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Benchmarking de l’e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec Marché public – Procédure négociée sans publicité Programme PROMETHEE Juin 2008
Introduction L’étude de benchmarking qui nous occupe porte sur la position des fédérations sectorielles (ou professionnelles) en matière de e-Learning , en Belgique, France et au Québec. L’objectif de cette étude s’inscrit dans les missions de l’AWT, à savoir le partage d’expériences, la promotion de bonnes pratiques, voire la création d’une offre de services intersectoriels pour les PMEs wallonnes. Pour mener à bien cette enquête, plusieurs principaux axes d’étude ont été privilégiés : les Fédérations ont-elles un avis sur le e-learning ? en font-elles la promotion, si oui, dans quelle mesure ? proposent-elles des produits/services pour accompagner leurs entreprises membres ? les entreprises membres sont elles intéressées par ces types de services ? etc. Afin de pouvoir comparer les résultats des différents pays et fédérations entre eux, il a été décidé de choisir 12 secteurs d’activités communs et représentatifs dans le poids économique de chaque pays. Les secteurs d’activités retenus ont notamment été : Alimentation ; Assurances ; Automobile ; Banques ; Chimie ; Construction ; Distribution ; Energie ; Human Capital ; Industrie graphique ; Industrie technologique ( !!! mettre à jour en fonction des équivalents en FR + QC) ; Textile, Bois et Ameublement ; … Utilisation des nouvelles technologies multimédia et de l’Internet pour améliorer la qualité de l’apprentissage en en- treprise notamment via l’accès à des ressources pédagogiques Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
En pratique : organisation de l’étude L’étude se présente sous la forme d’un mailing introduisant l’étude et proposant un questionnaire en ligne (formulaire web). Ce mailing a été suivi quelques jours après envoi par une relance téléphonique personnalisée. Les fédérations ont eu ainsi la possibilité de compléter seules ce questionnaire ou d’être accompagnées -par téléphone- par un représentant de l’AWT. Contenu de l’étude L’étude se concentre plus spécifiquement sur les besoins supposés des PME en matière de e-learning (choix de formations e-Learning, analyse des besoins, implémentation d’une solution e-learning) : pour chacun de ces besoins les fédérations ont du dire si elles proposent ou non des solutions (sous forme d’information, d’actions de sensibilisation, d’outils, de conseils…) ; si ces solutions sont payantes ou gratuites ; si ces solutions sont utilisées par les PME membres du secteur d’activité concerné. Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Résultats de l’enquête Les chiffres Nombre d’e-mails ciblés envoyés 83 Nombre de clics sur le lien ‘www.awt.be’ 22 Nombre d’ouverture (HTML seulement) du mailing 272 Statistiques Pourcentage de représentation des pays ciblés dans le total des réponses : 54,8 % 29 % 16,1 % UE CE EC AN EB IQ LG QU FR BE Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Partie 1 : Informations generales Les fédérations qui ont pris une part active à notre enquête : Fédérations belges : FEDIS : fédération belge des entreprises de distribution www.fedis.be Essenscia : fédération belge des industries chimiques et des sciences de la vie ASBL www.essenscia.be SOFEDEG : fédération sociale des entreprises d’électricité et de gaz FEBELGRA: fédération de l’Industrie Graphique Belge www.febelgra.be FOPAS : fonds de promotion de l’emploi et de la formation dans le secteur de l’assurance www.fopas.be FEBIAC : fédération de l’auto et du cycle pour les importateurs www.febiac.be FEDUSTRIA : fédération belge de l’industrie du textile et du bois www.fedustria.be FEVIA : fédération de l’industrie alimentaire www.fevia.be Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Fédérations québecquoises : Comité sectoriel de main-d’œuvre des communications graphiques du Québec www.communicationsgraphiques.org Détail Québec - Comité sectoriel de main-d’œuvre du commerce de détail www.detailquebec.com CSMOFMI : Comité sectoriel de main-d’œuvre dans la fabrication métallique industrielle http://csmofmi.com Fédérations françaises : CICF : Chambre de l’ingénierie et du conseil de France www.cicf.fr Chambre Syndicale Nationale des Fabricants de Chaux Grasses et Magnésiennes http://bl-communication.fr/lachaux FFC : Fédération Française des sciences pour la Chimie www.ffc-asso.fr Syndicat Général des Cuirs et Peaux www.sgcp.net Fédération Française de la Maroquinerie www.ff-maroquinerie.fr CGI, pour la promotion du commerce interentreprises (b to b) www.cgi-cf.com Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Partie 2 : position des fédérations en matiere d’e-learning Dans cette rubrique, nous invitions les fédérations à nous donner leur position en matière d’e-learning (en général pour toutes les entreprises des fédérations puis plus spécifiquement pour les PME). Niveau de connaissance des fédérations en matière d’e-Learning (comme mode de formation complémentaire et/ou alternatif à la formation traditionnelle) Près d’un quart des fédérations (23,5 %) avoue ne pas connaître du tout les solutions e-Learning, et une proportion légèrement plus importante 41,2 % (29,4 %) concède en avoir un connaissance insuffisante. Ces chiffres montrent à quel point un effort d’information et d’évangélisation est 29,4% nécessaire, surtout en Belgique où plus de fédérations qu’en France et qu’au Québec ne 23,5% connaissent pas du tout le e-Learning. 41,2 % des fédérations déclarent avoir une connaissance satisfaisante de l’e-Learning : parmi 9,1 % celles-ci, on trouve des fédérations qui ont des projets e-Learning pour l’avenir, mais aussi des fédérations qui ont analysé l’offre e-Learning et en ont déduit qu’elle n’était pas intéressante pour elles (industries manuelles, métier très te e e e spécifiques, etc.). Un effort pourrait donc être nt nt di an fourni pour mieux présenter quels peuvent on isa sa ist être les avantages du e-Learning (pour tous les of ffi fa ex pr su secteurs, même les plus spécialisés). tis In Ap In Sa Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Pensez-vous que le e-learning puisse apporter une valeur ajoutée à la formation dans les entreprises de votre fédération ? Pour les PME (< 250 employés) La plupart des fédérations voient des solutions e-Learning se déployer plus facilement dans des structures utilisant plus de 250 employés. Les raisons évoquées : Dans les TPE/PME de certaines industries, les employés 56,2 % (artisans, employés manuels, ...) ne sont pas forcément 43,8 % sensibilisés à l’e-Learning ou même aux NTIC en général ; Certaines fédérations pensent que le e-Learning ne peut pas apporter de solutions pour des métiers pratiques ; n i Ou No Pour certaines fédérations, l’implantation e-Learning dépend plus du type de métiers/industries visés que de la taille des entreprises ; Pour les autres entreprises (> 250 employés) Pour beaucoup, le e-Learning dépend de l’infrastructure informatique disponibles (ordinateurs, connexions réseaux, ...), et donc, logiquement, les entreprises de 75 % plus de 250 employés sont plus susceptibles d’être concernées ; 25 % « Oui et non... Les formations dans notre secteur doivent conjuguer un aspect pratique et un aspect théorique (manipulation en condition proche de la réalité) ». n i Ou No Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Proposez-vous des produits ou services pour aider les PME en matière de e-learning ? Pour anticiper les besoins et répondre à l’attente des entreprises, on constate qu’assez peu de fédérations proposent actuellement des produits ou des services 81,8 % pour aider les PME en matière de e-Learning : elles laissent souvent l’initiative à leurs membres ou laissent la main à l’organisme de formation désigné pour le secteur. Parmi les fédérations qui offrent ces services (lors de notre enquête, deux fédérations belges), l’accent est logiquement mis sur l’information et la 18,2 % sensibilisation. Il est à noter qu’au Québec, les entreprises sont très curieuses de voir des exemples concrets (modèles) d’impémentation e-Learning, qui pourraient les pousser à investir dans ce mode de formation. C’est i n Ou No pourquoi certaines fédérations québecquoises développent des solutions et des modules à sortir courant 2009 en Si oui, quels types de produits/services ? guise d’exemples concrets à présenter à leurs membres. Information 33,3 % Actions de sensibilisation 20% Autres services/produits : Outils / modèles 13,3 % « Coordination de projets e-Learning dans le but de répondre à des problématiques sectorielles. i.e. Réalisation / implémentation 13,3 % Étiquetage et exactitude des prix ». Une fédération québecquoise Conseil / accompagnement 6,7 % Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec
Si non, pourquoi ne proposez-vous pas des produits ou de services pour aider les PME en matière de e-learning ? Le nombre de fédérations (important) ne proposant pas de produits ou de services pour aider les PME en matière de e-Learning peut paraître interpelant. Exemples des raisons principalement évoquées : « Nous comptons sur nos partenaires traditionnels que sont les établissements scolaires du réseau public de l’éducation. Un projet partenarial a été réalisé portant sur le développement d’une formation portant sur l’interprétation des symboles de soudage ». Une fédération québecquoise « Nous sommes à construire des outils qui seront prêts pour utilisation en 2009 ». Une fédération québecquoise « Nous en sommes à notre premier projet, dont la 1e partie sera disponible en 2009 ». Une fédération québecquoise « Nous ne proposons aucune formation e-Learning mais aiguillons vers différents organismes ». Une fédération française « Notre vocation est la promotion de la formation en générale, pas du e-learning». Une fédération française « Nos membres l’organisent aux-mêmes. Manque d’ordinateurs, on n’est pas équipés pour cela... ». Une fédération belge « Nous ne croyons pas dans la solution de l’e-learning pour nos membres ». Une fédération belge « Connaissance inexistante. Pas de service e-learning ». Une fédération belge « Nous ne disposons ni des ressources humaines, ni financier pour le développer ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 10
Avez-vous des contacts, des échanges en matière de e-learning avec d’autres Fédérations de votre pays ? Echanges nationaux : « Echanges d’information, être à l’affût de ce qui se fait dans d’autres secteurs ». Une fédération québecquoise « Échanges concernant la réputation des concepteurs, et de 54,5 % 45,5% procédures de conception de formation e-Learning ». Une fédération québecquoise Constatons tout d’abord que les échanges, qu’ils soient nationaux ou n i Ou No internationaux, sont assez peu nombreux, preuve que des évolutions peuvent avoir lieu, notamment en matière de banchmarking, de coopération et Avez-vous des contacts, des échanges en matière de d’échanges de bonnes pratiques. e-learning avec des Fédérations équivalentes dans d’autres pays ? Les échanges internationaux sont moins nombreux que les échanges nationaux, ce qui peut paraître logique dans un contexte de marché national. Par contre, il est étonnant de constater que des fédérations de secteurs proches dans différents pays ne collaborent pas davantage, notamment dans : l’échange d’expériences d’implémentation de solutions e-Learning 72,7 % dans un même secteur ; l’échange de module de formations pouvant être utilisés par les 27,3 % différentes fédérations ; les synérgies dans la création de solutions e-Learning. n i Ou No Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 11
Avez-vous un budget et/ou des ressources (humaines) spécifiques au e-learning au sein de la fédération ? 63,4 % Une majorité de fédérations ne dispose pas de budget et/ou de ressources (humaines) spécifiques au e-Learning. Une nouvelle fois, le Québec se 36,4 % démarque en proposant des sources de subventions provinciales ou fédérales, n et en mettant à cointribution les partenaires du marché du travail. i Ou No Sources des budgets : « Subventions du gouvernement provincial et fédéral ». Une fédération québecquoise « Programmes gouvernementaux et contributions des partenaires du marché du travail ». Une fédération québecquoise « Budget pour la formation en général. Idée d’offrir une formation e-learning de langue à notre personnel. Mais budget restreint ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 12
Partie 3 : connaissance du besoin en e-Learning des PME Dans cette rubrique, nous souhaitions en savoir davantage sur les besoins des PME des secteurs visés en matière de e-learning : à partir d’une liste de services possibles, quels services répondent aux besoins des PME des secteurs visés ? Les PME attendent-elles d’autres services de la part des fédérations, etc. ? Selon les personnes interrogées, les PME des fédérations visées ont besoin ... ...d’information 28,6 % Besoin d’information : « ...sur des programmes existant (l’offre sur le marché) en programmes accés sur la vente, l’hygière, la sécurité, ... ». > Les fédérations québecquoises Une fédération belge et belges (pas connaissance de ce besoin par les fédérations « De manière générale, l’e-learning est assez mal connu ... ». françaises interrogées) s’accordent Une fédération belge pour donner la plus grande importance au besoin d’information : « ... au niveau social, économique, environnement, ... ». encore trop d’entreprises ignorent Une fédération belge tout de l’existence et des avantages du e-Learning. « Les PME ont besoin d’information concernant les moyens innovateurs de faire de la formation en milieu de travail ». Une fédération québecquoise « ... sur l’offre existante ... ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 13
...de conseil / accompagnement 17,9% Besoin de conseil, d’accompagnement : > Les fédérations québecquoises « Nous n’offrons pas ce service parce que nous-même n’avons pas encore développé notre expertise en et belges (pas connaissance de la matière, mais le besoin est là ». ce besoin par les fédérations Une fédération québecquoise françaises interrogées) soulèvent la difficulté pour les fédérations, elles- « Il faut des spécialistes pour ça ... ». mêmes en quêtes d’informations et Une fédération belge de spécialistes, de répondre à ce besoin, même si ce dernier est bel « Sans doute, mais nous devons rester discret dans notre accompagnement des membres et nous et bien présent. concentrer sur des thèmes qui leurs sont utiles ». Une fédération belge ...de réalisation / implémentation 17,9% Besoin de réalisation, d’implémentation : « Peu d’entreprises de notre comité sectoriel ont les ressources humaines et financières de lancer > Difficultés pour les fédérations leurs propres formations. La formation e-Learning nécessite un investissement important, dans un d’accompagner les PME dans ce court laps de temps ». besoin : peu d’entre-elles disposent Une fédération québecquoise de ressources et de budgets nécessaire à la résolution de ce « Les PME n’ont pas toujours le temps ni les moyens financiers pour financer l’élaboration de produits besoin. e-learning spécifiques (très cher et non rentable). Il leur faut trouver des produits existant sur le marché ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 14
...d’actions de sensibilisation 14,3 % Besoin d’actions de sensibilisation : > Le e-Learning étant encore assez « Les PME de notre secteur ne connaissent pas encore les avantages du e-Learning. Un travail de fond peu connu (voir début de l’étude), est à faire à ce sujet, dans l’idée qu’ont les PME du e-Learning ». des actions de sensibilisations Une fédération québecquoise au niveau des entreprises sur le e-Learning en général et sur ses « Sur l’opportunité de se former à distance et sur la démystification de l’outil informatique ». avantages, semblent nécessaires Une fédération belge pour toutes les fédérations. « Sans doute, mais nous devons rester discret dans notre accompagnement des membres et nous concentrer sur des thèmes qui leurs sont utiles ». Une fédération belge ...d’outils / modèles 14,3 % Besoin d’outils, de modèles : > Plusieurs fédérations « Le e-Learning est relativement nouveau et jusqu’à date, peu d’expériences ont été réalisées. Il appert québecquoises mettent sur pied que notre secteur cherche des exemples à suivre. C’est ce que nous tenterons de faire dans les mois à des exemples à suivre pour aider venir ». les PME à intégrer des solutions Une fédération québecquoise e-Learning dans leur offre de formation. « guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 15
Les autres besoins des PME : D’autres besoins pour les PME ont aussi été évoqués par les différentes fédérations : « Le secteur doit continuer à développer et s’approprier les équipement et connaissances nécessaires à une utilisation Besoin d’uniformisation et d’amélioration du parc massive du e-Learning. Des besoins en investissement dans le informatique et de l’accès aux NTIC ; matériel informatique de pointe et l’accès à la connection haute vitesse partout au Québec ». Besoin des PME d’être convaincus par le e-Learning : Une fédération québecquoise pour l’instant beaucoup d’entreprises sont encore trop sceptiques ; « Nos membres ont souvent des plus grands départements que nous en formation. Ils doivent former leurs employés et sont donc Besoin de support pour le développement du e-Learning pas mal équipés / bien informés ». (helpdesk, coach à distance, etc.). Une fédération belge « Besoin de voir un exemple de formation en ligne qui répondent à leurs besoins, pcq jusqu’à maintenant, 80% des industries n’y croient pas ou très peu !!! ». Une fédération québecquoise « Peut-être ont-elles des besoins mais la fédération ne va rien développer en ce domaine, ni même organiser des informations car nous avons d’autres priorités ». Une fédération belge « Développement continu et permanent d’autres outils, coach à distance, helpdesk ». Une fédération belge Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 16
Partie 4 : offre des fédérations en e-learning (aux PME) Dans cette rubrique, nous avons demandé aux différentes fédérations si elles apportent une réponse ou une solution à certains besoins supposés des PME. Puis, nous avons analysé dans quelle mesure ces solutions sont utilisées ou non. Les besoins : Besoin 1 : choisir une formation e-learning générique En général, les fédérations interrogées offrent encore asssez peu de réponse au besoin des PME de choisir une formation e-Learning générique/standard. Dans le cas où elles offrent 72,7 % effectivement une solution (un peu plus d’un quart des fédérations interrogées), celle-ci se présente la plupart du temps sous forme d’information (par exemple des informations sur leur site web), de sensibilisation (par exemple des réunions d’informations, des mailings, 27,3 % sur le thème du e-learning) ou de présentation d’outils (par exemple des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) : souvent, les fédérations aiguillent vers d’autres sources formations en ligne. n i Ou No Si oui, nature de la réponse des fédérations à ce besoin ? Autres services/produits : « Les collaborateurs des entreprises Information 18,8 % membres peuvent demander à s’inscrire Actions de sensibilisation 18,8 % pour parcourir des produits bureautiques via e-Learning (Internet, Outlook, Windows, Outils / modèles 18,8 % Word, Excel, Access, PowerPoint). L’accès au produit est valide pendant 3 mois ». Réalisation / implémentation 12,5 % Une fédération belge Conseil / accompagnement 12,5 % Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 17
Besoin 2 : analyse des besoins pour l’integration d’une solution e-Learning 81,8 % Les fédérations interrogées offrent encore moins de réponse au besoin des PME en matière d’analyse des besoins pour l’intégration d’une solution e-Learning. Les raisons se trouvent souvent dans les éléments déjà évoqués au cours de cette étude : manque de ressources (humaines et budgétaires, le e-Learning ne constitue pas un enjeu primordial pour les 18,2 % fédérations, ...). i n Ou No Si oui, nature de la réponse des fédérations à ce besoin ? Information 20 % Actions de sensibilisation 20 % Autres services/produits : Outils / modèles 20 % « Accompagnement via ressources humaines Réalisation / implémentation 20 % externes ». Une fédération belge Conseil / accompagnement 20 % Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 18
Besoin 3 : implémentation et/ou integration d’une solution e-learning Si oui, nature de la réponse des fédérations à ce besoin ? Information 20 % 81,8 % Actions de sensibilisation 20 % Outils / modèles 20 % 18,2 % Réalisation / implémentation 20 % Conseil / accompagnement 20 % i n Ou No Autre(s) besoin(s) ? « À force de développement de produits et de notre offre de services, et aussi de sensibilisation du secteur, il nous sera possible d’ici quelques années d’offrir des solutions innovatrices aux entreprises ». Une fédération québecquoise Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 19
L’adoption / l’utilisation (par les PME) de l’offre e-Learning de la Fédération Besoin 1 : choisir une formation e-learning générique Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Pas du tout adoptée/utilisée 55,6% Adoption/utilisation faible 22,2 % Adoption/utilisation moyenne 22,2 % Adoption/utilisation importante 0% Dans le cas où une solution est proposée aux entreprises en matière de choix de formation générique/standard, celle-ci s’avère très souvent ‘pas du tout adoptée/utilisée’. Les raison principales en sont : la plupart du temps, il n’y a tout simplement pas de besoins de la part des entreprises concernées car elles ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning (36,4%) ; les entreprises ne connaissent pas cette offre (9,1%) ; trop cher (9,1%) ; faible/moyenne accessibilité aux TIC en grande quantité. Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 20
Besoin 2 : analyse des besoins pour l’integration d’une solution e-Learning Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Pas du tout adoptée/utilisée 71,4 % Adoption/utilisation faible 28,6% Adoption/utilisation moyenne 0% Adoption/utilisation importante 0% Dans le cas où une solution est proposée aux entreprises en matière d’analyse des besoins pour l’intégration d’une solution e-Learning, celle-ci s’avère la plupart du temps ‘pas du tout adoptée/utilisée’. Les raison principales en sont : la plupart du temps, il n’y a tout simplement pas de besoins de la part des entreprises concernées (40 %) ; les entreprises ne connaissent pas cette offre (40 %) ; les entreprises ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning (20 %). Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 21
Besoin 3 : implémentation et/ou integration d’une solution e-learning Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Pas du tout adoptée/utilisée 71,4 % Adoption/utilisation faible 14,3 % Adoption/utilisation moyenne 14,3 % Adoption/utilisation importante 0% Dans le cas où une solution est proposée aux entreprises en matière d’implémantation et/ou intégration d’une solution e-Learning, celle-ci s’avère la plupart du temps ‘pas du tout adoptée/utilisée’. Les raison principales en sont : la plupart du temps, il n’y a tout simplement pas de besoins de la part des entreprises concernées (33,3 %) ; les entreprises ne connaissent pas cette offre (22,2 %) ; les entreprises ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning (22,2 %) ; trop cher (11,1 %) ; pas encore de statistique à cet effet (11,1 %). Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 22
CONCLUSION Au terme de cette étude de benchmarking, plusieurs tendances se retrouvent indifférement dans les différents secteurs et pays : Un besoin d’information et de sensibilisation se fait resentir auprès des entreprises qui sont encore nombreuses à ne pas voir dans le e-Learning d’intérêt notable et à penser qu’il s’agit d’un investissement trop lourd ; Beaucoup de fédérations pensent que le e-Learning n’est pas adapté aux besoins de leur secteur, tant au niveau des potentialités de ce mode de formation, qu’au niveau des aptitudes de son public-cible (utilisation des NTIC) ; C’est pourquoi assez peu de fédérations proposent des aides aux PME en matières de e-Learning ; Les fédérations contactées ne jugent pas dans l’ensemble avoir de mission d’évangélisation en matière d’e-Learning, mission qu’elles délèguent aux organismes de formations ou aux entreprises mêmes ; Pour répondre à ces besoins, certaines fédérations ont échaffaudé diverses solutions : Au Québec, plusieurs projets e-Learning prévus pour 2009 sont mis sur pied par différentes fédérations afin de servir d’exemples concrets de réalisations et pousser les entreprises à revoir certains préjugés liés au e-Learning ; Il existe au Québec des programmes de subventions des gouvernements provincial et fédéral pour aider les entreprises à intégrer le e-Learning. Les partenaires professionnels des secteurs sont aussi mis à contribution ; Au Québec toujours, un accent est mis sur l’utilisation des NTIC et la démystification de ces systèmes encore jugés inefficaces ; En Belgique et au Québec, de nombreuses fédérations ont mis sur pied des actions d’informations Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 23
et de sensibilisation, pour donner une meilleure visibilité au e-Learning ; En Belgique, la nécessité d’un accompagnement (coaching) au moment de l’implémentation de solutions e-Learning se fait de plus en plus sentir ; Dans l’ensemble, les différentes fédérations exprimaient donc les mêmes problèmes dans l’implémentation de solutions e-Learning. Les solutions apportées par les différentes fédérations se ressemblent aussi très fort : étant donné que de nombreuses entreprises attendent encore d’être convaincues par le e-Learning, la sensibilisation et l’information doivent encore être prônées, même si on note au Québec un fort investissement (notamment via des solutions e-Learning créées par les fédérations en guise d’exemples). En effet, même si certaines fédérations apportent des solutions concrètes en matière de réalisation ou d’implémentation e-Learning, celles-ci restent peu utilisées par leurs membres. Les entreprises se montrent encore clairement sceptiques et avant de leur proposer quoi que ce soit, il s’agit évidemment de les convaincre. Pour clore, un constat sur l’étude en elle-même : le choix de la position des fédérations sectorielles (ou professionnelles) en matière de e-Learning a été fait pour disposer d’une base solide et surtout comparable sur différents territoires nationaux. Pour être plus efficace en terme d’analyse des marchés interrogés, cette étude aurait pu être faite auprès des plus gros organismes de formation sectoriels, pour ceux qui en ont des très représentatifs, puisque la plupart des fédérations, si elles ont généralement une bonne connaissance de leurs filières et des besoins de leurs adhérents, ne sont peu ou pas impliquées dans la formation (et encore moins dans le e-learning) et donc ne constituent pas en elles-mêmes une ressource en matière de formation. Cependant, il aurait été à ce moment-là beaucoup plus compliqué, voire impossible de comparer les démarches et les données, puisque suivant les pays, ces organismes se situent au niveau sectoriel ou au niveau des entreprises, ce qui pour une étude de benchmarking reste primordial. Enfin, notons que les résultats quantitatifs obtenus sur le Québec et la Belgique permettent de dresser un portrait réaliste de la situation du e-Learning dans le secteur privé. Les résultats obtenus pour la France (peu de fédérations sectorielles ont pu nous donner des chiffres précis) laissent quant à eux la porte ouverte à diverses interprétations : le fait que les fédérations sectorielles françaises n’aient pu nous donner ce type d’information constitue en soi une indication intéressante dans le cadre de cette étude de Benchmarking. Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 24
ANNEXE : QUESTIONNAIRE EN LIGNE Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 25
Bonjour, L’Agence Wallonne des Télécommunication (AWT - www.awt.be) lance une étude sur l’e-learning et les Fédérations sectorielles/professionnelles. L’étude s’articule autour des besoins supposés des PME en matière d’e-learning (choix de formations e-learning, analyse des besoins, implémentation d’une solution e-learning) : • pour chacun de ces besoins, les fédérations devront dire si elles proposent ou non des solutions (sous forme d’information, d’actions de sensibilisation, d’outils, de conseils…) • si ces solutions sont payantes ou gratuites • mais également si ces solutions sont utilisées par les PMEs membres du secteur d’activité concerné. Les fédérations ont la possibilité de compléter seules ce questionnaire ou d’être accompagnées -par téléphone- par un représentant de l’AWT. Dans la me- sure du possible, cet accompagnement par téléphone sera privilégié (nous reprendrons contact avec vous dans les tous prochains jours). Le questionnaire dure environ 15 minutes Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 26
A. INFORMATIONS GENERALES SUR VOTRE FEDERATION Dans cette rubrique, nous vous invitons à nous donner quelques renseignements sur votre fédération. 1. Pays Belgique France Québec 2. Nom de votre fédération sectorielle/professionnelle 3. Secteur d’activité 4. Site web 5. Personne de contact Personne qui répond aux questions 6. Coordonnées (fonction + téléphone + mail) Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 27
7. Y-a-t-il une personne responsable de l’e-learning? Oui Nom / mail : Non 8. Nombre d’entreprises membres (des estimations suffisent) 9. Part des PME (< 250 salariés) (des estimations suffisent) 10. Nombre de salariés représentés (des estimations suffisent) 11. Autre(s) information(s) utile(s) Information(s) que vous estimez importante(s) pour cette enquête Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 28
B. POSITION DE VOTRE FEDERATION EN MATIERE D’E-LEARNING Dans cette rubrique, nous vous invitons à nous donner la position de votre fédération en matière d’e-learning (en général pour toutes les entreprises de votre fédération puis plus spécifiquement pour les PME). 1. Quel est le niveau de connaissance de votre fédération en matière de e-learning (comme mode de formation complémentaire et/ou alternatif à la forma- tion traditionnelle) ? Connaissance inexistante Connaissance insuffisante Connaissance satisfaisante Connaissance approfondie 2. Pensez-vous que le e-learning puisse apporter une valeur ajoutée à la formation dans les entreprises de votre fédération? 2.1. Pour les PME? (250 salariés) Oui Non... ... pourquoi pensez-vous que le e-learning n’apporte pas de valeur ajoutée? 3. Proposez-vous des produits / services pour aider les PME en matière de e-learning? Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 29
Oui Non 3.1. Si non, pourquoi ne proposez-vous pas des produits / services pour aider les PME en matière de e-learning? 3.2. Si oui, de quel(s) type(s)? Vous aurez l’occasion de développer ces produits /services dans la suite du questionnaire Information (par ex. quelques informations sur votre site web) Actions de sensibilisation (par ex. des réunions d’informations, des mailings, etc. sur le thème du e-learning) Outils / modèles (par ex. des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) Conseil / accompagnement (par ex. des services pour accompagner les entreprises au lancement ou durant leur projet e-learning) Réalisation / implémentation (par ex. des services pour la réalisation/l’implémentation de projet e-learning) Autre(s)... ... précisez: 4. Avez-vous des contacts, des échanges en matière de e-learning avec d’autres Fédérations de votre pays? Oui... ... de quel(s) type(s)? Non Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 30
5. Avez-vous des contacts, des échanges en matière de e-learning avec des Fédérations équivalentes dans d’autres pays? Oui... ... de quel(s) type(s)? Non 6. Avez-vous un budget et/ou des ressources (humaines) spécifiques au e-learning au sein de la Fédération? Oui... ... si oui, quelles sont les sources? (Fonds propres, Aides publiques, autres) Non C. CONNAISSANCE DU BESOIN EN E-LEARNING DES PME DU SECTEUR Dans cette rubrique, nous souhaitons en savoir davantage sur les besoins des PME de votre secteur en matière de e-learning : à partir d’une liste de ser- vices possibles, pensez-vous qu’ils répondent aux beoins des PME de votre secteurs? Pensez-vous que les PME attendent d’autres services de la part de votre fédération? 1. Pensez-vous que les PME de votre fédération ont besoin de… Précisez si possible le domaine/contenu du besoin (par ex. besoin d’informations sur les formations existantes dans x domaine) Information (par ex. quelques informations sur votre site web) Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 31
Actions de sensibilisation (par ex. des réunions d’informations, des mailings, etc. sur le thème du e-learning) Outils / modèles (par ex. des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) Conseil / accompagnement (par ex. des services pour accompagner les entreprises au lancement ou durant leur projet e-learning) Réalisation / implémentation (par ex. des services pour la réalisation/l’implémentation de projet e-learning) Autre(s)... 2. Pensez-vous que les PME de votre fédération ont d’autres besoins? Lesquels? D. OFFRE DE LA FEDERATION EN MATIERE DE E-LEARNING (aux PME) Dans cette rubrique, nous vous proposons, à partir d’une liste de besoins supposés des PME, de nous dire si OUI ou NON vous apportez une réponse/solu- tion en tant que Fédération. PUIS si les solutions proposées sont OUI ou NON utilisées par les PME de votre secteur. D.1. Les besoins Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 32
Les besoins possibles des PME sont regroupés en 3 catégories = • Choisir une formation e-learning générique/standard • Analyse des besoins pour l’intégration d’une solution e-learning • Implémentation/intégration d’une solution e-learning Pour chaque catégorie, nous vous demandons de préciser le type de service proposé : Information, Actions de sensibilisation, Outils / modèles, Conseil / accompagnement, Réalisation / implémentation, Autre(s). 1. Besoin 1 : CHOISIR UNE FORMATION E-LEARNING GENERIQUE/STANDARD Oui Non (si non, passez au besoin suivant : 2.) 1.1. Nature de la réponse de la Fédération à ce besoin Information (par ex. quelques informations sur votre site web) Actions de sensibilisation (par ex. des réunions d’informations, des mailings, etc. sur le thème du e-learning) Outils / modèles (par ex. des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) Conseil / accompagnement (par ex. des services pour accompagner les entreprises au lancement ou durant leur projet e-learning) Réalisation / implémentation (par ex. des services pour la réalisation/l’implémentation de projet e-learning) Autre(s)... ... précisez: 1.2. Précisions sur la nature des réponses/solutions proposées pour ce besoin 1.3. Ces solutions sont-elles gratuites? Proposez-vous des aides financières? Entièrement gratuites Partiellement gratuites Payantes Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 33
Aides financières Précisions si besoin 2. Besoin 2 : ANALYSE DES BESOINS POUR L’INTEGRATION D’UNE SOLUTION E-LEARNING Oui Non (si non, passez au besoin suivant : 3.) 2.1. Nature de la réponse de la Fédération à ce besoin Information (par ex. quelques informations sur votre site web) Actions de sensibilisation (par ex. des réunions d’informations, des mailings, etc. sur le thème du e-learning) Outils / modèles (par ex. des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) Conseil / accompagnement (par ex. des services pour accompagner les entreprises au lancement ou durant leur projet e-learning) Réalisation / implémentation (par ex. des services pour la réalisation/l’implémentation de projet e-learning) Autre(s)... ... précisez: 2.2. Précisions sur la nature des réponses/solutions proposées pour ce besoin 2.3. Ces solutions sont-elles gratuites? Proposez-vous des aides financières? Entièrement gratuites Partiellement gratuites Payantes Aides financières Précisions si besoin Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 34
3. Besoin 3 : IMPLEMENTATION/INTEGRATION D’UNE SOLUTION E-LEARNING Oui Non (si non, passez au point suivant) 3.1. Nature de la réponse de la Fédération à ce besoin Information (par ex. quelques informations sur votre site web) Actions de sensibilisation (par ex. des réunions d’informations, des mailings, etc. sur le thème du e-learning) Outils / modèles (par ex. des guides pour aider les entreprises à se poser les bonnes questions) Conseil / accompagnement (par ex. des services pour accompagner les entreprises au lancement ou durant leur projet e-learning) Réalisation / implémentation (par ex. des services pour la réalisation/l’implémentation de projet e-learning) Autre(s)... ... précisez: 3.2. Précisions sur la nature des réponses/solutions proposées pour ce besoin 3.3. Ces solutions sont-elles gratuites? Proposez-vous des aides financières? Entièrement gratuites Partiellement gratuites Payantes Aides financières Précisions si besoin Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 35
4. Autre(s) besoin(s) des PME : si vous pensez que les PME ont d’autres besoins : quels sont ils? votre fédération apporte-t-elle des réponses/solutions à ces besoins? Précisez le besoin, la nature de votre réponse/solution, la gratuité, les aides financières,... D.2. L’adoption / l’utilisation de l’offre de la Fédération en matière de e-learning (par les PME) 1. Besoin 1 : Choisir une formation e-learning générique/standard 1.1. Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Pas du tout adoptée/utilisée Adoption/utilisation faible Adoption/utilisation moyenne Adoption/utilisation importante 1.2. En cas d’adoption/utilisation faible ou de non adoption/utilisation, quelles en sont les raisons ? Pas de besoins Ne connaissent pas votre offre dans ce domaine Ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning Trop cher Autres... ... précisez: 2. Besoin 2 : Analyse des besoins pour l’intégration d’une solution e-learning 2.1. Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 36
Pas du tout adoptée/utilisée Adoption/utilisation faible Adoption/utilisation moyenne Adoption/utilisation importante 2.2. En cas d’adoption/utilisation faible ou de non adoption/utilisation, quelles en sont les raisons ? Pas de besoins Ne connaissent pas notre offre dans ce domaine Ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning Trop cher Autres... ... précisez: 3. Besoin 3 : Implémentation/intégration d’une solution e-learning 3.1. Quel est le niveau d’adoption/utilisation de votre offre par les PME ? Pas du tout adoptée/utilisée Adoption/utilisation faible Adoption/utilisation moyenne Adoption/utilisation importante 3.2. En cas d’adoption/utilisation faible ou de non adoption/utilisation, quelles en sont les raisons ? Pas de besoins Ne connaissent pas notre offre dans ce domaine Ne perçoivent pas l’intérêt de l’e-learning Trop cher Autres... ... précisez: Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 37
4. Autre(s) besoin(s) des PME : pour les autres besoins des PME auxquels votre fédération apporterait des réponses/solutions, quel est le niveau d’adoption/ utilisation? pourquoi? E. CONFIDENTIALITE DES DONNEES Précisez si vous acceptez ou non que les informations recueillies soient publiées (si vous souhaitez qu’elles le soient partiellement, merci de précisez les informations qui doivent rester confidentielles) Oui (l’AWT doit considérer les informations comme confidentielles et anonymes) Partiellement... (l’AWT doit considérer les informations suivantes comme confidentielles et anonymes) ... précisez: Non (l’AWT peut utiliser toutes les informations recueillies, de façon détaillée) Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 38
Nous vous remercions du temps que vous avez consacré pour compléter notre questionnaire. Nous vous informerons dès que les résultats seront disponibles. L’équipe AWT Benchmarking e-learning dans le secteur privé en Belgique, France et Quebec 39
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