Revue de presse PLANÈTE MER - Céline Gauchet 01/01/2021 - Planète Mer

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Revue de presse PLANÈTE MER - Céline Gauchet 01/01/2021 - Planète Mer
PLANÈTE MER

Revue de presse
2021

Céline Gauchet
01/01/2021
Revue de presse PLANÈTE MER - Céline Gauchet 01/01/2021 - Planète Mer
Vendredi 25 juin

Lien : https://www.stmalo-
agglomeration.fr/tl_files/client/st_malo_agglo/pdf/Publications/SMA_Mag/SMA_MAG_n%C2%B08.p
df

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Dimanche 20 juin

Lien : https://www.letelegramme.fr/finistere/la-fort-fouesnant/des-experiences-natures-et-
environnementales-a-l-accueil-de-loisirs-20-06-2021-12772757.php

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Vendredi 18 juin

Lien :

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Mardi 8 juin

Lien : https://www.delpierre.com/nos-actualites/decouvrez-ce-que-la-mer-a-de-bon-avec-delpierre/

Publié le 8 juin 2021

Découvrez ce que la mer a de bon avec Delpierre
Delpierre vous fait découvrir le meilleur de la mer, dans le respect des espèces marines et de
l’environnement.

                               #BonPourMoi #BonPourLaMer.

En tant que poissonnier responsable, la préservation de la biodiversité marine est au cœur de
nos préoccupations. C’est pourquoi, à l’occasion de la journée mondiale des océans, nous
avons organisé une expérience autour de la biodiversité.

En immersion sur une plage de Saint-Malo, nous avons partagé un moment convivial
avec Tristan et Laurent de l’association Planète Mer ainsi que 3
influenceuses, @Fleurensucre, @Lolaetsesminis @Baroudeuseculinaire ainsi
que Clément et Mathilde pour représenter la marque Delpierre.

Retour en vidéos sur quelques moments de cette incroyable rencontre. Ne manquez pas
l’intégralité sur nos pages Facebook & Instagram.

“L’océan, creuset de notre humanité”

    •   Laurent, directeur général de l’association Planète Mer, nous plonge dans les secrets de la
        biodiversité marine. Son expérience et ses connaissances sur les océans nous passionnent et
        rendent concrets nos engagements pour préserver cette biodiversité :

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    •   De son côté, Tristan, chargé de mission de l’association Planète Mer, nous fait découvrir
        avec passion les écosystèmes marins du littoral breton et leur importance pour assurer un
        équilibre global :

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Delpierre s’engage pour préserver

   •   Depuis toujours, nous sommes conscients de notre rôle à jouer pour que les générations
       actuelles et futures puissent pleinement profiter de tout ce que la mer a de meilleur à nous
       offrir. C’est pourquoi, nos poissons et crustacés sont issus de pêche durable ou aquaculture
       responsable, nos produits sont fabriqués dans nos ateliers en France dans le respect de la
       matière première pour garantir le meilleur goût de la mer et nous travaillons pour
       optimiser nos emballages.

   •   Retrouvez les impressions de nos 3 influenceuses à la fin de cette expérience riche en
       découvertes.

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•   Pour aller plus loin et maintenir un équilibre entre vie humaine et durabilité de la
       biodiversité marine, Delpierre s’engage à reverser 1% du bénéfice de ses ventes des
       produits porteurs de l’offre à des associations en faveur des océans.

Découvrez tous nos engagements pour la préservation des océans sur
nos pages Instagram et Facebook !

   En savoir plus sur l’association Planète Mer !

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Mardi 8 juin

Lien : https://www.ouest-france.fr/bretagne/dinard-35800/dinard-la-laisse-de-mer-contribue-a-la-
biodiversite-ebff3480-c86d-11eb-af17-3d7bbb155e46

Dinard. La laisse de mer contribue à la
biodiversité

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Mardi 8 juin

Lien : https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/saint-malo/douze-plongeurs-participent-a-une-
journee-de-reconnaissance-a-la-varde-08-06-2021-
12764169.php?fbclid=IwAR3bz5JVVdLP4lQhtHYXdbDMunhvMgX2NndkCj9RbPCh2JosQd6EKiDZnsM

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Lundi 7 juin

Lien : https://www.facebook.com/Opntvstream/videos/190986739588689

 Interview de Laurent Debas, directeur de Planète
             Mer sur OPNTVSTREAM

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Lundi 7 juin

Lien : https://ocean-climate.org/wp-content/uploads/2021/06/Ocean-solutions-report.pdf

   Ocean of solutions to tackle climate change and
                   biodiversity loss

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Samedi 5 juin

Lien : https://www.facebook.com/TVR35Bretagne/posts/3622252961212771

       Reportage sur le projet Impact – TV Rennes
Retour sur l'immersion de mouillages innovants pour limiter l'impact de l'activité de plaisance sur les
herbiers de Zostère.

Porté par Saint-Malo Agglomération et Ville de Saint-Malo avec le soutien de Office français de la
biodiversité à travers le Life #Marha, Planète Mer coordonne un projet de suivi de l'herbier de
#Zostère de la pointe de la Varde à Saint-Malo.

Le projet a vécu un temps fort aujourd'hui avec l'immersion de deux mouillages innovants de
moindre impact. Ces mouillages feront l'objet d'un suivi scientifique sur une durée de trois ans par
les chercheurs du Muséum national d'Histoire naturelle de Dinard (en plongée), Centre de
géoécologie littorale - EPHE / PSL (suivi par drone) et par les clubs de plongée de la baie de Saint-
Malo.

L'immersion a été réalisé par la société Bretagne plongée en partenariat avec l'association des
plaisanciers de Rotheneuf (APPR), gestionnaires des mouillages.

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Lundi 24 mai

Lien : https://happeningnext.com/event/les-secrets-de-la-laisse-de-mer-%C3%A0-la-maronaise-
eid4snsccm9l51

Les secrets de la laisse de mer à la Maronaise
Schedule
Wed Jun 16 2021 at 09:00 am to 11:30 am
UTC+02:00

Location
Anse de la Maronaise | Marseille, PR

Partez à la découverte des laisses de mer avec l'association Planète Mer.
About this Event

À travers les sciences participatives et l'observation des laisses de mer, Planète Mer vous
propose de découvrir les secrets de cette biodiversité, pour mieux la protéger. Pour compléter
l'activité, un nettoyage de la laisse de mer sera réalisé. Au littoral, citoyens !

À partir de 8 ans.

Une animation Educalanques

Pensez à prendre: appareil photo, casquette, eau, chaussures de marche.

© F.Launette

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Where is it happening?
Anse de la Maronaise, Anse de la Maronaise, Marseille, France

Tickets

EUR 0.00

Host or PublisherLes pirates du plastique

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Mercredi 19 mai

Lien : https://www.lebonbon.fr/marseille/loisirs/que-faire-a-marseille-ce-week-end-21-23-mai/

Que faire à Marseille ce week-end ? (21 - 23
mai)

Le 19 mai est passé et désormais, tout reprend vie. Vraiment tout. Les events et sorties
refleurissent en masse sur les réseaux sociaux. Nous avons donc fait une compilation de ce
que vous pourrez faire dès demain, sous le soleil de printemps et la petite brise du
déconfinement.

[…]

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Samedi 15 mai

Lien : https://www.blacksunset.fr/blogs/blog/planete-mer

PLANÈTE MER

Aujourd’hui pour ce deuxième article, nous avions envie de vous parler d'un sujet qui nous
tient à cœur, la protection des mers et des océans.

Laissez nous vous rappeler quelques chiffres : Chaque jour, dans le monde, 10 tonnes de
plastiques sont produites et 1 dixième finit dans les océans. D’après une étude, si nous ne
faisons rien d’ici 2050, il y aura plus de plastique dans les mers que de poissons…

Nous allons alors aujourd’hui vous présenter des gens qui agissent pour préserver notre mer
adorée.

L'association "Planète mer", (https://www.planetemer.org/) fondée par deux passionnés de
la nature, Mathieu Mauvernay et Laurent Debas, est une association basée à Marseille qui
vise à rééquilibrer la vie maritime et les activités humaines à travers des actions accessibles à
tous.

Ils travaillent notamment avec des pêcheurs dans le but de contrôler la gestion des ressources
de pêche. En plaçant le pêcheur comme véritable gestionnaire de ressources, une pêche avec

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un faible impact sur le milieu marin est possible. Le chemin est loin d’être terminé mais on
soutient cette initiative qui coule de source !

L’association propose également des sorties pour tout amoureux du monde marin afin
d’observer le littoral, récolter des données et prendre des photos. Ces éléments sont par la
suite transmis à des scientifiques qui leur permettront de mieux étudier les réactions du
monde marin à la pollution, le changement climatique, l’introduction de nouvelles espèces,
etc. C’est un moyen pour les petits comme pour les grands de se sentir pour le temps de
quelques heures comme un vrai scientifique et aider réellement la science.

Il est également possible pour chacun d’entre nous de faire un don sur leur site pour soutenir
leurs actions qui ne se déroulent pas seulement à Marseille mais également au golfe de
Gascogne, au cap Roux et en Indonésie (et d’autres sont à venir) !

Ici, chez Black Sunset, nous nous efforçons d’avoir un impact minimal sur l’environnement
et sommes engagés dans sa préservation. Et à notre niveau, nous sommes convaincus que
nous pouvons faire bouger les choses.

Nous vous souhaitons un bon week-end.

Marine & Tiphaine

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Lundi 10 mai

Lien : https://fetedelanature.com/sites/default/files/fichiers/fiche_biolit.pdf

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Mercredi 28 avril

Lien : https://www.tela-botanica.org/2021/04/bioblitz-science-et-vie/

Bioblitz Science et Vie
Les 22 et 23 mai, le magazine Science & Vie, partenaire de la Fête de la Nature, organise un
observatoire géant de la biodiversité. Ouvert à tous, le Bioblitz Science & Vie permettra de multiplier
les inventaires nature partout en France à l’aide de protocoles de sciences participatives accessibles,
dont Sauvages de ma rue.

L’objectif est d’enrichir les données des scientifiques mais surtout d’approfondir les connaissances du
grand public de manière ludique en s’essayant à l’identification des espèces animales et végétales.

Un Bioblitz ?

Affiche Bioblitz de Science & Vie

Le Bioblitz est un inventaire éclair, une étude sur une portion bien précise de terrain, où un
groupe de scientifiques et/ou de bénévoles mènent un inventaire biologique intensif pendant
un temps court (24 ou 48 heures). L’objectif est d’identifier et de répertorier toutes les espèces
d’organismes vivants présents dans une zone donnée.

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Dans le cadre de la 15e édition de la FÊTE DE LA NATURE, maintenue du 19 au 23 mai
2021, Sciences & Vie organise un Bioblitz visant à :

   •    Mener un inventaire général via https://determinobs.fr/
   •    Mener des inventaires ciblés sur des milieux ou des ensembles d’espèces
        Des programmes de sciences participatives avec des application de transmission de données
        sont prévus. Le programme Sauvages de ma rue a été sélectionnée parmi 4 inventaires ciblés
        : Spipoll, Biolit, Sauvages de ma rue et Oiseaux des jardins.

Liens

   •    En savoir plus sur le Bioblitz Sciences & Vie

Participez à Sauvages de ma rue

   •    https://www.tela-botanica.org/projets/sauvages-de-ma-rue/

Fête de la nature 2021

Pour sa 15e édition, avec le thème « À travers mille et un regards », la Fête de la Nature nous
invite à partager notre approche de la nature que l’on chérit et préserve. Nature sauvage ou
cultivée ? Biodiversité sacralisée ou utilisée ? Selon que l’on soit de la ville ou de la
campagne, botaniste passionné ou curieux, biologiste ou agriculteur, artiste ou garde nature…
partageons nos divers points de vue !

   •    Participez à la Fête de la nature 2021 !

        Pour sa 15e édition, avec le thème « À travers mille et un regards » la Fête de la
        Nature nous invite à partager notre approche de la nature que …

Liens

   •    Communiqué de presse de la Fête de la nature

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Jeudi 22 avril

Lien : https://www.science-et-vie.com/nature-et-enviro/participez-au-bioblitz-science-vie-un-
observatoire-geant-et-ephemere-de-la-biodi-62630

Participez au Bioblitz Science & Vie, un
observatoire géant et éphémère de la biodiversité
!
1 MIN de lecture

22 avr 2021 à 13h00

Mis à jour 22 avr 2021 à 15h08

Par Marketing S&V

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Pour la Fête de la Nature, Science & Vie organise
un observatoire géant de la biodiversité, le week-
end des 22 et 23 mai dans toute la France.
Le Bioblitz Science & Vie vous permettra de découvrir, dans un cadre familial et convivial,
la nature de votre région. Vous pourrez ainsi contribuer à un projet d’utilité publique, en
enrichissant la base de données des scientifiques, avec les observations que vous leur
apporterez.

Le Bioblitz Science & Vie, un observatoire géant (et éphémère) de la biodiversité

Science & Vie vous propose, le week-end des 22 et 23 mai, de réaliser vos propres inventaires
d’espèces près de chez vous, en participant à différents programmes de sciences
participatives :

   •   Spipoll : dans un lieu floral, pour mener des observations sur les insectes pollinisateurs de
       fleurs.
   •   Observatoire des oiseaux des jardins : dans la nature, pour compter le nombre d’oiseaux
       différents que vous apercevrez.
   •   BioLit : en bord de mer, pour observer les espèces vivantes et échouées de votre paysage.
   •   Sauvages de ma rue : dans votre quartier, pour découvrir des espèces dont vous n’aviez pas
       connaissance.
   •   Opération papillons : dans la nature, pour compter le nombre de papillons différents que
       vous observerez.

En participant, vous contribuez donc de manière concrète à la préservation de la
biodiversité par l’amélioration de sa connaissance.
Votre contribution permettra aux chercheurs d’étudier les problématiques sur lesquelles ils
travaillent : comment évoluent les espèces, dans quel milieu se portent-elles le mieux,
comment réagissent-elles dans les différents environnements auxquels elles sont
confrontées…

Pour avoir la liste des bioblitz organisés près de chez vous ou pour obtenir des informations
pour mener un inventaire de façon autonome, rendez-vous sur :
www.fetedelanature.com/science-et-vie-bioblitz

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Jeudi 1er avril

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Mardi 30 mars

Lien : https://actu.fr/normandie/blainville-sur-mer_50058/dans-la-manche-on-compte-les-
bigorneaux-pour-aider-la-science_40438455.html

Dans la Manche, on compte les bigorneaux pour
aider la science
Relais dans la Manche d'un programme de science participative, l'association Avril invite à
compter les bigorneaux pour aider à comprendre leur habitat, les algues brunes.

Compter les bigorneaux, et en profiter pour mieux les connaître, c’est ce que propose AVRIL, le 28
avril 2021, dans le cadre du programme BioLit. (©Association Avril)

Par Géraldine Lebourgeois Publié le 30 Mar 21 à 16:30

« Les grandes algues brunes constituent un formidable habitat pour de nombreuses espèces
animales qui y trouvent un refuge et de quoi se nourrir », expliquent les coordinateurs du
programme BioLit, programme national de science participative sur la biodiversité littorale.
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Parmi ces espèces, les bigorneaux que l’association Avril, relais dans le département de la
Manche du programme, invite à venir compter le mercredi 28 avril 2021. Rendez-vous est
donné à 14 heures à la cale du Grand herbet, à Blainville-sur-Mer (inscriptions obligatoires,
nombre de places limité).

On part un peu comme pour une pêche à pied, et on se concentre sur la récolte des bigorneaux
et autres, de la famille des littorines.

Jérémy Lefebvre Animateur pour l'association Avril

« Sur l’estran, on délimite des carrés d’un mètre sur un mètre, des « quadra », dans lesquels
on récolte les bigorneaux pour les compter, les identifier, et on reporte les données sur des
fiches d’identification. On en profite pour s’arrêter et s’intéresser à leur milieu de vie, sur les
algues brunes présentes. »

Récolter, compter, identifier

Les algues brunes « sont en proie à une régression sur certaines parties du littoral, sans que les
scientifiques ne sachent véritablement pourquoi ». Aussi, leur transmettre ces observations,
c’est « contribuer à mieux connaître l’écosystème à macro-algues brunes, pour mieux le
préserver », expliquent les coordinateurs de BioLit.

Renseignements et réservation obligatoire auprès de l’association Avril : 02 33 19 00 35
Site Internet : www.associationavril.org
Chacun peut participer aussi sur le forum d’identification : www.biolit.fr

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Lundi 29 mars

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Mercredi 24 mars

Lien : https://35yx4.r.ag.d.sendibm3.com/mk/mr/jzcB4s2P6-
xTtjK12lYztSnPhVlXgOhXgazP3RwlVyVz61hzTgbvAgKYA0IREh1FmZ9m0I0QYNV9e8OeUCGp1aEf1ujJA
148K9noDEut1QWcFQ

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Lundi 15 mars 2021

Lien : https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/idees-de-business/0610624740440-rse-m-o-boa-
digitalise-l-engagement-a-impact-dans-les-entreprises-342665.php

RSE : Mão Boa digitalise l'engagement à impact
dans les entreprises

La start-up marseillaise Mão Boa a mis au point un programme ludique qui permet de
souder les collaborateurs autour de la politique RSE de leur entreprise. Plus ils relèvent
de défis, plus ils gagnent d'euros pour la cause qu'ils défendent.

Comment redonner du sens au travail ? Avec la crise sanitaire, de plus en plus de salariés ont
fait monter d'un cran leur exigence de valeur. « Le télétravail a fortement affecté les
dynamiques d'équipes et l'engagement des collaborateurs dans l'entreprise », explique
Maxime Marchand, président-fondateur de la start-up marseillaise Mão Boa. Baptisée
#proudtoimpact, sa solution collaborative d'engagement à impact est une plateforme digitale,

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présentée sous forme ludique, qui propose concrètement de soutenir des projets associatifs
en relevant des challenges liés à la politique RSE de l'entreprise.

Les collaborateurs se retrouvent en équipes de 6 à 10 personnes autour du projet associatif de
leur choix sur les enjeux de solidarité, d'environnement ou d'éducation. Un nouveau défi leur
est présenté chaque semaine : supprimer individuellement 50 Mo de données sur le serveur,
se rendre au travail en mode bas carbone… Chaque défi relevé est récompensé de points,
transformés en euros pour financer l'initiative choisie à la fin du challenge.

Lire aussi >> Déconfinement : trouver les mots pour engager ses équipes en temps de crise

« Avec ce dispositif, on mobilise le capital humain, la motivation et l'engagement dans la
transformation des entreprises. Celles qui réussiront à bâtir un modèle plus inclusif et
durable seront les mieux armées pour affronter les défis futurs », explique-t-il. Selon une
enquête de Cone Communications, 55 % des collaborateurs affirment que l'engagement social
ou environnemental est désormais un critère aussi, voire plus important que le niveau de
salaire.

Retour d'expérience

Chez Carré Bleu, un groupe de services en ingénierie du bâtiment, la solution a été déployée
pendant 12 semaines au début du deuxième confinement. Plus de 87 % des 35
collaborateurs l'ont utilisée. « Les challenges ont permis de garder le lien et de créer des
dynamiques durant ces temps de télétravail, et d'impulser la transformation durable du
groupe », témoigne sa directrice générale, Aurélie Bois-Macherey.

Plusieurs associations ont profité de cette mobilisation, dont Apprentis d'Auteuil, Architectes
sans frontières et Planète Mer. Depuis son lancement, #proudtoimpact a permis aux
entreprises clientes et à leurs collaborateurs d'éviter plus de 4 tonnes équivalent CO2, et de
collecter plusieurs milliers d'euros pour les associations partenaires.

L'idée

Date de création : 2019

Président : Maxime Marchand

Effectif : 2 personnes

Secteur : RH

Solidarité avec les entrepreneurs
Dans cette période difficile, les entrepreneurs et dirigeants de TPE-PME ont plus que jamais besoin
d’être accompagnés. Le site Les Echos Entrepreneurs apporte sa contribution en proposant
informations et témoignages gratuitement pour les prochaines semaines. Pour rester informés de
l'actualité entrepreneurs et startups, pensez à vous abonner à notre newsletter quotidienne et/ou à
la newsletter hebdomadaire Adieu la crise !

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Mercredi 10 mars 2021

Lien : http://5zjj.mj.am/nl2/5zjj/mhts0.html?m=ANAAAJh4nI4AAcx9vpgAAGRDMCwAAP-
KURYAGCSWAAUlYwBgSMmN6O_s6MqfSkeEp6lJlXbIKgAE7yA&b=f34bd87c&e=d8dc84c8&x=IiEK665
SxkjVm98MeVL_TOlolwuhCwW7rvgHO6ZaozY

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Lundi 08 mars 2021

                     36
Jeudi 04 mars 2021

Magazine Plongez !

         Une appli mobile bientôt disponible

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Mardi 2 mars 2021

Lien : https://fetedelanature.com/bioblitz-science-et-vie

Bioblitz Science & Vie
les 22 et 23 mai

À l’occasion de la prochaine Fête de la Nature, Science&Vie organise un observatoire géant
de la biodiversité les 22 et 23 mai. Vous êtes membre d’une association ? Agent d’une
collectivité ? Élu d’un territoire ? Rejoignez-nous les lecteurs de Science & Vie pour organiser
un grand inventaire de la nature dans votre région et contribuer au plus grand observatoire
jamais organisé au niveau national !

Qu’est-ce qu’un Bioblitz ?

C’est un inventaire éclair, une étude sur une portion bien précise de terrain, où un groupe de
scientifiques et/ou de bénévoles mènent un inventaire biologique intensif pendant un temps
court (24 ou 48 heures). L’objectif est d’identifier et de répertorier toutes les espèces
d’organismes vivants présents dans une zone donnée.

Quel intérêt ?

Un fantastique moyen de s’intéresser et de découvrir la nature, dans le cadre d’une
manifestation familiale, instructive et ludique.

    •   Pour les scientifiques : enrichir leurs données, partager leur enthousiasme et leur savoir
        directement avec leurs pairs et le grand public.
    •   Pour votre territoire : connaître les espèces présentes, mettre en œuvre des mesures de
        conservation, entrer dans des dispositifs plus larges tels que les Atlas de la biodiversité
        Communale portés par l’Office français de la biodiversité.
    •   Pour les habitants : s’initier à l’identification des espèces, découvrir leur territoire sous un
        nouvel angle, partager un moment convivial avec leurs concitoyens.

Comment organiser un Bioblitz Science&Vie

L’objectif sera de rassembler le plus grand nombre de naturalistes experts, avant de guider et
accompagner les inventaires. Pour trouver ces experts, vous pouvez contacter les associations
naturalistes de votre région, notamment ceux ayant déjà participé à la Fête de la Nature, ou

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encore vous rapprocher de votre commune et des élus en charge de l’environnement et de la
biodiversité. Si vous souhaitez mener ce projet de manière plus autonomes, vous pouvez
mettre en œuvre des programmes de sciences participatives facilement applicables, même par
des non experts !

Une fois votre projet programmé (lieu, date, déroulé...), annoncez votre Bioblitz dans la
programmation de la Fête de la Nature. N'oubliez pas d'organiser un temps de célébration
festif pour les participants (dans le respect des consignes sanitaires !)

Quelles actions d'inventaires réaliser ?

Mener un inventaire général
Photographiez et partagez vos découvertes et observations avec les experts grâce à
l’application mobile INPN Espèces qui vous facilite la tâche (Android et iOS). L’application
vous permet de contribuer à l’amélioration de la connaissance des espèces françaises ! En
quelques clics, envoyez vos photographies d’espèces sauvages, accompagnées de quelques
précisions (date et le lieu de l'observation, groupe du spécimen observé, voire l’espèce
supposée). Vous recevrez ensuite une identification par les experts ainsi que des informations
complémentaires : première observation dans la commune ou le département, espèce
menacée… Les observations sont intégrées dans l'Inventaire national du patrimoine naturel
(INPN) et permettent d'enrichir les données de répartition des espèces concernées.
https://determinobs.fr/

Mener des inventaires ciblés sur des milieux ou des ensembles d’espèces
Pour votre Bioblitz, vous pouvez aussi vous concentrer sur un sujet d’étude. Des programmes
de sciences participatives avec des application de transmission de données sont à votre
disposition. Vous pouvez aussi combiner toutes ces actions pour proposer une journée multi-
activités d’inventaires ! Nous avons sélectionné quelques exemples de protocoles
d’inventaires simples à appliquer :

   •   Sur les insectes pollinisateurs
       Le programme Spipoll (Suivi des insectes pollinisateurs) propose de réaliser l’inventaire des
       insectes ou autres petites bêtes présents sur une espèce florale pendant 20 minutes. Vous
       pouvez multiplier les espèces florales et faire un inventaire des pollinisateurs de nombreuses
       fleurs.
       https://www.spipoll.org
   •   Sur le littoral
       Le programme Biolit vous demande de photographier le paysage, photographier les espèces
       animales ou végétales rencontrées (vivantes ou échouées), noter les horaires d’observation
       et transmettre vos données.
       https://www.biolit.fr/a-vos-observations
   •   Dans les rues
       Le programme Sauvages de ma rue vous amène à faire l’inventaire des trottoirs, en relevant
       la présence d'espèces végétales parmi 240 référencées. Il vous faudra identifier dans quels
       milieux elles poussent (aux pieds d’arbres, dans les fissures du trottoir…).
       http://sauvagesdemarue.mnhn.fr
   •   Dans les jardins et parcs
       Le programme Oiseaux des jardins vous invite à transmettre les observations d’oiseaux qui
       visitent les jardins, les parcs. Vous comptez le nombre d’individus en veillant à ne pas
       compter 2 fois le même. Des espèces simples à identifier ! Vos données conjureront à un
       programme de recherche visant à étudier les effets sur la biodiversité du climat, de

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l’urbanisation et de l’agriculture.
https://www.oiseauxdesjardins.fr

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Jeudi 25 février 2021

Lien : https://35yx4.r.ag.d.sendibm3.com/mk/mr/lK-
okqttPL4XwR0WHHmoa7y_7sPZcO4w8fbN4PCW0dJoAvdf74dGHKuQqV7i8A9KgnXgXNHGyFhaJ1jGhK
suF_6Fkp21_ffOboyqVm8hQWfQBw

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Jeudi 28 janvier 2021

Lien : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-01-28/en-mediterranee-les-poissons-
retrecissent-ou-disparaissent-les-pecheurs-doivent-sadapter-80d881ff-885e-44af-b918-
a9d79f507b24

En Méditerranée, les poissons rétrécissent ou
disparaissent, les pêcheurs doivent s’adapter
Par Paul GRATIAN

Certaines espèces de poissons deviennent plus petites, d’autres sont de moins en moins
nombreuses… Sur la côte méditerranéenne, le réchauffement climatique et la surpêche ont
déjà des conséquences concrètes. De quoi rendre indispensable le développement d’une pêche
plus durable. Quatrième volet de notre série consacrée aux villes et régions françaises déjà
confrontées au changement climatique.

(Carte : Ouest France)

La scène se passe sur la côte méditerranéenne, quelque part entre Toulon (Var) et Marseille
(Bouches-du-Rhône). Nous sommes en 1995. Pierre Morera, jeune pêcheur d’une trentaine

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d’années, doit se résoudre à pêcher des poulpes, un animal qu’il trouve pourtant attachant. Pas
le choix s’il veut pouvoir continuer à vivre de son métier.

« On en a pêché beaucoup, on se concentrait uniquement sur cette espèce, se souvient-il
des années plus tard, aujourd’hui âgé de 57 ans. Et puis, je me suis aperçu d’une nette
diminution des stocks. C’est bien simple, il y en avait de moins en moins, voire
quasiment plus », se remémore le pêcheur, encore attristé. Sa décision est alors prise, il ne
pêchera plus jamais.

Mais l’histoire sert de leçon à celui qui est devenu président du Comité des pêches du Var.
« J’ai touché du doigt qu’une pêche trop spécialisée et trop soutenue peut faire du mal »,
a-t-il retenu.

Et si cette scène augurait ce que le réchauffement climatique et la surpêche nous réservent
dans les prochaines années ? Cette crainte, de nombreux pêcheurs du sud-est de la France la
partagent.

De moins en moins d’oursins à cause du réchauffement de l’eau

Avec 32 années sur les mers à son compteur, Pierre Morera, pêcheur « par choix et par
passion », dit avoir déjà constaté les effets du changement climatique.

« J’ai commencé à le percevoir en 2007. Nous, ici, dans la rade à Toulon, on a très
souvent un courant d’est, qui vient d’Italie. À partir de cette année-là, on a constaté un
courant nord et sud qui est très mauvais pour la pêche. C’est simple, vous mettez le
même matériel, mais vous ne pêchez rien ! Ces nouveaux courants ont perturbé les flux
de plancton et ça a eu une incidence sur toute la chaîne alimentaire, donc sur les
poissons que je pêche », explique-t-il depuis son bureau du Comité des pêches du Var, dans
la rade de Toulon.

Pierre Morera et son chien, dans les bureaux du Comité des pêches du Var, à Toulon. (Photo :
Paul Gratian / Ouest France)

Il cite également l’acidification des océans, liée aux rejets en CO2 de l’activité humaine, tout
comme un réchauffement de l’eau. Cet ancien pêcheur d’oursins sait de quoi il parle.
« Comme l’eau est plus chaude l’été, les oursins descendent plus bas pour trouver des

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températures plus froides. Et la pression de l’eau les tue. Résultat : il y en a de moins en
moins. »

« Signes manifestes du réchauffement climatique »

Ces effets sont bien connus des scientifiques. « Il y a des signes manifestes du
réchauffement climatique », nous déclare Yunne Shin, chercheuse en écologie marine à
l’institut de recherche pour le développement (IRD, Marbec).

« C’est très difficile de démêler ce qui est dû au changement climatique, à la pêche ou
même à la pollution, mais toutes les ressources en Méditerranée sont extrêmement
dégradées, l’état des stocks de poisson est très bas », poursuit cette spécialiste en
biodiversité marine basée à l’université de Montpellier (Hérault).

Concrètement, la taille des sardines et des anchois a baissé depuis plusieurs années. « On
soupçonne le changement climatique, car la hausse de la température demande à ces
poissons plus de nourriture, sinon ils deviennent plus petits. »

Des petits poissons, vendus au kilo. (Photo d’illustration : photosforyou / Pixabay)

Six fois trop de poissons sont pêchés en Méditerranée

Autre conséquence : certaines espèces aimant l’eau chaude prolifèrent. C’est par exemple le
cas du poisson-lapin et du barracuda. À l’inverse, d’autres voient leur population se réduire,
comme les oursins ou le merlu. Leurs niveaux commencent à être préoccupants, ils sont donc
de plus en plus difficiles à pêcher.

Ces répercussions ont des conséquences en chaîne. « Cela vient bouleverser un écosystème.
Comme la biodiversité induit des réactions en chaîne sur toutes les espèces, on ne sait
pas tellement ce que cela peut donner sur le long terme », prévient Yunne Shin.

« Selon les projections, on va jusqu’à moins 25 % de biomasse en moins pour les espèces
d’intérêt commercial dans le nord de la Méditerranée, c’est-à-dire sur les côtes
françaises, qui sont affectées très négativement. Et ce, d’autant plus si l’exploitation
continue comme d’habitude », poursuit la scientifique.

Car la Méditerranée est souvent pointée du doigt comme étant l’une des mers les plus
surexploitées, ce qui n’arrange pas les choses. De quoi faire dire à Yunne Shin que cette

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région du monde est « un peu le mauvais élève » sur le sujet de la pêche. Aujourd’hui, le
niveau d’exploitation est presque six fois supérieur au maximum de captures soutenable.

La pêche durable, une nécessité

Pourtant, des solutions existent. Elles prennent la forme d’une pêche durable, qui respecte à la
fois les impératifs économiques nécessaires à la survie de la profession et le respect de la
biodiversité et des poissons.

Depuis 2007, l’organisation non-gouvernementale Planète Mer travaille avec les pêcheurs
locaux pour concilier respect de l’environnement et activités humaines. « Il y a de plus en
plus d’actions pour l’environnement, pour une meilleure pêche durable », salue Laurent
Debas, son président, docteur en océanologie, spécialiste des questions liées à la pêche, à
l’aquaculture et à la protection de l’environnement marin.

Pierre Morera travaille avec l’association. « J’essaie de minimiser mon impact sur la
planète et de valoriser mon poisson, explique-t-il. C’est-à-dire d’en tuer le minimum et
de le vendre le mieux possible et, bien évidemment, de ne jamais jeter de poisson. »

Celui qui se définit comme « pêcheur écolo » met également en œuvre une pêche dite
« polyvalente » : « En fonction des saisons et des périodes, je répartis mon effort de
pêche. À des moments je pêche du thon et de l’espadon, à d’autres des sèches, des
pagres », énumère-t-il.

L’idée étant de ne pas pêcher tout le temps la même espèce et de la laisser se reposer, un peu
comme un paysan le fait avec un chant en jachère. Pour cet amoureux de la nature, pas le
choix : « J’aime passionnément la mer, c’est pour cela que je fais ce métier, donc je n’ai
pas envie de détruire ce milieu », résume-t-il simplement. Cette polyvalence permet aussi de
s’adapter à des conditions climatiques de plus en plus imprévisibles.

Pêche illégale

Au-delà de la façon de pêcher, on pourrait également mieux comptabiliser les stocks de
poissons. Car à l’heure actuelle, seules quelques espèces font véritablement l’objet d’un
recensement.

« On a développé une action pour améliorer nos connaissances sur le stock d’oursins »,
explique par exemple Audrey Lepetit, spécialisée pour Planète Mer dans la gestion des pêches
et des écosystèmes côtiers.

Un travail est réalisé par l’association, en collaboration avec les pêcheurs et les scientifiques,
pour mieux dénombrer les populations de poissons. Concrètement, les pêcheurs récoltent des
données et Planète Mer les analyse. Un état des lieux crucial pour mesurer l’ampleur du
déclin des ressources.

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Laurent Debas et Audrey Lepetit, de l’association Planète Mer à Marseille (Photo : Paul
Gratian / Ouest France)

« Et puis, on est aussi confronté au problème de la pêche illégale qui passe à travers les
mailles du filet, si j’ose dire », ajoute Laurent Debas, ancien responsable mer chez WWF
France, depuis les bureaux de Planète Mer, situés à deux pas des eaux de la Méditerranée, à
Marseille.

L’association lutte pour que des gardes « jurés », sorte de gendarmes des mers, soient recrutés
en Méditerranée pour lutter contre le braconnage.

Agir avant qu’il ne soit trop tard

Mais cette nouvelle façon de pêcher et ces prises de conscience, plus respectueuses de
l’environnement et des ressources, seront-elles suffisantes ?

« Ce qu’on peut faire peut changer les choses », pense Yunne Shin, citant l’exemple de la
forte mobilisation sur le thon rouge, qui a permis de restaurer les stocks de cette espèce en
danger.

Mais il faut alors se dépêcher pour que la situation ne devienne pas irréversible. « Il y a des
points de bascule où la résistance des stocks est mise à mal, des moments où c’est allé
trop loin », précise la scientifique. Le tout est donc d’agir avant, et le plus vite possible, pour
ne pas voir les stocks de poissons s’effondrer pour toujours.

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Dimanche 10 janvier 2021

Lien : https://www.lci.fr/international/video-ces-francais-qui-vivent-a-raja-ampat-le-paradis-pour-
robinsons-6027-2175128.html

Ces Français qui vivent à Raja Ampat, le paradis
pour Robinsons

MODE DE VIE – Ils ont renoncé à notre mode de vie pour vivre dans un paradis à 13
000 km de l'Hexagone. Découvrez ces Français qui se sont établis sur l'archipel
indonésien de Raja Ampat en Papouasie.
10 janv. 2021 18:58 -

Ils ont tourné le dos au confort moderne, à la société de consommation pour un paradis naturel
en Papouasie. Arrivés en touristes dans l'Archipel de Raja Ampat, comme Max il y a une
vingtaine d'années, Thibault et Kerry, Tony, Arnaud, ont troqué le confort moderne pour une
vie en harmonie avec une nature prodigieuse. L'Archipel est l'un des endroits au monde où la
vie sous-marine est la plus riche. Surnommé l'Amazonie des mers, l'endroit attire les

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plongeurs du monde entier. Mais ces nouveaux résidents protègent jalousement ce sanctuaire
encore peu impacté par l'activité humaine.

1 500 iles forment l'Archipel de Raja Ampat. Une jungle éparpillée au confluent du Pacifique
et de l'Océan Indien, l'épicentre mondial de la biodiversité marine. Sur l'équivalent du dixième
de la superficie de la France, 75% des espèces de coraux de la planète, dans une eau qui
semble encore préservée du grand carnage des océans. Des iles perdues encore méconnues
des touristes, où l'on mène une vie de Robinsons.

Cet extrait vidéo est issu du replay de Sept à Huit, émission d’information et de reportages
hebdomadaire diffusée sur TF1 et présentée par Harry Roselmack. 7 à 8 propose 3 à 4
reportages sur l’actualité du moment : politique, faits divers, société ou encore évènements
internationaux.

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