LES ALLERGIES ALIMENTAIRES - Dr FARGEOT - ESPALIAT - 26 mars 2009
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LES ALLERGIES ALIMENTAIRES Dr FARGEOT – ESPALIAT Allergies alimentaires - Les allergies alimentaires – Anaphylaxie – Allergies particulières et conseils – Allergie à l’œuf – Allergie à l’arachide – Allergie aux protéines du lait de vache – Allergie a la moutarde – Allergie aux poissons – Allergie au sésame – OGM – Additif – Allergies croisées
Introduction 1 • Définition L’allergie alimentaire (AA) comprend l’ensemble des manifestations cliniques liées à une réponse immunologique dirigée contre un allergène alimentaire. Elle est le plus souvent dépendante des IgE mais d’autres mécanismes immunitaires sont possibles comme l’allergie aux protéines du lait de vache ou la maladie coeliaque. • Différencier de l’intolérance alimentaire Effets néfastes des aliments Réaction non toxique Réaction toxique Allergie alimentaire Intolérance alimentaire Non IgE médiée Enzymatique IgE médiée Pharmacologique
Introduction 2 • Fréquences – Enfants > adultes – Augmentation : doublé en 5 ans avec réaction de plus en plus grave Enfants et adultes Grande Bretagne 1994 1,4-1,8% Pays Bas 1994 0,8-2,4% Frances 1998 2,1-3,8% Enfants USA 1997 4-8,5%
Introduction 3 • Sensibilisation – Barrière placentaire – Allaitement – Diversification alimentaire précoce • Allergènes – Nombres en augmentation – Evolution des habitudes alimentaires : diversification des AA – Fréquence qui varie selon l’age, les habitudes alimentaires et culturelles Allergènes les plus fréquents 1 • Nourrisson de moins de 6 mois : PLV • Après 6 mois : – Œuf (31%) – Arachide (18%) 70-80 % AA – Lait (12%) – Soja/ lentille/ petit pois (3%) – Noisette (3%)
Allergènes les plus fréquents 2 • Adolescent – Préférentiellement sensibilisé aux allergènes végétaux – Dupracés (pommes, pêche, poire, abricot…) – Ombellifères ( Céleri, carotte, fenouil…) – Crustacés, œuf, poisson. – Banane , kiwi, avocat, châtaigne (latex) 70 arachide 0-1 an % 35 1-3 ans moutarde 3-6 ans 6-15 ans 0 œuf lait de poisson vache D’après Rancé et Al, 1999
Signes cliniques 1 • Dermatite atopique (38%) • Urticaires et angio oedème (18%) • Digestif : diarrhée, vomissement, douleurs abdo (10 à 20%) • Asthme, oedème laryngé (12 %) • Rhinite et rhino-conjonctivite 80 60 0-1an 1-3 ans % 40 3-6 ans 20 6-15 ans 0 DA U,O asthme CA S dig S oral D’après Rancé et Al, 1999
Signes cliniques 2 • Choc anaphylactique – Rare avant 6 ans – Cas mortel surtout chez des asthmatiques – AA connu au préalable qu’1 fois sur 4 • 1/3 : allergène masqué • 1/3 : récidive – 5 % des tableau cliniques • Syndrome oral de Lessof – Prurit vélo-palatin – Oedème de la luette, lingual et pharyngé – Lors du contact avec les aliments Démarche diagnostique • Interrogatoire • Examen clinique • Journal alimentaire • Examens complémentaires : – Test cutané – Patch test – Biologie – Test de provocation
Interrogatoire • Histoire clinique convaincante • Antécédents d’atopie personnels et familiaux • Délai de survenue des manifestations • Analyse des signes • Recherche de l’aliment en cause • Facteurs favorisants Examen clinique • Souvent pauvre au moment de la consultation • Dermatite atopique : SCORAD
Tests cutanés 1 • Rapides et très sensibles • Triade de Lewis (dégranulation des mastocytes) • > 18 mois : trophallergènes les plus courants + aéro allergènes • < 18 mois : 6 allergènes les plus fréquents
Tests cutanés 2 • Techniques : prick-test – Arrêt des traitements antiH2 – Extrait du commerce ou formes natives – Face interne avant bras, espacé de 3 cm – Témoin positif et négatif – Lecture à 15 mn • Interprétation – Induration > 3mm ou > 50% du témoin positif
Tests cutanés 3 • Valeurs prédictives des prick tests – Si positifs : témoin d’une sensibilisation mais VPP médiocre (35%) – Ne correspond donc qu’à une authentique AA que dans 1/3 des cas – VVN par contre de 99,5% Patch tests • Utiles surtout dans la dermatite atopique • Après arrêt antiH2 et corticoïde • Cupule placée en occlusion en zone exempte d’eczéma • Lecture 48 à 72H après
Biologie • Taux d’IgE spécifique • CAP system pharmacia : Sampson JACI 1997 VPP à 95% à – 6 kU/L pour l’œuf – 32 kU/L pour le lait – 15 kU/L pour l’arachide – 20 kU/L pour le poisson • Taux ne permettant pas de prédire la sévérité des manifestations cliniques
Test de provocation : labial • Souvent positif < 3 ans • Contact : aliment – muqueuse labiale • 5 stades • N’entraîne pas de réaction systémique sérieuse • Faible sensibilité impose un TPO pour un stade < 3 Test de provocation : orale 1 • Etalon-or du diagnostic • Après accord parental • Ingestion en quantité croissante et à intervalle régulier de l’aliment en cause • Recherche des manifestations cliniques • Matériel d’urgence à proximité
TPO 2 • Indications : – pour confirmer le rapport de cause à effet – Pour suivre l’évolution naturelle de l’allergie et déterminer l’importance de la sensibilisation – Prévoir une allergie alimentaire à laquelle l’enfant est sensibilisé mais qu’il n’a pas encore ingéré • Contre-indications : – Gravité des symptômes (choc anaphylactique) – Mauvais état général
Diagnostics différentiels • Déficit en lactase • Infections ( virales, bactériennes parasitaire) • Causes pharmacologiques (histamine, tyramine) • Causes anatomiques (sténose du pylore) • Causes métaboliques (galactosémie) • Causes neurologiques (rhinite vaso motrice des épices) • Syndrome de Münchhausen • Causes psychologiques Mesures à prendre : à la maison • Eviter de provoquer des accidents par contamination • Ne pas utiliser d’ustensile ayant servi à manipuler les œufs, du poisson, des huiles végétales • Ne pas introduire à un bébé allergique aux PLV de lait hypoallergénique : hydrolysat partiel • Ne pas lui donner d’aliment du commerce pouvant contenir des traces de produits laitiers (lactose, margarine…)
Mesures à prendre : à la crèche Informations détaillées sur l’état allergique de l’enfant et les mesures de précaution prises auparavant par les parents à la maison seront fournies aux pédiatres et aux puéricultrices de la crèche. Mesures à prendre : à l’école • Disposition de la circulaire 99-181 du 10 novembre 1999 : « accueil des enfants et des adolescents atteints de troubles de la santé » • Etablissement d’un PAI • L’enfant peut – Prendre ses médicaments à l’école (PO, injectables ou inhalées) – Apporter à la cantine un panier repas – Porter une carte d’allergique
Conseils utiles chez l’enfant atopique 1 • Encourager l’allaitement maternel le plus longtemps possible • Pas de diversification avant 4 mois (voir 6 ) • 1 seul légume à la fois prudemment (sauf petit pois) • Eviter les mélanges • Lire attentivement les listes d’ingrédient (moutarde, arachide…) Conseils utiles chez l’enfant atopique 2 Pour les fruits : • Commencer par 1 seul fruit – Poire – Pomme – Abricot • Supprimer les fruits exotiques – Kiwi, mangue, papaye, fruit de la passion • Eviter la banane
Conseils utiles chez l’enfant atopique 3 Les protéines animales : • Œufs, poissons ne seront pas introduits avant l’age de 1 an Les matières grasses : • Ne pas utiliser d’huile d’arachide • Pas de margarines contenant la mention « graisse végétale non précisé » ANAPHYLAXIE
Caractéristiques • Manifestation les plus graves de l’allergie s’exprimant par des symptômes touchant plusieurs organes cibles quelques minutes après l’exposition aux allergènes: – Prurit - Conjonctivite – Urticaire - Rhinite – Angio-oedéme - Palpitation – Asthme – Nausée, vomissement, douleur abdo – Malaise - Collapsus – Perte de connaissance Effets des médiateurs issus des mastocytes Effet physiologique Expression clinique Danger Vasodilatation Urticaire capillaire Angio-oedème Oedème laryngé Asphyxie hypotention Choc Oedème de la Oedème du larynx Asphyxie muqueuse Rhinite asthme Arrêt respiratoire Contraction musculaire Asthme Arrêt respiratoire Douleur abdo
Etiologies les plus fréquentes d’anaphylaxie • Aliments • Piqûres de guêpes et d’abeilles • Médicaments • Latex Aliments le plus souvent responsables d’anaphylaxie • Arachide • Noisette • Poisson • Crustacés • Œuf • Lait de vache • Sésame • Légumineuse (autre que l’arachide) • Epices et condiment
Substances responsables d’anaphylaxie ou de réactions anaphylactiques • Antibiotiques • Anesthésiques intra-veineux • Aspirine et anti-inflammatoires non stéroïdiens • Produits de contraste intra-veineux • Latex Choc anaphylactique sévère • SAMU • Traitement initial – Arrêt de l’administration de l’agent présumé responsable – Assurer la liberté des voies aériennes et ventiler en O2 – Jambes surélevées – ADRENALINE IV de 0,1 en 0,1 mg sous surveillance ECG ( enfant : 0,01 mg/kg) – Remplissage vasculaire – Si bronchospasme non amélioré par ADRE : nébulisation de salbutamol
Choc anaphylactique sévère • Traitement secondaire : – Corticoïdes : Solumédrol 1 à 3 mg/Kg IV – Dopamine si insuffisance circulatoire persiste • Surveillance : pendant au moins 12h car risque de récidive – Hémodynamique, diurèse – Coagulation… En cas de manifestations modérées • Ex : prurit, urticaire, douleur abdo : administrer immédiatement: – Polaramine IVL (1/2 à 1 amp) – Solumédrol IVL (1à3 mg/Kg) • En cas de réactions systémiques : malaise, angio-oedème: – ADRENALINE (sans danger pour l’enfant) • Traitement du choc = ADRENALINE
Différentes présentations de l’Adrénaline • Adrénaline Aguettant : 0,25mg/ml • Adrénaline Aguettant : 0,5 mg/ml • Anahelp : 1mg/ml (seringue auto injectable, piston à 4 position) • Anakit • Anapen (ATU) stilo auto injectable Action de l’Adrénaline • Effet α adrénergique : vaso constriction • périphérique et augmentation du retour sanguin vers les cavités cardiaques • Effet β-1 : action inotrope et chronotrope positives • Effet β-2 : bronchodilatation • Diminution de la dégranulation des basophiles et des mastocytes
Utilisation de l’adrénaline • Chacun est une victime en puissance de l’anaphylaxie • La prévalence et la fréquence de l’anaphylaxie sont bien plus importantes que l’on ne le pense • Meilleurs éducation : essentiel pour prévenir la plupart des issues fatales • L’Adrénaline doit être plus largement disponible sur les lieux d’urgence Utilisation de l’adrénaline • Interrogation du patient sur toutes réactions antérieures • L’Adrénaline du patient doit être administrée par toute personne quand il existe une situation d’urgence • La reconnaissance et le traitement de l’anaphylaxie devraient faire partie des programmes de qualification et de réanimation cardio-pulmonaire et de tous les programmes de formation du personnel paramédical • L’Adrénaline devrait faire partie de toutes les trousses de secours (école, restaurant, établissement publique…)
L’ ALLERGIE A L ’ OEUF • Allergie alimentaire la plus fréquente avant l’age de trois ans • Pour le CICBAA : 35,7% des observations des allergies alimentaires chez l’enfant • Blanc d’œuf plus allergisant que le jaune – Blanc d’œuf : • Ovomucoide (Gal d 1) • Ovalbumine : (Gal d 2) • Ovotransférine (Conalbumine) : (Gal d 3) • Lysozyme : (Gal d 4) – Jaune d’œuf: • Globulines • Livétines
Précaution à prendre : éviction • Entrée avec mayonnaise, mimosa, polonaise • Salades composées • Charcuterie, boudin, terrine • Mousse de légume • Farce • Surimi • Gnocchies • Pate aux œufs • Beignets • Pate feuilletée • Biscotte, pain de mie • Pomme de terre Duchesse, gaufrette • Patisserie, glace entremet, confiserie Précaution à prendre : éviction • Vie courante : certains shampooings contiennent des protéines d’oeuf • Médicament : – vaccins anti-viraux – Lyso 6, lysopaine, Hexalyse, Rhinobébé (Lysozyme) • Attention : – des vins peuvent être clarifiés par des protéines d’œuf – Des fromages à pâte cuite – Lysozyme : additif E 1105 non encore soumis a l’étiquetage
L’ ALLERGIE A L ’ ARACHIDE Quelques généralités • Doublé ces 10 dernières années • Prévalence : 0,4 à 1,3% de la population générale • 2ème AA après l’œuf chez l’enfant, en 1er position après 3 ans • Légumineuse • Cause la plus fréquente d’anaphylaxie voire de décès par AA • Huile d’arachide : quantité d’allergène plus importante si huile non raffinée
Sensibilisation précoce • In utero • Allaitement • Application de crème, lotion à base d’huile d’amande douce Evolution • Classiquement considérée comme le prototype de l’allergie fixée (# Hourihane et al.) • Eviction très difficile : 9 % des patients auraient pu éviter l’arachide au cours des 5 derniéres années
Eviction • Lire les étiquettes • Attention aux cacahuètes reconstituées sous forme de noisette, d’amande… • Restaurant surtout : fast food • Contact avec ustensiles ayant servi à préparer l’arachide Eviction • Aliments : – Cacahuète : graine, huile, beurre – Mélange apéritif – Confiserie, biscuit, plat préparé aux « huiles végétales » – Décors de glace, gâteau – Amandes, frangipane, nougat, pralins – Fruits secs – Appâts de pèche, oiseau – Soupe, sauce • Médicament : – Stérogyl, allopurinol – Shampooing à base d’huile d’amande douce…
ALLERGIE AUX PROTEINES DU LAIT DE VACHE Généralités • La mieux connue, 4ème AA chez l’enfant • Incidence : 0,1 à 7,5% • Allergie PLV # intolérance • Allergènes : – Caseines – Proteines du lactosérum : • β lactoglobuline • α lactalbumine • Signe clinique surtout digestif (MSIN) • Réaction croisée avec le soja
Principales caractéristiques allergie / intolérance PLV allergie intolérance Signes Cut, respi, dig, Idem mais dig systémique prédominant Délai Immédiat et retardé Retardé+++ Exploration : TC Positif en général Négatif IgE spé positif le plus souvent Négatif TPO Positif Positif TPI positif Positif Evolution : persistance 20/30% 10% Autre AL AL 35% Rare Sensibilisation 40% Rare aéro allergéne Eviction • Lait, LA1 age, LHA, croissance, LAR, préma, soja • Dessert lacté • Veau, bœuf • Patisserie du commerce, glace, pain de mie, biscotte • Poudre chocolatée : banania, nesquick… • Beurre, margarine, mayonnaise • Purée, béchamel, gratin, • Chewing-gum • Médicament : baume 1er dent, oracilline, lactéol…
Allergie aux HPLV • Rare 1 à 10% selon les études • Formes réaginiques + décrite / formes entéropatiques chroniques • Tolérance aux PLV retardé chez ces enfants • Certains sont intolérants aux hydrolysat de caséines, d’autre aux hydrolysat de protéine du lactosérum • Essayer l’un ou l’autre (aprés TC + TPO) avant : • Préparation à base d’acide aminée libre : NEOCATE® Préparation d’acide aminées libres
ALLERGIE A LA MOUTARDE Généralité • De plus en plus importante • Début précoce < 3 ans (consommation masquée) • Risque d’anaphylaxie • Encore peu connue
Eviction • 3 aspect : – Condiment : moutarde – Ingrédient : liant, releveur de gout – Masquée : sous la dénomination « épices » • Mayonnaise, ketchup, sauce crudité, courts- bouillon, potages deshydratés, plats cuisinés, biscuit apéritif • Attention aux petits pots : blédinat, blédichef…. • Fast food, Mc Donald’s (chausson aux pommes) ALLERGIE AUX POISSONS
• 5ème AA de l’enfant • Poisson # crustacé # mollusque • Eviction : poisson, surimi, sauce… LES NOUVEAUX ALLERGENES: EX: ALLERGIE AU SESAME
Qu’est-ce que le sésame • Graine entière ou pelé, huile de sésame • Pâte Halwah (sorte de pâte d’amande très utilisée en cuisine orientale) • Tourteaux : résidus solides obtenus lors du traitement des graines en vue de l’extraction de l’huile, destinés à l’alimentation des animaux. Généralité • Consommation croissante dans l’alimentation et les cosmétiques • Gravité des signes cliniques • 0,6% AA chez l’enfant en France (1993) • 15ème AA de l’enfant
Eviction : allergène masqué • Tout produit avec la mention : Sésame huile ou graine, huile végétales • Pâte Halwah • Pains, biscotte, pains grillés aux céréales, pain pour hamburger • Gâteau apéritif • Biscuit sec • Barre de céréales • Fruits secs • Glace (cône, enrobage type noisette) • Sauce tomate industrielle • Restaurant « exotique » fast food • Médicament : un alfa (huile de sésam) OGM et ALLERGIE • Risque fonction du gène transféré • Ex1 : soja transgènique • Ex2 : riz transgènique • Risque inconnu : néo allergène
ADDITIFS et ALLERGIE • Prévalence : 0,02 à 1,5 % • Plus fréquente chez l’enfant atopique, des urticaires chroniques, le patient asthmatique • Intolérance ou allergie? Classification • 1 - Colorants • 2 - Conservateurs antiseptiques (benzoate, nitrite, acide citrique, sorbates) - Conservateurs anti-oxydants (MBS, tocophérols, gallates, diphényls) • 3 - Agents de texture (gélifiants, épaississants, émulsifiants) • 4 - Arômes et édulcorants (glutamates, vanille, saccharine, aspartam) • 5 - Gélatines (gomme adragante, alginate) • 6 - Contaminants (toxines, amines biogènes)
ALLERGIES CROISEES • Parenté taxonomique • Ou sources d’allergènes très différentes • Correspondent à des manifestations cliniques d’allergie vis-à-vis d’allergènes différents, sans qu’il y ait eu une sensibilisation préalable à chacun de ces allergènes
Allergies croisées aliments- pneumallérgènes • Allergie alimentaire et pollinique – Allergie aux pollens de bouleau et aux fruits ou légumes – Allergie aux pollens de composées, au céleri et aux épices – Allergie aux pollens de graminées et à la tomate • Allergie alimentaire et autres pneumallergènes – Acariens-escargots-crevettes – Syndrome œuf-oiseau • Allergies croisées aliments-latex • Allergies croisées aliments-aliments : – Fruits ou légumes d’une même famille – Caséines laits de vache, de chèvre, de jument, d’ânesse
Allergies croisées et conséquences pratiques • L’allergie alimentaire renforce la suspicion d’une allergie à un pneumallergène • L’allergie aux pneumallergènes facilite le diagnostic d’une allergie alimentaire • L’allergie alimentaire permet de prévenir un accident lié aux latex
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