Mozart et les trois clés du Temple - Inspiration - Aspiration - Initiation

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Hubert Thébault

    Mozart
et les trois clés
  du Temple
 Inspiration - Aspiration - Initiation

     Un ouvrage paru sous la direction de
             Jacques Rolland
Chapitre 1

   « Eh bien moi, monsieur,
   je n’aime pas Mozart ! »
Mozart et les trois clés du Temple

  « Eh bien moi, monsieur, je n’aime pas Mozart ! »

   Au contradicteur exaspéré qui lui lança un soir cet avis péremptoire,
l’auteur de ces lignes ne put que répondre : « Comme je vous comprends.»

   Car il faut bien admettre qu’il y a de quoi n’en plus pouvoir. D’abord,
d’une façon générale, chacun a le droit de ne pas aimer la musique.
Mais, surtout, a-t-on jamais vu génie plus envahissant que l’enfant béni
des dieux ? Des cages d’ascenseur jusqu’aux sonneries électroniques
du xxie siècle, sans préjudice des dîners en ville où l’on bute régulièrement
sur quelque raseur prétendument éclairé qui s’est juré de faire admettre à
tous la supériorité du prince des compositeurs, Mozart est incontournable.
Il règne partout une sorte d’injonction latente : sa musique est divine.
Vous devez l’aimer. Point.

  Si vous ajoutez à cela que les marchands du temple ont mondialement
industrialisé Mozart et vendu jusqu’à l’écœurement la légende d’une
espèce de petit effronté déguisé en marquis d’opérette, faisant
démonstration de ses talents entre deux éclats de rire idiots et trois
jurons obscènes, il y a de quoi décourager les meilleures volontés.

  D’autant qu’il est dans notre nature de repousser ce que nous ne
connaissons pas, aussi simple et abordable que cela soit (ce qu’exprime
fréquemment la formule à la mode en ce début de xxie siècle : « on va pas
se prendre la tête », régulièrement utilisée aussitôt que quelqu’un tente
d’aller au bout de son propos ou de rendre compte de quoi que ce soit
de précis ou original).

  C’est pourquoi il semble utile de redire ici que l’amour de la musique
en général et de Mozart avant tout autre n’est pas obligatoire. La beauté
n’est ni définissable, ni rationnelle, ni idéologique. Elle ne s’impose pas.
Elle s’offre, elle frappe à toutes les portes, mais n’est pas pour autant
reconnaissable ni la bienvenue. Elle peut bien venir proposer ce qu’elle
veut, fût-ce une véritable jouissance esthétique, nul n’est contraint de lui
ouvrir.
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Chapitre 1 - « Eh bien moi, monsieur, je n’aime pas Mozart ! »

  Et faut-il ajouter, après le merveilleux Gabriel Fauré, que les chefs-
d’œuvre n’ont aucun besoin de ce respect sacré qu’on croit utile de
leur vouer et sous lequel ils étouffent jusqu’à susciter défiance et
découragement ?

  Ainsi, même chez Mozart, la musique se révèle infiniment plus séduisante
à celui qui la rencontre au hasard. Il faut se plaire à partir à sa découverte,
à la chercher en curieux disponible, à vouloir s’y plonger comme au bout
d’une longue marche on espère une cascade rafraîchissante.

  « Les plus grandes joies de mes sens ont été des soifs étanchées »,
écrivit André Gide. On peut avoir soif de Mozart et négliger de boire à sa
source. Et pourtant ! Comme une gorgée fraîche, sa musique est faite
pour couler en vous.

  Heureux les flâneurs qui partiront à l’exploration de son œuvre radieuse
sans rien en connaître, au hasard. Heureux les instinctifs et les cœurs
innocents qui reconnaîtront leur semblable en se laissant griser par les
notes de l’espiègle Wolfgang. Heureux ceux qui ont conservé ce qu’il
faut de fraîcheur enfantine pour demeurer sensible aux mélodies et aux
harmonies de celui qui alterna toute sa vie entre la joie la plus débridée
et les tourments les plus profonds. Heureux ceux qui sauront l’écouter
jusqu’au bout. Car Mozart demeura jusqu’à sa dernière heure ce que
son père avait fait de lui : un enfant qui doit émerveiller le monde. Fidèle
et obéissant à l’injonction de son seul maître, Wolfgang n’eut pour
première ambition, comme il le disait tout simplement, qu’une loi : il
voulut que sa musique soit belle. Et dans ce but, il en référa aux plus
hautes interrogations, faisant de sa vie une inlassable quête du beau et
du vrai. Curieux de tous les chemins initiatiques, Amadeus alla chercher
partout, et d’abord en lui-même, jusqu’au bout de sa mission, l’écho de
cette mystérieuse harmonie qui nous bouleverse aussitôt qu’on lève les
yeux vers les étoiles. Toute sa vie, il garda grands ouverts son cœur, son
âme et son imaginaire pour accueillir un message d’éternité et s’en faire
le meilleur traducteur, dans le langage universel qu’il parlait et écrivait
mieux que quiconque : la musique.
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Mozart et les trois clés du Temple

   Les pages qui suivent n’ont qu’un objectif : donner envie de Mozart. Ce
n’est pas en érudit que l’auteur trace ces lignes, mais en phénoménologue
passionné par l’exemple majeur d’un artiste qui a fait à l’humanité le
cadeau de tant de joies puisées à une source « divine » sur laquelle
il demeure fascinant de s’interroger, et par le prodigieux pouvoir d’une
musique qui nous donne l’intuition d’un « monde supérieur » dont l’écho
serait en nous.

 Nous tenterons donc de refaire ici son parcours initiatique, qui passe
par trois portes fondamentales. Ces trois clés, ces trois portes, ces trois
chemins peuvent se nommer : Aspiration, Inspiration, Initiation.

  C’est donc en visiteur respectueux qui découvre avec curiosité une
construction sacrée, loin de toute prétention académique, que nous
tenterons ici de mieux comprendre comment et pourquoi on a pu
surnommer Mozart « fils de la Lumière »…

  Comment, par exemple, parvint-il à surmonter tous les revers et les
chagrins, toutes les désillusions, les dettes permanentes et les épreuves
physiques tout en continuant de tracer, à marche forcée mais avec
une aisance surnaturelle, cette œuvre invariablement marquée par la
foi, l’espérance, la sérénité et la grâce ? Comment, en moins de trois
mois (juin à août 1788) réussit-il à composer à la fois ses trois grandes
symphonies (K. 543, K. 550 et K. 551), les trios K. 542 et K. 548, les
sublimes sonates K. 545 et K. 5473 et quelques autres pages encore…
dans un temps où la vie l’accable ? C’est durant ces quelques semaines
que, torturé par des douleurs dentaires, menacé de saisie, contraint au
déménagement4, ne sachant plus à qui emprunter, il supplie une énième
fois un frère franc-maçon5 :

3. Ces numéros précédés du fameux K font référence au catalogue Köchel. Internet permet
aujourd’hui de retrouver instantanément les extraits indiqués dans cet ouvrage, en reproduisant leur
intitulé dans la fenêtre d’un moteur de recherche.
4. Au total il a déménagé 13 fois ; la maison qu’on visite actuellement à Vienne est celle de 1784.
5. Lettre à Johann Michael von Puchberg du 17 juillet 1788. Ce marchand viennois reçut au total 21
lettres de « mendicité » de son cher ami Mozart, auquel il répondit par des prêts successifs, ou plutôt
des dons variant entre 30 et 300 florins, pour un total estimé à 1 400 florins.

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Chapitre 1 - « Eh bien moi, monsieur, je n’aime pas Mozart ! »

 « Quand je considère mes revers, qui ne sont certainement pas de
ma faute, je trouve que je mérite d’être plaint. Ayez l’affection fraternelle
de me secourir sur-le-champ […] car mon sort en dépend réellement…
Vous me connaissez trop pour douter de ma loyauté ; vous connaissez
mon existence, mes habitudes […] ».

   N’oublions jamais que le grand Mozart, réfugié permanent dans la lumière
de son art, passe presque toute sa vie dans les sombres soucis d’ici-bas.
Il n’est qu’un homme, souvent maltraité et payé d’ingratitude comme tant
d’autres. Aussi nous garderons-nous de sublimer le mythe par principe,
d’adorer la légende, de l’interpréter avec une poésie excessive, autant
que d’apercevoir du symbolisme partout. Trop de thèses fallacieuses ont
circulé, pour cause de fascination béate ou d’exploitation commerciale
d’un tel phénomène, sur le « mystère Mozart », « Mozart franc-maçon »,
etc. Redisons-le : il convient de dépoudrer le petit marquis d’opérette
auquel tant de fables ont réduit Amadeus, aussi injustement que l’on
a « réinventé » parfois ses sublimes mélodies pour les réduire à une
musique d’ambiance. À sa vie et à sa musique, il convient de ne rien
ajouter ni retrancher. Ses partitions et ses nombreuses lettres (près de
deux mille !) suffisent à dégager la véritable histoire.

  En somme, la question clé qui inspirera notre étude est celle-ci : au-
delà de son engagement maçonnique des dernières années, comment
et pourquoi ce génial artiste a-t-il engendré une œuvre à ce point capable
d’atteindre et d’émouvoir chacun ?

  En proposant au lecteur d’illustrer ponctuellement notre propos par
la réécoute de quelques-unes de ses plus belles musiques, cet humble
ouvrage se veut une invitation à la découverte des secrets intimes d’un
compositeur si éclairé que son œuvre de vraie lumière brille toujours d’un
éclat unique et n’en finit pas d’éblouir l’humanité.

                                                                                17
Mozart et les trois clés du Temple

          Ce portrait inachevé de Mozart au piano est une huile sur toile
               datée de 1789 peinte par Joseph Lange (1751-1831).
     Cet acteur, peintre amateur (et franc-maçon) avait épousé Aloysia Weber,
            sœur aînée de Constance et premier amour de Wolfgang :
                   le peintre était donc le beau-frère d’Amadeus.
      Constance Mozart affirmait, à la fin de sa vie, que ce portrait de Lange
                      était « de loin la meilleure image de lui ».

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Chapitre 2

         Ouverture :
     Et la lumière fut…
Mozart et les trois clés du Temple

  Choisissez un moment de calme absolu…

  Quelque part dans la campagne paisible, ou la nuit au fond de votre lit,
  ou dans l’ombre d’une chapelle déserte… et ÉCOUTEZ !

   Vous n’entendez plus rien. Et pourtant, l’air le plus silencieux est
en effervescence… Les vibrations sont partout : radios de Chine ou
d’Afrique, pubs télévisées, conversations des taxis, des avions ou des
satellites voyagent à chaque instant jusque dans les lieux très forts et
très couverts. Mais nous ne les entendons pas… parce que nous ne
sommes pas le bon récepteur. Et cependant, les vibrations sont là, dans
l’air. Ah ! si nous avions la faculté « magique » d’un téléviseur dont il suffit
d’ouvrir la source d’énergie pour qu’il révèle aussitôt les images invisibles
qui flottaient dans la pièce…

  Chacun de nous a-t-il jamais ressenti, sans les entendre, sans les
décoder, d’autres ondes invisibles : celles qui émanent, par exemple, d’un
endroit malsain ; ou, à l’inverse, les ondes apaisantes d’un environnement
harmonieux ? Lumière, chaleur ou froid, océans, musique… Tout se
résout finalement en ondes, d’amplitudes diverses.

   Il existe d’autres vibrations, plus subtiles et infiniment plus rapides que
celles du monde manifesté. Celles-là nous atteignent, nous affectent et
nous informent d’une autre tonalité que, sans la comprendre, l’esprit
peut percevoir, au-delà de nos sens et de nos logiques. Ces ondes-là
émanent d’un Absolu, source de tout rayonnement, de toute « vérité ».
Et tout nous invite à croire qu’il existe dans la sensibilité humaine des
formes subtiles, inconscientes, qui ne sont éveillées que par des formes
correspondantes... dont la musique est un exemple capital. Dès lors, la
Beauté, quand elle est pure et dépouillée des artifices de l’orgueil, a le
pouvoir de nous combler de joie, parce qu’elle nous met en contact avec
l’immatériel, avec l’éternel.

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Chapitre 2 - Ouverture : et la lumière fut…

  Le chemin vers la Connaissance – quête ultime des francs-maçons,
des artistes et de tout initié6 – consiste à vérifier perpétuellement, par un
travail inlassable et d’une absolue sincérité, cette Intuition de Lumière
éternelle qui brille en chacun de nous. Ainsi, tout initié est au service
d’une mission : celle d’appliquer son savoir-faire spécifique et son talent
personnel à discerner ce qui lui est demandé.

  Dès lors, le maître véritable qui se fait une vocation de travailler à ce
point peut s’immortaliser par son travail, par sa volonté inflexible de
laisser après lui un dynamisme de Bien.
  Cette volonté, ce chemin, ce parcours initiatique total entre l’intuition
et la mise en œuvre, ce formidable pari à l’échelle humaine de « rendre
visible les étoiles », c’est toute la destinée d’un certain Mozart.

  C’est l’histoire d’une courte vie, tout entière consacrée à traduire les
pulsations entre le monde de la matière et celui des vibrations supra-
sensorielles. Une vie à s’efforcer de rendre audible l’incréé. Une vie à
tendre l’oreille vers ce mystérieux métronome qui, dans le cœur des
hommes, bat la mesure entre l’intelligence, l’exploration scientifique, les
intuitions du cœur... et les échos de l’âme7. Une vie à chercher l’accord
parfait, à tenter de faire battre à l’unisson le cœur de l’homme – parcelle
de l’univers – et le pouls du Cosmos, pour donner à entendre comment,
au-delà du désordre apparent, les vibrations s’accordent.

  À propos de son ultime et somptueuse entreprise, le Requiem, pour
lequel Mozart puise au plus intime de sa foi, il écrit qu’il s’agit là d’une
œuvre « que la postérité étudiera et comprendra ».

6. On désigne par ce mot celui qui a parcouru un rituel initiatique ou, d’une façon plus large, celui qui
a suivi un enseignement, qui a particulièrement étudié un art ou une spécialité. C’est dire si le terme
convient à Mozart…
7. Rappelons que l’âme, selon Platon ou Aristote, n’était pas celle que, plus tard, l’église refusa
catégoriquement de reconnaître aux animaux, aux « sauvages », voire même aux femmes, dans un
esprit étroit de confiscation de l’étincelle divine au seul profit des hommes (blancs, de préférence).
L’âme, pour les grands philosophes antiques, est cette psyché qui anime tout ce qui est vivant. Elle
n’est pas immortelle, même si « l’âme est la substance première et le corps la matière ». Aristote
affirme qu’elle est capable de « se penser elle-même », et qu’une fois séparée du corps, elle se réduit
à son essence. « Et il n’y a que cela d’immortel et d’éternel » (Aristote : Peri psyché III, 5, 430a).

                                                                                                      21
Mozart et les trois clés du Temple

                                         ÉCOUTEZ
                    Requiem KV. 626 en ré mineur : Dies irae

        La très belle scène du film Amadeus de Milos Forman qui
        montre Salieri parachevant le Requiem sous la dictée d’un
        Mozart agonisant n’est qu’une fiction. Selon Constance (et
        aussi sa sœur Aloysia), c’est Franz Xaver Süssmayer8, élève
        le plus proche et ami fidèle, qui fut le dernier à échanger avec
        le compositeur sur l’achèvement du Requiem. Mais c’est à
        Joseph Eybler9 que madame Mozart fit d’abord appel pour
        terminer l’œuvre interrompue. Car elle tenait beaucoup à
        honorer la mémoire de son génial époux… Mais tout autant
        à conserver l’avance confortable qu’avait versée le facétieux
        comte Franz de Walsegg et à toucher le solde ! Maximilian
        Stadler fut également appelé à travailler sur l’Offertoire,
        mais les deux ayant renoncé, c’est finalement Süssmayer
        qui s’attela à la redoutable tâche de compléter la partition.
        Il manquait des pans entiers de l’œuvre : l’intégralité du
        Sanctus, du Benedictus (dont tout de même l’idée première
        a été retrouvée dans un cahier de Mozart), de l’Agnus-Dei et
        de la Communion. Le Kyrie et le Dies Irae sont les deux seuls
        mouvements écrits de la main de Mozart.

8. Né en 1766 à Schwanenstadt et mort le 17 septembre 1803 à Vienne, il fut chef d’orchestre et
compositeur. Dans une lettre de février 1800, il se dit « l’auteur de la plus grande partie du Requiem ».
9. Joseph Leopold Eybler (1765-1846) était un compositeur viennois qui fut, entre autres,
kappellmeister à la cour, mais dont les œuvres ne sont pas passées à la postérité. Ce proche de
Mozart fut victime d’une crise cardiaque en 1833, pendant qu’il dirigeait le Requiem…

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Chapitre 2 - Ouverture : et la lumière fut…

Les cinq premières mesures du Lacrimosa dans la « partition de travail ». En haut
à gauche, les parties des cordes de l’introduction ; en bas à droite le début de la
phrase vocale et du continuo, tous deux tracés par Wolfgang. En haut à droite,
Eybler pour « le dernier manuscrit de Mozart » à la Bibliothèque de la cour impériale
et royale. Au verso de cette page, sont encore écrites trois autres mesures…
Et la main de Mozart s’est arrêtée pour toujours.

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T able des matières

Prologue.............................................................................................. 2

Chapitre 1 : « Eh bien moi, monsieur, je n’aime pas Mozart »............ 13

Chapitre 2 : Ouverture : Et la lumière fut.......................................... 19

Chapitre 3 : Clé no 1, INSPIRATION, ou la question du don............ 25

Chapitre 4 : Trois clés d’un temple, mais lequel ?.......................... 33

Chapitre 5 : Clé no 2 : ASPIRATION…
       Le goût du travail et la leçon des voyages.............................. 45
       • Mozart, 3 ans, premiers petits pas....................................... 46
       • Mozart, 5 ans, premières œuvres, premiers concerts.......... 53
       • Mozart, 7 ans, première tournée européenne...................... 56
       • Mozart adulte : les aspirations de son temps....................... 60

Chapitre 6 : Clé no 3 : INITIATION…
       Ou le chemin vers la Lumière.................................................. 65
       • Franc-maçonnerie en Europe au temps de Mozart.............. 74

Chapitre 7 : Cadence
       Les œuvres maçonniques....................................................... 81
       • Thamos, roi d’Égypte, K. 345.............................................. 90
Mozart et les trois clés du Temple

Chapitre 8 : Cadence
       Traces maçonniques dans l’œuvre de Mozart........................ 91

Chapitre 9 : Les grands opéras...................................................... 97
       • Les Noces de Figaro K. 492.............................................. 100
       • La clémence de Titus K. 621............................................. 102
       • Don Giovanni K. 527.......................................................... 106
       • La Flûte enchantée K. 620................................................. 108

Chapitre 10 : Final.......................................................................... 117

Épilogue.......................................................................................... 121

Annexe 1. Le rituel de réception de Mozart...................................... 125

Annexe 2. Mozart, père naturel de La Marseillaise ?........................ 129

Annexe 3. Mozart : résumé d’une vie............................................... 133

Bibliographie.................................................................................. 137

140
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