Big data et Web sémantique - les données + l'intelligence= la solution
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big data et Web sémantique deux notions bien différentes et pourtant ... (sable et silicium). « big data » ce n’est pas que des données, mais déjà ça il faut le faire. ce qui prime ce ne sont pas les données (quoique), c’est surtout ce qu’on veut en faire. à l’ère de l’économie de la contribution et de l’économie de la fonctionnalité, il faudra compter: sur la contribution (plusieurs auteurs, plusieurs lecteurs, plusieurs contributeurs) – « SO ». sur l’impact de la mobilité (plus l’impact des terminaux « légers », smartphones, tablettes) – « MO », qui va diriger une partie des stockages et des traitements vers le nuage. l’usage plus que la propriété. l’individualisation, la personnalisation plus que la masse 131214 2
un chiffre à retenir : le chiffre 5 c'est le nombre d’exaoctets que représente l'information numérisée produite par l'humanité depuis ses débuts jusqu'en 2003. fin 2011, 5 exaoctets, c'est ce qui était généré en 2 jours. fin 2013, 5 exaoctets, c'est ce qui est généré en 12 minutes. Et pour traiter cette masse incroyable de données, la plupart multi- structurées (son, vidéo, texte,...), très rapidement, en les corrélant par des algorithmes prédictifs pour leur donner de la valeur, et visualiser des résultats pertinents, voire prédire l'avenir, on fait appel aux technologies du Big Data (ou déferlante informationnelle). 131214 3
C’est un marché de conjugaison des talents Plus que le nombre d’Internautes, ce qui compte c’est: • Que plus des ¾ de l’économie mondiale est impactée par le numérique (dont Internet est la partie visible l’iceberg de l’interaction). • Que le numérique contribue à près de ¼ de la croissance. Autrement dit la collecte, l’analyse des données (big data, cloud, analytics, ...) couvrent une très grande partie de l’économie et donc sont d’une extrême diversité. 131214 6
pour quoi? Marketing, Commerce, e-Commerce, m-Commerce, Santé, Smart Home Automobile, Industries, Culture, Smart Cities ... 195 000 000 131214 7
Tout démarre avec ... puisque ... Or pour « savoir » ce qui est utile, facile d’accès, émotionnellement engageant, ..., il faut collecter (i) l’historique des interactions directes, (ii) l’historique des contributions, (iii) les recommandations, ..., puis analyser en regard du nouveau contexte, de la nouvelle utilité, du nouvel accès, ... . 131214 8
Un exemple: le x-Commerce chaque étape marque la nécessité d’une collecte, d’une agrégation, d’une analyse pour « alimenter » le cycle. L’approche multi-canal impose également le croisement – WtS, StW, ROPO -. La personnalisation, l’individualisation sont autant d’incitations à la collecte, l’agrégation, l’analyse. En amont, le marketing. En aval, le SAV (étude des caractéristiques d’usage, de l’emploi, des avaries ou anomalies. Pour aller plus loin, les objets, les produits, les contenus, les applications, les services, seront également scrutés. 131214 9
Un autre exemple: l’industrie Là encore les objets connectés sont en première ligne (pour l’entretien, la qualité pour BMW, Pour les économies réalisées pour GE. 131214 10
dernier exemple (mais il y en bien d’autres): « smart cities » Dès lors que des milliers de personnes, 24h/24h, « titulaires » de 50 à 100 objets connectés chacune, peuvent être à l’origine d’un comportement « citoyen », le « big data » est indispensable (encore fait-il connaître la question). Dès lors que des intervenants multiples doivent partager les responsabilités autour d’un même service et qu’il y a nécessité d’échange, le « big data » est essentiel. 131214 11
Le marché Source: ABI Research Global spending on big data by organizations will exceed $31 billion in 2013. The spending will grow at a CAGR of 29.6% over the next five years, reaching $114 billion in 2018. The forecast includes the money spent on internal salaries, professional services, technology services, internal hardware, and internal software. 131214 12
L’emploi “By 2015, 4.4 million IT jobs globally will be created to Source: Gartner support big data. Des chiffres comparables ont été avancés par l’Europe. Attention cependant aux phénomène de « destructions créatrices » (Schumpeter) et de « déversement » (Sauvy). Les emplois ne sont pas les mêmes, dans les mêmes entreprises, dans les mêmes pays. 131214 13
Web sémantique L’information, l’image, le contexte, la nouvelle interrogation, la nouvelle interaction sont « liés » et constituent le « graphe ». 14
Lier l’information (texte) et sa signification Semantic Web is a group of methods and technologies to allow machines to understand the meaning - or "semantics" - of information on the World Wide Web.[1] The term was coined by World Wide Web Consortium (W3C) director Tim Berners-Lee.[2] He defines the Semantic Web as “a web of data that can be processed directly and indirectly by machines.” While the term "Semantic Web" is not formally defined it is mainly used to describe the model and technologies[3] proposed by the W3C. These technologies include the Resource Description Framework (RDF), a variety of data interchange formats (e.g. RDF/XML, N3, Turtle, N-Triples), and notations such as RDF Schema (RDFS) and the Web Ontology Language (OWL), all of which are intended to provide a formal description of concepts, terms, and relationships within a given knowledge domain. La signification dépend de la personne, du contexte, ... de l’interaction en cours donc des interaction passées, des contextes antérieures, des personnes précédentes 131214 15
enrichissement sémantique 16
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