Microbiote & souches bactériennes - Le point sur l'intestin & le rôle du Symbioflor 1 et Symbioflor 2 - Energetica Academy

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Le point sur l’intestin
    & le rôle du Symbioflor 1 et Symbioflor 2

lundi 4 mai 2015

                       Microbiote
                       & souches
                       bactériennes

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lundi 4 mai 2015
Le microbiote intestinal humain
                       (microflore intestinale)

                                De 10,000 – 100,000 milliards de
                                microorganismes; près de 10 fois
                                plus nombreux que nos cellules

                                 Bactéries, Archées, Eukaria (eucaryotes) et
                                                   virus (phages)
                                   Plus de 1000 espèces
                               différentes (170 par individu)
                                3 millions de gènes (150 X
                                                                Jusqu’à 2 kg
                                          plus)                                4

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                                 Microbiote intestinal humain

    Les bactéries dominantes du microbiote sont réparties en 3 phyla majeurs
    -Phylum Firmicute : 60-75% – Bactéries gram+,
    -Phylum Bacteroidetes : 30-40% – Bactéries Gram-,
    -Phylum Actinobacteria : 1-5% – Bifidobactéries
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           Microbiote varie dans lʼespace

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Nous sommes tous assez semblables mais loin dʼêtre identiques
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It was originally believe that the composition of the intestinal
microbiota was relatively stable from early childhood;
however, recent evidence suggests that diet can cause
dysbiosis, an alteration in the composition of the microbiota,
which could lead to aberrant immune responses.

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                   L'appareil digestif humain
  Bouche :                         Estomac :
  - Mastication                    - Brassage et mélange des
  - Sécrétion amylase              aliments
  = hydrolyse polysacharides       avec le suc gastrique
                                   - Sécrétion pepsine (protéase)
                                   et HCl
                                   - Présence d'O2, pH = 1-2

                                   Petit intestin :
                                   - Digestion (pepsine, protéases
                                   pancréatiques)
                                   - Absorption des nutriments
                                   (mono-
                                   osides, acides aminés,...)
                                   - faible O2, pH = 6-7
   Le tube digestif n'est pas un
                                   Gros intestin :
   environnement homogène          - absorption de l'eau, ions,
                                      ac. gras à courtes chaines
lundi 4 mai 2015                   - absence d'O2, pH = 5-7
L'appareil digestif humain
                            bouche

                   Le tube digestif est un système ouvert
                                ET DONC
                         colonisé par les bactéries
lundi 4 mai 2015

             Le microbiote intestinal
             humain Estomac :    Streptococcus
                           présence d'O2, pH = 1-2 Lactobacilus

                                                     Streptococcus
                           Petit intestin :          Lactobacillus
                                                      Bacteroides
                           faible O2, pH = 6-7
                                                    Enterobacteries

                                                        Bacteroides
                                                       Eubacterium
                           Gros intestin :           Bifidobacterium
                           Absence d'O2, pH = 5-7   Peptostreptococcus
                                                      Fusobacterium
   La flore bactérienne varie le long du              Ruminococcus
                                                        Clostridium
   tube digestif                                       Streptococcus
                                          Lactobacillus
   La diversité bactérienne est maximale Entérobactéries
   dans le gros intestin                                 21

lundi 4 mai 2015
Contrôle de l’environnement intestinal par le système
 immunitaire
                        Microorganismes commensaux ont un rôle important dans la
                        maturation du tractus intestinale et de son système immunitaire

                                             L’épithélium intestinal est composé de 3 barrières:
                                                              - barrière physique

                                                                 - immunité innée
                                                   (neutrophiles et defensines, TLRs et NOD)

                                                             - immunité adaptative
                                           (plaque de peyer, IgA sécrétoire, cellules dendritiques
                                                            Cellules T régulatrices)

                                       Equilibre entre surveillance immunitaire et tolérance
                                = absence de réponse contre la population bactérienne
                        commensale

                                             Homéostasie intestinale

lundi 4 mai 2015

  Le microbiote : un atout
■ Modulation immunologique (stimulation du
système immunitaire)
■ Apport en vitamines (vitamine B1, vitamine B2,
vitamine B6, vitamine B12 et K)
■ Aide à la digestion des éléments nutritionnels
(hydrolyse des fibres végétales avec répartition
des éléments minéraux et des oligo-éléments)
■ Approvisionnement de la muqueuse intestinale
en énergie (entre autres grâce à l’acide
butanoïque, usuellement appelé acide butyrique)
■ Stimulation du péristaltisme intestinal
(mouvements intestinaux)
■ Production d’acides gras à chaînes courtes
(acide butyrique, acide acétique, acide
propionique)
■ Détoxication des xénobiotiques (substances
industrielles étrangères à l’organisme, toxines)                 Science, vol 307, 2005

lundi 4 mai 2015
Le microbiote : un problème

•! Procarcinogènes ! carcinogènes
•! Opportunisme ‐ Translocation
•! Impliqué dans lʼobésité, le syndrome
métabolique et le cancer colorectal

Une microflore intestinale perturbée peut conduire à un
relâchement de la fonction de barrière et à un affaiblissement de
notre immunité, entraînant une augmentation du risque dʼinfection.
Une autre conséquence possible est lʼaugmentation de la
perméabilité de la muqueuse entraînant à son tour des
intolérances alimentaires et de surcroît une dégradation de la
muqueuse intestinale.
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                   Intérêt et rôle des bactéries gastro-intestinales
                    Initialisation colonisation nouveau-né: flore vaginale et fecale

  (enterobacter, streptococcus, staphylococcus métabolisent O2 favorisant la croissance
  anaérobique                    des Lactobacilli et bifido-bactéries;

                           Intérêt dans l’homéostasie intestinale

                     - favorise le développement de la RI mucosale,

                      - transport Ag à travers la barrière intestinale,

                       - Métabolisme glucidique et des acides gras

                                   - Production de vitamines

lundi 4 mai 2015
Introduction aux probiotiques

  Tous les micro-organismes n’ont pas le même potentiel inflammatoire

  Des différences significatives existent entre la flore intestinale de sujets sains et celle de
  sujets atteint d’affections intestinales

                       Modulation de la flore bactérienne intestinale:
                               - maladies inflammatoires de l’intestin
                               - diarrhées
                               - allergies (diminution des bifidobactéries dans l’intestin)

                         Résistance aux antibiotiques + faible nombre de nouveaux antibiotiques

                          Nécessité de trouver des traitements alternatifs =probiotiques

lundi 4 mai 2015

                                             Les probiotiques

                   Le terme “probiotique” vient du grec et signifie: “pour la vie”.

     Définition: ingrédients microbiens ingérés en quantité suffisante pour exercer
     des bénéfices de santé sur le consommateur

          Prévention symptômes intolerance lactose
                                                                             Genre:
         Prévention des diarrhées
                                                                          Lactobacilli
         Amélioration maladies chroniques inflammatoires                 Bifidobacteria
                                                                         Streptococci
         Prévention et traitement des allergies                           Enterococci
                                                                        Saccharomyces
         Traitement pour le cancer

           Probiotiques peuvent être administrés via yahourts, liquide, sachets et capsules

lundi 4 mai 2015
Historique

             Ancien testament: longévité d’Abraham associée à la consommation de lait

              Plinius, un historien romain (-76) recommande l’utilisation de produits fermentés
              laitiers pour le traitement des gastroentérites

              Début 20ème siècle: Elie Metchnikoff: les produits fermentés et consommés
              quotidiennement par les paysans bulgares: bonne santé et longévité

              1916: Nissle introduisit souches « fort index » E. coli dans la microflore intestinale
              pour prévenir les infections entériques (index = capacité de tuer S. typhi)

              Recherche sur Lactobacillus acidophilus pour le traitement de la constipation

              1985: Gorbach et Goldin isolent L. rhamnosus souche GG ou LGG
              = la plus étudiée

lundi 4 mai 2015

                           Mode d’action des probiotiques
                                    Probiotiques
                                                                     Prévention colonisation

                                                                     Prévention adhésion
                        cellulaire
   Organismes pathogènes
   (S. typhimurium, C. difficile)                               Prévention invasion

                   Lactobacilles
                   production acides et diminution du pH
                   production de bactériocines
                   production H2O2 (environnement aérobie              anaérobie)

 Renforcement des jonctions serrées

 Augmentation des mucines intestinales
 Activité antimicrobienne directe
 Modulation de la réponse immunitaire

lundi 4 mai 2015
Modulation de la réponse immunitaire par les
        probiotiques
      Réponse immunitaire innée                          Réponse immunitaire adaptative

  Lactobacilli reconnus par les macrophages             LGG
  et les cellules dendritiques                          Augmentation IgG, IgM, IgA

  TLR2, TLR9, TLR5                                      Renforcement réponse des Lc T CD4
                                                        contre les composants des bactéries
  Production de cytokines inflammatoires (Th1)          intestinales
  (IFN-!, TNF-", IL2, IL6, IL18)

  Production de cytokines anti-inflammatoires

                     Augmentation sécrétion cytokines immunosuppressives
                     Diminution cytokines pro-inflammatoires
                     Augmentation de PPAR-! (inhibition de NF-#B)
                     Induction de lymphocytes T régulateurs

                             Effets bi-directionnels des probiotiques

lundi 4 mai 2015

                        Caractéristiques des probiotiques

                   Vivant

                   Résistant aux conditions acides et aux sels biliaires

                   Colonisation épithélium intestinale

         Bifidobactérium: 25% colon adultes et 95% celui des nourrissons allaitants
         Produisant acides diminuant le pH de l’environnement

         Lactobacilli: inhibe croissance de bactéries pathogènes, produit bacteriocines, H2O2
         Lactobacillus rhamnosus GG (LGG) est la souche probiotique la plus étudiée

          Bactéries du yaourt: S. thermophilus et L. bulgaricus
          (meurent en grande partie dans la partie haute du tube digestif)

          Produit Symbiolact: mélange de bactéries lactiques (lactobacilles, bifidobactéries,
          un streptocoque); diminution inflammation de la muqueuse intestinale
          = effet de l’ADN via TLR9

lundi 4 mai 2015
Colon irritable
                          & Symbioflor 2

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lundi 4 mai 2015

•    Rectocolite
     hémorragique (RCH)

•    Maladie de Crohn

•    Colites
     indéterminées

•   Colites
    microscopiques
    (lymphocytaire et
    collagène)

lundi 4 mai 2015
Les Pistes Physiopathologiques
IBS =
     désordre immunitaire + facteurs d’environnement + facteurs
     génétiques
L’hypothèse étiologique actuelle
est celle de:
! maladies multifactorielles
  complexes,
! survenant chez des individus               immunologique
  génétiquement prédisposés,
! au cours desquelles une                                 microflore
  réponse immunitaire muqueuse       environnement
  anormale vis-à-vis de la
  microflore intestinale survient,
  déclenchée ou aggravée                           génétique
! par des facteurs
  environnementaux.

lundi 4 mai 2015

  DÉFINITION DU SYNDROME DE
  L'INTESTIN IRRITABLE

    Critères de Manning (1978) (Brit Med J 2; 1978: 653)
    WONCA (Soins primaires OMS) 1983
    Consensus Rome I (1989) (Gastroenterol Int 3; 1990: 159)
    WONCA 1998
    Consensus DGVS (1998) (Z Gastroenterol 37; 1999: 685)
    Consensus Rome II (1999) (Gut 45; 1999: Suppl. II
    Consensus Rome III (2006) (Gastroenterology 130; 2006)

    Points communs à tous ci-dessus:

    Syndrome de l'intestin irritable = douleur dans la région
    hypogastrique et fonction intestinale modifiée (diarrhée,
    constipation), toute cause organique pouvant être exclue

lundi 4 mai 2015
Intestin irritable : Douleur abdominale
         chronique             ,
           Ballonnement abdominal, Troubles du transit

lundi 4 mai 2015

   ÉPIDÉMIOLOGIE DU SYNDROME
   DE L'INTESTIN IRRITABLE

                                 15 %   13 %
                          13 %
                   13 %                        25 %

       17 %                                           17 %

lundi 4 mai 2015
Prévalence et incidence
      Autres observations concernant l’épidémiologie du SII
      Le SII survient le plus souvent entre 15 et 65 ans.
      Les patients se présentent chez le médecin pour la première fois le plus
      souvent entre 30 et 50 ans.
      Dans certains cas, les symptômes remontent à l’enfance.
      La prévalence du SII est plus élevée chez les femmes – même si par
      exemple cela ne se vérifie pas en Inde.
      On rapporte une diminution de fréquence chez les individus plus âgés.

      La prévalence du SII chez les enfants est semblable à celle chez
      les adultes.
      Les symptômes typiques du SII sont fréquents dans des
      échantillons de populations dites « saines ».

lundi 4 mai 2015

  Le syndrome de l’intestin irritable
  présente quelques caractéristiques :
  •   " Il nʼest pas associé à un risque accru de développer un cancer ou une
      maladie inflammatoire chronique intestinale ; il ne comporte pas une mortalité
  augmentée.
  " Les coûts directs ou indirects pour la santé engendrés par le syndrome de
  l’intestin irritable sont considérables.
  " Aucun substrat pathophysiologique nʼa été démontré à ce jour.
  " Un passage ou un chevauchement du syndrome de lʼintestin irritable vers
  d’autres troubles gastro-intestinaux tels maladie de reflux gastro-oesophagien,
  dyspepsie, constipation fonctionnelle peut se produire.
  " Le syndrome de lʼintestin irritable engendre habituellement des symptômes à
  long terme :
  - Les symptômes peuvent survenir de manière épisodique.
  - Ils peuvent être variables et être en rapport avec la prise de nourriture.
  - Ils peuvent perturber la vie quotidienne et les activités sociales des patients.
  - Ils peuvent parfois se développer à la suite d’une infection intestinale sévère,
  ou être précipités par des événements de la vie ou des périodes de stress
  considérable.

lundi 4 mai 2015
Sous-groupes de syndrome
                               de l’intestin irritable
       Selon les critères de Rome III et sur la base des caractéristiques des selles du
       patient,
       on distingue :
       Syndrome de l’intestin irritable avec diarrhée (DSII)
       Selles défaites >25% du temps et selles dures 25% du temps et selles molles 25% du temps
       Représente un tiers à la moitié des cas.

lundi 4 mai 2015

   Pour des raisons cliniques, d’autres classifications du syndrome de
                           l’intestin irritable

     peuvent être utilisées :
     Basées sur les symptômes :
     o Syndrome de l’intestin irritable dans lequel prédomine une dysfonction
     intestinale
     o Syndrome de l’intestin irritable dans lequel la douleur prédomine
     o Syndrome de l’intestin irritable dans lequel le ballonnement prédomine

     Basées sur les facteurs précipitant :
     o Syndrome de l’intestin irritable post infectieux
     o Syndrome de l’intestin irritable lié à l’alimentation (prise de
     nourriture)
     o Syndrome de l’intestin irritable lié au stress.

     Cependant, à l’exception du syndrome de l’intestin irritable post infectieux, qui est
     bien défini, la pertinence de ces classifications quant au pronostic ou à la réponse au
     traitement doit encore être démontrée.

lundi 4 mai 2015
Le type d’inconfort abdominal ou de douleurs abdominales:

     o La chronicité des symptômes
     o Le type de douleur : intermittente* ou continue
     o Les épisodes antérieurs de douleurs*
     o La localisation de la douleur. Chez quelques patients la douleur est bien
     localisée (par exemple, dans les quadrants inférieurs de l’abdomen), tandis
     que chez d’autres patients la douleur se déplace.
     o Soulagement de la douleur par la défécation ou le passage de gaz*
     o La douleur nocturne est inhabituelle et doit être considérée comme un
     symptôme d’alarme

     Autres symptômes abdominaux :
     o Ballonnement
     o Distension abdominale
     o Borborygmes
     o Flatulences

lundi 4 mai 2015

        La distension abdominale peut être quantifiée ; le
      ballonnement est un symptôme subjectif. En anglais,
    ballonnement et distension n’ont pas forcément la même
  physiopathologie et ne devraient pas être considérés comme
   des termes équivalents et interchangeables, même si dans
 d’autres langues ils peuvent signifier la même chose. En outre,
 les deux termes ne signifient pas forcément que la production
               de gaz intestinaux est augmentée.)

lundi 4 mai 2015
THÉORIES SUR LA PATHOGENÈSE:
                TROUBLE DE LA PERCEPTION VISCÉRALE
  Douleur (%)   (HYPERSENSIBILITÉ)

                                                                   Ritchie, Gut 1973; 14: 125
                                  Volume du ballon (ml)

lundi 4 mai 2015

                       Le syndrome de l'intestin irritable, un
                       événement post-infectieux?

                   Études non contrôlées
                 •Sur 38 patients atteints de salmonellose enteritidis aiguë, 12 (32%)
                 présentaient des symptômes après un an, ce qui correspond à un
                 syndrome de l'intestin irritable, sans qu'il soit possible de détecter un
                 pathogène (McKendrick et al., 1994).

                 • Sur 75 patients hospitalisés, atteints d'entérite aiguë de différentes
                 causes, 22 (33%) présentaient des symptômes du syndrome de
                 l'intestin irritable après 3 mois, et 26% après 6 mois (Gwee et al., 1996)
                 sans inflammation détectable.
                 • Sur 544 patients d'une ville où une gastro-entérite bactérienne
                 a été confirmée par microbiologie, 90 (16,5%) ont signalé encore avoir
                 des symptômes après 6 mois (Neal et al., 1997).

lundi 4 mai 2015
Le syndrome de l'intestin irritable,
              un événement post-infectieux?

    Épidémie d'entérite à salmonella en Catalogne, le 23 juin 2002 (fête de la
    St Jean): sur 9004 habitants, 1243 étaient infectés. Un an après, 0,7%
    des témoins présentaient un syndrome de l'intestin irritable et 2,6% une
    dyspepsie fonctionnelle, contre respectivement 10 et 13,4% des
    personnes infectées.

    Épidémie liée à E. coli dans l'eau potable à Walkerton, au Canada, en
    2000: 4315 habitants inscrits, 2069 classés comme personnes à risque,
    parmi lesquelles 1368 cas de gastro-entérite, 701 témoins. Après 2 ans:
    10,1% des témoins contre 27-36% des personnes infectées
    présentaient des symptômes du syndrome de l'intestin irritable (RR:
    4,8) ; facteurs de risque: genre (femmes: RR 1,5); durée de maladie (RR
    2,4 si plus de 7 jours)

lundi 4 mai 2015

      Intestin irritable: Divers traitements médicinaux

                         Agonistes des              Spasmolytiques
                           opiacés K

                              SSRI       Douleur        Antidépresseurs
                                                           tricycliques
                                                              (ATC)

          (Agonistes 5-HT4)                            (Antagonistes 5-HT3)
          problèmes cardiaques

                        Constipation                Diarrhée

                   Laxatifs                                      Lopéramide

lundi 4 mai 2015
RÉSULTATS, PLAN ÉCHELONNÉ
                            ANGLETERRE

    •    Stade 1
           – Antispasmodique pour la douleur
           – Laxatif pour la constipation
           – Lopéramide pour la diarrhée

    •    Stade 2
           – ATC ou SSRI
                   • Les antidépresseurs élèvent le seuil de la douleur, qui est
                     anormalement bas chez les patients IBS. Chez ces patients, une
                     motilité intestinale normale et, par exemple, un météorisme
                     modéré sont liés à la perception d'une douleur sévère.

    •    Stade 3
           – Psychothérapie après un an

lundi 4 mai 2015

lundi 4 mai 2015
SYMBIOFLOR 2 (1988-1989)
                                                                     ÉTUDE RANDOMISÉE, EN DOUBLE AVEUGLE,
                                                                               MULTICENTRIQUE

lundi 4 mai 2015

                                                                              RÉÉVALUATION ROME III
                                                                                      RÉSULTATS SGS ET SDA
                                                               Les chiffres parlent clairement pour Symbioflor 2: Pour le score SGS, le taux de réponses a été de 18,2%
                                                               (27/148) dans le groupe verum contre 4,67% (7/150) dans le groupe placebo. Pour le score SDA, la
                                                               préparation spéciale d'E. coli a montré un taux de réponse de 18,9 % (28/148) avec le groupe verum contre
                                                               seulement 6,67% (10/150) dans le groupe placebo.
                                                                                                                         Nombre de répondeurs positifs (absence de symptômes à 100%)
 Nombre de répondeurs positifs (absence de symptômes à 100%)

                                                                     score global des symptômes                                                                                        Score de douleur abdominale

                                                                                                                                                                                                    Nombre de consultations

                                                                         Fréquence (N) = Nombre de patients répondeurs (sans symptômes) avec médicament et placebo pour le
                                                                         critère principal, le score global de symptômes (SGS) et le score de douleur abdominale (SDA) aux
                                                                         différentes visites cliniques

lundi 4 mai 2015
RÔLE DE L'ACTIVITÉ DES
     MASTOCYTES CHEZ LES
     PATIENTS ATTEINTS D'IBS
  Preuves d’une activation des mastocytes chez les patients atteints d'un
  syndrome de l'intestin irritable résistant à la thérapie
  Références pour l'activation des mastocytes chez les patients atteints d'un syndrome de
  l'intestin irritable résistant à la thérapie

  T. Frieling1, K. Meis2, U. W. Kolck2, J. Homann2, A. Hülsdonk1, U. Haars1, H.-
  J. Hertfelder3, J. Oldenburg3, H. Seidel3, G. J. Molderings4
  1 Medizinische Klinik II, HELIOS Klinikum Krefeld, Germany
  2 Department of Internal Medicine, Evangelische Kliniken Bonn, Waldkrankenhaus,
  Germany
  3 Institute of Experimental Haematology and Transfusion Medicine, University Hospital
  Bonn, Germany
  4 Institute of Human Genetics, University Hospital Bonn, Germany

lundi 4 mai 2015

      RÔLE DE L'ACTIVITÉ DES
      MASTOCYTES CHEZ LES
      PATIENTS ATTEINTS D'IBS
           20 patients:
           19 des 20 patients ont présenté des symptômes liés
           aux médiateurs des mastocytes.
           Des paramètres de coagulation et de fibrinolyse liés
           à un accroissement pathologique de l'activité des
           mastocytes ont été détectés chez 11 des 12
           patients.
           Ce résultat est conforme à l'idée d'une contribution
           supposée de mastocytes activés à la
           physiopathologie de IBS.

lundi 4 mai 2015
lundi 4 mai 2015

     STABILISATION DES
     MASTOCYTES PAR
     SYMBIOFLOR 2
     Les résultats d'expériences in vitro et ex vivo
     montrent que des bactéries E. coli vivantes,
     non pathogènes, sont capables de stabiliser
     les mastocytes. Ces résultats confirment les
     possibilités d'application de Symbioflor 2
     pour des maladies présentant une
     hyperactivité des mastocytes (allergies et
     IBS).
lundi 4 mai 2015
Les indications pour l‘usage
             singulaire des produits
                       Colon irrité
        Douleurs non spécifiques de la part superieur du ventre

      Constipation/diarrhée/quantité anormale des défecations

                              flatulences

                        Symbioflor 2

lundi 4 mai 2015

                                                          52

lundi 4 mai 2015
Symbioflor 1

                                                    53

lundi 4 mai 2015

Peut-on vivre sans microbiote

                   D 004-0047 06.10.2004

lundi 4 mai 2015
Vitamine A & D determinent comment la flore interagit avec le système immunitaire

lundi 4 mai 2015

                       La flore intestinale
      • La flore intestinale est importante pour le
        developpement des structures
        lymphatiques et immunologiques.

      • Si la flore intestinale n‘est pas developpée
        les structures ne peuvent etre formées
        que rudimentaire. Ainsi elles ne peuvent
        efectuer ses fonctions que insuffisament.

lundi 4 mai 2015
La flore intestinale
      • Est-ce que les germes probiotiques ont –
        t- ils un effet direct sur les germes
        pathogènes ou est-ce que cet effet se
        reduit t-il a la formation des structures
        déterminées du système immunitaire
        pendant son évolution?

lundi 4 mai 2015

                   D 015-0079 21.06.2004

lundi 4 mai 2015
IN VIVO antagonisme des
                                                                                      bacteries dans de animaux
                                                                                           gnotophoriques
                                                 10,0
              Log. bacteries par gramme Faeces

                                                   7,5

                                                                                                                                                                 L. bifidus
                                                                                                                                                                 E. coli
                                                   5,0                                                                                          Nach
                                                                                                                                                Luckey
                                                                                                                                                (1965)
                                                   2,5

                                                                            0
                                                                                       1        2       4               6             10        14        21
                                                                                                        durée de l'experiement (jours)

lundi 4 mai 2015

                                                     IN VIVO antagonisme des
                                                    bacteries dans des animaux
                                                          gnotophoriques
                                                                                     10,0
                                                  Log. bacteries par gramme Faeces

                                                                                      7,5

                                                                                                                                                               Str. faecalis
                                                                                                                                                               E. coli
                                                                                      5,0

                                                                                      2,5

                                                                                       0
                                                                                            1       2           4                6         10            14
                                                                                                            durée de l'expériment(jours)

lundi 4 mai 2015
61

lundi 4 mai 2015

                   62

lundi 4 mai 2015
La Therapie microbienne
                            se compose de

        Probiotics
        médicales:
                                                                      Probiotique
        SymbioFlor 1                                                  pharmaceutiques:
        SymbioFlor 2                                                  SymbioLact
        Pro SymbioFlorregulation      immunitaire          stabilisation du milieu

lundi 4 mai 2015

             Les indications pour la TM
                   • Maladies avec une fonction immunitaire
                     insuffisante:
                      – Infections chroniques du tract gastro-intestinale et
                        respiration

                      – Maladies non infectieuses et perturbation du tract
                        gastro-intestinale

                   • Maladies en relation a des réactions
                     immunitaires excessives:
                      – Réactions immunitaires excessives peuvent etre une
                        des sources de la formation des maladies suivantes:
                          • Eczéma atopique, Urticaire,, Maladies allergiques de la
                            peau, Asthme bronchiale et allérgies alimentaires.

lundi 4 mai 2015
La thérapie microbienne avec les
           produits Symbioflor

                                       Indications:
                                       1.1.1 Activité immunitaire inadéquate!
                                       # Prise orale de probiotiques médicaux
                                       # la concentration en antigènes sʼélève
                                      dans les couches
                                      sous-épithéliales de la muqueuse
                                      intestinale
                                       # activation des lymphocytes $
                                      augmentation des anticorps
                                        ! activation des phagocytes
                                      $augmentation des cytokines
                                       # la fonction de barrière mucosale
                                      sʼaméliore par augmentation des igas
                                        ! les cytokines offrent une meilleure
                                      activité immunologique globale

lundi 4 mai 2015

                   Les effets de la TM
      • Consolidation de la microflore

      • Stabilisation de la fonction de transport de la muqueuse

      • Harmonisation de la fonction défensive par liberation des
        citoquines

      • Affaiblissement/réduction des réactions immunitaires
        excessives (IgE)

      • Augmentation/Renforcement de la immuneglobuline
        sécrétée A (sIgA)

      • Stimulation de la production d‘un antibiotique propre au
        corps ce qui est le ß- defensine 2.

lundi 4 mai 2015
Les indications pour l‘usage
             singulaire des produits
                       Infections aigues
                             Sinusite
                             Tonsillite
                            Bronchite
                              Rhinite
                               Otite
                       Infections grippales

                       Symbioflor 1
lundi 4 mai 2015

                     Usage locale
     • dans le nez (rhinite, sinusite)
           – 3x2 goutes dans chaque narine
     • sur le mamelon (mastite) par les mamans
       allaitantes
     • dans l‘oeil (conjonctivite)
     • inhalation avec des embrumer en cas de
       bronchite (pas de l‘air fin-inspiratoire)
     • dans la part extérieure de l‘oreille (otite)

                        Symbioflor 1
lundi 4 mai 2015
69

lundi 4 mai 2015

          Les indications pour l‘usage
             singulier des produits

   Prévention de la dermatite atopique

                   Pro-Symbioflor

lundi 4 mai 2015
Prévention

               Autolysat d‘ Enteroccoques et E-colis

                   1. semaine: 3 x 5 goutes / jour orale
                       dans 2 semaines augmenter à
                         3 x 20 goutes / jour orale

                              Pro-Symbioflor

lundi 4 mai 2015

                          Étude sur l‘allergie
                   Étude réalisé en Finlande en
                   1997/8
                   N =11.607 enfants entre 13 et 14
                   ans
                                                      Cause: ´meilleure
                   10%-20% = Asthma bronchiale        hygiene
                   15%-23% = Rhinite allergique       Moin de maladies
                                                      d‘infection
                   15%-19% = eczème atopique

lundi 4 mai 2015
Études
                   Group prise des probiotiques: affectés 23% (15/64)
                   Group placebo   affectées 46% (31/68)

                   • N = 132 de femmes enceintes
                       – Avec une prédisposition familiale (au
                         moin 1 parent/partenaire avec une
                         maladie atopique)
                           • 2-4 semaines avant l‘ accouchement
                           • 6 mois aprés l‘accouchement

lundi 4 mai 2015

                            Prévention a la allergie (étude de control
                            après 2 ans, The Lancet 2003)

                                46%

                                                                   26%

             N = 54         Placebo 25          N = 53           MSB 14
lundi 4 mai 2015
Risque d‘atopie pour les
      femmes enceinte

      • Les probiotiques peuvent reduir le
            taux d‘ allergie et le taux d‘
            accouchement prématuré
      • Lactobacterie qui produisent H2O2

lundi 4 mai 2015

      Atopie

      Lactobacteries (SymbioLact)

      Maman ! pendant 6 mois avant
       l‘accouchement
      bébé    ! pendant 6 mois après
        l‘accouchement

lundi 4 mai 2015
De la disposition a l‘infection au
      infection chronique
      Un enfant avec une disposition a la
      infection a:
      • Des infections nombreuses
      • Une muqueuse intacte
      • Souvent des infections a cause des
         virus
      • Surtout du mucus aqueux
      • Avec affection de seulement quelque
         parts de la muqueuse (p.e. nez)

lundi 4 mai 2015

      De la disposition a l‘infection au
      infection chronique

      Un enfant avec une infection chronique a:

      • Une muqueuse atteinte
      • Souvent des infections secondaires
        (bacteriens)
      • Du mucus purulent bloqué
      • Une capacité de travail réduite

lundi 4 mai 2015
Les infections
     Décharge de l‘ organisme
     • Accepter une inappétence et donner
       assez a boire   ! Détoxication
     • Repos au lit (balneothérapie)
       ! Budget énergétique
     • Support du système immunitaire
       ! p.e. Thérapie microbienne

lundi 4 mai 2015

             Maladies des voies respiratoires
               supérieures et inférieures

                                           11.12.2014, Herborn
                                                             1
                   D 005-0057 19.08.2004

lundi 4 mai 2015
Organes respiratoires

lundi 4 mai 2015

                      Voies respiratoires

   • Voies respiratoires supérieures:
         – Nez, bouche, pharynx, larynx, sinus
   • Voies respiratoires inférieures:
         – Trachée et bronches
   • L'ensemble du système respiratoire est une
    unité fonctionnelle, il est recouvert d'une
    muqueuse.
         – Les cils et le mucus sont importants pour l’épuration de
           la muqueuse

lundi 4 mai 2015
Les troubles sont quotidiens

                          Le battement des cils ralentit et l’épuration de la
                          muqueuse est altérée

lundi 4 mai 2015

                   Maladies des voies respiratoires
 • Maladies des voies respiratoires supérieures:
       – Rhume (rhinite)
       – Amygdalite (angine)
       – Inflammation des sinus (sinusite)
       – Inflammation du larynx (laryngite, croup, faux croup)

 • Maladies des voies respiratoires inférieures:
 • Bronchite
 • Bronchiolite
 •Pneumonie
 •Tumeurs
 • Asthme bronchique

lundi 4 mai 2015
Bronchite chronique -
                      à ne pas prendre à la légère

   •OMS :
     La présence d'une bronchite chronique
     peut être présumée quand un patient souffre
     de toux et d'expectorations pendant au
     moins 3 mois consécutifs par an,
     et ce 2 années consécutives.

lundi 4 mai 2015

                    Bronchite chronique -
                     à ne pas prendre à la légère

       •           La bronchite chronique est une maladie de
                                    l'adulte.
            - Les enfants en sont très rarement affectés.
            - 1/3 des cas aigus sont causés par une exacerbation de
           la bronchite chronique se développant sur une infection
           virale, rendant redondant un traitement par antibiotiques.
            - Compte tenu du pronostic et de la progression de
           l'obstruction chronique des voies respiratoires, la
           fréquence des infections aiguës prend une signification
           particulière.

lundi 4 mai 2015
Bronchite chronique
                             (causes)
    • Inhalation de fumée de tabac
    • Pollution de l'air
    • Exposition professionnelle
    • Chaleur intense
    • Infections fréquentes des voies respiratoires
      (p.ex. sinusite chronique récurrente)
    • Allergies et asthme

lundi 4 mai 2015

             Bronchite chronique
  L'importance de la prévention des rechutes

        Bronchite chronique non obstructive
                                                     Tabac
                                                     Infections récurrentes
                                                     (causées par bactéries ou virus)
         Bronchite chronique obstructive             Facteurs endogènes
                                                     (p.ex. déficience en IgA)

          Emphysème pulmonaire obstructif - hyperinflation

   Hypertonie pulmonaire        Insuffisance respiratoire

lundi 4 mai 2015
Bronchite chronique
    L'importance de la prévention des rechutes
             Suppression du mouvement des cils
             de l'épithélium cilié

             Dégénération des cils et
             transformation en épithélium pavimenteux

             Hyperplasie des glandes muqueuses
             Développement d'une hyperplasie des
             cellules caliciformes
              Infections fréquentes conduisant à une
              transformation ou un amincissement de la
              muqueuse ou de la sous-muqueuse
              Détérioration du mucus
              Collapsus de toute la région bronchique

lundi 4 mai 2015

                     Bronchite chronique
               Méthodes de traitement classiques
     • Médicaments bêta-2 sympathicomimétiques
           – Imitent l'effet d'adrénaline et
           noradrénaline = bronchodilatation
           (bronchodilatateurs à courte et longue durée d'action)
     • Médicaments parasympathicolytiques
     • Corticostéroïdes
     • Théophylline
         – Détend les muscles lisses, ouvre les bronches
     • Antibiotiques si infection bactérienne également présente
           – (p.ex. amoxicilline, tétracycline ou inhibiteurs de la gyrase)

lundi 4 mai 2015
136 patients avec réponse anamnestique établie et récurrence
        de bronchite chronique obstructive ont pris part à l'étude.
        Durée : 6 mois de traitement et 8 mois de suivi post-traitement.
        Posologie : 3x30 gouttes par jour

lundi 4 mai 2015

                                   66

                        39
                                   39
                        27
                                   27
                        12
                         12        27

                          39

lundi 4 mai 2015
Diagnostic de sinusite chronique

                                            Frottis de muqueuse nasale
                                            Écoulement nasal
                                            Évaluation de variation
                                            anatomique

                                            IRM, scan, échographie

                                            Questionnaire sur les
                                            symptômes

lundi 4 mai 2015

    Traitement conventionnel de la
          sinusite chronique
        Les médicaments suivants peuvent être administrés:
        •    Gouttes nasales décongestionnantes
        •    Mucolytiques, anti-inflammatoires et antipyrétiques
        •    Antibiotiques le cas échéant (souvent inutiles)
        •    Analgésiques
        •    Antihistaminiques le cas échéant

        Mesures auxiliaires/préventives pouvant être utilisées:
        •    Thérapies à micro-ondes et infrarouges
        •    Inhalation de chaleur/vapeur
        •    Acupuncture
        •    Irrigation nasale
        •    Apport liquidien augmenté (3-4 litres par jour)
        •    Hyposensibilisation
        •    Changement de régime alimentaire
lundi 4 mai 2015
Complications

  • Si non traitée:
  – Inflammation généralisée
        • Méningite
        • Formation d'abcès
  – Ouvre la voie à progression vers
    voies respiratoires inférieures
        • Voir bronchite chronique

lundi 4 mai 2015

        157 patients avec amnamèse établie et sinusite chronique, récurrente et
        hypertrophique ont pris part à l'étude.
        Durée : 6 mois de traitement, 8 mois de suivi post-traitement.
        Posologie : 3x30 gouttes par jour

lundi 4 mai 2015
Médicament actif seulement 1-3 rechutes
                                        Placebo 3-5 rechutes supplémentaires

 Fig 2: Nombre de patients avec une rechute ou plus
lundi 4 mai 2015

lundi 4 mai 2015
Résumé des deux études
                                       Bronchite et sinusite

      • Symbioflor1 offre aux thérapeutes un médicament probiotique
        très bien toléré, dont l'efficacité est éprouvée, et qui peut être utilisé
        pour combattre à la fois la sinusite chronique et la bronchite
        chronique.
      • Le système immunitaire est ajusté de telle manière qu'il peut lutter
        contre les infections sans soutien et, à la suite de ce traitement, les
        muqueuses endommagées peuvent présenter une restauration
        soutenue.
      • La therapie microbiologique par Symbioflor 1 est plus que
        simplement symptomatique - c'est aussi une auto-prise en charge.
      • La therapie microbiologique permet également d'économiser sur le
        coût des médicaments (comme les antibiotiques).

lundi 4 mai 2015

             Les effets du traitement par Symbioflor

       •    Renforcement de la microflore

       •    Stabilisation de la fonction de transport de la muqueuse

       •    Réduction de la réaction excessive de défense (IgE)

       •    Activation des cellules T et B
        -   Augmentation de l'activité des monocytes, granulocytes
                   et cellules NK
       •    Augmentation du composant sécrétoire de
            l'immunoglobuline A (lgAs)

       •    Stimulation de la production des ß-défensines 2
       •    Stabilisation de la flore intestinale
       •    Stabilisation des mastocytes

lundi 4 mai 2015
Conseils pharmacologiques pour
            la therapie microbiologique
       de la bronchite ou sinusite chronique
    • Bronchite/sinusite chronique
           – Symbioflor 1
                   •Dosage:    3x30 gouttes par jour
                   •Durée:     6 mois

           – Effets:
                   • Réduction de la fréquence des rechutes
                   • Augmentation de lgAs sur les muqueuses
                   • Économie sur les antibiotiques

lundi 4 mai 2015

       Conseils pharmacologiques pour
         la therapie microbiologique
  Infection aiguë et susceptibilité aux infections dans l'enfance

    • Infection aiguë
    – Symbioflor 1: 1-2 semaines
          • 4-6 x 30 gouttes par jour par voie orale
          • des gouttes nasales peuvent également être administrées
            3 x 2 gouttes (aux fins d'humidification)
          • peut être combiné avec p. ex. complexes
            homéopathiques
    • Susceptibilité aux infections
    – Symbioflor 1 pendant 2 mois en période
      sans infection.
          • 3 x 30 gouttes par jour pendant 2 mois

lundi 4 mai 2015
Conseils pharmacologiques pour
         la therapie microbiologique
                      Troubles associés aux antibiotiques

  • Troubles associés aux antibiotiques
  – Diarrhée induite par antibiotiques
        • Produits de levure ou bactéries lactiques
               – En fonction de l'antibiotique

  – Prévention de rechute
        • Symbioflor 1
               – 2 x 10-20 gouttes par jour pendant deux semaines
               – Après l'arrêt de l'antibiotique

lundi 4 mai 2015

           Conseils pour l'utilisation de
  •    Application topique nasale (rhinite, sinusite)
       3x2 gouttes dans chaque narine

  •    Application topique sur les mamelons (mastite) des mères qui allaitent

  •    Application topique sur l'œil (conjonctivite)

  •    Inhalation avec nébuliseur Pari-Boy contre la bronchite (pas inhalation
       finale)

  •    Application topique dans le canal de l'oreille externe (otite moyenne, chauffer
       le flacon dans la main avant utilisation)

  •    Pour se prémunir contre l'odeur distinctive de Symbioflor 1, il suffit de retirer le
       bouchon, le reposer sur le flacon, puis garder au réfrigérateur pendant une

lundi 4 mai 2015
Questions

                               105

lundi 4 mai 2015

                   Thérapies
                   synergiques

                               106

lundi 4 mai 2015
107

lundi 4 mai 2015
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