Pourquoi le commerce adopte la RFID ? - Stratégies de compétitivité et clés de succès
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ABSTRACT d’éTUDE Pourquoi le commerce adopte la RFID ? Stratégies de compétitivité et clés de succès Partenaires de l’étude avec la participation de
2 3 Sommaire complet de l’étude EXECUTIVE SUMMARY. Relation Clients et interactions commerciales Un modèle économique pour le secteur de la mode/habillement Focalisation des équipes sur la vente Vers de nouvelles expériences consommateurs ? Shopping expérience Le modèle unique n’existe pas Mesure de l’attractivité des produits Stratégies Offres et Protection des marques I.IntroductioN Protection de la marque Efficience opérationnelle des stratégies d’offre II. Préambule sur la technologie EPC : le code à barres électronique IV. Adoption de l’EPC : un premier bilan NFC : l’interface mobile du consommateur Walmart, un leader qui persiste Perspectives et convergence Un empressement aux conséquences contrastées Changement de cap Un décollage retardé, faute de volonté partagée III. EPC : les opportunités stratégiques La mode et l’habillement, le premier secteur à basculer Supply chain et sourcing Comment les autres filières appréhendent l’EPC ? Efficacité des opérations logistiques Optimisation de l‘OPEX (dépenses d’exploitation) V. Les défis posés aux organisations Optimisation du CAPEX (dépenses d’investissement du capital Définir le business case Optimisation des stocks Mettre en œuvre opérationnellement Réduction des délais d’approvisionnement Mobiliser son écosystème Logistique inverse, retours clients et Service Après Vente Traçabilité CONCLUSION Canaux et Modèles de distribution Lutte contre les ruptures en point de vente Panel, Références et Contributeurs de l’étude Lutte contre la démarque inconnue Panel Réduction de la démarque commerciale Références Nouveaux concepts : snacking et restauration rapide Reproduction et diffusion interdites
4 5 Pourquoi le commerce adopte la RFID ? Stratégies de compétitivité et clés de succès EXECUTIvE SUmmARY PRODUCTIVITÉ DES INVENTAIRES eXecutive Summary RÉDUCTION DES > + 95% PRODUCTIVITÉ DES ÉCARTS DE STOCKS INVENTAIRES Depuis l’impulsion donnée par Wal-Mart en 2003, les distributeurs développent des RÉDUCTION DES > + 95% ambitions encore inégales concernant la diffusion des étiquettes RFID répondant Entre ÉCARTS DE 95 et 99 % de STOCKS stocks juste / SKU au standard EPC (Electronic Product Code). A la fois codes-barres électroniques et BILAN FINANCIER marqueurs antivol, ces étiquettes auront pourtant quadruplé en nombre entre 2009 Entre 95 et 99 % de et 2011 dans le secteur de la distribution. Cette croissance est largement portée stocks juste / SKU BILAN FINANCIER par le secteur de la mode/habillement où le volume de consommation atteint 1,5 RÉDUCTION DES milliard d’unités en 2011. Ce secteur s’appuie sur un modèle économique attractif RUPTURES ET qui cumule rentabilité à court-terme et avantages compétitifs structurels. LIQUIDATIONS RÉDUCTION DES RUPTURES ET Jusqu’à - 50% de rupture LIQUIDATIONS un modÈle économiQue pour le Secteur Jusqu’à - 50% de rupture Entre 2,6 et 21% de la mode/HaBillement AUGMENTATION EntreDU 2,6CA et 21% Les étiquettes RFID/EPC, qui marquent les articles, améliorent sensiblement un AUGMENTATION DU CA indicateur de performance critique, qui conditionne de nombreux aspects de la profitabilité des enseignes : la fiabilité des données de stocks. Lorsque ce taux De la productivité des inventaires à leurs impacts sur le chiffre d’affaires est bas, le point de vente accumule ruptures, sur-stocks et mauvaise prévision des ventes. Lorsqu’il est haut, le magasin optimise au contraire son chiffre d’affaires, sa marge brute et la satisfaction de ses clients. Par le biais de refontes des processus déploiementsDe la des productivité des EPC, étiquettes inventaires deux àautres leurs impacts sur le de périmètres chiffre d’affairesrenforcent rentabilité d’inventaire en magasin, les déploiements des étiquettes EPC ont fait croître l’attractivité du modèle économique : cet indicateur à 95% contre un taux préalable moyen de 65%1. Ce qui est à • Contrôle automatique des flux logistiques : les étiquettes EPC permettent d’étendre l’œuvre, c’est donc la correction de déficiences opérationnelles structurelles sur le contrôle réception à tous les articles entrants tout en diminuant les ressources lesquelles les organisations buttaient sans solutions durables. Les bénéfices induits humaines utilisées à ces tâches. Elles combinent ainsi directement la rationalisation des sont sensibles : ressources logistiques (diminution des OPEX et CAPEX) avec une économie substantielle sur les factures fournisseurs, puisque n’est payé que ce qui a été effectivement livré. • Baisse des ruptures en point de vente : entre -20% et -50% selon les chiffres partagés. • Suppression des dépenses en étiquettes antivol et baisse de la démarque • Baisse des niveaux de stock : par exemple -15% constaté chez American Apparel. inconnue : les étiquettes EPC couvrent la fonction de protection électronique des • Baisse de la démarque commerciale : diminution des produits à déstocker en produits avec un niveau de fiabilité technique égale aux solutions EAS dédiées. période de solde. En tant que tel, ce recouvrement fonctionnel permet la suppression de l’étiquette • maîtrise de l’offre produit : contrôle du planogramme et de la qualité du rayon. EAS, ce qui constitue un facilitateur de ROI. Les étiquettes EPC présentent aussi des • Focalisation des équipes sur la vente : elles évitent les allers-retours inefficaces perspectives de réduction de la démarque : de par la sécurisation du processus entre la surface de vente et le stock magasin. d’encaissement, de par la sécurisation des zones logistiques, mais aussi, du fait que • Détection de la démarque inconnue : pour ajuster et renforcer les dispositifs de leur mise en œuvre se traduise par l’augmentation de la proportion des produits sécurité avec davantage de réactivité. protégés. • Intégration multicanal : pour faciliter les synergies entre canaux ainsi que la tenue des promesses clients. Avec le contrôle des stocks magasin, le contrôle des flux logistiques ainsi que la suppression des étiquettes antivol spécifiques, l’EPC propose trois domaines de rentabilité complémentaires dont on observe qu’il n’est nullement impératif de les cumuler pour obtenir un ROI attractif dans le secteur de la mode et de l’habillement. les paybacks sur le marché américain, animé par Wal-Mart, JC Penney et Macy’s, sont estimés dans une fourchette de 9 à 18 mois selon les cas de figure. Ces déploiements entrent ainsi dans un cadre tout à fait conventionnel au regard des critères d’éligibilité des projets d’investissements. Ils ouvrent aussi la voie à l’innovation dans le domaine de la relation client. 1 Dans le secteur de la mode/habillement aux Etats-Unis Reproduction et diffusion interdites
6 7 Pourquoi le commerce adopte la RFID ? Stratégies de compétitivité et clés de succès EXECUTIvE SUmmARY verS de nouvelleS eXpérienceS le modÈle uniQue n’eXiSte paS conSommateurS ? Le produit textile présente de nombreuses caractéristiques favorables au marquage EPC. Il est ciblé par le vol, présente une pré-détermination à l’achat Les étiquettes EPC offrent aussi la capacité d’interagir dynamiquement avec le importante et un haut niveau de complexité dans la gestion de l’assortiment. client dans l’enceinte du magasin. Le client se saisit d’un produit (ou l’essaye) et les Son prix de vente et les marges pratiquées permettent de supporter le surcoût écrans interactifs situés à proximité lui délivrent une information contextualisée. de marquage aux environ de 0,1€ par article. D’autres filières présentent des Cette capacité est nouvelle pour le commerce physique alors qu’elle constitue l’un caractéristiques comparables, comme celles du bricolage, du sport et de la culture. des avantages du commerce en ligne. Elle est mise à profit dans les expériences Elles aussi pourraient adopter un modèle d’usage similaire mais n’affichent pour recensées pour délivrer de l’information produit, informer sur la disponibilité l’heure pas le même dynamisme. Pour les produits de consommation courante, produit, suggérer des achats combinés ou interagir avec les réseaux sociaux. un tel modèle ne présente pas de viabilité économique à court terme. Des Ces initiatives préfigurent donc d’une possibilité nouvelle, celle d’importer modèles d’usages alternatifs permettent cependant de poursuivre des objectifs l’intelligence des sites Internet marchands au sein de l’espace du magasin. comparables. En privilégiant le marquage EPC des colis ou des supports L’EPC offre ainsi la perspective de décloisonner les environnements de shopping réutilisables, les chaînes de distribution généralistes peuvent agir sur : en ligne et de shopping en magasin. Il s’agit d’un enjeu de taille, que de mettre Internet à disposition du consommateur dans le magasin c’est-à-dire là même • la réduction des coûts logistiques et l’amélioration de la traçabilité, par où il peut essayer le produit et échanger avec des professionnels. L’expérience l’automatisation des opérations de contrôle logistique et le suivi des supports client se trouve ainsi enrichie par la combinaison, en un même lieu, des deux réutilisables. environnements de shopping. • la réduction des ruptures en magasins, par le suivi des flux de produits entrant dans la surface de vente. Pour éclairer ces disparités sectorielles, l’étude propose une catégorisation des Mur de chaussures > différentes filières pour y situer l’enjeu de compétitivité que représente l’émergence des étiquettes EPC. Le client n’a qu’à se saisir du produit présenté pour être informé de ses caractéristiques, du prix et des tailles disponibles en magasin. 1 8 2 1. Habillement mode 9 2. Sport 10 4 3. Électronique 3 4. Snacking 5 5. Bijoux 11 7 6. Parfumerie sélective 6 7. Luxe < les cabines d’essayage 8. Culture 9. Articles de bricolage 10. Vin et spiritueux Le client est informé des conditions 11. Alimentaire et FMCG d’entretien du produit, de la disponibilité des tailles adjacentes et des suggestions de produits combinés. Reproduction et diffusion interdites
8 9 Pourquoi le commerce adopte la RFID ? Stratégies de compétitivité et clés de succès Executive Summary Comment s’y prendre ? Un enjeu de compétitivité L’introduction de la RFID dans une enseigne de distribution reste un projet Des premières mises en œuvre de la RFID émanent les signes avant-coureurs de ambitieux. Elle pose un triple défi aux organisations : profonds changements pour les métiers de la distribution. Qu’y voit-on d’inhabituel ? Des gains de productivité de l’ordre d’un facteur 30 sur des processus critiques ; Un défi économique : comment investir pour obtenir une rentabilité optimum ? des organisations capables de mesurer leur performance et leur activité avec une Un défi technique : comment se doter des capacités de mise en œuvre ? précision inégalée ; des gains financiers substantiels. Un défi politique : comment influencer son écosystème interne et externe ? Ces bénéfices immédiats, ces capacités d’adaptation nouvelles, sont en cours d’acquisition par une poignée de distributeurs d’envergure mondiale. Ces Parmi les 18 recommandations édictées dans l’étude, citons ici quatre règles de entreprises parlent de « chantiers de transformation », de « nouvelles générations réussite essentielles : d’enseignes » pour signaler les efforts d’adaptation auxquels elles ont consenti. Dans le secteur de la mode et de l’habillement, leurs déploiements à large échelle 1. Sponsorship de niveau CODIR. amèneront à ce que des modèles opérationnels « à deux vitesses » se trouvent On constate l’implication du plus haut niveau de management chez l’intégralité en concurrence, créant d’importantes distorsions de compétitivité. Une telle des distributeurs qui investissent dans cette technologie. Ce pilotage par les situation est également probable à moyen terme dans le secteur des bijoux, de dirigeants ou les financiers est nécessaire pour investir sur du temps long et l’électronique grand public et celui du sport. aplanir les divergences d’intérêts au sein de l’organisation. Il l’est également, parce La RFID apparaît donc comme un facteur de changement de tout premier ordre que l’introduction des étiquettes EPC se traduit par un changement profond des dans le paysage de la distribution. Ce n’est plus seulement l’analyse prospective organisations. qui amène à cette conclusion, mais aussi l’observation des faits. 2. Phases pilotes et progressivité des investissements. Les protagonistes de l’EPC adoptent une approche d’investissements progressifs, composée de séquences successives qui permettent de minimiser les risques. On remarque ainsi la volonté de circonscrire le périmètre primaire de l’EPC sur des catégories de produits prioritaires. Les distributeurs cherchent à disposer rapidement d’univers produits marqués à 100% pour mettre en place des processus comme l’inventaire en magasin. Une fois l’infrastructure installée et rentabilisée, d’autres vagues de déploiements permettent d’étendre le périmètre nominal à d’autres catégories de produits, d’autres fournisseurs et d’autres processus. 3. Embarquement de fournisseurs dès les phases pilotes. Autant sur les aspects techniques, qu’économiques, la collaboration des fournisseurs aux pilotes des distributeurs est féconde. Elle permet d’impliquer des industriels très tôt dans la démarche afin qu’ils disposent du temps nécessaire pour procéder à leur propre évaluation des bénéfices. Cette collaboration permet également d’adresser des enjeux communs aux deux acteurs et de créer de la valeur supplémentaire, du fait d’une meilleure exploitation des données générées par EPC. 4. Coordination des plans de déploiements. C’est la démarche initiée par les distributeurs de mode et d’habillement aux Etats- Unis, fédérés au sein de l’initiative VILRI. La synchronisation et l’harmonisation des demandes distributeurs permettent d’adresser une part significative de la production des industriels pour atteindre une masse critique satisfaisante. La dynamique collective assure à chaque acteur la pérennité de ses investissements. Reproduction et diffusion interdites
éTUDE Pourquoi le commerce adopte la RFID ? Stratégies de compétitivité et clés de succès JC Penney, Wal-Mart, Macy’s aux Etats-Unis, Gerry-Weber, Mark&Spencer en Europe, ces enseignes, comme d’autres, investissent massivement dans la technologie RFID/EPC. Qu’ont-elles à y gagner ? Dans quelles stratégies de compétitivité ces déploiements s’inscrivent-ils ? GS1 s’est associé au CNRFID et au PICOM pour proposer une réactualisation des enjeux de la RFID/EPC tels qu’ils sont perçus par les acteurs du secteur de la distribution. L’étude « Pourquoi le commerce adopte la RFID » détaille les résonnances stratégiques de la RFID/EPC dans quatre grands domaines métiers que sont : la Supply Chain, les canaux de distribution, la relation Client et l’offre produit. Elle propose aussi une synthèse inédite des déploiements en cours et des meilleures pratiques recensées pour réussir la mise en œuvre. Pour vous procurer ce rapport d’étude, merci de nous retourner le coupon par mail, courrier ou fax, ci-dessous après l’avoir complété. - BON DE COMMANDE - à renvoyer à : Stéphane Cren - GS1 France 2 rue Maurice Hartmann - 92137 Issy-les-Moulineaux Tél : 01 40 95 54 10 - Fax : 01 40 95 54 49. E-mail : info-rfid@gs1fr.org Société : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . M. ou Mme : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonction : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Identifiant TVA intracommunautaire : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .................................................................................................................................. Téléphone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E-Mail : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . … q Adhérent GS1 : 900 € TTC q Non adhérent GS1 : 1 450 € TTC Règlement à joindre avec la commande par chèque bancaire à l’ordre de GS1 France Une facture vous sera adressée avec une version électronique et papier du rapport de l’étude.
Pour plus d’informations : • Centre National de Référence RFID, 5 avenue de Manéou, 13790 Rousset contact@centrenational-rfid.com • GS1 France, 2 rue Maurice Hartmann - 92137 Issy les Moulineaux cedex info-rfid@gs1fr.org • Pôle de compétitivité industries du commerce, 40 rue Eugène Jacquet, 59708 Marcq en Baroeul cedex - 09 20 99 24 26 • Kurt Salmon, 159, avenue Charles de Gaulle, 92521 Neuilly-sur-Seine cedex armand.devallois@kurtsalmon.com
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