ÉQUIPEMENT : La collection expédition de NEW ERA et THE - NORTH FACE

 
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ÉQUIPEMENT : La collection expédition de NEW ERA et THE - NORTH FACE
ÉQUIPEMENT : La collection
expédition de NEW ERA et THE
NORTH FACE
New Era, la marque lifestyle avec près de 100 ans d’héritage
sportif, dévoile sa première collaboration avec The North
Face, marque outdoor de premier plan.

Traversant le pont entre le streetwear et le survêtement de
sport, les deux marques se sont associées pour lancer un pack
iconique reconnaissant l’un des plus grands exploits de
l’histoire de l’escalade.

Escaladé pour la première fois en 1953, le Mont Everest se
situe entre le Népal et le Tibet, la frontière traverse
directement le sommet. Pour célébrer la première ascension
ÉQUIPEMENT : La collection expédition de NEW ERA et THE - NORTH FACE
historique et faire référence à la position spéciale de
l’Everest entre deux pays, New Era a développé écussons
expédition unique pour orner la nouvelle collection. Utilisés
traditionnellement comme souvenirs ou marqueurs d’une
ascension réussie, les écussons utilisent les traductions en
népalais et tibétain des noms donnés à la montagne –
respectivement Sagamartha et Chomolungma.

Inspirée du camp de base de l’Everest et de l’expédition elle-
même, cette collection de 6 pièces présente certaines
silhouettes emblématiques de la casquette de New Era, dont
deux 59Fifty Fitteds, deux 9Fifty Snapbacks, une 9Forty et une
Trucker Ajustable. Chaque style fait référence aux écussons
d’expédition uniques, aux couleurs vives originales ainsi
qu’au vestes en nylon résistante à l’eau qui ont été portées
par de nombreuses personnes ayant gravi l’emblématique
montagne.

La Collection Expédition sera lancée à partir du 14 novembre
sur www.neweracap.eu
ÉQUIPEMENT : La collection expédition de NEW ERA et THE - NORTH FACE
MOTO : Les quatre pilotes du
team FT RACING ACADEMY
La journée de sélection du team FT Racing Academy a eu lieu
avec succès le lundi 11 novembre sur le circuit du
Bourbonnais.

Trois roulages effectués sur une piste sèche puis mouillée ont
permis d’évaluer les huit pilotes en lice, sur trois Yamaha R3
préparées par la structure Tecmas.

Le jury, qui a pu mesurer leur degré de motivation lors de
plusieurs débriefings, a tranché après un choix difficile,
effectué autant sur leurs performances chronométrées que sur
leur capacité à évoluer et leur état d’esprit.

Les pilotes sélectionnés sont :
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Line Vieillard : 8 ans, en 1re année de faculté de biologie à
La Rochelle. 3e du championnat de France Pré-moto3 en 2019.

Maxime Roussillon : 15 ans, en seconde générale à Mâcon. A
débuté la vitesse en 2017.

Colin Drye : 16 ans, 1re STMG au Mans. A débuté la vitesse en
2017. 6e du championnat de France SSP300 en 2019.

Lucas Sassone : 16 ans, CAP maintenance moto à La Chapelle-
Saint-Ursin. A débuté la vitesse en 2019.

Le programme :

– 14 et 15 décembre à Fréjus : les quatre pilotes suivront un
stage physique et technique supervisé par Thibaut Gourin,
responsable de Race Experience School

– Décembre : bilan physique au cabinet du kiné Philippe Oler à
Tours

– Janvier 2020 : Stage sportif et de roulage

– Février 2020 : Roulage sur un circuit espagnol avec leur
moto de course

– 28 et 29 mars 2020 : Le Mans, première épreuve de la saison
de championnat de France SBK
VOILE   :  La   course                                  est
totalement relancée !
Journée à rebondissements sur « Brest Atlantiques » !

Alors que le Maxi Edmond de Rothschild a franchi mercredi à
13h16 l’archipel des Cagarras, au large de Rio, et qu’Actual
Leader s’apprête à le faire, Sodebo Ultim, qui avait pris les
commandes de la course, a rebroussé chemin en début de
traversée de l’Atlantique : Thomas Coville et Jean-Luc Nélias
ont choisi de préserver le bateau. De son côté, le trimaran
MACIF, en escale technique depuis mercredi soir, est revenu en
course à 17h10.

Après le trimaran MACIF, mercredi à 19h04, puis Sodebo Ultim
3, à 23h23, le Maxi Edmond de Rothschild est le troisième
trimaran à avoir enroulé ce mercredi la marque virtuelle de
Rio, passé à 13h16 (heure française) entre l’archipel des
Cagarras et la plage d’Ipanema. Franck Cammas et Charles
Caudrelier comptaient alors 13 heures et 53 minutes de retard
sur Sodebo Ultim 3 qui, suite à l’arrêt de MACIF à Rio pour le
remplacement du safran de coque centrale, avait pris les
commandes de la flotte dans la nuit.

Mais au moment où le Maxi Edmond de Rothschild mettait le cap
au sud-est, Sodebo Ultim 3, qui possédait alors 200 milles
d’avance sur lui, faisait subitement demi-tour. « Au vu des
conditions météo actuelles sur zone, Thomas Coville et Jean-
Luc Nélias ont décidé de temporiser. Ils étudient avec la
cellule routage à terre la meilleure route à prendre pour
rallier Cape Town dans le meilleur compromis
sécurité/performance », expliquait leur équipe.

Prévenu par Thomas Coville, le directeur de course Jacques
Caraës ajoute : « Ils ont estimé que les conditions étaient
trop rudes pour continuer sur cet axe sud-est, Thomas a
préféré rebrousser chemin pour préserver son bateau, il va
faire le dos rond avant de repartir ».

Les conditions en question ? « L’option qui se dessinait était
de descendre à l’avant d’une dépression qui se dirigeait vers
le sud-est, mais cela nécessitait de tenir des moyennes
élevées face à une mer formée, sinon tu finissais par te
retrouver bloqué au près entre la dépression et la limite des
glaces. Ils ont sans doute décidé de ne pas prendre le risque
pour le bateau », explique Christian Dumard, consultant météo
pour la direction de course.

« Brest Atlantiques » est donc totalement relancée, puisque
les routes du Maxi Edmond de Rothschild et de Sodebo Ultim 3
convergent, tandis qu’Actual Leader (Yves Le Blevec/Alex
Pella), qui approche ce mercredi après-midi de la marque des
Cagarras, devrait croiser le trimaran MACIF (François
Gabart/Gwénolé Gahinet). Ce dernier, après son arrêt mercredi
soir dans la Marina de Gloria, en est en effet reparti peu
avant 16h et est revenu en course à 17h10, après 21 heures et
26 minutes d’interruption.

ÉQUIPEMENT : PUMA lance sa
toute     première  montre
connectée
Au sommet de l’Empire State Building.

PUMA a organisé « la session d’entraînement la plus haute de
New-York » au sommet de l’Empire State Building pour présenter
sa toute première montre connectée, déjà récompensée par
plusieurs prix. Aux premières heures du jour, alors que le
ciel était embrasé par la couleur jaune, emblématique de PUMA,
75 invités (journalistes, influenceurs ou encore athlètes) ont
pu participer à une session d’entraînement HIIT, alternant
exercices explosifs et courte récupération. Tous ont pu tester
les fonctions clé de cette montre connectée, dont
l’application PUMATrac.

Disponible dès aujourd’hui, la toute première montre connectée
de PUMA fonctionne sous la technologie Wear OS de Google™.
Elle est dotée de la plateforme Snapdragon Wear 3100™ de
Qualcomm®. Dévoilée début septembre, lors du salon high-tech
IFA à Berlin, cette nouvelle montre connectée a d’ores et déjà
remporté plusieurs prix de la part de publications
technologiques et spécialisées.

Conçue pour aider les sportifs à s’entraîner, se motiver,
suivre leurs objectifs et rester connectés pendant l’effort,
la nouvelle montre connectée PUMA est l’une des plus légères
du marché, dotée du système d’exploitation Wear OS. Elle
associe le meilleur de la technologie et du sport dans un
design sophistiqué, aussi esthétique qu’agréable au poignet,
avec un boîtier ultraléger en nylon ajouré et aluminium. Son
bracelet, texturé en silicone assure une bonne adhérence au
poignet, tout en le laissant respirer pour transpirer le moins
possible pendant l’effort. Cette montre se décline en trois
coloris tendance. Autant dans son élément en salle de gym que
dans la rue, elle prouve que le style a toute sa place dans
les séances d’entraînement les plus poussées.

L’application pour les montres PUMATRAC, récemment lancée par
PUMA, permet de suivre ses courses sur le système
d’exploitation Wear OS de Google, en complément de
l’application mobile gratuite de fitness PUMATRA qui connaît
un franc succès. L’application suit les courses en extérieur
comme en intérieur, en mesurant en continu la distance
parcourue, la durée, le rythme cardiaque et les calories
brûlées : les utilisateurs peuvent découvrir en un coup d’œil
s’ils se maintiennent dans les objectifs. Ainsi, le téléphone
reste à la maison et la montre prend le relais.
La montre connectée PUMA offre également le choix entre
plusieurs cadrans interactifs, dont l’écran « Scorecard » qui
affiche l’heure, la date et le rythme cardiaque, et permet de
personnaliser les informations que l’utilisateur souhaite
consulter en un coup d’œil. « Reach » remplit le cadran de
cellules vertes (détail emblématique de la marque) dès que
l’on s’approche de son objectif quotidien d’activité, tandis
que « Heartrate » reflète la fréquence cardiaque au moyen
d’une longueur d’onde colorée. Enfin, dans « Bounce », les
données sont affichées dans un ballon de football ou de
basket-ball (au choix) rebondissant. L’utilisateur peut
également télécharger des photos de son compte Facebook ou
Instagram, pour les afficher directement sur sa montre
connectée – un moyen supplémentaire de personnaliser son
cadran et de rester connecté… et, surtout, de rester dans la
compétition.

La montre connectée PUMA, commercialisée au tarif de 279€ sur
puma.com, est également disponible auprès d’une sélection de
distributeurs.

Pour en savoir plus :
https://eu.puma.com/fr/fr/collections/performance/smartwatch

Cette nouvelle montre possède, entre autres, les
fonctionnalités suivantes :

     Un monitoring du rythme cardiaque dès que l’utilisateur
     bouge, dès qu’il transpire, avec Google Fit™.
     Un suivi GPS qui ne nécessite pas de téléphone en
     permanence. Le GPS intégré permet de connaître la
     position en temps réel, pour rester sur la bonne voie.
     Un Google Assistant™pour gérer les tâches du quotidien,
     paramétrer des rappels, et bien plus encore. (Attention,
     cette disponibilité du service variable selon les pays
     et les langues)
     La nouvelle appli pour montre PUMATRAC sous Wear OS par
     Google qui suit la distance parcourue, la durée, le
rythme cardiaque et les calories brûlées. Compatible
     avec Google Fit.
     La possibilité de se connecter à Spotify pour suivre le
     rythme tout en musique.
     Google Pay™ : Grâce à une puce NFC et à Google Pay,
     l’utilisateur peut effectuer des achats en boutique à
     l’aide de sa montre connectée. (Cette fonctionnalité
     n’est disponible que dans certains pays).
     Un point météo actualisé, en temps réel.
     Des applications d’entraînement permettant de
     synchroniser facilement les entraînements avec les
     applications compatibles.
     L’étanchéité de la montre.

Cette montre connectée propose également les notifications
smartphone, le suivi d’activité et peut se recharger
rapidement.
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