Jean Baptiste Del Amo, Règne animal
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Jean Baptiste Del Amo, Règne animal Règne animal retrace, du début à la fin du vingtième siècle, l’histoire d’une exploitation familiale vouée à devenir un élevage porcin. Dans cet environnement dominé par l’omniprésence des animaux, cinq générations traversent le cataclysme d’une guerre, les désastres économiques et le surgissement de la violence industrielle, reflet d’une violence ancestrale. Seuls territoires d’enchantement, l'enfance – celle d’Éléonore, la matriarche, celle de Jérôme, le dernier de la lignée – et l’incorruptible liberté des bêtes parviendront-elles à former un rempart contre la folie des hommes? Règne animal est un grand roman sur la dérive d’une humanité acharnée à dominer la nature, et qui dans ce combat sans pitié révèle toute sa sauvagerie – et toute sa misère. « Une fresque puissante, où le sort d'une famille d'éleveurs reflète la violence qui imprègne nos vies. », Télérama « Une œuvre littéraire qui convoque l’essentiel : la vie et la mort. Règne animal témoigne de ce que peut être la puissance de la littérature pour dire le monde. », Unidivers.fr Lauréat du « Premier prix de la rentrée littéraire 2016 » Lauréat du « Prix des libraires de Nancy »
À Kalamaki, île grecque dévastée par la crise, trois personnages vivent l’un près de l’autre, chacun perdu au fond de sa solitude. Le petit Yannis, muré dans son silence, mesure mille choses, compare les chiffres à ceux de la veille et calcule l’ordre du monde. Maraki, sa mère, se lève aux aurores et gagne sa vie en pêchant à la palangre. Eliot, architecte retraité qui a perdu sa fille, poursuit l’étude qu’elle avait entreprise, parcourt la Grèce à la recherche du Nombre d’Or, raconte à Yannis les grands mythes de l’Antiquité, la vie des dieux, leurs passions et leurs forfaits... Un projet d’hôtel va mettre la population en émoi. Ne vaudrait-il pas mieux construire une école, sorte de phalanstère qui réunirait de brillants sujets et les préparerait à diriger le monde ? Lequel des deux projets l’emportera ? Alors que l’île s’interroge sur le choix à faire, d’autres rapports se dessinent entre ces trois personnages, grâce à l’amitié bouleversante qui s’installe entre l’enfant autiste et l’homme vieillissant. La presse en parle « Si le dernier roman de Metin Arditi semble particulièrement réussi, c’est peut-être parce que l’auteur y fait une synthèse heureuse entre sa formation scientifique – la physique fut, avant les affaires, son premier amour – et son parcours, actuel, en littérature. » - Le Temps « Derrière l'allure d'un feelgood book, le nouveau roman de Metin Arditi, L'enfant qui mesurait le monde, pétille d'intelligence et de sensibilité. » -Le Figaro « L'enfant qui mesurait le monde, de Metin Arditi : une fable émouvante autour d'un jeune autiste » -CultureBox « Un bel hommage à la Grèce et des personnages attachants. Yannis, enfant autiste, rassuré par les chiffres qu'il mémorise et collectionne chaque jour, restaurant ensuite l'ordre du monde avec des pliages plus ou moins élaborés. Maraki sa mère, qu'il attend à dix heures, quand elle a fini la pêche, et Eliot l'architecte américain, venu sur l'île où sa fille Evridiki est morte il y a des années. Ce trio cabossé par la vie va pourtant avancer ... Un roman original, une belle découverte. » -Babelio (critique de lecteur) « Il y a longtemps que je voulais lire Metin Arditi , suite à beaucoup d'articles élogieux sur ses livres. Manifestement, je n'ai pas choisi le bon titre, parce que je m'y ennuie ferme. Les personnages sont intéressants, les paysages itou, mais le tout traîne en longueurs... le romancier tourne en rond et fait tourner ses héros de la même manière -ce qui est fort logique, me direz-vous car tourner en carré, ce n'est guère aisé. Je ne parviens pas à m'intéresser aux vies décrites, ni aux relations entre les protagonistes, ni au pays et aux modes de vie, ni même à l'écriture de Metin Arditi que je trouve classique -pour ne pas dire banale-, sans profondeur. Rien, absolument rien ne me retient dans cet ouvrage. Dommage, mais je n'ai pas dit mon dernier mot avec cet auteur. » -Babelio (critique de lecteur)
Quatrième de couverture : Sibylle, à qui la jeunesse promettait un avenir brillant, a vu sa vie se défaire sous ses yeux. Comment en est- elle arrivée là ? Comment a-t-elle pu laisser passer sa vie sans elle ? Si elle pense avoir tout raté jusqu’à aujourd’hui, elle est décidée à empêcher son fils, Samuel, de sombrer sans rien tenter. Elle a ce projet fou de partir plusieurs mois avec lui à cheval dans les montagnes du Kirghizistan, afin de sauver ce fils qu’elle perd chaque jour davantage, et pour retrouver, peut-être, le fil de sa propre histoire. La presse en parle : « Avec finesse et acuité, Laurent Mauvignier explore les liens - la tendresse impossible et les colères rentrées - entre Sybille et son fils Samuel, qu'elle a emmené dans les montagnes du Kirghizstan. » Camille Thomine, le magazine littéraire, septembre 2016 « Une mère et son fils entament un voyage au Kirghizistan. Une magnifique expédition intime, » Mohamed Aïssaoui, Le Figaro, 8 septembre 2016 « Dans Continuer, Laurent Mauvignier entraîne une mère et son fils en rupture dans le lointain Kirghizistan. Un roman entre intimiste et aventure qui s’affirme comme une œuvre politique. » Christophe Kantcheff, Politis, 8 septembre 2016 « Chevauchée de la dernière chance pour une femme et son ado paumé dans la splendeur sauvage des montagnes kirghizes. Epoustouflant. » Télérama, septembre 2016 Les lecteurs en parlent : « L'ado n'a pas d'envie. Ces grands espaces paraissent ne pas le toucher. Et pourtant, nous aussi voulons continuer, ne pas abandonner cette femme qui navigue entre l'héroïsme et la démence. » Babelio « Un livre magistral ! » Babelio
Cannibales 4ème de couverture : Noémie est une artiste-peintre de vingt-quatre ans. Elle vient de rompre avec un architecte de près de trente ans son aîné avec lequel elle a eu une liaison de quelques mois. Le roman débute par une lettre adressée par Noémie à la mère de cet homme : elle s’y excuse d’avoir rompu. Une correspondance s’amorce alors et s’affermit entre les deux femmes, qui finissent par nouer des liens diaboliques et projeter de se débarrasser du fils et ex-amant. Elles imaginent même de le dévorer cuit à la broche au cours d’un infernal banquet. En réalité, ce roman parle d’amour. Les deux femmes sont des amoureuses passionnées. La vieille dame a appelé son fils du nom du seul homme qu’elle ait jamais aimé, et qui est mort accidentellement avant leur mariage. Noémie, elle, est une « collectionneuse d’histoires d’amour », toujours à la recherche de l’idéal. Au fil des lettres que, de son côté, il échange avec les deux protagonistes, le fils et ex-fiancé exprime toute la passion qu’il éprouve toujours pour Noémie. Un roman d’amour épistolaire, donc, dans la plus belle tradition du genre. Critiques : Dans la presse : Le Figaro : Ce roman épistolaire, Cannibales, est une sorte de Liaisons dangereuses déglinguées où la Merteuil et la Tourvel voudraient bouffer Valmont. Bibliobs : A mi-chemin entre « les Liaisons dangereuses » et « le Silence des agneaux », ce roman, qui réconcilie la Marquise de Merteuil et Hannibal Lecter, est savoureux de férocité, onctueux et préciosité […] et délicieux d'absurdité. Des lecteurs : Sur « Babelio » : - J'aime beaucoup les romans épistolaires donc j'ai tout de suite accroché avec ce livre. On se retrouve au milieu d'une "guéguerre" familiale, entre la mère, le fils et l'ex du fils. Tout le monde s'aime, se déteste, fait des complots de meurtre, est schizophrène,...tout y passe. C'est la première fois que je lis un livre dont le sujet de la séparation d'un couple est abordé de cette façon. Ce n'est pas la séparation qui dérange Noémie (qui en est d'ailleurs l'auteur) mais le fait que Geoffroy (de 30 ans son aîné) n'ait jamais essayé de la reconquérir, le fait qu'il accepte si facilement d'être congédié. - Si le résumé était prometteur, j'ai été un peu déçue par ce nouveau roman de Régis Jauffret. Dans un premier temps il est vrai que les échanges entre Noémie et Jeanne sont jouissifs. Le vocabulaire est fleuri, la phrase claquante, le verbe cru. Mais très vite on s'ennuie. L'intrigue, qui part comme un boulet de canon, s'essouffle très vite et traîne en longueur sur des lettres beaucoup trop étirées. Dommage.
Présentation de l'éditeur Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d'un cabinet d'avocats, le couple se met à la recherche d'une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l'affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu'au drame. À travers la description précise du jeune couple et celle du personnage fascinant et mystérieux de la nounou, c'est notre époque qui se révèle, avec sa conception de l'amour et de l'éducation, des rapports de domination et d'argent, des préjugés de classe ou de culture. Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, où percent des éclats de poésie ténébreuse, instaure dès les premières pages un suspense envoûtant. La presse en parle : RTL C'est le titre le plus trompeur, le plus pervers de cette rentrée. Chanson douce, deuxième livre de la jeune et talentueuse romancière Leïla Slimani, n'a rien à voir avec une comptine ou une berceuse. Il y a pourtant bien une nourrice dans ce roman publié chez Gallimard. Apparemment idéale, Louise, va tuer les deux enfants du couple qui l'emploie. Le plus fort, c'est que l'écrivaine raconte ce double infanticide dès le début du livre, avant de remonter le fil du temps et de révéler comment elle en est arrivée là. Chanson douce est la lecture la plus terrifiante et la plus ensorcelante du moment, à l'écriture aussi tranchante et froide que la lame d'un couteau. ParisMatch Dans une «Chanson douce», Leila Slimani raconte comment l’influence malsaine d’une nourrice va finir par détruire une famille. Un roman aussi saisissant qu’audacieux. Babelio ( avis d'une lectrice) La scène inaugurale décrit un tableau aussi horrible qu'irréparable digne des meilleurs scénarios de films d'horreur, en totale contradiction avec le titre du roman qui laisse présager une paisible histoire. Dans les chapitres suivants, Leïla Slimani dévoile l'implacable chronologie des événements qui ont abouti à cet épilogue.
MAGYD CHERFI C’est l’année du baccalauréat pour Magyd, petit Beur de la rue Raphaël, quartiers nord de Toulouse. Une formalité pour les Français, un événement sis mi que pour l’“indigène”. Pensez donc, le premier bac arabe de la cité. Le bout d’un tunnel, l’apogée d’un long bras de fer avec la fatalité, sous l’incessante pression énamourée de la toute-puissante mère et les quolibets goguenards de la bande. Parce qu’il ne fait pas bon passer pour un “intello” après l’école, dans la périphérie du “vivre ensemble” – Magyd et ses inséparables, Samir le militant et Momo l’artiste de la tchatche, en font l’expérience au quotidien. Entre soutien scolaire aux plus jeunes et soutien moral aux filles cadenassées, une génération joue les grands frères et les ambassadeurs entre familles et société, tout en se cherchant des perspectives d’avenir exaltantes. Avec en fond sonore les rumeurs accompagnant l’arrivée au pouvoir de Mitterrand, cette chronique pas dupe d’un triomphe annoncé à l’arrière-goût doux-amer capture un rendez-vous manqué, celui de la France et de ses banlieues. Avec gravité et autodérision, Ma part de Gaulois raconte les chantiers permanents de l’identité et les impasses de la république. Souvenir vif et brûlant d’une réalité qui persiste, boite, bégaie, incarné par une voix unique, énergie et lucidité intactes. Mix solaire de rage et de jubilation, Magyd Cherfi est ce produit made in France authentique et hors normes : nos quatre vérités à lui tout seul ! «Ce roman est pour moi une grande déception [...]Je dirais même que j'ai été gênée par la hargne et la violence qui ont jailli de cette lecture [...] L'idée de départ est pourtant bonne: raconter comment, lui, petit beur des quartiers Nord de Toulouse, tabassé parce qu'il travaille bien à l'école, réussit malgré tout à obtenir son bac, tout en cultivant son goût pour l'écriture de poèmes et de pièces de théâtre, puis à devenir célèbre en intégrant un groupe de musique connu (Zebda). […] » - Critique de lecteur Babelio «Un récit passionnant, à la fois drôle et grave. Dans ce livre il y a de l’autodérision, mais il y aussi une très belle réflexion sur la France, la langue, le désordre des identités, les banlieues, le lien social, le violences faites aux femmes. Tout le monde, je dis bien tout le monde devrait lire ce livre ! » - François Busnel,La Grande Librairie, France 5 « Sans angélisme mais non sans humour, Magyd Cherfi raconte ce quartier de Toulouse où il sera le premier fils d'immigré maghrébin à décrocher le bac. ll ne cache rien [...] Surtout, Magyd Cherfi écrit du même coup une histoire politique française des années 1980,vue depuis une cité. » - Les inrockuptibles
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