LES CHERES REVISION DU PLU - Atelier environnement et Paysage 29 Mai 2017 - Les Chères
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Eléments de planning Réunion de lancement 01 Février 2017 Atelier n°1 : les activités humaines 24 Avril 2017 Phase 1 : Diagnostic Atelier n°2 : environnement et paysage territorial et Etat initial de l’environnement 29 Mai 2017 Atelier n°3 : le fonctionnement urbain 26 Juin 2017 Synthèse PPA 04 Juillet 2017 Phase 2 : PADD et OAP Septembre – Décembre 2017 Phase 3 : Traduction règlementaire 2018
II. Environnement - L’environnement physique - Les ressources - Les milieux naturels - Risques et nuisances
II.1. L’environnement physique La topographie - Un contexte topographique varié : - quasi absence de relief sur la commune, - les coteaux du Mont Verdun au sud, - les collines du Beaujolais à l’ouest, - la plaine du Rhône à l’est.
II.1. L’environnement physique La topographie - Une commune plane : - point haut : 208m - point bas : 175m B - Un contexte topographique à A l’échelle communale qui induit une émergence des bâtiments et du végétal dans le paysage. B A
II.1. L’environnement physique Le climat - Un régime climatique de type continental tempéré : Températures douces Bon ensoleillement, notamment du fait de la topographie Des précipitations régulières Données : météo-France
II.1. L’environnement physique l’hydrographie - Bassin versant de l’Azergues, à l’interface avec le bassin versant de la Saône. - Une hydrographie très présente à l’ouest de la commune (lit majeur de l’Azergues) - Le reste de la commune reste peu irrigué : un ruisseau torrentiel au sud, qui descend du Mont Verdun, quelques ruisseaux d’irrigation sur les terrains agricoles, …
II.1. L’environnement physique l’hydrographie Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux Rhône-Méditerranée (SDAGE) Il fixe les orientations fondamentales d’une gestion équilibrée de la ressource en eau dans l’intérêt général et dans le respect des principes de la directive cadre sur l’eau et de la loi sur l’eau, des objectifs environnementaux pour chaque masse d’eau (plans d’eau, tronçons de cours d’eau, estuaires, eaux côtières, eaux souterraines). Le SDAGE Rhône Méditerranée fixe plusieurs orientations pour la période 2016-2021 : - S’adapter aux effets du changement climatique - Privilégier la prévention et les interventions à la source pour plus d’efficacité - Prendre en compte les enjeux économiques et sociaux des politiques de l’eau et assurer une gestion durable des services publics d’eau et d’assainissement - Renforcer la gestion de l’eau par bassin versant et assurer la cohérence entre aménagement du territoire et gestion de l’eau - Lutter contre les pollutions, en mettant la priorité sur les pollutions par les substances dangereuses et la protection de la santé - Préserver et restaurer les fonctions naturels des milieux aquatiques et des zones humides - Atteindre l’équilibre quantitatif en améliorant le partage de la ressource en eau et en anticipant l’avenir - Augmenter la sécurité des populations exposées aux inondations en tenant compte du fonctionnement naturel des milieux aquatiques
II.1. L’environnement physique l’hydrographie Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux Rhône-Méditerranée (SDAGE) La commune appartient au sous-bassin de « l’Azergues à l’aval de la Brévenne ». Elle est concernée par plusieurs masses d’eau : - Masse d’eau superficielle : l’Azergues Etat écologique moyen, état chimique mauvais. Le SDAGE fixe comme objectif la remise en bon état physique et écologique du cours d’eau à l’horizon 2021. - Masse d’eau souterraine : Sables et graviers pliocenes du Val de Saône (FRDG225), alluvions de la Saône entre le confluent du Doubs et les Monts d’Or + alluvions de la Grosnes (FRDG305), socle Monts du lyonnais, beaujolais, mâconnais et chalonnais BV Saône (FRDG611). Le PLU doit être compatible avec le SDAGE Rhône-Méditerranée Traitement des eaux à la parcelle Coefficient de biotope (perméabilité des sols) Travail sur les OAP
II.1. L’environnement physique l’hydrographie Les contrats de rivière : - L’Azergues : 2ème contrat de rivière signé en 2015 : - Inondations - Usages (pêche, seuils non franchissables) - Dégradation physique - Transports solides - Pollutions diffuses L’Azergues – Route de Morancé Les pollutions : - Les Chères est classée comme une zone vulnérable à la pollution par les nitrates d’origine agricole vulnérabilité des eaux douces superficielles (Azergues) mais également souterraines. - Commune classée comme zone sensible à l’eutrophisation : conséquence d'un enrichissement excessif en nutriments (azote, phosphore) conduisant à des développements végétaux anormaux (principalement du fait de la pollution domestique et agricole).
II.1. L’environnement physique La géologie - Un sol aux caractéristiques alluviales fluviatiles : essentiellement composé d’argiles et d’argiles sableuses. quelque traces d’alluvions des hautes et basses terrasses rissiennes Les Chères (sables, graviers, cailloutis et galets siliceux). Des caractéristiques géologiques qui induisent une richesses agronomique des sols, avec un important potentiel agricole (PIG plaine des Chères).
II.2. Les ressources La ressource solaire - Un gisement solaire* intéressant : entre 1300 et 1450 kWh/m²/an. * (valeur de l’énergie du rayonnement solaire reçue sur une surface orientée au sud et inclinée d’un angle égale à la latitude). Les Chères
II.2. Les ressources La ressource éolienne - Les Chères se situe à la limite nord de la zone d’influence de la vallée du Rhône : indice éolien compris entre 5 et 5,5 m/s un gisement éolien qui reste peu intéressant sur la Les Chères commune.
II.2. Les ressources La qualité de l’air - Qualité de l’air (en 2014) globalement moyenne Les Chères voire mauvaise aux abord des axes de transport. - Une importante pollution due aux particules en suspension (transports, chauffage au bois vétuste, fioul, …). Limiter l’urbanisation aux abords des axes de transports les plus fréquentés, réfléchir à la localisation des équipements sportifs et scolaires, …
II.2. Les ressources Les sols agricoles Le Projet d’Intérêt Général de la Plaine des Chères : une protection stricte des espaces agricoles à l’échelle de la commune (espace non constructible). La pollution des sols 1 site répertorié sur la base de données BASOL : site Novembal, également classé en ICPE. Des servitudes à retranscrire dans le PLU (plan de zonage + annexes) : le PAC de l’Etat apportera plus d’informations à ce sujet
II.2. Les ressources La ressource en eau - La ressource en eau est gérée par le SIEVA (Syndicat Intercommunal des Eaux du Val d’Azergues). - Une STEP d’une capacité nominale de 1 800 équivalents habitants. - Un assainissement de type collectif sur une grande majorité des espaces urbanisés de la commune. Le périmètre d’assainissement collectif -Règlementation de la perméabilité des sols dans le règlement (CES, Coef biotope, …)
II.3. Les milieux naturels Les espaces protégés Aucun espace protégé au titre des ZNIEFF, ENS, arrêtés de protection de biotope, … sur la commune. Les zones humides « terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d'eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l'année » (Code de l’Environnement). Un rôle écologique et environnemental important : enjeu de préservation de ces espaces.
II.3. Les milieux naturels La végétation - Une prédominance de l’agriculture, de l’urbanisation et des infrastructures sur la commune : une végétation résiduelle qui se raréfie. - Une trame végétale « naturelle » (bocages, bois, bosquets, ripisylves) progressivement remplacée par une trame végétale agricole (vergers, prairies). - Une végétation très visible dans le paysage du fait d’un relief très plat
II.3. Les milieux naturels Les bocages Les bois et bosquets Les ripisylves - EBC - Eléments paysagers remarquables
II.3. Les milieux naturels Les corridors écologiques Les corridors écologiques assurent des connexions entre des réservoirs de biodiversité, offrant aux espèces des conditions favorables à leur déplacement et à l’accomplissement de leur cycle de vie. Les corridors écologiques comprennent notamment : - les couvertures végétales permanentes le long des cours d’eau, - tout ou partie des cours d’eau et canaux mentionnés, - tout ou partie des zones humides.
II.3. Les milieux naturels Le Schéma Régional de Cohérence Ecologique (SRCE) Le SRCE est élaboré conjointement par l’Etat (DREAL) et la Région. Il détermine les différents corridors écologiques et réservoirs de biodiversité à une échelle régionale. Son plan d’action vise notamment à : - Prendre en compte la TVB dans les documents d’urbanisme et dans les projets d’aménagement - Améliorer la transparence des infrastructures et ouvrages vis-à-vis de la TVB, - Préserver et améliorer la perméabilité des espaces agricoles et forestiers
II.3. Les milieux naturels Le Schéma Régional de Cohérence Ecologique (SRCE) -1 corridor d’importance régional à remettre en bon état sur la commune - Des grands espaces agricoles qui participent de la fonctionnalité écologique du territoire à préserver : la plaine des Chères - 1 cours d’eau reconnu d’intérêt écologique par la trame bleue à remettre en bon état - Plusieurs obstacles à l’écoulement des eaux recensés - Des points de conflit pour le déplacement de la faune repérés au nord de la commune
II.3. Les milieux naturels Le Schéma de Cohérence Territorial (SCoT) - Le SCoT définit également une Trame Verte et Bleue (TVB) à l’échelle du Beaujolais. - Il définit 3 éléments sur Les Chères : Une coulée verte, au nord Un corridor écologique terrestre Un corridor écologique aquatique Obligation d’être compatible avec le SRCE et le SCoT Nécessité de traduire la TVB du SRCE et du SCoT dans le PLU, à l’échelle parcellaire : trame ou zones N ou A indicées « corridor »
II.3. Les milieux naturels 3 axes principaux pour les déplacements des espèces. Des réservoirs de biodiversité constitués principalement par les bosquets, les haies et les ripisylves. Un enjeu de définition des limites d’urbanisation. Un espace de perméabilité écologique à préserver (enjeux environnementaux et agricoles).
II.4. risques et nuisances Les risques 3 types de risques majeurs sur la commune : Risque inondation Risque sismique Transport de marchandises dangereuses PPRI Azergues approuvé le 31/12/2008 Transport de matières dangereuses par voie souterraine et par voie routière
II.4. risques et nuisances Les risques Le risque inondation : PPRI Azergues approuvé le 31/12/2008, actuellement en cours de révision Nouvelle étude hydrologique produite sur les aléas : en attendant l’approbation du nouveau PPRI, c’est celui de 2008 qui s’applique (règle la plus contraignante).
II.4. risques et nuisances Les risques Le risque sismique Les Chères Les Chères est classée en risque sismique de niveau II : aucun impact sur le code de l’urbanisme (code de la construction, mesures particulières sur les bâtiments d’importance II, III et IV).
II.4. risques et nuisances Les risques Le risque géologique : La « cartographie de la susceptibilité aux mouvement de terrain dans le département du Rhône » (BRGM) laisse apparaitre un risque géologique quasiment nul sur la Commune de Les Chères (3 zones susceptibles au glissement de terrain). Etudes géotechniques complémentaires réalisées sur la commune ?
II.4. risques et nuisances Les risques Le risque retrait- gonflement des argiles : - Aléa faible sur la quasi-totalité de la commune. - Aucun sinistre recensé sur la commune concernant ce type de risque. Impact sur les règles de construction à respecter
II.4. risques et nuisances Les nuisances Les nuisances sonores dues aux infrastructures de transport : -RD306 : catégorie 3 (100m) -A6 / A446 : catégorie 2 (250m) - Voie ferrée : catégorie 2 (100m) Prescriptions en matière d’isolement acoustique des bâtiments. Une nécessaire prise en compte des nuisances sonores pour le développement résidentiel.
III. Paysage - le cadre supra communal - le paysage communal
III.1. Le cadre supra communal Unité paysagère de la DREAL : « Rive droite du val de Saône en aval de Villefranche et bassin de Lozanne » - Appartient à la famille des paysages Les Chères marqués par les grands équipements : autoroute A6 notamment. - Unité organisée autour de la plaine des Chères. De grandes parcelles remembrées de cultures céréalières s’y étalent. - Soumis à la forte pression foncière de l’agglomération lyonnaise, le paysage s’urbanise et les communes agricoles deviennent des banlieues résidentielles.
III.1. Le cadre supra communal la charte paysagère du SCoT : - Les Chères est située en limite Sud de l’entité du Val de Saône : territoire soumis à la pression urbaine du fait des infrastructures de transport et de la présence d’agglomérations urbaines. - La plaine de Chères est une des trois « poches agricoles » de cette entité : Espace morcelé par les infrastructures et qui sert de coupure à l’urbanisation entre les Monts d’Or et le val de Saône Diversité de cultures : maraîchage, Le Nord vert du Beaujolais vergers, céréaliculture, prairies, … La Vallée de l’Azergues Les Vallées de la Turdine, du Rhins et de la PIG renouvelé en 2016 Trambouze Le Val de Saône
III.1. Le cadre supra communal la charte paysagère du SCoT : Exemples d’enjeux de création/production du paysage : Les ZA sont l’occasion de créer une nouvelle image et une nouvelle conception de l’aménagement et du paysage qui lui est associé ; Autour des autoroutes il y a l’opportunité de « fabriquer » un paysage vu depuis l’autoroute comme une « vitrine du Pays Beaujolais » Les opérations de lotissement peuvent contribuer à une meilleur articulation entre les espaces agricoles et les espaces urbains Principe de transition urbaine Principe de continuité urbaine
III.2. Le paysage communal Une occupation du sol qui façonne le paysage : - Un paysage agricole omniprésent : une alternance entre grandes cultures, élevage, vergers, … qui crée un cadre paysager varié et de qualité. - Une urbanisation qui reste concentrée autour des noyaux historiques du Bourg et de la Grande Charrière, tout en gardant une certaine perméabilité (qualité du tissu). - Des grandes infrastructures à l’ouest (A6/A466) et au sud (voie de chemin de fer) de la commune qui créent des coupures paysagères franches.
III.2. Le paysage communal Une seule entité paysagère sur la commune : la plaine des Chères, caractérisée par plusieurs types La plaine d’occupation des sols qui agricole Les grandes impactent profondément le infrastructures paysage. L’espace urbanisé
III.2. Le paysage communal La plaine agricole : - Un paysage ouvert, ponctué d’éléments végétaux (bosquets, haies bocagères) qui permettent de rythmer le La plaine agricole paysage. - Des parcelles de très grande taille qui contribuent à homogénéiser le paysage … mais une relative diversité des cultures. - Très peu de bâtiments agricoles/d’exploitation . - Des vues sur le grand paysage a 360° : Monts du Beaujolais, Mont Verdun.
III.2. Le paysage communal L’espace urbanisé : - Un espace urbanisé qui s’est développé autour de 2 axes : la RD 306 et la rue de la Grande Charnière, avec une agglomération progressive des hameaux historiques (bourg, Grande Charrière, Grand Four). - Une extension de l’urbanisation qui soulève des problématiques de consommation d’espaces agricoles L’espace et naturels et de traitement des franges urbaines. urbanisé - Une trame verte urbaine encore présente qui crée une qualité du tissu.
III.2. Le paysage communal Les grandes infrastructures : - l’A6 et l’A466 : des barrières physiques à prendre en Les grandes infrastructures compte dans la dynamique paysagère. - Des axes privilégiés pour la découverte de la commune : enjeux d’insertion des espaces bâtis depuis l’autoroute. - Une végétalisation des abords qui relativise l’impact paysager des autoroutes : enjeux de préservation des bosquets et haies sur les terrains agricoles à proximité.
III.2. Le paysage communal Enjeux La plaine agricole : Conserver la diversité de culture Les grandes infrastructures : Préserver les éléments végétaux historiques Limiter l’impact visuel des grandes Reconstituer les haies bocagères dégradées infrastructures Mettre en valeur les vues sur le grand paysage Conserver et entretenir la végétation aux abords des infrastructures sans pour autant couper les lignes de vues Prendre en compte les points de vue depuis les axes autoroutiers en direction de la commune et vers le L’espace urbanisé : grand paysage L’insertion paysagère des bâtiments et de leurs abords Le travail sur les franges urbaines et paysagères Définir et affirmer les limites d’urbanisation Conserver l’aération et les espaces de respiration du tissu bâti
III.2. Le paysage communal Synthèse
III.2. Le paysage communal Zoom sur le traitement des limites : - Historiquement, des limites constituées de clôtures en murs plein, en pierre ou en pisé. - Des haies qui témoignent de l’histoire du monde rural. Des clôtures qui participent à la qualité de l’espace public : les murs pleins, qui marquent le caractère urbain du lieu, la haie vive, qui permet une bonne insertion des bâtiments dans les espaces naturels. Une qualité architecturale et/ou environnementale des haies et des clôtures à exiger (plusieurs essences végétales, matériaux, hauteurs, …). Chemin de l’étang Chemin des Varines - Le règlement peut fixer des règles en matière de hauteur, d’aspect et Rue de la Grande Charrière de qualité des clôtures (ex art.11)
III.2. Le paysage communal Zoom sur l’insertion architecturale : Rue du Côme - Des nouvelles constructions à rattacher aux caractéristiques traditionnelles des bâtiments : maisons mitoyennes dans le centre (implantation à la voirie, R+1+c, toiture à 2 pans), maisons en discontinuités dans les hameaux et en périphérie immédiate du centre (retrait, cour intérieure, clôture, …), fermes implantées dans le tissu aggloméré. Nécessité de trouver une cohérence Chemin de l’Etang entre les caractéristiques architecturales historiques et les nouvelles constructions. - Un travail sur l’article 11 : façades, toiture, teintes, … - Cahier de préconisation architecturale Route de Morancé
IV. Patrimoine - le patrimoine bâti - le patrimoine végétal et environnemental - le petit patrimoine
IV.1. Le patrimoine bâti Un patrimoine bâti varié : - Des bâtiments patrimoniaux remarquables : châteaux des Chères, Soleil d’Or, église Saint-Roch, … - Un patrimoine agricole encore bien présent : anciennes fermes. - Des maisons bourgeoises de qualité disséminées sur Soleil d’Or (ancien relais poste) l’ensemble de la commune. Route de la Grande Charrière Route de Morancé Eglise Saint-Roch Préservationdu patrimoine bâti au titre des éléments de patrimoine remarquable (article L151-19).
IV.1. Le patrimoine bâti Un patrimoine bâti varié :
IV.2. Le patrimoine végétal Des arbres remarquables dans l’espace urbain à préserver : Rue de la Babette Identification des arbres à préserver (éléments paysages remarquable, arbre classé, …) sur le plan de zonage et Chemin des Cèdres Bleus règlementation des coupes.
IV.3. Le petit patrimoine Un petit patrimoine à préserver et à entretenir : - Patrimoine vernaculaire (lavoirs, croix, vierges, …). - Des murs en pisé de qualité quelles capacités de restauration ? - Un petit patrimoine agricole identitaire de la région. Quel recensement du petit patrimoine sur la commune ? Mur en pisé Chemin des Varinnes Carrefour Ch. de la Croix Marval/RD306
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