La crise d'extinction massive - Cégep du Vieux-Montréal

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La crise d'extinction massive - Cégep du Vieux-Montréal
Concours intercollégial Pédagogie-Environnement 2009
                    Volet : Pédagogique
               Catégorie : Recherche et analyse

             Cégep du Vieux-Montréal
         La crise d’extinction massive

                      Chloé Livernoche
                  Catherine Moretti St-Jean
                      Maryse Gaumond
                   Crystal Martin Thériault

                   Date : 20-21 février 2009
La crise d'extinction massive - Cégep du Vieux-Montréal
Présentation Orale                                                                   11 décembre 2008

Table des matières
Introduction                                                                                         4
Les espèces en voie d’extinction                                                                     4

  Qu’est-ce qu’une espèce en voie d’extinction                                                       4
  Quelques statistiques                                                                              5
  Exemples d’espèces en voie d’extinction                                                            6

    Pithecophaga jefferyi – Aigle des Philippines                                                    6
    Calvaria major – Arbre Dodo                                                                      6
    Pelobates fuscus insubricus – Pélobate brun d’Italie                                             6

  Exemples d’espèces éteintes                                                                        6

    Ectopistes migratorius – Pigeon Migrateur                                                        6
    Viola cryana – Pensée de Cry                                                                     6
    Equus quagga quagga – Zèbre Quagga                                                               6

Les causes                                                                                           7

  Politique                                                                                          7

    Manque de loi sur la protection des espèces                                                      7
    Pressions appliquées par les multinationales sur les gouvernements pour l’obtention des terres
    protégées                                                                                        7

  Économiques                                                                                        7

    Déforestation                                                                                    7
    Tests effectués par les compagnies sur le terrain                                                8
    OGM                                                                                              8

  Culturelles                                                                                        8

    Utilisation d’espèces en voie d’extinction comme aphrodisiaque                                   8
    Indifférence des gens pour la majorité des espèces en voie d’extinction                          8

  Climatiques                                                                                        9

    Changements climatiques                                                                          9
    Amincissement de la couche d’ozone                                                               9

Les conséquences                                                                                     9

  Économiques                                                                                        9

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Présentation Orale                                                                     11 décembre 2008

    Perte des éco-services                                                                           9
    Perte des ressources forestières                                                                 9

  Écologiques                                                                                       10

    Diminution de la diversité génétique                                                            10
    Diminution de la richesse spécifique et déséquilibre des écosystèmes                            10

  Sanitaires                                                                                        10

    Sécurité alimentaire                                                                            10
    Médicaments                                                                                     11

Les solutions                                                                                       11

  Scientifiques                                                                                     11

    Zoo et banque de conservation                                                                   11
    Insémination artificielle1                                                                      11
    Fécondation in vitro                                                                            12
    Clonage1                                                                                        12
    Réinsertion en milieu naturel et                                                                12

  Politiques                                                                                        12

    Atteindre les objectifs de la convention sur la diversité biologique et                         12
    Création d’espaces protégés                                                                     13
    Lois, punition et récompenses pour la protection des espèces en voie d’extinction et            13

  Individuelles                                                                                     13

    Écotourisme                                                                                     13
    Réduire son empreinte écologique                                                                14

Conclusion                                                                                          14
Référence                                                                                           15

    Livres                                                                                          15
    Revues et Périodiques                                                                           15
    Sites Internet                                                                                  15

                                                                                                     3
Présentation Orale                                                                                           11 décembre 2008

Introduction
       Dans l’histoire de la Terre, on compte environ 6 crises d’extinction massive, en comptant celle
que nous vivons en se moment. La 5e a eu lieu il y a de cela 65 millions d’année, elle a éliminé 50% des
espèces qui peuplaient la Terre à cette période1. Aujourd’hui, la crise d’extinction est vraiment l’une des
plus grosse qu’il eu existé, étant donné qu’elle se produit sur un très court intervalle de temps. De plus,
l’une des causes principales de cette extinction est l’activité humaine. Cette crise de disparition massive
touche donc autant les espèces animales et végétales que nous.

        Nous allons donc vous parler des causes qui entrainent cette extinction massive. Que ce soit les
causes politique, environnemental, culturelle ou climatique, elles sont tous à la base même du problème.
Ensuite nous allons vous exposer les conséquences directes qu’a cette extinction. Finalement nous
allons amener quelques unes des solutions possibles à ce problème.

Les espèces en voie d’extinction
Qu’est-ce qu’une espèce en voie d’extinction
        Une espèce en voie d’extinction est un animal ou un végétal qui se trouve en très mince quantité
dans la nature. Une espèce est considéré «disparue» lorsque le dernier individu est mort. De plus, pour
que l’extinction soit une réalité, il faut qu’aucun individu ne puisse se reproduire, donc créer une nouvelle
génération2. Il existe une échelle créer par UICN3 (Figure 1) qui classe chaque espèce selon sont degré
de disparition. Il existe neuf différents états4 :

              &    Non évalué (NE – Not Evaluated)
              &    Donné insuffisantes (DD – Data Deficient)
              &    Préoccupation mineure (LC – Least Concern)
              &    Quasi menacé (NT – Near Threatened)
              &    Vulnérable (VU – Vulnerable)
              &    En danger (EN – Endangered)
              &    En danger critique (CR – Critically Endangered)
                                                                                           Figure 1 - Échelle d'extinction
              &    Éteint à l’état sauvage (EW – Extinct in the Wild)
              &    Éteint (EX – Extinct)

.

1
  WIKIPEDIA, Extinction massive, http://fr.wikipedia.org/wiki/Extinction_massive
2
  WIKIPEDIA, Extinction des espèces, http://fr.wikipedia.org/wiki/Extinction_des_esp%C3%A8ces
3
  UICN: Union Internationale pour la conservation de la nature
4
  WIKIPEDIA, Liste rouge de l’UICN, http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_rouge_de_l%27UICN

                                                                                                                             4
Présentation Orale                                                                                                 11 décembre 2008

  Quelques statistiques
          Il existe sur internet, plus
  précisément sur le site de l’IUCN1,
  une liste rouge qui regroupe tous les
  espèces au monde qui ont été
  recensé et classé en danger. Une
  montre plusieurs listes comme les
  animaux en danger par pays ou la
  même chose pour les végétaux. Il y
  a aussi une liste qui montre l’état
  actuel des chaque espèces. À partir
  de ces classements, nous avons fait
  des graphiques pour montrer à quel
  point certains continents sont plus
  posséder des espèces en voie
  d’extinctions. Le premier représente
  le nombre total d’espèce animal en Figure 2 - Graphique du nombre d'espèce animale en pourcentage
  voie d’extinction, quelque soit sont par continent.
  état, dans les continents de la Terre en pourcentage (Figure 2). On peut voir sur se graphique que le sud
  de l’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique contiennent beaucoup plus d’espèce en danger que leurs nord
                                                                   respectifs.
                                                                           Sur le deuxième graphique, on a
                                                                   calculé le pourcentage de plante en
                                                                   voie d’extinction, tous les états critiques
                                                                   réunis, dans chaque continent (Figure
                                                                   3). On peut remarquer que le sud de
                                                                   l’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique
                                                                   contiennent plus de la moitié de tous
                                                                   les espèces végétales endémiques.
                                                                           La raison de pourquoi le sud de
                                                                   la plupart des continents contiennent
                                                                   plus d’espèce menacé que leurs nord
                                                                   respectifs est dut en majeur partie au
                                                                   nombre élevé de leurs espèces
                                                                     endémiques      dans     ces     régions
Figure 3 - Graphique du nombre d'espèce végétale menacée en          septentrionales. Nous aborderons cela
pourcentage par continent.                                           dans les causes plus tard.

  1
      IUCN, 2008 red list summary statistics, http://www.iucn.org/about/work/programmes/species/red_list/index.cfm

                                                                                                                                   5
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Exemples d’espèces en voie d’extinction1
Pithecophaga jefferyi – Aigle des Philippines
        L’aigle des Philippines, aussi appeler aigle des singes, est une espèce des forêts pluviales. Il est
le deuxième au monde par sa taille. Il a été longtemps massacré par des chasseurs, mais aujourd’hui,
son extinction est causée par la perte de son habitat. Il est classé au niveau des espèces en danger
critique d’extinction.
Calvaria major – Arbre Dodo
        L’arbre à dodo est une espèce des îles Maurice. Il ne reste aujourd’hui que quelques spécimens
vieux de 300 ans. La disparition de cet arbre montre exactement l’effet de cascade lors de la disparition
d’une espèce, car l’extinction du dodo, qui était nécessaire à la germassions des graines, est la cause
direct du la disparition de l’arbre à dodo.
Pelobates fuscus insubricus – Pélobate brun d’Italie
       Le pélobate brun est un crapaud endémique du nord de l’Italie. Il a commencé à se raréfier au
cours du 20e siècle. Au lieu de se trouver dans 50 municipalités en 1914, il se trouvait en 1999 que dans
6 municipalités. Il fait maintenant partie d’un programme de réinsertion. Malgré sa grande disparition, il
seulement classé dans les espèces à préoccupation mineure.

Exemples d’espèces éteintes
Ectopistes migratorius – Pigeon Migrateur
       Le pigeon migrateur était un oiseau présent à plus de plusieurs centaines de millions d’individus.
Cet oiseau d’Amérique du Nord à été très chassé, par exemple au Québec, on l’utilisait pour
confectionner les tourtières et après leurs disparitions les gens on utiliser en majeur parti du porc. Le
pigeon migrateur c’est éteint en nature en 1900, mais le dernier spécimen s’est éteint dans un zoo en
1914.
Viola cryana – Pensée de Cry2
       La pensée de cry est une fleur endémique qui ne se trouve que sur les coteaux calcaires de
l’Yonne, en France. Elle fût découverte au milieu du 19e siècle. Par contre elle ne restera en vie un peu
moins de 100 ans, étant donné qu’elle disparaitra dans les années 1920 et 1930 à cause de l’expansion
des carrières.
Equus quagga quagga – Zèbre Quagga
        Le zèbre quagga est une espèce originaire de l’Afrique du Sud. La cause de sa disparition est du
à son massacre par les néerlandais pour confectionner des sacs. Le dernier individu de cette espèce
s’est éteint en 1883 au zoo d’Amsterdam. De nos jours, on tente de la recréer, à l’aide d’un programme
génétique, en croisant des zèbres des plaines aux caractéristiques soigneusement choisies.

1
    LAROUSSE, Faune et flore : espèces menacées, espèces disparues, Larousse 2001, Larousse, 2000.
2
    L’herbier de bourgogne, Viola cryana, http://www.u-bourgogne.fr/serres/flore/article.php3?id_article=745

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Les causes
Politique
Manque de loi sur la protection des espèces
        La Déclaration de Rio de L’ONU1 est bien connu pour être une convention au niveau de la
protection de l’environnement qui est respectée mais elle date de 1992 (il y a 16 ans) et il est clair que
depuis, les choses ont changées dans bien des domaines et de biens des façons. De plus, cette
Déclaration n’est pas «juridiquement contraignante»2 donc si son application n’est pas faite, il n’y a
aucune sanction, on se fie à la bonne volonté des gouvernements. Et, au Canada, lorsque l’on tente de
trouver une loi, convention, réglementation ou déclaration concernant la protection des espèces
menacées, il est évident qu’il n’y en a pratiquement aucune.
Pressions appliquées par les multinationales sur les gouvernements pour l’obtention des
terres protégées
       Certaines terres sont des parcs nationaux ou des terres protégées, ces terrains sont très souvent
des forêts qui abritent des espèces menacées d’extinctions. Ces bois sont très convoités par les grosses
entreprises d’abord pour les arbres qui, après avoir été coupé lors d’une coupe à blanc, pourra être
vendu comme bois de chauffage. Ensuite, ces territoires sont intéressants car ils constitueraient un bon
emplacement pour des bureaux, une usine ou encore des immeubles commerciaux comme des
immeubles à logements. Ces multinationales font donc pression auprès des gouvernements par des
menaces de quitter le pays ou autre chose et finissent trop souvent par obtenir l’autorisation d’acheter
des terres protégées et de les transformer en champs de gratte-ciels.

Économiques
Déforestation
        La déforestation est l’une des causes de la diminution de la biodiversité et de l’augmentation du
nombre d’espèces en voie d’extinction. Si l’on coupe tout les arbres, d’abord on met en péril l’existence
d’au moins une espèce d’arbre si ce n’est plus et, on détruit l’habitat des centaines d’espèces animales
et végétales qui vivaient dans la forêt ce qui peut entrainer leur extinction en particulier si elles
n’existaient qu’à cet endroit.

        Il s’agit d’une cause économique car la plupart des forêts qui sont déboisée le sont pour
l’agriculture commerciale ou pour combler le besoin en bois de chauffage et très souvent les forêts
subissent des coupes à blanc.

       Si l’on considère, par exemple, la forêt amazonienne qui subit de plus en plus de coupes alors
que son sol n’est pas propice à la croissance de la végétation. La végétation qui si trouvait alors était en
place depuis bien longtemps et était adaptée à son milieu mais il serait impossible de reboiser cette forêt.
Forêt où beaucoup d’espèces sont endémiques et plusieurs ne sont pas encore connue des

1
  ONU: Organisation des Nations Unies
2
  ONU, Déclaration de rio sur l’environnement et le développement, principes de gestions des forêts, http://www.un.org/french/events/rio92/rio-
fp.htm

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scientifiques. Ces espèces sont souvent des insectes (aussi des animaux mais il y a une diversité
beaucoup plus grande d’insectes) qui ne se retrouve que dans une espèce d’arbre qui elle ne se retrouve
qu’une fois aux cinq kilomètres et ce seulement dans cette forêt. Si cet arbre est coupé lors d’une coupe
à blanc, l’insecte qui y vit meurt et vu le nombre d’arbre qui sont coupés dans cette forêt il y a beaucoup
de disparition.
Tests effectués par les compagnies sur le terrain1
        Toutes les compagnies doivent tester leur produit avant de le mettre sur le marché et c’est une
pratique normale. Dans ce même esprit, lorsque le produit en question se trouve à être un pesticide, un
insecticide ou quelque chose de nuisible à l’environnement ou de gros (de la machinerie par exemple), il
faut tout de même le tester. Souvent, les compagnies qui ont à tester ce genre de produit le font sans
gène ni remord malgré le fait que leurs essais ont probablement détruit l’habitat de plusieurs espèces.
OGM2
        Les OGM3 permettent, dans le domaine de l’agriculture commerciale, d’avoir à étendre des
insecticides moins forts sur les champs de plants GM4 pour mieux résister aux attaques des insectes.
Par contre les champs de plants GM pour résister aux pesticides ont été modifiés pour que l’agriculteur
puisse étendre des pesticides plus forts pour mieux détruire les mauvaises herbes. La disparition quasi-
totale des mauvaises herbes de ces champs amène un autre phénomène ; la disparition des abeilles et
des autres insectes polinisateurs car ils n’y a plus de fleurs pour eux.

        Le danger principal que les OGM suscitent vient du fait qu’il serait pour le moment impossible de
les empêcher de se propager et de contaminer les espèces qui ne sont pas GM pour finir par les
remplacer complètement, même les compléments sauvages des espèces cultivés, comme le maïs,
seraient affectés et finiraient par disparaître ; ce qui n’est pas souhaitable car il faut pouvoir assurer un
relais génétique aux espèces aujourd’hui cultivé. Toute introduction d’une variante GM d’une espèce
quelconque (animale ou végétale) mène en peu de temps à la disparition de tous les individus non
transgéniques. C’est le lien principal entre la sixième crise d’extinction massive et les OGM.

Culturelles
Utilisation d’espèces en voie d’extinction comme aphrodisiaque
        Certaines espèces sont recherchées pour leur supposé vertus aphrodisiaques et elles sont
tellement sur-chassée qu’elles en viennent à disparaître. Par exemple, la baleine est chassée pour sont
huile et sa chair alors que le rhinocéros africain est chassé pour sa corne que l’on met à sécher et que
l’on réduit en poudre.
Indifférence des gens pour la majorité des espèces en voie d’extinction
       Beaucoup d’espèces en voie d’extinctions ne sont pas aussi mignonnes que l’est le Panda et
donc les gens ne voient pas l’intérêt de les aider car ils ne savent habituellement pas que toutes les
espèces, même si elles sont affreuses en apparence, peuvent apporter beaucoup dans des domaines
comme la médecine. Les être humains n’envisagent pas que les choses qui leur semblent hideuse
1
  GOUVERNEMENT DU CANADA, Soutenir l’environnement et les ressources pour les canadiens : miser sur le présent; assurer l’avenir,
http://www.environmentandresources.ca/default.asp?lang=Fr&n=8A53D13B-1
2
  APOTEKER, Arnaud, Du poisson dans les fraises. Notre alimentation manipulée, Paris, La Découverte, Science et Société, 1999, 230 pages
3
  OGM: Organisme génétiquement modifié
4
  GM: Génétiquement modifié

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pourraient leur être utile et peut-être un jour se verront-ils adossé au mur car une nouvelle maladie les
menacera et qu’ils n’auront rien tenté pour sauver la seule espèce qui aurait pu leur être utile pour
contrer leur fléau.

Climatiques
Changements climatiques
        Le réchauffement climatique est d’abord en bon chemin pour faire disparaître les ours polaire que
nous connaissons aujourd’hui car, comme les glaciers où ils vivent fondent, ils n’ont plus d’habitat et
devrons déménager donc, leurs gènes changeront et ils ne vivront plus de la même façon, ils
ressembleront surement de plus en plus aux ours brun que nous connaissons. Le réchauffement
climatique menace l’habitat de plusieurs espèces donc, leur particularité donc, il menace plusieurs
espèces.
Amincissement de la couche d’ozone1
        La couche d’ozone empêche une grosse partie des rayons du soleil qui sont nocifs pour les
organismes vivants de se rendre à eux, si elle s’amincit il n’y aura plus rien pour bloquer ces rayons
nocifs et les êtres vivants seront donc plus exposés à ces rayons ultraviolets nocifs.

Les conséquences
Économiques
Perte des éco-services2
       Les éco-services sont les services que les écosystèmes et leurs espèces rendent aux humains.
Ceux-ci sont essentiels, mais il est facile d’oublier qu’ils sont étroitement liés à la biodiversité et que nos
actes peuvent nous priver nous-mêmes de tous les avantages que les écosystèmes nous apportent.
Voici quelques exemples d’éco-services :
    & La purification de l’air et de l’eau que nous apportent les espèces végétales (c’est à notre survie).
    & La création et la conservation de sols fertiles (très utile pour notre agriculture).
    & La protection des côtes contre l’érosion.
La perte d’espèces nous ferait perdre tout ça et bien plus encore.
Perte des ressources forestières
         Lorsqu’il est question de la perte d’espèce, on parle aussi d’espèces végétales. En effet, il est
clair que ces espèces jouent un rôle vital dans l’économie de plusieurs pays, puisque c’est des forêts que
vient le bois servant à plusieurs applications telles que le bois d’œuvre, le bois de chauffage et plusieurs
produits dérivés. De la découlent donc plusieurs emplois possibles pour l’industrie. Évidemment, par
l’extinction d’espèce végétale (par la destruction de la forêt par exemple), les ressources en bois se
trouvent considérablement diminuées et les populations se retrouvent directement touchées.

1
  ELWINA, Le trou de la couche d’ozone d’amplifie, http://www.consoglobe.com/ac-environnement-biodiversite_2671_trou-couche-ozone-
amplifie.html.septembre2008
2
  CAMPBELL et REECE. Biologie, troisième édition, ERPI édition renouveau pédagogique Inc., 2007.

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Écologiques
Diminution de la diversité génétique
        Lorsqu’une population locale d’une espèce disparaît, il se produit un appauvrissement du
patrimoine génétique de l’espèce en question, et celle-ci peut entrer dans le cercle vicieux de la spirale
d’extinction. En effet, si certains gènes d’une espèce se perdent lors de l’extinction d’une certaine
population, il y a par le fait même la perte de l’adaptation qui s’est faite naturellement au cours des
années. Ceci peut remettre en question les adaptations futures de la prochaine population et peut
entraîner la disparition totale de l’espèce. En effet, étant donné que celle-ci sera moins bien adaptée à
son environnement par la perte de sa diversité génétique, sa reproduction sera davantage difficile et sa
mortalité croîtra. De cette façon, la population sera réduite, et peut-être finira-t-elle par s’éteindre, tout ça
à cause de la disparition d’une seule population locale.

        Or, il faut comprendre en quoi la diversité génétique est importante pour l’espèce humaine pour
ainsi mieux comprendre les effets de sa diminution. La diversité génétique permet aux espèces d’évoluer
au fil du temps et de donner des caractères nouveaux et utiles pour les humains. Par exemple, pour
notre agriculture, il est bon de voir comment les espèces végétales adoptent une résistance à la
sécheresse ou encore acquièrent des nouvelles qualités nutritionnelles. Par conséquent, une diminution
du pool génique peut rendre plus difficile et moins rentable notre agriculture.
Diminution de la richesse spécifique et déséquilibre des écosystèmes
         Tout d’abord, il faut comprendre que plus il y a d’espèces dans un écosystème, plus celui-ci est
stable, et plus il pourra se reconstituer rapidement. La richesse spécifique est donc importante, et
l’extinction de plusieurs espèces oblige celle-ci à diminuer considérablement. Le nombre d’espèces
stabilise un écosystème avec le réseau trophique que ces espèces construisent. Ainsi, toutes les
espèces d’un écosystème sont en relation entre elles et la perte d’une seule espèce peut en mettre en
danger plusieurs autres. Ainsi, si un écosystème ne contient pas assez d’espèces, il se déstabilisera.

       Or, non seulement le nombre d’espèces stabilise un écosystème, mais un écosystème stable est
important pour tempérer notre climat. En effet, les espèces végétales sont une source d’humidité vitale,
car leurs racines peuvent aller chercher l’eau jusqu’à plusieurs dizaines de mètres de profondeur ou de
distance. Ils tempèrent donc le climat pour nous éviter les gros chocs thermiques. De plus, ils agissent
comme coupe-vent. Pour vous donner un exemple, un sol dépourvu d’arbre renvoie l’énergie du soleil et
déshydrate l’atmosphère. Ainsi, la pression atmosphérique augmente, ce qui influe sur le déplacement
des masses d’airs et des tempêtes.

Sanitaires
Sécurité alimentaire
        Il va de soi d’affirmer qu’énormément d’espèces animales et végétales constituent la nourriture de
tous les peuples. En y réfléchissant bien, tout ce qui compose notre menu quotidien (ou presque tout)
provient de la nature et des espèces qu’elle contient. Il est donc évident que la perte de biodiversité est
une conséquence directe sur notre alimentation. De plus, non seulement les espèces sont de la
nourriture elles-mêmes, mais plusieurs aliments sont le fruit du travail d’espèces spéciales : les
pollinisateurs. Sans eux, nous pourrions oublier nos fruits et légumes.

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Médicaments
        Nous l’avons peut-être oublié, mais les espèces végétales sont de véritables merveilles pour les
mondes des remèdes. Elles contiennent des substances chimiques particulières qui peuvent épargner
bien des maux à l’espèce humaine. Pour vous donner une idée, 70% des plantes qui sont utiles au
traitement contre le cancer par le National Cancer Institute se trouvent seulement dans les forêts
tropicales. De plus, nous pouvons trouver une grande variété de plantes médicinales ici même au
Québec.

       Par exemple, il y a le sureau noir pour se guérir du rhume des foins ou encore la menthe poivrée
pour soulager l’eczéma, et bien d’autres encore. Évidemment, si une ou plusieurs espèces végétales
disparaissent, cela nous privera directement de plusieurs importantes médications. En outre, nous
ignorons sûrement le pouvoir de plusieurs plantes médicinales jusqu’à maintenant. Il est encore une fois
important de conserver la biodiversité pour ne pas passer à côté de ces merveilles.

       Aloes vera : combat la fièvre, favorise la cicatrisation, régénère les cellules, réhydrate et nourrit
les peaux sèches.

Les solutions
Scientifiques
Zoo et banque de conservation1
       Lorsque le cas d’une espèce devient très grave, elle est souvent placée dans un zoo afin de la
protéger et de lui permettre de se reproduire, c’est ce qui s’appelle la conservation ex situ. Toutefois, les
zoos ne sont pas de bons endroits pour les plantes, les invertébrés et toutes les autres espèces non
emblématiques. C’est pourquoi, il existe à San Diego une cryo-banque où sont répertoriés l’ADN, les
ovules et le sperme d’environ 3200 espèces animales. Là-bas, ils sont conservés dans de l’azote liquide
à -180°C. Pour ce qui est des végétaux, il existe des banques de graines où à la différence de la cryo-
banque, elles sont simplement conservées à une température et à un taux d’humidité contrôlé pour
empêcher la germination.
Insémination artificielle1 et 2
        Il est possible de faire une insémination artificielle à partir de sperme préalablement décongelé ou
encore de sperme fraîchement recueilli. Cette technique permet à des animaux d’une même espèce ne
vivant pas dans le même endroit de pouvoir avoir une progéniture. De ce fait, Hua Mei, un panda au zoo
de San Diego a vu le jour en 1999. Il représente pour les quelques 1000 pandas vivants encore
librement, un espoir de survie.

1
    ELIE, Marie-Pier., Fécondation in vitro, insémination artificielle…la dernière chance des animaux ?, Québec science, volume 40, numéro 2
(octobre 2001), p. 20 à 26.
2
    Zoo de San Diego, Création en 2008, Giant Panda Research Station , http://www.sandiegozoo.org/zoo/ex_panda_station.html

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Fécondation in vitro1
          Lorsque l’insémination artificielle ne marche pas ou ne donne pas de résultats significatifs, la
fécondation in vitro devient une solution envisageable. Grâce à celle-ci des espèces ayant un faible taux
de fécondité peuvent dans l’immédiat assurer leur descendance. Seul bémol, cette méthode doit être
faite en laboratoire spécialisés et coûte chère. Cette solution comporte aussi un autre côté, elle permet
l’utilisation de mères porteuses. C’est de cette façon que malgré un tragique manque de femelle, les
chats sauvages d’Afrique peuvent voir le jour grâce à l’utérus d’une race de chat domestique qui leur est
proche.
Clonage1
       Le clonage, bien qu’il ne soit pas tout à fait au point, est sûrement une solution éventuelle pour un
avenir dans lequel il ne serait quasiment ou simplement plus possible de faire se reproduire ensemble
les membres d’une même espèce. Toutefois, les individus nés du clonage ne sont rien d’autre qu’une
copie conforme du spécimen de base. À cause de problèmes de consanguinité, ils ne pourraient pas
procréer ensemble. Si l’on en arrive à cette étape l’espèce pourra pratiquement être considérée comme
déjà éteinte puisqu’elle ne survivrait pas sans la technologie humaine.
Réinsertion en milieu naturel2 et 3
        Avec les techniques scientifiques énoncées plus tôt, le but est de réinsérer des individus dans
leur milieu naturel afin que la pérennité de l’espèce soit assurée de façon naturelle sans l’intervention de
l’homme dans le futur. Au Québec, il existe des centres de réadaptation pour oiseaux, en outre pour le
faucon pèlerin. Pour les végétaux, ils existent des arboretums qui sont comme des serres où l’on fait
germer des plantes pour ensuite les planter dans leur forêt d’origine.

Politiques
Atteindre les objectifs de la convention sur la diversité biologique4 et 5
        Les objectifs de la convention sur la biodiversité sont clairs : « conservation de la diversité
biologique, l'utilisation durable de ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant
de l'exploitation des ressources génétiques. »6 De nombreux pays dont le Canada ont ratifié la
convention, mais dans notre cas, nous ne la respectons pas réellement. Le gouvernement a prit la
décision de déroger un temps soit peu de celle-ci. Face à cette indifférence aux problèmes de la
biodiversité, il faut agir et exprimer nos opinions au gouvernement pour qu’il prenne conscience de
l’importance du respect de l’environnement.

1
    ELIE, Marie-Pier., Fécondation in vitro, insémination artificielle…la dernière chance des animaux ?, Québec science, volume 40, numéro 2
(octobre 2001), p. 20 à 26.
2
    FADY, Bruno et MÉDAIL, Frédéric. Peut-on préserver la biodiversité ?, Éditions le pommier, France, 2006, 63 pages.
3
    FABIEN, Jean-Pierre, Création en Février 2002, À tire d’ailes, http://www.larevue.qc.ca/actualites_a-tire-ailes-par-jean-pierre-fabien-
n4713.php
4
    Convention sur la diversité biologique, Mise à jour en Novembre 2006, Article 1 objectifs,
http://www.cbd.int/convention/articles.shtml?a=cbd-01
5
    Convention sur la diversité biologique, Mise à jour en Novembre 2006, Canada - vue d’ensemble, http://www.cbd.int/countries/?country=ca
6
    Convention sur la diversité biologique, « article 1 objectifs », http://www.cbd.int/convention/articles.shtml?a=cbd-01

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Création d’espaces protégés1
        La conservation in situ, c’est-à-dire dans le milieu naturel, passe obligatoirement par la création
d’espaces protégés. Cette méthode est basée sur la protection à la fois de l’écosystème, des espèces et
leur diversité génétique. Elle concerne donc autant les espèces en voie d’extinction que les autres et
permet la continuité de la sélection naturelle. Il existe actuellement 102 000 de ces sites sur Terre.
Malheureusement, ils sont trop éparpillés, trop petits, trop peu règlementés et souvent cernés par
l’urbanisation. De plus, ils sont principalement choisis selon le peu d’intérêt économique qu’ils
représentent. Il faudrait bien au contraire les choisir selon la diversité qu’ils abritent et les adaptations
remarquables dont y font preuve les vivants. Il faudrait aussi qu’ils soient entourés de zones tampons
afin que les activités humaines ne si fassent pas trop sentir. En 1970, l’UNESCO a créé le programme
MAB (Man and Biosphere). Ce programme incite les populations à s’investir autant au niveau de la force
de travail qu’au niveau monétaire dans la conservation de leur propre milieu. Ainsi, les populations
touchées apprendre comment utiliser leur environnement de façon durable et comment le protéger.
Lois, punition et récompenses pour la protection des espèces en voie d’extinction2 et 3
        Afin de protéger les milieux naturels hébergeant des espèces en voie d’extinction, les
gouvernements ont recours à une multitude de méthodes. Le plus souvent ils fonctionnent à coup de lois
et de punition. C’est le phénomène du pollueur-payeur. Cependant, depuis quelques temps une nouvelle
approche basée sur le concept de récompense commence à faire ses preuves. Les entreprises qui
tiennent compte de l’environnement dans leur décision économique reçoivent des subventions spéciales
des gouvernements.
        Des économistes aux idéologies écologiques ont aussi eu une idée qui à la base était plutôt
farfelu parce qu’elle demandait beaucoup de travail, mais à qui on doit tout de même accorder de
l’importance, j’ai nommé les écotaxes. Selon cette idée, la valeur des atteintes faites à l’environnement
par un produit devrait être ajoutée à son prix de vente. Ils espéraient ainsi inciter les gens à acheter plus
vert. Certains ont même poussés l’idée au point de vouloir taxer les déchets au poids. En bout de ligne,
toutes ces mesures ont comme but de minimiser les dommages causés aux milieux naturels.

Individuelles
Écotourisme4
        Beaucoup de personnes pensent à tord que l’écotourisme est une alternative respectueuse de
l’environnement aux multiples forfaits tous inclus des hôtels peu soucieux de la nature. Pourtant, la
réalité est tout autre, il perturbe plus souvent qu’autrement le milieu naturel et contribue bien malgré lui à
causer l’extinction d’espèces sensées être protégées. Il faut donc opérer un changement radical au
niveau des cette pratique et non pas la bannir puisqu’elle est basée sur l’enseignement du respect de la
nature aux touristes qui en reviennent transformés. Il faut principalement diminuer le flot de visiteurs qui
débarquent chaque jour dans les réserves et parcs naturels.

1
    FADY, Bruno et MÉDAIL, Frédéric. Peut-on préserver la biodiversité ?, Éditions le pommier, France, 2006, 63 pages.
2
    SCIAMA, Yves, Préserver la biodiversité, Hors série Science et vie, numéro 243 (juin 2008), pages 116 à 122.
3
    PERSIAUD, Renaud, La stratégie du pollueur-payeur, Hors série Science et vie, numéro 243 (juin 2008), pages 144 à 150.
4
    SCIAMA, Yves, Préserver la biodiversité, Hors série Science et vie, numéro 243 (juin 2008), pages 116 à 122.

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Réduire son empreinte écologique1
        L’empreinte écologique est une technique pour chiffrer notre impact sur l’environnement. Elle
indique la superficie de la Terre dont un humain a besoin pour répondre à ses besoins. Ainsi si l’on divise
toute la surface de la Terre en fonction de chaque habitant, en ne laissant aucune place à la nature, on
obtient 1,7 à1,8 hectares par personnes. Alors que de nos jours les terriens utilise 2,2 hectares. Nous
vivons à crédit sur la terre. Il faut changer drastiquement nos habitudes : manger moins de viande,
manger bio et local, utiliser plus souvent les transports en commun, produire moins de déchets,
recycler…

Conclusion
         En conclusion, la 6e crise d’extinction concerne autant ceux qui en souffre comme les animaux et
la végétation que nous qui sommes les principales causes de cette problématique. Toutes nos activités,
comme déforestation et les tests effectués dans la nature. sont vraiment des causes dramatiques à
l’extinction des espèces. Si l’on ne veut pas que les écosystèmes s’appauvrisse et que l’on perde des
chances de trouver de nouvelle médication, il faut penser à des alternatives comme les clonages et la
fécondation in vitro. Le monde dépend de nos actions, c’est à nous de voir à la survit de notre biosphère.
         Si nous sommes privés par la disparition massive d’espèce nous pouvons maintenant imaginer ce
que ce sera pour les générations futures et nous dire qu’elles aussi ont droit au potentiel génétique des
espèces en voie d’extinction.
         «Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants.» - Antoine de
Saint-Exupéry

1
    MONNIER, Emmanuel, Nos besoins épuisent trop vite la planète, Hors série Science et vie, numéro 243 (juin 2008), pages 22 à 32.

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Référence
Livres

  1)     APOTEKER, Arnaud., Du poisson dans les fraises. Notre alimentation manipulée, Paris, La
         Découverte, Science et Société, 1999, 230 pages
  2)     FADY., Bruno et MÉDAIL, Frédéric. Peut-on préserver la biodiversité ?, Éditions le pommier,
         France, 2006, 63 pages.
  3)     LAROUSSE., Faune et flore : espèces menacées, espèces disparues, Larousse 2001, Larousse,
         2000.
  4)     CAMPBELL et REECE., Biologie, troisième édition, ERPI édition renouveau pédagogique Inc.,
         2007.

Revues et Périodiques
  1)     ELIE, Marie-Pier., Fécondation in vitro, insémination artificielle…la dernière chance des
         animaux ?, Québec science, volume 40, numéro 2 (octobre 2001), p. 20 à 26.
  2)     MONNIER, Emmanuel., Nos besoins épuisent trop vite la planète, Hors série Science et vie,
         numéro 243 (juin 2008), pages 22 à 32.
  3)     SCIAMA, Yves., Préserver la biodiversité, Hors série Science et vie, numéro 243 (juin 2008),
         pages 116 à 122.
  4)     PERSIAUD, Renaud., La stratégie du pollueur-payeur, Hors série Science et vie, numéro 243
         (juin 2008), pages 144 à 150.

Sites Internet

  1)     ELWINA., Septembre 2008, Le trou de la couche d’ozone d’amplifie,
         http://www.consoglobe.com/ac-environnement-biodiversite_2671_trou-couche-ozone-
         amplifie.html.septembre2008
  2)     GOUVERNEMENT DU CANADA., Mise à jour en Novembre 2007, Soutenir l’environnement et
         les ressources pour les canadiens : miser sur le présent; assurer l’avenir,
         http://www.environmentandresources.ca/default.asp?lang=Fr&n=8A53D13B-1
  3)     ONU., Mai 1993, Déclaration de rio sur l’environnement et le développement, principes de
         gestions des forêts, http://www.un.org/french/events/rio92/rio-fp.htm
  4)     IUCN., 2007 IUCN Red List of Threateaned Species, Mise à jour en Décembre 2008,
         http://www.iucn.org/about/work/programmes/species/red_list/index.cfm
  5)     WIKIPEDIA., Mise à jour en Novembre 2008, Extinction massive,
         http://fr.wikipedia.org/wiki/Extinction_massive
  6)     WIKIPEDIA., Mise à jour en Décembre 2008, Extinction des espèces,
         http://fr.wikipedia.org/wiki/Extinction_des_esp%C3%A8ces
  7)     WIKIPEDIA., Mise à jour en Décembre 2008, Liste rouge de l’UICN,
         http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_rouge_de_l%27UICN

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  8)   Convention sur la diversité biologique., Mise à jour en Novembre 2006, Article 1 objectifs,
       http://www.cbd.int/convention/articles.shtml?a=cbd-01
  9)   Convention sur la diversité biologique., Mise à jour en Novembre 2006, Canada - vue
       d’ensemble, http://www.cbd.int/countries/?country=ca
  10) Zoo de San Diego., Création en 2008, Giant Panda Research Station ,
       http://www.sandiegozoo.org/zoo/ex_panda_station.html
  11) FABIEN, Jean-Pierre., Création en Février 2002, À tire d’ailes,
       http://www.larevue.qc.ca/actualites_a-tire-ailes-par-jean-pierre-fabien-n4713.php
  12) L’herbier de bourgogne., Viola cryana, http://www.u-
       bourgogne.fr/serres/flore/article.php3?id_article=745

                                                                                                     16
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