MARKETBEAT FRANCE ENTREPÔTS LOGISTIQUES - Locatif : rythme satisfaisant Investissement : mi-régime - Cushman & Wakefield
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MARKETBEAT FRANCE ENTREPÔTS LOGISTIQUES 2eme Trimestre 2019 Locatif : rythme satisfaisant Investissement : mi-régime
SOMMAIRE 01 Synthèse 02 Contexte économique 03 Demande placée 04 Valeurs locatives et offre immédiate 05 Investissement 06 Définitions
ENTREPÔTS LOGISTIQUES CHIFFRES CLÉS : 1ER SEMESTRE 2019 Demande placée Demande placée* : segmentation 8% Moins de 10 000 m² 1,4 million 14 de m² +2%* 43% 10 000 à 30 000 m² * Année N / N-1 37 Poids dorsale 35% 30 000 à 60 000 m² 60% 12 Poids chargeurs 14% Plus de 60 000 m² 3 57% * En % du volume d’activité (surfaces) ; * En nombre d’opérations Activité des chargeurs* Demande placée d’entrepôts logistiques (millions de m²) et volumes investis (milliards d’euros) en France, 1er semestre de chaque année * En % des surfaces d’opérations Sources : Immostat, Cushman & Wakefield Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 2
CONTEXTE ÉCONOMIQUE MIEUX QUE PRÉVU Déconcertante stabilité Croissance du PIB en France, % Face aux incertitudes pesant sur l’économie globale et européenne (intensification de la guerre commerciale et technologique internationale, Brexit dur, hausse du prix du pétrole), la France devrait tirer son épingle du jeu en 2019, grâce au soutien de sa demande intérieure. La croissance moyenne annuelle devrait atteindre +1,3% en 2019, une estimation qui place la France légèrement au-dessus des prévisions de la zone euro (+1,2%). Les mesures mises en place par le gouvernement en réponse au mouvement des gilets jaunes (hausse des rémunérations et des prestations, inflation contenue, baisse des impôts) devraient encourager la consommation des ménages. Avec +1,3% en 2019 contre +0,9% en 2018, cette dernière constitue le principal soutien de l’économie domestique avec, en toile de fond, Source : INSEE un moral des ménages qui ne cesse de s’améliorer depuis fin 2018 (indice 101 au 2ème trimestre 2019). Production manufacturière en France (base 100 en 2010) Production manufacturière bien orientée Après 12 mois de « plateau ondulé » en 2018, la production manufacturière a fortement rebondi au cours des 4 derniers mois (de Janvier à Avril 2019). Sur une tendance longue, cet indice dépasse largement sa ligne de flottaison depuis mai 2017. Dans le détail, les contrastes sont de mise, avec un repli dans l’agro-alimentaire (-0,7%1) et la fabrication de matériels de transports (-1,2%1) mais des tendances plus porteuses du côté des biens d’équipement (+2,5%1) et des autres produits industriels (+0,2%1). Ces signaux encourageants sont corroborés par l’indice PMI MARKIT du secteur manufacturier, qui fait état en Juin d’un rebond de cet indicateur à 52 points (contre 50,6 en Mai), son plus Source : INSEE haut niveau depuis neuf mois2. 1 : Source INSEE ; 3 deniers mois de l’année n/n-1 2 : indice composite PMI MARKIT des directeurs d'achats Indicateurs sectoriels encourageants Indices de chiffre d’affaires dans le transport- Malgré un profil d’évolution accidenté et un passage en entreposage et le commerce de gros* territoire négatif en Janvier 2019, l’indice du chiffre d’affaires dans le transport et l’entreposage est repassé au dessus de la moyenne depuis 3 mois consécutifs. Le commerce de gros est, quant à lui, fermement orienté sur une tendance positive (de +1,2% à +8%), de même que le climat des affaires du secteur. Depuis plusieurs années, d’un point de vue immobilier, l’optimisation des fonctions logistiques conjugue massification des formats d’entreposage en bordure des grands bassins de consommation et fluidification des flux aval via des gabarits XXS3. Levées de fonds dédiés à la logistique urbaine et sale and lease-back font l’actualité, confirmant le caractère stratégique de la classe d’actifs Sources : INSEE, SOES logistiques dans la métropole de demain. * Hors automobiles et motocycles / évolutions mensuelles (n/n-1) 3 : formats d’entrepôts de taille réduite (
DEMANDE PLACEE TEMPS DE PASSAGE RESPECTÉ Rythme satisfaisant Demande placée d’entrepôts logistiques en France, en millions de m² La demande placée d’entrepôts logistiques a totalisé 1,4 million de m² au terme du 1er semestre 2019, un volume d’activité qui fait jeu égal avec son niveau de l’an passé (+1,5%) et dépasse sa moyenne décennale (1,2 million de m²). Pour la 5ème année consécutive, les volumes transactionnels restent significativement supérieurs à leurs historiques de long terme. A titre de nuances, ce temps de passage respecté repose en grande partie sur l’élan porteur du 1er trimestre. Après 3 exercices successifs au-delà des 3,5 millions de mètres carrés commercialisés, l’actuelle orientation à mi-année conforte néanmoins une projection supérieure à 3 millions de m² pour 2019 dans son ensemble. Source : Immostat Les chargeurs reprennent la main Après deux années de massification des formats logistiques Demande placée en France par géographie, et part de la grande distribution et du e-commerce, la montée en d’activité selon le type de preneur, en % des surfaces régime des logisticiens fait place à une structuration plus classique de l’activité transactionnelle. Les chargeurs ont ainsi concentré 57% de la demande placée d’entrepôts logistiques mi-2019. En phase avec ce rééquilibrage de l’activité, les transactions sont concentrées sur la dorsale, à l’origine de 60% du volume traité au 1er semestre 2019. Sur une tendance plus longue, l’accroissement du poids des logisticiens se confirme, porté, entre autres, par les prises de position d’EASYDIS à Corbas (69) sur 76 500 m² ou encore de LOG’S (52 700 m²) en périphérie de Cambrai (59). En termes de secteur d’activité, les chargeurs de la grande distribution (spécialisée ou non) dominent la demande placée (57%), tandis que le e-commerce est monté en régime en cours d’année (19%) à la faveur du clé- en-main d’123PNEUS à Ensisheim (68). Mentionnons que Source : Immostat la composante e-commerce reste indéniablement présente dans plusieurs autres opérations de grande taille. Demande placée sur les principaux marchés de la dorsale, en milliers de m² Île-de-France en tête, Lille bien orienté, Lyon sur ses acquis L'Île-de-France (445 000 m²) conserve la tête des marchés les plus actifs en France, à l’origine de près de 60% de la demande placée du corridor logistique et en forte progression d’une année sur l’autre (+50%). En deuxième position, Lille (153 200 m²) survole ses volumes décennaux de mi-année (97 000 m²), sans toutefois égaler son exceptionnel score du 1er semestre 2018. La bonne tenue du marché lyonnais (111 000 m²) mérite une certaine circonspection, reposant surtout sur sa lancée du 1er trimestre (EASYDIS). Après une année 2018 très réussie, Marseille (36 000 m²), animé par une seule transaction de Source : Immostat plus de 10 000 m² et la Vallée du Rhône (31 000 m² répartis sur deux opérations) ferment la marche. Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 4
DEMANDE PLACEE REBOND DES CHOIX LOCATIFS Percée des 30 000 m² à 60 000 m² Demande placée d’entrepôts logistiques en France par Le poids des opérations XXL1, et plus généralement des taille, en % des surfaces grands gabarits de plateformes dans les volumes transactés depuis 2015 n’est plus à démontrer. Mi-2019, 3 transactions de ce type sont intervenues : EASYDIS, DOSSIN ET FILS et plus récemment 123PNEUS. Les formats compris entre 30 000 m² et 60 000 m² n’ont pas été en reste et affichent une nette progression en un an, aussi bien en nombre (12 signatures contre 8 mi-2018) qu’en volume (510 000 m² contre 321 000 m²). Pas moins de 4 transactions se situent d’ailleurs dans la tranche haute de ces gabarits de plateformes, qui fait office de relais de croissance de l’activité d’une année sur l’autre. Pour autant, les entrepôts de 10 000 m² à 30 000 m² n’en sont pas moins restés les principaux pourvoyeurs de l’activité (43% du volume). Source : Immostat Schémas locatifs et 1ère main : alliance Demande placée et schémas d’opérations en France selon l’état du bâti, en % des surfaces classique Les positionnements d’utilisateurs sur des entrepôts neufs ont concentré plus de 70% de la demande placée du 1er semestre 2019. Exception faite de 2018, ce ratio, qui augmente graduellement depuis 2013, illustre le renouvellement et le développement des capacités d’entreposage sur l’ensemble du territoire. L’an passé, dans un moment de marché placé sous le signe des logisticiens, le recul des clés-en-main et des comptes propres en Île-de-France et à Lyon avait fait fléchir ce ratio première/seconde main. Au fil de l’année 2019, le neuf reprend son ascendant historique. Les schémas locatifs ont concentré 70% des volumes traités au 1er semestre 2019, et gagnent depuis 2 ans et Sources : Immostat, Cushman & Wakefield demi du terrain sur les choix de détention de l’outil immobilier. Clés-en main, prises à bail classiques et Demande placée en France par type de preneur, en BEFA* sont le modèle dominant sur la dorsale, s’agissant millions de m² de fonciers bien maitrisés par des investisseurs et des développeurs. Hors de cet axe, les comptes-propres restent majoritaires, aussi bien pour les acteurs de la grande distribution que pour les logisticiens. Distribution des rôles sans surprise Après plusieurs mois de coude à coude, un rééquilibrage s’opère et la demande placée des chargeurs (57%) creuse l’écart avec celle des logisticiens. En termes de géographie, plusieurs acteurs de la grande distribution ont pris position dans les pays de la Loire (opérations en comptes propres) mais aussi dans le Centre Val-de-Loire (location). Prestataires de transport et 3PL ont, quant à eux, surtout ciblé des schémas d’occupation locative Sources : Immostat, Cushman & Wakefield autour des grands bassins de consommation comme 1 Plateforme XXL : plateforme logistique de plus de 60 000 m² Paris, Lyon et Lille. 2 BEFA : Bail en l’Etat Futur d’Achèvement Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 5
VALEURS LOCATIVES ET OFFRE LOYERS, OFFRE IMMÉDIATE, PEU DE CHANGEMENTS Stabilité apparente Valeurs locatives prime des transactions logistiques, en Les valeurs « prime » s’échelonnent de 44 €/m²/an €/m²/an (Marseille et Lille) à 56 €/m²/an en Ile-de-France au 1er semestre 2019. Pour les marchés de Toulouse, Strasbourg et Bordeaux, ces valeurs sont resserrées entre 43 et 44 €/m²/an. Derrière cette stabilité typique des actifs logistiques, les pressions haussières sont indéniablement à l’œuvre pour les plateformes les plus performantes. La combinaison d’une localisation stratégique, d’un bâti de haute qualité et d’un potentiel d’extension poussent les valeurs en fourchette haute. Pour autant, la fraction du marché concernée reste insuffisante à faire bouger les lignes. Pour l’heure, l’indexation des loyers reste le moteur principal de la progression des valeurs locatives, et, la souplesse reste Source : Cushman & Wakefield de mise dans l’octroi des mesures d’accompagnement. Note : Les loyers s’entendent HT et HC Offre immédiate : l’arbre qui cache la forêt L’offre immédiate d’entrepôts totalise 2,6 millions de m² Offre d’entrepôts immédiatement disponible, en millions de m² début Juillet 2019, un niveau stable à la fois d’un trimestre sur l'autre et depuis fin 2018 (-3%). Si l’allégement est de mise à l’échelle nationale, les contrastes sont forts au sein de chacun des marchés. Lille a vu ses volumes de disponibilités s’alourdir de 25% en 6 mois, quand le mouvement inverse prévaut à Lyon (-27%), un marché bridé par la pénurie structurelle d’entrepôts de classe A et de fonciers aptes aux développements neufs. Ailleurs, la Normandie voit ses stocks d’entrepôts vacants culminer, de même que dans les Pays de la Loire (+20%) et le Grand Est (+47%). En toile de fond, les libérations de sites logistiques obsolètes d’un point de vue technique ou réglementaire continuent d’alimenter un stock vacant d’entrepôts parfois longs à re-commercialiser. Source : Cushman & Wakefield Lancements en gris et en blanc plus Offre immédiatement disponible par marché selon le nombreux segment de surface, T2 2019, en % des surfaces L'Île-de-France concentre 1 million de m² d’entrepôts immédiatement disponibles, son volume le plus bas depuis près de 10 ans. La structure des disponibilités des 4 principaux marchés français se caractérise par une surreprésentation des gabarits de moins de 30 000 m². Ces formats proposent des réponses d’implantation rapides lors des pics d’activité, mais des utilisateurs recherchant des plateformes logistiques dotées des derniers standards de fonctionnalité devront se projeter sur des solutions neuves à construire. Depuis plus de 2 ans, l’affermissement de la demande exprimée par les utilisateurs a justifié nombre de mises en chantier, en gris ou en blanc, même si la pré-commercialisation en amont Source : Cushman & Wakefield reste la voie privilégiée. Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 6
LOGISTIQUE MI ANNÉE, MI-RÉGIME « Petit » rythme Montant investi en logistique en France, en milliards Après un solide démarrage, l’investissement en immobilier d’euros et poids des entrepôts logistiques, % logistique poursuit l’année 2019 à vitesse faible, et totalise près de 800 millions d’euros au terme du 1er semestre. La correction est évidemment de taille en comparaison des pics des années 2017 et 2018. Pour autant, ce volume d’investissement dépasse encore son historique de long terme (670 millions d’euros de 2009 à 2018). Le poids des actifs logistiques dans l’investissement en immobilier banalisé retourne pour le moment en bas de sa fourchette des 4 dernières années (6%). Le carburant essentiel de cette classe d’actifs reste en tout cas présent : optimisation des supply-chain de la grande distribution et poursuite des transition omnicanale soutiennent en effet le sous-jacent locatif et maintiennent des niveaux élevés d’occupation des plateforme Sources : Cushman & Wakefield, Immostat pour l’Ile-de-France Sale and lease-back et core+ très sélectif Montant investi en logistique en France par localisation, Outre le fait que la part des portefeuilles continue de et poids des acquisitions de portefeuilles, % culminer - près de 60% des volumes investis - les quelques 30 signatures intervenues depuis le début de l’année confirment plusieurs tendances, et quelques nouveautés. Les portefeuilles de « taille critique » sont jusqu’à présent moins nombreux que l’an passé, et seules deux transactions approchent ou dépassent les 100 millions d’euros. On peut y voir un marqueur de la rareté des meilleurs actifs, dans un contexte d’appétence des investisseurs pour l’immobilier logistique. Les sale and lease-back, déjà présents en début d’année, continuent de peser fortement : 4 des 5 plus grandes cessions correspondent à ces modes d’acquisition, sources de création de valeur aussi bien du côté des investisseurs que des utilisateurs. En termes de profil de risque, les Sources : Cushman & Wakefield, Immostat pour l’Ile-de-France acquisitions d’actifs core+ ont été moins nombreuses, alors même que les montants dévolus à des plateforme core (100% louées, durée d’engagement longue et ferme) Taux de rendement prime logistique en France, % se sont maintenus. Ainsi, la recherche de création de valeur - source d’attraction pour l’immobilier logistique - reste-t-elle subordonnée à un pricing des actifs en phase avec leurs niveaux de risque. Taux prime : statu quo Le prolongement de politique monétaire accommodante de la BCE est de nature à maintenir bas les taux de rendement prime en immobilier logistique; ils conservent un spread encore confortable avec l’OAT. Plusieurs acquisitions en cours de réalisation illustrent cependant la pression considérable qui règne sur une petite fraction du marché, dont le taux de rendement prime devrait se Source : Cushman & Wakefield compresser davantage au cours des prochains mois, mais dans une amplitude mesurée et seulement sur les marchés les plus profonds. Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 7
Cette étude porte sur des surfaces d’entreposage de plus de 5 000 m² en Île-de-France et de plus de 10 000 m² en région. DÉFINITIONS Autorisations d’exploiter : Autorisations requises pour exploiter un bâtiment de stockage. Elles se déclinent en une centaine d’autorisations, les plus fréquentes sont la 1510 (Entrepôts couverts), la 1530 (Dépôts de bois, papier), la 2662 (Stockage de matières plastiques à l’état alvéolé), la 2663 (Stockage de matières plastiques à l’état manufacturé, pneus), les 4310, 4320, 4321, 4330 et 4331 (Stockage d’aérosols et de liquides inflammables). Classification : Les entrepôts sont classés selon leurs caractéristiques techniques (résistance au sol, hauteur libre, etc.), leur accessibilité (distance de l’autoroute, non enclavement dans une zone urbaine) et leur évolutivité (adaptation aux normes ICPE actuelles et futures, et aux contraintes des assureurs). Clé-en-main locatif : Immeuble dont la construction est lancée après engagement définitif d’un utilisateur/ locataire, même si un projet de promoteur existait auparavant sans que les travaux aient démarré. Ces opérations sont comptabilisées dans la demande placée uniquement lorsque les conditions suspensives ont été levées (obtentions autorisations et financement). Compte propre : Immeuble dont l’utilisateur est le propriétaire occupant Demande placée : Ensemble des transactions, à la location ou à la vente, réalisées par des utilisateurs, y compris les pré commercialisations, les clés-en-main locatifs et les opérations pour compte propre. Dorsale logistique : Marchés de Lille, Paris, Lyon, Marseille ou en prise avec les infrastructures routières qui suivent cet axe Nord-Sud (A1 ; A6 ; A7). Entrepôt : Bâtiment destiné aux activités de stockage, de distribution, voire d’assemblage léger. Ces locaux sont répartis en différentes catégories : Classe A pour un entrepôt de haute fonctionnalité, entrepôt dit de «nouvelle génération», Classe B pour un bâtiment correspondant aux standards d’un entrepôt moderne et Classe C qui réunit le reste des bâtiments. L’appartenance à ces différentes classes répond à un certain nombre de critères tels que la date de construction du bâtiment, la hauteur sous plafond, l’aire de manœuvre, le niveau de sécurité incendie, la résistance au sol. ICPE : Une Installation Classée pour la Protection de l’Environnement est d'une manière générale, toute installation exploitée ou détenue par une personne physique ou morale, publique ou privée qui peut présenter des dangers ou des inconvénients concernant les pollutions ou nuisances, notamment pour la sécurité et la santé des riverains. Cushman & Wakefield | MarketBeat France Logistique 2ème Trimestre 2019 8
AUTEURS Pierre d’Alençon Magali Marton Chargé d’Etudes Head of Research - France +33 (0)1 86 46 10 93 +33 (0)1 86 46 10 95 pierre.dalencon@cushwake.com magali.marton@cushwake.com CONTACTS Antoine Derville Président +33 (0)1 53 76 92 91 antoine.derville@cushwake.com Ludovic Delaisse Nils Vinck Directeur Général Directeur Général Head of Agency (Offices, Industrial and development) Head of Capital Markets Group - France +33 (0)1 53 76 92 73 +33 (0)1 86 46 10 19 ludovic.delaisse@cushwake.com nils.vinck@cushwake.com Disclaimer Il ne saurait être initié de transaction, basée sur le présent document, sans l’appui d’un avis professionnel spécifique et de qualité. Bien que les données aient été vérifiées de façon rigoureuse, la responsabilité de Cushman & Wakefield ne saurait être engagée en aucune manière en cas d’erreur ou inexactitude figurant dans le présent document. Toute référence, reproduction ou diffusion, totale ou partielle, du présent document et des informations qui y figurent, est interdite sans accord préalable exprès de Cushman & Wakefield. En tout état de cause, toute référence, reproduction ou diffusion devra en mentionner la source. ©2019 Cushman&Wakefield, Inc. Tous droits réservés
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