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PLAN DETAILLE Introduction I- Historique des télécommunications en Côte d’Ivoire 1) L’époque du monopole 2) La libéralisation II- L’avènement du téléphone portable en Côte d’Ivoire * Présentation du portable 1) Les opérateurs de la téléphonie mobile 2) L’expansion III- L’usage du portable : diffusion et intégration du portable par les ivoiriens 1) Adoption du téléphone portable en Côte d’Ivoire a) les innovateurs b) les premiers utilisateurs c) la première majorité d) la seconde majorité e) les retardataires 2) l’usage du portable a) usage prescrit b) usage construit IV- L’impact de la diffusion du téléphone portable en Côte d’Ivoire 1) Avantages du portable 2) Les inconvénients du portable sur le consommateur a) Au plan social b) Au plan sanitaire c) Au plan politique V- Perspectives au plan environnement 1) le life Maxx 2) journée nationale sans téléphone portable 3) Mesures pour limiter les effets nocifs du portable Conclusion Bibliographie Annexes 2
INTRODUCTION C’est en 1982 que commence réellement l’histoire de la téléphonie mobile. Né de la Conférence Européenne des administrations des Postes et Télécommunications (CEPT), le Global System Mobile (GSM) vient répondre à un besoin de vulgarisation des communications mobiles à partir des stations fixes. Rendue possible par le développement du numérique dans le traitement et la transmission des signaux, la téléphonie mobile dans les pays développés s’est d’abord répandue dans les sphères professionnelles avant de s’étendre à toutes les couches sociales. Le succès de cette innovation est relativement lié à ses avantages, ainsi qu’à sa compatibilité avec les valeurs de la société qui l’a vue naître. En Afrique et plus spécifiquement en Côte d’Ivoire, il est visible que cette innovation a envahi considérablement la société. Mais comment le téléphone portable s’est-il introduit en Côte d’Ivoire ? Qui en sont les adoptants ? Quel est l’impact de cette adoption à travers les changements opérés dans les pratiques sociales ? Les travaux de EVERETT ROGERS connus sous le nom de « diffusionnisme » et portant sur la pénétration des innovations techniques dans le tissu culturel vont nous servir de base pour faire l’étude de la diffusion du téléphone portable en Côte d’Ivoire. 3
I- HISTORIQUE DES TELECOMMUNICATIONS EN COTE D’IVOIRE 1) L’époque du monopole A l’instar de nombre de pays en développement, la Côte d’Ivoire a hérité du monopole public des postes des télécommunications lors de son accession à l’indépendance en 1960. Du fait de son caractère de service public, le secteur des télécommunications a été ainsi soumis à la gestion directe de l’Etat. Toutes les actions de développement du secteur jusqu’au milieu des années 1990 se sont déroulées dans le cadre de ce monopole public, quand bien même l’on ait observé une évolution notable des formes institutionnelles qu’il a revêtues. Ainsi, pour en améliorer les conditions d’exploitation et la rentabilité, l’Etat dès 1975, a confié la gestion du secteur des postes et télécommunications à une structure publique autonome, l’office des postes et télécommunication (OPT) et à une société d’économie mixte INTELCI en charge des télécommunications internationales. En 1984, l’OPT a été éclatée en 2 offices distincts chargés respectivement de services postaux (ONP) et des services de télécommunication (ONT) ; la société INTELCI sera alors dissoute. Ses activités ainsi que celles de la Direction Générale des Télécommunications (DGT) seront reprises par l'office National des Télécommunications (ONT) constitué sous forme d'établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC).Jusqu'en 1991, l'ONT , entreprise publique placée sous la tutelle et le contrôle technique du Ministère des Postes et Télécommunications, a exercé pour le compte de l'Etat, le monopole de tous les services de télécommunications , à l'exclusion du transport et de la distribution d'image qui relevaient de la Radio Télévision Ivoirienne (RTI). Une société d économie mixte CI-Telcom créée le 14 mai 1991 bénéficiera encore du monopole absolu pour le développement des infrastructures, la fourniture des services et 4
l'exploitation des réseaux. L'ONT s'occupera uniquement de la gestion du patrimoine. La privatisation de la société d'économie mixte CI-Telcom en 1997, mettra un terme au monopole public de la téléphonie de base. C’est donc à cette période que le marché sera ouvert aux trois opérateurs de téléphonie mobile que sont IVOIRIS, COMSTAR et TELECEL de LOTENY. 2) la libéralisation La loi N° 95-526 du 07 juillet 1995 portant code des télécommunications constitue la norme juridique fondamentale en vigueur dans le secteur. Cette loi a le mérite de libéraliser les télécommunications et de créer un nouveau cadre juridique, aux fins d’assurer une concurrence saine dans un secteur en pleine expansion. Ainsi, la privatisation de CI-Telcom, le 03 février 1997, intervient-il dans un contexte d’explosion internationale des télécommunications. Cet essor se manifeste en Côte d’Ivoire par un développement sans précédent des produits et activités liés au secteur des télécommunications : en occurrence l’introduction puis l’expansion de l’utilisation du téléphone portable. 5
II- L’AVENEMENT DU TELEPHONE PORTABLE EN COTE D’VOIRE Présentation du portable L e téléphone portable, également nommé téléphone mobile (ou simplement mobile et portable), « téléphone cellulaire » en Amérique du Nord, « natel » en Suisse, « GSM » ou familièrement « G » en Belgique, permet de communiquer par téléphone sans être relié par câble à une centrale. Les sons sont transmis par des ondes électromagnétiques dans u n réseau spécifique. On peut donc communiquer de tout lieu où une antenne de relais capte les émissions de l'appareil utilisé. NOMENCLATURE DU TELEPHONE MOBILE La technologie a favorisé une grande utilisation du téléphone portable. Cela s’est fait avec l’avènement d’opérateurs sur le marché ivoirien. 6
1) Les opérateurs de téléphone portable L’apparition de la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire se situe vers la fin de l’année 1996.ce sont COMSTAR, IVOIRIS et TELECEL qui les premiers ont commencé l’exploitation de ce marché. Après la disparition du premier et le changement de dénomination opérés chez les 2 autres, c’est l’entrée en scène de MOOV (du groupe Atlantique) qui entend bouleverser la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire. Un an plus tard, c’est au tour de KOZ (groupe COMIUM) de concurrencer les autres. Orange Côte d’Ivoire Créé le 29 octobre 1996 (IVOIRIS), l’entreprise compte aujourd’hui plus de 2 millions d’abonnés. Ces résultats probants en ont fait l’un des grands opérateurs économiques majeurs en Côte d’Ivoire. Conformément à la politique du groupe, le statut de franchise d’Orange-CI SA s’est traduit le 29 Mai 2002 par l’obtention de la marque Orange, de ses valeurs et de sa vision du futur. Plus 500 personnes reparties dans 7 directions travaillent au quotidien pour satisfaire les clients et leur apporter tout le bénéfice inhérent au changement, qu’il s’agisse de la qualité, du réseau, des tarifs, de l’accueil ou des services conçus pour leur faciliter la vie. Orange-CI est la première filiale du groupe à porter la marque sur le continent noir. MTN Côte d’Ivoire L’entreprise a vu le jour le 01 Juillet 2005, avec le rachat de la licence de Loteny par le groupe sud-africain M-Cell devenu par la suite MTN international. Depuis cette date, en application des dispositifs de la convention de cession, son capital social est de 2,865 milliards de FCFA repartie de la façon suivante : 51% sont détenus par MTN international et 49% par les autres actionnaires. Au 30 Novembre 2005, elle comptait plus d’un million d’abonnés actifs. 7
MOOV Côte d’Ivoire C’est une filiale du Groupe Atlantique. En effet, elle a été créée le 29 Juillet 2006. Elle compte aujourd’hui plus de 800 000 abonnés dont 650 000 abonnés actifs (kit activé). KOZ Côte d’Ivoire C’est une filiale du groupe COMIUM. C’est le tout nouveau réseau, il est là depuis juillet 2007 et revendique 280 000 abonnés. 2) L’expansion du téléphone portable Les opérateurs de téléphonie mobile ont développé trois principales stratégies de diffusion des portables. Tout d’abord, les premières tentatives ont consisté à la mise en place du système d’abonnement individuel. L’achat du téléphone cellulaire s’accompagnait d’un abonnement au réseau de communication qui sont les compagnies de services la distribution des appareils était exclusivement réservé aux opérateurs. Ensuite, est apparu le système d’abonnement groupé ou abonnement en entreprise qui était réservé au cadre d’entreprise. Cette méthode de diffusion était marquée par des mesures d’allègement forfaitaire comme la réduction du coût de la communication entre abonnés du même réseau. Toutefois, les freins à ces deux stratégies étaient les coûts élevés de la facturation et la cherté des appareils. Enfin, en vue de répondre à l’engouement du marché, va naître la stratégie du Prépayé. Ce service va donner un souffle nouveau au secteur dans la mesure ou il permet au client de sortir de la facturation par abonnement. Son apparition a été marquée par l’augmentation des abonnés à ce type de service. Par ailleurs, les opérateurs vont perdre le monopole de la distribution des téléphones portables. Aussi, pour contrer la montée du secteur informel (marché noir, petits revendeurs), se crée des points de distribution agrée ayant pour but de se rapprocher de la clientèle. En outre, le service prépayé par son adoption par les usagers va entraîner une chute du coût de la communication et du coût d’achat du portable. 8
Le tableau qui suit nous montre l’évolution du nombre d’abonnés aux réseaux de téléphonie mobile depuis leur entrée sur le marché. Années 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 A b o n n é s a u x 13549 36005 91212 257134 472952 730445 1027058 réseaux mobiles 9
IV- IMPACT DU TELEPHONE PORTABLE SUR LE CONSOMATEUR L’usage du téléphone portable s’avère d’une grande nécessité dans la mesure où il permet de communiquer à distance. Il permet aussi la création d’emplois à savoir la gestion des cabines téléphoniques, la vente des cartes prépayées, la vente des téléphones portables et toute autre prestation liée à l’usage de ces produits. Néanmoins, les inconvénients du portable sont manifestes à plusieurs niveaux car, son utilisation est à la base de plusieurs dysfonctionnements, aux plans, social, sanitaire et politique. Au plan social Nous observons une déshumanisation des relations en ce sens que l’on privilégie plus les appels téléphoniques au profit des visites de courtoisie, créant du coup une forme d’individualisme. Par ailleurs, l’usage du portable au volant reste une cause importante d’accident de la circulation. Aussi faut-il souligner que la nécessité d’avoir un téléphone portable a amplifié les cas de vols et d’agression. En outre, s’est développé autour de cette technologie un mensonge social concernant la situation géographique des correspondants. Au plan sanitaire L’industrialisation des sociétés et la succession continue des révolutions technologiques ont donné lieu à un accroissement sans précédent du nombre et de la diversité des sources des champs électromagnétiques (CEM). Ces champs électromagnétiques sont l’association d’un champ électrique en mouvement et d’un champ magnétique qui varient dans un temps et se propagent dans l’espace. Ils sont susceptibles de déplacer des décharges électriques, et sont caractérisés par plusieurs propriétés physiques dont les principales sont leur fréquence ou leur longueur d’onde, leur intensité et leur puissance. Sont exposés à la radiation, les populations situées à proximité de ces installations électriques ou de télécommunications émettrices soit domestiques, 10
soit urbaines ou professionnelles. La pollution électromagnétique peut interagir avec le corps humain : Le comportement de certaines cellules est modifié, la température de certains tissus est élevé du fait de la provocation d’une absorption d’énergie, il y a interaction avec des dispositifs médicaux. Il s’en suit donc une hypersensibilité électromagnétique, des dysfonctionnements neurologiques, hormonaux et immunitaires voire des processus tumoraux. Et qui plus est, le téléphone mobile utilise ces champs électromagnétiques dans une gammes de fréquences définies : les radios fréquences (RF), une matière vivantes contenant des charges électriques (ion molécule,…) et les matériaux isolants. Quand le tissu du corps humain est soumis à un champ RF, une partie du champ est réfléchie et l’autre pénètre dans l’organisme provocant l’énergie transformée en chaleur. Bien que ces appareils aient rendu notre vie plus sûre et plus facile, les champs électromagnétiques qu’ils émettent suscitent certaines inquiétudes quant aux éventuels risques pouvant en découler : fatigue, maux de tête, troubles du sommeil, étourdissements, troubles digestifs, palpitations, troubles pulmonaires ( le port du portable au niveau de la poitrine), troubles rénaux, des appareils reproducteurs ( quand on porte le portable à la taille), douleurs musculaires, l’anxiété, troubles au niveau du nez, de la gorge, des oreilles, troubles de la concentration et de la mémoire, des cas de cancers. Aussi la mise en place des antennes station relais et des technologies sans fil dans les zones publiques produit-elle des champs de radiofréquences (RF) auxquels le public est exposé. De même, les composants usagés mal recyclés constituent un réel danger pour l’environnement. Au plan politique La concession des licences pour pouvoir opérer dans un pays déterminé est l’un des moyens possibles pour obtenir la collaboration des sociétés téléphoniques en opération de contrôle de la part des gouvernants. Dans sa politique régulation et de contrôle des télécommunications, l’ATCI (Agence des Télécommunications de Cote d’Ivoire) ne joue pas le rôle qui lui à été 11
assigné. L’Etat qui perçoit des redevances de la part des opérateurs des téléphonies mobiles ne voit pas l’intérêt de prendre des mesures relatives à la sensibilisation des populations sur les risques qu’elles encourent à travers l’usage abusif du téléphone portable. Comme exemple, en 2006, l’Etat a perçu plus de cent milliards de francs CFA au titre de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) dont soixante-dix milliards de la part des opérateurs de téléphonie mobile. Au regard de ce qui précède, l’impact du téléphone portable sur le consommateur constitue un réel danger pour ce dernier. Il serait dans ce cas intéressant d’envisager des perspectives pour atténuer les conséquences sur le consommateur. V- PERSPECTIVES 12
1) Le Life Maxx Jusqu'à présent les antennes de déphasage étaient destinées uniquement aux téléphones portables. Il était urgent de trouver une solution pour réagir contre les différentes pollutions électromagnétiques modernes et toute la gamme de fréquences issues des nouvelles technologies qui font désormais parties de notre quotidien. Aujourd'hui cette solution existe, il s'agit d'un Compensateur Electromagnétique Universel Breveté. Son nom : " Life Maxx ". Il est destiné à tous les appareils : " Téléphone portable GSM, WiFi, PC, Ordinateur Portable, Téléphone sans fil, TV, etc. Le compensateur universel E.M. Life Maxx se présente sous la forme d'une fine plaquette adhésive de 25mm de diamètre à coller au plus près de la source polluante. Le compensateur universel E.M. Life Maxx est garanti 10 ans. Il ne demande aucun entretien, en aucun cas vous ne devez le couper ou le plier, son effet serait alors annulé. Le Life Maxx n'est pas un gadget, c'est un produit sérieux, une plaquette de protection miniaturisée qui se colle derrière votre Téléphone Portable. Un appareil capable de vous protéger ainsi que votre entourage des nuisances vibratoires par hautes fréquences. (protégez-vous même si vous n'avez pas de portable vous-même et protégez aussi vos enfants des portables des autres, comme vous les protégez de la fumée de cigarette qui est une autre forme de pollution plus "visible" celle-là). Fonctionnant sur le principe de compensation électromagnétique, l’antenne passive multifréquences Life Maxx s’adapte automatiquement à toutes les fréquences produites par les appareils issus des technologies « sans fils », rencontrées dans la vie quotidienne au bureau et à la maison. Life Maxx capte les ondes polluantes et émet une contre onde qui permet de rétablir instantanément l’équilibre énergétique des individus testés et limite ainsi les 13
effets biologiques liés à l’électrosmog. Les bios compensateurs Life-maxx sont disponibles dès aujourd'hui. 3) Adhésion à la journée mondiale sans téléphone portable En 2001, l’idée d’une journée mondiale sans téléphone portable a été lancée par l’écrivain français Phil Marso. C’est en référence au célèbre refrain de Nino Ferrer « Gaston y’a le téléphone qui sonne, y’a jamais personne qui y répond » que la date du 6 février a été retenue : c’est en effet, à cette date que Saint Gaston est fêté dans le calendrier français. L’organisation de cette journée ne sera pas une croisade contre le téléphone portable mais il s’agira d’une démarche « citoyenne » à l’occasion de laquelle sera crée un débat de réflexion autour des bouleversements que cet outil de communication a occasionné dans la société ivoirienne depuis son avènement. 3) Mesures pour limiter les effets nocifs du portable Bien que l’OSER (Office de la sécurité Routière) ait pris des mesures de réglementation de l’utilisation du téléphone portable au volant les usagers font fi de ceux-ci. Par conséquent, l’Etat doit, par le biais du législateur, promulguer des lois pour réduire les risques liés à ce phénomène. Vu les risques sur la santé encourus par l’exposition des populations au rayonnement électromagnétique des antennes relais, l’Etat doit prendre des mesures réglementant leur installation. Mettre un programme sur pied pour contrôler la littérature scientifique publiée sur les fréquences électromagnétiques, afin d’évaluer les effets sur la santé de l’exposition à ces fréquences. Le ministère de la santé procéder à une étude des risques sanitaires dus à l’exposition liés des champs radios fréquences et rayons électromagnétiques pour informer la population. Ainsi, l’Etat doit procéder a : 14
- réduire le nombre d’antennes relais - les délocaliser dans les zones inhabitées - sensibiliser la population sur les risques liés à la proximité des antennes relais - interdire l’utilisation du portable aux enfants de moins de quinze ans et aux femmes enceintes à cause de leur très forte vulnérabilité. CONCLUSION 15
Au terme de notre étude, nous pouvons dire que le téléphone portable a connu une réelle croissance dès son entrée dans les mœurs des populations ivoiriennes. Cet engouement manifesté par les populations vis-à-vis du portable n’est malheureusement pas, comme veulent le faire croire les gouvernants et même les concepteurs de cette technologie, source de développement. Cette innovation est plutôt source de maladies, de malheur et même de désordre. En effet, le fonctionnement du téléphone portable entraîne diverses maladies. En somme, l’avènement du téléphone portable en Côte d’Ivoire n’est nullement source de développement mais au contraire responsable du dysfonctionnement de l’organisme. BIBLIOGRAPHIE 16
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On distingue plusieurs types d’antennes relais, selon le territoire couvert et la densité de communication transmise : Les stations macro cellulaires, les plus courantes peuvent émettre à une puissance maximum de vingt (20) à trente (30) watts par bande de fréquence. En milieu rural, la puissance sera élevée pour couvrir des zones étendues (10-30km) sur un nombre limité de bandes de fréquence utilisateur, tandis qu’en milieu urbain, la puissance sera repartie sur de nombreuses bandes utilisateur dans un périmètre restreint (500 m). Les stations micro cellulaires ont une puissance moindre et sont utilisées pour couvrir les zones peu étendues de fortes densités d’utilisateurs, comme les gares et les centres commerciaux par exemple Les stations pico cellulaires sont installées à l’intérieur des bâtiments comme des bureaux. Le champ dans l’environnement se présente de la façon suivante : Strictement face à l’antenne, le champ à une distance d’un mètre d’une station micro cellulaire est de 50V/m. Les niveaux de références fixées par la recommandation européenne1999/519/CE sont de 41V/m à 900MHz à 1800MHz ; ces valeurs sont respectées au-delà d’une distance de l’ordre de 1,5m d’une station micro cellulaire, et de 2,5m d’une station macro cellulaire. En arrière de l’antenne, une plaque métallique réfléchit complètement les champs émis dans cette direction.Une distance de 50cm permet de garantir le respect des valeurs recommandées. Dès qu’on s’éloigne de l’axe en dessus ou en dessous(cas le plus courant,ces antennes étant habituellement disposées à une hauteur de 20m environ),le champ est au maximum de 1à 2V/m au voisinage immédiat de la station. Le faisceau émis est directionnel ; légèrement incliné, avec une large couverture de l’ordre de 90° à 120°et une couverture verticale de quelques degrés, il n’atteint le sol qu’à une distance de l’ordre de 20 à 19
200mètres selon la hauteur de l’installation et de l’inclinaison de l’antenne (voir schéma) Diffusion du faisceau électromagnétique depuis une antenne de macrocellule 20
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