Peugeot rebaptise le Partner " Rifter "

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Mercredi 21 Février 2018

Peugeot rebaptise le Partner « Rifter »
Le nouveau combispace de Peugeot abandonne l’appellation Partner pour adopter celle de
Rifter. Comme ses cousins Citroën Berlingo et Opel Combo Life, le modèle reposera sur la
plateforme EMP2 du Groupe PSA et sera proposé avec deux longueurs : 4,40 ou 4,75
mètres. Dans les deux cas, il pourra accueillir 5 ou 7 passagers. A bord, il bénéficiera par
ailleurs du i-Cockpit (volant compact, écran tactile 8 pouces, combiné tête haute...) qui équipe
déjà le 3008.

Le Rifter se distinguera également par sa lunette arrière ouvrante, ainsi que par sa finition
GT Line avec le contour de calandre, les coques de rétroviseurs ou encore les barres de toit
noirs. Sans oublier les monogrammes GT Line sur les ailes avant et sur le hayon, ainsi que
les jantes en alliage de 17 pouces. Côté équipements, on remarquera notamment le
régulateur de vitesse adaptatif, la reconnaissance des panneaux, la surveillance d'angle
mort, l'accès et le démarrage mains-libres.

Sous le capot, le nouveau Rifter reevra au choix le moteur à essence 1.2 PureTech (110 ch
ou 130 ch) ou le bloc diesel 1.5 BlueHDi (75 ch, 100 ch ou 130 ch). La boîte automatique
EAT8 sera uniquement proposée sur les deux organes de 130 ch. A noter qu'une version à
4 roues motrices sera intégrée à la gamme en option.

Le Peugeot Rifter fera son entrée officielle au Salon automobile de Genève (8 au 18 mars),
avant une commercialisation au mois de septembre prochain. Il sera assemblé dans les
usines de Vigo (Espagne) et Mangualde (Portugal). (AUTOPLUS.FR 21/2/18)

Renault dévoile la R.S.18 pour la saison 2018 de F1

La Renault R.S.18, la monoplace du constructeur français pour la saison 2018 de F1, vient
d’être présentée. Les couleurs du modèle évoluent encore : le noir recouvre presque toute
la monoplace cette année et le jaune n'est plus présent que sur le nez, ainsi que sous la
forme de lignes. Renault a aussi placé le drapeau tricolore sur le nez de la monoplace. Le
halo, la nouvelle protection de la tête du pilote, est en noir, avec le logo de Renault Sport.
Renault va disputer la troisième saison depuis son retour en Formule 1.

L'équipe, neuvième en 2016 et sixième l'an dernier, veut poursuivre sa marche en avant. En
2017, elle visait la cinquième place du championnat, un objectif qui n'a pas été atteint. Cette
année, Renault n'annonce qu'un objectif, celui de progresser. « Notre principal objectif est
de poursuivre notre progression sur le plan des résultats », indique Cyril Abiteboul, directeur
général de Renault Sport Racing.

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« Nous voulons pouvoir démontrer nos progrès à tous les niveaux : groupe propulseur,
châssis, structure opérationnelle, pilotes. Tout doit s'améliorer et nous devons continuer de
grandir. Nous souhaitons le démontrer de différentes manières : par rapport à nos
concurrents directs, à l'écart nous séparant des leaders, sans oublier nos fans et le respect
que notre équipe inspirera avec son comportement en piste et en dehors », ajoute-t-il.

Nico Hülkenberg, arrivé il y a un an, et Carlos Sainz, venu de Toro Rosso en cours de saison,
à la place de Jolyon Palmer, seront encore les titulaires de Renault cette année. Jack Aitken
a été nommé pilote de réserve. (AUTOPLUS.FR 20/2/18)

L’Atelier Renault propose des ateliers créatifs pour les enfants
Jusqu’au 23 février et du 26 février au 2 mars, l’Atelier Renault des Champs-Elysées propose
des animations ludiques aux enfants à partir de 4 ans (de 14h à 16h). La structure propose
également aux 8-12 ans une initiation au code informatique pour programmer les logiciels
des voitures (de 16h à 18h). (PARISIEN 21/2/18)

Nissan offre une assurance pour l’achat d’une Leaf durant la Semaine de
l’électrique
Durant la Semaine de l'électrique, organisée du 19 au 24 février, Nissan propose aux
acheteurs de la Leaf de se voir offrir le montant de leur cotisation d’assurance durant la
première année d'utilisation du véhicule. L'opération a été montée avec le concours de la
Maif.

Concrètement, après l'achat de la berline compacte électrique, le client particulier contacte
la compagnie d'assurance pour souscrire « gratuitement » un contrat à l'offre collaborative,
Altima. Dès la deuxième année, la Maif s'engage, en plus, à octroyer une remise de 10 %
aux acheteurs qui retiennent l'option d'aide à la conduite, ProPilot, dans le catalogue de
Nissan, et à rembourser une partie de la prime (jusqu'à 30 % HT) si le conducteur a moins
de sinistres que prévu.

La Maif rejoint à cette occasion le réseau de partenaires de Nissan qui, pour encourager
l'essor des véhicules électriques, a tissé des liens avec des références métier. En plus de
l'installation de 350 bornes ChaDeMo en France, Nissan a scellé des accords avec Hertz
pour la location de véhicules à moteur thermique et avec SNCF Auto/Train pour les longs
déplacements dans l'Hexagone. (JOURNALAUTO.COM 20/2/18)

Trois entités de Maike Automotive vont être reprises

Le tribunal de commerce de Grenoble a validé le 20 février la reprise de trois entités de
l'équipementier automobile en difficulté Maike Automotive, ce qui entraînera la suppression
de plus de cent emplois. L'entreprise basée à Bonneville emploie un millier de personnes en
Haute-Savoie, département dont l'activité industrielle est traditionnellement dominée par le
décolletage (la fabrication de pièces métalliques complexes par usinage).

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Comme il n'y avait pas d'offre de reprise globale, le groupe ressort en morceaux de cette
procédure. Les filiales Frank&Pignard et Precialp sont reprises par un consortium formé par
Alpen Tech et Kartesis, deux spécialistes haut-savoyards du décolletage. Le consortium va
conserver 540 emplois, ce qui implique la suppression d'une quarantaine de postes,
essentiellement sur la première entité. EMT 74 et ses filiales chinoise et hongroise sont quant
à elles reprises par Léman Industries, autre entreprise régionale qui ne conservera en France
que 72 personnes sur 127.
Le tribunal n'a en revanche pas tranché pour la filiale Peugeot Japy, basée dans le Doubs,
et la procédure est toujours en cours.

Aucune offre n'avait été déposée pour la structure d'environ 25 salariés qui assurait des
fonctions transversales (ressources humaines, etc.) pour l'ensemble de l'entreprise. (AFP
20/2/18)

Création d’un campus pour véhicules autonomes
L’université Toulouse III-Paul Sabatier (UPS) veut devenir un territoire d’expérimentation
pour les véhicules autonomes et connectés. Plusieurs industriels implantés dans la ville rose
soutiennent l’initiative : Continental, Renault Software Lab, Actia et EasyMile.

L’idée a séduit le conseil régional d’Occitanie et le pôle de compétitivité Aerospace Valley.
Une première étude, confiée au cabinet de conseil Ecosys, doit permettre d’ici à début avril
d’établir la faisabilité du projet, son phasage, son plan de financement et sa gouvernance.

Baptisé Autocampus, le projet porte sur un territoire de 70 hectares, non contraint par les
obligations légales liées aux routes ouvertes, présentant un environnement de type urbain,
mais facilement maîtrisable.

« Les véhicules autonomes disposent déjà de sites d’expérimentation, mais il s’agit souvent
de terrains fermés à la circulation. Sur le campus toulousain, ils pourront être testés en
environnement réel, avec des flux de piétons et de véhicules », souligne Yves Dordet, chargé
du pilotage du projet chez Aerospace Valley. (USINE NOUVELLE 22/2/18)

L’essence poursuit sa percée dans les flottes en 2018

D’après les statiques de l’Observatoire du véhicule d’entreprise (OVE), les immatriculations
de véhicules légers auprès des administrations, des loueurs de longue durée et des sociétés
hors automobile ont augmenté de 9,4 % en janvier, avec une montée de l'essence qui se
poursuit.

Sur le premier mois de 2018, les ventes de véhicules légers aux entreprises ont atteint 63 327
unités, avec une croissance sur les deux segments. Du côté des véhicules particuliers, ce
sont 37 657 unités qui ont été écoulées, soit un bond de 14,7 %, tandis que les
commercialisations de VUL ont progressé de 2,4 %, à plus de 25 000 unités. Ainsi, le marché
des véhicules légers vendus aux entreprises a représenté en janvier 33,40 % du marché
global.

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L’OVE a continué d’observer une montée en puissance de l’essence dans les flottes, avec
une forte hausse de 62,6 % des immatriculations de VL, à 8 193 unités, soit une part de
marché de près de 13 %. Sur le segment des VP, la proportion de modèles diesel s’est établie
juste en dessous de 20 %, avec 7 465 unités. Il faut remonter à mai 2017 pour trouver une
part de marché de l’essence aussi élevée. Cette progression ne s’est pas faite au détriment
du diesel puisque les ventes aux entreprises ont progressé de 2,2 %, à 81 876 VL, soit une
part de marché encore largement majoritaire, à près de 82 %.

Les motorisations alternatives ont également continué de séduire les professionnels : le
volume de véhicules légers électriques a augmenté en janvier de 28,8 %, à 895 unités, soit
une pénétration de 1,36 %. Les VUL ont enregistré un doublement de leurs immatriculations
(à 506 unités), ce qui a permis de compenser la baisse sur le segment des VP (-13,1 %, à
353 unités). Enfin, les hybrides ont connu la plus forte progression le mois dernier (+ 67,2 %)
avec 2 314 VL et une part de marché de 3,65 %. (JOURNALAUTO.COM 20/2/18)

Vitesse limitée à 80 km/h : la Corrèze souhaite une dérogation
Le conseil départemental de la Corrèze rejette le passage à 80 km/h (prévu à compter du 1er
juillet) et a voté à l’unanimité une motion visant à demander une dérogation au Premier
ministre, afin « d’expérimenter » le maintien de la vitesse à 90 km/h sur un total de 975 km
de routes départementales.

Le département a même posté une vidéo sur Youtube dans laquelle il explique qu’il dépense
quatre millions d’euros par an, « soit 20 % du budget route à la surveillance, à la sécurité des
déplacements, aux aménagements et à la maintenance des équipements ». Grâce à cela,
les accidents corporels sont passés de 79 à 66 entre 2012 et 2017, et le nombre de tués de
13 à 9.

En comparaison de ces résultats positifs, Pascal Coste, président du département, estime
que « si l’on passe de 90 km/h à 80 km/h, il n’y aura pas ou peu de résultats en termes
d’accidentalité ». C’est donc pour cela que le département propose au premier ministre « le
droit à l’expérimentation d’une vitesse maximale autorisée dérogatoire à 90 km/h pour
certains tronçons ».

Reste à savoir si sa demande sera acceptée, le risque étant pour le gouvernement d’être
sollicité par la suite par de nombreux autres départements. (LARGUS.FR 20/2/18)

Le nombre de morts sur les routes a diminué de 7,8 % en janvier
Le nombre de morts sur les routes en métropole a légèrement baissé le mois dernier, avec
235 tués, soit 20 de moins qu’en janvier 2017, a annoncé la Sécurité routière le 20 février.
Le nombre de blessés a également diminué, indique l'Observatoire national interministériel
de la sécurité routière, avec 5 418 personnes blessées, soit 318 de moins (- 5,9 %) qu'en
janvier 2017.

Dans les Outre-mer (entrés dans les calculs seulement depuis 2017), la mortalité routière est
également en baisse, avec 16 tués, soit sept de moins qu'au même mois de l'année dernière.
(PARISIEN.FR 20/2/18)

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Les batteries électriques produites par l'UE seront « vertes », recyclables
et réutilisables

Les batteries électriques produites par l'Union européenne seront « vertes », recyclables et
réutilisables pour se distinguer de la concurrence, a expliqué le 20 février le vice-président
de la Commission européenne Maros Sefcovic, qui porte le projet d'une « Alliance
européenne des batteries ».

« Nous voulons quelque chose de différent par rapport à ce qui existe actuellement sur le
marché », a souligné le commissaire lors d'une rencontre avec des journalistes à Bruxelles.
La capitale belge accueillera le 23 février son premier « Forum industriel de l'énergie
propre », au cours duquel la Commission espère promouvoir son plan stratégique pour le
développement de batteries électriques.

La Commission table sur une explosion de la demande dans ce secteur, actuellement dominé
par l'Asie, non seulement pour l'industrie automobile, mais aussi l'électro-ménager et les
appareils connectés. Pour répondre à la demande d'ici à 2025 - un marché de 250 milliards
d'euros – M. Sefcovic estime que l'UE devra se doter de 10 à 20 « giga-entreprises », et
former 300 000 à 400 000 personnes pour cette production spécifique.

La Commission espère que l'industrie s'engagera sur les 20 priorités identifiées pour
développer le marché au sein de l'UE, avec au premier rang « la réduction de l'empreinte
carbone » tout au long de la chaîne de production et du cycle de vie du produit. L'industrie a
proposé de créer un label européen pour les batteries produites, a rapporté M. Sefcovic.

L'idée est aussi de définir des normes européennes, afin de « faire disparaître les écarts de
standardisation en matière de performance, de sécurité, de réutilisation et de recyclage ».
Bruxelles espère aussi voir les différents acteurs engagés travailler ensemble pour investir
et partager les coûts de recherche sur un design qui faciliterait une seconde vie.

Parmi les autres priorités pour développer l'industrie des batteries européennes : simplifier
l'obtention du feu vert et de permis pour l'exploitation minière des matières premières
nécessaires à la fabrication « sans mettre en danger la protection environnementale » ou
encore mettre en place les moyens de financement nécessaires à l'innovation et à la
formation de la main d'œuvre. (AFP 20/2/18)

Bruxelles sommé de légiférer sur les données des véhicules connectés
Le Cecra vient d'obtenir une victoire auprès du Parlement européen. La commission
Transport et Tourisme vient d'exiger de la Commission européenne qu'elle légifère, avant la
fin de cette année, afin que l'accès aux données et aux ressources des véhicules connectés
soit non discriminant, que cet accès puisse permettre une concurrence loyale et que toute la
filière aval de l'automobile puisse en bénéficier.

Cette information, essentielle pour tous les professionnels amenés à intervenir sur les
véhicules connectés, précise en effet que les tiers doivent avoir accès à des conditions de
concurrence équitables à ces données et aux offres de services intégrés dans ces
véhicules. « Avoir accès à la donnée ne sera pas suffisant pour pouvoir intervenir sur ces
véhicules. Actuellement, si rien n'est fait, les réparateurs devront demander l'autorisation aux

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constructeurs pour intervenir sur l'interface télématique du véhicule. Or, n'importe quel
réparateur, concessionnaire ou indépendant, doit pouvoir garder le lien avec les clients »,
explique un expert du dossier.

Cette proposition de règlement devra ensuite être appliquée dans les Etats membres et le
gouvernement qui élabore la loi d'orientation des mobilités a d'ores et déjà pris en compte ce
sujet. « Cette position du Parlement consacre de longs mois de travail avec nos
représentants à Bruxelles, en faveur d'un accès juste et équitable aux données utiles des
véhicules. Le CNPA [qui accompagne le Cecra dans son action] souhaite qu'une initiative
similaire soit prise au niveau national, pour garantir un cadre législatif favorable à la
concurrence dans la filière.

Nous travaillons quotidiennement avec le ministère des Transports sur la loi d'orientation des
mobilités, qui concernera notamment ce sujet », souligne Francis Bartholomé, président
national du CNPA. (JOURNALAUTO.COM 20/2/18)

General Motors aurait proposé de convertir la dette de sa filiale coréenne

General Motors aurait proposé de convertir la dette de quelque 2,2 milliards de dollars (1,78
milliard d'euros) de sa filiale sud-coréenne en actions en contrepartie du soutien financier de
Séoul.

En échange de cette restructuration de la dette de GM Korea, le constructeur américain veut
obtenir un soutien financier, ainsi que des avantages fiscaux.

Cette proposition intervient quelques jours après l’annonce de General Motors de la
fermeture de son usine coréenne de Gunsan d’ici au mois de mai.

Le groupe a également déclaré qu’il se prononcerait sur l’avenir de ses trois autres usines
coréennes dans les semaines à venir.

Le groupe américain prévoirait par ailleurs de produire 2 nouveaux modèles en Corée du
Sud. Selon des sources, ce projet aurait été annoncé par Barry Engle, un directeur de
General Motors International. Celui-ci n’aurait pas précisé si la production de ces 2 nouveaux
modèles dépendrait des aides accordées par le gouvernement coréen. (AUTOMOTIVE
NEWS EUROPE 20/2/18)

La Corée du Sud a signé un traité de libre-échange avec 5 pays
d’Amérique centrale

La Corée du Sud a signé un traité de libre-échange avec 5 pays d’Amérique centrale, à savoir
le Costa Rica, le Salvador, le Honduras, le Nicaragua et le Panama.

Le pays asiatique garantit ainsi son accès au continent américain, en pleine période de
tensions commerciales avec l’administration Trump. En effet, le gouvernement américain a
demandé à ce que l’accord de libre-échange entre Etats-Unis et Corée du Sud soit renégocié.

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Ce nouvel accord a été signé après 32 mois de négociations entre la Corée du Sud, ces 5
pays d’Amérique centrale et le Guatemala, qui a de son côté choisi de ne pas s’y associer.

L’accord entrera en vigueur dès qu’il sera ratifié par les 6 pays signataires. La Corée du Sud
prévoit notamment d’obtenir la ratification auprès de son Assemblée Nationale dans le
courant du premier semestre.

La Corée du Sud est particulièrement dépendante du commerce international et le nouvel
accord signé avec ces 5 pays d’Amérique centrale devrait lui permettre de faciliter ses
exportations, notamment d’automobiles.

Entre autres, l’accord prévoit l’abaissement, voire l’annulation totale, des taxes douanières à
l’importation de produits issus de ces pays d’Amérique centrale, actuellement fixées à 95 %.

L’an dernier, le pays asiatique a enregistré un excédent commercial cumulé de 1,9 milliard
de dollars avec le Costa Rica, le Salvador, le Honduras, le Nicaragua et le Panama. (AFP,
KOREA HERALD 21/2/18)

Les émissions de dioxyde d’azote ont dépassé le plafond légal dans 35
villes allemandes

Selon l’institut de recherche automobile CAR, les émissions de dioxyde d’azote ont dépassé
le plafond légal (40 µg/m3) dans 35 villes allemandes au cours des 6 premières semaines de
l’année 2018, et ce alors même que les conditions météorologiques permettaient de réduire
l’impact du NO2.

Selon Ferdinand Dudenhöffer, président de l’institut CAR, ces taux montrent qu’une remise
aux normes des diesel déjà en circulation est nécessaire, et qu’elle ne peut pas se limiter à
une simple mise à jour logicielle.

M. Dudenhöffer appelle donc à des réparations mécaniques pour rendre les diesel en
circulation plus respectueux de l’environnement. (AUTOMOBILWOCHE 20/2/18)

Ford réorganise son activité en Chine

Après la démission inattendue de son président, Jason Luo, seulement 5 mois après sa prise
de fonction, Ford China réorganise son activité en Chine.

Ainsi, des salariés étrangers embauchés par le constructeur pour développer son activité
dans le pays ont été renvoyés dans leur pays d’origine, tandis que des salariés chinois,
parlant le mandarin et disposant d’une meilleure connaissance de la culture locale, ont été
embauchés.

De plus, Ford China a commencé à rencontrer des candidats pour le poste de président. Une
embauche est prévue en juin. Peter Fleet, président de Ford Asie Pacifique, occupe le poste
de président de Ford en Chine dans l’intérim.

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Ford a concédé que cette réorganisation préfigurait une année compliquée en Chine, mais
une amélioration devrait être notable dès le second semestre.

En janvier, les ventes de Ford en Chine ont chuté de 18 %, à 75 990 unités. (AUTOMOTIVE
NEWS CHINA 20/2/18)

M. Quandt et Mme Platten héritent de la participation de leur mère dans
BMW

Stefan Quandt et Suzanne Platten, les enfants de l’héritière allemand Johanna Quandt, ont
chacun hérité de la moitié de leur participation de leur mère dans BMW.

De ce fait, M. Quandt dispose désormais d’une minorité de blocage ; il détient en effet 25,83
% des droits de vote.

La participation de Suzanne Platten a été portée à 20,94 % des droits de vote.

Les deux héritiers disposent donc ensemble de 46,8 % des droits de vote dans le groupe
BMW.

Un porte-parole de la famille a fait savoir que ni M. Quandt ni Mme Platten n’avait l’intention
de se séparer d’une partie de ses titres. (AUTOMOBILWOCHE, HANDELSBLATT, SPIEGEL
20/2/18)

Volkswagen ne pourra pas suspendre plusieurs procès aux Etats-Unis

Le juge de Virginie Bruce White a débouté Volkswagen de sa demande d’une suspension de
plusieurs procès aux Etats-Unis liés au scandale des moteurs truqués.

Volkswagen avait fait cette demande suite à des commentaires d’un avocat représentant des
propriétaires de voitures du constructeur allemand, faisant référence à Adolf Hitler et à
l’Holocauste.

Jugeant que ces commentaires envinimaient la situation, Volkswagen espérait suspendre les
procédures jusqu’à un retour au calme.

L’avocat qui avait fait ces déclarations avait été entendu dans un documentaire réalisé par
la plateforme de diffusion Netflix. Ce documentaire avait révélé que Volkswagen était à
l’origine d’expérimentations sur des singes aux Etats-Unis. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE,
HANDELSBLATT 20/2/18)

Volkswagen dévoilera le concept Vizzion à Genève

Le constructeur allemand Volkswagen dévoilera un concept baptisé Vizzion au Salon de
Genève, à compter du 6 mars.

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Ce concept préfigurera le design d’une possible berline électrique appelée à concurrencer la
Tesla Model S.

De plus, la Vizzion ne dispose ni de volant ni d’instruments de bord visibles, préfigurant donc
également le design intérieur des futurs modèles autonomes du constructeur.

Dans un communiqué, Volkswagen a déclaré que la Vizzion « démontrait la direction que la
marque prenait en termes de technologie et de design pour ses futurs modèles électriques ».

La Vizzion sera également utilisée pour tester l’acceptation par les consommateurs –
principalement Chinois et Américains - de son design (tout en longueur, contrairement aux
véhicules électrifiés plutôt compacts du constructeur jusqu’à présent).

Initialement, lors de la phase de conception de la Vizzion, Volkswagen envisageait un
successeur exclusivement électrique à la berline Phaeton. Finalement, la marque va
développer une famille de modèles électrifiés, dérivant de la plateforme MEB.

L’objectif est de démontrer la flexibilité de cette plateforme dédiée aux véhicules électrifiés,
en termes de dimensions des modèles notamment.

De plus, la Vizzion est conduite par un « chauffeur numérique » qui prendre le contrôle de la
voiture via de multiples systèmes d’assistance à la conduite. Ce « chauffeur » peut s’adapter
aux préférences des passagers, via un « hôte virtuel » qui communique grâce à des
commandes vocales et gestuelles.

Le concept pouvant se conduire lui-même, Volkswagen a dessiné l’intérieur afin de profiter
au maximum de l’espace.

La Vizzion est le quatrième concept présenté par Volkswagen dans sa gamme I.D., après
l’I.D., l’I.D. Cross (tous deux attendus en 2020) et l’I.D. Buzz (prévu pour 2022).
(AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 19/2/18)

Aston Martin lancera une variante cabriolet de la DB11 en avril

Le constructeur britannique Aston Martin va lancer une variante cabriolet de la DB11 en avril.
Le modèle devrait coûter au moins 199 000 euros (soit 15 000 euros de plus que la variante
coupé).

La capote en tissu s’ouvre en 14 secondes. La DB11 Cabriolet est en outre dotée d’un moteur
V8 de 4 litres développant 510 ch. Ainsi, le modèle peut passer de 0 à 100 km/h en 4,1
secondes et peut atteindre 300 km/h.

La DB11 Cabriolet consomme 10,0 litres de carburant aux 100 km, ce qui représente des
émissions de CO2 de 230 g/km. (AUTOMOBILWOCHE 19/2/18)

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Kia dévoile la troisième génération de la Ceed
La marque coréenne Kia dévoile la troisième génération de sa berline compacte Ceed. La
première génération du modèle avait été lancée en 2006 et a permis au constructeur de
s’implanter en Europe.

En effet, en 2006, la part de marché de Kia en Europe s’élevait à environ 1,5 % (avec 225 000
unités écoulées). Cette part de marché est passée à 3 % en 2017 (avec plus de 472 000
ventes).

La Ceed devrait continuer à soutenir la croissance de Kia en Europe dans les années à venir,
estime Michael Cole, directeur des opérations de Kia Motors en Europe. A moyen terme, le
modèle devrait se vendre à environ 500 000 unités par an en Europe.

La nouvelle Ceed se basera sur la nouvelle plateforme (baptisée K2) de Kia. Le modèle a
été principalement développé et conçu à Francfort. Sa production démarrera dans l’usine de
Kia à Zilina (Slovaquie). Depuis sa construction en 2006, cette usine a assemblé 1,28 million
de Ceed.

La nouvelle Ceed sera dévoilée en avant-première lors du Salon de Genève en mars. Selon
des sources internes, des variantes break, coupé et éventuellement véhicule de loisir
pourraient    également      être    présentées.      (JOURNALAUTO.COM         19/2/18,
AUTOMOBILWOCHE 15/2/18)

Hyundai lance le Nexo en Corée du Sud ce mois-ci

La marque coréenne Hyundai lance son véhicule métis, le Nexo, ce mois-ci en Corée du
Sud. Le modèle sera ensuite introduit sur le marché européen à la fin du deuxième trimestre,
puis aux Etats-Unis durant le quatrième trimestre.

Le Nexo est doté d’une motorisation à pile à combustible, qui disposerait de la meilleure
autonomie existante pour ce type de véhicule, selon le constructeur.

En outre, le Nexo est doté de fonctionnalités de conduite automatisée, dont un système
novateur de détection des angles morts et un système d’aide au maintien dans la voie. Le
Nexo dispose également d’un système d’aide au stationnement.

En tant que modèle à pile à combustible, le Nexo devrait rester un modèle de niche.
Néanmoins, il marque une étape cruciale dans la stratégie de Hyundai visant à introduire 38
modèles respectueux de l’environnement d’ici à 2025 et à commercialiser des modèles dotés
de technologies de conduite autonome de Niveau 4 d’ici à 2021.

Hyundai profite des Jeux Olympiques d’Hiver pour présenter en grandes pompes le Nexo.
Ainsi, des exemplaires du modèle ont réalisé des trajets de manière autonome entre Séoul
et Pyeongchang. Toutefois, la conduite autonome ne sera pas de série sur le Nexo qui sera
commercialisé.

Le Nexo est l’héritier du Tucson Fuel Cell EV, lancé en 2013 et écoulé à seulement 800
unités en Corée du Sud, aux Etats-Unis et en Europe. Le Nexo a été amélioré, avec une

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autonomie 30 % supérieure à celle du Tucson Fuel Cell EV, et une autonomie de 610 km
(contre 560 km pour son prédécesseur).

Le prix du Nexo n’a pas été communiqué par Hyundai. (AUTOMOTIVE NEWS 19/2/18)

Le bénéfice avant impôts de Grammer a reculé de 11 % en 2017
Le bénéfice avant impôts de l’équipementier allemand Grammer a reculé de 11 % en 2017,
à quelque 65 millions d’euros, sur un chiffre d’affaires de 1,79 milliard d’euros (+ 5 %).

La division Utilitaires de Grammer a notamment vu son chiffre d’affaires progresser de 14 %,
à environ 500 millions d’euros. En revanche, la croissance du chiffre d’affaires de sa division
Automobile (sa principale source de revenu) n’a augmenté que de 2 %, à 1,29 milliard
d’euros.

Grammer a expliqué que son bénéfice avant impôts avait diminué en raison de son conflit
avec la famille d’investisseurs Hastor, qui tente d’asseoir son influence sur l’équipementier
grâce à des prises de participation via diverses entreprises détenues par les Hastor. La
famille d’investisseurs souhaiterait renverser l’actuelle direction de Grammer.

Par ailleurs, le bilan détaillé des résultats de Grammer en 2017 sera publié le 21 mars.
(AUTOMOBILWOCHE 20/2/18)

Gentex mise sur les marchés asiatiques

L’équipementier américain Gentex se spécialise dans les rétroviseurs intérieurs à atténuation
automatique et réalise la moitié de son chiffre d’affaires avec ce produit.

Pour soutenir la hausse de la demande pour ce produit, Gentex mise sur les marchés
asiatiques. Le président de l’équipementier, Steve Downing, a en effet souligné que les
rétroviseurs électrochromes soulevaient un intérêt notable sur des marchés en
développement, tels que le marché chinois.

Toutefois, à l’heure où la conduite automatisée prend peu à peu son essor, Gentex fabrique
également de nouveaux produits, plus adaptés aux véhicules connectés et autonomes, tels
qu’un système d’affichage de la vue arrière, grâce à des caméras tournées vers l’arrière du
véhicule.

Malgré cette évolution du marché, la demande pour les rétroviseurs « classiques » continue
d’augmenter, déclare M. Downing.

Gentex tente donc de relier ces deux mondes avec un nouveau rétroviseur qui peut soit
s’utiliser comme un rétroviseur classique, soit faire office d’affichage, qui projettera une
image composite créée à partir des vues obtenues par 3 caméras sur les côtés et à l’arrière
de la voiture.

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Cette solution hybride permet au conducteur d’utiliser la « vue » avec laquelle il est le plus à
l’aise. En outre, si l’une des caméras rencontre un problème, le rétroviseur continue à
fonctionner.

Gentex a indiqué qu’il n’avait pour l’instant pas de commande pour ce nouveau type de
rétroviseur hybride, alors qu’il commercialise son système d’affichage « Full Display Mirror »,
qui fonctionne avec une caméra tournée vers l’arrière du véhicule, à plusieurs constructeurs,
dont General Motors, Toyota, Nissan, Subaru, Jaguar Land Rover et un sixième constructeur
non nommé.

En 2019, Gentex prévoit de produire 500 000 systèmes d’affichage (contre 150 000 en 2017).
En revanche, ces produits sont coûteux, avec un prix de 200 dollars et plus par véhicule,
contre 75 dollars environ pour un rétroviseur à atténuation automatique « conventionnel ».

Par ailleurs, IHS Markit estime que la production de ce type de système d’affichage
numérique devrait atteindre 1,8 million d’unités par an d’ici à 2025. A cette date, la production
de rétroviseurs hybrides devrait atteindre 1,4 million d’unités et 410 000 véhicules devraient
être dotés de caméras en lieu et place des rétroviseurs latéraux.

Néanmoins, les estimations sont difficiles à réaliser étant donné que certains pays (comme
le Japon) ont autorisé le remplacement des rétroviseurs latéraux par des caméras, tandis
que d’autres n’ont pas encore changé leur réglementation à ce sujet (comme les Etats-Unis
par exemple). (AUTOMOTIVE NEWS 19/2/18)

Les représentants salariaux et la direction de Volkswagen ont conclu un
accord concernant la future convention salariale

Les représentants salariaux et la direction de Volkswagen ont conclu un accord concernant
la future convention salariale.

Les quelque 120 000 salariés des usines de l’Ouest de l’Allemagne du groupe (à Emden,
Hanovre, Wolfsburg, Salzgitter, Brunswick et Kassel) et de Volkswagen Financial Services
ont obtenu une augmentation salariale de 3,5 % en mai 2018 puis de 2 % en mai 2019.

Cet accord a été conclu lors du 4ème round de négociations, qui s’est déroulé hier à Hanovre.

Une conférence de presse pour informer des détails de ce nouveau contrat salarial doit se
tenir aujourd’hui. (AUTOMOBILWOCH)

Mitsubishi Corporation va porter à 20 % sa participation dans Mitsubishi
Motors

Mitsubishi Corporation a annoncé son intention de porter sa participation dans Mitsubishi
Motors à environ 20 %, dans le but de renforcer son poids au côté de l'actionnaire principal,
Nissan. Mitsubishi Corporation détient actuellement 9,24 % de Mitsubishi Motors, et Nissan,
34 %.

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Mitsubishi Corporation entend doubler sa participation en rachetant des actions de trois
autres entreprises de la galaxie Mitsubishi : Mitsubishi Heavy Industries (6,89 % sur les 8,34
% détenus), The Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ (2,27 % des 3,26 %) et MHI Automotive
Capital (1,60 %) via une offre publique d'achat. Le montant de la transaction est estimé à
120 milliards de yens (906 millions d'euros).

Mitsubishi Motors deviendra ainsi « une des sociétés affiliées » de Mitsubishi Corporation,
qui pourra enregistrer une partie des bénéfices du constructeur dans ses comptes. Il
travaillera aussi plus étroitement avec Nissan afin de poursuivre le redressement de
Mitsubishi Motors, désormais partie intégrante de l'alliance formée avec Renault. La
coopération sera particulièrement renforcée en Asie du sud-est et autres marchés
émergents.

Après un exercice précédent perturbé par l'affaire de falsification des performances
énergétiques de plusieurs modèles de mini-voitures, Mitsubishi Motors a retrouvé le chemin
de la croissance cette année.

Mitsubishi Corporation, qui vend déjà des véhicules de la marque dans plusieurs pays,
explique vouloir « renforcer son implication dans l'industrie automobile, dans une période de
changements rapides et significatifs, notamment avec le développement des véhicules
électriques et autonomes ». (AFP 20/2/18)

Terres rares : Toyota annonce une avancée technique pour les moteurs
électriques

Toyota a annoncé avoir mis au point une technologie permettant de réduire l'utilisation d'un
métal de la famille des terres rares jusqu'ici essentiel dans le développement des moteurs
électriques. L'innovation, présentée comme « une première au monde », est destinée à
répondre au risque de pénurie et à réduire les coûts dans la perspective du développement
des véhicules électrifiés.

Les moteurs à aimant permanent comportent environ 30 % de terres rares, principalement
du néodyme, a expliqué Akira Kato, responsable R&D de Toyota. Or « même les prévisions
les plus optimistes anticipent des pénuries d'approvisionnement de cet élément chimique à
partir de 2025 », souligne-t-il.

Le groupe a donc développé un nouvel aimant réduisant la présence de néodyme de 20 à
50 %, en le remplaçant par du lanthane et du cérium, qui sont également des terres rares
mais beaucoup plus abondantes et d'un coût très inférieur (de 5 à 7 dollars le kg, contre 100
dollars pour le néodyme).

« La difficulté est de maintenir, malgré ce changement de composition, le même niveau de
performance de moteur », a expliqué M. Kato, ce que Toyota assure être parvenu à faire
grâce à de nouvelles technologies présentées comme inédites. Il faudra cependant encore
dix ans pour aboutir à une mise en application pratique pour les moteurs de véhicules
électriques, a précisé le groupe.

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Par le passé, les autorités japonaises ont incité les entreprises de l'archipel à réduire
l'utilisation de terres rares, qui regroupent 17 minéraux et sont quasi-exclusivement produites
en Chine.

L'annonce de Toyota intervient en pleine offensive du constructeur dans l'électrique : il avait
indiqué en décembre vouloir réaliser d'ici à 2030 au moins 50 % de ses ventes dans cette
technologie, en incluant les hybrides, dont il fut le pionnier avec la Prius lancée en 1997.

Outre les recherches sur les aimants permanents, Toyota travaille avec Panasonic sur les
batteries de nouvelle génération, qui permettraient une plus grande autonomie à moindre
prix. (AFP 20/2/18)

Suzuki a annoncé son programme de financement de recherches, porté
par sa Fondation

Suzuki a annoncé son 38ème programme de financement de recherches, doté cette année
d’une enveloppe totale de 100,57 millions de yens (760 500 euros). Le président de Suzuki
a sélectionné 36 projets de recherche scientifique et appliquée issus d’universités et instituts
japonais, qui seront épaulés à hauteur de 70,52 millions de yens (533 200 euros). La
Fondation versera par ailleurs 30,05 millions d’euros (227 300 euros) à des activités diverses
telles que des colloques et des programmes à l’étranger.

Dans le détail, la Fondation financera 34 projets de recherche scientifique, répartis dans sept
domaines : les technologies de production, les technologies environnementales et
d’économie des ressources, les technologies de mesure, de contrôle et d’analyse, les
technologies de matériaux, celles relatives à l’électrique, l’électronique et l’informatique, et
enfin les technologies liées à l’ergonomie, à la médecine et celles tournées vers la robotique.

En parallèle, Suzuki met l’accent pour ce nouvel exercice sur la problématique des véhicules
autonomes, avec deux projets sélectionnés suite à un appel à proposition.

L’un se concentre sur l’interaction entre le conducteur et le système de conduite automatisée,
l’autre sur le contrôle de l’état psychologique et physiologique du conducteur.
(COMMUNIQUE SUZUKI 16/2/18)

La production de véhicules en Russie a augmenté de 31,7 % en janvier

La production de voitures en Russie a progressé de 31,7 % en janvier, à 113 000 unités,
celle de camions a augmenté de 18,3 %, à 5 200 unités, et celle d’autobus, de 9,8 %, à 771
unités. (AUTOSTAT 20/2/18)

Forte hausse des exportations de voitures de la Russie en 2017

Les exportations de voitures de la Russie (hors pays de la CEI) ont augmenté de 23,3 % en
2017, à quelque 38 800 unités. Skoda a représenté près de 40 % des livraisons, avec 15 700
véhicules exportés, suivi de Lada (10 100), et de Renault (3 700 unités).

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Les Skoda Yeti (15 600 unités), Lada 4x4 (5 700) et Renault Duster (3 600) ont été les
modèles les plus exportés l’an passé. Par destination, c'est la République tchèque qui
occupe la première place (plus de 15 700 véhicules livrés à ce marché), suivie de l'Ukraine
(3 800), et de la Lettonie (3 500). (AUTOSTAT 20/2/18)

Les ventes de voitures et V.U.L au Kazakhstan ont fait un bond de 36,5 %
en janvier

Les ventes de voitures et de véhicules utilitaires légers au Kazakhstan ont fait un bond de
36,5 % en janvier, à 3 122 unités, indique KazAvtoProm (Association de l’industrie
automobile du Kazakhstan).

Par marques, Lada a dominé le marché en janvier, avec 785 véhicules écoulés (+ 140 %),
suivi de Toyota (665, + 69,2 %), de Ravon (492), de Hyundai (237, + 33,9 %), et de GAZ
(150). (AUTOSTAT 20/2/18)

Seat a enregistré une hausse de 15 % de ses ventes sur le marché
européen en 2017
Seat peut se targuer d’avoir enregistré sur le marché européen une hausse de 15 % de ses
ventes en 2017, à 468 400 unités. Avec, comme marchés principaux, l’Allemagne, l’Espagne,
et le Royaume-Uni. Ces bonnes performances sont à mettre au crédit notamment de l’arrivée
dans la gamme d’un modèle devenu en quelques mois le deuxième best-seller de la marque
l’an passé : l’Ateca (près de 7 200 unités écoulées).

« L’engouement suscité par le modèle a eu des répercussions positives sur les autres
véhicules de la marque, en leur offrant de la visibilité », précise Seat. La tendance devrait se
poursuivre au cours des prochains mois avec le lancement du second SUV de la gamme,
l’Arona, qui, en janvier s’est directement classé comme le deuxième modèle le plus vendu
de la marque, devant son grand frère l’Ateca. (JOURNAL DE L’AUTOMOBILE 20/2/18)

Lexus présentera son nouveau SUV compact UX au Salon de Genève

Lexus dévoilera au Salon de Genève (8 au 18 mars) son nouveau SUV compact, baptisé
UX, qui doit venir concurrencer des modèles tels que les BMW X1, Mercedes GLA et Audi
Q3. Le concept-car précurseur du modèle avait été présenté au Mondial de l’Automobile de
2016.

Lexus présentera également à Genève le RX L, disponible avec trois rangées de sièges pour
accueillir 7 personnes, ainsi que le concept LF-1 Limitless et une édition spéciale du coupé
RC F pour célébrer les 10 ans de la branche sportive Lexus F. (AUTO PLUS 20/2/18)

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