Saison Cinéma LA TRAVIATA LES INDES GALANTES - Cinéma Arcadia
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EN PARTENARIAT AVEC PRÉSENTE Saison Cinéma LA TRAVIATA LE PRINCE MANON EN DIRECT LE 24 SEPTEMBRE IGOR EN DIRECT LE 17 MARS EN DIRECT LE 17 DÉCEMBRE LES INDES LE PARC GALANTES IL TROVATORE BALLET LE 23 AVRIL EN DIRECT LE 10 OCTOBRE (ARÈNES DE VÉRONE) LE 16 JANVIER MADAME LA FLÛTE BUTTERFLY ENCHANTÉE GISELLE (GLYNDEBOURNE) BALLET EN DIRECT LE 14 MAI (FESTIVAL DE SALZBOURG) LE 6 FÉVRIER LE 14 NOVEMBRE
Saison Cinéma LA TRAVIATA LE PRINCE MANON EN DIRECT LE 24 SEPTEMBRE IGOR EN DIRECT LE 17 MARS EN DIRECT LE 17 DÉCEMBRE LES INDES LE PARC GALANTES IL TROVATORE BALLET LE 23 AVRIL EN DIRECT LE 10 OCTOBRE (ARÈNES DE VÉRONE) LE 16 JANVIER MADAME LA FLÛTE BUTTERFLY ENCHANTÉE GISELLE (GLYNDEBOURNE) BALLET EN DIRECT LE 14 MAI (FESTIVAL DE SALZBOURG) LE 6 FÉVRIER LE 14 NOVEMBRE Pour les spectacles retransmis en direct, la séance débute à 19h15. Pour les spectacles enregistrés, l’horaire de la séance est déterminé par chaque cinéma. Les spectacles de l’Opéra de Paris sont présentés par Aurélie Dupont, Directrice de la Danse de l’Opéra national de Paris pour les ballets et par Alain Duault pour les opéras.
Nouveau spectacle La Traviata Opéra en trois actes (1853) Musique : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave D’après Alexandre Dumas fils, La Dame aux camélias Direction musicale : Michele Mariotti Mise en scène : Simon Stone Décors : Bob Cousins Costumes : Alice Babidge Lumières : James Farncombe Chef des chœurs : José Luis Basso Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris Violetta Valery, Pretty Yende Flora Bervoix, Catherine Trottmann Annina, Marion Lebègue Alfredo Germont, Benjamin Bernheim Giorgio Germont, Jean-François Lapointe Gastone, Julien Dran Le Baron Douphol, Christian Helmer Le Marquis d’Obigny, Marc Labonnette Dottore Grenvil, Thomas Dear MARDI 24 SEPTEMBRE 2019 À 19H15 Giuseppe, Luca Sannai Un domestique, Enzo Coro En direct du Palais Garnier Un commissionnaire, Olivier Ayault 3h05 dont 2 entractes de 25 mn En langue italienne, sous-titré en français Coproduction avec le Wiener Staatsoper En ouvrant son opéra par un prélude pour cordes d’une économie de moyens inédite, Verdi affirmait en 1853 sa volonté de bousculer les conventions et les normes. Là n’est pas la moindre des radicalités de son œuvre : sa « Traviata » met implacablement à nu la violence d’une société qui prône la jouissance matérielle et finit par sacrifier une innocente victime sur l’autel de la morale bourgeoise. Simon Stone aime travailler au corps à corps les pièces du répertoire pour les entraîner vers des territoires plus intimes. Ce metteur en scène, qui compte parmi les plus remarqués au théâtre aujourd’hui, fait ses débuts très attendus à l’Opéra national de Paris.
Nouveau spectacle Les Indes Opéra-ballet en quatre entrées et un prologue (1735) Musique : Jean-Philippe Rameau galantes Livret : Louis Fuzelier Direction musicale : Leonardo García Alarcón Mise en scène : Clément Cogitore Chorégraphie : Bintou Dembélé Décors : Alban Ho Van Costumes : Wojciech Dziedzic Concept initial Costumes : Tim Van Steenbergen Lumières : Sylvain Verdet Dramaturgie musicale : Katherina Lindekens Dramaturgie : Simon Hatab Chef des chœurs : Thibault Lenaerts Orchestre Cappella Mediterranea Chœur de chambre de Namur Maîtrise des Hauts-de-Seine / Chœur d’enfants de l’Opéra national de Paris PROLOGUE Hébé, Sabine Devieilhe JEUDI 10 OCTOBRE 2019 À 19H15 Bellone, Florian Sempey L’Amour, Jodie Devos En direct de l’Opéra Bastille 3h40 dont 1 entracte de 30 mn 1re ENTRÉE : LE TURC GÉNÉREUX En langue française, sous-titré en français Osman, Edwin Crossley-Mercer Émilie, Julie Fuchs Valère, Mathias Vidal 2e ENTRÉE : LES INCAS DU PÉROU Œuvre‑phare du siècle des Lumières, Les Indes galantes s’apparente Huascar, Alexandre Duhamel à un éblouissant divertissement. Mais le premier opéra-ballet de Phani, Sabine Devieilhe Rameau témoigne également du regard ambigu que l’Européen Don Carlos, Stanislas de Barbeyrac pose sur l’Autre - Turc, Inca, Persan, Sauvage… En 2017, le réalisateur Clément Cogitore signe un film explosif et très remarqué, adaptant 3e ENTRÉE : LES FLEURS, FÊTE PERSANE un extrait des Indes galantes avec le concours de danseurs de Tacmas, Mathias Vidal Krump. Avec la chorégraphe Bintou Dembélé, il s’empare cette fois Ali, Edwin Crossley-Mercer de cette machine à enchanter dans son intégralité pour le réinscrire Zaïre, Jodie Devos dans un espace urbain et politique dont il interroge les frontières. Fatime, Julie Fuchs 4e ENTRÉE : LES SAUVAGES Adario, Florian Sempey Damon, Stanislas de Barbeyrac Don Alvar, Alexandre Duhamel Zima, Sabine Devieilhe
Singspiel en deux actes (1791) Musique : Wolfgang Amadeus Mozart La Flûte Livret : Emanuel Schikaneder enchantée Direction musicale : Constantinos Carydis Mise en scène : Lydia Steier Décors : Katharina Schlipf Costumes : Ursula Kudrna Lumières : Olaf Freese Vidéo : fettFilm Dramaturgie : Ina Karr Chef des chœurs : Ernst Raffelsberger Orchestre Philharmonique de Vienne Chœurs de l’Opéra d’État de Vienne Sarastro, Matthias Goerne Tamino, Mauro Peter La Reine de la Nuit, Albina Shagimuratova Pamina, Christiane Karg Première Dame, Ilse Eerens Deuxième Dame, Paula Murrihy Troisième Dame, Geneviève King Papageno, Adam Plachetka Papagena, Maria Nazarova Monostatos, Michael Porter JEUDI 14 NOVEMBRE 2019 Le grand-père, Klaus Maria Brandauer Trois garçons, Chœur de garçons de Vienne Enregistré au Festival de Salzbourg, août 2018 Orateur / Premier Prêtre / 2h45 dont 1 entracte de 20 mn Second Homme d’armes, Tareq Nazmi En langue allemande, sous-titré en français Second Prêtre / Premier Homme d’armes, Simon Bode Papagena âgée, Birgit Linauer Troisième Prêtre, Valérie Junker Créé en 1920 dans la ville natale de Mozart, le Festival de Salzbourg en Autriche est l’un des plus grands festivals d’art lyrique du monde. La jeune metteure en scène américaine Lydia Steier y fait ses débuts en proposant une relecture du chef-d’œuvre intemporel de Mozart. Elle introduit un nouveau personnage, celui du narrateur qui raconte l’histoire de l’opéra comme un grand-père lit un conte de fée à ses petit-enfants. Ce parti pris de la mise en scène combiné aux gigantesques décors mobiles qui occupent toute la scène apporte un nouveau regard sur l’opéra magique de Mozart, avec ses différents mondes, qui est ici transposé dans la bourgeoisie viennoise du début du XXe siècle.
Nouveau spectacle Le Prince Opéra en quatre actes et un prologue (1890) Musique : Alexandre Borodine Livret : Alexandre Borodine Igor D’après Vladimir Stassov, lui-même adapté du Dit de l’ost d’Igor Direction musicale : Philippe Jordan Mise en scène : Barrie Kosky Décors : Rufus Didwiszus Costumes : Klaus Bruns Lumières : Franck Evin Chorégraphie : Otto Pichler Chef des Chœurs : José Luis Basso Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris Prince Igor, Evgeny Nikitin Iaroslavna, Elena Stikhina Vladimir, Pavel Černoch Prince Galitski, Dmitry Ulyanov Kontchak, Dimitry Ivashchenko Kontchakovna, Anita Rachvelishvili Skoula, Adam Palka Ierochka, Andrei Popov MARDI 17 DÉCEMBRE 2019 À 19H15 Ovlour, Vasily Efimov La Nourrice, Marina Haller En direct de l’Opéra Bastille Une Jeune Polovtsienne, Irina Kopylova 3h45 dont 1 entracte de 30 mn En langue russe, sous-titré en français Grande épopée russe célèbre pour ses Danses polovtsiennes, l’unique opéra de Borodine questionne la responsabilité du leader face à son peuple. Après avoir abandonné le pouvoir au despotisme de son beau-frère pour partir au combat, Igor est fait prisonnier avec son fils. De son refus de pactiser avec l’ennemi à son retour auprès des siens, les actes du prince invitent à repenser nos propres valeurs morales. En délestant l’œuvre de son plus élémentaire folklore, la mise en scène de Barrie Kosky souligne cet universel besoin d’éthique.
Opéra en quatre parties (1853) Musique de Giuseppe Verdi Il Trovatore Livret de Salvatore Cammarano D’après Antonio García Gutiérrez Direction musicale : Pier Giorgio Morandi Mise en scène et décors : Franco Zeffirelli Costumes : El Camborio Réalisés par : Lucia Real Mouvements chorégraphiques : Gaetano Petrosino Scénographie : Michele Olcese Orchestre, Chœurs et Corps de Ballet des Arènes de Vérone Le Comte de Luna, Luca Salsi Leonora, Anna Netrebko Azucena, Dolora Zajick Manrico, Yusif Eyvazov Ferrando, Riccardo Fassi Ines, Elisabetta Zizzo Ruiz, Carlo Bosi Un Vieux gitan, Dario Giorgelè Un Messager, Antonello Ceron JEUDI 16 JANVIER 2020 Enregistré aux Arènes de Vérone, juillet 2019 2h50 dont 1 entracte de 20 mn En langue italienne, sous-titré en français Le Festival d’Opéra des Arènes de Vérone a été créé en 1913 pour commémorer le centième anniversaire de la naissance de Verdi. Depuis lors, il perpétue la tradition de l’opéra populaire dans un amphithéâtre romain admirablement conservé pouvant accueillir jusqu’à 20 000 spectateurs. Anna Netrebko et Yusif Eyvazov, couple à la scène comme à la ville, sont les têtes d’affiche de la production de Franco Zeffirelli présentée à la 97e édition du festival. Les débuts de la plus célèbre des sopranos sur la scène du plus grand théâtre en plein air au monde constituent un événement très attendu.
Ballet en deux actes (1841) Livret : Théophile Gautier, Jules‑Henri Giselle Vernoy de Saint‑Georges Musique : Adolphe Adam Chorégraphie : Jean Coralli, Jules Perrot Adaptée par : Patrice Bart, Eugène Polyakov Décors : Alexandre Benois Réalisés par : Silvano Mattei Costumes : Alexandre Benois Réalisés par : Claudie Gastine Les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra de Paris Orchestre Pasdeloup Direction musicale : Koen Kessels JEUDI 6 FÉVRIER 2020 À 19H15 En direct du Palais Garnier 2h00 dont 1 entracte de 20 mn Ballet romantique par excellence, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène. Dans la transfiguration fantastique d’une tragédie, les Wilis participent à l’illusion de l’immatérialité. Créé à l’Académie royale de Musique le 28 juin 1841, le ballet voyage en Russie et disparaît du répertoire avant son retour en France en 1910. C’est aujourd’hui dans la version de Patrice Bart et d’Eugène Polyakov, fidèle à la chorégraphie originelle de Jean Coralli et Jules Perrot, que le ballet continue de confirmer ses premiers succès. Scènes lumineuses et terrestres, visions nocturnes et spectrales : la danse devient langage de l’âme et la ballerine par sa présence aérienne semble triompher de la pesanteur.
Nouveau spectacle Manon Opéra comique en cinq actes et six tableaux (1884) Musique : Jules Massenet Livret : Henri Meilhac, Philippe Gille D’après le roman de l’abbé Prévost Direction musicale : Dan Ettinger Mise en scène : Vincent Huguet Décors : Aurélie Maestre Costumes : Clémence Pernoud Lumières : Bertrand Couderc Chorégraphie : Jean-François Kessler Dramaturgie : Louis Geisler Chef des Chœurs : José Luis Basso Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris Manon, Pretty Yende Le Chevalier des Grieux, Benjamin Bernheim Lescaut, Ludovic Tézier Le Comte des Grieux, Roberto Tagliavini Guillot de Morfontaine, Rodolphe Briand De Brétigny, Pierre Doyen Poussette, Cassandre Berthon MARDI 17 MARS 2020 À 19H15 Javotte, Alix Le Saux Rosette, Jeanne Ireland En direct de l’Opéra Bastille L’Hôtelier, Philippe Rouillon 3h20 dont 2 entractes de 25 mn Deux Gardes, Julien Joguet, En langue française, sous-titré en français Laurent Laberdesque Lorsque l’abbé Prévost signe en 1731 L’Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut - qui inspirera à Massenet sa Manon - c’est le tableau d’une époque qu’il nous livre : celle de la Régence, qui voit la vieille société s’éteindre tandis qu’une nouvelle semble naître, pleine de la promesse d’une liberté nouvelle. C’est entre ces mondes qu’évolue Manon, fuyant le couvent pour embrasser les chemins du désir et de la transgression, et se jeter à corps perdu dans une passion brûlante et autodestructrice avec des Grieux. Une parenthèse s’ouvre, qui se refermera dans la douleur et dans la nuit. Le metteur en scène Vincent Huguet s’affranchit du taffetas historique de l’œuvre pour en faire ressurgir toute la violence.
Ballet en trois actes Musique : Wolfgang Amadeus Mozart Le Parc Création sonore : Goran Vejvoda Chorégraphie : Angelin Preljocaj Décors : Thierry Leproust Costumes : Hervé Pierre Lumières : Jacques Chatelet Les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra de Paris Orchestre de chambre de Paris Direction musicale : Yannis Pouspourikas JEUDI 23 AVRIL 2020 Enregistré au Palais Garnier, décembre 2019 1h40 sans entracte Dans cette pièce conçue pour le Ballet de l’Opéra en 1994, le chorégraphe Angelin Preljocaj réussit un subtil équilibre entre souffle classique, porté par la musique de Mozart, et modernité de son langage chorégraphique. Les décors ciselés évoquent l’élégance et la délicatesse des jardins « à la française » et les costumes s’inspirent de ceux du siècle des Lumières. Évoluant au gré d’une carte imaginaire du Tendre, guidés par d’étranges jardiniers, les danseurs s’éveillent à l’amour, de la rencontre aux jeux de séduction, de la timidité à l’attirance, de la résistance à la douceur de l’abandon dans l’envol d’un sublime pas de deux. Aujourd’hui encore, cette œuvre intemporelle interroge le cheminement des sentiments et explore les codes amoureux.
Opéra en trois actes (1904) Musique de Giacomo Puccini Madame Livret de Giuseppe Giacosa, Luigi Illica Butterfly Direction musicale : Omer Meir Wellber Mise en scène : Annilese Miskimmon Décors et costumes : Nicky Shaw Lumières : Mark Jonathan Mouvements chorégraphiques : Kally Lloyd-Jones Vidéographie : Ian William Galloway London Philharmonic Orchestra The Glyndebourne Chorus Cio-Cio-San (Madama Butterfly), Olga Busuioc Lieutenant B. F. Pinkerton, Joshua Guerrero Suzuki, Elizabeth DeShong Sharpless, Michael Sumuel Goro, Carlo Bosi Bonze, Oleg Budaratskiy Prince Yamadori, Simon Mechlinski La cousine, Jennifer Witton La mère de Cio-Cio San, Eirlys Myfanwy Davies Yakuside, l’oncle, Adam Marsden JEUDI 14 MAI 2020 La tante, Shuna Scott Sendall Le commissaire impérial, Michael Mofidian Enregistré au Festival de Glyndebourne, juin 2018 L’officier de l’état civil, Jake Muffett 2h40 dont 1 entracte de 20 mn Kate Pinkerton, Ida Ränzlöv En langue italienne, sous-titré en français Sorrow, Rupert Wade Implanté dans le sud de l’Angleterre au cœur des plaines du Sussex, le Festival de Glyndebourne est une institution depuis 1934, autant célèbre pour la qualité artistique de ses productions que pour ses pique-niques champêtres en smoking et robes longues avant la représentation et durant l’entracte. Glyndebourne présentait en 2018 sa première production du chef-d’œuvre de Puccini qui voit une geisha, jeune et ingénue, tomber éperdument amoureuse d’un officier de la marine américaine. Mais son bonheur fragile ne peut pas durer. Eclatante de mélodies mémorables et fortes en couleurs, la partition envoûtante dissimule un tranchant fendant jusqu’au cœur. Quand une authentique musique japonaise se voit mariée avec de voluptueux arrangements et des mélodies européennes, l’opéra devient une alliance irrésistible entre l’orient et l’occident.
Avec la participation de Distribution Cinéma www.fraprod.com Avec le soutien du Facebook : @fraprod.fracinema Twitter : national de Paris @fracinema Avec le soutien de la audiovisuelles de l’Opéra Mécène des retransmissions /fracinemanews www.youtube.com En partenariat avec photos : page 3 : Chad Moore, Tilda (Light Strip), 2011 — page 4 : Laura El-Tantawy, In the Shadow of the Pyramids, 2005‑2014 © Laura El‑Tantawy / Neutral Grey — page 5 : © SF/RuthWalz page 6 : Élodie Ledure, Zermatt, 2013 © plainpicture / Élodie Ledure — page 8 : DR — page 9 : Bengt-Arne Falk, ‘Morning’, Polaroid SX-70, 1981 / 2014 © Bengt-Arne Falk En association avec page 10 : Lara Gasparotto, Cats, 2013 courtesy Lara Gasparotto / Stieglitz19 — page 11 : Scandebergs, Astral Hands, 2016 — page 12 : Photo Robbie Jack
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