AGISSONS ENSEMBLE ! PREMIERES RENCONTRES REGIONALES DE L'EAU DU GRAND EST- 7 JUILLET 2022- GrandEst
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DOSSIER DE PRESSE
7 juillet 2022
AGISSONS ENSEMBLE !
PREMIERES RENCONTRES REGIONALES
DE L’EAU DU GRAND EST
– 7 JUILLET 2022 –
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7 juillet 2022
SOMMAIRE
Communiqué de presse p.3
L’Eau dans le Grand Est p.4
La Stratégie « Eau » de la Région Grand Est p.6
Le rôle structurel et stratégique de l’Etat p.8
Grand Est Transformation « Environnement » p.9
Sensibiliser le grand public aux enjeux de l’Eau en Grand Est p.10
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7 juillet 2022
PREMIERES RENCONTRES REGIONALES DE L’EAU DU GRAND EST :
PRESERVONS DURABLEMENT NOS RESSOURCES !
Ce jeudi 7 juillet 2022, à Mesnil-Saint-Père (10), Jean Rottner, Président de la Région Grand Est, et Josiane Chevalier,
Préfète de la région Grand Est, ont lancé les premières rencontres régionales de l’Eau du Grand Est. A travers cet
événement, une ambition commune : préserver cette ressource fragile mais, à bien des égards, exceptionnelle, et
l’exploiter durablement pour le bien-être des populations et le développement de l’économie régionale.
L’eau est menacée par la pollution et le changement climatique dont les conséquences sont de plus en plus visibles : de
nombreux épisodes de sécheresse, des niveaux alarmants des nappes phréatiques, une qualité altérée… Les acteurs de
la région souhaitent aujourd’hui agir vite pour trouver des solutions pérennes. Ces rencontres sont une première étape
pour progresser collectivement sur ces défis.
Pour Jean Rottner, « Le Grand Est est un véritable château d’eau !. Connaître, préserver cette ressource pour garantir aux
générations futures une eau qui préservant des conditions de vie durables en faveur de nos habitants, de nos territoires et de
nos espaces naturels … c’est l’un de mes engagements ! Nous devons poursuivre nos efforts pour renforcer la qualité des eaux
souterraines, organiser la gestion des inondations, protéger les milieux aquatiques, veiller aux usages économiques liés à l’eau.
Il nous faut agir vite et ensemble pour anticiper demain. Nous ne pouvons plus attendre, des solutions existent, nous avons
toutes et tous le pouvoir de les mettre en œuvre ! »
Pour Josiane Chevalier, « L’eau, qui fait partie du patrimoine commun de la Nation, est au cœur de la vie de nos concitoyens.
L’État, ses établissements publics et les collectivités territoriales agissent depuis longtemps pour atteindre le bon état des eaux
dans les deux bassins hydrographiques qui irriguent notre région. Aujourd’hui, la mobilisation de toutes les énergies est
nécessaire pour approfondir les actions engagées et adapter le modèle de gestion durable des ressources en eau aux enjeux
d’adaptation au changement climatique. »
L’eau, une grande source de réflexion
Plusieurs temps forts ont rythmé ces premières assises :
Un regard d’experts autour des grands enjeux de l’eau à travers le monde et la France. Avec notamment
l’intervention d’Emma Haziza, hydrologue et spécialiste des stratégies de résilience des territoires face aux risques
climatiques.
Un état des lieux de l’eau dans le Grand Est, tant autour de sa qualité qu’autour des usages qui en sont faits. Et une
présentation du rôle que joue à la fois, l’Etat et ses établissements publics dont les Agences de l’Eau et les collectivités
territoriales dont la Région pour pérenniser cette ressource.
Le lancement du Grand Est Transformation « Environnement » initié dans le cadre du Business Act #2 qui vise
notamment à structurer et coordonner des offreurs de solutions autour de quatre leviers majeurs : la transition énergétique,
l’économie circulaire, la préservation de la biodiversité et en l’occurrence la préservation de la ressource en eau (cf. page
8).
Des ateliers thématiques organisés en présence d’acteurs impliqués du territoire pour mettre en valeur les démarches et
les solutions inspirantes d’ores et déjà mises en œuvre dans le Grand Est :
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- « L’eau et l’activité économique », en prenant exemple sur l’économie d’eau réalisée par l’entreprise Petit Bateau ou
la démarche menée par HYDREOS avec les entreprises innovantes pour trouver des solutions.
- « L’eau dans nos villes et villages », avec le témoignage de l’Association pour le Développement Opérationnel et la
Promotion des techniques Alternatives – ADOPTA (sur la gestion intégrée et durable des eaux pluviales), de la Ville
de Toul (mise en place d’actions pour la protection de la ressource en eau) et d’une entreprise adhérente de l’Union
des Entreprises du Paysage - UNEP (sur les bonnes pratiques environnementales).
- « Réduire les polluants dans les eaux », avec l’intervention de l’Association Holositech (réduction des micro-
polluants en sortie de station d’épuration par les orties), SNCF Réseau (abandon du glyphosate pour le désherbage des
voies) et le Comité Champagne (CIVC) autour d’une approche biologique pour lutter contre l’usage d’herbicides dans
le vignoble.
Ces solutions sont la preuve que des moyens existent et permettent d’agir pour économiser l’eau sans nuire au développement
économique, aménager le territoire différemment pour lutter contre les crues et les étiages tout en recréant des îlots de fraîcheurs
et réduire les émissions de polluants pour reconquérir la qualité des eaux.
L’EAU DANS LE GRAND EST
Qu’elle soit souterraine ou provienne de la surface, l’eau est présente dans tous les volets de la vie et des activités des territoires :
alimentation en eau potable, production industrielle, production agricole, loisirs, tourisme, énergies, etc. 92,6 % de l’eau
consommée en Grand Est vient des nappes souterraines, 52 d’entre elles approvisionnent la majorité des habitants et des
entreprises du territoire en eau potable…
Véritable château d’eau, le Grand Est – qui possède d’importants aquifères et ont la position se trouve à l’amont de grands
fleuves (Seine, Meuse, Moselle, Rhin) 1 - détient ainsi une grande responsabilité pour gérer durablement cette ressource tant en
au niveau quantitatif que qualitatif .
1 Nappe phréatique rhénane, nappe de la craie, Grès du Trias Vosgien, bassins miniers lorrains, etc.
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L’eau dans le Grand Est en chiffres
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LA STRATEGIE « EAU » DE LA REGION GRAND EST
Pour préserver cette ressource, la Région Grand Est a pris d’une compétence d’animation et de concertation dans le domaine
de l’Eau. Elle est l’une des quatre Régions françaises à en disposer.
Elle participe ainsi – en coordination avec les Agences de l’Eau et les services de l’État pilotes, à la mise en cohérence des
actions menées en faveur du bon état des ressources en eau. Par ailleurs, elle tend à contribuer à structurer les maîtrises d’ouvrage
à des échelles hydrographiques pertinentes pour porter des projets utiles aux territoires.
Dès 2019, la Région a mis en place une mission « Eau », irriguant l’ensemble de ses politiques pour faire du Grand Est un
modèle dans la gestion de sa ressource en eau et un territoire résilient au changement climatique.
Cette mission a notamment permis de déployer une stratégie ambitieuse et réfléchie, en complémentarité du SRADDET, pour
préserver un cadre de vie d’exception.
Huit enjeux ciblés
1. Connaître et anticiper les déficits en eau ;
2. Economiser l’eau ;
3. Reconquérir la qualité de l’eau pour éviter les pesticides, nitrates, cyanobactéries, perchlorates;
4. Préserver les milieux naturels, forestiers et prairiaux;
5. Prévenir les risques : inondation, sécheresse, canicule ;
6. Désimperméabiliser les villes ;
7. Valoriser le potentiel touristique et fluvial ;
8. Partager les solidarités internationales.
Six objectifs identifiés pour y répondre
1. La reconquête de la qualité des eaux souterraines pour la production d’eau potable ;
2. La restauration des milieux aquatiques et leurs services rendus (épuration, expansion des crues, soutien d’étiage,
agriculture, activités récréatives, etc.) ;
3. Le développement économique des usages liés à l’eau (hydroélectricité, agriculture, tourisme/transport fluvial, etc.) ;
4. La gestion des inondations ;
5. L’adaptation aux impacts du changement climatique ;
6. La gestion des bassins transfrontaliers.
31 actions mobilisant neuf champs de compétences de la Région
Agriculture, viticulture, forêt, avec par exemple le renforcement d’un appel à manifestation d’intérêt pour soutenir des filières
agricoles n’impactant pas la ressource en eau.
Rayonnement transfrontalier, international et Europe, avec notamment l’apport d’expertise dans le cadre d’un partenariat
avec la Basse Casamance au Sénégal ou la construction du projet international MICCA (réseau à l’échelle du bassin versant de
la Meuse pour fédérer les acteurs et susciter des projets de résilience).
Tourisme, avec l’accompagnement des stations de ski vosgiennes sur l’impact du changement climatique sur l’enneigement et
les possibilités d’activités futures.
Formation pour l’emploi, avec l’identification des formations continues pouvant intégrer des modules sur la préservation de la
qualité de l’eau et la résilience au changement climatique ou la promotion des formations initiales liées à l’eau.
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Jeunesse, sport et engagement, avec l’écoconditionnalité des aides accordées aux événements sportifs et la mise en place d’un
appel à projets « natur’est » promouvant les activités de sport en pleine nature.
Lycées, avec les lycées durables engagés dans la démarche de gestion des espaces verts sans pesticides et l’équipement des
lycées en télégestion des compteurs d’eau permettant d’économiser désormais chaque année environ 240 000 m3.
Cohésion des territoires, avec le soutien aux projets faisant de l’eau un élément intégrateur de leur aménagement.
Santé, avec les projets identifiés dans le cadre du Plan Régional Santé Environnement (la 4ème occurrence est en construction).
Transition Energétique, Ecologique et Environnementale, avec notamment la réalisation d’une étude prospective à 2030,
2050 et à 2100 des besoins et des ressources en eau du territoire. Cette étude doit servir à aiguiller les choix d’aménagements et
d’actions futurs.
Pour aller plus loin sur la stratégie régionale :
www.grandest.fr/wp-content/uploads/2020/10/2006-biodiversite-eau-a4-web.pdf
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LE ROLE STRUCTUREL ET STRATEGIQUE DE L’ÉTAT
Les politiques publiques de l’eau sont une priorité de premier plan pour l’État. C’est le cas aujourd’hui et cela le sera
plus encore demain dans le contexte des incertitudes que fait peser le changement climatique. La directive cadre sur l’eau
donne l’objectif partagé à atteindre : le bon Etat du milieu aquatique.
Des actions sont menées depuis longtemps par l’État, ses établissements publics, les collectivités territoriales (les EPCI
compétents notamment à travers les lois NOTRe et MAPTAM ou leurs syndicats mixtes mais également le Conseil
régional), mais aussi les acteurs du territoire (industriels, agriculteurs…) pour améliorer progressivement l’état qualitatif
et quantitatif de la ressource en eau et assurer sa disponibilité pour les principaux usages tout en veillant à son utilisation
durable.
Les politiques publiques de gestion de l’eau sont définies et mises en œuvre à l’échelle des bassins hydrographiques et sont
structurées par les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE), élaborés par les comités de
bassins, véritables « Parlement de l’eau » qui associent les usagers de l’eau, les collectivités et l’Etat. Ces SDAGE fournissent
le cadre des politiques de l’eau dans le bassin et sont déclinés en programmes d’actions opérationnels sur les territoires ainsi
qu’en plans de gestion du risque inondation. Les agences de l’eau, bras financier de l’État y travaillent notamment avec les
acteurs du territoire depuis leur création en 1964.
Outre la définition du cadre réglementaire et organisationnel de la gestion de l’eau en France, l’action de l’État se déploie
principalement au niveau de:
◦ la planification : à travers le suivi de l’état des ressources, la fixation d’objectifs de qualité, des programmes de mesures
et d’actions opérationnels, etc.
◦ la régulation des usages et la police administrative : à travers les autorisations de prélèvements, de rejets diffus ou
ponctuels dans l’eau ou dans les milieux naturels, la restriction des usages en cas de sécheresse, etc.
◦ la tarification : à travers la fixation et la collecte des redevances prélevées sur les usagers de l’eau, etc.
◦ le soutien aux investissements : en définissant les programmes de subventions des Agences de l’eau, etc.
La relative abondance de la ressource dans notre région ne doit pas masquer les difficultés réelles auxquels nous
sommes et serons confrontés. Notamment, les projections climatiques et les sécheresses de ces dernières années mettent en
évidence de nouvelles tensions sur les ressources en eau de la région, qui viennent accentuer des problèmes de qualité connus
depuis plus longtemps (pollutions diffuses). Collectivement, il s’agit de mettre en œuvre rapidement de nouvelles actions
efficaces pour la sobriété des usages et la préservation de la qualité des ressources en eau. Dans un contexte de raréfaction
de la ressource, nous devrons également redoubler d’efforts pour concilier tous les usages et la protection des milieux.
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GRAND EST TRANSFORMATION « ENVIRONNEMENT »
A l’occasion des premières assises régionales autour de l’Eau en Grand Est, Franck
Leroy, Vice-Président de la Région délégué à l’Environnement, à la Transition
Ecologique et au SRADDET, a lancé Grand Est Transformation « Environnement »,
initié dans le cadre du Business Act #2.
Outil agile, souple, mobile, Grand Est Transformation (GET) est conçu comme un centre de ressources et d’expertise concentré
sur l’offre, au service des parcours de transformation. Il a vocation à fédérer et animer un réseau composé d’un pool d’experts
et de partenaires.
Le GET Environnement va ainsi permettre de structurer et de coordonner des offreurs de solutions à travers quatre leviers
majeurs : la transition énergétique, l’économie circulaire, la préservation de la ressource en eau et la préservation de la
biodiversité. Chaque levier fera l’objet d’un groupe de travail dédié, pensé comme un véritable think tank autour de quatre
domaines d’activités stratégiques :
La transition énergétique ;
La décarbonation et l’impact atmosphérique ;
L’économie circulaire et les déchets ;
La biodiversité et l’eau.
Une première réunion de travail, dédiée à l’eau, a été organisée le 6 juillet. Elle a permis de réfléchir à une feuille de route
s’articulant autour des grands enjeux en matière de préservation des ressources en eau, des besoins en recherche et
développement, des usages, de la compétence et de l’offre de formation sur cette thématique.
Concrètement, le GET Environnement va permettre de :
- Accompagner les offreurs de solutions innovants du Grand Est dans leur développement économique, leur mise en
visibilité, leur rapprochement pour développer des offres intégrées.
- Opérer la transformation des entreprises via les parcours de transformation. Ils vont en effet favoriser l’accompagnement
des entreprises dans l’intégration de nouveaux usages ou de nouvelles technologies.
- L’objectif au long court : ancrer sur le territoire, des entreprises innovantes, résilientes et responsables.
- Connecter les offreurs de solutions aux entreprises et aux collectivités du Grand Est pour accélérer leur transformation
environnementale et générer du chiffre d’affaires.
- Rapprocher ces mêmes offreurs avec les laboratoires académiques, via – par exemple – des sociétés de transfert de
technologie.
- Anticiper les compétences nécessaires pour les métiers de demain et, par conséquent, permettre aux représentants
académiques d’adapter leur offre de formation.
- Faire rayonner la Région Grand Est pour attirer sur le territoire de nouveaux offreurs de solution et des talents.
So-Rezo, un premier outil né sous l’impulsion du GET Environnement
Premier outil du GET Environnement, la plateforme régionale des greentechs So-Rezo, initiée par la Région et l’ADEME Grand
Est et mise en œuvre en partenariat avec la Fondation Solar Impulse, vise à référencer les offreurs de solutions
écotechnologiques et les mettre en relation avec des entreprises. Dans le domaine de l’eau, ce sont quatre solutions référencées !
Découvrez cet outil : https://so-rezo.fr/
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SENSIBILISER LE GRAND PUBLIC AUX ENJEUX DE L’EAU EN GRAND
EST
Des sorties nature en famille
Samedi 9 et dimanche 10 Juillet
Dans le cadre de ces rencontres dédiées à l’Eau, la Région organise des sorties nature en famille, autour des plus beaux lacs et
étangs du Grand Est, samedi 9 et dimanche 10 juillet.
Gratuites et accessibles à tous, ces balades permettront aux curieux de nature d’observer la biodiversité de leur région. Au
programme :
Sortie Lieu Date Réservation (obligatoire)
Randonnée découverte autour Les Mazures Samedi 9 juillet Parc Naturel Régional des Ardennes
du Lac des Vieilles Forges (Ardennes) Damien Pecheux : 03 24 42 90 57
Si on parlait biodiversité aux Mesnil-Saint-Père Samedi 9 juillet Centre Yvonne Martinot
abords des Lacs de la Forêt (Aube) Guillaume Morel : 03 25 41 28 63 ou
d’Orient (Lac d’Orient et Lac cym@laligue10.org
du Temple)
A la découverte des Etangs Giffaumont- Samedi 9 juillet LPO
d’Outines et d’Arginy Champaubert 03 26 72 54 47 (en semaine) et 06 71 68
(Marne) 47 06 (soir et week-end)
Bec et plume au Lac de Pierre Pierre Percée Samedi 9 juillet Association ETC Terra
Percée (Meurthe-et- Laura Lerognon : 07 68 67 88 38 ou
Moselle) ecotourisme@etcterra.fr
Traces et indices à l’étang des Dieuze (Moselle) Samedi 9 juillet Office du Tourisme du Saulnois
Essarts Laurine Vantillard : 03 87 01 16 26 ou
contact@tourisme-saulnois.com
A la découverte des libellules Heudicourt-sous- Dimanche 10 juillet CPIE Meuse
du Lac de Madine les-Côtes (Meuse) Samuel Nourry : 03 29 87 36 65
Retrouvez le programme complet sur www.grandest.fr/agenda/sorties-nature
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