Présentation des artistes - Epernay
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Présentation des artistes Contact presse : Aurélia Thille-Das Neves au 03 26 53 36 04 / 06 82 40 43 96 aurelia.thille@ville-epernay.fr
La quatrième édition du festival “Voi(x)là l’été !”, c’est un été de découvertes dans la Capitale du Champagne ! Au programme : des voix énergiques, singulières, poétiques, généreuses, insolites, désinvoltes, à travers des chansons actuelles, pop, rock, électro, classique, gospel, hip-hop, folk … Des spectacles variés et bien d’autres évènements pour petits et grands sont à découvrir dans les lieux emblématiques de la ville comme l’avenue de Champagne, le théâtre Gabrielle-Dorziat, l’église Saint-Pierre - Saint- Paul ou encore l’Orangerie Moët & Chandon. Les spectacles de Voi(x)là l'été !
Vendredi Jardin de l'Hôtel de Adrienne Pauly 19h Rock 06/07 Ville Les siestes Samedi Théâtre Gabrielle- acoustiques de 15h Sieste musicale 07/07 Dorziat Bastien Lallemant Mathilde est Mercredi Théâtre Gabrielle- revenue : Cabaret Pop/Rock/ 19h 11/07 Dorziat Jacques Brel Electro Vendredi 19h Eglise Saint-Pierre – Ensemble Voix a cappella 13/07 Saint Paul Perspectives Mercredi 19h Orangerie Moët et Trio de salon : De la Classique 18/07 Chandon tête au pied Vendredi 14h30 Palais des Fêtes Pascal Parisot – Chansons Pop 20/07 Chat, Chat, Chat Jeune public Les Clandestines : Samedi VIA ! Concert en 18h Place Bernard-Stasi Spectacle musical 21/07 mouvement Mercredi 19h Palais des Fêtes The Como Mamas Gospel 25/07 19h La Villa Ginette Hip-Hop Vendredi Parc de 27/07 l'Horticulture 20h30 Le Pied de la pompe Folk/Rock
LES ARTISTES ET SPECTACLES Adrienne Pauly – A vos amours © Yann Orhan Vendredi 6 juillet à 19h Jardins de l’Hôtel de Ville, Avenue de champagne (repli Théâtre Gabrielle-Dorziat) https://www.adrienne-pauly.com/ Auteure-compositrice, interprète et comédienne française, Adrienne Pauly revient sur scène avec son nouvel album. Après avoir suivi une formation au Conservatoire national supérieur d’art dramatique à Paris, la jeune artiste entame sa carrière dans la comédie dès 1997 dans Mauvais genre de Laurent Bénégui. Elle tournera notamment dans le film Au coeur du mensonge de Claude Chabrol (1999) puis dans La Bête de miséricorde de Jean-Pierre Mocky (2002). Fort de son talent, le petit écran lui ouvre également les portes, puisqu’elle y interprétera des rôles dans Le temps d’un éclair (1998), La Caracole (2000), Romance sans paroles (2002). Toutefois, sa carrière prend un véritable tournant en 2002 lors de sa rencontre avec Camille Bazbaz, chanteur et compositeur franco-libanais, qui lui transmet la passion pour la musique via le piano. Adrienne Pauly se détourne peu à peu du cinéma pour l’écriture et se lance dans la conception d’un premier album éponyme en 2006. « Adrienne Pauly », dont le single « J’veux un
mec » aux accents rock et au ton désinvolte, rencontre un vif succès auprès du public. Sur disque d’or, Adrienne Pauly sera doublement nommée aux victoires de la musique en 2007, dans les catégories « Album révélation de l'année » et « Artiste révélation de l'année ». A la fois élégante et destroy, l’artiste nous livre avec panache un album qui secoue la chanson bien élevée. Entre-temps, Adrienne Pauly repasse par la case cinéma avec le téléfilm remarqué La Tueuse (2010) et le film Bellamy (2009) de Claude Chabrol où elle remportera le prix du jury dans la catégorie Meilleur second rôle féminin au Festival Jean Carmet de Moulins. Et aujourd’hui, enfin, elle revient ! Après une période de déséquilibre charmant, Adrienne Pauly revient avec un disque puissant mais léger. Cette absence lui a permis d’écrire sur ses rencontres foireuses, ses détours, ses amours, ses désillusions … Sur la vie tout simplement. Avec « A vos amours », Adrienne Pauly nous revient toujours indomptée, attachante et incandescente. Quasiment inchangée ! Et c’est un plaisir de la retrouver. Distribution Chant – Adrienne Pauly ; Guitare – Daniel Marsala ; Claviers – Fred Scamps ; Basse – Klem Aubert ; Batterie – Guillaume Lefebvre La presse en parle : Untitled Magazine « Avec ses intonations à la Catherine Ringer, son physique à la Charlotte Gainsbourg et son look un peu destroy, Adrienne Pauly est une personnalité à part. Une vraie rockeuse au cœur tendre qui, à l’aube de la quarantaine, est en passe de réussir un beau come-back! » L’OBS « Ses chansons ont le charme rare de la déglingue » L’Humanité « Un disque libre et attachant » VSD « Enfin ! » Femme actuelle « Elle chante comme on parle à une meilleure copine, en cherchant la sincérité, la complicité plutôt que l’admiration. » « Celle-ci n’est décidément pas un modèle courant ». Télérama « Cette fille sort vraiment de l’ordinaire »
Les siestes acoustiques de Bastien Lallemant ©dessin : Charles Berberian Samedi 7 juillet à 15h Théâtre Gabrielle-Dorziat (place Mendès-France) Sur invitation gratuite à retirer à partir du 27 juin, 10h à la Médiathèque Simone-Veil https://www.bastienlallemant.com/note-biographique Né en 1972, Bastien Lallemant, auteur-compositeur et interprète est un passionné de musique dès son plus jeune âge. Il passe au conservatoire de Dijon pour y apprendre solfège, piano et flûte traversière. Adolescent, il se met à la guitare et participe à différents groupes de musique. En 1991, il débute des études d’arts plastiques à l’Ecole Nationales des Beaux-Arts de Dijon et obtient son DNSEP en 1998 avec félicitation du jury. En même temps, il est membre dans le groupe « Les joueurs de Biques », issu des Beaux-Arts de Dijon, avec lequel il autoproduira trois albums, Les Dents du Bonheur (1997), Entre l’Art et la Variété (1998), Les Cadeaux (2001). Bastien Lallemant y écrira ses premières chansons et donnera pas moins de 300 concerts en France. L’intention, déjà à cette époque, fut de créer une complicité avec le public en l’intégrant dans la représentation. C’est en 2002 que Bastien Lallemant se lance dans une carrière solo en signant un contrat d’artiste avec le label Tôt ou Tard. Naissent alors deux albums « Les premiers instants » (2003) et « Les érotiques » (2005). Son premier album laisse parler l’artiste, juste une guitare et une voix grave
pour déclamer sa poésie avec son chant nonchalant. En 2007, il quitte le Label Tôt ou Tard pour se rapprocher du Studio Acousti (Paris) et de son directeur Alain Cluzeau, qui lui propose de coproduire son nouvel album. Accompagné d’Albin de la Simone, de Bertrand Belin et d’autres musiciens, il enregistre « Le verger » (2010), inspiré du roman noir « Le verger ». Ce recueil de douze chansons à la manière de courtes nouvelles est unanimement salué par la critique. En 2011, il publie son livre « Une lentille dans les cailloux ». Parallèlement, il initie les « siestes acoustiques ». Ces « siestes » sont des sortes de concerts particuliers pour public endormi. Déjà 80 éditions et une centaine d’artistes et d’auteurs ont collaboré venus de milieux aussi différents que la littérature ((Brigitte Giraud, Olivier Adam...), la bande dessinée (Charles Berberian) ou le spectacle vivant (La troupe Les 26.000 couverts). Il est possible également de retrouver : Albin de la Simone, Bertrand Belin, JP Nataf, Jeanne Cherhal, Seb Martel, David Lafore, Holden, Peter Ban Poehl, Marie Modiano, Claire, Diterzi, Vanessa Paradis, Olivier Melano, Rodolphe Burger, Camélia Jordana, Vincent Delerm … Depuis 2011, il collabore avec le dessinateur et auteur de BD, Charles Berbérian pour des « concerts dessinés ». Avec eux, depuis 2010, Bastien Lallemant arpente des scènes plus ou moins visibles, mais bien vivantes : médiathèques, théâtres, festivals de littérature, Correspondances de Manosque, maisons de la poésie. Le but étant d’offrir une expérience sous le signe de l’imprévu qui renouvelle totalement la façon de concevoir un spectacle, aussi bien pour les acteurs de chaque représentation que pour les spectateurs qui passent ainsi de véritables moments d’intimités. Le concept est simple : le public est allongé sur des coussins et n’applaudit pas entre les chansons (par crainte de réveiller un potentiel voisin assoupi). Pour garder leur spontanéité, les siestes sont uniquement répétées le jour même, dans les heures précédant l’ouverture des portes. Le répertoire est composé aussi bien d’originaux que de reprises, de duos que de collaborations. Le public est donc chaleureusement invité à piquer du nez aux côtés de Bastien Lallemant qui réussit à créer une atmosphère unique. La presse en parle : Les Inrockuptibles « A ce Un million d’années qui classe immédiatement le quatrième album de Bastien Lallemant parmi les plus belles réussites de la chanson française contemporaine ». « Ce maître en ouvrage raffinés parvient encore donc à faire grimper ses exigences de plusieurs étages » Télérama « D’office, on pense à Gainsbourg, époque Melody Nelson, pour le timbre grave, la diction distinguée et nonchalante, les ponctuations musicales à la Jean-Claude Vannier. Un peu aussi à Dominique A et à Bertrand Belin, pour la monochromie de la voix et les ambiances énigmatiques ». Le Figaro « il interprète, avec délicatesse, des morceaux acoustiques pour un public en mal de sensations d'apaisement (…) Conteur exquis, Lallemant narre d'une belle voix grave, les tourments de l'amour »
FrancoFans « La note n’est jamais loin du mot, à fleur de peau. Les deux sont ici indissociables, tantôt épurée, tantôt plus orchestrée ».
Mathilde est revenue - cabaret Jacques Brel © Romuald Ducros Mercredi 11 juillet à 19h Théâtre Gabrielle-Dorziat (place Mendès-France) Idée originale Olivier Vaillant et Benjamin Benoît Pour le 40e anniversaire de la mort de Jacques Brel qui a lieu cette année, Olivier Vaillant et ses collaborateurs, Benjamin Benoît, Damien Buisson et François Malnovic rendent hommage à cet artiste iconique. « Mathilde est revenue – Cabaret Brel » est la nouvelle version du spectacle « Cabaret Brel », créée du 4 au 13 mai 2017. Créé en coproduction avec la Comédie de Reims, c’est à travers 18 textes que les artistes nous offrent une lecture « anti-nostalgique ». Cette relecture musicale et théâtrale d’une partie de l’œuvre de Jacques Brel, nous revient encore plus personnelle et intimiste. Ce spectacle, dont l’atmosphère demeure un peu sombre et mystérieuse, est porté par une musique minimaliste, qui permet de libérer les textes de l’empreinte incroyablement puissante et singulière de son interprète originel. A l’initiative du projet Benjamin Benoit, responsable du Bar de la Comédie, qui pour élaborer un rendez-vous musical inédit a tout de suite pensé à son coup de cœur artistique : Olivier Vaillant. Olivier Vaillant a plusieurs flèches à son arc : auteur, compositeur, interprète, multi- instrumentiste, arrangeur, réalisateur et illustrateur sonore. Ce Châlonnais de naissance manie aussi bien le classique, que l’harmonie jazz, l’informatique musicale tout en expérimentant les musiques actuelles et du monde. Producteur musical, il fonde Yung Records et se diversifie dans
tous les supports musicaux à l'image, le design et l'illustration sonores, pour des courts-métrage, films, films audio, publicitaires (tels que : Hypnose de Lancôme, L'instant Magique de Guerlain, Playboy London, Décathlon, L'Oréal, etc), ou bien encore des sites internet et albums. Pédagogue reconnu, il évolue notamment comme formateur en enseignement artistique auprès de la Cartonnerie ou le Centre National des Arts du Cirque. Benjamin Benoit et Olivier Vaillant avaient auparavant étroitement collaboré lors d’une reprise de David Bowie dans le Bar de la Comédie, quand la construction d’un projet local et d’une création participative virent le jour. Au-delà d’un cabaret, c’est un véritable studio d’expérimentions musicales où l’interaction vivante avec le public est importante. Le public devient le témoin d’un spectacle immersif unique, puisque tous les soirs celui-ci est différent. Dans ce spectacle, Olivier Vaillant – piano voix- est accompagné de Damien Buisson et mis en ambiance par François Malnovic pour une expérience qui touche au mystique. « Mathilde est revenue – Cabaret Brel » n’est pas qu’un concert de reprises. Ce sont des sons d’aujourd’hui, avec un univers résolument moderne et une esthétique particulière. Les morceaux choisis par Olivier Vaillant sont plus revendicatifs, plus sombres et personnels que les « gros tubes ». La volonté de « Mathilde est revenue » est « d’envoyer » Jacques Brel dans un autre décor, une autre époque. Permettre à des personnes non sensibles à Brel de voir ses chansons d’un autre œil. De les amener vers Brel, sans Brel. Distribution Piano/chant – Olivier Vaillant ; Guitare/arrangements – Damien Buisson ; Scénographie/ lumières/ mise en espace – Benjamin Benoit ; Production musicale /design sonore /programmation lumières – François Malnovic La presse en parle : L’hebdo du vendredi « Olivier Vaillant, ce Jacques Brel des temps modernes »
Ensemble Perspectives © Sandrine Expilly & André Caty Vendredi 13 juillet à 19h Eglise Saint-Pierre - Saint-Paul, rue de Magenta http://ensembleperspectives.com/fr/ Perspectives : cinq voix au service d’un seul instrument ! Créé sous l’impulsion de Geoffroy Heurard en 2011, l’Ensemble Perspectives est composé de cinq chanteurs dont le répertoire, s’étend de la Renaissance à la musique d’aujourd’hui. Issus de formations classiques (CNSM, Maîtrise de Radio France, CRR, Royal College of Music...), les membres de l'Ensemble Perspectives se rencontrent au sein de divers ensembles vocaux professionnels avec lesquels ils se produisent dans les plus grands festivals français et étrangers. Avec Ensemble Perspectives, la volonté consiste à explorer toute la richesse du répertoire a cappella, de Clément Janequin à György Ligeti en passant par Duke Ellington ou les Beatles. Dans une dynamique d’ouverture, les chanteurs proposent des programmes résolument éclectiques. Le nom du groupe n’a pas été choisi au hasard. Perspectives, un mot très actuel. Bon reflet de cette alliance entre le passé, le monde d’aujourd’hui et celui de demain. Perspectives, un mot qui traduit cette volonté d’ouverture, de trajectoires originales, en travaillant avec le même degré d’exigence une œuvre sacrée de la Renaissance, une chanson, une création contemporaine ou une pièce de jazz, au-delà des clivages stylistiques.
Le projet original de l’Ensemble Perspectives a pour objectif de mettre en lumière un programme varié rassemblant des œuvres de pays différents (du Brésil à la France en passant par l’Angleterre, la Norvège, l’Equateur, le Japon …), de langues différentes (de l’anglais au français en passant par l’allemand, l’hébreu ou encore le patois, pour exploiter la richesse des sonorités propres à chaque langue), ainsi que d’époques différentes (de William Byrd à la création contemporaine en passant par Monteverdi, Schumann, Poulenc et The Beatles ou Phil Collins, avec des arrangements « sur mesure »). Ensemble Perspectives a déjà donné plus de 90 concerts, enregistrés deux disques. En septembre 2017, l’Ensemble sort son deuxième album intitulé Songs of Experience, celui-ci reçoit un accueil très positif à la fois du public et de la presse. Ces cinq voix décloisonnent alors la musique en mettant des pièces en perspective, permettant ainsi la rencontre des oeuvres. Dans leur interprétation, elles nous invitent à imaginer et percevoir le concert autrement. Cet équilibre précis et cet alliage parfait créent un mélange de timbres idéals pour nous faire vibrer. Distribution Soprano –Mathilde Bobot ; ténor – Sean Clayton ; baryton – Mathieu Dubroca ; baryton-basse – Geoffroy Heurard ; alto – Marie Pouchelon La presse en parle : La Voix du Nord « Tant d'histoires offertes par cette association de voix remarquables... L'interprétation de Life on Mars! surprenante autant que délicieuse, suscite un intérêt qui va grandir au fil de part-songs originales et très maîtrisées. » The guardian «Whizzy... the a cappella vocal group Ensemble Perspectives Their finely balanced, blended voices and precision of tuning mean they sound good in everything.. » RCF Radio « L'Ensemble Perspectives sublime la voix ! Il s'agit d'une exhortation à l'excellence qui nous transfigure, nous transporte, nous transcende... » Europe 1 « Le pont naturel entre grande musique et musique populaire »
Trio de salon – De la tête au pied © Wolfgang Hennegriff Mercredi 18 juillet à 19h Orangerie Moët & Chandon, avenue de Champagne Sur invitation gratuite à retirer à partir du 10 juillet, 14h à la Médiathèque Simone-Veil https://www.salontrio-vonkopfbisfuss.com/pagedaccueil Au programme de ce trio de musiciens originaires d’Allemagne, des mélodies et des chansons françaises et allemandes des années 1920-1930 des compositeurs comme Claude Debussy, Kurt Weill, Gabriel Fauré. Raphaela Stürmer soprano, Waldemar Biscke à la clarinette et Katrin Düringer au piano, nous offrent un spectacle éclectique dont le registre s’étend de la musique classique jusqu’à l’expressionnisme, courant artistique particulièrement présent en Allemagne. Avec la formation voix-piano et clarinette, ils entendent bien se démarquer des autres groupes avec un style de musique de chambre très rarement visible sur les programmes de concerts ou de festivals. C’est de façon exceptionnelle que les trois artistes parviennent à parler des thèmes très souvent liés à la nature, l’amour, l’adieu et la douleur. La célèbre chanson de Friedrich Hollaender est au centre du répertoire auquel se consacre le « Trio de salon – De la tête au pied ». Avec la musique de Ralph Benatzky, Theo Mackeben et de Kurt Weill, ils ont à cœur de rendre l’éclat et la splendeur des grands théâtres de Berlin pendant
les « Années folles », et tiennent également à se rappeler des musiciens et des compositeurs juifs sous le régime nazi. Quand les membres du trio, Raphaela Stürmer, soprano à la voix touchante, douée d'un talent de comédienne certain, accompagnée au piano par le jeu sensible et cultivé de Katrin Düringer, et à la clarinette par le ton chaud de Waldemar Bischke, occupent la scène, c'est plus qu'une soirée musicale à laquelle nous assistons. C’est une véritable déclaration d'amour à une musique qui appartient depuis longtemps au passé. Composés d’éléments de comédie et de musique de chambre, le concert est empli de mélancolie. De par ces émotions, « Trio de salon » souhaitent faire (re)découvrir cette musique : une musique surprenante aux œuvres splendides et extraordinaires qui ne demandent qu’à être mises au jour. Distribution Soprano – Raphaela Stürmer ; clarinette – Waldemar Biscke ; piano – Katrin Düringer La presse en parle : Weinheimer Woche « klar, verträumt, spielerisch und kraftvoll » Trad. « grand art du chant » BNN & Rheinpfalz « feines, brillantes und exzellentes Klavierspiel » Trad. « le jeu fin, brillant et excellent du piano » der Klarinette « warmer, gefühlvoller Ton » Trad. « le ton chaud et plein de sentiments » Acher- und Bühler Bote « eine Überfülle an musikalischer Fantasie » Trad. « l’abondance de fantaisie musicale »
Pascal Parisot – Chat, chat, chat © Kika Tisba Vendredi 20 juillet à 14h30 Palais des Fêtes, Parc des Loisirs Roger-Menu Spectacle familial à partir de 4 ans Pascal Parisot est un artiste aux multiples facettes. Chanteur, auteur-compositeur, musicien, arrangeur, metteur en scène à la vie musicale hyperactive. Il débute sa carrière à la fin des années 1990. Et c’est à partir de 2009 que Pascal Parisot crée des spectacles pour enfants emplis d’humour et de finesse. Après ses albums sur les aliments (« Les Pieds dans le Plat »), les animaux (« Bêtes en stock »), et les Princes et Princesses (« La Vie de Château »), le voici de retour avec 12 chansons pop, loufoques et chaloupées ! Inspiré de ses deux propres chats, Blancki et Bambino, Pascal Parisot répondra dans un moment cha(t)leureux aux nombreuses questions qui nous animent... « T’es chat, tu manges, tu dors, tu bois… la vie de chat ça se résume à… chat. Non. À quoi rêve un chat ? … Sait-il danser le cha cha cha ?... le chat fait-il du yoga ? » Vous saurez tout sur les matous ! Distribution
Chant/guitare/ukulélé – Pascal Parisot ; batterie /percussions /choeurs –Jacques Tellitocci basse /clavier – Pascal Colomb La presse en parle : Refrains des Gamins du Festi’Val-de-Marne « Un spectacle musical entre humour léger et rythmes chaloupés ! » Le Parisien « Pascal Parisot, chanteur décapant » Télérama – 10 juillet 2015 « Le chanteur, qui réussit à plaire autant aux enfants qu’aux parents »
Les Clandestines - VIA ! Concert en mouvement © Olivier Ringenbach Samedi 21 juillet à 18h Place Bernard-Stasi www.lesclandestines.fr « Ode à la rue, au chemin, à la route. Là où sont nés les chants populaires. Chants de travail, d’amour, chants du départ … Chants en italien, en dialecte ou en albanais … Des Abruzzes à la plaine du Pô, de Naples à la Basilicate, chants de femmes et d’hommes en lutte. » Les Clandestines, ce sont neuf femmes. Neuf comédiennes, qui travaillent ensemble depuis 2001 sur l’improvisation vocale, le mouvement des corps, la mise en scène dans des lieux singuliers, le jeu de costumes, mais aussi sur l’humour et le décalage poétique. L’approche artistique n’est d’ailleurs pas si éloignée des arts plastiques. Avant d’investir les théâtres avec leurs deux spectacles dédiés, la compagnie s’est produite dans de multiples lieux alternatifs : galeries d’art, cafés et même jardins. Actuellement, la recherche de création est orientée vers le hors les murs et les espaces naturels et urbains comme avec leurs spectacles Loin/Lontano, Boots and Roots et Via ! Concert en mouvement. En 2016, les Clandestines renouvellent le répertoire, le mouvement et les images de VIA ! pour nous offrir un spectacle saisissant.
Neuf comédiennes se déploient dans l’espace public et chantent à pleine voix, convoquant ainsi la mémoire de ceux qui, par ces mêmes chants, ont exprimé leur aspiration à la liberté et à une vie meilleure. Si aucune comédienne n’est Italienne à la base, les Clandestines réussissent avec brio à transmettre toute l’émotion de ces chants populaires italiens. Comme un hommage par le biais de cet écho, la compagnie porte la voix des générations qui ont chanté ces mélodies dans la rue. Reprendre ces chants populaires, c’est faire entendre la parole de ces hommes et femmes. Parler des peines et des joies dans l’amour, de la condition des femmes, de la difficulté du travail au quotidien. Accompagnées par la contrebasse, la guitare électrique et la batterie, avec les musiciens Mathieu Goust et Vincent Posty, Les Clandestines s’approprient ce répertoire en lui donnant des couleurs nouvelles. Leurs pas et mouvements sont librement inspirés de danses traditionnelles, qui par la vitalité qu’ils communiquent, soutiennent les hommes et les femmes dans leur volonté de changer les choses, de résister collectivement et individuellement. Distribution : Comédiennes – Béatriz Beaucaire, Véronique Borg, Carole Breyer, Naton Goetz,Dominique Hardy, Anne Lemeunier, Virginie Meyer, Régine Westenhoeffer, Emmanuelle Zanfonato Percussions/ batterie – Mathieu Goust ; contrebasse /guitare électrique – Vincent Posty La presse en parle : DNA – Dernières Nouvelles d’Alsace « Les Clandestines ont su taper fort là où ça faisait du bien, au cœur, aux tripes, dégageant un flot d’exaltants sentiments. Avec la complicité d’un guitariste contre bassiste et d’un percussionniste, leur spectacle a fait mouche, provoquant l’enthousiasme d’un auditoire aux anges ». Skriber! « Les Clandestines offrent leurs voix, leurs mouvements, les lignes des ombres de leurs silhouettes (..). Elles invoquent un passé et un futur qui ne demandent qu’à être enfin réunis »
The Como Mamas © Aron Mercredi 25 juillet à 19h Palais des Fêtes, Parc des Loisirs Roger-Menu Originaires du village Como, dans le delta du Mississippi, trois chanteuses se sont réunies pour former le trio The Como Mamas. Ces deux sœurs et leur cousine nous livrent dans leurs interprétations un gospel très roots. Héritières d’un gospel authentique, Ester Wilbourn, Della Wright et Angelia Taylor ont vu leur destin changé lors de leur rencontre avec Michael Reilly dans les années 2000. Parti dans le sud, en suivant les traces du très célèbre ethnomusicologue Alan Lomax, Michael Reilly y découvre ces trois femmes élevées aux sons des chants d’église et des radios afro-américaines. Sous le charme de ce trio, il leur propose alors d’enregistrer un album dans leur église. Telle une cérémonie, les chansons sont brutes et captées sur le vif. Dans une région où l’esclavage et la ségrégation ont marqué l’histoire de ces hommes et de ces femmes, leurs chants habités résonnent comme des prières survoltées et des chants de lutte. En 2008, le label Daptone sort la compilation gospel a cappella « Como Now » puis « Get An Understanding » en 2013. En 2015, Ester Wilbourn, Della Wright et Angelia Taylor sortent pour la première fois de leur village Como afin de se rendre à Harlem, à New York. La participation du groupe à la Daptone Super Soul Revue au mythique Apollo Theater leur permet d’enregistrer un nouveau disque « Move Upstairs », accompagnés cette fois-ci de musiciens. Celui-ci est sorti le 19 mai 2017. Depuis, le trio parcourt le monde en propageant la musique traditionnelle américaine, bien différente d’un gospel dont on a l’habitude.
Ester Wilbourn est la principale chanteuse de nombreuses chansons avec sa voix puissante et rauque. Della Wright l’accompagne d’un ton plus doux comme chef spirituel des groupes. Tandis qu’Angelia Taylor, jeune sœur de Della Wright, retentit sur le son de The Como Mamas avec sa voix profonde. Ensemble, elles nous livrent une pépite de gospel, pur et authentique. Leurs voix créent un son collectif d’autant émouvant que chaque voix reste claire. The Como Mamas se révèle peu à peu comme la quintessance de la musique gospel d’aujourd’hui. Le fervent engagement pour la musique sacrée reste une évidence pour ce trio. Distribution Chant Lead – Angelia Taylor, Ester Wilbourn et Della Wright ; Guitare – Jacob Fussell ; Batterie – Wallace Lester La presse en parle : All about Jazz « The Como Mamas : Move Upstairs » « The Como Mamas are spiritual survivors, a throwback to the humble origins of the music, and their unwavering faith is being rewarded » Trad.The Como Mamas sont des survivantes spirituelles, un retour aux humbles origines de la musique, et leur foi inébranlable est récompensée ». Music Maler relief foundation « In this time when bad news is all too easy to come by, let the Como Mamas bring you the good news. » Trad. En cette période où les mauvaises nouvelles sont trop faciles à trouver, laissez les Como Mamas vous apporter la bonne nouvelle. Franceinfo-culturebox « Ici, retour à l’authentique, au brut de décoffrage, sans chichi. Retour aux sources du gospel : le negro spiritual, cette complainte entonnée par les esclaves dans les champs de cotons. En témoigne ce « Come out the wilderness », chant traditionnel acapella. Mais loin de cultiver l’austérité, le trio sait aussi se montrer entrainant et festif avec des tonalités rhythm & blues, comme sur le morceau titre. »
La Villa Ginette © Thimoté Costa Vendredi 27 Juillet à 19h Parc de l’Horticulture (repli : Palais des Fêtes –Parc des Loisirs Roger-Menu) https://www.lavillaginette.fr/ « La Villa Ginette, c’est pas d’la piquette », voilà comment présenter ce joyeux groupe de trublions ! A travers des thèmes insolites et des textes décalés, La Villa Ginette nous embarque dans leur univers. Leur crédo : la chanson Rap’n’Roll, fabuleux mélange de hip-hop et de chansons à textes. L’histoire du groupe débute en 2010. Né de la rencontre entre quatre musiciens issus d’univers différents, La Villa Ginette se compose de Sébastien Tricotelle (guitare électrique), Boris Buard (basse), Kevin l’Hermite (batterie) et Rémi Costa (guitare et chant). Rémi Costa, auteur- compositeur à l’origine du projet, nous livre ses humeurs dans des textes sarcastiques contant des histoires insolites de la vie quotidienne. La Villa Ginette sort un premier disque éponyme en novembre 2010. Suite à cette sortie d’album autoproduit et leur premier clip sur le titre « La Villa Ginette », le groupe a été lauréat du tremplin « Jeunes Talents 2011» soutenu par la Cartonnerie (SMAC de Reims) et a bénéficié d’un accompagnement tout au long de l’année 2011 en vue de professionnaliser la formation. En 2012, ils sont sélectionnés pour la Finale du tremplin ACP Manufacture Chanson (Paris) et la Médaille d'Or de la Chanson Française (Suisse). L’année suivante, le groupe est lauréat « Jeunes Talents Caisse d'Epargne ». Il sort un second album en décembre 2013, intitulé «Mamie Lascar » avec un clip sur le titre du même nom. Le projet prend alors une direction résolument plus hip-hop dans la composition tout en gardant dans les textes le second degré et l'esprit de dérision qui les
caractérisent. Avec ces nouveaux morceaux et son nouveau spectacle, la Villa Ginette sillonne les routes de France pendant 2 ans et sort un clip live début 2015 en reprenant (à sa manière) le titre « ta Katie t'a quitté » de Boby Lapointe. Après un nouveau clip « la Comptine (à la Kétamine) », le groupe sort un premier EP fin 2016 puis un troisième album « 30 Millions d’Amis » chez Inouïe Distribution fin 2017. Dans ce dernier opus aux couleurs hip hop, le crew, plus à l’aise avec l’électro, élargit son spectre musical. A leur compteur : plus de 250 concerts à travers l'Hexagone dont les premières parties de Caravan Palace, les Ogres de Barback, Raoul Petite, Soviet Suprem, Les Fatals Picards, Sinsemilia, Collectif13… entre autres, la Villa Ginette continue sa route dans les festivals et sur toutes les scènes de France et d’ailleurs. Distribution Basse électrique/chœur – Boris Buard ; Batterie/chœur – Kevin L’Hermite ; Guitare électrique/chœur – Vincent Roubach ; Guitare électro-acoustique/chant lead/claviers – Rémi Costa La presse en parle : Chronique dans le magazine FRANCOFANS n°68 « Si les refrains sont efficaces, les textes font mouche à travers un humour noir qui permet d’aborder certaines réalités – hip-hop décalé et provocateur – toujours fidèle au style rap’n’roll, le crew mélange hip-hop, jazz, chanson et rock (mais de façon moins acoustique qu’auparavant) » Nos enchanteurs (le quotidien de la chanson) « Séduit par des textes bien esquissés, joliment encrés, des personnages qui nous deviennent familiers, on se refait le parcours, de la plage 1 à la plage 12 » L’UNION « Une joyeuse bande, dont le répertoire ravit – on l’a constaté en concert – un public de 7 à 107 ans »
Le Pied de la pompe Vendredi 27 Juillet à 20h30 Parc de l’Horticulture (repli : Palais des Fêtes –Parc des Loisirs Roger-Menu) https://www.lepieddelapompe.com/ En 2018, Le Pied de la Pompe revient sur scène avec un quatrième album studio intitulé «Modernéanderthal» «Où va le monde que l'on dessine ? Est-ce que l'on sait où on va ? Le grand flow marketing ne brille plus aux éclats … La seule action que je maîtrise se trouve sur le bout de mes doigts » Cinq ans après un album « Légendaire », qui confirmait leur talent après « Ici ou là » (2010) et « On fait ce qu’on peut » (2008), Le Pied de la Pompe revient le pied au plancher. A l’origine d’un duo (Gérôme Briard et Erwann Cornec), le groupe est multi-instrumental en contact direct avec le public. Ces chansons jouées le pied au plancher, pour jongler à la fois avec les instruments et la pompe pour le rythme, ont inspirées l’étymologie du groupe. Jeu de mot qui témoigne le sens que Le Pied de la pompe aime mettre dans sa musique. Le troisième album leur a permis d’accueillir à leurs côtés : Fred Mariolles aux guitares. Depuis 2017, Le Pied de la pompe est rejoint par Xavier Girard (batteries, machines). Ensemble, ils accouchent de plusieurs compositions qui font toujours la part belle aux textes français dans une atmosphère folk /rock, festive, et inspirée.
Sorti le 7 mars 2018 « Modernéanderthal » est un souffle puissant au service des textes de Gérôme Briard qui nous livre avec ses acolytes un de ses albums les plus profonds et personnels. Le Pied de la pompe chante sans pareil le partage, l'espoir, l'indifférence, l'amour à sens unique, les douleurs de son monde et la réconciliation avec son semblable dans une ambiance où les arrangements folk côtoient les guitares incisives et l'énergie rock, âpre et généreuse du groupe. Distribution Chant / Guitares – Gérôme Briard ; Basse / chœurs – Erwann Cornec Guitares / choeurs – Fred Mariolle ; Batterie / machines – Xavier Girard La presse en parle : Le musicodrome « Le résultat est à la hauteur de nos espérances, à la fois soigné et percutant. La guitare, presque blues, confère une sacrée dimension quasi-atmosphérique au track » Culture Lozère « En résumé, Le Pied de la Pompe, combo au line-up unique, ne ressemble à aucun autre et rien que pour ça, il serait dommage de passer à côté. » Nos Enchanteurs « Dès l’envoi, l’envol du disque, c’est grand plaisir d’un son clair, dument identifiable, d’un groupe qu’on sait déjà ne pas confondre avec autrui, qui n’empreinte l’adn de personne »
Les films autour de « Voi(x) là l’été » Le cinéma Le Palace sera en travaux à cette période. Cinéphiles, retrouvons-nous en 2019 !
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