2019 Lycée Français Jean-Renoir
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2019 Revue de Presse n°9 du 7 mars 2019 1 Actualités de l’Enseignement Supérieur .................. 2 Actualités de l’Enseignement 1aire & 2aire ................. 9 Articles thématiques .............................................. 10 AEFE-SORES RP-SORES-2019-03-07
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actualités de l’Enseignement Supérieur Actu | Classements «La France se distingue dans le classement mondial 2019 des universités par discipline», LE MONDE, publié le 01/03/2019. https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/03/01/la-france-se-distingue-dans-le-classement-mondial-2019-des- universites-par-disciplines_5429858_4401467.html «L’Insead (classé 2e en commerce et gestion), Sciences Po (3e en sciences politiques et études internationales) et AgroParisTech (4e en agriculture et sylviculture) sont les trois établissements français qui entrent dans l’un des tops 5 mondiaux de leur discipline parmi quarante-huit disciplines évaluées par le dernier classement réalisé par l’organisme britannique QS World University Rankings, publié mercredi 27 février. Cinq établissements se placent dans le top 20 : le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP), Sorbonne Université, entité issue de la fusion de l’UPMC et Paris-Sorbonne, Paris-I, HEC et Paris sciences et lettres (qui compte notamment l’ENS, les Mines ParisTech, ou les Arts déco). « L’enseignement supérieur français a eu une belle année. Sur les 366 départements français classés, plus d’un quart a amélioré sa position. C’est principalement parce que nous avons enregistré de meilleurs retours des employeurs sur les jeunes diplômés français et parce que la recherche française est plus performante », déclare au Monde Jack Moran, responsable des relations publiques de QS. La France compte désormais 94 départements d’universités appartenant au top 100, une augmentation de 25 points par rapport aux années précédentes. Cette augmentation est due à l’inclusion dans les classements de Revue de Presse Sorbonne Université et de PSL (Paris sciences et lettres) qui comptent pour un tiers des départements appartenant au top 100. PSL gagne 49 places par rapport à l’ENS seule en sciences de la terre et 36 places en arts et humanités, et même 88 places en ingénierie et technologie par rapport à Mines ParisTech. […] Pour réaliser ce classement, QS s’appuie sur quatre critères : la réputation académique, la réputation des diplômés auprès des employeurs, les citations dans les revues de recherche, et le H-index, un indicateur qui permet de mesurer la productivité et l’impact des recherches publiées.» «PSL, Sciences Po et HEC cartonnent au prestigieux classement international QS», LE FIGARO, publié le 27/02/2019. https://etudiant.lefigaro.fr/article/psl-sciences-po-et-hec-cartonnent-au-prestigieux-classement-international- qs_87ce434a-39d9-11e9-8a8f-5495c8c8d90d/ « Pour la première fois dans ce classement, la toute nouvelle Sorbonne Université (fusion début 2018 de l’université Pierre et Marie Curie et de l’université Paris-Sorbonne) se hisse au rang de la 15ème meilleure université du monde en histoire classique et ancienne. Dans la catégorie mathématiques, l’université PSL (Paris Sciences et Lettres) fait également une entrée remarquée, en obtenant la 20ème place. Ces deux montées en puissances ont été favorisées par les récents regroupements (fusion de Paris-Sorbonne et Pierre-et-Marie-Curie en janvier 2018 pour fonder Sorbonne Université, fusion de 9 institutions d’enseignement supérieur en 2010 pour PSL). Si la France compte désormais 94 départements appartenant pour chacun au top 100 mondial, c’est en partie grâce à ces deux fusions d’universités. Sorbonne Université et PSL, qui comptent pour un tiers des départements de ce top 100. Parmi les ascensions spectaculaires, HEC Paris grimpe à la 17ème place pour la comptabilité et finance, alors qu’elle était 36ème l’an dernier. L’Université Paris Panthéon Sorbonne passe de 38ème à 20ème en histoire classique et ancienne, et de 23ème à 18ème en archéologie. AgroParisTech n’a pas non plus à rougir, s’élevant de la 10ème à la 4ème place. Quant à Sciences Po, 4ème l’an dernier en «politiques et études internationales», elle monte sur le podium en obtenant la troisième place mondiale. Elle n’est devancée que par Harvard au premier rang et Oxford. L’Insead maintient le cap dans la catégorie Commerce et gestion en 2ème position, talonnant toujours Harvard. Autre indicateur positif, les chiffres attestent d’une meilleure perception des diplômés français par les employeurs. Le score moyen pour la réputation auprès de ces derniers est en augmentation de quasi 3 points d’année en année. Malgré ces résultats encourageants, le système français d’enseignement supérieur ne parvient pas à dépasser ceux des Pays-Bas, de la Suisse et de l’Allemagne. Un défi de taille à relever pour les prochaines années.» Revue de Presse 2/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | Parcoursup «L’indifférence des établissements face à l’anonymisation des candidatures sur Parcoursup», EDUCPROS, publié le 26/02/2019. https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/l-indifference-des-etablissements-face-a-l-anonymisation-des- candidatures-sur-parcoursup.html « L’anonymisation des candidatures sur Parcoursup est désormais de mise. Nom, prénom, âge et adresse des candidats ne seront plus accessibles pour les établissements lors de l’examen des dossiers. Si le ministère s’en félicite, les représentants des formations se montrent, quant à eux, plutôt indifférents et doutent de l'intérêt d'une telle mesure. "C’est déjà un grand pas", confiait le ministère de l’Enseignement supérieur suite à l’annonce de l’anonymisation des candidatures sur Parcoursup, le 18 février dernier. Proposé par Frédérique Vidal, le dispositif est supposé favoriser la mixité sociale et éviter toute discrimination.[…] Un processus qui n’aura finalement que très peu d’impact sur les admissions. En effet, comme le rappelle le communiqué, seuls le nom, prénom, âge et adresse des candidats seront anonymisés "dès lors que ces données ne sont pas nécessaires à un examen éclairé du dossier du candidat". Ce qui signifie que les établissements qui proposent des formations en apprentissage, en internat ou qui sélectionnent leurs étudiants via des concours ou des entretiens auront forcément accès à ces informations. Ainsi, seules les universités sont véritablement concernées par le dispositif. "On regrette que l’anonymat ne soit pas imposé à tous", explique Alain Joyeux. Le président de l’APHEC (Association des professeurs des classes préparatoires économiques et commerciales) remet en cause la création d’un système à deux vitesses : "Nous, on ne voit pas nos candidats, on les juge sur leur dossier, alors que d’autres formations font passer des entretiens, donc il n’y a plus d’anonymat. Ce n’est pas juste". […] » «Orientation post-bac : trois conseils pour s’inscrire sur Parcoursup», THE Revue de Presse CONVERSATION, publié le 07/02/2019. https://theconversation.com/orientation-post-bac-trois-conseils-pour-sinscrire-sur-parcoursup-111220 « Depuis 2018, Parcoursup est le point de passage obligé des jeunes qui veulent s’inscrire en première année d’études supérieures. Cette plate-forme numérique recense toutes les formations post-bac reconnues par l’État (à quelques exceptions près, comme Sciences Po ou certaines écoles d’art), et, depuis le 22 janvier dernier, chaque candidat au bac peut y enregistrer dix vœux d’orientation. Trop souvent, l’an passé, nous avons croisé des lycéens dépités de voir leurs demandes rejetées. Celles-ci étaient pourtant hors de leur portée, vu leur bas classement dans la liste des postulants. Or, s’ils avaient opté pour une filière « non sélective », ils auraient pu obtenir une place en fac pour étudier justement la thématique qui les intéressait. « Je ne savais pas », nous ont répondu certains. « Mes parents ne voulaient pas que je m’y inscrive, ils disaient que la fac, c’est pour les nuls », nous ont répondu d’autres. Notons que les parents en question n’ont souvent pas connu l’université, ou il y a si longtemps que leur vision tient désormais beaucoup du cliché.» «Une carte interactive des formations pour aider les candidats à faire leurs choix sur Parcoursup», MESRI, publié le 06/02/2019. http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid138813/une-carte-interactive-des-formations-pour-aider-les- candidats-a-faire-leurs-choix-sur-parcoursup.html « Ce nouvel outil va permettre aux candidats de découvrir l’ensemble des formations proposées sur Parcoursup et ainsi d’affiner leurs recherches de manière simple et intuitive, en saisissant des mots clés, des filières de formations et/ou en sélectionnant une zone géographique précise. Ils pourront également obtenir des informations, leur permettant d’ajuster leurs voeux, comme : le « taux d’accès » de la formation en 2018 ; le pourcentage des catégories de bacheliers admis dans la formation en 2018 ; le nombre de places en 2019 ; les formations similaires à la formation initialement recherchée. Depuis le 20 décembre 2018, l’offre de formation accessible sur Parcoursup est enrichie (avec plus de 14 000 formations disponibles), simplifiée et actualisée. Cette carte interactive s'inscrit dans la continuité de la démarche de lisibilité et d'accessibilité de l'offre de formation sur Parcoursup, qui s'est notamment traduite par la simplification et l’harmonisation des sigles des formations afin de correspondre aux recherches des candidats et aux intitulés de formations qu’ils connaissent et utilisent. Cette carte, réalisée en collaboration avec le Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique (Labri), avec les données de l’ONISEP est disponible dès aujourd’hui (6 février 2019) sur le site Parcoursup.fr : https://carte.parcoursup.fr/ » Revue de Presse 3/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | CPGE «Grand lycée ou proximité? Le match des prépas», LE FIGARO, publié le 13/02/2019. https://etudiant.lefigaro.fr/article/grand-lycee-ou-proximite-le-match-des-prepas_4cf64f90-2f7c-11e9-a4bc- c0ff9be8eca7/ « Parmi les CPGE les plus cotées, on peut citer les lycées Louis-Le-Grand, Henri IV, Fénelon ou encore Sainte-Geneviève. «Tous bénéficient d’abord de l’aura parisienne […] Ensuite, la réputation d’un grand lycée est liée à la sévérité de sa sélection. C’est une sorte de cercle vicieux, car la sélectivité entretient la réputation et l’attractivité. Et la réputation et l’attractivité entretiennent la sélectivité». Ce tri drastique fait que, chaque année, un très grand nombre d’élèves de «grands lycées parisiens» intègrent les plus grandes écoles. Par exemple, tout en haut du palmarès, des lycées tels que Sainte- Geneviève ou Louis-Le-Grand remplissent généralement la moitié des 400 places du concours Polytechnique. La proportion est encore plus significative dans les filières littéraires des lycées Henri-IV et Fénelon qui s’accaparent près des trois quarts des places aux concours de l’ENS (Ecole normale supérieure). «Le système est ainsi fait que tous les établissements ne sont pas à égalité en termes de réussite aux concours, poursuit Joanna Katzinka. Mais il est important d’insister sur la réussite de très bons lycées de province, qui parviennent aussi à intégrer des élèves dans des grandes écoles.» C’est dans la filière littéraire que le match Paris-province est le plus déséquilibré. En revanche, dans les filières scientifiques ou commerciales, des établissements comme le lycée Kléber à Strasbourg ou le lycée Fermat à Toulouse affichent de très bons résultats. «La réputation d’un lycée ne fait pas tout […] Les programmes sont nationaux et les professeurs sont tous doctorants et agrégés, quel que soit l’établissement. D’ailleurs, un très bon professeur est celui qui parvient à faire entrer un élève moyen dans une grande école, plutôt que celui qui fait de même avec des élèves déjà excellents.» Revue de Presse «Selon le type de prépa, l’élève ne sera pas confronté à la même compétitivité ou à la même solidarité, prévient Sylvie Balleux. Psychologiquement, cela conditionne toute son adaptation. Il doit se poser la question de savoir s’il se sent plus stimulé en étant même bon dernier dans une très bonne classe ou s’il a besoin d’être le meilleur dans une classe de niveau moindre». Si les lycées de province présentent un taux de réussite au concours moins flamboyant, ils ont l’avantage de proposer un accompagnement pédagogique plus personnel, grâce notamment à des effectifs beaucoup plus réduits (25 élèves en moyenne contre près de 50 en grands lycées).» «Classement des meilleures prépas aux grandes écoles de commerce 2019», LE FIGARO, publié le 05/02/2019. https://etudiant.lefigaro.fr/article/classement-prepa-hec-ece-ecs-ect_a47f7d8c-296d-11e9-b1d8-bbed1585efaf/ « Dans quelle prépa a-t-on le plus de chance d’entrer à HEC, indétrônable numéro 1 du classement du Figaro? Nous publions ici les résultats des meilleures classes préparatoires pour 2018: la voie réservée aux bacheliers économique et social (ECE), celle pour les bacheliers scientifiques (ECS), et enfin ECT, moins connue, destinée aux bacheliers technologiques (STMG). Chaque école de commerce réserve des quotas pour chacune de ces voies. En France (il existe des prépas à l’étranger), en 2018, le lycée Henri-IV à Paris, Sainte-Geneviève (Ginette) à Versailles et Ipésup-Prépacom, dont nous avons réuni ici les deux marques, à Paris également, trustent les trois premières places pour la filière scientifique (ECS). Quant à la filière ECE, c’est Danielou à Rueil-Malmaison, Henri-IV à nouveau et Saint-Louis-de-Gonzague (Franklin), toujours à Paris, qui en composent le podium. Ce qui surprend de prime abord, c’est la prépondérance des lycées de la région parisienne. Ainsi en prépa ECS et ECE, seuls une poignée d’établissements […] sauvent l’honneur de la province. Une situation exacerbée par le système d’admission national mis en place depuis 2009, qui facilite la candidature de lycéens venus de toute la France et de l’étranger. Car contrairement aux universités, les prépas peuvent choisir librement leurs élèves sur le site Parcoursup, sans donner de priorité à ceux de leur académie. Autre constat, la domination des établissements privés. Nettement plus rares dans les prépas scientifiques, ils occupent largement le terrain dans les prépas commerciales. En voie ECE, seuls trois établissements sur dix sont des lycées publics. Les établissements privés qui se retrouvent dans le top 5 s’appellent Sainte-Geneviève (Ginette) à Versailles, Danielou à Rueil-Malmaison, Saint Louis de Gonzague (Franklin) à Paris, Sainte-Marie à Lyon, et Notre-Dame du Grandchamp à Versailles.» Revue de Presse 4/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | CPGE (suite) «80% des élèves de l’X issus de 10 lycées : le recrutement polarisé des écoles d’ingénieurs», LE MONDE, publié le 10/02/2019. https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/02/10/80-des-eleves-de-l-x-issus-de-10-lycees-le-recrutement-polarise- des-ecoles-d-ingenieurs_5421655_4401467.html « Qui sont les admis des toutes meilleures écoles d’ingénieurs ? En 2018, les 415 reçus à Polytechnique étaient, en écrasante majorité, des hommes (78 %), bacheliers S, titulaires à 92 % d’une mention « très bien » au bac, et à 95 % issus de prépa. Et pas n’importe lesquelles : essentiellement des classes « étoilées » – réservées aux meilleurs, présentes dans une poignée de lycées, en particulier Sainte- Geneviève (Versailles), Louis-le-Grand (Paris) ou Stanislas (Paris). Ces trois lycées à eux seuls remplissent plus de la moitié de la promotion de l’école de Palaiseau (Essonne). Au total, seulement 10 lycées ont constitué plus de 80% de la promotion entrée à Polytechnique en septembre 2018, via les concours prépa. Alors qu’il existe plus d’une centaine de lycées proposant, en France, des classes préparatoires scientifiques, comme le montre ce tableau réalisé à partir de données issues des établissements et du magazine L’Etudiant. Et que les concours sont nationaux. Les écoles d’ingénieurs les plus cotées recrutent dans une poignée de prépas, lesquelles accueillent une majorité d’élèves de catégories sociales favorisées : le tableau est dressé. Mais si Polytechnique accentue ce phénomène, cette observation est valable dans l’ensemble des écoles d’ingénieurs. Aujourd’hui, ces études sont l’apanage des classes aisées, avec une majorité d’enfants de cadres et professions intellectuelles supérieures (54 % en 2017 contre 13 % dans la population française). Revue de Presse Seules les formations d’ingénieurs au sein des universités sont plus mélangées. Le taux d’élèves aidés par le Crous – un indicateur d’ouverture sociale – reste moins élevé qu’ailleurs : seulement un quart à un tiers des étudiants sont éligibles à ces aides, contre 38 % dans l’ensemble de l’enseignement supérieur. « Les écoles arrivent en bout de chaîne, leur vivier est déjà restreint par le système scolaire, qui agit comme un filtre progressif », analyse la sociologue Marianne Blanchard. Ce manque de diversité vaut aussi en matière de féminisation, encore faible, en dépit de diverses actions menées avec l’appui d’associations. Présentes à hauteur de 40 % en S, les filles ne sont plus que 28 % dans les écoles d’ingénieurs, en particulier dans les filières informatique et numérique (16 %). Elles sont en revanche plus nombreuses dans les écoles d’ingénieurs dans les domaines de la chimie ou de l’agriculture. Un choix d’orientation fondé sur des représentations très ancrées, « liées aussi à une certaine méconnaissance des métiers », regrette Laurent Champaney, directeur des Arts et métiers ParisTech et président de la commission Amont de la Conférence des grandes écoles. Peu à peu, les écoles d’ingénieurs font des efforts pour accueillir une pluralité de profils, en particulier depuis le milieu des années 2000. Une demande des pouvoirs publics et des industries : « Pour innover, on a besoin de diversité ! Si au moment de fabriquer une voiture tous les ingénieurs pensent pareil, ce n’est pas intéressant », résume Alice Carpentier, responsable du pôle diversité et réussite de l’X. Si Polytechnique, CentraleSupélec, Ponts ParisTech ou encore Mines ParisTech recrutent presque exclusivement après une classe préparatoire aux grandes écoles, davantage d’écoles sont accessibles après le bac en prépa intégrée. La plupart recourent à des concours communs (Puissance Alpha, Avenir, Geipi Polytech), d’autres, comme les INSA, optent pour une sélection sur dossier et entretien. Elle est drastique : 17 800 candidats pour 1 200 places. Par ailleurs, de plus en plus d’écoles « se sont ouvertes aux bacheliers technologiques ou professionnels, issus de milieux moins favorisés, avec de belles réussites », se félicite Laurent Champaney. Un peu plus nombreux dans les écoles privées, ces profils restent toutefois minoritaires – moins de 10 %. Par le biais des « admissions parallèles », la totalité des formations est aussi accessible aux titulaires d’un bac + 2. Encore timide dans les plus prestigieuses – en 2018, seulement 23 des 420 intégrés à l’X sortent de l’université, souvent après un master –, cette voie procure entre 10 % et 90 % des effectifs dans nombre d’établissements. […] » Revue de Presse 5/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | Études de santé «Avec la réforme de l'accès aux études de santé, l'admission en études de kiné repensée», EDUCPROS, publié le 22/02/2019. https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/l-admission-dans-les-etudes-de-kine-repensee-dans-le-cadre-de-la- reforme-sante.html « La suppression de la Paces (Première année commune aux études de santé) à la rentrée 2020 ne sera pas sans conséquences pour les candidats à la kiné, puisqu'elle reste le principal vivier de recrutement des IFMK (instituts de formation en masso-kinésithérapie). Selon nos informations, l’admission dans ce cursus sera bien repensé dans le cadre de la très attendue réforme du premier cycle des études de santé, qui vise, notamment, à diversifier le profil des médecins, pharmaciens, sages-femmes et chirurgiens- dentistes. En outre, l’une des voies d’accès aux études paramédicales de kiné sera sans doute commune aux formations médicales. Les accès après une première année de biologie ou de Staps (Sciences et techniques des activités physiques et sportives) pourraient, quant à eux, rester ouverts. Ces modifications concerneront les textes réglementaires régissant l’entrée dans ce cursus, et non les textes de loi portant sur l’admission dans les études médicales. Ce qui explique l’absence de la kiné dans le projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé. La kiné ne devrait pas être assimilée à une profession médicale, en dépit de la probable mise en place d’une voie d’accès commune, que l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes souhaiterait unique, et malgré le souhait formulé par une partie des praticiens. Revue de Presse Depuis l’annonce, par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, en septembre 2018, de la suppression de la PACES, une grande partie de la kinésithérapie française était dans le flou le plus total. Tant et si bien qu'en octobre 2018, l’Ordre, les syndicats des étudiants et des instituts de formation avaient demandé officiellement dans un courrier adressé aux ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur, l’intégration de la kiné dans la réforme de l’accès aux études de santé. […]» Revue de Presse 6/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | DUT, licences pro, bachelors «Le DUT en trois ans en attente d'un feu vert ministériel», EDUCPROS, publié le 15/02/2019. https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/bientot-un-dut-en-trois-ans.html « C’est le souhait des directeurs d’IUT (Institut universitaire de technologie) : obtenir une année de plus. Le but ? Proposer une offre de formations plus vaste, qui s’adresse aussi bien à des bacheliers issus des filières technologiques que générales. "Le premier objectif est de favoriser la réussite en DUT, notamment pour les bacs technologiques, en accueillant une plus grande diversité d’étudiants, avec une plus grande souplesse sur les trois années", précise François Germinet, président de l'université de Cergy-Pontoise et de la commission formation et insertion professionnelle de la CPU (Conférence des présidents d'université), coauteur de ce rapport avec Rodolphe Dalle, président de l'Adiut (Association des directeurs d'IUT). […] L'allongement du DUT à trois ans fait suite à plusieurs constats, mentionnés dans le rapport remis à la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Frédérique Vidal, le 31 janvier 2019 : le niveau d’insertion à bac + 2 recule, et 90 % des étudiants en DUT ont un niveau master. Si, à l'origine, ces formations courtes et professionnalisantes sont prévues pour une insertion professionnelle rapide, elles sont en réalité un tremplin pour la poursuite d’études. Ce "nouveau" DUT permettrait d’obtenir le grade de licence, et d’aligner ainsi les formations sur le processus de Bologne (licence, master, doctorat). "Le DUT porte un diplôme professionnalisant à caractère national au niveau licence. Il y a une volonté de répondre aux aspirations et à la mission d’insertion. À ce niveau, nous arriverons à convaincre les jeunes d’embrasser ces carrières", note Laurent Gadessaud. Si la Revue de Presse mesure est déployée, les étudiants auraient ainsi six semestres pour affiner leur choix. […] Enfin, à travers un DUT plus long, il y a aussi la volonté de concurrencer le Bachelor en trois ans, qui, ces dernières années, attirent toujours plus d'étudiants. "Les Bachelor viennent très clairement concurrencer les DUT actuellement, et une filière technologique en trois ans permettrait de mieux se défendre !" augure François Germinet.» «IUT, licences pro, bachelors : changements en perspective», LE MONDE, publié le 07/02/2019. https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/02/07/iut-licences-pro-bachelors-des-changements-en- perspective_5420597_4401467.html « Surchargé et détourné de ses fonctions initiales, l’enseignement supérieur court et professionnalisant – en particulier les instituts universitaires de technologie (IUT) et les licences professionnelles – est à un tournant. Le diagnostic a été posé : au lieu d’être avant tout des tremplins vers l’emploi, ces filières sont devenues des tremplins vers les études longues – tandis que les bacheliers généraux sont de plus en plus nombreux à s’y intéresser. […] Ce nouveau DUT qui délivrera un diplôme bac +3 (« grade de licence ») sera « plus adapté à l’individualisation des parcours », souligne Rodolphe Dalle, l’autre rapporteur, président de l’Assemblée des directeurs d’IUT (Adiut). Le réseau attend désormais les décisions du ministère avant de s’atteler à la lourde tâche de refonte de tous les programmes. […] Autre sujet brûlant dans ce paysage : le bachelor. Les établissements de la Conférence des grandes écoles (CGE) réclament l’attribution par l’Etat du « grade de licence » (un label d’état, garant d’une certaine qualité) pour leurs programmes bachelor. A la manière du « grade de master » qu’elles ont obtenu pour leurs diplômes bac + 5. Les bachelors, cursus postbac en trois ou quatre ans, se sont énormément développés ces dernières années dans les écoles de commerce et d’ingénieurs. Leurs diplômés peinent parfois à poursuivre leurs études, en cycle master à l’université ou à l’étranger, faute de reconnaissance officielle de leur diplôme dans le système public. Et les familles peuvent être désorientées par une offre privée foisonnante et peu contrôlée. Ce dossier est porté par la CGE depuis plusieurs années, et le ministère de l’enseignement supérieur semble désormais prêt à l’étudier. […]» Revue de Presse 7/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actu | Bac 2021 et enseignement supérieur «Réforme du baccalauréat : les établissements du supérieur se mettent au diapason», EDUCPROS, publié le 28/02/2019. https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/reforme-baccalaureat-etablissements-superieur-mettent-diapason.html « Fidèles à l'esprit de la réforme, les établissements du supérieur ne souhaitent pas recréer des filières en imposant un choix précis de disciplines à suivre. "Nous avons signé une charte dans laquelle nous disions que les formations du supérieur, à travers les représentants de la CGE, s’engageaient à respecter les principes de la réforme du baccalauréat : les choix des élèves au lycée ne doivent pas être déterminants pour la suite de leur cursus", déclare Laurent Champaney, directeur général de l’École des arts et métiers, vice-président la CGE (Conférence des grandes écoles) et président de la commission Amont. En pratique, les établissements réfléchissent tout de même aux consignes à donner pour rester cohérents avec le contenu de leur formation et les attentes des professionnels. "Comme le tronc commun est très tourné vers les humanités, nous proposons aux élèves de seconde de choisir trois enseignements de spécialités scientifiques : mathématiques, physique-chimie et une autre discipline, telle que SVT, numérique et sciences informatiques ou sciences de l’ingénieur", précise Mickaël Prost, président de l’UPS (Union des professeurs de classes préparatoires scientifiques). Par ailleurs, les écoles d’ingénieurs amorcent une réflexion sur l’évolution nécessaire de leurs concours d’entrée. Objectif ? Trouver la meilleure formule pour intégrer des profils diversifiés, tout en sélectionnant des candidats capables de suivre un cursus scientifique très poussé. La traditionnelle épreuve de physique-chimie pourrait-elle subsister ? Rien n’est moins sûr. "Nous pouvons Revue de Presse imaginer une épreuve avec 10 questions de SVT, de physique et de numérique… Ou alors une épreuve de mathématiques, une de logique, une d’expression-motivation et, éventuellement une d’anglais. Plusieurs choix sont possibles", estime Frédéric Meunier, directeur général de l’Efrei. Dans les écoles de commerce, la transition devrait être plus douce car le vivier de recrutement est plus large. "Pendant nos concours, nous ne testons pas des connaissances particulières, mais la mobilisation du cerveau à travers des épreuves de logique et de synthèse", pointe Thomas Lagathu, directeur du concours Sésame. "L’enjeu de notre école est d'accueillir des jeunes avec un potentiel. Aujourd'hui, nous ne recrutons pas sur un bac", ajoute Thierry Delecolle, de l’ISC. Didier Wehrli, délégué général du concours Atout+3, voit même en la réforme du baccalauréat l’occasion d’attirer des profils qui ne candidataient pas jusqu’à présent aux concours des écoles de commerce : "Aujourd’hui, les élèves de L ou de STMG s’auto-censurent ; ils n’osent pas passer les concours. Grâce à cette réforme, les épreuves sélectionneront les bacheliers quelle que soit leur filière." La réforme du lycée nécessite également de mener une réflexion en profondeur sur le recrutement et la constitution des classes préparatoires, notamment les prépas économiques. Actuellement, les élèves de S qui rejoignaient une CPGE économique allaient en ECS (Économique et commerciale, option scientifique), tandis que les ES intégraient une ECE (Économique et commerciale, option économique) et les STMG une ECT (Économique et commerciale, option technologique). […] L’absence de certaines spécialités dans plusieurs lycées ne semble pas non plus inquiéter le monde de l'enseignement supérieur, et ce dans la mesure où les établissements devront s’adapter à des profils plus atypiques qu’auparavant. D’autant que les spécialités qui pourraient être décisives pour rejoindre un cursus spécifique (tels que les mathématiques ou la physique-chimie) devraient être présentes dans la quasi-totalité des établissements. […] » Revue de Presse 8/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Actualités de l’Enseignement 1aire & 2aire Actu | Bac 2021 et mathématiques «Avec la réforme du lycée, le grand flou de la spécialité mathématiques», LE FIGARO, publié le 08/02/2019. https://etudiant.lefigaro.fr/article/avec-la-reforme-du-lycee-le-grand-flou-de-la-specialite-mathematiques_3bfae506- 2ac8-11e9-a5ea-1a5073519f6d/ « C’est l’un des gros chamboulements prévu par la réforme du lycée. En vigueur dès la rentrée prochaine pour les élèves de première, celle-ci prévoit de remplacer les trois filières, S, ES, et S, par un tronc commun à dominante littéraire, et de reléguer les mathématiques au rang de spécialité. Les élèves pourront en choisir trois en première, puis deux en terminale. Cette mesure, censée favoriser une formation «à la carte», suscite en ce moment une vague d’interrogations chez les professeurs, les élèves et leurs parents. Le niveau de difficulté de la future spécialité mathématiques devrait se rapprocher de l’actuelle filière S. Une décision qui laisse certains enseignants circonspects. «Je crains que les élèves ne soient pas prêts, explique Rémi Chautard, professeur de mathématiques en Seine-Saint-Denis. Pour ceux qui auraient plutôt le «niveau ES» en maths, le programme sera plus dur et cela risque d’entraîner une autocensure, et pour les plus scientifiques, le niveau va baisser. En un sens, tout le monde y perd son intérêt.» […] Pour répondre aux inquiétudes grandissantes, le ministère de l’Éducation nationale fait bien valoir la présence d’un «enseignement scientifique» dans le tronc commun, à raison de deux heures par semaine. Revue de Presse Mais la mesure peine à convaincre. «Cela me donne un peu l’impression d’une culture de comptoir, on s’éloigne d’une véritable expertise pour faire davantage de l’histoire des sciences», confie encore Rémi Chautard, pour qui cette matière s’apparenterait plutôt à de «fausses mathématiques». Alexis Torchet explique que cet enseignement scientifique a pour but de «montrer que la science a une histoire, et qu’elle n’est pas une opinion». Baptisé «humanités scientifiques et numériques», ce module avait suscité l’indignation de professeurs de sciences, des maths à la physique-chimie en passant par les SVT. Le gouvernement a donc changé son nom, et tente d’en renforcer l’aspect scientifique. Début janvier, le ministère de l’Education nationale a publié une série de vidéos dans lesquels Jean-Michel Blanquer et le député et mathématicien Cédric Villani expliquent la réforme. […] » «Mathématiques : «Le niveau a dégringolé», assure Cédric Villani», LE PARISIEN, publié le 28/02/2019. http://www.leparisien.fr/societe/mathematiques-le-niveau-a-degringole-assure-cedric-villani-28-02-2019-8021766.php « À qui s’adresse la toute nouvelle spécialité mathématiques au lycée ? CÉDRIC VILLANI. Si vous voulez vous inscrire après le bac dans une filière avec un contenu mathématique important, il conviendra bien sûr de choisir cette spécialité. Par exemple, pour devenir ingénieur, suivre une formation en physique ou encore aller en fac de médecine. Ces programmes, plus relevés que les précédents, sont faits pour ceux qui veulent approfondir le sujet. L’esprit de la réforme, c’est plus de maths pour ceux qui en ont besoin… Ne regrettez-vous pas que la discipline devienne facultative ? Ceux qui ne choisiront pas la spécialité auront tout de même des mathématiques. Mais ce sera sous une autre forme, dans le cadre de l’enseignement scientifique, qui, lui, fait partie du tronc commun. Il s’agira davantage de culture mathématique. Dans une approche pluridisciplinaire, les élèves aborderont l’apport de la discipline dans les sujets du quotidien. C’est une façon aussi de rendre les maths plus vivantes, plus attractives. […] Ce n’est que le début d’une série d’actions. Il y a également tout un travail à faire pour populariser la discipline, en développant un écosystème fait de clubs, de concours, de laboratoires dans les lycées… La formation des enseignants est un aussi un point clé. Les instituteurs viennent à 80 % de filières littéraires et ne sont pas toujours à l’aise avec les mathématiques. Il faut pouvoir mieux les former, mais aussi les épauler, les accompagner…» Revue de Presse 9/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
Service Orientation et Enseignement Supérieur Secrétariat : +33 1 53 69 31 06 Articles thématiques Actu | Insertion professionnelle «Les 5 secteurs qui recrutent le plus de jeunes diplômés en 2019», LE FIGARO, publié le 27/02/2019. https://etudiant.lefigaro.fr/article/les-5-secteurs-qui-recrutent-le-plus-de-jeunes-diplomes_fb081d34-3a7b-11e9-a26f- cb390283d5c9/ « L’insertion des jeunes diplômés des grandes écoles a atteint son plus haut niveau depuis 2010. Selon l’enquête 2018 de la Conférence des grandes écoles (CGE), 9 diplômés sur 10 sont employés moins de six mois après avoir obtenu leur diplôme. Nouveau record: environ deux tiers d’entre eux ont même été recrutés avant même d’être diplômés. Pour ceux qui sont passés par un contrat d’apprentissage pendant leurs études, ce chiffre passe même à 89% dans le secteur de l’industrie mécanique. Dans son guide 2019, le Centre d’information et de documentation des jeunes (CIDJ) fait le point pour déterminer les cinq secteurs qui recrutent le plus de jeunes. 1. L’informatique et le numérique L’Apec prévoit entre 59 000 et 63 000 recrutements en 2019 dans les activités informatiques et télécommunications, 1er secteur recruteur de cadres. Les jeunes diplômés et les jeunes cadres (1 à 5 ans d’expérience) représentent 60 % des recrutements, soit respectivement 27 % et 33 % des opportunités de recrutement. Les jeunes diplômés devraient bénéficier d’environ 17 000 embauches dans ce secteur. Revue de Presse 2. L’ingénierie et la recherche & développement Pour 2019, l’Apec (Association pour l’emploi des cadres) prévoit entre 37 000 et 39 000 recrutements de cadres en ingénierie et R&D. Si les entreprises recherchent des cadres plutôt expérimentés, 56 % des opportunités de recrutement concernent les jeunes: 23 % de cadres débutants et 34 % de jeunes cadres (1 à 5 ans d’expérience). Les chercheurs en entreprise sont relativement jeunes: les 30/34 ans représentent 20 % des effectifs, classe d’âge la plus importante. Les secteurs proposant le plus d’opportunités en R&D sont l’informatique et les télécommunications, le matériel de transport (dont aéronautique et automobile), l’électronique et la mécanique-métallurgie. 3. L’industrie Le palmarès de L’Usine nouvelle de janvier 2019 recense près de 174 000 emplois à pourvoir (contre 141 000 en 2018) dont 24 % destinés aux jeunes, soit + 41 000 recrutements. 45 % de ces recrutements concernent des cadres et des ingénieurs. Les secteurs particulièrement porteurs sont les activités informatiques, le conseil et les services aux entreprises industrielles. 4. L’industrie mécanique Selon l’Apec, l’industrie mécanique prévoit entre 40 000 et 50 000 recrutements par an d’ici à 2020, dont 30 à 40 % de jeunes, à tous les niveaux, du CAP au diplôme d’ingénieur. Mais le secteur souffre d’un manque de visibilité et de reconnaissance auprès du grand public. Ces difficultés s’expliqueraient par une méconnaissance des secteurs industriels par les jeunes ingénieurs et les étudiants, facteur aggravé par les situations géographiques des sites de production. De plus, dans les filières industrielles, les activités de bureau d’études attirent davantage que celles de la production. 5. L’audit-conseil Le secteur du conseil se porte bien et la tendance se confirme, malgré un turn-over important. Pour 2019, les «Big Four» (Deloitte, KPMG, EY, PwC) prévoient 8.000 recrutements dont 4.550 de jeunes, soit plus de la moitié.» Revue de Presse 10/10 AEFE-SORES / FB – 07/03/2019
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