Item 197 : Douleur thoracique aiguë et chronique - Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires - unf3s ...

 
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      Item 197 : Douleur thoracique
           aiguë et chronique
     Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires

Date de création du document     2011-2012

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                                                         Table des matières

ENC :......................................................................................................................................................3

SPECIFIQUE :......................................................................................................................................3

I Conduite à tenir en présence d'un patient qui consulte pour douleur thoracique.....................3

    I.1 Première étape : détresse vitale ?............................................................................................. 3

    I.2 Seconde étape : les quatre urgences cardiovasculaires.......................................................... 4

II Orientation diagnostique : identifier les urgences cardiaques................................................... 5

    II.1 Syndrome coronarien aigu (SCA).......................................................................................... 5

    II.2 Dissection aortique................................................................................................................... 6

    II.3 Embolie pulmonaire.................................................................................................................7

    II.4 Péricardite aiguë...................................................................................................................... 7

         II.4.1 Péricardite non compliquée.............................................................................................7

         II.4.2 Tamponnade péricardique.............................................................................................. 8

         II.4.3 Myopéricardite................................................................................................................. 8

III Orientation diagnostique : douleurs chroniques de cause cardiaque...................................... 9

IV Orientation diagnostique : connaître les principales causes extracardiaques d'une douleur
thoracique.............................................................................................................................................. 9

    IV.1 Douleurs d’origine pulmonaire............................................................................................. 9

    IV.2 Douleurs d’origine œsophagienne........................................................................................ 10

    IV.3 Douleurs pariétales d’origine musculaire ou squelettique................................................10

    IV.4 Douleurs d’origine neurologique.........................................................................................10

    IV.5 Douleurs d’origine abdominale projetées...........................................................................10

    IV.6 Douleurs d’origine psychogène............................................................................................10

    IV.7 Conclusion............................................................................................................................. 11

V Pour en savoir plus........................................................................................................................11

VI Annexes.........................................................................................................................................11

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                OBJECTIFS
          ENC :

          ●   Diagnostiquer une douleur thoracique aiguë et chronique.

          ●   Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge.

          SPECIFIQUE :

          ●   Savoir rechercher une détresse vitale chez un patient qui consulte pour douleur
              thoracique.

          ●   Savoir recueillir et classer les arguments orientant vers l’une des quatre urgences
              cardiologiques que sont la dissection aortique, les syndromes coronariens aigus,
              l’embolie pulmonaire et la péricardite aiguë.

          ●   Savoir identifier les causes chroniques de douleur thoracique, d’angor d’effort,
              d’angor fonctionnel des troubles du rythme, des douleurs d’effort du rétrécissement
              aortique.

          ●   Connaître les principales causes extracardiaques d’une douleur thoracique.

I         CONDUITE À TENIR EN PRÉSENCE D'UN PATIENT QUI CONSULTE
          POUR DOULEUR THORACIQUE

    I.1       PREMIÈRE ÉTAPE : DÉTRESSE VITALE ?

C’est une étape indispensable, rechercher une détresse vitale (détresse respiratoire, état de
choc, troubles de conscience) afin de prendre en urgence les mesures thérapeutiques
nécessaires (+++).

          ●   Détresse respiratoire :

                  ○   polypnée (> 30/min) ou bradypnée (< 10/min ou pause respiratoire) ;

                  ○   tirage par mise en jeu des muscles respiratoires accessoires ;

                  ○   sueurs, cyanose, désaturation (SpO2 < 90 %), encéphalopathie respiratoire.

          ●   Détresse hémodynamique :

                  ○   arrêt circulatoire (pouls carotide ou fémoral non perçu, patient inconscient) ;

                  ○   état de choc : collapsus avec hypoperfusion périphérique ; hypotension avec
                      pâleur, marbrures et oligurie ;

                  ○   signes de cœur pulmonaire ;

                  ○   pouls paradoxal (dépression du pouls à l’inspiration profonde).

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       ●   Troubles de la conscience : confusion, agitation, convulsions…

 I.2       SECONDE ÉTAPE : LES QUATRE URGENCES CARDIOVASCULAIRES

Rechercher par l’interrogatoire et l’examen physique du patient des arguments orientant
vers l’une des quatre urgences cardiologiques à évoquer systématiquement du fait de leur
gravité immédiate ou potentielle (moyen mnémotechnique « PIED » pour péricardite,
infarctus, embolie pulmonaire, dissection) :

       ●   étiologies à évoquer :

              ○   dissection aortique,

              ○   syndrome coronarien aigu,

              ○   embolie pulmonaire,

              ○   péricardite aiguë, compliquée d’un épanchement péricardique abondant
                  (tamponnade),

              ○   rupture de l’œsophage : bien que de survenue exceptionnelle, elle est une
                  urgence thérapeutique à évoquer devant une douleur thoracique associée à
                  une dyspnée, un emphysème sous-cutané (crépitation neigeuse) ou un
                  pneumomédiastin ;

       ●   examens complémentaires systématiques à réaliser :

              ○   ÉlectroCardioGramme

              ○   radiographie pulmonaire,

              ○   dosage de troponinémie ;

       ●   transfert du patient en Unité de Soins Intensifs Coronaires

              ○   transfert médicalisé (appel du 15),

              ○   la douleur thoracique signalée par un patient doit être considérée comme un
                  syndrome coronaire exposant à un risque de fibrillation ventriculaire.

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II ORIENTATION DIAGNOSTIQUE : IDENTIFIER LES URGENCES
   CARDIAQUES
Si les douleurs thoraciques aiguës dans leurs formes typiques permettent d’évoquer très
rapidement une urgence cardiaque, il ne faut pas méconnaître la grande fréquence des
formes atypiques. L’interrogatoire et l’examen clinique cherchent un profil de risque
particulier pour orienter le diagnostic.

 II.1 SYNDROME CORONARIEN AIGU (SCA)

    ●   Terrain évocateur : facteurs de risque, AnTéCéDent

    ●   Douleur spontanée de repos, ou angor de novo crescendo

    ●   Caractères de la douleur : douleur coronarienne typique rétrosternale, constrictive…
        mais attention aux douleurs atypiques, en pratique la douleur peut siéger de la
        mandibule à l’ombilic (+++), parfois mimer une douleur gastrique ou bilio-
        pancréatique. Donc au-delà des douleurs typiques, penser toujours aux douleurs atypiques
        compatibles avec le diagnostic

    ●   Examen clinique : normal en l’absence de complications, parfois autre localisation
        de l’athérosclérose (souffle carotidien ou fémoral, abolition d’un pouls…).

    ●   ECG : sus- ou sous-décalage du segment ST, ondes T négatives, ondes Q…

 Attention
Un ECG inter-critique normal n’élimine pas le diagnostic et un bloc de branche gauche doit être
considéré comme un équivalent de SCA avec sus-décalage de segment ST, enfin les ischémies dans le
territoire de l’artère circonflexe peuvent être électriquement muettes !

    ●   Radiographie pulmonaire : normale.

    ●   Les marqueurs biologiques de l’infarctus du myocarde doivent être dosés :
        myoglobine (si douleur thoracique datant de moins de 6 h), troponines

Tableau 1. Sémiologie en faveur d’une douleur de nature ischémique (coronaire).

                    Douleur de nature                        Douleur de nature non ischémique
                    ischémique

Caractéristiques Constriction                                Acérée
                 Pesanteur                                   En coup de poignard
                 Brûlure                                     Augmentée par respiration

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Siège               Rétrosternal                            Sous-mammaire gauche
                     Médiothoracique                        Hémi-thorax gauche
                     Irradiant cou, épaules,                Punctiforme (montré du doigt)
                    avant-bras, tête                        Dorsal (dissection)
                     Avec sueurs, nausées

Facteurs            Effort                                  Après fin de l’effort
déclenchants        Stress                                  Soulagement par l’effort
                    Énervement                              Provoquée par un mouvement du corps
                    Temps froid                             particulier

Durée               Minutes                                 Secondes
                                                             Heures (en l’absence d’élévation des
                                                            troponines)

II.2 DISSECTION AORTIQUE

   ●    Facteurs favorisants : HyperTension Artérielle

   ●    Caractères de la douleur thoracique : aiguë, prolongée, intense, à type de
        déchirement, irradiant dans le dos, migratrice, descendant vers les lombes.

   ●    Cliniquement : asymétrie tensionnelle (différence > 20 mmHg), abolition d’un pouls,
        souffle d’insuffisance aortique, déficit neurologique.

   ●    Complication parfois révélatrice : tableau d’ischémie aiguë de membre, tableau
        d’infarctus mésentérique avec douleur abdominale trompeuse, hémopéricarde avec
        collapsus et pouls paradoxal.

   ●    ECG normal ou Syndrome Coronarien Aigu

   ●    Radiographie pulmonaire : élargissement du médiastin,                         éventuellement
        épanchement pleural ou aspect de double contour aortique.

   ●    Diagnostic confirmé par une échocardiographie complétée d’une Échographie
        TransOesophagienneImagerie par Résonance Magnétique

   ●    Prise en charge chirurgicale en urgence, sauf pour les formes limitées à l’aorte
        descendante en l’absence de complication périphérique.

   ●    Contrôle de la pression artérielle car c’est une urgence hypertensive (cf. (item 130 :
        http://umvf.univ-nantes.fr/cardiologie-et-maladies-
        vasculaires/enseignement/cardio_130/site/html/ )

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II.3 EMBOLIE PULMONAIRE

  ●   Terrain évocateur : cancer, pilule + tabac, période postopératoire, post-partum,
      alitement, ATCD personnels ou familiaux de maladie thrombo-embolique.

  ●   Caractères de la douleur : basi-thoracique associée à une dyspnée (+++) aiguë avec
      polypnée, toux, parfois hémoptysie tardive.

  ●   À l’examen clinique, signes de thrombose veineuse (absents dans un tiers des cas),
      tachycardie, signes d’insuffisance ventriculaire droite.

  ●   Présence de signes de cœur pulmonaire aigu à l’ECG : tachycardie sinusale, aspect
      S1Q3, bloc de branche droite, ondes T négatives dans les précordiales droites (V1 –
      V3).

  ●   Cliniquement deux tableaux opposés :

         ○   soit infarctus pulmonaire avec douleur basi-thoracique de type pariéto-
             pleural fébrile avec hémoptysie noirâtre tardive (bon pronostic) ;

         ○   soit cœur pulmonaire aigu avec dyspnée « nue » et signes de défaillance
             ventriculaire droite ou collapsus (la douleur est au second plan compte tenu
             de l’urgence vitale).

  ●   Radiographie pulmonaire : atélectasies en bandes, épanchement pleural basal,
      coupole surélevée, hyperclarté, mais radiographie souvent normale. Une douleur
      thoracique avec dyspnée et radiographie de thorax normale doit faire évoquer
      obligatoirement le diagnostic (+++).

  ●   Si le diagnostic d’embolie pulmonaire est évoqué, les D-dimères doivent être
      prélevés sauf si probabilité élevée. S’ils sont positifs (> 500 ng/mL), un doppler
      veineux des membres inférieurs, un angioscanner thoracique ou une scintigraphie
      pulmonaire de ventilation – perfusion doivent être demandés pour confirmer le
      diagnostic. Un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire

II.4 PÉRICARDITE AIGUË

II.4.1 Péricardite non compliquée

  ●   Terrain évocateur : contexte viral, fièvre, ou forme récidivante avec antécédent
      connu de péricardite aiguë bénigne.

  ●   Caractères de la douleur : douleur thoracique augmentée à l’inspiration profonde,
      en décubitus et calmée par l’antéflexion du buste.

  ●   Examen clinique : frottement péricardique fugace et inconstant.

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 ●   ECG : sus-décalage ST concave et diffus ou non systématisé, sous-décalage de PQ,
     microvoltage.

 ●   Radiographie pulmonaire : montre parfois un élargissement de la silhouette
     cardiaque.

 ●   Devant une suspicion de péricardite aiguë, une échocardiographie et un dosage des
     troponines doivent être réalisés, on peut observer un syndrome inflammatoire
     biologique ; l’échocardiographie peut être normale (péricardite sèche), il faut savoir
     la répéter.

 ●   Étiologie la plus bénigne parmi les autres diagnostics à évoquer (donc c’est un
     diagnostic d’élimination).

II.4.2 Tamponnade péricardique

 ●   À la différence de la péricardite non compliquée, c’est une urgence vitale.

 ●   Douleur thoracique avec dyspnée, polypnée puis orthopnée et toux, parfois
     dysphagie, nausée, hoquet.

 ●   Signes droits : turgescence jugulaire, reflux hépatojugulaire (+++).

 ●   Signes de choc avec tachycardie et Pression Artérielle Systolique

 ●   Pouls paradoxal : l’inspiration entraîne une augmentation du retour veineux
     provoquant une dilatation du Ventricule DroitVentricule Gauche

 ●   ECG : microvoltage, parfois alternance électrique.

 ●   Radiographie de thorax : cardiomégalie avec, lorsque l’épanchement péricardique
     est abondant, un aspect en « carafe ».

 ●   L’échocardiographie confirme le diagnostic de tamponnade et montre un collapsus
     des cavités droites en expiration, une compression du VG par le VD en inspiration
     avec un épanchement abondant.

II.4.3 Myopéricardite

 ●   Tableau de péricardite avec atteinte du myocarde le plus souvent virale.

 ●   Douleur de type péricarditique mais pouvant mimer un SCA, parfois avec
     insuffisance cardiaque.

 ●   Élévation prolongée de la troponinémie.

 ●   Échocardiographie montrant un trouble cinétique du ventricule gauche segmentaire
     ou diffus avec éventuel épanchement péricardique.

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  ●   Coronarographie normale.

  ●   IRM pouvant montrer des plages de rehaussement tardif aux séquences sous
      gadolinium prédominant au sous-épicarde et sans systématisation artérielle.

III ORIENTATION DIAGNOSTIQUE : DOULEURS CHRONIQUES DE
    CAUSE CARDIAQUE
  ●   Angor stable : la douleur peut être atypique dans sa localisation ou ses irradiations
      ou se réduire à ses irradiations. Caractéristique si douleur à caractère constrictif,
      déclenchée par l’effort (ou un repas), cédant à l’effort ou après un spray de trinitrine
      en 1 à 3 minutes.

  ●   Douleur d’angor d’effort du rétrécissement aortique serré.

  ●   Douleur d’angor fonctionnel des tachycardies chroniques comme la fibrillation
      atriale.

  ●   Douleur d’effort de la myocardiopathie obstructive.

  ●   Certaines hypertensions artérielles pulmonaires sévères donnent des douleurs
      d’allure angineuse par souffrance ischémique du ventricule droit lorsque la pression
      intraventriculaire droite dépasse la pression de perfusion coronaire.

IV ORIENTATION DIAGNOSTIQUE : CONNAÎTRE LES PRINCIPALES
   CAUSES EXTRACARDIAQUES D'UNE DOULEUR THORACIQUE

IV.1 DOULEURS D’ORIGINE PULMONAIRE

  ●   Pneumothorax avec douleur de type pleurale, tympanisme et abolition du murmure
      vésiculaire, parfois dyspnée. Diagnostic radiographique en expiration pour les
      pneumothorax partiels.

  ●   Épanchement       pleural,   douleurs      pleurales   chroniques (mésothéliome,
      pachypleurite). Douleur de type pleural avec matité, parfois dyspnée. Diagnostic
      radiographique avec ligne de Damoiseau pouvant nécessiter des clichés en
      décubitus latéral, ponction pleurale à but diagnostique.

  ●   Pneumopathies infectieuses. La douleur peut être intense en coup de poignard de
      type pleural. On retrouve une fièvre, un syndrome de condensation avec un souffle
      tubaire entouré d’une couronne de râles crépitants. Opacité radiologique
      systématisée ou non avec bronchogramme aérien, éventuel épanchement pleural
      associé.

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IV.2 DOULEURS D’ORIGINE œ SOPHAGIENNE

  ●   Reflux gastro-œsophagien, œsophagite.

  ●   Spasme œsophagien, la douleur d’allure angineuse est le plus souvent déclenchée
      par la déglutition. Attention, la douleur peut être calmée par les dérivés nitrés.

  ●   Dysphagie.

  ●   Rupture de l’œsophage exceptionnelle.

IV.3 DOULEURS PARIÉTALES D’ORIGINE MUSCULAIRE OU SQUELETTIQUE

  ●   Syndrome de Tietze, où la douleur est reproduite par la palpation.

  ●   Lésions sternales, arthralgies chondrocostales.

  ●   Fractures costales, éventuellement pathologiques sur métastases ou myélome
      multiple (atteinte sternale également possible).

  ●   Douleur musculoligamentaire.

IV.4 DOULEURS D’ORIGINE NEUROLOGIQUE

  ●   Zona intercostal.

  ●   Tassement vertébral…

IV.5 DOULEURS D’ORIGINE ABDOMINALE PROJETÉES

  ●   Lithiase vésiculaire.

  ●   Ulcère gastroduodénal.

  ●   Pancréatite aiguë.

  ●   Appendicite sous-hépatique.

  ●   Abcès sous-phrénique.

IV.6 DOULEURS D’ORIGINE PSYCHOGÈNE

  ●   Extrêmement fréquentes.

  ●   Signes d’accompagnement : angoisse, névrose…

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 IV.7 CONCLUSION

Parmi ces différentes étiologies, six moyennes urgences sont à identifier :

    ●   pleurésies et pneumonies ;

    ●   pneumothorax ;

    ●   pancréatite aiguë ;

    ●   ulcère gastrique ou duodénal compliqué ;

    ●   cholécystite ;

    ●   douleurs radiculaires.

Pour les autres étiologies, il n’y a pas d’urgence vitale, mais il est urgent de rassurer et de
soulager le patient.

V POUR EN SAVOIR PLUS
(En savoir plus : Pour revoir la séméiologie : référentiel national de séméiologie cardiologique version
d’octobre 2009 disponible sur le site Internet : www.sfcardio.fr (rubriques enseignement ?
cardiologues en formation ? documents de travail).) Pour revoir la séméiologie : référentiel
national de séméiologie cardiologique version d’octobre 2009 disponible sur le site Internet :
(www.sfcardio.fr : http://www.sfcardio.fr ) (rubriques enseignement → cardiologues en
formation → documents de travail).

VI ANNEXES

          EN SAVOIR PLUS
    ●   Pour revoir la séméiologie : référentiel national de séméiologie cardiologique
        version d'octobre 2009 disponible sur le site Internet : www.sfcardio.fr (rubriques
        enseignement/ cardiologues en formation / documents de travail). :
        http://www.sfcardio.fr

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