Le patrimoine souterrain de Pontoise - Laissez-vous conter Villes et Pays d'art et d'histoire - Sites ...
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Villes et Pays d'art et d'histoire livret-découverte conter Laissez-vous le patrimoine souterrain de Pontoise
L'exploitation du calcaire Le centre historique de Pontoise est édifié sur un plateau calcaire, appelé Mont Bélien, entaillé par la vallée de l'Oise. Très tôt, les habitants ont extrait le calcaire nécessaire à la construction de la ville. A ce jour, neuf cents cavités ont été répertoriées sur 20% du territoire de la commune. Aperçu géologique Le sous-sol de Pontoise est constitué d'un empilement de couches géologiques qui datent de l'ère Tertiaire (qui a débuté il y a environ 65 millions d'années). Le calcaire lutétien s'est formé par des dépôts accumulés dans les lagunes et les mers peu profondes qui couvraient la région en ces temps très lointains. Le Quaternaire est représenté par les éboulis et les limons des plateaux. Jean-Luc Maire, Michel Holé La coupe géologique : Lutétien, qui fait à Pontoise trente Dans le centre ancien, les niveaux les mètres d'épaisseur environ. Elle plus hauts sont constitués de sables très constitue l'assise du plateau du Vexin. fins appelés sables de Beauchamp, dans Ce niveau de calcaire est lui-même ces sables se trouvent de grosses dalles composé de couches successives (les de grès (pierre dont on fait les pavés). bancs), de qualités différentes : calcaire Dans de nombreuses carrières des fossiles ou comme sur cette photographie leurs Viennent ensuite les marnes et cail- supérieur, moyen et inférieur. empreintes sont toujours visibles. Il s'agit lasses, alternance de calcaire fragmenté Enfin les sables de Cuise, sables de coquillages (nummulites, campaniles) et de lits d'argile ou de sable. Ensuite se grossiers verdâtres, c'est dans ce niveau et d'oursins. trouve l'importante masse calcaire du que l'on trouve la nappe phréatique. 2
Carrières souterraines Pontoise connaît au Moyen-Âge un véritable essor démographique, de nombreux chantiers sont en cours et L'exploitation nécessitent une quantité importante de matériaux. C'est vers le XIIIème siècle Gravure de Claude Chastillon, vers 1600 qui des carrières que l'exploitation évolue vers une extraction souterraine “en puits ou en représente de façon spectaculaire le Mont Bélien (plateau calcaire). cavage” permettant d'exploiter avec un Carrières à ciel ouvert bien meilleur rendement, tout en L'arrêt de l'extraction Le calcaire présent à Pontoise fut très préservant les terres cultivables et L'exploitation sous la vieille ville largement exploité. En fonction de la constructibles. s'arrête, sans doute, au XVIIème siècle. période historique, les carriers utilisent Le ciel de carrière par Les carrières se développant, par la différentes techniques d'exploitation. sécurité devait être suite, à l'extérieur de l'enceinte et dans réduit, le carrier Au cours de l'époque gallo-romaine, la vallée de l'Oise. Mais les dernières formait grâce aux l'exploitation de carrières se fait derniers bancs exploitations à Pontoise sont surtout d'abord à ciel ouvert. Le calcaire de pierre un usitées pour l'entretien et la consolida- extrait fournissait les matériaux encorbellement afin tion des édifices. Paradoxalement, du nécessaires à la construction. Pontoise de le soutenir comme milieu du XVIIIème siècle au début du ici dans la Cave du était alors de taille très modeste et le XIXème siècle, ce sont les grands Presbytère. besoin en pierres ne justifiait pas des monuments de la ville qui vont servir exploitations plus importantes. Cette de carrières à ciel ouvert : le Château exploitation du calcaire a débuté sur les L'utilisation du “puits d'extraction” Royal, les églises Saint-Mellon, Saint- pourtours du plateau, le long de l'Oise était très répandue à Pontoise (Cave des André, Saint-Pierre, des Cordeliers et et de la Viosne, là où le banc affleure et Moineaux, petite et grande carrières du les fortifications. Les pierres calcaires est donc facilement exploitable. La de la Vallée de l'Oise furent utilisées Château...). Le puits 1 de fort place de la Harengerie serait à l'origine localement mais aussi exportées par diamètre était creusé depuis la surface un espace laissé vacant par une voie d'eau. pour permettre l'exploitation des bancs ancienne carrière à ciel ouvert. En effet dès le XIIème siècle, les calcaire et l'acheminement des blocs bâtisseurs d'abbayes, de cathédrales grâce à un monte-charge 2 (roue, cage et de châteaux se sont tournés vers ces d'écureuil). Cette technique permet carrières réputées pour la qualité de d'extraire la pierre sur de grandes hau- leurs pierres. Elles furent notamment teurs de façon à obtenir le rendement utilisées pour l'édification de l'abbatiale maximum de chaque banc de pierre de Saint-Denis au XIIème siècle. tout en établissant. Le carrier 3 laissait Certaines carrières de calcaire sont des piliers de roche brute à certains toujours en activité comme à Saint- endroits déterminés, pour soutenir le Maximin dans l'Oise. ciel de carrière. L'exploitation se fait 2 souvent en longues galeries étroites pouvant former un réseau de galeries 4 . ce qui correspondait au besoin en calcaire d'un petit propriétaire. 1 Le propriétaire pouvait ainsi tirer profit Schéma du sous-sol et exploiter le calcaire représentant 4 Dans différents endroits de la ville, notamment présent, c'est ce qui explique la forte l'exploitation du sur les coteaux de la Viosne et de l'Oise ou calcaire à l'aide comme ici dans le Parc des Larris, des affleure- concentration de carrières sous de nom- d'un puits 3 ments de bancs de calcaire sont apparents. breuses maisons dans le centre ancien. d'extraction. 3
Les caves de Pontoise La grande majorité des maisons situées dans le centre ancien de Pontoise possède une cave. Construites au cours de la période médiévale, elles sont d'une grande diversité quant à leur style et leur fonction. Allant des petites caves héritières du parcellaire étroit, jusqu'aux entrepôts, elles multiplient les caractéristiques. Fonction et utilisation des caves Une esthétique et une architecture variée Des fonctions Les caves ont pour fonction le stockage des marchandises et la Les caves sont d'une grande variété et certaines sont richement décorées : inattendues conservation des denrées. Elles voûtes à croisées d'ogives, chapiteaux apparaissent souvent comme des décorés, escalier voûté, ... L'existence Des galeries et des casemates galeries assez larges, aux parois parfois de chapiteaux décorés permet de penser pour se défendre brutes (héritage des carrières), avec de que ces celliers étaient ouverts aux nombreux aménagements, pouvant se acheteurs potentiels. A l'époque, la ville La ville de Pontoise, dès le XIIème répartir jusqu'à 3 niveaux, mais entretenait des relations commerciales siècle, était entourée d'un rempart. généralement sans se chevaucher, avec les marchands venant d'Ile de Plusieurs dispositifs souterrains sont comme la cave “Pihan de la Forest”. France, voire plus loin lors des grandes toujours visibles et témoignent de Il s'agit de dépendances directes de foires. l'évolution du système de protection de l'habitat de surface pour les immeubles Clé de voûte décorée d'un la ville. Des portes permettaient de d'habitation. Les grandes caves étaient motif floral dans une cave rue contrôler l'accès à la ville, elles ont utilisées comme lieux de conservation de l'Hôtel de Ville aujourd'hui disparu, mais l'on conserve pour les marchands présents à Pontoise, des éléments de celle d'Ennery. De cette soit pour la conservation du vin porte subsiste une galerie, qui faisait (très florissant jusqu'à la fin du partie de son système de défense. Elle XVIIIème siècle), des céréales. Elles Une citerne au service permettait l'observation et la protection occupent souvent les vastes espaces des Cordeliers du fossé et reliait les postes de tir situés créés par les carrières souterraines et Dans la cour de l'Hôtel de Ville, ancien de part et d'autre du bastion. donnent, grâce à un escalier, directe- couvent des Cordeliers, un très bel Du Château Royal de Pontoise il ne ment sur une place ou dans la rue. ouvrage servait à stocker l'eau. En effet, reste pratiquement rien. Mais l'on dans le cloître, une citerne circulaire de peut encore voir les casemates qui Sur ce plan dressé par L. Lesage, représentant la cave Fayolle, située au 21 de la place du petit dix mètres de diamètre, bâtie en pierre permettaient de défendre son accès au Martroy, on distingue deux niveaux de caves reliés de taille autour d’un pilier central, niveau de l'ancien pont-levis. par un escalier voûté. Le niveau supérieur est une recueillait les eaux de pluie et cave du XIIIème siècle, tandis que l'autre niveau est alimentait au moins un bassin qui Ce poste de tir situé dans la une ancienne carrière aménagée ensuite comme galerie de la Porte lieu de stockage. ornait les jardins. d'Ennery servait à la défense Citerne de l'ancien de la ville et couvrait le fond couvent des Corde- du fossé. L'embrasure est de liers, XIVème siècle, type canonnière à louche, ce Hôtel de Ville de Pon- dispositif permettait toise l’utilisation d'armes posées à terre. 4 4
Des refuges pour la population Exemples de céramiques retrouvées à Pontoise L'habitat troglodytique lors des fouilles dans la Cave des Moineaux. La première issue probablement d'une production Au cours des sièges et des conflits que locale est unique. La seconde est un pichet Dans le quartier de l'Hermitage, au Pontoise a connus, les cavités souter- vernissé à panse en tulipe. niveau de la rue Adrien Lemoine, se raines ont servi d'abris et de refuges. Fabrice Dassé trouvait un ensemble de maisons Dès le Moyen-Age, des récits évoquent creusées dans le roc ou appuyées sur la mort des Anglais: “massacrés dans des cavités, datant du XIXème siècle. des caves ou celliers où ils s'étaient ré- La seule demeure troglodytique encore fugiés”. habitée est située au 23 rue André Au cours de la Seconde Guerre Lemoine. On peut également voir un Mondiale, la défense passive a recensé four à pain à proximité, entièrement les carrières aptes à être transformées creusé dans le calcaire. Dans le quartier en abris pour la population. Lors des du Chou il était fréquent que les bombardements aériens, la population anciennes carrières de calcaire servent s'y réfugiait pendant les alertes. de champignonnière. Des fosses d'aisance et dépotoirs Les cavités ont servi de dépotoir ou de fosses d'aisance. Grâce à l'accumula- tion de plusieurs siècles de déchets, ces cavités sont une extraordinaire source d'informations sur le passé. Ainsi lors des fouilles de la Cave des Moineaux de nombreux vestiges archéologiques ont été retrouvés : monnaie, vaisselle, os d'animaux, témoignant de la vie des habitants. La multiplication des fosses dépotoirs et d'aisance, à partir du XVIIème siècle, dans le centre de Pontoise, indique qu'il était coutumier de posséder de telles Affiche datant de 1938 sur laquelle est indiqué le commodités. Il faut imaginer que recensement des abris pouvant servir à la popula- certaines maisons du centre ancien tion en prévision des bombardements. Au cours de Habitations troglodytiques de L'Hermitage la Seconde guerre Mondiale, les Pontoisiens seront n'ont été reliées au tout à l'égout qu'à amenés régulièrement à se protéger dans les caves la fin du XXème siècle, ce qui a pu lors des alertes aériennes. altérer la qualité du calcaire. 5
Comprendre, découvrir et préserver ce patrimoine exceptionnel L'exploitation intensive du sous-sol de Pontoise a laissé de nombreuses cavités. Les utilisations diverses et variées au cours du temps, l'oubli même permettent de mieux comprendre pourquoi la stabilité de la ville est parfois incertaine. La mise en valeur de la Cave des Moineaux ou des évènements comme des affaissements vont permettre une prise de conscience du risque, mais également engager un formidable élan de compréhension et de mise en valeur de cet héritage. Quelles réponses : le Plan de Prévention des Risques ? Pour aller Consciente de la richesse mais également de la fragilité d’un tel plus loin... sous-sol, la Ville de Pontoise s’est engagée dans la sauvegarde et la mise en valeur de ce patrimoine exceptionnel au travers de la création d’un service municipal " prévention des risques ". Ce service en collaboration avec Edouard Alfred Martel, le père de la spéléologie l'Inspection Général des Carrières est moderne nait à Pontoise en 1859. C'est en son chargé de l'application du Plan de hommage, qu'entre 1988 et 1998 le Clan Spéléo Prévention des Risques pour tenter de La cave du pont est souvent évoquée comme étant Pontoisien, a déblayé le système ”cave-carrière” gérer et de pérenniser l’avenir du un ancien port souterrain. Mais des indices nous des Moineaux. Ce vaste chantier a engendré 1800 patrimoine. Il se tient à la disposition montrent que ce n'est pas possible. Tout d'abord, tonnes de déblais entièrement tamisés et accompagnés de deux fouilles archéologiques. des Pontoisiens pour répondre à leur l'Oise se situait à un niveau inférieur, elle n'a été interrogation face aux problèmes liés à canalisée qu'au XIXème siècle. Enfin cette affirma- tion vient du fait que le dernier propriétaire y avait l'instabilité du sous-sol. aménagé un quai et placé une barque ce qui donnait l'impression au visiteur d'être dans un port, mais ce n'était que pure imagination. A la suite d'une Prise de conscience collective rupture de canali- sation au cours de Le monde souterrain, terre de lors affaissements l'hiver 1997, des Si les dommages liés au sous-sol sont stalagmites de légendes et de fantasmes connus depuis longtemps à Pontoise, ils glace se sont Certains témoignages font parfois ont pris une importance particulière formés dans référence à des souterrains qui passent avec la manifestation de phénomènes l'escalier sud de la dans ou sous les caves et permettent la Cave des externes spectaculaires comme les Moineaux. Le liaison entre différents points de la affaissements de la rue Thiers et rue sous-sol de ville, allant même jusqu'à considérer Alexandre Prachay dans les années Pontoise est l'existence d'un souterrain reliant la 1980, mais aussi et surtout avec la prise stable, les ville à l'Abbaye de Maubuisson. Aussi de conscience de la valeur patrimoniale carrières sont alléchantes qu'elles soient, ces présentes depuis du site avec notamment la redécouverte plusieurs siècles. hypothèses, tout comme la croyance de de la cave des Moineaux, mise en Les affaissements sont essentiellement liés soit à l'existence d'une glacière ou d'un port valeur à partir de 1989 par le Clan une forte quantité d'eau, soit à un manque souterrain, tiennent plutôt de la légende Spéléo Pontoisien. d'entretien du propriétaire. et du fantasme collectif. 6
Mise en valeur et promotion de ce patrimoine Tournage de films Le cinéma entretient une relation privilégiée avec Pontoise. A 30 km de Paris, la ville offre aux réalisateurs un patrimoine d’une grande diversité et des décors naturels. Les souterrains sont évidemment des lieux de tournage de film et de téléfilms. Des metteurs en scènes comme Roman Polanski ou Pitof, ont su tirer parti de l'ambiance offerte par les cavités souterraines. Ainsi la cave des Moineaux accueille régulièrement des équipes de tournage. Parmi les films les plus connus, on peut citer : La neuvième porte; Les rivières Depuis les premières visites, comme ici en 1989, lors des journées du patrimoine, la Cave des Moineaux est pourpres 2; Vidocq, la dernière un site emblématique pour comprendre le patrimoine souterrain de la ville de Pontoise. Chaque année plus aventure,... de deux mille personnes visitent ce site remarquable. Visite au public L'Office de Tourisme de Pontoise met en place un circuit de visite permettant de découvrir le patrimoine souterrain de la ville, chaque dimanche. Des guides conférenciers agréés par le Ministère de la Culture vous accompagnent au cours de cette visite. Il suffit de voir l'affluence que connaissent les sites souterrains lors des journées européennes du patrimoine pour constater l'intérêt du public pour ce patrimoine. Glénat ??? L'intrigue de la bande dessinée, “Les chemins de Malefosse 3”, La vallée de misère de Dermaut et Les anciennes carrières et les caves Bardet se déroule à Pontoise et plus particulière- voûtés de Pontoise constituent un ment dans les caves et carrières souterraines. décor apprécié des cinéastes. 7
Laissez-vous conter Pontoise,Ville Pontoise appartient au réseau Rédaction des textes et recherches d’art et d’histoire… national des Villes et Pays d’art et iconographiques : Stéphane Bureau. … en compagnie d’un guide confé- d’histoire depuis mars 2006. Cette plaquette est réalisée par le rencier agréé par le ministère de la Le ministère de la Culture et de la Service Tourisme et Patrimoine et Culture de de la Communication Communication, direction de le Service de la Ville de Pontoise. Le guide vous accueille. Il connaît l’Architecture et du Patrimoine, Nous remercions M. Jean-Luc Maire, toutes les facettes de Pontoise et vous attribue l’appellation Villes et Pays M. Fabrice Dassé et M. Bernard Liver- donne des clefs de lecture pour com- d’art et d’histoire aux collectivités naux pour leur aide et pour l'usage de prendre l’échelle d’une place, le déve- locales qui animent leur patrimoine. leurs photos. loppement de la ville au fil de ses Il garantit la compétence des guides- quartiers. Le guide est à votre écoute. conférenciers et des animateurs du N’hésitez pas à lui poser vos questions. patrimoine et la qualité de leurs actions. Des vestiges antiques à Le Service tourisme et patrimoine l’architecture du XXème siècle, les villes qui coordonne les initiatives de Pon- et pays mettent en scène le patrimoine toise, Ville d’art et d’histoire, a conçu dans sa diversité. ce programme de visites. Il se tient à Aujourd’hui, un réseau de 139 villes et votre disposition pour tout projet. pays vous offre son savoir-faire sur toute la France. Si vous êtes en groupe, Pontoise vous propose des visites toute A proximité, l’année sur réservation. Des brochures Meaux, Boulogne-Billancourt, Noisiel, conçues à votre attention peuvent vous Rambouillet, Etampes, Saint-Quentin être envoyées à votre demande. en Yvelines et Chantilly bénéficient de Renseignements à l'Office de Tourisme. l'appellation Villes et Pays d'art et d'histoire. Renseignements, réservations Crédits photographiques Office de tourisme Ville de Pontoise, tous clichés sauf 6, place du Petit-Martroy mentionnés ci dessous. 95 300 Pontoise Service Prévention des risques/ Tél : 01 30 38 24 45 Archéologie: p2/3: n°1. Fax : 01 30 73 54 84 Archives municipales de Pontoise : www.otpontoise.fr p2/3: n°2, n°6; p4/5 : n°8; p6/7 : n°1, 2, 6. Hôtel de Ville Musées de Pontoise: p4/5 : n°2. Service Patrimoine et Tourisme Bardet et Dermaut, Edition Glénat, 2, rue Victor Hugo Les Chemins de Malefosse, tome 3 : 95 300 Pontoise La vallée de misère. Avec le soutien de la direction Tél : 01 34 43 35 21 Jean-Luc Maire: p2/3: n°1. régionale des affaires culturelles www.ville-pontoise.fr Fabrice Dassé : p2/3: n°4; p4/5 : d'Île-de-France – Ministère de la n°6,7; p6/7 : n°4. culture et de la communication Service Prévention des risques / Bernard Livernaux : p4/5 : n°1,3, 4; Archéologie p6/7 : n°3. Tél : 01 34 41 54 28 Couverture : (c) Musée Tavet-Delacour, Clan Spéléo Pontoisien 21, place du Petit Martroy L. Lesage, Tél : 06 13 77 22 76 1904
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