West Side Story The Amazing Keystone Big Band - Samedi 3 novembre 2018 - 20h30 - Philharmonie de Paris

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SALLE DES CONCERTS – CITÉ DE LA MUSIQUE

     West Side Story
The Amazing Keystone Big Band
  Samedi 3 novembre 2018 – 20h30
P H I L H A R M O N I E D E PA R I S
                          MUSÉE DE LA MUSIQUE

                                                         EXPO
                                                                 SITIO
                                                          JUSQ           N
                                                     27 JA U ’ AU
                                                          NV
                                                        2019 IER

                                                                             Licences E.S. n°1-1083294, E.S. n°1-1041550, n°2-1041546, n°3-1041547 –

                La joie de vivre du cinéma

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WEEK-END COMÉDIES MUSICALES (1)

Tandis que le Musée de la musique leur consacre une exposition, les
grandes comédies musicales s’invitent aussi au (ciné-)concert, revisitées par
des artistes d’aujourd’hui.

Le week-end s’ouvre sur un classique des films Disney, présenté pour la pre-
mière fois en ciné-concert. Cinq fois récompensé aux Oscars, notamment
pour la meilleure musique originale, Mary Poppins reste l’une des références
du film musical plus de soixante ans après sa sortie. L’occasion de redécouvrir
avec des yeux d’enfants cette comédie magique aux thèmes intemporels et
aux mélodies familières (samedi 3 novembre, 14h30 et 20h30, et dimanche
4 novembre, 16h30). La rencontre d’une danseuse de claquettes et d’un
chanteur musicien dans l’univers des chansons de Dick Annegarn : voilà le
programme de Atu et Atoi, spectacle jeune public interprété par la compagnie
Dans ses pieds, dans lequel un duo espiègle – deux personnages curieux –
s’empare de « Sacré Géranium », « Mireille », « Le Blues du bégayeur »,
« Hé hé hé… ». Joyeuse humeur et douce folie pour cette petite comédie
musicale sont au rendez-vous (samedi 3 et dimanche 4 novembre, 15h).

Classique parmi les classiques de la comédie musicale, West Side Story a indé-
niablement marqué des générations entières. L’ensemble de jazz aventureux
The Amazing Keystone Big Band réinterprète à sa manière les thèmes de
Leonard Bernstein avec des invités surprise (samedi 3 novembre, 20h30).
Danse et chant animent le Musée sur les pas de Fred Astaire, Ginger Rogers
et Liza Minnelli. De Broadway à Hollywood en passant par Cherbourg ou
Rochefort, les grands standards de la comédie musicale sont proposés dans
un concert-promenade intitulé Over the Rainbow (dimanche 4 novembre, à
14h30 et à 15h30).

Ce week-end dédié aux musicals s’achève sur une note rock. Artiste aussi exubé-
rante qu’imprévisible, Peaches est une véritable icône de la scène électro-punk.
La comédie musicale Jesus Christ Superstar, succès des années 1970, l’accom-
pagne depuis son adolescence, à tel point qu’elle s’est lancé le défi d’en inter-
préter l’intégralité des chansons sur scène, voyageant entre rôles masculins et
rôles féminins, accompagnée d’un pianiste (dimanche 4 novembre, 20h30).
WEEK-END COMÉDIES MUSICALES (1)

Samedi 3 novembre – 14h30 & 20h30                         Samedi 3 novembre
  Dimanche 4 novembre 16h30
                                               20H30                              CONCERT

                                CINÉ-CONCERT   THE AMAZING KEYSTONE BIG
MARY POPPINS                                   BAND JOUE WEST SIDE STORY
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE STRASBOURG         THE AMAZING KEYSTONE BIG BAND
FRANK STROBEL, DIRECTION                       BASTIEN BALLAZ, JON BOUTEILLER, FRED NARDIN
                                               ET DAVID ENHCO, DIRECTION ARTISTIQUE
Film de Robert Stevenson,
États-Unis, 1964, 138 minutes                  Leonard Bernstein
Musique de Richard M. Sherman                  West Side Story
et Robert B. Sherman
Presentation licensed by Disney Concerts.
© All rights reserved
                                                        Dimanche 4 novembre

Le concert du samedi à 20h30 est précédé       14H30 ET 15H30         CONCERT-PROMENADE
d’une rencontre à 18h30 avec N.T. Binh,                               AU MUSÉE
commissaire de l’exposition Comédies           OVER THE RAINBOW!
musicales.
                                               COMÉDIES MUSICALES
                                               LES VOIX ANIMÉES, ENSEMBLE VOCAL
                                               LUC COADOU, DIRECTION ARTISTIQUE
          Samedi 3 novembre
                                               TRIO REVISITING
         Dimanche 4 novembre                   LOUISE ROBARD, CHANT
                                               JOHN DEGOIS, DANSE
15H00                 SPECTACLE JEUNE PUBLIC   DOMINIQUE CARRÉ, GUITARE, CHANT
ATU ET ATOI
LA COMPAGNIE DANS SES PIEDS                    20H30                              CONCERT

NATHALIE ARDILLIEZ, CHANT, CLAQUETTES          PEACHES CHRIST SUPERSTAR
FRANÇOIS PUYALTO, CHANT, BASSE ÉLECTRIQUE
                                               PEACHES, CHANT
NATHALIE ANSQUER, MISE EN SCÈNE
                                               MATHIAS HALVORSEN, PIANO
                                               D’après Jesus Christ Superstar         Réservez dè
                                               d’Andrew Lloyd Webber
                                                                                      01 44 84 44
ACTIVI TÉS CE WEEK-END
                              EN LIEN AVEC COMÉDIES MUSICALES (1)
                                                                      EXPO
                                                                                  SITIO
      SAMEDI ET DIMANCHE                                DIMANCHE J U
                                                                     SQ
                                                                                              N
                                                                          U ’ A Uà 14h
      Visite guidée à 11h                                       27 enJAchanson
                                                        Un dimanche
      EXPOSITION                                                         NV
                                                        CHANTONS BERNSTEIN
      COMÉDIES MUSICALES                                                   201 IER
                                                        Atelier-exposition à 9
                                                                             14h30
      SAMEDI                                            COMÉDIES MUSICALES EN FAMILLE
      Music Session à 16h
      AUTOUR DE PEACHES

      Rencontre à 18h30
      N.T. Binh, commissaire de l’exposition
      Comédies musicales
      Animée par Thierry Lebon

                                      ET AUSSI CE WEEK-END

      Enfants et familles                               Adultes
      Concerts, ateliers, activités au Musée…           Ateliers, visites du Musée…

                                                                                                  Licences E.S. n°1-1083294, E.S. n°1-1041550, n°2-1041546, n°3-1041547 –

      La joie de vivre du cinéma

                    Vous avez la possibilité de consulter les programmes de salle en ligne,
ès maintenant              cinq jours avant chaque concert, à l’adresse suivante :
                                         www.philharmoniedeparis.fr
4 84 - PHILHARMONIEDEPARIS.FR
PROGRAMME

Leonard Bernstein
West Side Story

The Amazing Keystone Big Band
Hetty Kate (Maria), Célia Kameni (Anita), Pablo Campos (Tony),
Alan Grall (Riff), chant
Sébastien Denigues, narration
Bastien Ballaz, Jon Bouteiller, Fred Nardin, David Enhco,
direction artistique

Fin du concert (AVEC ENTR ACTE) vers 22h30.
L’œuvre

Leonard Bernstein (1918-1990)
West Side Story

Composition : 1957.
Création : le 26 septembre 1957 au Winter Garden Theatre de Broadway.
Paroles : Stephen Sondheim.
Livret : Arthur Laurents.
Chorégraphie et mise en scène originales : Jerome Robbins.

The Amazing Keystone Big Band régénère West Side Story au
rythme du jazz

Elle reste encore et toujours la comédie musicale américaine la plus
célèbre de l’histoire du xxe siècle. Ni la plus vue ni la plus juteuse finan-
cièrement puisque depuis, des poids lourds comme Le Roi lion, Chicago
ou Le Fantôme de l’opéra ont joué les rouleaux compresseurs sur les
planches de Broadway, mais sans doute la plus mythique : celle qui se
hissera au rang des classiques grâce à ses 732 représentations don-
nées à la fin des années 1950 et qui connaîtra le même fabuleux destin
à Londres. L’adaptation au cinéma par Robert Wise en 1961 renforcera
le mythe de West Side Story au point de le transmettre aux générations
à venir par-delà les décennies, jusqu’à ce qu’une formation française de
jazz décide de s’en emparer et d’en livrer une version forcément person-
nelle et totalement réjouissante. On leur fait une totale confiance dans
la réussite de cet exercice : fort de ses dix-sept musiciens, The Amazing
Keystone Big Band s’est fait une spécialité de croiser le jazz avec des
œuvres venues d’horizons différents.

La genèse de la comédie musicale remonte à la toute fin des années
1940, période au cours de laquelle l’acteur Montgomery Clift demande
des conseils au chorégraphe Jerome Robbins pour interpréter de façon
moderne le rôle de Roméo, personnage clé de la tragédie Roméo et
Juliette de William Shakespeare. De là naît l’idée d’une version musicale

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contemporaine de la pièce que Robbins soumet au compositeur Leonard
Bernstein et au dramaturge Arthur Laurents. Après de multiples versions,
West Side Story voit le jour en 1957. L’histoire des deux amants de deux
familles ennemies dans la Vérone médiévale est téléportée dans le quartier
new-yorkais de Harlem où Tony, membre de la bande des Jets, jeunes
de la classe ouvrière blanche, tombe amoureux de Maria, sœur du chef
de la bande rivale des Sharks, jeunes issus de la deuxième génération
d’Américains émigrés de Porto Rico.

La transposition du drame shakespearien dans des bas-quartiers améri-
cains des années 1950 permet aux auteurs de placer la question sociale
au cœur de leur comédie musicale. Auteur du livret, Laurents a souhaité
rester le plus possible fidèle à la tragédie originale tandis que Stephen
Sondheim, jeune compositeur et parolier, transforme brillamment des
dialogues de la pièce en textes de chansons pour lesquelles Robbins
officie comme metteur en scène et chorégraphe. Quant à la partition de
Leonard Bernstein, elle entre elle aussi dans l’histoire avec des chansons
devenues mythiques comme « America », « Somewhere » ou « Tonight ».

Sorti en 1961, le film West Side Story se verra récompensé de pas moins de
dix Oscars sur les onze nominations reçues. Un immense succès qui doit
autant à l’implication de l’équipe, qui a fait ses preuves sur les planches de
Broadway autour de la triplette Bernstein, Sondheim et Robbins, qu’à un
casting flamboyant réunissant Natalie Wood (La Fureur de vivre, La Fièvre
dans le sang, La Prisonnière du désert…) et Richard Beymer, outsider qui
remportera le rôle de Roméo face à Warren Beatty et Anthony Perkins,
après qu’Elvis Presley, Burt Reynolds, Bobby Darin, Richard Chamberlain
ou Dennis Hopper eurent décliné ou n’eurent été retenus. Dans les années
1990, Beymer ressurgira dans le rôle de ­l’inquiétant Benjamin Horne
pour la série Twin Peaks de David Lynch – mais c’est une autre histoire.

Plus de 50 ans plus tard, c’est à une étonnante expérience à laquelle The
Amazing Keystone Big Band se livre en embarquant le monument dans
sa chair musicale sur ses terres jazz. Placé sous la direction artistique de
Bastien Ballaz, l’ensemble de dix-sept musiciens n’en est pas à son coup
d’essai puisqu’on leur doit d’avoir déjà jazzifié des œuvres telles que Pierre
et le Loup et Le Carnaval des animaux. Autour de quatre chanteurs et

                                     9
chanteuses chargés d’interpréter les personnages, un narrateur déroule
la mythique histoire d’amour. Côté musique, le groupe exploite ses meil-
leurs arguments – les cuivres rutilants, son swing irrésistible – pour donner
une énième vie à l’œuvre née du génie créatif de Bernstein. Comme une
preuve de sa parfaite mise en adéquation avec le jazz, l’ensemble glisse
en prime dans son spectacle quelques standards du genre aux côtés de
compositions personnelles. Une appropriation finalement réjouissante,
aussi respectueuse de l’original que novatrice dans son approche. Par
cette régénération rare, on souhaite au classique un regain de recon-
naissance qui lui permettra de séduire de nouvelles générations comme
de nouveaux publics.

Pascal Bertin

                                      10
Le compositeur

Leonard Bernstein                               de mélodies nommée… I Hate Music !
Travailleur infatigable, pianiste pro-          Étudiant, il entre à Harvard où il fait
digieux, baguette des plus grands               la connaissance d’Aaron Copland qui
orchestres américains et européens,             deviendra un de ses plus grands amis
mais aussi poète, auteur et péda-               et son correspondant le plus fidèle.
gogue, Leonard Bernstein a laissé une           À Harvard, il étudie la composition avec
empreinte indélébile dans l’histoire            Walter Piston et Edward Burlingame
musicale du xxe siècle. Il est particu-         Hill et rencontre deux autres composi-
lièrement connu pour être l’auteur              teurs : Roy Harris et William Schumann.
de la partition de West Side Story,             Tous s’accordent à dire que Leonard
sommet de la comédie musicale joué              Bernstein est fait pour la direction
aujourd’hui encore plus d’un millier de         d’orchestre ; un avis bientôt partagé
fois par an par des orchestres du monde         par Dimitri Mitropoulos, le directeur
entier. Bernstein naît à Lawrence, dans         musical du New York Philharmonic,
le Massachusetts, le 25 août 1918, de           qu’il rencontre en 1938. Après l’échec
parents russes immigrés. Il découvre            de sa candidature à Juilliard, il postule
la musique lorsque sa tante Clara,              à Philadelphie, au Curtis Institute, et
alors en pleine instance de divorce,            malgré quelques difficultés lors de
décide d’envoyer son piano droit dans           l’audition (des troubles de la vision liés
la maison familiale où grandit le jeune         à une crise d’allergie), il est accepté.
homme. Selon de nombreux témoins,               À la suite d’une répétition qu’il dirige au
le jeune Leonard a un sens musical inné,        Tanglewood Music Festival, il est remar-
et même si, à 16 ans, et de son propre          qué par Artur Rodziński qui lui propose
aveu, il n’a pas encore mis les pieds           un premier poste d’assistant. Cette rela-
dans une salle de concert, la musique           tion avec Rodziński devient rapidement
éclaire déjà son quotidien. On raconte          tumultueuse, mais Bernstein saisit avec
par exemple que lors d’un camp de               gourmandise la chance de sa vie : rem-
vacances pour adolescents, il inter-            plaçant au pied levé un Bruno Walter
prète passionnément le rôle-titre du            souffrant, il dirige le Philharmonique de
Carmen de Bizet avec perruque et                New York pour la première fois et livre
robe noire. Cet humour et cette légè-           une interprétation mémorable d’œuvres
reté ne le quitteront jamais. Il faut,          de Schumann, Rosza, Strauss et Wagner.
à ce titre, noter que le tout premier           Grâce à la retransmission en direct
opus de son catalogue est une série             à la radio et une critique éblouissante

                                           11
en première page du New York Times,              plusieurs cultures, genres, inspirations
Bernstein accède immédiatement                   et textures sonores. Leonard Bernstein
à la notoriété. Son style exubérant,             est aussi un pédagogue qui n’a jamais
sa jeunesse et sa fougue plaisent au             hésité à dialoguer avec son public,
public, et dans ces premiers instants            que ce soit autour de l’expérience du
de célébrité il est même auditionné par          concert ou en utilisant les médias qui
Paramount pour interpréter Piotr Ilitch          ont évolué en même temps que sa
Tchaïkovski dans un film hollywoodien.           carrière. Avec différentes formations,
De 1945 à 1948 il dirige le New York             il enregistre une discographie immense,
City Symphony et devient en 1953                 de près de cinq cent albums. Son travail
devient le premier chef américain à être         sur les œuvres de Gustav Mahler, gravé
sollicité par la Scala de Milan pour une         pour Columbia Records, est particuliè-
version de Médée portée par Maria                rement reconnu et admiré. La fin de
Callas. En 1959, il devient directeur            sa vie le voit redoubler encore d’activité,
artistique de l’Orchestre philharmo-             enchaînant les tournées internationales,
nique de New York, poste qu’il occupe            les sessions d’enregistrements, les émis-
durant une décennie. À côté de ses               sions et les ouvrages. En 1989, il dirige
activités de chef, il compose avec talent        la Neuvième Symphonie de Beethoven
des œuvres symphoniques comme                    à Berlin pour célébrer la chute du Mur.
Jeremiah (1941) et The Age of Anxiety            Lors d’un ultime concert à Tanglewood,
(1948-49) et Kaddish (1963), des pièces          il dirige la Septième Symphonie de
pour Broadway (Peter Pan, Wonderful              Beethoven et les Four Sea Interludes de
Town, West Side Story), des ballets              Benjamin Britten. Quelques jours après
(Fancy Free), des opéras (Trouble in             avoir annoncé qu’il ne dirigerait plus,
Tahiti) et des pièces sacrées. Bernstein         Leonard Bernstein décède dans son
a systématiquement inséré des élé-               appartement de l’Upper West Side de
ments propres à la culture américaine            Manhattan, le 14 octobre 1990.
dans ses compositions, comme des
rythmes et des harmonies puisées
dans le jazz, le boogie-woogie, ainsi
que la blue note « gershwinienne »
dont il use avec générosité. Il reste
également fidèle à la culture hébraïque
(Symphonies « Jeremiah » et « Kaddish »)
tout en témoignant un intérêt pour
le catholicisme. Mass (1971) est ainsi un
bel exemple de sa manière d’entremêler

                                            12
Les interprÈtes

The Amazing Keystone Big Band L’actualité de l’orchestre s’articule
Crée en 2010, le bouillonnant Amazing            autour de plusieurs projets : les spec-
Keystone Big Band exprime à la fois              tacles familiaux Pierre et le Loup… et
l’esprit, l’âme des grandes formations           le jazz !, Le Carnaval jazz des animaux
de l’ère du swing-roi, et l’inventivité,         et Monsieur Django & Lady Swing
l’ouverture, l’insolente virtuosité du           (spectacles) ; Django E X T E N D E D, un
jazz d’aujourd’hui. Complices depuis             hommage à Django Reinhardt en grand
le Conservatoire, le pianiste Fred               orchestre ; Hommage à Quincy Jones ;
Nardin, le saxophoniste Jon Boutellier,          un programme « Jazz et Cinéma » ; West
le tromboniste Bastien Ballaz et le trom-        Side Story, une adaptation jazz pour big
pettiste David Enhco assurent la direc-          band, quatre chanteurs et un comédien
tion et les arrangements de l’orchestre.         du chef-d’œuvre de Leonard Bernstein.
Les dix-sept cadors qui piaffent der-            L’orchestre joue également un très large
rière les pupitres de cette turbulente           répertoire de standards de jazz et de
machine à jazz ne se contentent pas de           compositions originales.
faire allégeance, avec classe, à Count
Basie, Duke Ellington ou Thad Jones.             Trompettes
Ils considèrent surtout que cet orchestre        Vincent Labarre
d’amis triés sur le volet leur permet            Thierry Seneau
d’expérimenter des idées neuves tout             Félicien Bouchot
en revisitant les perles d’un répertoire         David Enhco

                                                                                             Licences E.S. 1-1083294, 1-1041550, 2-1041546, 3-1041547 – Imprimeur : Impro
insubmersible. The Amazing Keystone
Big Band perpétue cette musique ondu-            Trombones
latoire tout en donnant libre cours              Aloïs Benoit
à la créativité de ses musiciens dans            Loïc Bachevillier
leurs arrangements, compositions, et             Sylvain Thomas
soli. Depuis sa création, l’ensemble a eu        Bastien Ballaz
l’occasion de collaborer et d’écrire de
la musique pour des artistes de renom-           Saxophones
mée internationale tels que Quincy               Pierre Desassis
Jones, James Carter, Didier Lockwood,            Kenny Jeanney
Rhoda Scott, Stochelo Rosenberg, Liz             Eric Prost
McComb, Michel Hausser, Bill Mobley,             Jon Boutellier
Cécile McLorin Salvant, Zaz, etc.                Ghyslain Regard

                                            13
Guitare
Thibaut François

Piano
Fred Nardin

Contrebasse
Patrick Maradan

Batterie
Romain Sarron

                   14
Si votre salon est trop petit
pour tous vos vinyles.

                                                   Crédit photo : Unsplash

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