FABRICANT DE FORMES THÉÂTRALES HÉTÉROCLITES
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L’AUTRE COMPAGNIE : INTENTION ET SPECTACLES 2022 L’INSTITUT BENJAMENTA de Robert Walser 2019 NOIR ET HUMIDE de Jon Fosse L’autre Compagnie articule son travail autour de la fabrication de formes 2018 théâtrales hétéroclites ayant pour origine un texte du répertoire, une LES LECTURES ILLUSTRÉES adaptation ou une écriture spécifique. Blaise Cendrars, Mohamed Choukri, J.G. Ballard... 2016 Revendiquant un éclectisme de la forme LE MOIS DE MARIE / L’IMITATEUR et un goût prononcé pour les espaces de Thomas Bernhard sonores et les arts visuels, la volonté de la compagnie est de rester propice à l’invention en renouvelant les conditions initiales de la création. 2014 PINOCCHIO d’après Carlo Collodi Ses propositions artistiques, spectaculaires ou intimistes, s’adressent 2012 à tous types de publics et de lieux de représentation, elles vont de la salle à l’espace public, du théâtre à l’installation VISITES ou à la lecture. de Jon Fosse 2011 SIRÈNES EN CAMPAGNE de Frédéric Garbe 2009 LA MÉMOIRE EST-ELLE SOLUBLE DANS L’EAU ? de Frédéric Garbe 2007 LE MOIS DE MARIE de Thomas Bernhard
L’HISTOIRE L’INSTITUT BENJAMENTA de Robert Walser avec Mise en scène : Frédéric Garbe. L’histoire Jeu : Guillaume Mika. Un jeune homme, Jacob Von Gunten, intègre une école pour Sculpture papier, collaboration artistique, devenir serviteur. Auréolé d’une prestigieuse réputation et d’un scénographique et vidéo : Pauline Léonet. glorieux passé, l’institut Benjamenta semble aujourd’hui sur le Vidéo et mapping : Baptiste Alexandrowicz. déclin, comme atteint d’un mal mystérieux. Musique : Vincent Hours. Les professeurs sont endormis et les élèves répètent Lumière et construction décors : Ivan Mathis. leurs exercices comme des automates. Les pensionnaires Traduction : Marthe Robert. disparaissent, quittant un à un l’institut. Cette école est dirigée par M. Benjamenta, colosse mystérieux, TOUT PUBLIC à partir de 11 ans. autoritaire et effrayant, et par sa jeune sœur, Mlle Benjamenta qui exerce une grande fascination sur les élèves. Production L’autre Compagnie Avec ses camarades de classe Jacob va faire l’apprentissage de Coproductions Scène Nationale Liberté- son métier de serviteur, entre abnégation et révolte. Mais il n’a Châteauvallon, Scène 55 de Mougins, Fonds de cesse de vouloir comprendre le mal qui ronge les lieux et de coproduction mutualisée du réseau ses habitants. Comme un espion, il guette, fouille et tente de Traverses. percer les secrets de l’institut. Il vient faire le rapport de ce Spectacle accueilli en résidence au Liberté, scène qu’il a vu, vécu et compris et fait état de sa propre mutation, nationale dans le cadre du dispositif «Plateaux de ce que cette non-éducation opère comme changements en Solidaires» d’ARSUD, à la Scène 55 de Mougins et lui. Il se considère plus intelligent, plus sensible que les autres au Théâtre Marélios de La Valette-du-Var. élèves et en tire une supériorité. Mais il admire ses camarades, leur abnégation, leur soumission qui fait d’eux des héros à qui il voudrait ressembler : vouloir ne plus rien vouloir, ne plus rien attendre. « Devenir un parfait zero ». Il subit autant qu’il aime cet emprisonnement mental. L’institut est comme une machine à fabriquer des serviteurs et à tuer les individualités pour faire de ces jeunes garçons des soldats dont la servilité sera absolue.
LES PERSONNAGES Ecrit en chapitres, dans la forme courte que développera Walser, le récit est entrecoupé d’ellipses, créant une temporalité énigmatique et laissant à l’imaginaire une place de choix. Les personnages Monsieur B. a tout de l’ogre des contes de Grimm ou d’Anderson. Directeur de cet institut, il incarne une figure paternelle ambiguë tour à tour violent, mystérieux ou étrangement tendre. Mlle B. incarne la fée des contes. Seule figure féminine, elle est la soeur, la mère dont la bonté et la douceur viennent créer le contrepoint de son frère. Les professeurs, absents ou endormis, contribuent à créer une ambiance d’irréalité. Les camarades, Pierre, Fritz, Shultz, Fuchs, Kraus, Hans, Tremala, Schilinski et Schacht sont les frères, ceux à qui on veut ressembler et dont on veut s’émanciper. C’est dans ce schéma, avec ces figures, maternelle, paternelle, et cette fratrie que se construit le jeune Jacob.
LA SCÉNOGRAPHIE À une époque où tout est dit, expliqué, montré, je voudrais travailler ici encore une fois sur le mystère, le non-dit, ce qui se dérobe, se cache, s’aperçoit ou se devine : considérer le hors-champ comme le lieu du drame. La scénographie C’est une sculpture en papier représentant l’institut : sa façade, son entrée, puis son intérieur avec ses couloirs, ses salles de classes, ses dortoirs.... La lumière et la vidéo feront apparaître ces différents espaces. Silhouettes et présences hanteront ses méandres internes. Les sons et les images nous parviennent de l’intérieure de la machine et sont comme volés au silence et à l’obscurité de l’institut. Les silhouettes projetées seront des sculptures de papier représentant les personnages. Nous utiliserons les microgrammes de Robert Walser pour les vidéos. Lors de son internement et jusqu’à la fin de sa vie il écrira avec une mine de crayon, dans un format microscopique des textes qu’ils griffonnera sur de vieux bouts de papiers. Entre rêve et réalité, ce qui est à l’intérieur de l’institut est opaque, comme dans un songe ou une hallucination, et les images qui nous en parviennent sont volontairement floues, prégnantes et oniriques.
L’AUTEUR Robert WALSER Issu d’une famille de huit enfants, Walser quitte l’école à quatorze ans et le domicile familial à dix-sept. Son existence au début de sa vie d’adulte lui fait alterner emplois alimentaires et création poétique : Walser exerce de nombreux métiers (domestique, secrétaire, employé de banque), qui lui inspireront certains de ses plus grands textes. Il commence à publier ses poèmes dès 1898, puis ce qu’il nommait des « dramolets », c’est-à-dire des textes « musclés » comme une pièce de théâtre et « effilés » comme un poème. Ainsi paraissent « Blanche-Neige » et « Cendrillon » (1901), Son premier recueil de prose paraît en 1904 - « Les Rédactions de Fritz Kocher » - mais le succès se fait attendre. Entre 1907 et 1909, il rédige et publie trois romans : « Les Enfants Tanner », « Le Commis » et « L’Institut Benjamenta ». Il publie régulièrement ses textes dans des journaux berlinois réputés. Il obtient un vif succès dans le milieu littéraire berlinois et recueille l’admiration des plus grands écrivains de l’époque, dont Robert Musil et le jeune Franz Kafka. Cependant, Walser fuit Berlin pour s’installer à Bienne en 1913. Les raisons de son retour en Suisse sont mystérieuses. Il semble avoir traversé une période de dépression. Pendant les sept années biennoises, Walser publiera 9 livres, essentiellement des recueils de proses brèves ou de nouvelles — « Histoires », « Vie de poète », « La Promenade», « Seeland »... En 1921, Robert Walser s’installe à Berne. Même s’il vit en marge de la société en général et de la vie littéraire en particulier, les années 1924 à 1933 comptent parmi les plus fécondes de l’écrivain. De Berlin à Prague et Zurich, des centaines de ses petites proses, poèmes et scènes dialoguées paraissent sous forme de feuilleton dans la plupart des grands journaux du monde germanophone. Durant ces années d’intense productivité, il développe une méthode d’écriture en deux temps, les « microgrammes ». Un dernier recueil de proses, « La Rose » paraît en 1925; la grande masse des textes de Walser reste éparpillée, et ne sera rassemblée qu’après la mort de l’écrivain. En 1929, Walser entre dans la clinique psychiatrique de la Waldau, à Berne, où il poursuit son travail de « feuilletoniste ». Il cessera d’écrire en 1933. Il y séjournera jusqu’au jour de Noël 1956 où, quittant la clinique pour une promenade dans la neige, il marchera jusqu’à l’épuisement et la mort.
L’AUTEUR La prose de Walser se caractérise par des descriptions précises, fines et aériennes de situations banales. Walser donne l’impression de ne faire qu’effleurer les situations et les personnages qu’il décrit, et pourtant, cette superficialité ne donne jamais un goût d’inachevé. Walser est l’écrivain des choses petites, délicates et belles. La petitesse caractérise également sa technique d’écriture des années 1920 : Walser esquissait ses textes au crayon, sur de simples bouts de papiers, d’une écriture minuscule, avant de recopier à la plume ceux qu’il destinait à la publication. On mit longtemps après sa mort à se rendre compte que l’écriture microscopique de ce « Territoire du crayon » était déchiffrable et renfermait de très nombreux textes inédits, véritables œuvres — voire chefs-d’œuvre — littéraires. C’est ainsi, sous forme de « microgramme » (ainsi appelle-t-on ces textes), qu’est écrit son grand roman publié à titre posthume, « Le Brigand ». Biographie issue de Wikipédia
L’ÉQUIPE Vincent Hours | UNIVERS SONORE Toulonnais, Vincent Hours a obtenu un DEUG en musicologie à la faculté d’Aix- L’ÉQUIPE en-Provence en 1993 et a ensuite suivi une classe de Jazz avec Marc FONTANA à l’école de musique de Hyères, une classe de Percussions avec Georges VAN GUHT au conservatoire National de Région de Toulon et une classe de Batterie avec Florent FABRE à l’école de musique de La Garde. Dernièrement, il a eu l’occasion de travailler sur divers projets : 2016 / 2017 : Composition et interprétation dans « Pulsions » création de la Compagnie de l’Echo à Hyères. 2017 / 2019 : Intervenant dans « Les Ateliers en Frédéric Garbe | MISE EN SCÈNE Liberté ». Travail d’exploration artistique avec 40 enfants de l’aire toulonnaise en vue d’une création pour la saison 2018/2019. Théâtre Liberté. Scène Nationale. Frédéric Garbe se forme à L’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes et Marseille Toulon. Novembre / Décembre 2017 : Création musicale et interprétation pour (ERACM) (De1997 à 2000) , puis se tourne vers la mise en scène : « Haute- la pièce « Métamorphoses ! » tirée d’une traduction libre des Métamorphoses Surveillance » de Jean Genet (Création Les Informelles des Bernardines, Marseille d’Ovide de Gilbert Lely. Le Cabinet de Curiosités. Théâtre du Rocher, La Garde. 2000) / « Saint Elvis » de Serge Valletti (Création Théâtre Apollinaire, La Seyne Janvier 2018 : Composition musicale pour une lecture d’extraits de « La main 2003) / « La fureur des nantis » de Edward Bond (2006) / « Le mois de Marie» coupée » de Blaise Cendrars dans le cadre de la Nuit de la Lecture. Lectures de Thomas Bernhard (Création Théâtre de L’Abattoir, Cuers 2007) / « Pour un Illustrées de L’autre Compagnie. Mis en scène par Frédéric Garbe. peu » de Thomas Bernhard, (Création Théâtre des Halles, Avignon 2008) / « La mémoire est-elle soluble dans l’eau ? » (Création Site des anciens chantiers, La Seyne sur Mer 2009) / « Sirènes en campagne » (Sirènes et Midi Net, Marseille 2011) / « Visites » de Jon Fosse (Création Théâtre Liberté, Toulon 2012) / « Les aventures de Pinocchio » d’après Carlo Collodi (Création Aggloscènes, St Raphaël Pauline Léonet | SCULPTURE PAPIER, COLLABORATION 2014) / « Les lectures Illustrées » (2018) / « L’institut Benjamenta » de Robert ARTISTIQUE, SCÉNOGRAPHIQUE ET VIDÉO Walser (2021). Originaire de Toulon, Pauline obtient son DNSEP à l’ESADTPM en 2004. Avec L’autre Compagnie, il articule son travail autour de la fabrication de formes Enseignante en vidéo et en art depuis 2006, sa recherche plastique prend forme théâtrales hétéroclites ayant pour origine un texte du répertoire, une adaptation en parallèle à un engagement pédagogique (Dispositif Relais avec des collégiens ou une écriture spécifique. De la salle à l’espace public, du théâtre à l’installation en cours de déscolarisation, Foyers d’Apprentis d’Auteuil de la Valbourdine). ou à la lecture, il revendique un éclectisme de la forme de ses spectacles. Depuis 2014, elle est membre fondateur du metaxu, espace d’artistes dans le centre ville de Toulon et artiste intervenante au Liberté, scène nationale de Toulon. En 2016, elle fait une résidence de création Taxiphone à Châteauvallon, scène nationale à Ollioules. Elle se nourrit de la culture populaire d’internet et Guillaume Mika | JEU imagine un réseau de dessins, icône et mues d’objets en papier. Bas relief, nature morte, inventaires, ces représentations nous ramènent à notre matérialité et Après son bac il intègre en 2008 l’Ecole supérieure de Théâtre de Cannes et créent des rencontres fortuites entre objets et images, un regard décalé et non Marseille, l’ERAC, où il a comme intervenants Valérie Dréville, Charlotte Clamens, dénué d’une certaine ironie. Nikolaus, Youri Pogrebnitchko, Hubert Colas ou encore Robert Cantarella. Il y réalise encore quelques courts-métrages, ainsi que son premier long, Forme, présenté à Cannes Cinéphiles en 2011. A sa sortie d’Ecole, il travaille pendant un an à la Comédie-Française en tant qu’élève-comédien dans Amphitryon m.e.s Jacques Vincey, La Trilogie de la Ivan Mathis | CRÉATION LUMIÈRE Villégiature m.e.s Alain Françon et Le Mariage de Figaro m.e.s Christophe Travaillant dans le spectacle vivant (créateur lumière, scénographe, bande son, Rauck… Il y crée aussi sa première mise en scène, La Confession de Stavroguine danseur ou comédien), sa démarche en tant que sculpteur et en lien direct avec d’après les Démons de Dostoïevski en 2012 qui devient la première création sa profession. Ses premières conceptions de « sculptures/luminaires » se font de la Cie des Trous dans la Tête, fondée à Hyères. La seconde est La Ballade du en 2007 pour des performances de danse. Ses « corps » d’acier répondent alors Minotaure en 2014 à Confluences. à ceux des danseurs, inscrivant dans l’espace un mouvement qui, bien que figé, Son travail de comédien : chez Hubert Colas (Z.E.P), Betty Heurtebise (le Pays de semble se prolonger à travers les faisceaux lumineux qu’ils diffusent. Rien), Nikolaus (clown dans Chants Périlleux), Renaud-Marie Leblanc (Fratrie), L’envie de concevoir et réaliser ces sculptures, est l’adition de son travail de Armel Veilhant (Si bleue, si bleue la mer), Frédéric Grosche (Ta Blessure créateur lumières et son parcours de danseur, qui est une de ces inspirations est ce Monde Ardent) ou encore la Cie du Double (Dans la Chaleur du Foyer, pour le choix des formes. Retrouvailles!, le projet Newman)… N’ayant pas suivit une formation spécifique de sculpteur, Ivan Mathis travaille à l’instinct et à l’intuition. Cette démarche autodidacte a engendré un style à la fois primitif (proche de la nature) et moderne (ligne abstraite et épurées).
NOIR ET HUMIDE Mise en scène Frédéric Garbe Tout public à partir de 9 ans. Jeu Camille Carraz Durée : 1h00 Univers sonore Vincent Hours Sculptures papier et création vidéo Pauline Léonet Production L’autre Compagnie Proposition graphique Julien Chiclet Coproduction Théâtre Transversal Création lumière Ivan Mathis Accueils en résidence Le Liberté, scène nationale de Toulon, Traduction Terje Sinding METAXU - espace d’artistes, Toulon, Théâtre Transversal d’Avignon L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté. Conte initiatique contemporain et obsessionnel, cette histoire nous rappelle la puissance des sentiments de DATES À VENIR l’enfance et de la lutte farouche du désir contre la 1er DÉCEMBRE 2020 - 14h30 Théâtre Joliette | Marseille peur et l’interdit. Dans le cadre du temps fort du Réseau Traverses 3 DÉCEMBRE 2020 - 20H00 On suit, instant par instant, les pensées de Lene, petite fille qui Châteauvallon, scène nationale | Ollioules profite de l’absence de sa mère pour réaliser ce qu’elle projette 4 DÉCEMBRE 2020 - 20H00 de faire depuis longtemps et qui lui est formellement interdit : Châteauvallon, scène nationale | Ollioules descendre à la cave, là où il fait noir et humide et où il y a des choses noires et humides qu’elle ne connaît pas. Pour ce faire, elle devra 8 DÉCEMBRE 2020 - 19H Théâtre Antoine Vitez | Aix-en-Provence surmonter sa peur, braver les interdits, dérober la lampe de poche de Dans le cadre du festival Mom’Aix son frère Asle et descendre à la cave... 29 AVRIL 2021 - 14H30 Théâtre du Bois de l’Aune | Aix-en-Provence Une plongée immersive et sensorielle dans le monde 30 AVRIL 2021 - 19H30 de l’enfance. Théâtre du Bois de l’Aune | Aix-en-Provence
NOTE D’INTENTION Le spectacle est une forme théâtrale, visuelle et musicale que construisent et dans laquelle évoluent le musicien, la vidéaste-plasticienne et la comédienne. Tous trois, en lien permanent les uns avec les autres, nous plongent dans un voyage sensoriel et délicat où nous sommes invités à laisser résonner nos propres souvenirs d’enfance et à en ressentir à nouveau la force extrême. La musique jouée en direct est essentiellement analogique, faite de nappes de synthétiseurs et de rythmes électroniques, un écrin de douceur pour les mots et les images. Les animations en noir et blanc représentent les objets quotidiens qui jalonnent cette odyssée : porte, couloir, lampe torche, escalier, canapé, bottes, fenêtre, etc. Les objets animés sont projetés dans l’espace de jeu pour créer une réalité douce, sensible et étrange où la représentation du monde physique se tort. Faite de glissements et de transformations lentes ou saccadées, la succession de ces images quotidiennes qui s’incrustent dans nos rétines crée une ambiance oscillant entre onirisme et réel. Les sculptures en papiers, fragiles échos des images dessinées, représentent ces mêmes objets et définissent l’espace scénique. Elles apparaissent et disparaissent, s’éclairant puis retournant à l’ombre. La comédienne porte le récit de cette histoire écrite à la troisième personne. Elle nous accompagne pas à pas, émotion après émotion, dans ce chemin qui mène vers l’inconnu et l’interdit. Ecrit dans une langue méticuleuse et répétitive, le texte nous immerge dans les pensées de Lene, dans une épopée initiatique, au plus près de ses émotions, de ses peurs et de ses désirs.
PRESSE EXTRAITS DE PRESSE La Revue du spectacle « Un très grand moment de poésie pure, où la plastique de cette petite fille habitée par le désir. Frédéric Garbe, des compositions de la vidéaste-sculptrice Pauline Léonet le mentor resté dans l’ombre de cette belle entreprise se fondant dans l’univers sonore créé par Vincent Hours collective, n’a décidément pas choisi au hasard le nom de vient épouser le jeu épuré de Camille Carraz, interprète sa compagnie, lui qui fait si bien entendre «l’autre scène» semblant faite pour ce rôle au point où l’on imagine mal sur le plateau de ses créations. » autre qu’elle pour «rendre conte» (sic) de l’innocence Yves Kafka La Provence « C’est un bijou, comme sait en offrir le metteur en scène l’enfant, son immense détermination à avancer dans la toulonnais Frédéric Garbe. vie. Au plateau, dans un écrin noir, le compositeur Vincent Variations de la voix, visage et mains frémissants, Hours, la vidéaste-scénographe Pauline Léonet et une regards-public, présence intense de la comédienne, comédienne. Seuls sont éclairés le visage et les mains. nappes musicales, dessins mobiles et objets oniriques Mais cette distance assumée n’empêche pas Camille d’une transparence glacée, nous emballent dans une Carraz, dirigée avec une minutie d’orfèvre, de faire passer, envoûtante aventure sensorielle ! » entre non-dits et sous-dits, les pensées et émotions de DCZ Ouvert aux publics « Frédéric Garbe a construit ce spectacle tel un précieux entendre le moindre mot du récit. La direction de jeu est moment à partager. Les miniatures se découvrent au menée avec précision, sur le fil, pour une expérience des regard au fur et à mesure de la représentation. Réalisées plus immersives. Laissez-vous tenter par ce précieux par Pauline Leonet, ces sculptures de papier encerclent moment. » la comédienne qui actionne, par ses mots, leur éclairage. Laurent Bourbousson Avec sa voix douce et ronde, Camille Carraz laisse Zibeline « Camille Carraz est éblouissante dans ce spectacle de Léonet, blanches dans le noir, la musique de Vincent Jon Fosse écrit pour le jeune public, et mis en scène Hours, qui tisse des épaisseurs sonores qui inquiètent par Frédéric Garbe. Ses gestes, le trouble dans sa voix, puis rassurent et inquiètent encore… tout concourt à la ses peurs surmontées sont celles de l’enfance, pas la beauté formelle d’un spectacle à mettre dans toutes les mièvre mais la forcenée, la désirante. Elle descendra à mains, des plus jeunes aux plus vieux qui y retrouveront la cave, noire et humide, pour connaître, transgresser, leur enfance inavouée. » s’affranchir… Les dialogues de Jon Fosse avec leurs Agnès Freschel incises narratives, les sculptures et vidéos de Pauline
LES LECTURES ILLUSTRÉES
LES LECTURES ILLUSTRÉES TOUT PUBLIC ERRANCES D’OLIVIER REMAUD TOUT PUBLIC à partir de 9 ans DURÉE : 35 min LE SOURIRE DE VÉNUS DE J.G BALLARD TOUT PUBLIC à partir de 11 ans DURÉE : 40 min LE PAIN NU DE MOHAMED CHOUKRI TOUT PUBLIC à partir de 11 ans DURÉE : 40 min LA MAIN COUPÉE DE BLAISE CENDRARS TOUT PUBLIC à partir de 11 ans DURÉE : 50 min JEUNE PUBLIC KANT DE JON FOSSE JEUNE PUBLIC à partir de 6 ans DURÉE : 20 min JOIE, PEUR, TERREUR ET LEURS SŒURS DE GARY GHISLAIN JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans DURÉE : 35 min UN PARFAIT MONSTRE ! DE GARY GHISLAIN JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans DURÉE : 35 min EXTRAITS LES INSTANTS IMMERSIFS 30 EXTRAITS DE ROMANS D’UNE DIZAINE DE MINUTES TOUT PUBLIC à partir de 9 ans DURÉE : à définir
LES LECTURES ILLUSTRÉES LE S L E C T U R E S ILLUSTRÉES Le travail consiste à mettre en voix, en dessin et en son une œuvre choisie et de créer un objet scénique original qui allie ces trois dimensions (visuelle, sonore et textuelle). L’équipe artistique : un comédien, un musicien, un dessinateur et un metteur en scène se réunissent et proposent le résultat de cette mise en commun de leurs techniques et de leurs univers artistiques. La forme est autonome techniquement avec un système de diffusion du son et de l’image. Elle peut se jouer en tout type de lieux (salle de spectacle, bibliothèque, appartement, salle de classe….) équipé d’une prise de courant. Ces textes sont proposés en version spectacle ou en format immersif avec diffusion sous casque (40 casques disponibles).
LECTURE ILLUSTRÉE ERRANCES d’Olivier Remaud avec Mise en scène : Frédéric Garbe Lecture : Frédéric Garbe Propositions graphiques : Camille Desbiez et Stéphane Lecomte Animation/montage vidéo : Jean-Baptiste Faure Univers sonore : Zidane Boussouf Texte paru aux Éditions Paulsen TOUT PUBLIC à partir de 9 ans 35 min © Camille Desbiez
LECTURE ILLUSTRÉE Jamais un marin n’avait autant marché que lui. Des côtes danoises du Jutland à la péninsule du Kamtchatka, il devait unir la terre et l’eau sur une même carte du monde. Il arpenta les steppes et les forêts de la Tartarie, franchit ses monts et ses vallées, descendit ses rivières. Il atteignit la pointe nord de l’Extrême-Orient, traversa la partie septentrionale de l’océan Pacifique et vit la Grande Montagne sur les rivages de l’Amérique. Avec les vents contraires, les complications du pouvoir et la pensée du retour. Jusqu’au naufrage. Voici le récit des tribulations de Vitus Bering (1681-1741), explorateur danois et capitaine qui mena, au tournant du siècle des Lumières, des expéditions titanesques vers les confins de la Sibérie et même au-delà, vers l’Alaska. Olivier Remaud raconte l’odyssée de ce grand marin que rien n’ennuyait plus que les rivalités politiques et les spéculations des cartographes. Il décrit les choix et les doutes d’un homme de plein vent, né voyageur, qui vécut comme un nomade avant d’échouer sur une île. Une vie dans laquelle une femme d’action, son épouse Anna, joua un rôle majeur. Entre Ulysse et Gulliver, un portrait intime qui se lit comme un roman d’aventures. © Stéphante Lecomte
LECTURE ILLUSTRÉE LE SO U RIRE DE V ÉNUS de J.G Ballard avec Frédéric Garbe Nouvelle issue du recueil « Vermillon Sands » de J.G Ballard paru aux Éditions Tristram. Proposition électronique : Benoit Bottex Dessin : Ambre Macchia Tout public à partir de 11 ans Production L’autre Compagnie
LECTURE ILLUSTRÉE Afin de décorer une esplanade, le Comité des Beaux-Arts de Vermillion Sands commande à l’artiste Lorraine Drexel une sculpture sonique. Lors de l’inauguration, les choses tournent au fiasco. La sculpture se met à jouer une musique inaudible et stridente. Le public s’enfuit et la sculpture est mise au rebut, plantée dans un jardin pavillonnaire. Mais elle est loin d’avoir chanté ses dernières notes, et elle commence, peu à peu à se déployer et à montrer toute l’étendue ses talents. Comme avait prévenu Lorraine Drexel : « Vous finirez par l ‘aimer...» Dans cette nouvelle écrite en 1957, l’auteur de « Crash » interroge la place de l’œuvre d’art dans la ville, du rôle de l’artiste et de son lien avec le public. « Vermilion Sands », transfuge fantasmé par J.G Ballard de la banlieue d’Hollywood, est un recueil d’histoire qui oscillent entre science-fiction, humour, anticipation et bizarre.
LECTURE ILLUSTRÉE LE PAIN NU avec de Mohamed Choukri Gilbert Traïna ou Frédéric Garbe Mise en scène : Frédéric Garbe Aquarelles : Eddy Vaccaro Univers sonore : Jérôme Lapierre Traduction : Tahar Ben Jelloun Texte paru aux éditions du Seuil. Tout public à partir de 11 ans Production L’autre Compagnie Pour fuir la famine qui ravage le Rif marocain au début des années 40, la famille du petit Mohamed quitte leur village pour chercher refuge à Tanger. Il va apprendre à vivre dans cette cité qu’il ne connaît pas et à se défendre contre la violence, celle de la ville et celle de son père, alcoolique et brutal. Ce « Pain nu », premier tome autobiographique de Mohamed Choukri, est un récit sans concession de l’enfance de l’auteur, dont nous vous livrons ici l’intégralité du premier chapitre.
LECTURE ILLUSTRÉE « C’était le temps de la famine dans le Rif. La sécheresse et la guerre. Un soir j’eus tellement faim que je ne savais plus comment arrêter mes larmes. Ma mère me disait, un peu pour me calmer : -Tais-toi. Nous émigrerons à Tanger. Là-bas le pain est en abondance. Tu verras, tu ne pleureras plus pour avoir du pain. À Tanger les gens mangent à leur faim. Regarde ton frère Abdelkader, lui, il ne pleure pas. Les yeux d’Abdelkader : profonds et hagards. À le regarder dans cette absence, je m’arrêtais de pleurer. Sa sérénité me procurait de la patience mais pas pour longtemps. »
LECTURE ILLUSTRÉE LA MAIN C O U P ÉE de Blaise Cendrars avec Pascal Rozand Mise en scène : Frédéric Garbe Illustration/animation : Franck Cascales Univers sonore : Vincent Hours Texte paru aux éditions Gallimard. Tout public à partir de 11 ans Production L’autre Compagnie Lecture accueillie en résidence au Liberté, scène nationale de Toulon du 23 au 29 novembre 2017. Etrangers, fils d’étrangers, ils viennent de milieux populaires, et s’engagent dans l’armée française pour défendre le pays qui les a accueillis. Bons ou mauvais soldats, ils tentent de traverser cette guerre dite « des tranchées » dont aucun ne rentrera indemne. En cinq portraits (Rossi, Bikhoff, Lang, Garnero, Faval), Cendrars se livre à un récit magnifique de l’enfer des tranchées. Il fait un portrait plein de tendresse et d’humanité, malgré l’enfer quotidien, de ses compagnons de bataille. Une forme de réhabilitation pour ces hommes, morts comme des milliers d’autres dans l’anonymat et l’indifférence, dont Cendrars fait, le temps du récit, des héros de roman épique drôles et superbes.
LECTURE ILLUSTRÉE LES EXTRAITS « Le 3 septembre 1914, premier jour officiel des engagements, le 3 septembre, dès l’ouverture des bureaux, je fus reconnu « bon » et signai mon engagement aux Invalides. Une heure après j’étais à la caserne de Reuilly, où l’on m’habilla et me nomma soldat de première classe faisant fonction de chef d’escouade, faute d’autres gradés pour rassembler les hommes qui affluaient. La pagaïe commençait... » « Au régiment, je restai un inconnu. Nul ne savait que j’étais un écrivain. Au front, j’étais soldat. J’ai tiré des coups de fusil. Je n’ai pas écrit. Je m’étais engagé, et comme plusieurs fois déjà dans ma vie, j’étais prêt à aller jusqu’au bout de mon acte. Mais je ne savais pas que la légion me ferait boire ce calice jusqu’à la lie et que cette lie me saoulerait, et que prenant une joie cynique à me déconsidérer et à m’avilir, je finirais par m’affranchir de tout pour conquérir ma liberté d’homme. Être. Être un homme. Et découvrir la solitude. Voilà ce que je dois à la légion et aux vieux lascars d’Afrique, soldats, sous-offs, officiers. Et cela valait bien la peine de risquer la mort pour les rencontrer, ces damnés, qui sentaient la chiourme et portaient des tatouages. Pourtant, ils étaient durs et leur discipline était de fer. C’étaient des hommes de métier. Et le métier d’homme de guerre est une chose abominable et pleine de cicatrices, comme la poésie. On en a ou l’on n’en a pas. Il n’y a pas de triche car rien n’use d’avantage l’âme et marque de stigmates le visage (et secrètement le cœur) de l’homme et n’est plus vain que de tuer, que de recommencer. Et vivat ! C’est la vie… »
LECTURE ILLUSTRÉE K ANT de Jon Fosse avec Mise en scène : Frédéric Garbe Lecture : Frédéric Garbe ou Gilbert Traïna Proposition graphique : Camille Desbiez Vidéo : Baptiste Alexandrowicz Musique : Alexandre Maillard Kristoffer a 8 ans. Il est dans sa chambre mais n’arrive pas à dormir. JEUNE PUBLIC à partir de 8 ans Il pense à l’espace infini. Et ça lui fait peur. 20 min Et si après le bord du monde, il n’y avait rien ? Et si nous vivions dans le rêve d’un géant ? Et si le géant se réveillait, que se passerait-il ? Production L’autre Compagnie LECTURE Traduction Terje Sinding JEUNE PU L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté. BLIC
LECTURE ILLUSTRÉE RÉSIDENCES DE CRÉATION du 28.09 au 03.10 au Théâtre Transversal, Avignon dans le cadre de « Rouvrir le monde » de la DRAC PACA du 23 au 27.11 au Centre Dramatique Des Villages © Camille Desbiez
LECTURE ILLUSTRÉE J O IE , P E U R , TE R RE U R E T L E U RS S Œ U RS de Gary Ghislain avec Lecture : Frédéric Garbe Dessins : Ambre Macchia Musique : Vincent Hours Cogito a 7 filles : Joie, peur, colère, terreur, dégoût, surprise, tristesse. Il voudrait les aimer toutes de la même manière, mais sa préférence va à Joie à qui il fait toujours des cadeaux. Les autres sœurs en ont assez et décident d’en finir avec Joie et son insupportable bonne humeur. Une course poursuite endiablée va commencer... Mais l’apparition inattendue de nouveaux membres de la famille va changer le cours des choses. E LECTUR IC PUBL JEUNE
LECTURE ILLUSTRÉE
LECTURE ILLUSTRÉE UN P A RFA I T Md e O GNa rSy T GREh i s l a i!n avec Lecture : Frédéric Garbe Dessins : Ambre Macchia Musique : Vincent Hours Des histoires dans des histoires, des personnages incroyables, une lecture pour rire et avoir peur (un peu). Depuis 2018, L’autre Compagnie développe un projet d’éducation artistique et culturelle autour de ses lectures illustrées. Ce projet est mené avec 2 classes de CM2 de La Tauriac et 5 classes de 6ème du collège La Marquisanne (Toulon). Chaque année, l’auteur Gary Ghislain mène une série d’ateliers d’écriture dans les classes en partenariat avec Le Labo des Histoires PACA, puis écrit un texte à partir des productions des élèves : « La Légende de Spoof » en 2018 et « Joie, peur, terreur et leurs sœurs » en 2019. Ces textes deviennent ensuite la matière de notre Lecture illustrée. Une heure par jour pendant toute la période de résidence dans la collège, chaque classe est accueillie par l’équipe artistique afin de leur présenter le travail en cours de réalisation. Une autre heure par jour est également consacrée à des ateliers de rencontre dans les classes autour de chacune des pratiques artistiques (lecture à haute voix, dessin et musique). Les artistes vont dans les classes initier les élèves à leurs pratiques et en faire découvrir l’étendue et les spécificités. La production finale, la lecture illustrée, musicale et sonore est présentée devant l’ensemble des élèves ainsi que leurs parents. Pour la réalisation de ce projet, merci à Claude Richerme, au Labo des histoires PACA, au Liberté-scène nationale de Toulon, au collège de La Marquisanne, à l’école de La Tauriac, aux élèves et aux professeurs, à la DAAC et au PASIE du Rectorat de Nice et à la circonscription de Toulon 2. Ces lectures illustrées jeune public font désormais partie des lectures proposées dans notre répertoire.
LECTURE ILLUSTRÉE Spoof est un monstre parfait ! Il vit sous terre avec sa mère Monstre. Il adore retirer son œil de son orbite et dévorer la tête des gens après l’avoir faite bouillir. Mais cette fois, sa victime n’est autre que son père, un humain, grand tueur de monstres et raconteur d’histoire. Enfermé dans un sac, il raconte à son fils l’histoire d’Alice et Anouar, « Les enfants- fusion», jumeaux venus de l’espace et séparés à leur naissance qui se retrouvent enfin pour se venger du « Maître des Monstres » qui a tué leurs parents. Dans cette aventure, ils seront aidés par Max Maxime enquêteur et chasseur de Monstre. Spoof va-t-il dévorer le crâne de son père ? Alice et Anouar vont-ils vaincre le terrible Roi des Monstres et son armée de petits hommes verts ? E LECTUR IC PUBL JEUNE
LES INSTANTS IMMERSIFS L ES INSTANTS Un système de lecture sous casque pour une écoute IMMERSIFS immersive... Les instants immersifs proposent au spectateur de venir s’installer confortablement dans un espace dédié, et d’écouter grâce à uns système de diffusion sous casque, des lectures faites en direct par des comédiens d’extraits de romans mis en dessin et en son. Les animations sont projetées sur écran grand format ; la lecture et sa Comédiens : Frédéric bande son sont diffusés sous casque pour mettre le spectateur-auditeur Garbe et Pascal dans un état de totale immersion, coupé du bruit extérieur. Rozand Créateurs Sonores : Zidane Boussouf et Mathieu Hours Dessinateurs : Franck Cascales, Hildegarde Laszack, Stéphane Lecomte et Ambre Macchia. Ces instants immersifs proposent des extraits de romans d’auteurs actuels, des univers graphiques et sonores variés d’une durée d’une dizaine de minutes, qui peuvent se déguster par petites tranches ou sur des durées plus longues. Polar, drame, comédie, essais, littérature jeunesse, ces lectures proposent des univers littéraires multiples à écouter immergé dans une bulle sonore et visuelle.
LES INSTANTS IMMERSIFS
LES LECTURES ILLUSTRÉES : DIFFUSION 2021 15, 16, 18 et 19.03. LECTURE « KANT » | LE CARRÉ SAINTE-MAXIME 2020 14.02. LECTURE «Le Pain nu » | CENTRE JEAN GIONO, MANOSQUE 7 et 8.07. LECTURE «Le Pain nu » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE 7 et 8.07. LECTURE « Le Sourire de Vénus » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE 7 et 8.07. LECTURE « Un parfait monstre ! » | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE 7 et 8.07. LECTURES IMMERSIVES | THÉÂTRE DU BOIS DE L’AUNE, AIX-EN-PROVENCE 30 et 31.10. LECTURE « KANT » | THÉÂTRE TRANSVERSAL, AVIGNON 18.12. LECTURE « KANT » | VINON-SUR-VERDON 2019 7 et 8.02. LECTURE « Un parfait monstre ! » | COLLÈGE LA MARQUISANNE, TOULON 10.07. LECTURE « Un parfait monstre ! » | MÉDIATHÈQUE PONT DU LAS, TOULON 17.07. LECTURE « Le Sourire de Vénus » | BIBLIOTHÈQUE PORT-MARCHAND, TOULON 15, 16 et 17.11. LECTURES IMMERSIVES | PLACE D’ARMES, TOULON 19 et 20.12. LECTURE « Joie, Peur, Terreur et ses Sœurs » | COLLÈGE LA MARQUISANNE, TOULON 2018 20.01. LECTURE « La main coupée » | MUSÉE D’ART DE TOULON 17.04. LECTURE « La main coupée » | LE LIBERTÉ, SCÈNE NATIONALE DE TOULON 28.04. LECTURE « Noir et humide » | THÉÂTRE TRANSVERSAL D’AVIGNON 31.05. LECTURE «Le Pain nu » | ATELIER ARTCHIARTY DE MARSEILLE 11, 18 et 25.07. LECTURE « Noir et humide » | THÉÂTRE TRANSVERSAL D’AVIGNON 21.07. LECTURE « Le Sourire de Vénu » | METAXU, TOULON 16.11. LECTURE « Désirée Fe » | PLACE D’ARMES, TOULON 16, 17 et 18.11 LECTURES IMMERSIVES | PLACE D’ARMES, TOULON 14.12. LECTURE « Le Pain nu » | PORT DES CRÉATEURS DE TOULON
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