Disparition du boeing 777 - Vol MH370 : pour le PDG d'Emirates, certains savent
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Disparition du boeing 777 Vol MH370 : pour le PDG d'Emirates, certains savent Addressing and Reporting System, dont sont équipés ce type d'appareils, ne peut être désactivé aussi facilement par les pilotes. Il aurait dû permettre à la compagnie de suivre le vol MH370. "Nous l'utilisons pour contrôler les systèmes des avions et la performances des moteurs", explique le PDG d'Emirates. "Très souvent, nous sommes capables de suivres les erreurs systémiques que les pilotes font", ajoute-il. "Le désactiver n'est pas si simple et nos pilotes ne sont pas formés à le faire. Mais sur le vol MH370, il a été désactivé", rappelle-t-il. Mais qui a bien pu le désactiver ? C'est une question pour le moment sans réponse. Tim Clarke remet également en cause la version officielle, qui indique que le Boeing 777 a fait demi-tour et fait cap vers l'Antractique. "Chaque seconde de ce vol doit être examinée jusqu'à sa théorique fin dans l'océan Indien, de laquelle ils n'ont toujours pas trouvé de trace, même pas un coussin". "Notre expérience nous rappelle que dans les accidents dans l'eau, quand l'avion s'est écrasé, il y a toujours quelque chose, indique-t-il. Nous n'avons pas vu une chose qui suggère catégoriquement que l'avion est là où ils disent qu'il est". Pour Tim Clarke, quelqu'un a pris le contrôle de l'avion, mais "personne ne sait
qui". Le PDG d'Emirates assure qu'il continuera à poser des questions et à (se) "créer des problèmes, même si d'autres souhaiteraient enterrer cette histoire. Nous avons une obligation envers les passagers, l'équipage du MH370 et de leur famille. Nous avons l'obligation de ne pas cacher ça sous le tapis". Vol M370 : reprise des recherches dans l'océan Indien Les recherches sous-marines pour tenter de retrouver les débris du Boeing 777 de Malaysia Airlines, qui s'est abîmé dans l'océan Indien en mars dernier, ont repris ce lundi, ont annoncé les autorités australiennes. Après une première phase de recherches infructueuses en surface et en profondeur, un navire affrété par la Malaisie a commencé à sonder les fonds pour tenter de localiser l'épave, disparue le 8 mars peu après son décollage de Kuala Lumpur à destination de Pékin, avec 239 personnes à bord. "Le navire GO Phoenix, qui embarque du matériel et des experts mis à disposition par Phoenix International, est arrivé dans la zone de recherche dans le sud de l'océan Indien et a commencé ses opérations d'exploration sous-marine", a indiqué l'Office australien de sécurité des transports ATSB. Le GO Phenix, qui dispose de 12 jours d'autonomie, et le Fugro Discovery, affrété par l'Australie, vont immerger à 5000 ou 6000 mètres de puissants sonars programmés pour détecter les parties volumineuses de l'épave de l'avion comme les moteurs, le train d'atterrissage et le fuselage. "Des images haute résolution de la zone de recherche seront collectées et analysées en temps réel (...) dans l'espoir de localiser l'épave du MH370", a expliqué Phoenix International. Auparavant, un navire d'études chinois, le Zhu Kezhen, et un navire australien,
le Fugro Equator, ont scanné les fonds sur près de 110 000 km². A partir de ces relevés batymétriques, l'institut public Geoscience Australia a dressé une carte en trois dimensions révélant un relief accidenté de volcans, de crêtes et de fosses autour du plateau de Broken Ridge. Les enquêteurs ont également reçu l'aide d'un spécialiste qui avait travaillé sur le crash du vol Air France AF447 Rio-Paris en juin 2009 dans l'océan Atlantique. Conditions de recherche très difficiles Tout contact avec le cockpit a cessé après environ une heure de vol et aucune trace physique de l'appareil n'a été retrouvée depuis. Ses systèmes de communication ont néanmoins "accroché" à plusieurs reprises des satellites, permettant de reconstituer sa trajectoire présumée jusqu'à sa probable chute en mer dans le sud de l'océan Indien, au large des côtes occidentales de l'Australie. Plusieurs hypothèses ont été évoquées, du coup de folie du pilote ou du co- pilote au détournement en passant par un grave accident mécanique. L'explication la plus crédible, selon les responsables chargés de l'enquête, est qu'une brusque chute du niveau de l'oxygène à bord a rendu l'équipage et les passagers inconscients. L'avion aurait ensuite continué à voler en pilote automatique, jusqu'à sa chute en mer, faute de carburant. Sur les 239 passagers et membres d'équipage, 153 étaient chinois. "Notre intention est de couvrir une zone de haute priorité (mais) nous n'avons aucune idée des délais probables pour trouver quoi que ce soit", a prévenu le chef d'ATSB, Martin Dolan, interrogé par la télévision australienne ABC. "Nous sommes raisonnablement optimistes sur le fait de localiser l'avion disparu à l'horizon d'un an", a-t-il dit. Ces opérations se déroulent dans des conditions "très difficiles" dans une zone largement inexplorée et très éloignées des côtes. En surface, les hommes y seront soumis à des températures polaires, de forts vents soufflant de l'Antarctique et des vagues pouvant atteindre 12 mètres.
Le vol MH370 "très vraisemblablement" en pilote automatique quand il s'est abîmé Deux navires de la marine australienne à la recherche de débris du vol MH370 de Malaysia Airlines dans le sud de l'océan Indien Abis Julianne Cropley / Australian Defence/AFP/Archives Trois mois et demi après sa disparition, on ne sait toujours pas ce qu'il est advenu du vol MH370, devant relier Kuala Lumpur (Malaisie) à Pékin (Chine). Toutefois, les autorités australiennes ont indiqué que le Boeing 777 de Malaysia Airlines était "très vraisemblablement" en pilote automatique quand il s'e'st abîmé dans l'océan Indien. "On peut dire, je pense, qu'il est très très vraisemblable que l'appareil était en pilote automatique. Sinon, il n'aurait pas suivi la trajectoire très régulière qui a été identifiée grâce aux données satellitaires", a déclaré Warren Truss, le vice- Premier ministre australien, dont le pays coordonne les recherches. "Au regard de sa trajectoire à travers l'océan Indien, nous estimons que l'appareil était en pilote automatique jusqu'à ce qu'il se retrouve à court de carburant", a renchéri le chef du Bureau australien de a sécurité aérienne. Des recherches plus au sud Le 8 mars dernier, le vol MH370, avec 239 personnes à bord, a brusquement changé de cap une heure après le décollage et cessé toute communication avec les contrôleurs aériens. Aucune trace physique de l'avion n'a été retrouvée depuis malgré des recherches titanesques, faisant de la dispairtion du MH370 un des plus grands mystères de l'aviation moderne. Selon des signaux satellitaires, l'appareil aurait volé vers le sud de l'océan Indien, avant de tomber en mer une fois à court de carburant. Conformément à ce qu'elles avaient laissé entendre la semaine dernière, les autorités australiennes ont indiqué que les recherces allaient s'orienter plus au
sud de la zone précédemment balayée. Une nouvelle analyse des donnés satellitaires a permis de délimiter une zone de 60 000 km², toujours dans le sud de l'océan Indien, où des opérations sous-marines démarreront en août et pourront durer jusqu'à un an. Les recherches se sont longtemps concentrées sur une zone au large de Perth, en Australie Occidentale, où des signaux accoustiques compatibles avec ceux émis par les batteries des boîtes noires avaient été détectés. Malgré des semaines de sondages à l'aide d'un robot sous-marin, rien n'a été retrouvé, et les enquêteurs doutent que ces signaux émanaient des boîtes noires. Vol MH370 : un nouveau témoin affirme avoir aperçu l'avion en feu C'est un rebondissement bienvenu dans l'affaire du Boeing 777 de la Malaysia Airlines disparu il y a près de trois mois. D'après le Times, une touriste britannique a contacté les autorités australiennes pour leur donner de précieux nouveaux éléments. Météorite ou avion en feu ? Le témoin affirme avoir aperçu un avion en feu alors qu'elle faisait une croisière
avec son mari dans l'océan Indien, non loin des côtes de la Thaïlande. "J'ai vu une forme allongée lumineuse de couleur orange vif, avec une traînée de fumée noire derrière elle. (...) J'ai pensé un instant que cela pouvait être une météorite, puis que j'étais folle, car cela ressemblait vraiment à un avion en feu ! " Des relevés GPS précis A ceux qui l'accusent de ne pas avoir révélé cet indice capital dans l'enquête sur la disparition du vol MH370, la touriste explique qu'elle pensait qu'on ne la croirait pas : "J'avais peur que l'on me dise que j'étais folle". Pourtant, les relevés GPS de son journal de bord durant la croisière semblent correspondre... Le mystère subsiste toujours depuis qu'un Boeing 777 s'est évaporé le 8 mars dernier avec 239 passagers à bord. Ce nouveau témoignage pourrait nourrir une théorie différente de celles déjà explorées, même si de nombreuses pistes précédentes se sont avérées fausses.
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