FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES

 
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FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
FABRICANT
                          DE FORMES THÉÂTRALES
                                  HÉTÉROCLITES

CONTACTS
_

LAUTRECOMPAGNIE@ME.COM

    LAUTRECOMPAGNIE.COM
FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
L’AUTRE COMPAGNIE : INTENTION ET SPECTACLES

                                               2022
                                                      L’INSTITUT BENJAMENTA
                                                        de Robert Walser

                                               2019
                                                      NOIR ET HUMIDE
                                                        de Jon Fosse

L’autre Compagnie articule son travail
autour de la fabrication de formes
                                               2018
théâtrales hétéroclites ayant pour
origine un texte du répertoire, une                   LES LECTURES ILLUSTRÉES
adaptation ou une écriture spécifique.                  Blaise Cendrars, Mohamed Choukri, J.G. Ballard...

                                               2016
Revendiquant un éclectisme de la forme                LE MOIS DE MARIE / L’IMITATEUR
et un goût prononcé pour les espaces
                                                        de Thomas Bernhard
sonores et les arts visuels, la volonté
de la compagnie est de rester propice à
l’invention en renouvelant les conditions
initiales de la création.
                                               2014
                                                      PINOCCHIO
                                                        d’après Carlo Collodi
Ses propositions artistiques,
spectaculaires ou intimistes, s’adressent      2012
à tous types de publics et de lieux de
représentation, elles vont de la salle à
l’espace public, du théâtre à l’installation
                                                      VISITES
ou à la lecture.                                        de Jon Fosse

                                               2011
                                                      SIRÈNES EN CAMPAGNE
                                                        de Frédéric Garbe

                                               2009
                                                      LA MÉMOIRE EST-ELLE SOLUBLE DANS L’EAU ?
                                                        de Frédéric Garbe

                                               2007
                                                      LE MOIS DE MARIE
                                                        de Thomas Bernhard
FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
L’INSTITUT
BENJAMENTA
FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
L’HISTOIRE

       L’INSTITUT
       BENJAMENTA
       de Robert Walser

                        avec
Mise en scène : Frédéric Garbe.
                                                      L’histoire
Jeu : Guillaume Mika.
                                                      Un jeune homme, Jacob Von Gunten, intègre une école pour
Sculpture papier, collaboration artistique,
                                                      devenir serviteur. Auréolé d’une prestigieuse réputation et d’un
scénographique et vidéo : Pauline Léonet.
                                                      glorieux passé, l’institut Benjamenta semble aujourd’hui sur le
Vidéo et mapping : Baptiste Alexandrowicz.
                                                      déclin, comme atteint d’un mal mystérieux.
Musique : Vincent Hours.
                                                      Les professeurs sont endormis et les élèves répètent
Lumière et construction décors : Ivan Mathis.
                                                      leurs exercices comme des automates. Les pensionnaires
Traduction : Marthe Robert.
                                                      disparaissent, quittant un à un l’institut.
                                                      Cette école est dirigée par M. Benjamenta, colosse mystérieux,
TOUT PUBLIC à partir de 11 ans.                       autoritaire et effrayant, et par sa jeune sœur, Mlle Benjamenta
                                                      qui exerce une grande fascination sur les élèves.
 Production L’autre Compagnie                         Avec ses camarades de classe Jacob va faire l’apprentissage de
 Coproductions Scène Nationale Liberté-               son métier de serviteur, entre abnégation et révolte. Mais il n’a
 Châteauvallon, Scène 55 de Mougins, Fonds            de cesse de vouloir comprendre le mal qui ronge les lieux et
 de coproduction mutualisée du réseau                 ses habitants. Comme un espion, il guette, fouille et tente de
 Traverses.                                           percer les secrets de l’institut. Il vient faire le rapport de ce
 Spectacle accueilli en résidence au Liberté, scène   qu’il a vu, vécu et compris et fait état de sa propre mutation,
 nationale dans le cadre du dispositif «Plateaux      de ce que cette non-éducation opère comme changements en
 Solidaires» d’ARSUD, à la Scène 55 de Mougins et     lui. Il se considère plus intelligent, plus sensible que les autres
 au Théâtre Marélios de La Valette-du-Var.            élèves et en tire une supériorité. Mais il admire ses camarades,
                                                      leur abnégation, leur soumission qui fait d’eux des héros à qui
                                                      il voudrait ressembler : vouloir ne plus rien vouloir, ne plus rien
                                                      attendre. « Devenir un parfait zero ».
                                                      Il subit autant qu’il aime cet emprisonnement mental.
                                                      L’institut est comme une machine à fabriquer des serviteurs et
                                                      à tuer les individualités pour faire de ces jeunes garçons des
                                                      soldats dont la servilité sera absolue.
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LES PERSONNAGES

 Ecrit en chapitres, dans la forme courte que développera Walser, le récit est entrecoupé d’ellipses,
 créant une temporalité énigmatique et laissant à l’imaginaire une place de choix.

Les personnages

Monsieur B. a tout de l’ogre des contes de Grimm ou d’Anderson. Directeur de cet institut, il incarne une figure
paternelle ambiguë tour à tour violent, mystérieux ou étrangement tendre.
Mlle B. incarne la fée des contes. Seule figure féminine, elle est la soeur, la mère dont la bonté et la douceur viennent
créer le contrepoint de son frère.
Les professeurs, absents ou endormis, contribuent à créer une ambiance d’irréalité.
Les camarades, Pierre, Fritz, Shultz, Fuchs, Kraus, Hans, Tremala, Schilinski et Schacht sont les frères, ceux à qui on
veut ressembler et dont on veut s’émanciper.

C’est dans ce schéma, avec ces figures, maternelle, paternelle, et cette fratrie que se construit le jeune Jacob.
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LA SCÉNOGRAPHIE

 À une époque où tout est dit, expliqué, montré, je voudrais travailler ici encore une fois sur le mystère, le
 non-dit, ce qui se dérobe, se cache, s’aperçoit ou se devine : considérer le hors-champ comme le lieu du
 drame.

La scénographie

C’est une sculpture en papier représentant l’institut : sa façade, son entrée, puis son intérieur avec ses couloirs, ses salles de
classes, ses dortoirs.... La lumière et la vidéo feront apparaître ces différents espaces. Silhouettes et présences hanteront
ses méandres internes. Les sons et les images nous parviennent de l’intérieure de la machine et sont comme volés au
silence et à l’obscurité de l’institut.
Les silhouettes projetées seront des sculptures de papier représentant les personnages. Nous utiliserons les microgrammes
de Robert Walser pour les vidéos. Lors de son internement et jusqu’à la fin de sa vie il écrira avec une mine de crayon, dans
un format microscopique des textes qu’ils griffonnera sur de vieux bouts de papiers.
Entre rêve et réalité, ce qui est à l’intérieur de l’institut est opaque, comme dans un songe ou une hallucination, et les
images qui nous en parviennent sont volontairement floues, prégnantes et oniriques.
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L’AUTEUR

Robert WALSER
                             Issu d’une famille de huit enfants, Walser quitte l’école à quatorze ans et le
                             domicile familial à dix-sept. Son existence au début de sa vie d’adulte lui fait
                             alterner emplois alimentaires et création poétique : Walser exerce de nombreux
                             métiers (domestique, secrétaire, employé de banque), qui lui inspireront
                             certains de ses plus grands textes.

                             Il commence à publier ses poèmes dès 1898, puis ce qu’il nommait des
                             « dramolets », c’est-à-dire des textes « musclés » comme une pièce de
                             théâtre et « effilés » comme un poème. Ainsi paraissent « Blanche-Neige » et
                             « Cendrillon » (1901),

Son premier recueil de prose paraît en 1904 - « Les Rédactions de Fritz Kocher » - mais le succès se fait
attendre. Entre 1907 et 1909, il rédige et publie trois romans : « Les Enfants Tanner », « Le Commis » et «
L’Institut Benjamenta ». Il publie régulièrement ses textes dans des journaux berlinois réputés.

                   Il obtient un vif succès dans le milieu littéraire berlinois et recueille l’admiration des plus grands
                   écrivains de l’époque, dont Robert Musil et le jeune Franz Kafka. Cependant, Walser fuit Berlin
                   pour s’installer à Bienne en 1913. Les raisons de son retour en Suisse sont mystérieuses. Il
                   semble avoir traversé une période de dépression. Pendant les sept années biennoises, Walser
                   publiera 9 livres, essentiellement des recueils de proses brèves ou de nouvelles — « Histoires
                   », « Vie de poète », « La Promenade», « Seeland »... En 1921, Robert Walser s’installe à Berne.
                   Même s’il vit en marge de la société en général et de la vie littéraire en particulier, les années
                   1924 à 1933 comptent parmi les plus fécondes de l’écrivain. De Berlin à Prague et Zurich, des
                   centaines de ses petites proses, poèmes et scènes dialoguées paraissent sous forme de feuilleton
                   dans la plupart des grands journaux du monde germanophone.

                   Durant ces années d’intense productivité, il développe une méthode d’écriture en deux temps, les
                   « microgrammes ». Un dernier recueil de proses, « La Rose » paraît en 1925; la grande masse des
                   textes de Walser reste éparpillée, et ne sera rassemblée qu’après la mort de l’écrivain.

                                                         En 1929, Walser entre dans la clinique psychiatrique
                                                         de la Waldau, à Berne, où il poursuit son travail de «
                                                         feuilletoniste ». Il cessera d’écrire en 1933.

                                                         Il y séjournera jusqu’au jour de Noël 1956 où, quittant
                                                         la clinique pour une promenade dans la neige, il
                                                         marchera jusqu’à l’épuisement et la mort.
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L’AUTEUR

La prose de Walser se caractérise par des descriptions précises, fines et aériennes de situations banales. Walser
donne l’impression de ne faire qu’effleurer les situations et les personnages qu’il décrit, et pourtant, cette
superficialité ne donne jamais un goût d’inachevé.

Walser est l’écrivain des choses petites, délicates et belles. La petitesse caractérise également sa technique
d’écriture des années 1920 : Walser esquissait ses textes au crayon, sur de simples bouts de papiers, d’une écriture
minuscule, avant de recopier à la plume ceux qu’il destinait à la publication. On mit longtemps après sa mort à
se rendre compte que l’écriture microscopique de ce « Territoire du crayon » était déchiffrable et renfermait de
très nombreux textes inédits, véritables œuvres — voire chefs-d’œuvre — littéraires. C’est ainsi, sous forme
de « microgramme » (ainsi appelle-t-on ces textes), qu’est écrit son grand roman publié à titre posthume, « Le
Brigand ».
                                                                                               Biographie issue de Wikipédia
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L’ÉQUIPE

                                                                                                                           Vincent Hours | UNIVERS SONORE
                                                                                         Toulonnais, Vincent Hours a obtenu un DEUG en musicologie à la faculté d’Aix-
                           L’ÉQUIPE                                                      en-Provence en 1993 et a ensuite suivi une classe de Jazz avec Marc FONTANA à
                                                                                         l’école de musique de Hyères, une classe de Percussions avec Georges VAN GUHT
                                                                                         au conservatoire National de Région de Toulon et une classe de Batterie avec
                                                                                         Florent FABRE à l’école de musique de La Garde. Dernièrement, il a eu l’occasion
                                                                                         de travailler sur divers projets :
                                                                                         2016 / 2017 : Composition et interprétation dans « Pulsions » création de la
                                                                                         Compagnie de l’Echo à Hyères. 2017 / 2019 : Intervenant dans « Les Ateliers en
                                      Frédéric Garbe | MISE EN SCÈNE                     Liberté ». Travail d’exploration artistique avec 40 enfants de l’aire toulonnaise en
                                                                                         vue d’une création pour la saison 2018/2019. Théâtre Liberté. Scène Nationale.
Frédéric Garbe se forme à L’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes et Marseille
                                                                                         Toulon. Novembre / Décembre 2017 : Création musicale et interprétation pour
(ERACM) (De1997 à 2000) , puis se tourne vers la mise en scène : « Haute-
                                                                                         la pièce « Métamorphoses ! » tirée d’une traduction libre des Métamorphoses
Surveillance » de Jean Genet (Création Les Informelles des Bernardines, Marseille
                                                                                         d’Ovide de Gilbert Lely. Le Cabinet de Curiosités. Théâtre du Rocher, La Garde.
2000) / « Saint Elvis » de Serge Valletti (Création Théâtre Apollinaire, La Seyne
                                                                                         Janvier 2018 : Composition musicale pour une lecture d’extraits de « La main
2003) / « La fureur des nantis » de Edward Bond (2006) / « Le mois de Marie»
                                                                                         coupée » de Blaise Cendrars dans le cadre de la Nuit de la Lecture. Lectures
de Thomas Bernhard (Création Théâtre de L’Abattoir, Cuers 2007) / « Pour un
                                                                                         Illustrées de L’autre Compagnie. Mis en scène par Frédéric Garbe.
peu » de Thomas Bernhard, (Création Théâtre des Halles, Avignon 2008) / « La
mémoire est-elle soluble dans l’eau ? » (Création Site des anciens chantiers, La
Seyne sur Mer 2009) / « Sirènes en campagne » (Sirènes et Midi Net, Marseille
2011) / « Visites » de Jon Fosse (Création Théâtre Liberté, Toulon 2012) / « Les
aventures de Pinocchio » d’après Carlo Collodi (Création Aggloscènes, St Raphaël              Pauline Léonet | SCULPTURE PAPIER, COLLABORATION
2014) / « Les lectures Illustrées » (2018) / « L’institut Benjamenta » de Robert                          ARTISTIQUE, SCÉNOGRAPHIQUE ET VIDÉO
Walser (2021).
                                                                                         Originaire de Toulon, Pauline obtient son DNSEP à l’ESADTPM en 2004.
Avec L’autre Compagnie, il articule son travail autour de la fabrication de formes
                                                                                         Enseignante en vidéo et en art depuis 2006, sa recherche plastique prend forme
théâtrales hétéroclites ayant pour origine un texte du répertoire, une adaptation
                                                                                         en parallèle à un engagement pédagogique (Dispositif Relais avec des collégiens
ou une écriture spécifique. De la salle à l’espace public, du théâtre à l’installation
                                                                                         en cours de déscolarisation, Foyers d’Apprentis d’Auteuil de la Valbourdine).
ou à la lecture, il revendique un éclectisme de la forme de ses spectacles.
                                                                                         Depuis 2014, elle est membre fondateur du metaxu, espace d’artistes dans le
                                                                                         centre ville de Toulon et artiste intervenante au Liberté, scène nationale de
                                                                                         Toulon. En 2016, elle fait une résidence de création Taxiphone à Châteauvallon,
                                                                                         scène nationale à Ollioules. Elle se nourrit de la culture populaire d’internet et
                                                      Guillaume Mika | JEU               imagine un réseau de dessins, icône et mues d’objets en papier. Bas relief, nature
                                                                                         morte, inventaires, ces représentations nous ramènent à notre matérialité et
Après son bac il intègre en 2008 l’Ecole supérieure de Théâtre de Cannes et              créent des rencontres fortuites entre objets et images, un regard décalé et non
Marseille, l’ERAC, où il a comme intervenants Valérie Dréville, Charlotte Clamens,       dénué d’une certaine ironie.
Nikolaus, Youri Pogrebnitchko, Hubert Colas ou encore Robert Cantarella. Il y
réalise encore quelques courts-métrages, ainsi que son premier long, Forme,
présenté à Cannes Cinéphiles en 2011.
A sa sortie d’Ecole, il travaille pendant un an à la Comédie-Française en tant
qu’élève-comédien dans Amphitryon m.e.s Jacques Vincey, La Trilogie de la                                                    Ivan Mathis | CRÉATION LUMIÈRE
Villégiature m.e.s Alain Françon et Le Mariage de Figaro m.e.s Christophe
                                                                                         Travaillant dans le spectacle vivant (créateur lumière, scénographe, bande son,
Rauck… Il y crée aussi sa première mise en scène, La Confession de Stavroguine
                                                                                         danseur ou comédien), sa démarche en tant que sculpteur et en lien direct avec
d’après les Démons de Dostoïevski en 2012 qui devient la première création
                                                                                         sa profession. Ses premières conceptions de « sculptures/luminaires » se font
de la Cie des Trous dans la Tête, fondée à Hyères. La seconde est La Ballade du
                                                                                         en 2007 pour des performances de danse. Ses « corps » d’acier répondent alors
Minotaure en 2014 à Confluences.
                                                                                         à ceux des danseurs, inscrivant dans l’espace un mouvement qui, bien que figé,
Son travail de comédien : chez Hubert Colas (Z.E.P), Betty Heurtebise (le Pays de
                                                                                         semble se prolonger à travers les faisceaux lumineux qu’ils diffusent.
Rien), Nikolaus (clown dans Chants Périlleux), Renaud-Marie Leblanc (Fratrie),
                                                                                         L’envie de concevoir et réaliser ces sculptures, est l’adition de son travail de
Armel Veilhant (Si bleue, si bleue la mer), Frédéric Grosche (Ta Blessure
                                                                                         créateur lumières et son parcours de danseur, qui est une de ces inspirations
est ce Monde Ardent) ou encore la Cie du Double (Dans la Chaleur du Foyer,
                                                                                         pour le choix des formes.
Retrouvailles!, le projet Newman)…
                                                                                         N’ayant pas suivit une formation spécifique de sculpteur, Ivan Mathis travaille
                                                                                         à l’instinct et à l’intuition. Cette démarche autodidacte a engendré un style à
                                                                                         la fois primitif (proche de la nature) et moderne (ligne abstraite et épurées).
FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
NO I R
     ET
  H UMI DE
de Jon Fosse
NOIR ET HUMIDE

     Mise en scène Frédéric Garbe
                                                                  Tout public à partir de 9 ans.
     Jeu Camille Carraz                                           Durée : 1h00
     Univers sonore Vincent Hours
     Sculptures papier et création vidéo Pauline Léonet
                                                                  Production L’autre Compagnie
     Proposition graphique Julien Chiclet
                                                                  Coproduction Théâtre Transversal
     Création lumière Ivan Mathis                                 Accueils en résidence Le Liberté, scène nationale de Toulon,
     Traduction Terje Sinding                                     METAXU - espace d’artistes, Toulon, Théâtre Transversal
                                                                  d’Avignon
                                                                  L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté.

Conte initiatique contemporain et obsessionnel, cette
histoire nous rappelle la puissance des sentiments de                                  DATES À VENIR
l’enfance et de la lutte farouche du désir contre la                                   1er DÉCEMBRE 2020 - 14h30
                                                                                       Théâtre Joliette | Marseille
peur et l’interdit.                                                                    Dans le cadre du temps fort du Réseau Traverses
                                                                                       3 DÉCEMBRE 2020 - 20H00
On suit, instant par instant, les pensées de Lene, petite fille qui                    Châteauvallon, scène nationale | Ollioules
profite de l’absence de sa mère pour réaliser ce qu’elle projette
                                                                                       4 DÉCEMBRE 2020 - 20H00
de faire depuis longtemps et qui lui est formellement interdit :
                                                                                       Châteauvallon, scène nationale | Ollioules
descendre à la cave, là où il fait noir et humide et où il y a des choses
noires et humides qu’elle ne connaît pas. Pour ce faire, elle devra                    8 DÉCEMBRE 2020 - 19H
                                                                                       Théâtre Antoine Vitez | Aix-en-Provence
surmonter sa peur, braver les interdits, dérober la lampe de poche de
                                                                                       Dans le cadre du festival Mom’Aix
son frère Asle et descendre à la cave...
                                                                                       29 AVRIL 2021 - 14H30
                                                                                       Théâtre du Bois de l’Aune | Aix-en-Provence
Une plongée immersive et sensorielle dans le monde
                                                                                       30 AVRIL 2021 - 19H30
de l’enfance.                                                                          Théâtre du Bois de l’Aune | Aix-en-Provence
NOTE D’INTENTION

Le spectacle est une forme théâtrale, visuelle et musicale que construisent et dans laquelle
évoluent le musicien, la vidéaste-plasticienne et la comédienne.

Tous trois, en lien permanent les uns avec les autres, nous plongent dans un voyage sensoriel et délicat où
nous sommes invités à laisser résonner nos propres souvenirs d’enfance et à en ressentir à nouveau la force
extrême.

La musique jouée en direct est essentiellement analogique, faite de nappes de synthétiseurs et de rythmes
électroniques, un écrin de douceur pour les mots et les images.

Les animations en noir et blanc représentent les objets quotidiens qui jalonnent cette odyssée : porte, couloir,
lampe torche, escalier, canapé, bottes, fenêtre, etc.
Les objets animés sont projetés dans l’espace de jeu pour créer une réalité douce, sensible et étrange où la
représentation du monde physique se tort. Faite de glissements et de transformations lentes ou saccadées,
la succession de ces images quotidiennes qui s’incrustent dans nos rétines crée une ambiance oscillant entre
onirisme et réel.
Les sculptures en papiers, fragiles échos des images dessinées, représentent ces mêmes objets et définissent
l’espace scénique. Elles apparaissent et disparaissent, s’éclairant puis retournant à l’ombre.

La comédienne porte le récit de cette histoire écrite à la troisième personne. Elle nous accompagne pas à pas,
émotion après émotion, dans ce chemin qui mène vers l’inconnu et l’interdit. Ecrit dans une langue méticuleuse
et répétitive, le texte nous immerge dans les pensées de Lene, dans une épopée initiatique, au plus près de ses
émotions, de ses peurs et de ses désirs.
PRESSE

EXTRAITS
DE PRESSE

La Revue du spectacle
« Un très grand moment de poésie pure, où la plastique        de cette petite fille habitée par le désir. Frédéric Garbe,
des compositions de la vidéaste-sculptrice Pauline Léonet     le mentor resté dans l’ombre de cette belle entreprise
se fondant dans l’univers sonore créé par Vincent Hours       collective, n’a décidément pas choisi au hasard le nom de
vient épouser le jeu épuré de Camille Carraz, interprète      sa compagnie, lui qui fait si bien entendre «l’autre scène»
semblant faite pour ce rôle au point où l’on imagine mal      sur le plateau de ses créations. »
autre qu’elle pour «rendre conte» (sic) de l’innocence        Yves Kafka

              La Provence
              « C’est un bijou, comme sait en offrir le metteur en scène     l’enfant, son immense détermination à avancer dans la
              toulonnais Frédéric Garbe.                                     vie.
              Au plateau, dans un écrin noir, le compositeur Vincent         Variations de la voix, visage et mains frémissants,
              Hours, la vidéaste-scénographe Pauline Léonet et une           regards-public, présence intense de la comédienne,
              comédienne. Seuls sont éclairés le visage et les mains.        nappes musicales, dessins mobiles et objets oniriques
              Mais cette distance assumée n’empêche pas Camille              d’une transparence glacée, nous emballent dans une
              Carraz, dirigée avec une minutie d’orfèvre, de faire passer,   envoûtante aventure sensorielle ! »
              entre non-dits et sous-dits, les pensées et émotions de        DCZ

Ouvert aux publics
« Frédéric Garbe a construit ce spectacle tel un précieux     entendre le moindre mot du récit. La direction de jeu est
moment à partager. Les miniatures se découvrent au            menée avec précision, sur le fil, pour une expérience des
regard au fur et à mesure de la représentation. Réalisées     plus immersives. Laissez-vous tenter par ce précieux
par Pauline Leonet, ces sculptures de papier encerclent       moment. »
la comédienne qui actionne, par ses mots, leur éclairage.     Laurent Bourbousson
Avec sa voix douce et ronde, Camille Carraz laisse

              Zibeline
              « Camille Carraz est éblouissante dans ce spectacle de         Léonet, blanches dans le noir, la musique de Vincent
              Jon Fosse écrit pour le jeune public, et mis en scène          Hours, qui tisse des épaisseurs sonores qui inquiètent
              par Frédéric Garbe. Ses gestes, le trouble dans sa voix,       puis rassurent et inquiètent encore… tout concourt à la
              ses peurs surmontées sont celles de l’enfance, pas la          beauté formelle d’un spectacle à mettre dans toutes les
              mièvre mais la forcenée, la désirante. Elle descendra à        mains, des plus jeunes aux plus vieux qui y retrouveront
              la cave, noire et humide, pour connaître, transgresser,        leur enfance inavouée. »
              s’affranchir… Les dialogues de Jon Fosse avec leurs            Agnès Freschel
              incises narratives, les sculptures et vidéos de Pauline
LES
 LECTURES
ILLUSTRÉES
LES LECTURES ILLUSTRÉES

       TOUT PUBLIC
ERRANCES
D’OLIVIER REMAUD
TOUT PUBLIC à partir de 9 ans
DURÉE : 35 min
LE SOURIRE DE VÉNUS
DE J.G BALLARD
TOUT PUBLIC à partir de 11 ans
DURÉE : 40 min
LE PAIN NU
DE MOHAMED CHOUKRI
TOUT PUBLIC à partir de 11 ans
DURÉE : 40 min
LA MAIN COUPÉE
DE BLAISE CENDRARS
TOUT PUBLIC à partir de 11 ans
DURÉE : 50 min

       JEUNE PUBLIC
KANT
DE JON FOSSE
JEUNE PUBLIC à partir de 6 ans
DURÉE : 20 min
JOIE, PEUR, TERREUR ET LEURS SŒURS
DE GARY GHISLAIN
JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans
DURÉE : 35 min
UN PARFAIT MONSTRE !
DE GARY GHISLAIN
JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans
DURÉE : 35 min

       EXTRAITS
LES INSTANTS IMMERSIFS
30 EXTRAITS DE ROMANS D’UNE DIZAINE DE MINUTES
TOUT PUBLIC à partir de 9 ans
DURÉE : à définir
LES LECTURES ILLUSTRÉES

        LE S L E C T U R E S
        ILLUSTRÉES

Le travail consiste à mettre en voix, en dessin
et en son une œuvre choisie et de créer un objet
scénique original qui allie ces trois dimensions
(visuelle, sonore et textuelle).

L’équipe artistique : un comédien, un musicien,
un dessinateur et un metteur en scène se
réunissent et proposent le résultat de cette
mise en commun de leurs techniques et de leurs
univers artistiques.

 La forme est autonome techniquement avec un système de diffusion du son et de l’image. Elle
 peut se jouer en tout type de lieux (salle de spectacle, bibliothèque, appartement, salle de classe….)
 équipé d’une prise de courant.

                   Ces textes sont proposés en version spectacle ou en format immersif avec
                   diffusion sous casque (40 casques disponibles).
LECTURE ILLUSTRÉE

      ERRANCES
             d’Olivier Remaud

                    avec

Mise en scène : Frédéric Garbe
Lecture : Frédéric Garbe
Propositions graphiques : Camille Desbiez
et Stéphane Lecomte
Animation/montage vidéo : Jean-Baptiste
Faure
Univers sonore : Zidane Boussouf
Texte paru aux Éditions Paulsen

TOUT PUBLIC à partir de 9 ans
35 min

© Camille Desbiez
LECTURE ILLUSTRÉE

Jamais un marin n’avait autant marché
que lui. Des côtes danoises du Jutland à
la péninsule du Kamtchatka, il devait unir
la terre et l’eau sur une même carte du
monde. Il arpenta les steppes et les forêts
de la Tartarie, franchit ses monts et ses
vallées, descendit ses rivières. Il atteignit la
pointe nord de l’Extrême-Orient, traversa
la partie septentrionale de l’océan Pacifique
et vit la Grande Montagne sur les rivages de
l’Amérique. Avec les vents contraires, les
complications du pouvoir et la pensée du
retour. Jusqu’au naufrage.

Voici le récit des tribulations de Vitus Bering (1681-1741), explorateur danois et capitaine qui mena, au tournant du
siècle des Lumières, des expéditions titanesques vers les confins de la Sibérie et même au-delà, vers l’Alaska.

                                                                                  Olivier Remaud raconte l’odyssée
                                                                                  de ce grand marin que rien
                                                                                  n’ennuyait plus que les rivalités
                                                                                  politiques et les spéculations des
                                                                                  cartographes. Il décrit les choix
                                                                                  et les doutes d’un homme de
                                                                                  plein vent, né voyageur, qui vécut
                                                                                  comme un nomade avant d’échouer
                                                                                  sur une île. Une vie dans laquelle
                                                                                  une femme d’action, son épouse
                                                                                  Anna, joua un rôle majeur. Entre
                                                                                  Ulysse et Gulliver, un portrait
                                                                                  intime qui se lit comme un roman
                                                                                  d’aventures.

© Stéphante Lecomte
LECTURE ILLUSTRÉE

           LE
       SO U RIRE
      DE V ÉNUS
        de J.G Ballard

                 avec

           Frédéric Garbe

Nouvelle issue du recueil « Vermillon
Sands » de J.G Ballard paru aux
Éditions Tristram.

Proposition électronique : Benoit
Bottex
Dessin : Ambre Macchia

Tout public à partir de 11 ans

Production L’autre Compagnie
LECTURE ILLUSTRÉE

Afin de décorer une esplanade, le Comité des Beaux-Arts de Vermillion Sands commande à l’artiste
Lorraine Drexel une sculpture sonique.
Lors de l’inauguration, les choses tournent au fiasco. La sculpture se met à jouer une musique
inaudible et stridente. Le public s’enfuit et la sculpture est mise au rebut, plantée dans un jardin
pavillonnaire.
Mais elle est loin d’avoir chanté ses dernières notes, et elle commence, peu à peu à se déployer et
à montrer toute l’étendue ses talents. Comme avait prévenu Lorraine Drexel : « Vous finirez par
l ‘aimer...»
Dans cette nouvelle écrite en 1957, l’auteur de « Crash » interroge la place de l’œuvre d’art dans la
ville, du rôle de l’artiste et de son lien avec le public.
« Vermilion Sands », transfuge fantasmé par J.G Ballard de la banlieue d’Hollywood, est un recueil
d’histoire qui oscillent entre science-fiction, humour, anticipation et bizarre.
LECTURE ILLUSTRÉE

                                             LE
                                            PAIN
                                             NU                                                                            avec

                                 de Mohamed Choukri                                                        Gilbert Traïna ou Frédéric Garbe

                                                                                                           Mise en scène : Frédéric Garbe
                                                                                                           Aquarelles : Eddy Vaccaro
                                                                                                           Univers sonore : Jérôme Lapierre
                                                                                                           Traduction : Tahar Ben Jelloun
                                                                                                           Texte paru aux éditions du Seuil.

                                                                                                           Tout public à partir de 11 ans

                                                                                                           Production L’autre Compagnie

Pour fuir la famine qui ravage le Rif marocain au début des années 40, la famille du petit Mohamed quitte leur village pour chercher
refuge à Tanger. Il va apprendre à vivre dans cette cité qu’il ne connaît pas et à se défendre contre la violence, celle de la ville et celle
de son père, alcoolique et brutal.
Ce « Pain nu », premier tome autobiographique de Mohamed Choukri, est un récit sans concession de l’enfance de l’auteur, dont nous
vous livrons ici l’intégralité du premier chapitre.
LECTURE ILLUSTRÉE

« C’était le temps de la famine dans le Rif. La sécheresse et la guerre. Un soir j’eus
tellement faim que je ne savais plus comment arrêter mes larmes. Ma mère me disait,
un peu pour me calmer :
-Tais-toi. Nous émigrerons à Tanger. Là-bas le pain est en abondance. Tu verras, tu ne
pleureras plus pour avoir du pain. À Tanger les gens mangent à leur faim. Regarde ton
frère Abdelkader, lui, il ne pleure pas.
Les yeux d’Abdelkader : profonds et hagards. À le regarder dans cette absence,
je m’arrêtais de pleurer. Sa sérénité me procurait de la patience mais pas pour
longtemps. »
LECTURE ILLUSTRÉE

                                                                                     LA
                                                                                   MAIN
                                                                                 C O U P ÉE
                                                                           de Blaise Cendrars

                                                                                         avec

                                                                                    Pascal Rozand

                                                                         Mise en scène : Frédéric Garbe
                                                                         Illustration/animation : Franck
                                                                         Cascales
                                                                          Univers sonore : Vincent Hours
                                                                         Texte paru aux éditions Gallimard.

                                                                         Tout public à partir de 11 ans

                                                                         Production L’autre Compagnie
                                                                         Lecture accueillie en résidence au
                                                                         Liberté, scène nationale de Toulon du
                                                                         23 au 29 novembre 2017.

Etrangers, fils d’étrangers, ils viennent de milieux populaires, et
s’engagent dans l’armée française pour défendre le pays qui les a
accueillis. Bons ou mauvais soldats, ils tentent de traverser cette
guerre dite « des tranchées » dont aucun ne rentrera indemne.
En cinq portraits (Rossi, Bikhoff, Lang, Garnero, Faval),
Cendrars se livre à un récit magnifique de l’enfer des
tranchées. Il fait un portrait plein de tendresse et d’humanité,
malgré l’enfer quotidien, de ses compagnons de bataille.
Une forme de réhabilitation pour ces hommes, morts comme des
milliers d’autres dans l’anonymat et l’indifférence, dont Cendrars
fait, le temps du récit, des héros de roman épique drôles et superbes.
LECTURE ILLUSTRÉE

           LES EXTRAITS

                                                               « Le 3 septembre 1914, premier jour officiel des engagements, le 3
                                                               septembre, dès l’ouverture des bureaux, je fus reconnu « bon » et signai
                                                               mon engagement aux Invalides.
                                                                Une heure après j’étais à la caserne de Reuilly, où l’on m’habilla et me
                                                               nomma soldat de première classe faisant fonction de chef d’escouade,
                                                               faute d’autres gradés pour rassembler les hommes qui affluaient.
                                                               La pagaïe commençait... »

« Au régiment, je restai un inconnu. Nul ne savait que j’étais un
écrivain. Au front, j’étais soldat. J’ai tiré des coups de fusil. Je n’ai
pas écrit.
Je m’étais engagé, et comme plusieurs fois déjà dans ma vie, j’étais
prêt à aller jusqu’au bout de mon acte.
 Mais je ne savais pas que la légion me ferait boire ce calice jusqu’à
la lie et que cette lie me saoulerait, et que prenant une joie cynique
à me déconsidérer et à m’avilir, je finirais par m’affranchir de tout
pour conquérir ma liberté d’homme. Être. Être un homme. Et
découvrir la solitude.
Voilà ce que je dois à la légion et aux vieux lascars d’Afrique,
soldats, sous-offs, officiers. Et cela valait bien la peine de risquer
la mort pour les rencontrer, ces damnés, qui sentaient la chiourme
et portaient des tatouages.
Pourtant, ils étaient durs et leur discipline était de fer. C’étaient des hommes de métier. Et le métier d’homme de guerre est une chose
abominable et pleine de cicatrices, comme la poésie. On en a ou l’on n’en a pas.
Il n’y a pas de triche car rien n’use d’avantage l’âme et marque de stigmates le visage (et secrètement le cœur) de l’homme et n’est plus
vain que de tuer, que de recommencer.
Et vivat ! C’est la vie… »
LECTURE ILLUSTRÉE

                K ANT
               de Jon Fosse

                      avec

   Mise en scène : Frédéric Garbe
   Lecture : Frédéric Garbe ou Gilbert Traïna
   Proposition graphique : Camille Desbiez
   Vidéo : Baptiste Alexandrowicz
   Musique : Alexandre Maillard

Kristoffer a 8 ans. Il est dans sa chambre mais n’arrive pas à dormir.   JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans
Il pense à l’espace infini. Et ça lui fait peur.                                                20 min
Et si après le bord du monde, il n’y avait rien ?
Et si nous vivions dans le rêve d’un géant ?
Et si le géant se réveillait, que se passerait-il ?

Production L’autre Compagnie
                                                                                          LECTURE
Traduction Terje Sinding                                                               JEUNE PU
L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté.                                      BLIC
LECTURE ILLUSTRÉE

RÉSIDENCES DE CRÉATION
du 28.09 au 03.10 au Théâtre Transversal, Avignon
dans le cadre de « Rouvrir le monde » de la DRAC PACA
du 23 au 27.11 au Centre Dramatique Des Villages

© Camille Desbiez
LECTURE ILLUSTRÉE

           J O IE , P E U R ,
           TE R RE U R E T
          L E U RS S Œ U RS
            de    Gary       Ghislain

                      avec

Lecture : Frédéric Garbe
Dessins : Ambre Macchia
Musique : Vincent Hours

                                        Cogito a 7 filles : Joie, peur, colère, terreur, dégoût, surprise,
                                        tristesse.
                                        Il voudrait les aimer toutes de la même manière, mais sa
                                        préférence va à Joie à qui il fait toujours des cadeaux. Les
                                        autres sœurs en ont assez et décident d’en finir avec Joie et son
                                        insupportable bonne humeur. Une course poursuite endiablée va
                                        commencer... Mais l’apparition inattendue de nouveaux membres
                                        de la famille va changer le cours des choses.

        E
  LECTUR IC
      PUBL
JEUNE
LECTURE ILLUSTRÉE
LECTURE ILLUSTRÉE

                         UN
                 P A RFA I T
             Md e O GNa rSy T GREh i s l a i!n

                          avec

  Lecture : Frédéric Garbe
  Dessins : Ambre Macchia
  Musique : Vincent Hours

Des histoires dans des histoires, des personnages
incroyables, une lecture pour rire et avoir peur
(un peu).

   Depuis 2018, L’autre Compagnie développe un projet d’éducation artistique et culturelle autour de ses lectures illustrées. Ce projet est
                     mené avec 2 classes de CM2 de La Tauriac et 5 classes de 6ème du collège La Marquisanne (Toulon).

 Chaque année, l’auteur Gary Ghislain mène une série d’ateliers d’écriture dans les classes en partenariat avec Le Labo des Histoires PACA,
 puis écrit un texte à partir des productions des élèves : « La Légende de Spoof » en 2018 et « Joie, peur, terreur et leurs sœurs » en 2019.
 Ces textes deviennent ensuite la matière de notre Lecture illustrée.

 Une heure par jour pendant toute la période de résidence dans la collège, chaque classe est accueillie par l’équipe artistique afin de leur
 présenter le travail en cours de réalisation.
 Une autre heure par jour est également consacrée à des ateliers de rencontre dans les classes autour de chacune des pratiques artistiques
 (lecture à haute voix, dessin et musique). Les artistes vont dans les classes initier les élèves à leurs pratiques et en faire découvrir l’étendue
 et les spécificités.
 La production finale, la lecture illustrée, musicale et sonore est présentée devant l’ensemble des élèves ainsi que leurs parents.

 Pour la réalisation de ce projet, merci à Claude Richerme, au Labo des histoires PACA, au Liberté-scène nationale de Toulon, au collège de
 La Marquisanne, à l’école de La Tauriac, aux élèves et aux professeurs, à la DAAC et au PASIE du Rectorat de Nice et à la circonscription
 de Toulon 2.

                  Ces lectures illustrées jeune public font désormais partie des lectures proposées dans notre répertoire.
LECTURE ILLUSTRÉE

                                               Spoof est un monstre parfait ! Il vit sous terre avec sa mère
                                               Monstre. Il adore retirer son œil de son orbite et dévorer la
                                               tête des gens après l’avoir faite bouillir.

                                               Mais cette fois, sa victime n’est autre que son père, un humain,
                                               grand tueur de monstres et raconteur d’histoire.

Enfermé dans un sac, il raconte à son fils
l’histoire d’Alice et Anouar, « Les enfants-
fusion», jumeaux venus de l’espace et
séparés à leur naissance qui se retrouvent
enfin pour se venger du « Maître des
Monstres » qui a tué leurs parents. Dans
cette aventure, ils seront aidés par Max
Maxime enquêteur et chasseur de Monstre.

Spoof va-t-il dévorer le crâne de son
père ? Alice et Anouar vont-ils vaincre le
terrible Roi des Monstres et son armée de
petits hommes verts ?

                                                                                                      E
                                                                                                LECTUR IC
                                                                                                    PUBL
                                                                                              JEUNE
LES INSTANTS IMMERSIFS

                                                                                          L ES
                                                                                       INSTANTS
Un système de lecture sous casque pour une écoute
                                                                                      IMMERSIFS
immersive...
Les instants immersifs proposent au spectateur de venir s’installer
confortablement dans un espace dédié, et d’écouter grâce à uns système
de diffusion sous casque, des lectures faites en direct par des comédiens
d’extraits de romans mis en dessin et en son.

Les animations sont projetées sur écran grand format ; la lecture et sa                Comédiens : Frédéric
bande son sont diffusés sous casque pour mettre le spectateur-auditeur                 Garbe et Pascal
dans un état de totale immersion, coupé du bruit extérieur.                            Rozand
                                                                                       Créateurs Sonores :
                                                                                       Zidane Boussouf et
                                                                                       Mathieu Hours
                                                                                       Dessinateurs : Franck
                                                                                       Cascales, Hildegarde
                                                                                       Laszack, Stéphane
                                                                                       Lecomte et Ambre
                                                                                       Macchia.

Ces instants immersifs proposent des extraits de romans d’auteurs actuels, des univers graphiques et
sonores variés d’une durée d’une dizaine de minutes, qui peuvent se déguster par petites tranches ou sur
des durées plus longues.

Polar, drame, comédie, essais, littérature jeunesse, ces lectures proposent des univers littéraires multiples
à écouter immergé dans une bulle sonore et visuelle.
LES INSTANTS IMMERSIFS
LES LECTURES ILLUSTRÉES : DIFFUSION

2021
15, 16, 18 et 19.03. LECTURE « KANT » | LE CARRÉ SAINTE-MAXIME

2020
14.02. LECTURE «Le Pain nu » | CENTRE JEAN GIONO, MANOSQUE
7 et 8.07. LECTURE «Le Pain nu » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE
7 et 8.07. LECTURE « Le Sourire de Vénus » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE
7 et 8.07. LECTURE « Un parfait monstre ! » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE
7 et 8.07. LECTURES IMMERSIVES | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE
30 et 31.10. LECTURE « KANT » | THÉÂTRE TRANSVERSAL, AVIGNON
18.12. LECTURE « KANT » | VINON-SUR-VERDON

2019
7 et 8.02. LECTURE « Un parfait monstre ! » | COLLÈGE LA MARQUISANNE, TOULON
10.07. LECTURE « Un parfait monstre ! » | MÉDIATHÈQUE PONT DU LAS, TOULON
17.07. LECTURE « Le Sourire de Vénus » | BIBLIOTHÈQUE PORT-MARCHAND, TOULON
15, 16 et 17.11. LECTURES IMMERSIVES | PLACE D’ARMES, TOULON
19 et 20.12. LECTURE « Joie, Peur, Terreur et ses Sœurs » | COLLÈGE LA MARQUISANNE, TOULON

2018
20.01. LECTURE « La main coupée » | MUSÉE D’ART DE TOULON
17.04. LECTURE « La main coupée » | LE LIBERTÉ, SCÈNE NATIONALE DE TOULON
28.04. LECTURE « Noir et humide » | THÉÂTRE TRANSVERSAL D’AVIGNON
31.05. LECTURE «Le Pain nu » | ATELIER ARTCHIARTY DE MARSEILLE
11, 18 et 25.07. LECTURE « Noir et humide » | THÉÂTRE TRANSVERSAL D’AVIGNON
21.07. LECTURE « Le Sourire de Vénu » | METAXU, TOULON
16.11. LECTURE « Désirée Fe » | PLACE D’ARMES, TOULON
16, 17 et 18.11 LECTURES IMMERSIVES | PLACE D’ARMES, TOULON
14.12. LECTURE « Le Pain nu » | PORT DES CRÉATEURS DE TOULON
SIÈGE SOCIAL

 3 1 R U E M IR A B E A U
 8 3 0 0 0 T O U LO N

CONTACTS

METTEUR EN SCÈNE - FRÉDÉRIC GARBE
LAUTRECOMPAGNIE@ME.COM
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ASSOCIATION LOI 1901 - ASSUJETTIE À LA TVA
XAVIER LAMBERT, PRÉSIDENT
N° SIRET : 504 969 429 00035
CODE APE / 9001Z
CATÉGORIE JURIDIQUE : 9220
N° DE LICENCE :2-1089962

L’AUTRE COMPAGNIE REÇOIT LE SOUTIEN DE LA VILLE DE TOULON, DE LA MÉTROPOLE TOULON
PROVENCE MÉDITERRANÉE, DU DÉPARTEMENT DU VAR, DE LA RÉGION SUD PROVENCE-
ALPES-CÔTE D’AZUR ET DE LA DRAC PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR.
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