Projet de création de l'Institut National des Arts Martiaux et Energétiques Chinois
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Projet de création de l’Institut National des Arts Martiaux et Energétiques Chinois Objectif du projet L’objectif du projet est la création d’un institut dédié à la pratique des arts martiaux et énergétiques chinois dans le 13ème arrondissement de Paris ou dans les environs, accessible pour une grande diversité de pratiquants de tous âges, recherchant une pratique de loisir ou de compétition, allant jusqu’au haut-niveau. Les arts martiaux chinois, connus en occident sous le nom kungfu et en orient sous leur véritable nom wushu, regroupent les disciplines modernes sportives (technique, combat) et traditionnelles (wing chun, hung gar, danse du lion…), ainsi que les arts « internes » comme le taijiquan et le qigong. Du fait de cette diversité de disciplines et de sa popularité en Asie, les arts martiaux chinois constituent le deuxième sport le plus pratiqué dans le monde après le football, et pour cette raison, le wushu est l’un des sports candidats à l’Olympisme pour Paris 2024. En France, le wushu regroupe au moins 45 000 licenciés et il est reconnu par le ministère des sports comme discipline de haut niveau. Les résultats de l’équipe de France depuis 2009 vont d’ailleurs dans ce sens, avec depuis 2009 des champions du Monde et d’Europe en combat et en technique, juniors et séniors. Cependant, alors que les arts martiaux japonais disposent de dojos dans la plupart des villes de France, aucun espace municipal n’est dédié aux arts martiaux chinois en France, bien que la surface et le matériel de pratique soient très spécifiques. Cette absence de centre dédié est d’autant plus étonnante dans le 13ème arrondissement de Paris, où vit une importante communauté chinoise, dont peut voir de nombreux membres pratiquer dans les parcs et espaces verts de la ville, tôt le matin. La version sportive du wushu est mise avant par la Chine dans le cadre du soft power. En présentation aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008, il fait partie des 8 sports en lice pour devenir Olympique à Paris en 2024. Dans cette optique, il apparaît important que Paris, et la France, se dote d’un lieu d’entraînement pour les athlètes de l’équipe de France préparant ce type de compétitions internationales, et adapté aux spécificités de leur pratique. 1/14
La création de cet institut, le premier en France de ce type, permettra le développement et la démocratisation de la pratique loisir pour tous les âges (kungfu wushu, kungfu traditionnel, kungfu combat, danse du lion, taijiquan et qigong), tout en assurant des conditions d’entraînement de haut-niveau aux compétiteurs de l’équipe de France. Nous recherchons des conditions intéressantes qui pourraient être proposées par la ville de Paris ou la mairie du 13ème arrondissement pour la mise à disposition d’un local, permettant l’installation à plein temps des surfaces de pratique de compétition combat et technique. Ce local pourrait être aussi bien un local de la ville réaménagé en salle de pratique, ou bien un gymnase en structure légère construit dans un centre sportif du 13ème arrondissement. L’institut s’intègrerait dans un quartier de la politique de la ville du 13ème arrondissement, idéalement « Bédier-Boutroux », « Oudiné-Chevaleret » ou « Kellermann – Paul Bourget ». Une association sportive sera créée dans le 13ème arrondissement avec pour mission de s’occuper du développement des activités et de la vie associative de l’institut (charges, salaires des intervenants, gardiennage, entretien et propreté des locaux, achat du matériel etc…) tout en assurant le lien avec les collectivités (mairie, département, région, fédération, ligue etc…). Par ailleurs, les différents porteurs du projet sont prêts à apporter jusqu’à 100 000 euros sur fonds propres pour l’aménagement initial de la salle et le matériel. 2/14
Présentation des porteurs du projet Ce projet est le fruit d’une collaboration entre 7 athlètes parisiens et amis, membres ou ex- membres de l’équipe de France de wushu et des membres de la communauté chinoise du 13ème arrondissement. Cet échange est né de nos rencontres lors d’entraînements en extérieur au centre sportif Georges Carpentier, dans le 13ème arrondissement, et de cette passion commune pour les arts traditionnels chinois. L’absence de structure municipale dédiée à nos disciplines nous semblait paradoxale dans ce quartier, surtout lorsqu’on observe le nombre de pratiquants dans ce centre sportif qui est devenu, du fait de son emplacement, un haut lieu de la pratique des arts martiaux chinois. Nous avons donc décidé de nous mobiliser. Léo Benouaich et Xie Han sont les deux principaux porteurs du projet, auxquels s’ajoutent 9 autres pratiquants et professeurs de qualité. Nous sommes aujourd’hui tous impliqués dans le développement des différentes disciplines des arts martiaux chinois, et les diverses compétences acquises dans nos vies professionnelles contribueront au dynamisme et au rayonnement de ce nouvel institut. Léo Benouaich Léo Benouaich, 29 ans, est champion du Monde de wushu 2017, champion d’Europe 2012, membre de l’équipe de France depuis 2005 et inscrit sur la liste ministérielle des sportifs de haut niveau « élite ». En parallèle de sa pratique sportive, il a poursuivi des études d’excellence : normalien de l’ENS de Lyon, professeur agrégé en biologie et docteur en biomécanique du sport. (article de presse sur ce lien) Il s’est aussi investi dans le domaine associatif et fédéral : il est diplômé d’Etat (DEJEPS), titulaire du 4ème DUAN de wushu et a été nommé depuis peu entraîneur de l’équipe de France. Il a fondé en 2009 et dirigé pendant 8 ans le club Kungfu Wushu Lagny, installé dans un ancien entrepôt industriel à Lagny-sur-Marne et aménagé par les membres du club en un gymnase pouvant recevoir du public (norme ERP). Cette jeune association figure depuis plusieurs années à la première place des compétitions nationales et internationales et constitue une réelle expérience pour le développement du projet présenté ici. Xie Han Xie Han, 53 ans, a débuté la pratique des arts martiaux chinois à 8 ans en Chine et a poursuivi sa formation jusqu’à l’obtention d’un master de l’Université des sports de Pékin. Diplômée d’état, elle enseigne les arts martiaux et énergétiques chinois (kungfu, taijiquan et qigong) en région parisienne depuis 28 ans. Elle a formé certains des plus grands champions français. 3/14
Autres contributeurs Quentin d’Hainaut, 31 ans, comédien et cascadeur. Vice-champion d’Europe 2014, membre de l’équipe de France 2007-2014, DEJEPS wushu. Josepha Yang, 29 ans, ostéopathe. Championne de France 2012-2017. Emile Eang, 31 ans, développeur web. Vice-champion d’Europe 2016, membre de l’équipe de France 2007 - 2016. Jonathan Millien, 38 ans, coach sportif et préparateur physique. Vainqueur de la coupe du Monde de combat 1999, troisième aux championnats d’Europe 2008, membre de l’équipe de France 2003 - 2009. BPJEPS métiers de la forme. Wilfried Maquin, 31 ans, ingénieur en énergie dans le bâtiment. Vice-champion d’Europe 2012, membre de l’équipe de France 2011-2014, DIF wushu. Jonathan Vallade, 30 ans, ostéopathe. Champion d’Europe junior en 2004 et membre de l’équipe de France 2004 - 2007, DEJEPS wushu. Alexandre Guhur, 30 ans, fondateur d’une start-up dans les nouvelles technologies. Champion de France 2012. Godefroy Ryckewaert, 31 ans, réalisateur et chorégraphe de combats dans le cinéma d’action. Champion de France 2011. Victor Russo, 27 ans, infirmier. Champion de France 2017 et membre de l’équipe de France depuis 2012. 4/14
Cahier des charges La création d’un institut d’arts martiaux et énergétiques chinois à Paris est donc nécessaire pour le développement et à la démocratisation de la pratique de cette discipline en loisir et en compétition de haut niveau. La création de ce centre apporterait de nombreux avantages pour la ville, qui seront détaillés plus bas dans ce dossier. Pour la réalisation du projet, plusieurs critères sont nécessaires pour le local du centre : Salle o Minimum 300 – maximum 500 m2 au total (sol plat et à niveau) Soit 1 grand espace sans poteau d’au moins 16 x 18 m ou 24x10, séparable en 2 par une cloison mobile ou un rideau Soit 2 espaces : - un de 16x10 m minimum sans poteau avec 4-5 m sous plafond - un de 14x8 m minimum sans poteau o Espaces pour la création de vestiaires, de sanitaires et d’un bureau ; o Un espace commun « club house » permettant les échanges et la cohésion sociale entre les différents membres de l’association, d’âges et d’origines sociales différentes, mais partageant une passion commune pour la culture traditionnelle chinoise. 5/14
3 options envisagées 1) Mise à disposition d’un gymnase municipal et aménagement en Institut National des Arts Martiaux et Energétiques Chinois La première option possible pour la mise en place du projet est la mise à disposition à plein temps, ou la location à loyer modéré, d’un gymnase municipal correspondant aux critères détaillés dans le cahier des charges, idéalement placé dans un quartier de la politique de la ville. Exemples : - petite halle Georges Carpentier (un lieu très familier des pratiquants parisiens d’arts martiaux chinois) - gymnase du stade Boutroux - petite salle du gymnase Dunois - gymnase château des rentiers - gymnase Bourneville – Kellermann … Les fonds du budget participatif seraient utilisés pour l’aménagement de ce gymnase en un institut à part entière, avec rénovation et aménagement. Coût maximal estimé : environ 500 000 euros (ce chiffre dépendant principalement de l’état initial du gymnase). Le matériel serait financé sur fonds propres par les porteurs du projet. Les frais de fonctionnement seront intégralement assurés par l’association liée à l’institut. Exemples de lieux possibles pour la solution n°1 6/14
2) Mise à disposition d’un local de la ville et aménagement en salle de pratique des arts martiaux chinois La deuxième option possible pour la mise en place du projet est la mise à disposition gratuite, ou la location à loyer modéré, d’un local appartenant à la ville ou à l’un de ses partenaires (RATP, SNCF…) et correspondant aux critères détaillés dans le cahier des charges. Exemples : - hangar SNCF, 2 Boulevard Poniatowski (limite 13ème / 12ème) - grands hangars SNCF du quartier « Bédier – Boutroux » - hangar désaffecté de l’atelier RATP de Choisy… Les fonds du budget participatif seraient utilisés pour l’aménagement de ce local en salle de pratique, avec rénovation et aménagement. Coût maximal estimé : environ 600 000 euros (mais ce chiffre dépend principalement de l’état initial du local). Le matériel serait financé sur fonds propres par les porteurs du projet. Les frais de fonctionnement seront intégralement assurés par l’association liée à l’institut. Exemples de lieux possibles pour la solution n°2 7/14
3) Construction d’un nouvel équipement sur un terrain de la ville La troisième option serait la construction de l’institut sur un terrain constructible de la ville, par exemple dans un des grands centres sportifs du 13ème arrondissement, à proximité des quartiers relevant de la politique de la ville. Exemples : - Est du centre sportif Georges Carpentier, - Nord du centre sportif poterne des peupliers - Est du centre sportif Boutroux - Centre sportif Charles-Moureu - Centre sportif Charlety - Terrain de sport Baudricourt Une structure légère pourrait être montée, sur le modèle des courts de tennis couverts, soit en bois et toile comme ceux du centre sportif Georges Carpentier, ou en toile uniquement comme sur le terrain de sport Beaudricourt. Seuls les sanitaires, les vestiaires et le club house seront construits en dur. Coût estimé des travaux : 800 000 euros. L’aménagement et l’équipement sera financé par les fonds propres des porteurs du projet, à hauteur de 100 000 euros. Les frais de fonctionnement seront intégralement assurés par l’association liée à l’institut. Exemples de lieux possibles pour la solution n°3 8/14
Quels avantages pour la ville de Paris et la Mairie du 13ème ? 1) Un nouvel espace de pratique pour une grande diversité de pratiquants La création de cet institut permettra de rajouter à l’offre sportive un grand nombre de créneaux et de disciplines, adaptées à une grande diversité de publics et encadrée par des professeurs diplômés et issus du sport de haut-niveau, tout en évitant la saturation des autres installations sportives municipales. Baby kungfu La pratique des arts martiaux chinois peut commencer à 4 ans, et contribue à l’acquisition chez l’enfant de qualités motrices (coordination, souplesse, équilibre), cognitives (attention, concentration) et de valeurs (respect des autres, confiance en soi, persévérance) importantes pour l’équilibre de son développement. Pratique loisir pour les actifs Une partie des créneaux du soir ou du midi seront réservés à la pratique du kungfu traditionnel, qui permet à la fois de se défouler, d’apprendre des techniques de self-défense et de travailler sa condition physique, tout en s’immergeant dans la culture traditionnelle chinoise. Cette facette des arts martiaux chinois, popularisée par les films de Bruce Lee et Jacky Chan, attire un public d’environ 16 à 50 ans, c’est-à-dire majoritairement des actifs. Des partenariats avec les comités d’entreprise locaux visera le développement de créneaux adaptés sur les pauses des employés, et permettant le développement de la pratique du sport « entre collègues » bénéfique pour les salariés comme pour l’entreprise. Jeunes de quartiers populaires Les valeurs des arts martiaux chinois, qui visent à maîtriser la violence, dans une atmosphère de respect des autres, du professeur et de soi, peuvent constituer un abri rassurant pour des jeunes des quartiers populaires. L’intégration sociale par le sport de ces jeunes, filles et garçons, peut se faire grâce à la pratique sportive mais aussi par une implication dans la vie associative. Ce travail peut se faire en collaboration avec le service jeunesse ou les maisons de quartiers, afin d’orienter ces jeunes vers des activités adaptées à leurs envies et leurs besoins. 9/14
Pratique féminine « A l’adolescence, les filles sont trois fois moins nombreuses que les garçons à faire du sport, les adolescentes des quartiers populaires étant plus particulièrement touchées par ce décrochage. Parmi les principales causes : l’image de soi à l’adolescence, l’exigence des familles, la pression sociale, la priorité donnée aux garçons, l’offre sportive insuffisamment adaptée ou peu diversifiée. ». Sur le modèle de divers projets soutenus par la fondation de France sous l’appellation « Allez les filles ! », de nombreux moyens seront mis en place pour développer la pratique féminine en loisir en en compétition. Le kungfu, par la souplesse des mouvements et ses qualités esthétiques, est très apprécié par le public féminin. Le sport, et notamment la compétition, peut être un moyen d’expression et d’émancipation pour les jeunes filles des quartiers populaires. Pratique de santé/bien-être pour les seniors Les arts martiaux chinois incluent aussi le taijiquan, surtout reconnu en Europe pour ses effets bénéfiques sur le bien-être et la santé, notamment chez les séniors. La particularité de cet art martial dit « interne » est en effet de travailler les mouvements dans un but martial mais aussi de santé, en lien avec les théories de la médecine chinoise. Le travail sur l’énergie, mieux connu sous son nom chinois qigong, constitue aussi une activité qui peut être proposée dans le cadre de l’association. La création de cet espace pourra permettre aux personnes s’entraînant actuellement dans les espaces verts du 13ème arrondissement, d’avoir accès à un lieu adapté à la pratique de ces disciplines et d’être encadrés par des professeurs diplômés et compétents. Des partenariats avec les résidences seniors du quartier pourront être mis en place pour permettre d’offrir de nouvelles activités adaptées à ce type de public. Pratique de haut-niveau La création de centre rendant accessible un matériel de compétition et des entraînements réguliers permettra la formation de jeunes sportifs qui pourront viser la filière du haut niveau, l’entrée en équipe de France de kungfu wushu et convoiter la plus haute marche des podiums nationaux et internationaux. L’institut sera le premier en France à disposer de ce type d’infrastructures et attirera donc les meilleurs athlètes Français de la discipline. 10/14
2) Participation à la vie du quartier Démonstrations et spectacles L’aspect très visuel et impressionnant du kungfu wushu rend cette discipline très adaptée aux démonstrations. L’institut s’intègrera dans la vie associative et culturelle locale, en participant activement aux évènements majeurs de la ville, comme les forums des associations, les carnavals et bien sûr le défilé du nouvel an chinois, avec les célèbres danses du lion et du dragon. Des spectacles mettant en valeur les pratiquants loisirs de tous âges et des stages d’initiations seront mis en place pour faire découvrir les arts chinois au plus grand nombre de pratiquants, générant une activité à la fois culturelle et sportive au cœur du 13ème arrondissement de Paris. Réforme des rythmes scolaires La réforme des rythmes scolaire sera aussi une occasion de renforcer le partenariat entre la ville et l’institut. Les enfants des maternelles et des écoles primaires pourront être accueillis les mardis et les vendredis après-midi dans les locaux de l’institut et encadrés par des enseignants diplômés (DEJEPS ou DIF), et découvrir ainsi les différentes disciplines des arts martiaux chinois dans leur temps d’activités périscolaires. Section sportive scolaire Le fait que l’un des porteurs du projet soit enseignant dans l’éducation nationale et impliqué au sein de la fédération dans l’entraînement de l’équipe nationale, pourrait à terme entraîner la création d’une section sportive scolaire, la première en France pour cette discipline, en partenariat avec les établissements du second degré du 13ème arrondissement. Cette mesure pourrait attirer des élèves / athlètes de haut-niveau d’Île-de-France et même de toute la France dans ces établissements. Intégration dans la vie active Les services civiques peuvent être aussi une façon pour les jeunes adhérents de l’association, étudiants ou sans emplois, de se financer tout en acquérant une expérience importante. Différentes missions peuvent être attribuées à ces jeunes : communication, médiation avec les adhérents, formation aux tâches administratives, tout en apportant une aide précieuse au fonctionnement de l’association. Les emplois aidés peuvent aussi constituer un moyen d’intégration des jeunes impliqués dans la vie de l’association mais éloignés de l’emploi pour d’autres raisons, telles que le décrochage scolaire. 11/14
3) Des évènements d’envergure nationale et internationale Résultats sportifs De même que le club de Lagny-sur-Marne (où exerçaient 3 des porteurs du projet) s’est rapidement imposé comme le meilleur de France dans les compétition nationales et internationales, alors qu’il ne disposait pas de tous les avantages dont disposera cette nouvelle structure, le nouvel institut disposant du matériel de compétition à plein temps et d’une fréquence d’entraînement plus importante s’imposera rapidement sur les podiums nationaux et internationaux. Organisation de compétitions De même, le fait de disposer sur place du matériel nécessaire à la compétition pourra être l’occasion d’organiser des compétitions au sein de l’institut allant de simples interclubs à des championnats régionaux, nationaux et même à terme des opens internationaux dans les infrastructures sportives du 13ème arrondissement. Ces compétitions, très visuelles, seront ouvertes au public et permettront de proposer dans le 13ème arrondissement un divertissement à la fois sportif et culturel. Stages équipe de France Le fait que Léo Benouaich soit entraîneur équipe de France et qu’aucune autre salle en France ne possède le tapis officiel de compétition installé de façon permanente, rendra légitime l’organisation des stages équipe de France à l’institut. L’hébergement des athlètes pourra se faire en partenariat avec d’autres structures municipales, et certaines parties de ces entraînements pourront être ouverts au public, pour mieux faire connaître et rayonner cette discipline. Partenariat et échanges avec la Chine Comme cela a été fait avec le club de Lagny-sur-Marne, une volonté forte de l’équipe porteuse du projet d’institut est de créer des échanges pérennes avec des équipes professionnelles chinoises, comme celles de la ville de Nanjing ou de Chengdu. Les professeurs et meilleurs athlètes mondiaux, issus de ces équipes pourront venir effectuer des stages à Paris et de jeunes pourront découvrir la Chine et les conditions de l’entraînement là- bas au cours de stage estivaux. 12/14
Emploi du temps prévisionnel de l’Institut National des Arts Martiaux et Energétiques Chinois 1ère année Lundi mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche 6 7 Qi Gong kungfu kungfu 8 Taijiquan compétition compétition équipe A équipe A Qi Gong Qi Gong Qi Gong Taijiquan Taijiquan Taijiquan 9 Qi Gong 10 Taijiquan stage baby 11 kungfu 4-7 Fitness kungfu 12 loisir 8 - 12 danse du lion Activités CE Activités CE Activités CE 13 prépa physique / kungfu compétition dragon kungfu tradi combat compét 14 ition TAP TAP 15 baby kungfu 4-7 16 kungfu loisir stage stage 8 - 12 prépa physique 17 compétition Activités Séniors kungfu Activités Séniors loisir 18 12 - 16 baby baby kungfu kungfu kungfu kungfu 4-7 4-7 19 combat combat kungfu Taiji / kungfu Taiji / 8 - 12 kungfu 8 - 12 kungfu avancé Qi danse avancé Qi kungfu kungfu 12 - 16 Gong compétition du lion 12 - 16 Gong kungfu compétition compétition 20 combat équipe A / combat équipe A équipe A 12 - 16 dragon 12 - 16 kungfu kungfu équipe équipe kungfu combat kungfu combat B B 21 ados / adultes ados / adultes loisir / loisir / kungfu tradi kungfu tradi kungfu tradi compétition compétition 22 23 13/14
+ Stages tous les weekends : découverte + Stages pendant les vacances scolaires : découverte & perfectionnement + Cours dans la journée en partenariat avec les comités d’entreprises locales + Fitness / préparation physique + Temps d’Activités Périscolaires (TAP) Objectif de 150 licenciés 3ème année Objectif de 300 licenciés 5ème année Objectif de 500 licenciés 14/14
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