Long-Term Follow-up and Predictors of Complicated DiseaseBehavior in Pediatric Crohn's Disease Patients

 
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Long-Term Follow-up and Predictors of Complicated DiseaseBehavior in Pediatric Crohn's Disease Patients
Original Articles: Gastroenterology: Inflammatory Bowel Disease

Long-Term Follow-up and Predictors
of Complicated DiseaseBehavior in
Pediatric Crohn's Disease Patients
Kori, Michal; Avidan, Maya; Topf-Olivestone, Chani
Author Information
Department of Pediatrics
Pediatric Gastroenterology, Kaplan Medical Center, Rehovot
Faculty of Medicine, Hebrew University of Jerusalem, Israel.
Address correspondence and reprint requests to Michal Kori, MD, Pediatric Gastroenterology,
Kaplan Medical Center, PO Box 1, Rehovot 76100, Israel
(email:Korifamily@yahoo.com,michal_k@clalit.org.il).
Received 30 July, 2021
Accepted 9 November, 2021

Journal of Pediatric Gastroenterology and Nutrition:
April 2022 - Volume 74 - Issue 4 - p 471-475
doi: 10.1097/MPG.0000000000003374

Abstract
Objective:

Identifying predictors of inflammatory bowel disease (IBD) outcome in order to optimize
individual patient management in has become an important goal. We aimed to describe
the long-term outcome of pediatric Crohn disease (CD) patients and identify risk factors
for complicated behavior.

Methods:

Pediatric CD patients diagnosed between 1998 and 2014, with long-term follow-up were
included. Baseline data; age, gender, weight/height/BMI percentiles, and family history
of IBD. Disease characteristics (Paris classification), laboratory testing, imaging and
treatment were documented. Outcome data; evidence of stricturing or penetrating
disease, hospitalizations, surgical intervention, malignancies, and mortality.

Results:

Of 93 patients included, mean age at diagnosis 13.5 (±3.2), 51 (55%) male, median
follow-up 10.3 years (±4 SD(. Disease location at diagnosis: 29 (31.2%) distal ileum, 17
(18.3%) colonic, 40 (43.0%) ileo-colonic. Seven (7.5%) had upper gastrointestinal and
36 (38.7%) perianal involvement. Behavior at diagnosis, 68 (73.1%) inflammatory (B1),
and 25 (26.9%) complicated [(B2 (stricturing) and/or B3 (penetrating)]. Twenty (23.2%)
of B1 evolved to B2 and/or B3, thus by the end of follow-up 45 (48.4%) had complicated
behavior. Sixty-seven (72%) were hospitalized, 20 (21.5%) underwent surgery, two
developed malignancy with no mortalities. In a logistic regression model, growth delay
(hazard ratio [HR], 5.02 [1.10–22.85], P = 0.037) and low albumin levels (HR, 3.97
[1.32–11.97], P = 0.014) at diagnosis were predictors of complicated disease in
adulthood.

Conclusions:

Over a quarter of pediatric Crohn disease patients present with complicated behavior.
During follow-up another quarter progress to complicated disease behavior. Delayed
growth and low albumin at diagnosis predict progression.
Revue systématique: Efficacité clinique des interventions dans le traitement du reflux gastro-œsophagien
                                                          nocturne

         • Les symptômes nocturnes de reflux gastro-œsophagien, tels que les brûlures d'estomac et/ou les régurgitations,
           sont susceptibles de nuire considérablement à la qualité du sommeil et sont associés à des phénotypes de reflux
           plus graves

         • Les patients présentant des symptômes de reflux nocturne signalent souvent des difficultés à s'endormir, un
           sommeil fragmenté et/ou des réveils au milieu de la nuit

         • Les symptômes du reflux gastro-œsophagien se manifestent la nuit chez près de 80 % des patients, ce qui perturbe
           leur activité diurne, professionnelle et sociale et influe de façon défavorable sur la qualité de vie liée à la santé

         • Les épisodes de reflux sont moins fréquents pendant le sommeil qu'à l'état de veille, mais les épisodes de reflux
           nocturnes sont souvent prolongés, ce qui augmente la durée pendant laquelle l'acide oesophagien entre en contact
           avec l'œsophage et provoque des lésions muqueuses plus importantes

         • En effet, le reflux gastrique nocturne a été associé à des complications œsophagiennes telles que l'œsophagite par
           reflux, la sténose peptique, l'œsophage de Barrett et l'adénocarcinome. Le reflux nocturne peut entraîner plusieurs
           événements extra-œsophagiens liés au RGO, notamment l'asthme, les érosions dentaires et la toux chronique

Schuitenmaker JM, et al. Neurogastroenterol Motil. 2022; e14385.
Interventions pour le reflux nocturne

                                                                    Recommandé                                        Données                      Non
                                                                                                                      probantes                recommandé
                                                                                                                      insuffisantes

                                                         IPP
                                                                                     Chirurgie anti-reflux
                                                       Médicaments
                                                                                     (uniquement pour les
                                                        antiacides
                                                                                     maladies graves)

                                Élévation de la                    Prolongation de la        Décubitus latéral                       Ajout d'un ARH2 au
                                tête du lit                        durée entre le dîner et   gauche                                        coucher
                                                                   le coucher

         Recommandations pour le traitement du reflux gastro-œsophagien nocturne. ARH2, antagonistes des récepteurs H2 ; nCPAP, pression nasale continue des voies aériennes ; IPP,
                                                                           inhibiteur de la pompe à protons.
Schuitenmaker JM, et al. Neurogastroenterol Motil. 2022; e14385.
Revue systématique: Efficacité clinique des interventions dans le traitement du reflux gastro-œsophagien
                                                   nocturne: Conclusion
 •      Une stratégie de traitement séquentielle, comprenant l'élévation de la tête du lit, une durée plus longue entre le dîner et
        le coucher, le recours à la position de décubitus latéral gauche et un traitement par des médicaments antiacides est
        recommandée pour les symptômes de reflux gastro-œsophagien nocturne

 • Les essais cliniques contrôlés par placebo portant sur les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) (n = 11) montrent des
   taux de réussite allant de 34,4 % à 80,8 % dans le groupe IPP contre 10,4 % à 51,7 % dans le groupe placebo

 •      Traitement par ésoméprazole:
         • Le traitement par ésoméprazole 40 mg, 20 mg ou placebo pendant 4 semaines a entraîné une disparition complète
             des brûlures d'estomac nocturnes chez 53,1 %, 50,5 % et 12,7 % des patients, respectivement
         • Les résultats d'une étude de suivi menée auprès de 262 patients présentant un RGO symptomatique et/ou
             endoscopique révèlent un traitement par 20 mg d'ésoméprazole entraînant un soulagement des brûlures d'estomac
             chez 34,3 % des patients, par rapport à 10,4 % dans le groupe placebo
         • Les deux études montrent une réduction des troubles du sommeil liés au reflux et une amélioration de la qualité du
             sommeil et de la productivité au travail

 •      La fundoplicature laparoscopique est uniquement prévue pour les maladies graves

 •      Il n'existe actuellement pas de preuves suffisantes pour l'utilisation de la nCPAP, des hypnotiques, du baclofène et de
        l'ajout d'antagonistes des récepteurs H2 au coucher

Schuitenmaker JM, et al. Neurogastroenterol Motil. 2022; e14385.
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