sur la réglementation PEB et l’évolution du secteur de la construction.
Pour le reste, le programme des conférences est plutôt classique. Finalement, le seul « vert » se situe
dans un nouveau concept proposé par le salon : les « Chambres Vertes », à savoir des espaces
extérieurs dédiés au bien-être, au jardin, à la nature et au… luxe.

Décidément, le salon Batibouw ne donne toujours pas beaucoup de place à l’habitat durable. Et si
comme bon nombre de visiteurs, vous sortez avec plus de questions que de réponses, rappelez-vous
que le service-conseil d’écoconso répond gratuitement à vos questions en construction ou rénovation
saine et écologique au 081 730 730 ou via info@ecoconso.be.

Nous vous propons d'ailleurs ce mois-ci un dossier consacré au choix d'un système de chauffage.
" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso
Bonne lecture !

Jean-François Rixen,
Secrétaire général.

L'ACTU D'ÉCOCONSO

Do it yourself !
Retrouvez désormais sur notre site une nouvelle rubrique avec des astuces afin de faire une foule de
choses vous-même et éco-consommer de façon pratique. Récup’, cuisine, rénovation, produits
d’entretien… de nombreux sujets seront abordés. Pour l’instant, vous y trouverez notamment des
articles pour :

●   faire vos graines germées ;
●   utiliser les cendres de votre poêle ;
●   préparer une pâte à tartiner maison, sans huile de palme ;
●   emballer vos cadeaux avec un furoshiki.

À lire dans la rubrique Do it yourself, qui s’enrichira progressivement !

DOSSIER

Quel système de chauffage choisir ?

Chez soi, on aime se sentir bien au chaud lorsqu’il fait froid dehors. Pour cela, on choisit un système
de chauffage adapté à sa maison, qui combine confort thermique et économies d'énergie.

Chauffer sa maison peut être très coûteux en énergie, comme financièrement.

Dans un logement moyen, le chauffage représente 65% de la consommation et 55% de la
facture d'énergie.

Voici un guide pour vous aider à choisir le système de chauffage le plus adapté à votre situation
(petite rénovation, rénovation profonde, nouvelle construction). Il n'est pas exhaustif mais reprend les
situations et options les plus habituelles.
" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso
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Le chauffage dépend du niveau d'isolation
Petite rénovation

Lorsque la chaudière a plus de 20 ans, il est certainement intéressant de la remplacer ! La
consommation d'énergie peut diminuer de 30%. Si elle est plus jeune, on profite de l'entretien pour
faire vérifier le rendement de combustion. En-dessous de 90%, ça vaut la peine de remplacer le
système. Cela dépend notamment du prix de la nouvelle chaudière, du coût d'installation et du prix
du combustible. Les guichets de l'énergie peuvent vous aider à avoir si cela vaut la peine de
remplacer votre vieille chaudière.

Si on n'améliore pas l'isolation de son logement et qu'on change simplement la chaudière, c'est très
simple : seules les chaudières à condensation sont désormais admises. Exception : si, dans
l'immeuble, toutes les chaudières sont « sans condensation » et qu’il n'est pas possible d'installer une
chaudière à condensation (à moins de prévoir un conduit d'évacuation spécifique).

Pour réguler la température, on installera un thermostat (éventuellement connecté). Et, s'il n'y en a
pas encore, des vannes thermostatiques. Une sonde extérieure permettra d'adapter la température
de l'eau fournie par la chaudière aux températures extérieures. C'est un accessoire incontournable
pour une chaudière à condensation.

Lors d'une rénovation, on n'a pas nécessairement la possibilité de remplacer les radiateurs classiques
par des radiateurs basse température. Même sans radiateurs basse température, une chaudière à
condensation permet d'importantes économies : moyennant une régulation correcte, la chaudière
pourra condenser 75% du temps sur la saison de chauffe !

Il est prouvé que la chaudière à condensation est la solution la plus avantageuse (grâce à un coût
d'installation faible) et que les convecteurs électriques reviennent le plus cher (même avec un prix de
l'électricité en France bien plus faible qu'en Belgique).

                                   Sans changement de radiateurs :

                     Avec changements de radiateurs (BT = basse température) :
" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso
Grosse rénovation/nouvelle construction

On profite généralement d'une grosse rénovation pour renforcer l'isolation, et peut-être repenser tout
le système de chauffage. Avec des besoins en chauffage réduits, on peut opter pour des systèmes
« basse température », avec de plus petites puissances et utiliser au mieux les énergies
renouvelables.

Une nouvelle construction permet encore plus facilement d’opter pour les solutions optimales de
chauffage et d'eau chaude.

Dans tous les cas, on choisit l'un ou l'autre système en fonction de la performance énergétique de sa
maison.

Rénovation/construction basse énergie

Pour chauffer une maison basse énergie, on aura besoin de 30 à 60 kWh/an/m². On aura donc sans
doute besoin d'un chauffage central.

On peut envisager toutes les possibilités, selon ses propres préférences (chauffage par le sol, par les
murs, par radiateurs), son souhait d'utiliser des énergies renouvelables (bois, énergie solaire) et le
confort d'utilisation souhaité (par exemple : tout automatisé pour une chaudière ou une pompe à
chaleur ou rechargement manuel pour un poêle).

Rénovation/construction très basse énergie

Dans une maison très basse énergie, on consommera très peu pour se chauffer : de 15 à 30
kWh/an/m². En fonction de la configuration du bâtiment (notamment l'orientation, qui détermine les
apports solaires), il sera même peut-être possible de se passer d'un chauffage central.

Dans ce cas, un système de chauffage au rez-de-chaussée suffit, la distribution de la chaleur dans
l'ensemble du bâtiment étant assuré par une ventilation mécanique.

Rénovation/construction passive

Dans une maison passive, on n'aura besoin que de 15 kWh/an/m² maximum pour se chauffer. Un
système de chauffage central est alors inutile. Un chauffage de très faible puissance au rez-d-
-chaussée suffit pour assurer une température confortable, même par grand froid. L'eau chaude
sanitaire peut être produite par un chauffe-eau solaire. L'appoint d'eau chaude et ou de chauffage
est assuré par une chaudière à condensation, un poêle à pellets ou même une résistance électrique.

Pour obtenir 1 kWh d'électricité (énergie finale) il faut fournir en moyenne 2,5 kWh d'énergie primaire
à la centrale (nucléaire, gaz, charbon ...). La consommation maximale d'énergie primaire en passif est
de 42 kWh/an/m² : on ne peut donc pas se contenter de l'électricité pour assurer le chauffage et
produire l'eau chaude sanitaire.

Il est également possible de chauffer directement l'air distribué par la ventilation.

Trouver le bon équilibre pour le chauffage et l'eau chaude
sanitaire
Grâce aux techniques de construction actuelles – qui combinent une isolation renforcée, une
étanchéité à l'air soignée et une ventilation performante –, la puissance demandée au système de
chauffage devient très faible (de 1 à 8 kW) :

Le bémol : la production d'eau chaude sanitaire peut demander beaucoup de puissance. Par exemple,
une production instantanée de 15 litres/min d'eau chaude demande 24 kW.

Du coup, la réflexion ne doit pas porter uniquement sur le chauffage mais bien sur une meilleure
combinaison chauffage et eau chaude sanitaire.

La production de chaleur

La clé d'un chauffage économe c'est la basse température. Les anciennes chaudières produisent
une eau à 70°C - 90°C pour les radiateurs. Les pertes sont très importantes :

●   au niveau de la chaudière : la chaufferie devient ainsi un espace pratique pour faire sécher le
    linge mais c’est aussi signe d’un gaspillage ;
●   au niveau des tuyaux : plus la différence de température est élevée, plus les pertes sont
    importantes, ce qui est typiquement le cas quand des tuyaux d'eau très chaude traversent des
    pièces non chauffées ;
●   au niveau de la cheminée : fumées à 150°C.

Les chaudières à basse température fournissent aux radiateurs une eau à 55 °C ou moins, ce qui
est bien plus économe.

Les chaudières à condensation sont encore plus performantes : les fumées qui en sortent
atteignent une température plus faible (45°C) et sont condensées. La fumée d'une combustion
correcte contient du CO2 et de la vapeur d'eau. La chaudière va condenser une partie de cette vapeur
en eau et récupérer au passage la chaleur dite « latente ».
Ce système permet d'augmenter le rendement de 10% par rapport à une chaudière classique : le
rendement peut dépasser 100% (104 à 108% pour une chaudière à gaz).

D'autres systèmes peuvent également assurer un chauffage à basse température : pompe à chaleur,
chaudière à pellets, chauffage solaire…

Les radiateurs

Pour que l'eau à basse température puisse chauffer une habitation de manière efficace, il faut
idéalement – en plus d’une excellente isolation – des radiateurs « basse température » (qui offrent
une grande surface d'échange), un chauffage par le sol ou un encore un chauffage mural.

La production d'eau chaude sanitaire

La production instantanée d'eau chaude est l'option la plus économe. Au lieu de conserver une
grande quantité d'eau à haute température (60 à 70°C), on va produire l'eau chaude uniquement au
moment de l’utilisation. L'inconvénient : cela nécessite une puissance suffisante et une partie de l'eau
est perdue en attendant que l'eau chaude soit disponible.

Chauffage et eau chaude : quelques combinaisons
recommandées
Pour la production d'eau chaude sanitaire, un chauffe-eau solaire est l’idéal. Il permet de ne pas
utiliser la chaudière en été et à l'intersaison, et couvre jusqu'à 60% de besoins sur l'année. Il peut se
combiner avec n'importe quel système de chauffage qui peut également assurer l'appoint de chaleur
en hiver, lorsque les panneaux solaires ne permettent pas de chauffer suffisamment l'eau.

Pompe à chaleur air/eau (idéalement couplée à des panneaux
photovoltaïques)

La pompe à chaleur air/eau prend l'énergie dans l'air extérieur et le transmet dans le bâtiment via un
chauffage par le sol, un chauffage mural ou des radiateurs basse température.

Avantages :

●   Programmation aisée via un thermostat, on décide quand on a besoin de chauffage et à quelle
    température chauffer.
●   Économique à l'usage à condition qu'elle ait un bon coefficient de performance saisonnier
    (rapport entre l'énergie électrique consommée et la chaleur fournie) : Les meilleures pompes à
    chaleur air/eau sont notées A++ sur l'étiquette énergie.

Inconvénients :

●   Peut être bruyant pour le voisinage (vérifier l'étiquette énergie pour choisir un modèle plus
    silencieux).
●   Fonctionne à l'électricité : il est important de se fournir en électricité verte ou de produire sa
    propre électricité, par exemple avec des panneaux photovoltaïques.
●   À réserver aux logements bien isolés :il existe des pompe à chaleur « haute température » mais
    leur consommation électrique est alors élevée.

Variantes :
●   Une pompe à chaleur sol/eau : elle puise la chaleur dans le sol du jardin, soit horizontalement
    (nécessite de l'espace) soit verticalement (nécessite de creuser profondément dans le sol, plus
    coûteux).
●   Il existe également des pompes à chaleur hybrides, composées à la fois d'une chaudière à
    condensation (pour chauffer les jours les plus froids) et d'une pompe à chaleur.

En savoir plus sur les pompes à chaleur.

Poêle à pellets, avec ou sans radiateurs

Suivant la configuration de la maison, il est possible de se contenter d'un simple poêle ou de
quelques radiateurs pour distribuer la chaleur à partir du poêle (il ne s'agit pas d'un système central à
proprement parler, il n'y a pas un radiateur dans chaque pièce).

Avantages :

●   Utilise un combustible renouvelable.
●   Combustible globalement moins cher que le gaz et le mazout (même si pour le moment ce n'est
    plus le cas).
●   Coût d'installation raisonnable.

Inconvénients :

●   Demande un entretien régulier (notamment en ce qui concerne la gestion des cendres).
●   La production d'eau chaude doit être assurée par un autre système.
●   Qualités de pellets très diverses. Préférer ceux qui répondent à la norme DIN+ ou EN plus.

Variante :

●   Un poêle à bûches : il est plus économique à l'usage mais demande plus de place (entreposage
    des bûches) et de maintenance (chargement du poêle).

À lire aussi : « se chauffer au bois », « le chauffage aux pellets » et les « poêles à bois ».

Petite chaudière à condensation

Avantages :

●   Excellent rendement.
●   Facilité de fonctionnement.
●   Programmation aisée (via un thermostat, on choisit quand et à quelle température chauffer).

Inconvénients :

●   Utilise un combustible fossile.
●   Nécessite d'être raccordé au gaz.

Chauffage solaire

Couvre jusqu'à 40% des besoins en chauffage. Le reste doit être apporté par un autre système
(chaudière à condensation, pompe à chaleur, chaudière à pellets ...).
Tableau comparatif récapitulatif :

Quel que soit le système de chauffage retenu, ce sont aussi l’utilisation adéquate et les bonnes
habitudes qui permettent d'économiser l’énergie thermique au quotidien :

●   limiter la température,
●   éviter les courants d'air,
●   ralentir (et même mieux : couper) le chauffage en cas d'absence et pendant la nuit...

Les conseils sont bien connus, mais au mieux on les applique, au plus on économise.

Pour aller plus loin
●   Pourquoi envisager une rénovation basse énergie ?
●   10 conseils avant d'envisager une rénovation
●   Le confort thermique, encore mieux que la chaleur !
●   Prix des différentes énergies (c€/kWh) APERe
●   Les Portes Ouvertes Écobâtisseurs : en novembre, des particuliers ouvrent leurs maison ou leur
    chantier pour partager leurs solutions de construction ou de rénovation écologique.
●   Les Passeurs d’énergie : des citoyens et des entreprises partagent leur passion des solutions
    durables de gestion de l'énergie, de l'eau, d'utilisation de matériaux écologiques ...
●   Le Guide du bâtiment durable
ET VOUS, VOUS EN PENSEZ QUOI?

Quand la musique s'envole

Un festival de musique belge, en Corse

Un festival de musique, c'est toujours un grand événement. En effet, accueillir des milliers de
personnes dans les meilleures conditions possibles n'est pas une mince affaire, surtout quand la
météo vient jouer les trouble-fêtes. Or, la Belgique n'est pas réputée pour avoir une météo
stable/ensoleillée/prévisible (biffez les mentions éventuellement inutiles).

Et c'est là que le bon sens intervient : puisqu'on ne peut pas prévoir cette météo et que la machine à
changer la météo n'a heureusement pas encore été inventée (on sait déjà pas gérer des tunnels,
alors la météo, hein), qu'à cela ne tienne : allons faire le festival belge... en Corse.

Vous avez bien compris : on propose maintenant à des Belges un festival de musique à l'affiche quasi
100 % belge, mais en Corse.

C'est d'une logique imparable.

On se demande même pourquoi on n'y a pas pensé plus tôt. Ce qui est génial, c'est que le concept
est déclinable à l'infini. Le Marché de Noël de Bruxelles ? Dans les Alpes. Le Carnaval de Binche ? À
Torremolinos (comme ça on est plus près pour les oranges, double avantage). Et le défilé du 21
juillet ? À Nice ! (où l'anglo-saxonne promenade pourrait être rebaptisée « promenade des Belges »,
pour l'occasion).

Aah mes amis, on vient d'inventer quelque chose de grand avec cette idée. La Belgique s’exporte
encore plus à l'étranger. Il ne reste plus qu'à faire des échanges : qui sait, peut-être que des Andalous
seraient intéressés par organiser un de leurs événements à la fraîche, sous un petit crachin de juillet ?
D'ailleurs, on pourrait même proposer au Qatar d'organiser le Mondial de foot de 2022 en Belgique.
Comme ça, pas besoin de changer de date ni de climatiser les stades. Elle est pas bien mon idée ?

Pour revenir à notre festival belge en Corse, sachez qu'il vous faudra débourser 950 € minimum pour
le séjour, soit 5 jours, temps de déplacement inclus. Évidemment, à ce prix-là tout est compris : le
Club – d'un organisme réputé – pour vous tous seuls, des buffets à volonté, deux open bar... Histoire
sans doute de ne pas pousser à la consommation. N'inclus ni la compensation carbone, ni la visite de
l'île de Beauté (pas le temps !).

Pour le même prix vous pouvez aller à Werchter, Tomorrowland, Dour et les Francos de Spa. Il vous
restera même 200 € pour vous loger. Ah, c'est sûr que c'est moins chic qu'un village de vacances en
Corse. Mais vous profiterez de 16 jours de festivals avec, certainement, plusieurs jours où il ne
pleuvra pas. Et on ne vous parle pas du nombre incroyable d'artistes que vous pourrez voir pour ce
prix-là.

Et vous, vous en pensez quoi ?

EN BREF, CE MOIS-CI

Devenez co-demandeur de l’Action Pour Le Climat!

Klimaatzaak

Changement climatique: cause perdue? Pas encore!

L’ASBL belge Klimaatzaak (L’Action pour le climat) a entamé début 2015 un procès à l’encontre du
gouvernement belge pour cause de politique climatique défaillante.

L’asbl Klimaatzaak demande à l’État Belge de s’en tenir aux accords internationaux afin de garder le
réchauffement planétaire en dessous de cette barre fatidique des 2°C . Pour cela il est nécessaire de
réduire d’au moins 40 % les émissions d’ici 2020. C’est parce que tout indique, pour l’instant, que
cette objectif ne sera pas atteint que l’Action pour le Climat a entamé cette procédure. Remettre à
plus tard les prises de mesures nécessaires est criminel.

Klimaatzaak (L’Action Pour Le Climat) s’est inspiré d’un litige similaire au Pays-Bas : le 24 juin 2015
un jugement historique a été rendu dans l’affaire qui opposa l’organisation environnementale
Urgenda à l’État néerlandais. Urgenda gagna l’affaire et le tribunal imposa à l’État de réduire les
émissions de gaz à effet de serre aux Pays-Bas.

Klimaatzaak offre la possibilité de devenir co-demandeur de cette procédure juridique (cela
n'implique aucun risque, financier ou autre). Pour cela rendez-vous sur
www.lactionpourleclimat.be

Vous pouvez aussi apporter un soutien financier, pour couvrir les frais de procédure.

Klimaatzaak est également à la recherche de bénévoles motivés pour lancer une branche
francophone. Sont recherchés : des ambassadeurs francophones qui voudraient répandre largement
l’Action pour le climat en Wallonie et à Bruxelles.

Contactez-les via info@klimaatzaak.be et envoyez-leur un petit descriptif de ce que vous aimeriez
faire: administration, traduction, contact presse, communication, récolte de fonds, coordination...
L'Inde, championne du système D écologique

Véhicule équipé d'un moteur de pompe à eau

Novethic revient sur le livre de Bénédicte Manier « Made in India. Le laboratoire écologique de la
planète » qui témoigne de l'inventivité de la société civile face au développement effréné du pays et
ses conséquences écologiques.

« Territoires zéro déchet, villages éclairés au solaire, reconstitution des nappes phréatiques,
agriculture durable, démocratie participative ou encore médecine solidaire... Partout dans le sous-
continent, des actions se mettent en place et se concrétisent, dans tous les secteurs. »

Une culture du système D inspirante qui s'ancre dans la tradition indienne.

À lire sur Novethic

Compléments :

●   Make in India ? Made in India ! JNE
●   Jugaad sur Wikipedia

Bravo pour vos magnifiques sapins de Noël !

Vous avez été nombreux à participer au concours de sapins de Noël créatifs, lancé par différentes
associations (Terre-en-vue , écoconso, IEW, Amis de la Terre, Oxfam...) suite au développement des
cultures intensives de sapins de Noël en Wallonie.

C’est finalement la simplicité qui nous a rassemblé : le jury a jeté son dévolu sur le joli "sapin-livres"
envoyé par Maria. Bravo à elle et bravo à toutes et tous pour votre participation. Vous trouverez dans
le porte-folio de Terre -en-vue une petite sélection des sapins que nous avons reçus.

À lire : Notre fiche conseil Un sapin de Noël... écologique ?
Des produits dangereux dans les vêtements de plein air

Randonnée

Greenpeace a effectué des analyses sur des vêtements, chaussures, tentes, sacs à dos, cordes et
sacs de couchage de 11 marques différentes. D'après les résultats, 90% des produits contiennent des
PFC, des fluoroplastiques toxiques et persistants dans l'environnement. En 2015, l'association a
également mené des expéditions dans huit régions montagneuses du globe : tous les échantillons
d'eau et de neige contenaient des PFC.

Pour alerter les skieurs et randonneurs et faire pression sur les marques, Greenpeace lance la
pétition : "Dites aux dirigeants de The North Face et Mammut d'arrêter d'utiliser ces substances
chimiques nocives."

À lire aussi : notre dossier "Bien choisir ses vêtements de sport de plein air"

Grand Paris : chantier test pour l'économie circulaire.
Inspirant !

Déchets de chantier

Si les citoyens récupèrent de plus en plus les matériaux de déconstruction, cela vaut aussi pour les
chantiers publics. Ainsi, le chantier pharaonique du Grand Paris, qui verra notamment la mise en
oeuvre de plusieurs dizaines de projets de métros, tramways, tram-trains, RER, tangentielle, etc.
devra rencontrer des exigences d'économie circulaire, notamment pour l’évacuation et la valorisation
des 43 millions de tonnes de déblais de déconstruction de bâtiments et surtout, de forage de
tunnels. Les chantiers du Grand Paris seront d’abord producteurs de matériaux, avec la
déconstruction d’une centaine de bâtiment de toute nature (60 000 t) puis le percement de 200 km
de tunnels. Sur les premiers chantiers de déconstruction, la Société du Grand Paris (SGP) ambitionne
de recycler 95 % des matériaux de démolition.

L’évacuation devrait se faire par voie fluviale ou ferrée pour réduire les nuisances sonores liées
au transport routier. Des barges pourraient acheminer les déblais vers d’anciennes carrières à
réaménager. Au retour, elles emporteraient des matériaux pour la construction du métro, des gares
et des projets urbains lancés alentours des lignes de métro. Une boucle vertueuse.

Le maître d’ouvrage prévoit aussi de valoriser 70 % des déblais, une véritable gageure, car les
tunneliers remontent les couches géologiques en les mélangeant. Il faudra donc trouver des solutions
créatives pour leur réutilisation.

Le secteur produirait 250 millions de tonnes de déchets par an, dont 90 % de matériaux inertes à
valoriser dans des produits finis d'une part, dans le réaménagement de carrières pour la fraction non
recyclable d'autre part. En trente ans, la part des matériaux recyclés a été multipliée par trois,
passant de 4 à 10 % du total des granulats produits. Les carriers prévoient de la multiplier à nouveau
par deux d’ici à 2010 pour atteindre 15 % (30 millions de tonnes).

Une étude de la Cellule économique du Rhône-Alpes a montré en 2014 que 63 % des déchets inertes
du BTP régionaux étaient valorisés dans le produit fini ou en carrière. Un chiffre assez proche des 70
% fixés par une directive européenne pour 2030.

L’activité s’avère rentable, et la conjoncture sociale lui est favorable. Une boucle vertueuse se
dessine là aussi, dans la mesure où il y a correspondance entre une demande sociétale de
consommation responsable des ressources naturelles et la difficulté pour les carriers de renouveler
leurs gisements. Les bénéfices sont aussi économiques et les acteurs économiques ne s'y sont pas
trompés, qui ont saisi l'opportunité avant même que le politique s'en mêle. On passe ainsi
d'une « économie linéaire de stock » à « une économie circulaire de gestion de flux de
matières », avec la possibilité de gagner au passage deux ou trois points de PIB, de créer 500 000
emplois ou de réduire l’effet de serre de 50 à 60 %.

Source : http://www.chantiersdefrance.fr/article/grand-paris-le-recyclage-des-deb...

Une déclaration des droits des paysans

Une capsule vidéo publiée par FIAN explique les enjeux de la déclaration des droits des paysans,
actuellement en négociation. Pourquoi une telle déclaration ?

Paysans, pêcheurs, éleveurs, nomades : ce sont eux qui nourrissent leurs communautés. Dans le
monde actuel, leur situation est difficile et leurs droits sont violés de nombreuses façons.

Leurs terres peuvent être saisies pour le développement d'industries, d'infrastructures ou de
plantations à grande échelle comme les agrocarburants. Le prix des terres agricoles augmente en
permanence, l'utilisation libre des semences est de plus en plus bridée. Ce ne sont que quelques
exemples des difficultés auxquelles les paysans doivent faire face.
Lorsqu'ils essaient d'agir, les paysans et leurs familles sont souvent victimes de discriminations et de
violences physiques et psychologiques. Ajoutons à cela que les politiques publiques favorisent
l'agriculture industrielle et ne leur offrent guère de soutien.

Ces violations multiples ont pour conséquence que des millions de paysans sont, paradoxalement, les
premiers à souffrir de la faim.

Des représentants du monde rural et de la société civile ont élaboré une déclaration pour protéger les
droits des paysans. Une collaboration avec des représentants de l'ONU a permis de produire une
déclaration commune. C'est ce texte qui est en négociation aujourd'hui.

Plus d'infos sur : www.fian.be

Le texte intégral de la déclaration se trouve sur le site de La Via Campesina : http://viacampesina.net

AGENDA

Brabant Wallon

La Ruche

Module 1: 4, 5, 6 octobre 2019 / Module 2: 25, 26, 27 octobre 2019 / Soirée Pitch : 14 novembre -
ouvert au public

Carrefour 19
Rue du Marteau 19
1000
Bruxelles
Belgique

Organisateur :
Déclic en PerspectivES

Email :
info@declictour.be

Téléphone :
0487/97.19.57

Prix :
120 €
Déclic en Perspectives renouvelle sa collaboration avec le Réseau Transition.be pour animer le
programme LA RUCHE : une formation de 6 jours pour co-créer un projet qui répond à des besoins
sociaux et environnementaux identifiés en région bruxelloise !

Tu as envie de t’investir dans un projet collectif et de co-création ? De contribuer à mettre en place
des solutions innovantes qui répondent à des besoins sociaux et environnementaux identifiés en
région bruxelloise ? Le programme La Ruche est fait pour toi !

Inscris-toi à l'une de nos séances d'infos pour en savoir plus et connaître toutes les modalités pour
participer à La Ruche

Inscriptions : www.weezevent.com/la-ruche-45-6-et-25-26-27-octobre-et-14-novembre-2019-2

[ Les séances d'information ]
Inscris-toi à l'une de nos Séances d'information - La Ruche 2019 pour en savoir plus et connaître
toutes les modalités pour participer. https://www.facebook.com/events/621066165029427/

Bruxelles

Afterwork - Bike Experience

Du 6 mars au 6 novembre

ViaVia Café
Quai aux Briques 74
1000
Bruxelles
Belgique

Organisateur :
Bike Experience

Prix :
Gratuit

Tous les 1ers mercredis du mois, l’équipe Bike Experience vous donne rendez-vous à son afterwork
mensuel !

On y va pourquoi ? Pour se rencontrer entre néo cyclistes (Biker) et cyclistes réguliers (Coach), pour
se former à la conduite du vélo en ville (formation théorique et pratique), pour poser toutes ses
questions et recevoir tous les conseils nécessaires, pour bien terminer la journée autour d’un verre. ;-)

L’inscription est vivement recommandée : http://bikeexperience.brussels

Bike Experience est une action entièrement gratuite de mise en selle et de sensibilisation. Notre
objectif : vous donner toutes les clefs en main pour vous lancer à vélo à Bruxelles !
Partie intégrante de Bike for Brussels, cette action est une initiative de Bruxelles Mobilité - Brussel
Mobiliteit et qui est organisée par Pro Velo.

Belles de ma rue : 19 promenades botaniques urbaines à Bruxelles

de mai à septembre 2019

Belgique

Organisateur :
Urban Ecology, Bruxelles Environnement - Leefmilieu Brussel, Natagora

Prix :
Gratuit

La saison 2019 de Belles de ma rue est lancée !
Oxalis, bardane, rue des murailles... Les plantes sauvages volent avec le vent et s'invitent dans tous
les interstices, y compris urbains. Vagabondes, vivaces, comestibles, toxiques, mellifères, bleues,
jaunes, grandes, petites... Leur diversité est telle qu'elles transforment nos trottoirs en galeries d'art
et ravissent ceux qui se prennent à les observer. Venez les découvrir et vous former à les identifier.

Notre guide vous emmènera de fleur en fleur pour une promenade d'une heure et demie de
reconnaissance des plantes sauvages bruxelloises (balade gratuite - ici en français).
Après inscription, le lieu précis de départ et les informations pratiques vous seront communiquées par
mail quelques jours avant la visite.

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INSCRIPTION OBLIGATOIRE ICI : https://forms.gle/KQQ5XpvdBz1tYY5V8
Gratuit - Attention : places limitées !

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Les balades sont co-organisées par le Centre d'écologie urbaine asbl, Natagora asbl, et Bruxelles
Environnement.
Programme complet de la saison 2019 : https://urban-ecology.be/blog/bellesdemarue

 1. Schaerbeek (dimanche 05 mai de 14h00 à 15h30) - (zondag 05 mei van 14.00 tot 15.30 uur)
 2. Berchem-Sainte-Agathe - (mercredi 22 mai de 14h00 à 15h30) - Sint-Agatha-Berchem (woensdag
    22 mei van 14.00 uur tot 15.30 uur)
 3. Molenbeek-Saint-Jean (mercredi 29 mai de 14h00 à 15h30) - Sint-Jans-Molenbeek (woensdag 29
    mei van 14.00 tot 15.30 uur)
 4. Saint-Josse-ten-Noode (samedi 01 juin de 14h00 à 15h30) - Sint-Joost-ten-Node (zaterdag 01 juni
    van 14:00 tot 15.30 uur)
5.   Anderlecht (samedi 15 juin de 14h00 à 15h30) - (zaterdag 15 juni van 14.00 uur tot 15.00 uur)
 6.   Forest (dimanche 16 juin de 14h00 à 15h30) - Vorst (zondag 16 juni van 14.00 tot 15.30 uur)
 7.   Koekelberg (dimanche 30 juin de 14h00 à 15h30) - (zondag 30 juni van 14.00 uur tot 15.30 uur)
 8.   Ganshoren (mercredi 03 juillet de 14h00 à 15h30) - (woensdag 03 july van 14.00 tot 15.30 uur)
 9.   Woluwe-Saint-Lambert (dimanche 14 juillet de 14h00 à 15h30) - Sint-Lambrechts-Woluwe
      (zondag 14 july van 14.00 tot 15.30 uur)
10.   Woluwe-Saint-Pierre (samedi 20 juillet de 14h00 à 15h30) - Sint-Pieters-Woluwe (zaterdag 20 july
      van 14:00 tot 15:30 uur)
11.   Evere (dimanche 28 juillet de 14h00 à 15h30) - (zondag 28 juli van 14.00 uur tot 15.30 uur)
12.   Auderghem (dimanche 04 août de 14h00 à 15h30) - Oudergem (zondag 04 augustus van 14.00
      tot 15.30 uur)
13.   Watermael-Boitsfort - (mercredi 14 août de 14h00 à 15h30) - Watermaal-Bosvoorde (woensdag
      14 augustus van 14.00 tot 15.30 uur) (tweetalige wandelingen)
14.   Ixelles (samedi 17 août de 14h00 à 15h30) - Elsene (zaterdag 17 augustus van 14.00 tot 15.30)
15.   Etterbeek (samedi 24 août de 14h00 à 15h30) - (zaterdag 24 augustus van 14:00 tot 15:30 uur)
16.   Bruxelles (mercredi 04 septembre de 14h00 à 15h30) - Brussel (woensdag 04 september van
      14.00 tot 15.30 uur)
17.   Jette (mercredi 11 septembre de 14h00 à 15h30) - (woensdag 11 september van 14.00 uur tot
      15.30 uur)
18.   Saint-Gilles (mercredi 18 septembre de 14h00 à 15h30) - Sint-Gillis (woensdag 18 september van
      14.00 tot 15.00 uur)
19.   Uccle - Ukkel (mercredi 25 septembre de 18h30 à 20h00) - (woensdag 25 september van 18.30
      tot 20.00 uur)

Liège

Court-Circuit - Le marché des produits locaux

Les deuxièmes et quatrièmes jeudis du mois, jusque fin octobre, de 15h à 19h

Place Xavier Neujean
4000
Liège
Belgique

Organisateur :
Service des Foires et Marchés de la Ville de Liège

Email :
foiresetmarches@liege.be

Téléphone :
04 221 92 29
Le marché Court-circuit, sur la place Xavier Neujean, propose des produits divers et variés issus
uniquement de la province de Liège ou d’un rayon de 50 kilomètres autour de Liège. Il fait ainsi la
part belle aux fruits et légumes de saisons, aux produits laitiers, aux pains et pâtisseries, à la viande
et à la charcuterie… sans parler des cosmétiques, des alcools locaux et des friandises ou produits
issus de la ruche !

Court-Circuit ambitionne d’offrir aux liégeois et aux liégeoises des produits sains et savoureux, tout
en privilégiant l’échange direct entre le producteur et le consommateur. Pas moins de 25 producteurs
sont présents sur le marché, sur 20 emplacements destinés aux producteurs fixes et 5 emplacements
qui accueillent des producteurs occasionnels.

Agenda
Le marché est organisé les 2èmes et 4èmes jeudi de chaque mois, de 15h à 19h.
Les dates du marché pour l’année 2019 sont :

●   11 et 25 avril
●   09 et 23 mai
●   13 et 27 juin
●   11 et 25 juillet
●   08 et 22 août
●   12 et 26 septembre
●   10 et 24 octobre

Producteurs présents pour cette édition 2018
Contact
Service des Foires et Marchés de la Ville de Liège
Rue sur les Foulons 11 – 4000 Liège
04 221 92 29 – foiresetmarches@liege.be
À la rencontre des belles sauvages des rues de Liège

Du 4 juillet au 28 septembre

Belgique

Organisateur :
PointCulture Liège et La CITE s'invente

Prix :
Gratuit

Balades végétales guidées par Pierre Charles Offergeld (formé par Natagora et CNB) et Jasmine
Reinartz (Guide-natureⓇ).
À partir de 15 ans. Gratuit. Sur inscription.

Loin des champs et des forêts, en ville, la nature se cache entre les pavés. Portons un regard neuf sur
ces petites plantes urbaines. Arrachées, inconnues, invisibles, ces « indésirables » se transforment en
plantes sauvages aux vertus multiples, dignes de porter un nom et faisant partie intégrante de la
biodiversité et du maillage écologique urbain.
Si vous possédez une oupe botanique, n’hésitez pas à l’emporter.

Dates et lieux des balades :

●   Jeudi 04 juillet de 14h à 16h30 – RDV à 14h aux pieds des escaliers de la Montagne de Bueren, 4000
    Liège.
●   Samedi 24 août de 10h à 12h30 – RDV à 10h au PointCulture Liège – 1-5 Rue de l’Official, 4000
    Liège.
●   Samedi 07 septembre de 10h à 12h30 – RDV à 10h devant l’église Saint-Roch, 17 rue Volière, 4000
    Liège.
●   Samedi 28 septembre de 10h à 12h30 – RDV à 10h sur l’esplanade de la Place de l’Yser, 4020 Liège.

Luxembourg

Salon Énergies + Construction

Du 15 au 17 novembre 2019, de 10h à 19h

Wallonie Expo (WEX)
Rue des deux Provinces, 1
6900
Marche-en-Famenne
Belgique
Organisateur :
ENERGIES + CONSTRUCTION

Prix :
Sur place : 10€ - Préventes (en ligne) : 5€ - Moins de 18 ans : GRATUIT
L’évolution des normes PEB induit des modifications sans cesse nécessaires des techniques
constructives à mettre en œuvre pour répondre à cette évolution. Aujourd’hui, toute construction ou
rénovation doit être pensée et conçue en termes d’énergies renouvelables, d’économies
d’énergie et de durabilité. Le secteur de la construction a donc besoin d’informations précises et à
jour qu’ ENERGIES + CONSTRUCTION met à sa disposition. Grâce aux synergies développées avec
les différents acteurs (professionnels, particuliers, politiques…) ENERGIES + CONSTRUCTION s’est
vite imposé comme LE rendez-vous incontournable en construction durable ; une véritable
plate-forme favorisant les relations BtoB lors de rencontres professionnelles et dispensant une
foule de conseils et d'informations pour les candidats bâtisseurs en quête de réponses pour
leurs travaux. Ceci, en tenant compte de leur budget et des enjeux énergétiques.

Bien plus qu’un simple salon, ENERGIES + CONSTRUCTION se positionne comme un salon
spécialisé, acteur incontournable dans le monde de la construction d’aujourd’hui et de demain.

Parce que ce secteur est en constante mutation, tant durant le salon que pendant l’année entière,
ENERGIES + CONSTRUCTION propose des informations, des espaces de rencontres, ainsi que des
conseils à destination des particuliers et des professionnels.

ENERGIES + CONSTRUCTION, c'est :

En 13 ans, ENERGIES+CONSTRUCTION est devenu le rendez-vous incontournable pour bâtir et
rénover. Il est question de :

●   Construction maisons basse énergie / passives
●   Architecture
●   Chauffage
●   Isolation
●   Ventilation
●   Parachèvement
●   Matériaux de gros oeuvre
●   Matériaux durables
●   Energies renouvelables
●   Eclairage
●   Domotique
●   Gestion de l'eau
●   Toiture

●   > de 17 000 visiteurs lors de la dernière édition
●   > de 120 exposants
●   Un programme étoffé de conférences
●   + de 1000 marques et produits
●   7 000 m2 d’exposition
●   13e édition

Namur

Valériane, le salon bio

Du vendredi 6 au dimanche 9 septembre

Namur Expo
Av. Sergent Vrithoff 2
5000
Namur
Belgique

Organisateur :
Nature & Progrès

Prix :
4€ - 8€

Le salon Valériane, c’est l’évènement de la rentrée !
Cette année, la 35ème édition du plus grand salon BIO de Wallonie, ouvrira ses portes du vendredi 6
au dimanche 8 septembre à Namur Expo!

Au programme de cette édition 2019
●   Le thème 2019 : Les Abeilles, notre Avenir !
●   Petit focus sur l’habitat léger

Écoconso       sera à nouveau de la partie

Rejoignez-nous sur notre le stand et jouez au Mölkky du climat, qui vous expliquera pourquoi
et comment agir pour le climat... et enfin arrêter d'en faire des tonnes ! Vous repartirez avec
une checklist d'actions concrètes à mettre en place pour réduire vos émissions de gaz à effet
de serre.

Jonas Moerman, conseiller énergie chez écoconso, y donnera une conférence le vendredi 6/09 à 11h
:

Le climat - pourquoi limiter la hausse des températures à 1.5°. Découvrez quels sont les
enjeux des changements climatiques et échangeons sur, les solutions que l’on peut adopter à son
niveau et les mesures que les pouvoirs publics devraient prendre pour y aider. Bonne nouvelle : agir
pour le climat peut aussi s'avérer très intéressant pour le portefeuille !

Tandis qu'Aurélie Melchior, autre chargée d'expertise chez écoconso, tiendra une conférence le
dimanche 8/09 à 17h sur les textiles :

Des matières premières à l'achat par le consommateur, en passant par la fabrication ou
l'entretien, découvrez la face cachée des vêtements. Une occasion de réfléchir à une mode
durable, aux questions et choix écologiques à poser pour rendre sa garde-robe respectueuse de la
santé et l'environnement mais surtout être acteur-trice d’une société de consommation durable.

Nature & Progrès, organisateur du salon Valériane, est l’une des associations pionnières du « Monde
BIO ». Fervent défenseur de l’alimentation BIO depuis 1976, l’Association milite activement pour une
agriculture exempte de produits nocifs à notre santé et à la Planète.

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Attention : l'annonce des informations dépend de la date de parution de l'Art d'éco-consommer.
La rédaction se réserve le droit de publier les annonces qui lui parviennent.

DANS LE PROCHAIN NUMÉRO

Un dossier consacré au plastique !

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rue Nanon 98 à 5000 Namur.
                                                            disposition sous un contrat
Editeur responsable :                                                                         écoconso est soutenu par la
                                                            Creative Commons CC BY-N-
Jean-François Rixen                                                                           Wallonie et la Fédération
                                                            -ND (attribution - pas
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