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UNIVERZITA PALACKÉHO V OLOMOUCI Filozofická fakulta Katedra romanistiky Analyse du management du projet des séjours étudiants Eurocamp The analysis of project management of the student stays Eurocamp (Magisterská diplomová práce) Autor: Bc. Bára Libosvarová Vedoucí práce: Mgr. Martin Pleško Olomouc 2017
Déclaration sur l’honneur Je déclare sur l’honneur avoir rédigé le mémoire de licence sous la responsabilité du directeur de mémoire Mgr. Martin Pleško et avoir cité toutes les sources d’informations disponibles. ………………………………………………………..
Remerciements Je tiens à remercier mon directeur de mémoire, monsieur Martin Pleško, pour ses conseils pratiques et son temps. Ensuite, je voudrais remercier mon amie Laura Garcia Ciordia pour son aide avec les informations pratiques concernant mon mémoire.
Table des matières Table des matières ......................................................................................................................4 Introduction .................................................................................................................................6 I L’Union européenne et la politique de formation ............................................................... 9 I.1 L’histoire et le développement de la politique de formation .....................................11 I.1.1 Processus de Bologne .........................................................................................11 I.1.2 Les outils de la politique de formation ............................................................... 14 I.2 Les problèmes de la politique de formation ............................................................... 17 I.2.1 Les principes de la politique de formation.......................................................... 18 I.2.2 Les institutions et organisations de l’UE de la politique de formation ...............20 II La mobilité dans le cadre de l’UE ....................................................................................22 II.1 Les objectifs fondamentaux de la mobilité des étudiants...........................................23 II.1.1 La mobilité des étudiants temporaires ................................................................ 24 II.3 Erasmus + ...................................................................................................................24 II.3.1 Les réalisateurs d'Erasmus + ..............................................................................28 II.3.2 Les projets de mobilité des personnes ................................................................ 29 II.3.3 Les projets de coopération et de partenariat pour l’innovation et le partage d’expériences ....................................................................................................................34 II.3.4 Soutien de la réforme des politiques ...................................................................37 II.4 Les pays du programme ............................................................................................. 38 III Eurocamps ........................................................................................................................40 III.1 L’histoire et le développement ...............................................................................41 III.2 Les organisations partenaires ........................................................................................42 III.3 Le financement .......................................................................................................45 III.3.1 Les sources de financement externes .....................................................................45 IV La subvention ....................................................................................................................49 IV.1 L’intention du projet ............................................................................................... 49 4
IV.1.1 Le but du projet ............................................................................................... 50 IV.1.2 Le contenu du projet........................................................................................50 IV.1.3 Le déroulement du projet ................................................................................51 IV.1.4 L’organisation du projet ..................................................................................51 IV.1.5 L’aboutissement du projet ..................................................................................52 IV.2 La préparation du projet ............................................................................................... 52 IV.3 Processus de demande ............................................................................................ 55 IV.3.1 Les documents officiels .........................................................................................56 IV.3.2 Unique registration Facility ................................................................................56 IV.3.3 La distance des pays partenaires .........................................................................56 IV.3.4 Demande de subvention ..................................................................................57 IV.3.5 Les annexes obligatoires .....................................................................................80 IV.4 Le Rapport final ......................................................................................................80 Conclusion ................................................................................................................................ 82 Liste des abréviations................................................................................................................85 Résumé......................................................................................................................................86 Bibliographie ............................................................................................................................ 86 Annexe ......................................................................................................................................91 5
Introduction La mobilité des personnes est en ce moment une des choses les plus importantes dans la formation de la vie des étudiants et de tous les jeunes qui veulent profiter des possibilités offertes par l’Union Européenne. Le présent mémoire de Master traitera de la création de la politique de la formation en l’Union européen. Les racines de la politique de formation touchent la période de la moitié du vingtième siècle. Les organes et les politiciens essayent de développer et créer la formation la plus attractive et la plus accessible pour tous les groupes des personnes que possible. La politique de formation implique beaucoup de règles formelles et informelles et c’est l’ensemble des principes, normes et pratiques qui sont décrites en chapitre I. Le mémoire se concentre premièrement vers la description des buts essentiels du développement de la politique de la formation avec tous ses niveaux, acteurs et activités qui sont inévitables pour la création du système qui fonctionne. Les racines de base du développement de la politique de formation sont mentionnées sous la notion du processus de Bologne et ses déclarations conséquentes qui sont signées dans les conférences organisées tous les deux ans par les ministres des États de l’Union européen. Le processus de Bologne a beaucoup d outils qui sont utilisés. Les outils sont décrits dans les sous-chapitres du chapitre I. Un autre sous-chapitre décrit les problèmes de la politique de formation. Entre les problèmes, les organes résolvaient par exemple la délimitation des chaines entre l’éducation, la force de travail et les facteurs économiques divers. Dans le cadre de l’éducation et future formation des étudiants et des élèves, il est décrit la politique de formation avec ses processus et outils d’utilisation et de propagation. Le mémoire mentionne aussi les institutions et organisations de l’UE qui participent à la politique de formation européenne. Parmi les institutions se trouvent le Conseil de l’UE, le Centre Européen pour le développement de la formation Professionnelle et beaucoup de réseaux informationnels. Le deuxième chapitre est consacré directement à la mobilité dans le cadre de l’UE. Selon les règles et principes du processus de Bologne, la mobilité des jeunes et des enseignants fait partie intégrante de l’internationalisation et la globalisation de l’Europe. La mobilité aide les jeunes, les enseignants et les travailleurs avec les jeunes à avoir une meilleure position sur le marché du travail et à augmenter la qualité de l’employabilité des 6
jeunes étudiants. En plus c’est une grande opportunité d’augmenter les connaissances et expériences des langues étrangères qui sont nécessaires de nos jours. Dans le deuxième chapitre est décrit l’objectif fondamental de la mobilité des étudiants. L’UE offre beaucoup de projets de financement pour les jeunes qui veulent voyager dans des pays étrangers. Le projet nouveau qui est le plus aidé en ce moment est le projet Erasmus + qui offre beaucoup de possibilités de voyages, d’études et de travail dans les pays hors de République Tchèque. Erasmus + offre plusieurs actions qui sont destinées aux jeunes et aux travailleurs avec les jeunes. Il les aide à remplir les demandes des appels européens à projet pour gagner un budget pour voyager. Le mémoire est orienté vers les projets d’Erasmus + parce que beaucoup de projets sont financés par l’UE, comme le projet des Eurocamps. Le chapitre sur Erasmus + décrit les conditions et règles de ces projets, les réalisateurs et les trois Actions Clés qui sont décrites selon les règles données. Les Actions Clés sont divisées entre l’éducation scolaire, l’éducation professionnelle, l’éducation universitaire, l’éducation des adultes, les projets de coopération et l’engagement politique des jeunes. De plus, le chapitre II décrit les pays individuels du programme. Les pays ne sont pas seulement les pays membres de l’UE mais aussi les pays partenaires. Le chapitre 3 est orienté strictement vers un projet Erasmus + concret, Eurocamp. L’Eurocamp est l’échange de jeunes gens âgés de quinze à vingt ans qui veulent voyager à l’étranger. Les Eurocamps sont organisés sous l’Action Clé 1. C’est le séjour destiné pour les jeunes organisé à l’étranger pour améliorer les expériences langagières des jeunes et pour les approcher de la vie dans un pays différent. La condition du projet est la participation de plusieurs nations à ces séjours qui sont organisés dans les pays de l’Europe. En République Tchèque, le projet Eurocamp est organisé plus ou moins pour les jeunes de la région de Moravie- Silésie. En plus, l’Eurocamp a une histoire profonde dans notre pays et aussi en Europe. Le mémoire décrit quelques organisations partenaires de pays d’Europe, qui ont les informations de l’organisation et la pensée primaire disponible. Concrètement, il sera question de la Belgique, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et aussi la République Tchèque. Le point aussi important pour l’organisation des Eurocamps est le financement de ces projets qui est divisé entre le financement des projets Erasmus + et les subventions financières obtenues par la ville de l’organisation et les finances du secteur privée. 7
Le dernier chapitre est orienté strictement vers la description du remplissage de la Demande de subvention. Le chapitre est divisé en plusieurs sous-chapitres orientés vers le projet actuel d’Eurocamp. Le premier sous chapitre décrit l’intention du projet avec ses buts, le contenu, la description du déroulement et l’organisation du projet. Un autre sous-chapitre est orienté vers la préparation du remplissage du projet. Il faut compléter toutes les informations nécessaires pour préparer un projet efficace. La préparation du projet est basée sur les points du modèle SMART qui est aussi décrit dans ce sous-chapitre. Le sous-chapitre le plus important est orienté vers le processus de demande de base. Ce sous-chapitre est lié au formulaire de Demande de subvention. La Demande est remplie et commentée en langue française. La Demande utilise les informations publiées dans tous les chapitres précédents. La Demande doit observer le point de vue des buts du projet, la préparation du projet et les informations détaillées, concentrés au lieu d’organisation, les participants et l’organisation partenaire. En plus il faut ajouter les documents obligatoires, par exemple la Déclaration sur l’Honneur et le programme des activités planifiées. Le chapitre est fini par le Rapport final qui est nécessaire pour gagner la somme d’argent qui est demandée. 8
I L’Union européenne et la politique de la formation La politique de formation est un des facteurs les plus importants dans le développement économique. Dans le cas de l’Union européenne, l’éducation était diminuée au début. L’UE commence à réaliser que l’intégration économique doit supporter le développement et les ressources humaines, au cours du temps. Les résultats de ces réalisations sont les organisations fondées pour aider strictement la politique de formation et les programmes éducatifs intégrés. Les programmes éducatifs permettent aux étudiants d’étudier à l’étranger, gagner une expérience inestimable, augmenter leur potentiel et aussi contribuer au développement de la société en général. La notion de politique de formation peut intégrer l’ensemble des règles formelles et informelles. En plus la notion contient l’ensemble des normes et pratiques, qui influencent les activités des individus et organisations dans le cadre de la formation. Une autre définition de la politique de formation décrit les principes, les priorités et les méthodes de la décision concernant l’application de l’influence sociale pour l’éducation. Les intentions stratégiques du développement de l’éducation comprennent les règles législatives concernant les sujets de la formation, la méthode de financement, la délimitation des buts de la formation, la stimulation et l’influence des sujets d’éducation et leur mode de contrôle.1 Il faut distinguer les différences entre la politique de formation comme action pratique et la politique de formation comme domaine scientifique. L’action pratique inclut la création réelle de la politique, les décisions des ministres, l’augmentation de financement et la création des documents curriculaires. Le domaine scientifique est l’expérience scientifique et l’analyse du déroulement et le développement de la politique de formation.2 Il est possible de diviser les buts essentiels de politique de la formation entre plusieurs groupes d’orientation. Premièrement, la politique de formation est interdisciplinaire. Les ressources se trouvent dans plusieurs domaines scientifiques, c’est-à-dire l’économie de l’éducation, la sociologie de l’éducation, la pédagogique, la politologie et l’administration publique. Les ressources se trouvent dans la création de la politique, c’est-à-dire que c’est un domaine jeune mais vaste. La politique de formation est aussi un domaine et une discipline orientés vers la pratique. Elle veut améliorer les processus et résultats de l’éducation, 1 KALOUS, J., VESELÝ, A. Teorie a nástroje vzdělávací politiky. 2006. p. 8. 2 Idem., p. 9. 9
augmenter la qualité et rendre les opportunités d’emploi après les études plus lucratives. La politique de formation est aussi aux frontières de la part analytique et normative. L’essentiel de la politique de formation est le développement du capital humain. Il existe plusieurs définitions du capital humain. Selon l’OCDE3, le capital humain est l’expérience, les habiletés, et les dispositions de l’individu, qui aident à créer le bonheur social et économique4 du personnel. Ces expériences et dispositions peuvent être offertes dans le marché de travail. L’UE a sa fonction et un rôle inévitable dans la politique de formation. Il existe plusieurs niveaux de la politique de formation. Les niveaux sont : le niveau global ; le niveau multinational, les États nationaux, les régions ; le niveau local ; les écoles et universités et les parties organisationnelles des écoles (facultés, départements, institutions, etc.). Le tableau suivant (Tableau 1) décrit les institutions influant le domaine de l’éducation. Niveau de la politique de la formation Les institutions Global OECD, Banque Mondiale, UNESCO Multinational l’UE État gouvernement, parlement, ministères Région, local les régions, municipalités École Tableau 1 : Les niveaux de la politique de la formation et ses institutions (auteur : traitement personnalisé) Dans le tableau ci-dessus on voit que les institutions comme l’OCDE, la Banque Mondiale ou l’UNESCO5 ont un rôle inévitable au niveau global de la politique de formation. Leur activité principale est la comparaison multinationale des systèmes d’éducation selon les méthodologies données. L’UE contrôle la politique de formation au niveau multinational. L’UE ne peut pas influencer les politiques nationales directement mais elle peut donner des avis et recommandations. Les activités les plus connues sont la création de documents stratégiques et l’aide aux programmes de mobilité des personnes (Erasmus +). Le gouvernement, le parlement et les ministères sont toujours les acteurs de base de la politique de formation. Ils donnent les règles pour les priorités, le mode de financement et les frontières 3 Abréviation- Organisation pour la coopération et le développement économique. 4 KWON, Dae- Bong. Human capital and its measurement. 2009. p. 2 5 Abréviation UNECSO. L’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture. 10
législatives. Les régions peuvent donner un cadre à l’éducation, mais les écoles peuvent créer leur propre curriculum dans plusieurs pays. Une autre partie de la politique de la formation est l’aide à l’éducation dans les institutions étrangères. C’est-à-dire la mobilité à l’étranger. Cette notion englobe la mobilité physique des étudiants dans des pays différents, avec le but d’étudier, exploiter ou une autre activité connectée à l’éducation. I.1 L’histoire et le développement de la politique de la formation Le domaine de l’éducation n’était pas prioritaire au début du processus d’intégration. En 1957 dans le cadre des Traités de Rome la Communauté économique européenne a défini et réalisé la politique de préparation professionnelle. Une autre expansion de la politique de formation a été réalisée en 1985. Cette année-là la Cour de justice de l’UE admettait le système des grandes écoles comme l’éducation professionnelle. Le Traité de Maastricht a déclaré que la politique de formation est sous la responsabilité de l’UE en 1992. Le Sommet de Lisbonne souligne l’augmentation des investissements dans la politique de formation, il soutient l’expansion de la mobilité des étudiants et enseignants avec l’utilisation des programmes européens et déclare l’acceptabilité des qualifications des études.6 I.1.1 Processus de Bologne Parallèlement à ces sommets, a été créé le processus de Bologne qui s’est plus concentré sur la politique de formation. Le début du processus de Bologne est associé à l’année 1998 et avec la Déclaration de Sorbonne qui a été constituée par les ministres de l’éducation de la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie. Le résultat de cette déclaration est l’ « Espace Européen de l’Enseignement Supérieur ». Cette déclaration soutient les grandes écoles et la mobilité des étudiants et aussi la coopération des universités. Elle a aussi optimisé l’éducation permanente. La déclaration de Bologne a été signée à Bologne en 1999 par trente-et-un ministres des vingt-neuf pays de l’Union européenne. Les États membres peuvent utiliser la possibilité 6 PLECHANOVOVÁ, B. Historie integrace EU. Disponible sur : https://www.euroskop.cz/8884/sekce/1945- 1949/. [consultée le 06/01/2016]. 11
des systèmes éducatifs pour constituer l’espace européen pour l’enseignement supérieur. Ils ont déclaré quelques buts essentiels. Les buts ont été par exemple l’acceptation des systèmes éducatifs qui sont compréhensibles et comparables, l’aide à la mobilité dans le sens d’enlever les obstacles ou la création des systèmes de crédits pour la possibilité de comparer l’effectivité de l’éducation entre les États. En cas de mobilité des étudiants les ministres veulent offrir aux étudiants la possibilité d’étudier dans un pays étranger pour au moins un semestre. En même temps, l’institution du pays doit accepter les résultats comme une part du cursus. La déclaration de Sorbonne et aussi de Bologne ont été une réaction à la massification de l’éducation supérieure et à l’intérêt diminuant des étudiants d’Asie et d’Amérique d’étudier en Europe. En plus les ministres doivent résoudre la problématique de diminution de la qualification de l’éducation supérieure en comparaison avec l’éducation dans les pays d’Asie. Le but était de créer l’Espace européen de l’éducation supérieure7 qui est compétitif et combiné par les systèmes notionnels. EHEA est en même temps attractif pour les étudiants et professeurs des pays hors Europe. L’EHEA a été déclaré en mars 2010 pendant la conférence des ministres à Budapest et Vienne. Les systèmes exclusifs des pays différents, qui ont des structures d’études et des programmes d’études différents, c’est-à-dire pas facilement comparables, ont fondé la plateforme des pays qui coopèrent, discutent et coordonnent le développement des systèmes éducatifs. Les ministres veulent harmoniser les systèmes éducatifs. Les programmes d’études pour cinq ou six ans doivent être remplacés par des systèmes plus flexibles. Les systèmes doivent suivre les besoins des programmes d’éducation tout au long de la vie, qui sont pour plusieurs personnes inévitables. La déclaration de Sorbonne a déclaré la création du premier système éducatif du baccalauréat comme une première structure d’éducation supérieure qui est acceptée entre toutes les nations. L’idée d’harmonisation des programmes d’études entre les nations, crée la possibilité d’étudier dans les pays partenaires. La déclaration est signée par la République Tchèque, la Belgique, la Bulgarie, le Danemark, la Roumanie et la Suisse. La déclaration de Bologne a été signée en juin 1999. La déclaration a six buts essentiels : d’accepter les systèmes éducatifs compréhensibles et comparables, d’accepter le système des deux cycles d’éducation – avant la licence et après la licence, le titre gagné après le premier cycle est accepté entre toutes les nations, le système de crédits comme l’aide à la mobilité internationale entre les étudiants. Les ministres ont décidé que ce système avait besoin d’un soutient infini. Les conférences sont organisées tous les deux ans. 7 EHEA – European Higher Education Area 12
La conférence de Prague en 2001 a créé une plateforme pour discuter entre les pays européens de l’éducation supérieure. Le succès de l’éducation selon le processus de Bologne est adossé à l’activité et la participation des pays signant, des écoles et universités et des étudiants. La plateforme doit permettre de diffuser la pratique et les expériences des étudiants, de discuter des opinions, de l’acceptation des documents, du système des crédits8, etc. La conférence de Berlin en 2003 a voulu mettre en place les principes dans la forme pratique. Les ministres ont accepté que les six principes soient importants mais ils ont choisi trois principes le plus pratique et la reformation a commencé. Les trois principes sont : la sécurité de la qualité, la fondation des deux degrés de la formation et l’acceptation plus facile de l’éducation entre les nations. Chaque étudiant doit obtenir le Supplément au Diplôme dans une langue différente. Les sept pays ont accepté la transformation : l’Albanie, Andorre, la Bosnie-Herzégovine, la Russie, la Serbie et le Monténégro. La conférence de Bergen en 2005 était la cinquième conférence. Les signataires ont ajouté l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Géorgie, la Moldavie et l’Ukraine entre les pays nouveaux. Dans cette conférence a été plus discutée la mise en place des processus de la conférence de Berlin. L’attention la plus importante est donnée aux principes entre les pays d’Europe et les pays hors Europe, c’est-à-dire les pays qui remplissent le principe externe du processus de Bologne. La conférence des ministres à Londres en 2007 a ajouté les décisions et opinions des enseignants et étudiants qui participent au processus de Bologne et les échanges des personnes entre les nations. La branche la plus importante dans cette conférence est l’importance de la qualité des services pour les étudiants dans le cadre des études supérieures. Un autre but important est la qualité de l’éducation tout au long de la vie et l’employabilité. La conférence des ministres en Louvain-la-Neuve en 2009 doit préparer l’Europe pour les années suivantes. Les ministres discutent la problématique de la diminution de la démographie en comparaison à la lutte pour les ressources humaines entre les étudiants et le financement insuffisant de l’éducation supérieure. Les dix branches prioritaires pour les années suivantes sont : la branche sociale dans le cadre d’une fin d’études réussie ; l’éducation tout au long de la vie; l’employabilité des promus ; l’éducation, l’exploitation et 8 Abbréviation ECTS 13
les innovations ; l’ouverture internationale ; la mobilité ; la coopération avec Eurostat9, Eurostudent10 et Eurydice11 et les outils pour prévenir la transparence des systèmes de financement. Le deuxième forum politique de Bologne a eu lieu à Budapest et Vienne en 2010. Le Kazakhstan a été accepté comme un autre pays du processus de Bologne. Les ministres discutent les buts des conférences précédentes et leur adéquation. Les experts ont agréé que l’énorme changement était suffisant. Les pays exclusifs ont changé leurs systèmes et créé une éducation comparable et utilisable pour tous les étudiants, enseignants et les travailleurs des sciences.12 Année Nom de la conférence 1998 La Déclaration de Sorbonne 1999 La Déclaration de Bologne 2001 La conférence des ministres à Prague 2003 La conférence des ministres à Berlin 2005 La conférence à Bergen 2007 La conférence des ministres à Londres 2009 La conférence des ministres à Louvain-la-Neuve 2010 2. forum politique à Vienne Tableau 2 : Les conférences du processus de Bologne. (traitement personnalisé selon : PLECHANOVOVÁ, B. Historie integrace EU) Dans le tableau ci-dessus (Tableau 2) sont décrites les conférences du processus de Bologne chronologiquement selon les villes et les années. I.1.2 Les outils de la politique de formation Pendant le développement de la politique de formation, l’UE commence à utiliser quelques outils qui doivent soutenir et développer le capital humain. Le capital humain est important pour l’influence positive et pour la stabilité économique de l’UE. Ces outils de la politique de formation contiennent par exemple le Système européen de transfert et d’accumulation de 9 Eurostat est une direction générale qui charge des informations statistique, elle produire les statistiques officielles de l’UE. 10 Eurostudent est un projet pour collecter les informations comparables dans la dimension sociale dans le cadre des études supérieures. 11 Eurydice est un réseau des informations qui collecte et compare les informations des systèmes éducatifs dans l’Europe. 12 Conseil de l’Europe, 2014. Disponible sur : http://www.coe.int/t/dg4/highereducation/EHEA2010/BolognaPedestrians_fr.asp. [consultée le 08/01/2017]. 14
crédits (ECTS), le Supplément au Diplôme, les programmes étrangers pour soutenir l’éducation ou l’éducation et la formation tout au long de la vie. Système européen de transfert et d’accumulation de crédits ECTS signifie European Credit Transfer and Accumulation System. C’est le système unique qui a été créé en 1989 comme le projet de base pour rendre les études et les différences dans l’éducation plus faciles. Le système des crédits est utilisé dans plus de trente pays et dans plus de mille grandes écoles. Le crédit est une justification du volume des études et est transférable d’une école vers un autre. C’est la raison pour laquelle les études dans les pays étrangers peuvent être reconnues dans le pays d’origine. C’est la base des programmes de la mobilité des étudiants.13 À côté du système des crédits il y a un autre système qui s’appelle le Système européen de crédits d’apprentissage pour l’enseignement et la formation professionnelle14. Le but de l’ECVET est de rendre le transfert, le regroupement et l’admission des résultats des études plus facile. En plus il rend la mobilité des étudiants plus efficace. La raison pour faire le système des crédits est la grande différence entre les systèmes des pays différents qui ne peut pas comparer les résultats des étudiants entre eux. Cette chose cause des problèmes et complications pendant la préparation dans un autre pays. Le système doit faciliter le transfert des résultats théoriques mais aussi la préparation pratique. Les étudiants et les enseignants participant aux mobilités internationales peuvent utiliser leurs résultats et expériences pendant leur qualification dans leurs pays d’origine.15 Supplément au Diplôme Le système des crédits est lié au Supplément au Diplôme qui offre les informations sur l’éducation obtenue et décrit la problématique, la longueur, le volume, le contenu, les rapports et le placement de tous les types d’études supérieures qui ont été finis avec succès. Depuis 2005, le Supplément au Diplôme est publié en deux langues – tchèque et anglais en République tchèque. Le Supplément contient huit informations de base : l’identité du propriétaire, la nature de la qualification, le niveau et les fonctions de la qualification, le 13 Euroskop.cz. Disponible sur : https://www.euroskop.cz/608/sekce/uznavani-kreditu/. [consultée le 09/01/2017]. 14 Abbréviation ECVET ( European credit trnsfer system for vocational education and training) 15 European Centre for the Developement of Vocational Training. Disponible sur : http://www.cedefop.europa.eu/en/events-and-projects/projects/european-credit-system-vocational-education- and-training-ecvet. [consultée le 09/01/2017]. 15
contenu des études et les résultats, l’attestation du Supplément, les informations du système de la formation dans le pays et les autres informations. Le Supplément au Diplôme donne quelques avantages pour les étudiants et aussi pour les institutions universitaires. Les étudiants obtiennent un certificat de qualification qui est facilement comparable avec les autres universités à l’étranger, le Supplément décrit les expériences exactes et les étudiants ont aussi de meilleures opportunités de travail à l’étranger. Les universités ont une plus grande transparence des qualifications et elles peuvent êtres autonomes. Les institutions qui offrent le Supplément sont plus visibles à l’étranger et il y a plus de possibilités pour les diplômés de trouver un travail. Cela donne un label pratique et professionnel à l’université. Pour assurer la compétition et la qualification des suppléments, les institutions constituantes du processus de Bologne offrent le Diplôma Supplément Label aux universités. C’est la décoration pour les universités qui suivent les demandes et prétentions du Supplément au Diplôme.16 L’éducation et la formation tout au long de la vie L’éducation tout au long de la vie inclut l’obtention des qualifications, l’élargissement des expériences, l’obtention des nouvelles aptitudes et compétences ou enrichissement du développement personnel. Cette éducation est liée aux possibilités d’éducation flexible, comme les études à distance ou sous une forme combinée. L’éducation tout au long de la vie a besoin de partenaires stables entre les institutions des universités, hautes écoles, étudiants, professeurs et les organes de l’administration publique. Elle est composée des expériences gagnées pendant toute la vie professionnelle et étudiante. Pour supporter l’éducation tout au long de la vie, il est nécessaire de communiquer et accepter les cadres qualificatifs.17 Trois étapes de l’éducation L’outil de base a été d’utiliser les trois étapes des études dans les universités et écoles supérieures dans tous les pays participants. Le système de licence, master et doctorat sont la réaction à l’augmentation des étudiants dans les pays européens et aussi aide à la mobilité des 16 EUROPEAN COMISSION. Diploma supplément. Disponible sur : http://ec.europa.eu/education/resources/diploma-supplement_en. [consultée le 09/01/2017]. 17 NÁRODNÍ VZDĚLÁVACÍ FOND. Rozvoj celoživotního učení. 2011. Disponible sur : http://www.nvf.cz/rozvoj-celozivotniho-uceni. [consultée le 13/01/2017]. 16
étudiants entre les différentes étapes. Cette division a été déjà mise en place dans tous les pays participant au processus de Bologne.18 I.2 Les problèmes de la politique de la formation19 La politique de formation est liée au système d’éducation dans les États de l’UE. Les échanges et les tendances de l’UE sont appliqués sur la politique de formation. L’UE essaye de respecter les systèmes d’éducation nationaux. Ces systèmes sont considérés comme une partie de l’identité et de la culture nationale. C’est la raison pour laquelle les systèmes sont laissés sous les compétences des gouvernements et écoles nationaux. La politique de formation une autre activité de l’éducation. Elle doit résoudre beaucoup de problèmes. Les problèmes de base sont : la délimitation des chaines entre l’éducation, la force de travail et les facteurs économiques. C’est-à-dire que les politiques de formation doivent être en harmonie avec les besoins de la société et elles doivent avoir assez de spécialistes qualifiés. Un autre problème est la prise en considération de l’aspect social du système d’éducation. L’aspect social inclut la problématique de la sollicitude des enfants de l’âge préscolaire pendant le temps hors enseignement et l’intégration des enfants handicapés et l’éducation des minorités. Ensuite il faut comparer la relation entre l’aspect général de l’éducation et la qualité des études. La politique de l’éducation résolvait les problèmes de l’augmentation du nombre des étudiants diplômés des lycées. Les universités obtiennent des titres et en même temps diminuent la qualité de l’éducation. Les exigences doivent être adaptées vers les étudiants les plus faibles. Le quatrième processus est l’évaluation du processus pédagogique. Le système d’évaluation permet de comparer la qualité du programme d’éducation au niveau des écoles dans le pays et aussi entre les États. Cette évaluation est utilisée dans les programmes européens qui donnent de meilleures possibilités dans les pays accueillant. 18 Ministerstvo školství mládeže a tělovýchovy. Boloňský proces. Disponible sur : http://www.msmt.cz/vzdelavani/vysoke-skolstvi/bolonsky-proces-2. [consultée le 09/01/2017]. 19 BRDEK, M., VYCHOVA, H. Evropská vzdělávací politika. Programy, principy a cíle. Praha: Aspi Publishing 2004, p. 17-27. 17
La problématique des professeurs et leur éducation est liée au financement des écoles. La politique de formation à tous les niveaux doit résoudre les problèmes de ressources financières qui sont données pour améliorer les écoles. Ils doivent donner des priorités de financement. I.2.1 Les principes de la politique de la formation Les créateurs de la politique de formation ont à disposition des outils pour influer sur les processus d’éducation. Ce sont les outils qui utilisent les principes de politique de la formation. Entre ces principes il y a des processus de planification. La planification est liée à l’utilisation d’autres outils. Les organes utilisent la planification pour atteindre leurs buts. Il existe plusieurs niveaux de planification. La planification est importante dans tous les processus d’éducation et aussi les programmes de mobilité des personnes. En plus la planification est connectée avec tous les autres outils, par exemple le financement ou la législation qui est le deuxième outil. La législation détermine le fonctionnement des programmes, écoles, et processus. Comme on a déjà dit, il est aussi important de planifier le financement des programmes. Les budgets sont préparés par les ministères du financement et sont utilisés pour les salaires, l’équipement, l’élargissement de l’éducation alternative et la mobilité. Comme on a déjà mentionné dans le chapitre I, la politique curriculaire est également un des outils de base. Elle détermine les règles du pourquoi, qui, comment et quand et quelles conditions éducatives régissent la mobilité. Le curriculum est le programme d’études ou le volume des études. C’est l’ensemble des règles, directives et normes. Un autre outil mentionné dans le chapitre précédent est l’évaluation. L’évaluation est directement liée au contrôle. Le contrôle donne les informations du déroulement des projets, programmes et sujets éducatifs. Les résultats sont publiés sous forme des messages, et d’informations statistiques qui évaluent les systèmes. Les gouvernements et l’UE essayent de faire les réformes. C’est lié aux échanges dans les modes d’évaluation, les curricula, les méthodes, les financements etc. Il faut parler des principes identiques pour la politique de la formation d’État et la politique de formation de l’UE. Les principes de base sont le principe de la subsidiarité, le principe des opportunités égales, le principe de l’éducation tout au long de la vie, le principe de l’internationalisation et le principe de la cohérence sociale. 18
Le principe de la subsidiarité Le principe de la subsidiarité est appliqué dans l’UE et dans la zone de l’éducation. C’est le principe qui délimite l’envergure des compétences des organes de l’UE et des pays participants. La subsidiarité est le principe selon lequel les décisions et responsabilités doivent être dans le niveau qui est le plus proche des problèmes résoudre. En pratique selon ce principe, les buts et activités sont sous le contrôle des États participants. Le principe des opportunités égales Le principe des opportunités égales crée une partie de tous des pays démocratiques dans l’UE. Il est accentué dans toutes les constitutions et les documents internationaux. La base de ce principe apparut dans les années soixante-dixièmes par la directive du Conseil de l’Europe. Il a été constitué le principe d’égalité pour les hommes et les femmes en ce qui concerne l’embaucher, la formation et les conditions de travail. Le principe de l’éducation tout au long de la vie Ce principe est un grand thème dans la politique de l’UE. L’éducation tout au long de la vie doit être basée sur une large échelle d’opportunités pour étudier. Les personnes peuvent étudier et élargir leurs expériences pendant tout le long de leur vie. Le principe de l’internationalisation Le principe de l’internationalisation est en général le principe qu’on comprend comme l’éducation internationale. Pendant les années de la globalisation, il n’était pas possible pour les membres d’exister isolément. L’UE essaye de créer un espace de formation européen. La création et l’organisation des programmes de mobilité est une grande aide. C’est aussi important pour la création de cet espace de faire des parties de l’éducation égales et comparables entre les États. Il faut accepter les résultats également entre les nations différentes pour le développement de la mobilité des étudiants. Le principe de la cohérence sociale Ce principe est la combinaison des tous des principes précédents. C’est une prévention contre l’exclusion sociale. Il faut créer des principes d’éducation avec un but général, c’est-à- dire augmenter l’employabilité. 19
I.2.2 Les institutions et organisations de l’UE de la politique de formation Les acteurs de la politique de formation sont les hommes politiques, l’administration scolaire, les enseignants et leur organisation et les parents des étudiants au niveau national. Ces acteurs prennent les décisions dans les États. En ce qui concerne l’UE, un État est seulement une partie de l’ensemble. Les autres acteurs sont les institutions et organisations de l’UE. Le Conseil de l’UE, aussi appelé le Conseil des ministres est un organe institutionnel où sont représentées toutes les nations par leurs ministres. Ils se concentrent sur la problématique de l’éducation et aussi de la préparation professionnelle. La Commission européenne est responsable de la préparation et la réalisation des résolutions du Conseil de l’UE. Aujourd’hui, la Commission européenne est composée de vingt-cinq commissaires. L’UE a beaucoup d’agences. Parmi les agences les plus vieilles, il y a le Centre Européen pour le Développement de la Formation Professionnelle20. Le CEDEFOP a été fondée en 1975 par le Conseil de l’UE. Le but du CEDEFOP est d’organiser les fonctions de conseil pour la Commission pendant les décisions politique et pendant la réalisation des acquisitions de l’UE.21 Une autre agence qui soutient l’échange des informations dans le cadre de la formation européenne est le réseau d’information Eurydice. Cette agence collecte et diffuse l’information sur les systèmes de formation entre les États qui sont facilement comparables. Les publications d’Eurydice offrent les descriptions et analyses des systèmes nationaux. Le résultat de ces comparaisons est destiné aux politiques qui décident des éducations au niveau national ou européen. Le réseau a été fondé en 1980 comme un des outils stratégiques de la Commission européenne pour soutenir la coopération européenne.22 Dans le cadre des institutions de l’UE, il y a plusieurs institutions, qui comparent les informations ou font des statistiques. Par exemple EUROSTAT est la source d’Eurydice la plus importante. EUROSTAT est l’office de statistique de l’UE. Sa mission est de fournir des statistiques de haute qualité pour l’Europe.23 En ce qui concerne les centres d’information au niveau national. Il est possible de trouver les Centres français d’information sur la reconnaissance 20 Abbréviation CEDEFOP 21 EUROPEAN CENTRE FOR THE DEVELOPMENT OF VOCATIONAL TRAINING. About Cedefop. Disponible sur : http://www.cedefop.europa.eu/en/about-cedefop. [consultée le 23/01/2017]. 22 NÁRODNÍ AGENTURA PRO EVROPSKÉ VZDĚLÁVACÍ PROGRAMY. Stručně o Eurydice. Disponible sur : http://www.naep.cz/eurydice. [consultée le 23/01/2017]. 23 EUROSTAT. Disponible sur : http://ec.europa.eu/eurostat/about/overview. [consultée le 23/01/2017]. 20
académique et professionnelle des diplômes dans chaque pays.24 Le Naric est un centre pour assurer l’équivalence des documents internationaux de qualification et d’éducation.25 24 Abbréviation NARIC. 25 MŠMT. Enic- Naric. Disponible sur : http://www.msmt.cz/vzdelavani/vysoke-skolstvi/enic-naric-1. [consultée le 23/01/2017]. 21
II La mobilité dans le cadre de l’UE La mobilité des étudiants est souvent un programme d’échange entre écoles, universités et grandes écoles. La mobilité des étudiants est un point important dans le cadre de l’éducation académique. La mobilité n’est pas un phénomène nouveau, les experts disent qu’environ un dixième des étudiants médiévaux étaient des étudiants de pays différents. Pendant les deux derniers siècles, les étudiants ont profité de l’opportunité d’étudier dans les universités dans les pays différents pendant toute leur éducation ou au moins une partie. Les étudiants des pays en développement veulent étudier dans les pays plus riches pour avoir une éducation avec une qualité plus haute et pour augmenter leurs opportunités de travail futures. Les étudiants des pays industrialisés veulent à étudier l’étranger pour une durée plus courte que les gens des pas en développement.26 La mobilité des étudiants est une tendance relativement documentée et perçue positivement. Les buts de la mobilité changent toujours. L’éducation universitaire s’est récemment rapidement globalisée. Le planning de l’éducation supérieure en Europe rend l’éducation dans les pays d’Europe plus attractive pour les étudiants de pays différents. Les conditions, processus et résultats sont différents selon la mobilité des étudiants. La mobilité peut être verticale ou horizontale. La mobilité verticale est la mobilité qui se dirige vers un système plus développé du point de vue économique et académique. Le système horizontal signifie que le niveau de la qualité académique entre les pays différents est différent. 27 La mobilité verticale est perçue comme l’opportunité qui rend possible l’accès vers une meilleure éducation que dans l’institution du pays. Les étudiants des pays en développement peuvent avoir une éducation de haute qualité dans les pays développés. La mobilité horizontale entre les pays et institutions des pays développés est perçue comme une bonne opportunité d’expansion des expériences et aussi l’expansion de compréhension des relations internationales et multiculturelles.28 La mobilité des étudiants sert plusieurs buts. Les avantages sont marqués entre les étudiants, les institutions de l’éducation supérieure et les pays d’origine. Les buts de la 26 RIVZA, B., TEICHLER, U. The Changing Role of Student Mobility. Higher Education Policy. 2007. p. 1. Disponible sur : https://proquest.zcu.cz:8443/pqdweb/?index=27&did=1388792361&SrchMode=1&sid=1&Fmt=6&VInst=PRO D&VType=PQD&RQT=309&VName=PQD&TS=1270974932&clientId=45083. [consultée le 23/01/2017]. 27 Idem. p. 1. 28 Idem. p. 1. 22
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