L'optimisation des licences logicielles sur le terrain - Une approche pour la mise en place d'une stratégie SAM - Aspera
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Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » L’optimisation des licences logicielles sur le terrain Livre blanc Une approche pour la mise en place d’une stratégie SAM Winter ‘16 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Introduction Né dans les pays Anglo-Saxons, le SAM (Software Asset Management ou Gestion de Actifs Logiciels) a est apparu en France il y a plus de 5 ans, avec deux promesses principales : aider les clients à ne plus subir les audits logiciels et trouver des leviers pour réduire leurs coûts logiciels qui représentent une part croissante du budget IT, jusqu’à 25% selon le Cigref. Le SAM étant en pleine expansion l’engouement des clients donne lieu à une pénurie d’expertise et à la naissance d’une multitude d’offres sur le marché cherchant à y répondre : toutes les sociétés de service du marché veulent aujourd’hui construire une offre SAM et s’improviser experts du sujet. Dans le même temps plusieurs éditeurs, évoluant dans un domaine plus ou moins connexe au monde du SAM (Outils de monitoring, ITSM, outils de déploiement) veulent également tenter de développer leurs compétences pour pénétrer ce marché et pérenniser leur offre SAM En tant que client, il n’est pas simple de s’y retrouver. Cependant, il est naturel qu’un directeur informatique ou un directeur des achats soit séduit par un discours de maîtrise des risques et de réduction des coûts. C’est donc aux équipes de trouver des solutions pour répondre rapidement à cette demande. Mais quelle approche adopter, face à un marché en ébullition ? Easytrust évolue dans le monde du SAM français depuis ses débuts, avec des premières missions menées dès 2008 sur ces sujets. C’est notre expérience que nous souhaitons partager pour vous éclairer sur les options pouvant vous permettre de développer, simplifier ou automatiser la Gestion de vos Actifs Logiciels 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Les approches SAM rencontrées sur le terrain Sur le terrain, le marché se structure aujourd’hui autour de deux types d’approches SAM principales. La démarche globale La démarche globale est aussi la démarche classique, la plus relayée par la communauté SAM. C’est une approche horizontale industrialisée, processée et structurée de construction d’un service SAM au sein de l’entreprise, afin de contrôler à terme, l’ensemble des actifs logiciels. Cette approche, très pertinente, considère à juste titre le SAM comme une fonction à part entière dans l’entreprise. La mise en œuvre de cette approche passe par des hommes, des processus et des outils. L’approche se pilote et se justifie souvent par une mesure objective du progrès réalisé sur la maîtrise globale des assets logiciels. La démarche « verticale » A contrario, la démarche « verticale » ou « projet d’inventaire sur un éditeur donné », est souvent portée par un « compelling event » autour d’un éditeur particulier : menace d’audit, risque identifié, renouvellement ou sortie d’un contrat cadre. Le timing pour obtenir des résultats est alors souvent très serré, et la qualité de l’analyse attendue est de couvrir autant que possible 100% du risque et de l’optimisation, dans un temps très court. L’approche « verticale » nécessite donc l’intervention d’experts internes ou externes, promptement et de manière exhaustive 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Des visions qui cohabitent naturellement Nombre d’entreprises ayant démarré une démarche classique, sont confrontées à la nécessité de lancer une démarche « verticale » dans le cadre par exemple d’un audit éditeur. Et malheureusement, les processus, les hommes et mêmes les outils déjà en place pour le SAM sont parfois insuffisants pour y répondre concrètement. Il est alors courant de voir de telles sociétés faire appel à l’expertise d’une société partenaire pour réaliser une mission d’inventaire et d’optimisation « verticale » ciblée sur cet éditeur à risque. Quelle pérennité à la démarche « verticale » ? Une majorité de sociétés de service vendent le service « verticale » comme une prestation jetable, qu’il faudra renouveler au prochain usage. C’est assez naturel dans la mesure où leur business consiste à pouvoir générer un revenu récurrent chez leurs clients. Les services managés SAM, proposés par ces entreprises, sont d’ailleurs souvent un habillage contractuel, d’une prestation « verticale » réalisée de façon récurrente. Exiger le meilleur des deux mondes ! Force est de constater qu’une démarche de couverture à 100% d’un éditeur dans un temps limité est une approche possible et efficace. La démarche projet « verticale » est là pour le démontrer, et de nombreux clients y ont eu recours. Mais l’idée que l’ensemble des savoirs sont détenus par des tiers, et que cette démarche est à renouveler n’est pas satisfaisante. En effet : Même avec les meilleurs experts, la démarche « verticale » peut arriver trop tard pour optimiser totalement les usages avant un audit Même si la négociation avec un éditeur lors d’un audit semble satisfaisante (on croise des clients heureux d’avoir payé « seulement » 20% de ce qui était réclamé au départ), il est probable qu’une démarche préalable et un traitement de la cause du mal, aurait permis de s’affranchir des régularisations et pénalités exigées par l’auditeur Les sociétés de SAM partenaires préconisent des recommandations d’optimisations « techniques », mais ne sont parfois pas suffisamment impliquées dans la relation fournisseur, malgré leurs fortes connaissances sur les produits ou « pièges » contractuels Le SAM a des intérêts en dehors de la maîtrise des risques et de l’optimisation des coûts : par exemple apporter de valeur dans l’aide à la prise de décisions technologiques ayant un impact business, ou l’accompagnement dans le changement de produits C’est pour cette raison, qu’il est nécessaire, de faire cohabiter le meilleur des deux mondes : Dans une démarche SAM « classique », lotir le projet afin d’adresser entièrement mais l’un après l’autre mes éditeurs majeurs. Par exemple Microsoft, puis Oracle, Adobe, et SAP. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Dans une démarche SAM « verticale », profiter de l’inventaire pour effectuer un premier pas vers une démarche SAM globale et industrialisée L’ approche Easytrust L’assessment de maturité est une démarche permettant d’initier la réflexion SAM au sein d’une entreprise, ou de faire un bilan d’avancement. Il permet : De connaitre son positionnement sur les key success factors liés au SAM : People Process Outillage De connaitre ses orientations et volontés en matière de SAM : Editeurs à risque Deals importants à venir Changements technologiques 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Datacenter VS Postes de travail « La plupart des clients l’ignorent, mais la plus grande complexité, les plus grands risques et les sources d’économie les plus fortes sont dans le datacenter Martin Tompson analyste SAM ITAM review La plupart des clients ont déployé depuis des années, des outils de collecte pour le poste de travail. On peut citer parmi les sources de données, principalement orientées poste de travail, des outils tels que SCCM, Landesk, BBCA ou OCS inventory. La complexité des inventaires pour les outils concernant les postes de travail est moindre : Windows représente l’OS qui couvre 90% des usages Les métriques associées sont souvent claires : une installation = une licence Il y a rarement à collecter des informations de configuration au sein même des logiciels inventoriés : les traces d’installation fournissent toutes les informations sur la nature du logiciel utilisé Néanmoins, il existe plusieurs complexités à adresser : l’identification des signatures logicielles soumises à licence, l’application des droits de downgrade selon un périmètre (géographique ou organisationnel), la gestion des bundles (p.ex. Adobe) Côté datacenters la problématique est toute autre. En effet, les outils d’inventaire en place, s’ils existent, sont rarement suffisants pour apporter une information exhaustive. Car dans le monde du datacenter, les informations nécessaires pour le calcul des métriques sont plus complètes : Présence de multiples OS : Windows, Linux, HP-UX, AIX, Solaris… Technologies de virtualisation : VMWare, HyperV, Xen, LPAR, NPAR… Métriques basées sur les informations système : nombres de sockets, de CPU, de cœurs, type et configuration de la virtualisation… Présence d’options sur les produits nécessitant une collecte au sein même des logiciels découverts : par exemple les options sur la base de données Oracle nécessitent une connexion aux tables système de la base de données elle-même. Calcul des CAL 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Microsoft (Client Access Licence), nécessitant de suivre les accès aux bases SQL Server et Windows Server par exemple. L’apparition du Cloud et la gestion de licences au sein de ces environnements, qui ne dépendent plus de la capacité serveur du client mais du fournisseur. Les licences sous-concédées par une entreprise à ses partenaires (Third Part Application Service p.ex.), notamment pour du développement, qui sont souvent installées sur les serveurs de l’infogérant et pour lesquelles l’entreprise est responsable. Au delà de la difficulté de pourvoir des informations complètes et fiables, l’interprétation des données est un exercice plus complexe côté datacenter, avec la nécessité de maîtriser les règles changeantes, liées à chaque éditeur. C’est notamment pour cette raison que les inventaires Oracle, IBM ou SAP sont souvent considérés comme plus complexes que les inventaires Microsoft, même si ces éditeurs disposent aussi de produits pour les datacenters. 80/20 n’est pas toujours assez Dans le monde du SAM, comme ailleurs, la règle du 80/20 s’applique… mais pas toujours. Elle s’applique quand il s’agit d’affirmer qu’il est sage de traiter en premier lieu les 20% d’éditeurs qui représentent 80% des risques. En effet, la communauté SAM reconnaît qu’il est préférable de ne pas vouloir adresser en même temps tous les éditeurs : tout faire c’est ne rien faire réellement. En revanche, s’attacher à couvrir 80% des risques sur un éditeur peut avoir de lourdes conséquences pour certains d’entre eux. En effet, l’impact financier des 20% restant est souvent difficilement mesurable. Dit autrement, 20% de sujets techniques non couverts peuvent représenter 80% des risques financiers ! (Nous voilà rassurés de retomber sur notre règle des 80/20) L’impact peut se chiffrer en millions d’euros. Prenons deux exemples en monde Oracle et Microsoft : Exemple en monde Oracle : Une option Oracle advanced compression a été oubliée sur une seule instance parmi 300 d’un Vcenter VMWare en version 5.1. L’erreur est de 1/300 et sur une option parmi 20 au catalogue Oracle. C’est une marge d’erreur technique objectivement de moins de 1%. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Pourtant, si ce Vcenter est composé de 50 processeurs physiques, et selon sa configuration, Oracle serait en droit de réclamer 50 processeurs de cette option, soit un prix liste de près de 500 000 € ! Exemple en monde Microsoft : Installation, dans un Cluster, de licences MS SQL Server Enterprise 2012, ayant pour métrique « 2 cores », coûtant 10 000€ la licence sans Software Assurance avec une remise de 50%. La licence avec SA étant environ à 19 000€ pour une couverture de 3 ans. Configuration : 2 Processeurs, 10 cœurs par processeur et 2 serveurs. Le besoin en licences est donc de 2CPU * 10 Cores * 2 serveurs / 2 licences 2cores = 20 licences. Le coût de cette installation est donc de 200 000€. Avec cette configuration, une quantité illimitée de VMs peuvent être installées, par serveur. En revanche, sans paiement de SA, la license mobility, permettant à ses VMs de se déplacer entre les serveurs n’est pas autorisée. Pour permettre la license mobility totale, il manque donc 2*10 licences (200K€), ou le paiement de la SA sur les 20 licences à installer. Cela représente un cout de 180K€, mais sur 3 ans et permet, à terme, la montée de version gratuitement. Il est compliqué de restreindre le mouvement de VMs dans un cluster, comme il est difficile de lire et d’interpréter correctement toutes les règles de licensing MS. Une mauvaise interprétation, dans notre cas du bénéfice de la SA, peut avoir de lourdes répercussions. Ici, une non-conformité de 200K€ peut être réduite par un paiement de maintenance, ou par une configuration « restricted mobility », ne permettant pas de gérer les déplacements de VMs en cas de workload trop important, notamment dans un cloud hybride : public / privé. Conclusion aux exemples : Sur le Datacenter, et sur les éditeurs pour lesquels les produits sont chers, 80/20 ne suffit pas. Couvrez-les à 100%, c’est tout à fait possible, en faisant appel au bon niveau d’expertise et d’outillage. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Choisir ses outils de SAM Il est utile de distinguer, pour plus de clarté, outils d’inventaire et outils de Gestion des Actifs Logiciels. Les outils d’inventaire réalisent la collecte des données sur les postes de travail et les serveurs, à partir d’agents ou d’une approche agentless. Les outils de SAM se connectent aux outils d’inventaire et ont des fonctionnalités propres au SAM : Reconnaissance des logiciels installés à partir des données brutes remontées par les outils d’inventaire. Cette démarche s’appui sur un catalogue de signatures qui doit être en permanence mis à jour et enrichi. Capacité à traduire la présence de logiciels en un nombre de licences requises, en fonction des métriques Gestion des bundles, des droits de downgrade de des droits acquis via la maintenance, Gestion des contrats cadres, des avenants et des contrats de maintenance, combiné à un système d’alerte configurable X mois avant le renouvellement tacite Réconciliation des logiciels installés avec les licences acquises pour donner une vision de la position de conformité De façon optionnelle : gestion des processus SAM, et modules d’optimisation ou de simulation Même si certaines solutions de SAM proposent leur propre solution d’inventaire, et inversement, cette approche ne va pas nécessairement de soi. En effet, il est compréhensible que les clients aient une préférence pour ré-utiliser les solutions d’inventaire déjà en place dans leur entreprise pour lesquelles des coûts d’investissement et récurrents sont payés. Encore faut-il que ces solutions soient suffisantes. Les outils d’inventaire Votre entreprise a probablement déjà des outils d’inventaire et de collecte en place. Notamment pour les postes de travail, pour lesquels beaucoup d’outils existent et sont suffisants. Pour le datacenter, c’est une autre affaire. En effet, la qualité des données collectée (exactitude et profondeur) est très variable d’une solution à l’autre. En fonction des éditeurs, la profondeur nécessaire des données peut aller assez loin, et nécessiter des solutions particulières. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Quelques exemples : En monde IBM, le contrat peut imposer ILMT pour bénéficier des subcapacity. Certains outils disent pouvoir sur substituer à ILMT. Cette affirmation n’est pas exacte, dans la mesure où rien ne le confirme chez IBM. Le fait qu’IBM l’ait accepté pour un très grand client après négociation n’en fait pas une généralité. En revanche, il faut en retenir qu’après négociation, IBM pourrait accepter de substituer ILMT par un outil de collecte datacenter qui fournit un niveau de détail suffisant. En monde SAP, l’approche LAW est insuffisante. 90% des clients pensent « savoir faire » SAP. Mais la vraie question autour de SAP est la suivante : « puis-je vérifier pour chaque utilisateur le type de licence nécessaire en fonction des fonctionnalités réellement utilisées par ce dernier » ? Pour ce faire, il est nécessaire de se connecter à des tables spécifiques au sein des instances SAP et collecter des informations détaillées sur les usages. La table LAW ne fournit pas ces informations . En monde Oracle, il est nécessaire de collecter des informations d’usage des options au sein même de la base de données. Au gré des versions, la nature et la profondeur de ces informations évolue. Les solutions classiques d’inventaire datacenter ne vont pas assez loin. Oracle a mis en place un programme de vérification pour garantir la complétude des données collectées par les éditeurs. Néanmoins ce programme ne garantit pas la bonne interprétation par les outils de ces données. La question à se poser est donc : quel outil choisir et pour quelle fin ? Dans ce contexte, définir la liste des 20% des éditeurs représentant 80% des gains au préalable, et s’entourer d’experts, est une bonne approche pour effectuer un choix. Les outils de SAM L’offre d’outils SAM est large sur le marché, mais quelques acteurs sortent du lot, par leur nombre de clients actifs et la qualité de leur approche. L’approche simplificatrice Parmi les leaders, certains acteurs promettent en premier lieu de rendre le SAM « facile ». D’une certaine façon ces solutions y parviennent, surtout pour mettre sous contrôle les éditeurs les plus accessibles, en particulier Microsoft et pour les postes de travail. Mais dans un contexte où il faut gérer également le datacenter, et où l’organisation de l’entreprise est un peu complexe (gestion décentralisée, entités acheteuses et bénéficiaires, refacturations des coûts de maintenance…) ces outils sont rapidement limités. Même si la première marche avec ces solutions peut sembler plus rapide (c’est probablement vrai), l’approche est vite limitée par le nombre important de raccourcis pris par l’outil. La philosophie de ces outils : atteindre rapidement 60% de maîtrise, mais plafonner à 80% pour beaucoup d’éditeurs. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » L’approche exhaustive La réalité est que la SAM est une discipline complexe ! Gérer de façon totalement automatisée tous les éditeurs du marché est simplement impossible. En revanche, les solutions les meilleures, progressent dans leur capacité à gérer les grands éditeurs. Ceci passe souvent par un module spécialisé, notamment pour Oracle et SAP. Dans votre recherche d’une solution SAM, la question de savoir s’il permet de gérer à 100% les éditeurs représentant pour vous un enjeu majeur, est une vraie question. Savoir s’il peut s’adapter à la complexité de votre organisation en est une autre, qui a toute son importance. Certains éditeurs ont pris parti d’appréhender cette complexité et de l’adresser. Ils sont forcément plus complexes à appréhender dans un premier temps, de la même manière que SAP est plus complexe que Ciel Compta. Mais ils ne font pas non plus la même chose ! 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Conclusion La Gestion de ses Actifs Logiciels passe par trois grands axes : les personnes, les processus et l’outillage. L’ordre d’implémentation de ces axes est souvent présenté comme crucial : il apparaît de bon sens de ne pas déployer un outil SAM sans équipe nommée et impliquée, ou sans processus définis. Néanmoins, le marché et les retours d’expérience du terrain démontrent parfois l’inverse. S’attaquer de manière verticale aux éditeurs identifiés comme étant à risque ou représentant un poste de dépense important, peut être une démarche pertinente, indépendamment de la réelle maturité dans la structuration d’un service ou de processus SAM. Cette démarche verticale a cependant beaucoup plus de valeur, si elle est pensée pour permettre de progresser dans la démarche SAM globale sur ses 3 axes (personnes, processus, outils). Dans chacune de ces démarches d’implémentation d’une structure SAM, des professionnels du secteur peuvent vous accompagner. De l’assessment de maturité à l’outillage, en passant par des opérations d’optimi sation ciblées, de formation ou de mise en place de processus, vous bénéficiez d’un niveau d’expertise reconnu sur des problématiques diverses telles que les pièges contractuels, la négociation ou l’optimisation de son parc déployé. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » L’approche Easytrust Easytrust évolue depuis plus de 5 ans sur le marché du SAM en France. Logiciels Easytrust Easytrust Inventory Notre offre d’inventaire pour le datacenter « Easytrust Inventory » est une solution qui apporte une profondeur et une qualité de données optimales. Elle permet à nos clients de bénéficier d’un complément de collecte pour l’ensemble des logiciels du datacenter, et d’alimenter leur solution SAM avec des données fiables. Easytrust Inventory apporte également des données utiles à l’optimisation du datacenter telles que la consommation CPU, mémoire ou disque. Ces données permettent d’alimenter des réflexions d’optimisation des architectures : consolidation, paramétrage, PRA etc. Easytrust for Oracle Notre solution SAM « Easytrust for Oracle » est probablement la solution SAM la plus déployée en France, même si elle est spécialisée sur un éditeur. Elle est fait partie des quelques solutions « vérifiées » par Oracle au monde, mais ce programme, centré sur la capacité à remonter des données brutes n’est pas une fin en soi. Notre valeur ajoutée se situe dans la capacité à avoir automatisé le traitement de ces données brutes et calculer un nombre de licences nécessaires, ainsi qu’une position de conformité, en prenant en compte toutes les subtilités des métriques Oracle (faux positifs, exceptions etc.) La force de notre approché dédiée à Oracle se situe enfin dans la capacité à outiller l’optimisation des architectures et des contrats, au cœur même de l’outil. Beaucoup le prétendent, nous le faisons réellement. Easytrust SAM Powered by Aspera Après consultation de l’ensemble des acteurs du SAM intéressés par notre positionnement sur le marché français, Easytrust a noué un partenariat très fort avec la solution SAM SmartTrack d’ASPERA (commercialisé par Easytrust sous la marque Easytrust SAM). SmartTrack nous a séduit par sa capacité à adresser le SAM dans sa complexité et pour les grandes organisations. La solution est reconnue comme faisant partie des leaders mondiaux des logiciels SAM. SmartTack ne fournit pas de technologie d’inventaire. La philosophie du produite est de s’intégrer nativement à toutes les sources de données déjà présentes dans l’entreprise (plus de 50 connecteurs disponibles) 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Notre technologie d’inventaire datacenter « Easytrust Inventory », est un complément naturel à l’offre ASPERA pour les clients n’ayant pas une solution d’inventaire suffisante sur ce périmètre. Par ailleurs notre module SAM pour Oracle apporte à Aspera une brique spécialisée, probablement la plus performante du marché et pour laquelle nous avons réalisé une intégration native. Aspera dispose enfin d’une brique dédiée à SAP, issue d’un rachat, et de très grande qualité. L’offre logicielle Easytrust 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Services Au fil des années, notre approche a évolué au contact des projets menés sur le terrain. Nos compétences couvrent aujourd’hui l’ensemble des éditeurs majeurs du marché. L’offre Easytrust globale La vision Easytrust consiste à proposer à nos clients une approche pragmatique de la mise en place du SAM : Réaliser un assessment de maturité si nécessaire Démarrer par une approche projet d’inventaire sur un éditeur majeur (Oracle, Microsoft, SAP, IBM ou Adobe par exemple) Profiter de cet inventaire mono-éditeur pour mettre en place les premières briques d’une approche SAM plus globale : outils, processus et transfert de connaissances Ainsi nos clients peuvent bénéficier du meilleur des deux approches : L’intérêt d’une démarche « verticale » sur un éditeur donné : budget et délais maîtrisés, mise sous contrôle à 100% d’un éditeur et R.O.I mesurable L’intérêt de la démarche globale : mettre sous contrôle les assets logiciels dans la durée et ne pas réaliser une approche jetable ou se reposant à 100% sur des tiers Enfin les services managés outillés permettent à nos clients de définir un engagement pluti - annuel d’outsourcing de leur approche SAM Périmètre éditeurs et fréquence d’inventaire définie à l’avance Outillage adapté aux enjeux Total réversibilité et capacité du client à reprendre la main sur les logiciels à tout moment 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » A propos de l’auteur Maxime Pawlak Maxime est directeur général d’Easytrust. Il a constitué et utilisé son savoir depuis plus de 10 ans dans un contexte Oracle au sein de la société Easyteam, avant d’assister ses clients dans des démarches SAM plus globales chez Easytrust. Maxime manage une équipe de 35 personnes chez Easytrust, réparties sur des activités R&D, conseil, support et commerce. Entrepreneur, Easytrust est sa 3eme aventure entrepreneuriale après la création d’un éditeur d’une solution open-source, réintégrée dans de nombreux projets d’envergure mondiale et la création d’agences régionales pour des sociétés de service IT. Maxime est diplômé de l’Ecole Centrale de Lille et d’un Master en création d’entreprises à l’ESC Lille. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Disclaimer Les informations contenues dans ce document correspondent à la vision actuelle de la société Easytrust, à sa date de publication. Easytrust évoluant dans un marché au contexte changeant, ce document ne peut être un engagement de la part de la société Easytrust sur le contenu des informations fournies. Ce White Paper est fourni à des fins d’information uniquement. Easytrust n’apporte aucune garantie sur les informations contenues dans ce document. Il est de la responsabilité des lecteurs de se conformer au droit d’auteur. Aucune partie de ce document ne peut donc être reproduit, stocké ou transmis sans une permission expresse d’Easytrust. 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
Livre blanc : « L’optimisation des licences logicielles sur le terrain » Adresse : 71, Boulevard National 92250 la Garennes Colombes URL : http://www.easytrust.com Email : contact@easytrust.com 2015 - 2016 – Copyright Easytrust
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