La pub, je t'aime, moi non plus - EDITO SOMMAIRE - écoconso

 
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La pub, je t'aime, moi non plus - EDITO SOMMAIRE - écoconso
n°125 - mai 2016 | www.ecoconso.be | Une question ? 081 730 730 | info@ecoconso.be

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EDITO

La pub, je t’aime, moi non plus
Une enquête réalisée par TNS Media et IP révèle qu’un quart des Belges francophones déclare
« adorer la pub à la télévision » et 64% trouve que la pub fait rêver. Plus inquiétant : 71% considère
qu’elle fournit des informations qui aident à choisir les produits ! Faut-il rappeler que la fonction de la
pub n’est pas d’informer mais de faire acheter ? En 2006 déjà, nous pointions dans un dossier que la
publicité était un « facteur aggravant de la consommation effrénée », étude à l’appui. Ça ne s'est
évidemment pas amélioré depuis…

Ceci dit, si l’on regarde les chiffres pour d’autres médias que la télé, on constate que l’adoration de la
pub s’arrête quand on est sur son ordinateur : sur les moteurs de recherche et réseaux sociaux, elle
récolte à peine plus de 3% d’affirmation et sur les sites de vidéos ou d’information, c’est encore
moitié moins. Un Belge sur quatre utilise d’ailleurs un bloqueur de pubs sur son navigateur Internet.
Un chiffre en croissance, qui inquiète les annonceurs. C’est en effet là que se trouve l’enjeu, vu les 4
heures quotidiennes passées par les Belges sur la toile. De plus, on y partage beaucoup
d’informations personnelles, permettant aux marques de mieux cibler leurs offres. Sans compter que
l’internaute s’est largement habitué à ce que les contenus disponibles sur le web soient gratuits. Or, il
faut bien les financer d’une manière ou d’une autre, ce qui rend les gestionnaires de sites dépendants
des revenus générés par la publicité.

Découvrez-en plus sur ce sujet dans notre nouveau dossier « La pub sur Internet, un modèle à
réinventer ? », qui questionne le fonctionnement du web mais aussi nos propres pratiques
d’internautes et d’éco-consommateurs.

Enfin, parce que la vie ne se déroule pas sur Internet mais aussi et surtout dans le vrai monde, on
vous a concocté une foule de propositions pour profiter du printemps : agenda avec visites à la ferme,
atelier cuisine des plantes sauvages, formations pour un printemps sans pesticides ; appels à projets
La pub, je t'aime, moi non plus - EDITO SOMMAIRE - écoconso
pour la Semaine des sentiers ou amener la nature dans les cours de récré ; astuces pour l’entretien
du jardin… Beau printemps sans pub à tous !

Ann Wulf
Chargée de communication

L'ACTU D'ÉCOCONSO

Notre rapport d’activités en un coup d’œil !
L’assemblée générale a approuvé notre rapport d’activités 2015. Et on peut dire que l’année a été
riche ! Consultez la vue d’ensemble de nos activités (plus digeste qu’un rapport de 200 pages !)

C’est là que vous trouverez des réponses si vous vous êtes toujours demandé ce qu’écoconso fait
exactement, à quels projets nous collaborons, quels services nous proposons aux citoyens et aux
collectivités, combien de personnes visitent notre site, si la presse parle de nous, comment nous
finançons nos actions, etc.

Bonne découverte !

                                   Infographies sur le plastique
C’est quoi le hic avec le plastique et comment réduire son impact au quotidien ? Petit topo en
images via notre campagne « Le plastique, c’est pas automatique ! ».

écoconso en télé
Retrouvez nos interventions récentes :

●   Revoir le reportage sur les produits d’entretien dans On n’est pas des pigeons.
    Plus d’infos sur le sujet :
     ❍ tour d’horizon dans notre focus-conso sur les produits d’entretien
     ❍ les labels environnementaux pour les produits d’entretien
     ❍ résumé de tous les produits de base et leur utilité dans notre fiche-conseil Nettoyer autrement
     ❍ enfin, si vous avez déjà oublié tous les composants aux noms improbables évoqués dans le
       reportage, pas de panique, vous trouverez une liste de ceux à éviter et ceux à privilégier en page
       8 et 9 de notre brochure Les étiquettes sans prise de tête
●   Revoir l’émission sur le vélo électrique dans Canal et compagnie.
    Plus d’infos sur le sujet dans notre dossier Quand le vélo se fait électrique.
C’est de saison !
Tondeuses et barbecues sont de sortie. Voici donc quelques conseils pour bien les choisir et mieux les
utiliser :

●   comparatif produits : la tondeuse
●   comparatif produits : le barbecue
●   question fréquente : comment rendre mon barbecue plus sain et respectueux de l’environnement ?

DOSSIER

La pub sur Internet, un modèle à réinventer ?

Les bloqueurs de pub ont de plus en plus de succès. Image: adaptation de Cloud Computing de
Rosapuchalt sur Freepik - http://www.freepik.com/free-vector/cloud-computing_815706.htm

Le marché de la publicité sur Internet pourrait dépasser celui de la télévision en 2018. Voilà, en une
phrase, de quoi vous donner une idée de l’ampleur de la publicité sur le web. Pas étonnant dès lors
que le plus populaire des bloqueurs de pubs compte 200 millions d’utilisateurs. Entre impacts
environnementaux, modèle économique et pistage intempestif de l'internaute, comment surferons-
nous dans les prochaines années ?

Clique sur moi, s’il te plaît, clique sur moi !
La publicité a pour ainsi dire toujours existé (on retrouverait des traces de publicités datant de
l’Antiquité). On pourrait considérer Internet comme un média de plus, au même titre que la télévision,
la radio, le cinéma ou la presse « papier ». Pourtant Internet est spécifique, à plus d’un titre.

Si nous sommes déjà bien entourés de messages publicitaires en rue, à la télévision, dans les
transports, dans nos magazines, à la radio, ceux-ci restent globalement passifs. Jusqu’à présent on
n’a pas encore vu un panneau publicitaire se mettre devant nous pour qu'on ne puisse pas le rater
(encore que, des panneaux dynamiques et interactifs ont commencé à fleurir depuis deux ou trois
ans, certains mesurent même l'audience et les regards portés sur eux)

Sur le Net, si.

Et il ne faut pas aller loin pour le voir. Prenez le site d’un grand quotidien belge. Testé par hasard, en
pleine écriture de ce dossier. Quelle est la première chose que le visiteur voit ? La Une du journal.
Mais légèrement floue : et de fait, ce n’est pas la vraie « Une » du journal, mais une image qui reste
quelques secondes avant d’être mise de côté par une mamy grecque, car, voyez-vous, cette fausse
« Une » masquait une vidéo montrant un petit village grec, où la publicité a été tournée. Une fois le
site accessible, on se retrouve avec une surface de contenu de 32% (menu compris) contre 68%
d’espace publicitaire. Pas mal pour un site d’information !

Voilà à où en est arrivée la publicité sur le web : une tentative presque désespérée d’attirer le
chaland, quitte à le harceler par des messages recouvrant le site que l’on est venu visiter, avec des
vidéos qui se lancent toutes seules, des messages qui clignotent, des pavés intercalés entre divers
contenus, etc.

Même les annonceurs reconnaissent le problème
L’Interactive Advertising Bureau (IAB), la puissante fédération mondiale de la publicité en ligne, a
reconnu dès la première ligne de l’un de ses communiqués : « On s’est plantés. ».

On peut le dire ! Face à cette invasion, les internautes sont de plus en plus nombreux à utiliser des
bloqueurs de pub afin d’accéder le plus directement possible au contenu qui les intéresse. Adblock, le
plus populaire des bloqueurs de pubs, totaliserait même près de 200 millions d’utilisateurs dans le
monde. Un internaute sur quatre en Belgique déclare bloquer la publicité sur Internet. C’est bien là le
nœud du problème pour les annonceurs : que leurs publicités soient bloquées par quelques geeks
militants est une chose, mais qu’une part significative des utilisateurs les bloque et tout est différent,
surtout quand le manque à gagner se monte à 22 milliards de dollars (et même 41 milliards prévus
pour 2016).
Utiliser un bloqueur de pub : plusieurs avantages
Un bloqueur de publicités masque ou empêche les publicités de s’afficher. L’utilisation première de ce
genre de bloqueur est bien sûr de ne pas montrer la publicité. Mais la publicité n’est pas qu’une
sollicitation visuelle ou auditive, elle a également un impact sur la rapidité de chargement des pages
ainsi que sur... l’environnement.

En effet, comme tout contenu qui s’affiche dans votre navigateur, la publicité doit être téléchargée,
ce qui utilise non seulement une part de votre bande passante, mais également une part des
ressources de l’appareil que vous utilisez pour naviguer (mémoire, processeur...).

Tout cela est encore plus sensible pour le mobile, aux capacités plus limitées qu’un ordinateur et dont
la batterie souffre d’un surcroît d’utilisation dû à la publicité. Un bloqueur de publicité demande
également des ressources, mais au moins vous évitez le téléchargement des publicités.

Concrètement, on constate un ralentissement moyen de 25% de la navigation dû aux publicités. Si
l’on regarde les publicités vidéo, c’est même jusqu’à 40% de données (de publicité, s’entend), que
l’on télécharge en moins en utilisant un bloqueur de pub.

Le NY Times a été plus loin, en calculant le temps de chargement d’une page avec et sans adblocker
sur un Iphone. Si le meilleur site analysé n’a qu’un petit 10% de différence en poids de données
téléchargées avec ou sans bloqueur de pubs, le pire culmine à 80 %!

                               Par exemple, le site du Los Angeles Times

Le même genre de test a été effectué sur des sites d'info français et, en moyenne, utiliser un
bloqueur de pub réduit le transfert de données de 68 % (à lire sur le blog de Tuxicoman).

Bref, on y gagne en temps, en ergonomie (site plus facile à lire), voire en argent (moins de données à
télécharger).

Et en environnement ?
Il est très difficile de faire une évaluation précise de l’impact environnemental. Mais quand on sait que
les besoins en énergie des infrastructures nécessaires à Internet (centre de données, liaisons et
matériel réseaux, etc.) sont estimés à plus de 2 % de la consommation énergétique mondiale et que
cette consommation double tous les quatre ans, on voit toute l'ampleur du problème. Dans certains
pays c'est pire : 16 % de la consommation en énergie du Royaume-Uni est le fait d'Internet (source :
http://www.notre-planete.info/actualites/4328-consommation-energie-web-saturation).

AdBlock... entre autres outils
Si Adblock est le plus populaire des bloqueurs de publicités, c’est aussi le plus critiqué ces derniers
temps. Son utilisation est simple : il est censé bloquer les publicités des sites que vous consultez, sur
base de critères régulièrement mis à jour. Si pour une raison ou une autre vous souhaitez voir les
publicités, vous pouvez mettre votre site préféré en « liste blanche ». Et c’est là que le bât blesse,
puisqu’AdBlock permet, moyennant finances, de mettre automatiquement certains sites en liste
blanche. En théorie, les sites whitelistés doivent respecter toute une série de critères (publicités non
invasives, entre autres) afin d’être autorisés.

On arrive donc à une situation où le web n’est plus neutre, mais orienté : vous verrez ce que l’on vous
autorise à voir, même si on parle ici de publicités.

C’est un peu dans la même idée que Google pourrait à court terme intégrer un bloqueur de pubs
natifs dans son navigateur Chrome. Les pubs autorisées respecteraient elles aussi certains critères
pour qu’elles soient considérées comme « acceptables » (non dérangeantes pour l’internaute). Quand
on sait que Google est un poids lourd de l’industrie publicitaire sur le web, on peut là aussi très
clairement craindre un conflit d’intérêts, Google pouvant facilement favoriser sa propre régie
publicitaire..

Cela risque également de réserver la publicité aux structures qui sont capables de payer « qui de
droit » pour continuer à faire de la publicité. On en arrive donc à une situation paradoxale où la
publicité est également un moyen pour plein de petits sites d'exister sans laisser toute la place aux
mastodontes du marché, qui ne sont pas nécessairement les plus vertueux d'un point de vue
environnemental.

Quoi qu’il en soit, il existe d’autres méthodes pour ne pas subir les publicités :

●   Ublock : extension pour navigateur, fonctionnant sur le même principe qu’AdBlock
●   Utiliser un navigateur qui intègre un bloqueur (Chrome bientôt, depuis peu Opéra également)
●   utiliser un bloqueur de scripts comme NoScript pour Firefox (partant du fait que les publicités font
    appel à toute une série de scripts pour se lancer). Le résultat est cependant moins fin et vous
    risquez de vous retrouver avec des sites webs ne fonctionnant pas correctement, étant donné que
    tous les scripts, dont ceux essentiels au site, seront bloqués.
●   modifier le fichier HOSTS, pour les plus bidouilleurs d'entre-vous ;
●   se tenir au courant de l’actualité via des flux RSS, qui reprennent les nouveautés d’un site sans
    devoir aller sur le site lui-même (et donc sans voir les pubs, sauf si le flux ne reprend pas tout
    l’article, ce qui est souvent le cas). Feedly est un de ces agrégateurs de flux (parmi d'autres).

Plus d’infos ici.

Un problème de « business model »
Pourquoi les sites acceptent-ils toutes ces pubs ? Cette profusion de messages vient notamment du
fait que de très nombreux sites dépendent des revenus publicitaires pour leur fonctionnement.

Face à l’augmentation substantielle des utilisateurs de bloqueurs de publicités, les éditeurs de presse
français (le « Geste ») ont donc décidé de réagir. De la même manière que certains sites vous
demandaient déjà de désactiver votre bloqueur de pub (les publicités qui ne s’affichent pas ne leur
rapportent rien), ils ont lancé le mois passé une vaste « offensive » coordonnée, de manière plus ou
moins moralisatrice. Dans les grandes lignes, à l’instar de ce que Bild.de avait fait peu de temps
auparavant, tant que votre bloqueur de pub est activé, vous n’avez pas accès au contenu. Si cela en a
irrité plus d’un (notamment au vu du caractère un peu abrupt de certains messages d’avertissement),
un mois plus tard force est de constater que 10 à 40% des visiteurs de ces sites ont whitelisté les
sites en question.

L’effet rebond, en revanche, joue en plein : beaucoup de visiteurs, voyant cette impossibilité de
consulter l’information demandée sans devoir désactiver leur bloqueur, s’en sont tout simplement
allés voir ailleurs... Si on peut considérer que les visiteurs qui acceptent la pub sont plus
« intéressants » pour l’éditeur du site, avoir un nombre important d’internautes qui s’en vont
rapidement est mauvais en terme de référencement (Google, qui représente quand même 90% des
recherches effectuées dans le monde, accorde une attention particulière à ce critère).

Il reste cependant à voir ce qui va se passer à l’avenir, car évidemment, s'il existe des anti-anti-pub
qui empêchent l'accès aux internautes utilisant un bloqueur de pub, il n'a pas fallu longtemps pour
que se développent des systèmes détectant ces anti-anti-pubs. Des anti-anti-anti-pubs, en quelque
sorte. On n'ose imaginer la suite.

Mais le problème va bien au-delà d’une simple guerre entre pub et antipubs. Beaucoup
d’observateurs pensent que c’est tout un business model qui reste à (ré)inventer. Si l’internaute ne
trouve pas ce qu’il cherche sur un site qui lui interdit l’accès, il ira sur un autre. 98% des internautes
déclarent ne pas être prêts à payer pour naviguer sans publicité. Ebuzzing a même calculé qu’il
faudrait payer 170€ par an et par personne pour ne plus avoir de publicités.

Il est vrai qu'Internet s'est développé de manière gratuite et si des sites d'information pouvaient se
permettre de proposer ce genre de services gratuitement, ce n'était valable que s'ils avaient d'autres
rentrées (édition « papier » par exemple). À partir du moment où les ventes « papier » s'écroulent, ou
qu'un média n'a que son site pour assurer des rentrées financières, toute la question du paiement se
pose. Car derrière tous ces sites, il y a des gens qui travaillent.

Même le simple blogueur doit payer pour son hébergement, ce qui devient vite coûteux quand on a
du succès. C’est dire s’il faut pouvoir proposer du contenu suffisamment exclusif et alléchant. De
nombreux sites ont déjà commencé à adopter cette politique, en réservant tout ou partie de leurs
articles à leurs abonnés. Un site comme celui des « Numériques » a fait un autre pari, en laissant tous
leurs articles accessibles mais en offrant certaines exclusivités et une navigation sans pub à leurs
abonnés « premium ».

Le spectre de la personnalisation
Pendant ce temps, les (régies) publicitaires n’ont pas attendu le ras-le-bol des internautes pour
utiliser d’autres méthodes. De plus en plus, sur Internet ou ailleurs, la publicité invente de nouvelles
manières de communiquer : placement de produits, publicités personnalisées (par mail, sur vos sites
préférés, en tout début de votre liste de résultats « Google », etc.) et autres publicités interactives,
drôles, sympathiques... D’autant qu’il paraît que les internautes aiment les marques. Si la marque
communique de manière sympa avec lui, pas besoin d’essayer de le matraquer avec des vidéos qu’il
ne pourra pas zapper ou par des pleines pages envahissantes.

Enfin, la personnalisation du message va de plus en plus loin. Si vous acceptez la publicité, vous avez
sûrement déjà constaté que, curieusement, vous apercevez des publicités pour des produits sur
lesquels vous avez déjà fait une recherche. Ou bien que vous recevez, justement, un mail
personnalisé mettant en avant tel ou tel produit que vous avez consulté récemment sur un site de
vente en ligne.

Ne croyez pas qu’interdire les cookies y change quoi que ce soit : si les cookies ont été considérés
pendant longtemps comme des mouchards, il y a bien d’autres techniques (ici et ici) maintenant pour
vous tracer et vous « définir ». Même Google « lit les mails » que vous recevez sur votre adresse
gmail si vous en avez une.

Toucher la bonne personne, au bon endroit et au bon moment : on en revient toujours à ça.

Certains considéreront que c'est efficace et pratique : si vous vous intéressez au matériel de
bricolage, peut-être serez-vous intéressé par une promotion vantant les mérites d'une nouvelle scie
radiale à onglets.

Mais ce côté pratique a au moins trois revers :

●   il pousse à consommer. Si vous recevez une ou plusieurs publicités pour des produits sur lesquels
    vous vous êtes renseigné, ne craquerez-vous pas plus vite ? Quand la vitrine vient jusque devant
    vos yeux, sans devoir bouger de votre canapé, difficile parfois de faire la bonne distinction entre
    besoin et envie !
●   il réduit, d'une certaine manière, nos centres d'intérêt. Pas que ceux-ci soient dictés par la publicité,
    mais de manière générale, proposer des offres « ciblées » réduit de facto la diversité des messages
    entendus. C'est vrai pour de la publicité, mais pour le reste également : musiques « qui vont vous
    plaire », articles « que vous aimerez aussi », etc.
●   il vous « définit » de plus en plus en sachant de plus en plus de choses sur vous. Si les annonceurs
    se défendent de croiser vos coordonnées avec votre profil (de consommateur) anonyme, il n'en
    reste pas moins que le risque existe, ne fût-ce que par fraude ou piratage. Fin du fin, le « single
    sign-on » qui vous permet de vous connecter à différents services en utilisant un compte existant
    ailleurs (typiquement, avec un compte facebook) permet(trait) à ce dernier de croiser profil et
    comportement de consommation.

Si ce débat-là dépasse le simple cadre de ce dossier, limiter le traçage et l’exposition à la publicité est
possible, que cela passe par des méthodes défensives ou par d'autres modèles de financement. C’est
déjà une bonne nouvelle de savoir que ces possibilités existent, même si cela nécessite de s’informer,
d’aller plus loin que les outils gratuits avec des réglages de base et de suivre les évolutions de près
les évolutions des technologies...

                                                            Image d'article : Daniel Oines - Half an hour of web ads - Flick'r

ET VOUS, VOUS EN PENSEZ QUOI?

La lingette de la pureté originelle
Mangez-vous des fruits et des légumes ?

Là vous devriez me répondre « oui », puisque nous sommes censés en manger cinq (portions) par
jour. Pour rappel, la barre chocolatée ne fait pas partie des fruits et des légumes, même si
fondamentalement, le cacao vient d’une plante (ô cruelle injustice).

Bref, nous ne sommes pas là pour parler nutrition.Vous mangez donc des fruits et légumes. Peut-être
recherchez-vous ceux qui génèrent le moins de déchets d’emballage, c’est-à-dire ceux vendus en
vrac. Grossière erreur : vous vous apprêtez à consommer des fruits ou des légumes qui sont
contaminés !

En effet, les fruits et légumes vendus en vrac sont manipulés (nous aussi, mais c’est pas pareil) par
des hordes entières de contaminateurs acharnés, à savoir l’agriculteur, le transporteur, le magasinier
et – pire de tout, porteurs de germes parmi les porteurs de germes – plusieurs autres clients.

Fichtre, en voilà des risques de contaminations aléatoires !

Heureusement il y a la lingette nettoyante et même, encore plus fort, la solution lavante pour fruits et
légumes horriblement contaminés. Le principe : nettoyer, comme on se lave les mains, et adopter
pour les fruits et légumes ce réflexe d’hygiène alimentaire élémentaire.

La lingette permet de frotter les fruits ou les légumes quand on est en déplacement et la solution
lavante est une sorte de gel douche pour ces mêmes aliments.

Détail piquant, l’utilisation de la lingette ne nécessite pas de rinçage à l’eau. Vous vous retrouvez
donc avec une pomme, par exemple, recouverte non plus d’horribles contaminants mais bien de
composés 100% naturels et comestibles (extrait d’agrumes et de vinaigre de cidre, NDLR).

La solution lavante va plus loin, et utilise carrément des ingrédients qui désinfectent et restituent aux
fruits et légumes leur pureté originelle. Diantre, voilà qui est prometteur ! Avec ça c’est direct au
paradis pour y retrouver le pêcher originel.

Il fût même un temps où la marque promettait explicitement de nettoyer les fruits et légumes des
pesticides résiduels (présents dans 60 à 70% des fruits et légumes vendus en Belgique). Mention qui
a visiblement disparu, la promesse était-elle trop ambitieuse, sachant que les pesticides ne se
retrouvent pas que sur la peau, mais parfois aussi dans le fruit ? Quoi qu’il en soit, la question à se
poser est : « avez-vous besoin de laver vos fruits et légumes ? ». À l’eau, oui, assurément (sauf les
bananes, enfin, vous faites ce que vous voulez). Si vous voulez éviter les pesticides, l’agriculture bio
est bien plus intéressante que toutes les lingettes du monde.

Pourtant, la marque qui commercialise ces lingettes fait un effort - pour autant qu’on le sache du
moins - dans la composition de ses produits en n’utilisant que des extraits de plantes ou d’agrumes.
La fabrication est même locale. Mais à l’heure où l’on n’arrive toujours pas à diminuer la quantité de
déchets que l’on produit, et à l’heure ou les allergies montent en flèche pour cause, notamment,
d’hygiénisme extrême, pourquoi vouloir encore désinfecter des fruits et des légumes ? Pour cuisiner
avec du poulet chloré, sans doute.

En tout cas nous on reste septiques. Pardon, sceptiques :-)

AGENDA

Brabant Wallon

La Ruche

Module 1: 4, 5, 6 octobre 2019 / Module 2: 25, 26, 27 octobre 2019 / Soirée Pitch : 14 novembre -
ouvert au public

Carrefour 19
Rue du Marteau 19
1000
Bruxelles
Belgique

Organisateur :
Déclic en PerspectivES

Email :
info@declictour.be

Téléphone :
0487/97.19.57

Prix :
120 €

Déclic en Perspectives renouvelle sa collaboration avec le Réseau Transition.be pour animer le
programme LA RUCHE : une formation de 6 jours pour co-créer un projet qui répond à des besoins
sociaux et environnementaux identifiés en région bruxelloise !

Tu as envie de t’investir dans un projet collectif et de co-création ? De contribuer à mettre en place
des solutions innovantes qui répondent à des besoins sociaux et environnementaux identifiés en
région bruxelloise ? Le programme La Ruche est fait pour toi !

Inscris-toi à l'une de nos séances d'infos pour en savoir plus et connaître toutes les modalités pour
participer à La Ruche
Inscriptions : www.weezevent.com/la-ruche-45-6-et-25-26-27-octobre-et-14-novembre-2019-2

[ Les séances d'information ]
Inscris-toi à l'une de nos Séances d'information - La Ruche 2019 pour en savoir plus et connaître
toutes les modalités pour participer. https://www.facebook.com/events/621066165029427/

Bruxelles

Afterwork - Bike Experience

Du 6 mars au 6 novembre

ViaVia Café
Quai aux Briques 74
1000
Bruxelles
Belgique

Organisateur :
Bike Experience

Prix :
Gratuit

Tous les 1ers mercredis du mois, l’équipe Bike Experience vous donne rendez-vous à son afterwork
mensuel !

On y va pourquoi ? Pour se rencontrer entre néo cyclistes (Biker) et cyclistes réguliers (Coach), pour
se former à la conduite du vélo en ville (formation théorique et pratique), pour poser toutes ses
questions et recevoir tous les conseils nécessaires, pour bien terminer la journée autour d’un verre. ;-)

L’inscription est vivement recommandée : http://bikeexperience.brussels

Bike Experience est une action entièrement gratuite de mise en selle et de sensibilisation. Notre
objectif : vous donner toutes les clefs en main pour vous lancer à vélo à Bruxelles !

Partie intégrante de Bike for Brussels, cette action est une initiative de Bruxelles Mobilité - Brussel
Mobiliteit et qui est organisée par Pro Velo.

Belles de ma rue : 19 promenades botaniques urbaines à Bruxelles

de mai à septembre 2019
Belgique

Organisateur :
Urban Ecology, Bruxelles Environnement - Leefmilieu Brussel, Natagora

Prix :
Gratuit

La saison 2019 de Belles de ma rue est lancée !
Oxalis, bardane, rue des murailles... Les plantes sauvages volent avec le vent et s'invitent dans tous
les interstices, y compris urbains. Vagabondes, vivaces, comestibles, toxiques, mellifères, bleues,
jaunes, grandes, petites... Leur diversité est telle qu'elles transforment nos trottoirs en galeries d'art
et ravissent ceux qui se prennent à les observer. Venez les découvrir et vous former à les identifier.

Notre guide vous emmènera de fleur en fleur pour une promenade d'une heure et demie de
reconnaissance des plantes sauvages bruxelloises (balade gratuite - ici en français).
Après inscription, le lieu précis de départ et les informations pratiques vous seront communiquées par
mail quelques jours avant la visite.

**********************************
INSCRIPTION OBLIGATOIRE ICI : https://forms.gle/KQQ5XpvdBz1tYY5V8
Gratuit - Attention : places limitées !

**********************************
Les balades sont co-organisées par le Centre d'écologie urbaine asbl, Natagora asbl, et Bruxelles
Environnement.
Programme complet de la saison 2019 : https://urban-ecology.be/blog/bellesdemarue

 1. Schaerbeek (dimanche 05 mai de 14h00 à 15h30) - (zondag 05 mei van 14.00 tot 15.30 uur)
 2. Berchem-Sainte-Agathe - (mercredi 22 mai de 14h00 à 15h30) - Sint-Agatha-Berchem (woensdag
    22 mei van 14.00 uur tot 15.30 uur)
 3. Molenbeek-Saint-Jean (mercredi 29 mai de 14h00 à 15h30) - Sint-Jans-Molenbeek (woensdag 29
    mei van 14.00 tot 15.30 uur)
 4. Saint-Josse-ten-Noode (samedi 01 juin de 14h00 à 15h30) - Sint-Joost-ten-Node (zaterdag 01 juni
    van 14:00 tot 15.30 uur)
 5. Anderlecht (samedi 15 juin de 14h00 à 15h30) - (zaterdag 15 juni van 14.00 uur tot 15.00 uur)
 6. Forest (dimanche 16 juin de 14h00 à 15h30) - Vorst (zondag 16 juni van 14.00 tot 15.30 uur)
 7. Koekelberg (dimanche 30 juin de 14h00 à 15h30) - (zondag 30 juni van 14.00 uur tot 15.30 uur)
 8. Ganshoren (mercredi 03 juillet de 14h00 à 15h30) - (woensdag 03 july van 14.00 tot 15.30 uur)
 9. Woluwe-Saint-Lambert (dimanche 14 juillet de 14h00 à 15h30) - Sint-Lambrechts-Woluwe
    (zondag 14 july van 14.00 tot 15.30 uur)
10. Woluwe-Saint-Pierre (samedi 20 juillet de 14h00 à 15h30) - Sint-Pieters-Woluwe (zaterdag 20 july
    van 14:00 tot 15:30 uur)
11. Evere (dimanche 28 juillet de 14h00 à 15h30) - (zondag 28 juli van 14.00 uur tot 15.30 uur)
12. Auderghem (dimanche 04 août de 14h00 à 15h30) - Oudergem (zondag 04 augustus van 14.00
    tot 15.30 uur)
13. Watermael-Boitsfort - (mercredi 14 août de 14h00 à 15h30) - Watermaal-Bosvoorde (woensdag
    14 augustus van 14.00 tot 15.30 uur) (tweetalige wandelingen)
14. Ixelles (samedi 17 août de 14h00 à 15h30) - Elsene (zaterdag 17 augustus van 14.00 tot 15.30)
15. Etterbeek (samedi 24 août de 14h00 à 15h30) - (zaterdag 24 augustus van 14:00 tot 15:30 uur)
16. Bruxelles (mercredi 04 septembre de 14h00 à 15h30) - Brussel (woensdag 04 september van
    14.00 tot 15.30 uur)
17. Jette (mercredi 11 septembre de 14h00 à 15h30) - (woensdag 11 september van 14.00 uur tot
    15.30 uur)
18. Saint-Gilles (mercredi 18 septembre de 14h00 à 15h30) - Sint-Gillis (woensdag 18 september van
    14.00 tot 15.00 uur)
19. Uccle - Ukkel (mercredi 25 septembre de 18h30 à 20h00) - (woensdag 25 september van 18.30
    tot 20.00 uur)

Liège

Court-Circuit - Le marché des produits locaux

Les deuxièmes et quatrièmes jeudis du mois, jusque fin octobre, de 15h à 19h

Place Xavier Neujean
4000
Liège
Belgique

Organisateur :
Service des Foires et Marchés de la Ville de Liège

Email :
foiresetmarches@liege.be

Téléphone :
04 221 92 29

Le marché Court-circuit, sur la place Xavier Neujean, propose des produits divers et variés issus
uniquement de la province de Liège ou d’un rayon de 50 kilomètres autour de Liège. Il fait ainsi la
part belle aux fruits et légumes de saisons, aux produits laitiers, aux pains et pâtisseries, à la viande
et à la charcuterie… sans parler des cosmétiques, des alcools locaux et des friandises ou produits
issus de la ruche !

Court-Circuit ambitionne d’offrir aux liégeois et aux liégeoises des produits sains et savoureux, tout
en privilégiant l’échange direct entre le producteur et le consommateur. Pas moins de 25 producteurs
sont présents sur le marché, sur 20 emplacements destinés aux producteurs fixes et 5 emplacements
qui accueillent des producteurs occasionnels.
Agenda
Le marché est organisé les 2èmes et 4èmes jeudi de chaque mois, de 15h à 19h.
Les dates du marché pour l’année 2019 sont :

●   11 et 25 avril
●   09 et 23 mai
●   13 et 27 juin
●   11 et 25 juillet
●   08 et 22 août
●   12 et 26 septembre
●   10 et 24 octobre

Producteurs présents pour cette édition 2018
Contact
Service des Foires et Marchés de la Ville de Liège
Rue sur les Foulons 11 – 4000 Liège
04 221 92 29 – foiresetmarches@liege.be
À la rencontre des belles sauvages des rues de Liège

Du 4 juillet au 28 septembre

Belgique

Organisateur :
PointCulture Liège et La CITE s'invente

Prix :
Gratuit

Balades végétales guidées par Pierre Charles Offergeld (formé par Natagora et CNB) et Jasmine
Reinartz (Guide-natureⓇ).
À partir de 15 ans. Gratuit. Sur inscription.

Loin des champs et des forêts, en ville, la nature se cache entre les pavés. Portons un regard neuf sur
ces petites plantes urbaines. Arrachées, inconnues, invisibles, ces « indésirables » se transforment en
plantes sauvages aux vertus multiples, dignes de porter un nom et faisant partie intégrante de la
biodiversité et du maillage écologique urbain.
Si vous possédez une oupe botanique, n’hésitez pas à l’emporter.

Dates et lieux des balades :

●   Jeudi 04 juillet de 14h à 16h30 – RDV à 14h aux pieds des escaliers de la Montagne de Bueren, 4000
    Liège.
●   Samedi 24 août de 10h à 12h30 – RDV à 10h au PointCulture Liège – 1-5 Rue de l’Official, 4000
    Liège.
●   Samedi 07 septembre de 10h à 12h30 – RDV à 10h devant l’église Saint-Roch, 17 rue Volière, 4000
    Liège.
●   Samedi 28 septembre de 10h à 12h30 – RDV à 10h sur l’esplanade de la Place de l’Yser, 4020 Liège.

Luxembourg

Salon Énergies + Construction

Du 15 au 17 novembre 2019, de 10h à 19h

Wallonie Expo (WEX)
Rue des deux Provinces, 1
6900
Marche-en-Famenne
Belgique
Organisateur :
ENERGIES + CONSTRUCTION

Prix :
Sur place : 10€ - Préventes (en ligne) : 5€ - Moins de 18 ans : GRATUIT
L’évolution des normes PEB induit des modifications sans cesse nécessaires des techniques
constructives à mettre en œuvre pour répondre à cette évolution. Aujourd’hui, toute construction ou
rénovation doit être pensée et conçue en termes d’énergies renouvelables, d’économies
d’énergie et de durabilité. Le secteur de la construction a donc besoin d’informations précises et à
jour qu’ ENERGIES + CONSTRUCTION met à sa disposition. Grâce aux synergies développées avec
les différents acteurs (professionnels, particuliers, politiques…) ENERGIES + CONSTRUCTION s’est
vite imposé comme LE rendez-vous incontournable en construction durable ; une véritable
plate-forme favorisant les relations BtoB lors de rencontres professionnelles et dispensant une
foule de conseils et d'informations pour les candidats bâtisseurs en quête de réponses pour
leurs travaux. Ceci, en tenant compte de leur budget et des enjeux énergétiques.

Bien plus qu’un simple salon, ENERGIES + CONSTRUCTION se positionne comme un salon
spécialisé, acteur incontournable dans le monde de la construction d’aujourd’hui et de demain.

Parce que ce secteur est en constante mutation, tant durant le salon que pendant l’année entière,
ENERGIES + CONSTRUCTION propose des informations, des espaces de rencontres, ainsi que des
conseils à destination des particuliers et des professionnels.

ENERGIES + CONSTRUCTION, c'est :

En 13 ans, ENERGIES+CONSTRUCTION est devenu le rendez-vous incontournable pour bâtir et
rénover. Il est question de :

●   Construction maisons basse énergie / passives
●   Architecture
●   Chauffage
●   Isolation
●   Ventilation
●   Parachèvement
●   Matériaux de gros oeuvre
●   Matériaux durables
●   Energies renouvelables
●   Eclairage
●   Domotique
●   Gestion de l'eau
●   Toiture

●   > de 17 000 visiteurs lors de la dernière édition
●   > de 120 exposants
●   Un programme étoffé de conférences
●   + de 1000 marques et produits
●   7 000 m2 d’exposition
●   13e édition

Namur

Valériane, le salon bio

Du vendredi 6 au dimanche 9 septembre

Namur Expo
Av. Sergent Vrithoff 2
5000
Namur
Belgique

Organisateur :
Nature & Progrès

Prix :
4€ - 8€

Le salon Valériane, c’est l’évènement de la rentrée !
Cette année, la 35ème édition du plus grand salon BIO de Wallonie, ouvrira ses portes du vendredi 6
au dimanche 8 septembre à Namur Expo!

Au programme de cette édition 2019
●   Le thème 2019 : Les Abeilles, notre Avenir !
●   Petit focus sur l’habitat léger

Écoconso       sera à nouveau de la partie

Rejoignez-nous sur notre le stand et jouez au Mölkky du climat, qui vous expliquera pourquoi
et comment agir pour le climat... et enfin arrêter d'en faire des tonnes ! Vous repartirez avec
une checklist d'actions concrètes à mettre en place pour réduire vos émissions de gaz à effet
de serre.

Jonas Moerman, conseiller énergie chez écoconso, y donnera une conférence le vendredi 6/09 à 11h
:

Le climat - pourquoi limiter la hausse des températures à 1.5°. Découvrez quels sont les
enjeux des changements climatiques et échangeons sur, les solutions que l’on peut adopter à son
niveau et les mesures que les pouvoirs publics devraient prendre pour y aider. Bonne nouvelle : agir
pour le climat peut aussi s'avérer très intéressant pour le portefeuille !

Tandis qu'Aurélie Melchior, autre chargée d'expertise chez écoconso, tiendra une conférence le
dimanche 8/09 à 17h sur les textiles :

Des matières premières à l'achat par le consommateur, en passant par la fabrication ou
l'entretien, découvrez la face cachée des vêtements. Une occasion de réfléchir à une mode
durable, aux questions et choix écologiques à poser pour rendre sa garde-robe respectueuse de la
santé et l'environnement mais surtout être acteur-trice d’une société de consommation durable.

Nature & Progrès, organisateur du salon Valériane, est l’une des associations pionnières du « Monde
BIO ». Fervent défenseur de l’alimentation BIO depuis 1976, l’Association milite activement pour une
agriculture exempte de produits nocifs à notre santé et à la Planète.

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La rédaction se réserve le droit de publier les annonces qui lui parviennent.

DANS LE PROCHAIN NUMÉRO

Un dossier sur l'hygiène féminine.

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rue Nanon 98 à 5000 Namur.
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Editeur responsable :                                                                         écoconso est soutenu par la
                                                            Creative Commons CC BY-N-
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