Printemps polaire au Spitzberg - à bord de l'Ocean Nova - Grands Espaces
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Printemps polaire au Spitzberg
à bord de l’Ocean Nova
Du 16 au 22 juin 2021 (7 jours)
© Wallpaper
Paysages de pics et de vallées englacées, de grandes calottes.
Un festival de faune polaire: ours blancs, morses, phoques, rennes, renards polaires, baleines...
L’histoire des baleiniers, trappeurs et de l’exploration polaire.
Navigations dans la banquise.
Pourquoi choisir
une croisière expédition au Spitzberg ?
Nous avons choisi de privilégier le Spitzberg pour 4 raisons :
L’OBSERVATION DES ANIMAUX
L’ours blanc y est protégé depuis 1973 et c’est pourquoi nous en voyons généralement entre 10 à 20 par voyage, souvent dans de bonnes conditions d’observations.
Les morses sont protégés depuis 1952 et leur population actuellement de 3000 individus augmente chaque année de 8%. Ils sont relativement confiants
et nous pouvons les approcher à 25-30 mètres. Les grandes baleines sont devenues régulières tant au Spitzberg qu’au Groenland. La baleine blanche
est présente le long des côtes du Spitzberg. Le Spitzberg est exceptionnellement riche en colonies d’oiseaux car le Gulf Stream y libère les côtes très tôt dans l’année.
Sur le terrain on peut dire qu’il n’y a pas de moustiques au Spitzberg alors qu’ils constituent une véritable plaie dans les autres régions polaires entre juin
et le 15 août. Les oiseaux sont nombreux en raison des mers riches et longtemps libres de glaces.
LES COÛTS DES VOYAGES
Ils sont moins élevés au Spitzberg. Quand il s’agit d’aller à Ilulissat ou Thulé au Groenland, les prix des billets d’avion deviennent chers. Un voyage au Spitzberg sera toujours plus confortable,
Grands Espaces opérant chaque été régulièrement des vols directs Paris Longyearbyen (4h30 de vol).
UN EXCELLENT RÉSUMÉ POLAIRE
De tout l’Arctique le Spitzberg est le meilleur résumé des régions polaires car il rassemble dans une superficie assez faible (2 fois celle de la Belgique) les 3 grands types de paysages polaires :
les vastes étendues de toundra, les pics et glaciers, et les grandes calottes. La banquise n’est jamais loin des côtes Nord et Est. Les icebergs y sont abondants,
mais pas aussi spectaculaires qu’au Groenland.
UNE HISTOIRE POLAIRE TRÈS DENSE
Par sa position au droit de l’Europe et à environ 1000 km du Pôle Nord, l’archipel est la terre la plus riche d’histoire polaire (baleiniers, trappeurs, explorateurs,
industrie minière, tourisme, sciences…)
Le Spitzberg, ou Svalbard, en Anglais est ainsi la meilleure porte d’entrée pour la découverte du monde polaire.
© Christian Kempf
Les grandes étapes
d’une croisière expédition au Spitzberg
Carte des trois grandes unités
Les trois grandes régions du Spitzberg
naturelles et paysages
du Spitzberg
Carte des trois grandes unités
naturelles et paysages
© Christian Kempf
7 îles Île Charles XII
Île Blanche
du Spitzberg Lageøya
Storøya
Glacier
Moffen
de Monaco
Baie de la
Madeleine Palanderfjord À mi-chemin entre Cap Nord norvégien et Pôle Nord, le Spitzberg offre aux visiteurs 3 types de
g l ac e
Wijdefjord
TERRE DU paysages sur ses 61 200 km2. Le centre Ouest et les îles de Barentsoya et Edgeoya peu élevées
sont baignés par les eaux plus chaudes du Gulf Stream qui pénètrent en grands fjords les
de
Baie de la NORD-EST
e
terres couvertes de toundra dans leurs larges vallées fluviales. Les plateaux sédimentaires
ièr
Croix Alkefjellet
Dé rr
SPITZBERG tro e ba recèlent le charbon et ont ainsi attiré les implantations humaines.
it
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Ny-Alesund eH
Baie inl
op en
du Roi TERRE DU
Pyramiden ROI CHARLES
BARENTSØYA
TERRE Longyearbyen
Isfjord
© Christian Kempf
DU PRINCE
CHARLES Barentsburg EDGEØYA
Sveagruva
Bellsund
Le Sud et le Nord-Ouest sont découpés, présentant la carte postale de l’archipel: des pics
Fjord de Station Pics alpins et glaciers taillés par le gel culminant à 1717 mètres, des vallées alpines noyées par les glaciers donnant
polonaise
la Recherche Calottes et déserts froids des fjords où dérivent des icebergs. Les colonies d’oiseaux y sont spectaculaires et les terres
1000 îles
Hornsund Plaines et plateaux sédimentaires chargées d’histoire.
Île à HOPEN
Cap Sud l'Ours
© Christian Kempf
Le Spitzberg est la région de l’Arctique la plus visitée, car sa faune y est protégée depuis 1952
( morses ), 1973 ( ours blanc ) et de nombreuses réserves naturelles et parcs nationaux
couvrent 65% de cet archipel polaire. Par ailleurs, 2650 glaciers y couvrent 59% des terres Le centre du Spitzberg, l’Est et les îles du Nord-Est sont le domaine des glaces. C’est là que l’in-
en grandes calottes et glaciers, offrant des paysages d’une exceptionnelle beauté. landsis coule en mer en une barrière de 160 km de glace, c’est là dans les déserts polaires que
Enfin, l’histoire dense et la richesse des mers en colonies d’oiseaux attirent également. les glaciers sont les plus puissants, forgeant les paysages les plus surprenants. Ours polaires
et morses y sont réguliers.
Le Spitzberg (Svalbard) BANQUISE
CALOTTES
et ses richesses faune BANQUISE
PICS ET GLACIERS
GLACIERS
ICEBERGS
et paysages Les 7 îles
Île de
Moffen Île blanche
Fjord de
Smeerenbourg Fjord
de Murchison
Terre du Nord-Est
Baie de la Glacier
Madeleine de Monaco Détroit de Hinlopen
Baie de la Croix Wijdefjord
Ny Ålesund
0 Baie du Roi
100 Km 200 Km
Terre du prince Terre du Roi
Charles Charles
Barentsoya
Longyearbyen
Barentsbourg
MONTAGNES Edgeoya
ET TOUNDRAS
© Christian Kempf - réalisation : Richard Siblas
Bellsund
Hornsund
Nos itinéraires sont dépendants des conditions
météorologiques et de glaces.
PICS ET
GLACIERS
0 100 Km 200 Km
Nos vols directs Paris - Spitzberg - Paris
Nous louons les services de compagnies aériennes pour nous acheminer en vols directs d’une durée de 4h30 de France à Longyearbyen
au Spitzberg ; nous évitons ainsi les pertes de temps et les tracas de voyages pour arriver sur le tarmac polaire du Spitzberg.
Les départs de Paris ont lieu en général vers 7h et les vols retour arrivent à Paris vers 17h30. Pour les passagers au départ de Genève,
nous organisons un départ avec une arrivée à Roissy CDG la veille pour un forfait incluant les vols Genève-Paris et retour,
les transferts, la nuit d’hôtel en chambre double et le dîner. Ce service est ouvert à tous sur demande.
Tous les vols proposent également pour un supplément une classe « confort » qui peut être réservée dès l’inscription au voyage :
repas raffinés, espace, 30 kg de bagages de soute au lieu de 23, guichet d’enregistrement séparé.
© Airpost et Christian Kempf
Esprit des voyages et itinéraires
GRANDS ESPACES, LE SPÉCIALISTE
Le Spitzberg est une terre de nature et d’histoire : les glaciers y côtoient les grandes colonies d’oiseaux, les vieux cimetières de baleiniers gisent entre des pics
et calottes: un extraordinaire résumé des régions arctiques!
Grands Espaces a réalisé des centaines de croisières expéditions au Spitzberg. Son président fondateur, Christian Kempf, foule ces terres depuis 1973 et y a organisé les premiers séjours
francophones en 1985 et les premières croisières expéditions en 1990. Il a publié la carte touristique du Spitzberg ainsi que 4 livres sur cet archipel.
Nos guides conférenciers polaires suivent une formation, dont les tests de terrain sont effectués au Spitzberg : ils connaissent parfaitement ces lieux.
Il est exigé un examen international pour guider en ces lieux, et tous nos guides l’ont obtenu.
Avec Grands Espaces, vous avez choisi LA Compagnie qui saura vous amener le mieux d’une telle croisière expédition.
PRUDENCES, CEPENDANT ...
Mais, situé à 1000 kilomètres environ du Pôle Nord, cet archipel est taillé dans le roc, avec abrupts, pics, glaciers, calottes : nous sommes en haute montagne...
Perdus dans l’Océan Glacial Arctique à plus de 800 kilomètres du Cap Nord, nous sommes en lisière de banquise, entre les derniers bras du Gulf Stream et le courant froid de Sibérie :
nous sommes en haute mer...
En été, le jour est présent 24h sur 24, il y a autant d’ours sur la banquise que d’habitants à Longyearbyen, la capitale. Dans celle-ci il y a plus de motoneiges
que de voitures: nous sommes loin de tout, isolés...
L’ours blanc est le plus grand mammifère terrestre carnivore du monde; il se nourrit à 90% de phoques.
Mais il peut être très dangereux pour l’homme.
© Christian Kempf
6
Dans cette nature souveraine, nous ne pouvons nous affirmer, malgré les meilleurs bateaux, équipages, commandements, connaissances et guides.
Nous devons suivre les lois de la nature, et quand un ours nous empêche de rejoindre le navire, nous restons au large un certain temps sur nos zodiacs!
LA BANQUISE FORGE NOS ITINÉRAIRES
La banquise couvre les mers polaires et en est la principale caractéristique. Chaque été, elle fond, libérant les côtes au fur et à mesure des mois, pour atteindre son extension
minimum en septembre. Globalement, elle disparaît, mais selon les années, elle peut couvrir ou non l’Est de l’archipel, barrant ainsi l’accès à l’île Blanche.
Les pages suivantes vous donnent quelques exemple d’étendues de cette glace de mer.
UNE NATURE PROTÉGÉE
Grâce au tourisme, très actif dans la conservation de la nature polaire, 65% des terres et 85% des mers sont protégées. de nombreuses mesures anti-pollution sont en vigueur depuis 10 ans.
Et depuis 2020, le Gouverneur du Svalbard a interdit de briser la banquise, les brise-glaces n’y sont donc pas les bienvenus, car ils détruisent un écosystème marin de plus en plus rare.
Tous les sites fréquentés par le tourisme sont définis, des règles sont édictées ( lieux de débarquement, excursions, nombre de passagers admis...)
et les débarquement doivent être déclarés et faire l’objet d’un compte-rendu aux autorités norvégiennes et internationales.
De même les approches des animaux sont réglementées en distances et en comportements, afin de ne pas déranger la grande faune.
FLEXIBILITÉ, LE MAÎTRE MOT D’UNE CROISIÈRES D’EXPLORATION
Banquise, aires protégées et dangers polaires nous obligent à adapter nos activités.
Ainsi, aucun voyage ne se ressemble. Guides et passagers qui reviennent peuvent en attester.
L’itinéraire décrit n’est donc qu’indicatif, dépendant de la banquise, des mers, des observations d’animaux... Un même itinéraire réalisé par deux bateaux différents sera lui aussi différent.
NOS ENGAGEMENTS, NOS PRIORITÉS
Mais nous aurons toujours pour objectifs:
- L’observation de la faune, et notamment des ours polaires, morses et baleines.
- Les navigations pour contempler les paysages les plus extraordinaires du Grand Nord : banquise, icebergs, glaciers, calottes.
- La connaissance de l’histoire de ces régions, des premiers habitants et explorateurs aux richesses du futur en parlant de baleiniers, trappeurs, mineurs.
© Christian Kempf
Evolution de la banquise
au Spitzberg début juin
entre 2008 et 2018
Le printemps polaire
Le réchauffement du climat qui s’accélère depuis un siècle du fait de l’impact humain
concerne principalement l’Arctique, qui a vu ses températures augmenter de 2,6°C en 30 ans,
contre 0,8°C dans les régions tempérées.
En mer, ce réchauffement impacte l’étendue de la banquise, et sur terre il détermine la couverture neigeuse.
Chaque année, environ 90 000km2 de glace de mer estivale disparaît. Il y a 20 ans, il fallait attendre
la seconde moitié du mois d’août pour aller vers le Nord et l’Est du Spitzberg ; c’est en juillet et en août
que les paysages rendaient alors leur image polaire, de neiges et de glaces.
Juin 2008 Aujourd’hui, avec le réchauffement du climat, c’est plus tôt, en mai et en juin, que la neige souligne
encore le relief et que la banquise ceinture encore l’archipel, car en août elle est à présent
à plus de 200 kilomètres plus au Nord.
C’est pourquoi donc nous vous proposons à présent des croisières d’exploration « Printemps polaire »
au mois de juin.
Printemps, car en juin, le temps est en général beau.
Printemps, car en juin les ourses qui sont de plus en plus nombreuses à établir leurs tanières
sur l’Ouest du Spitzberg, sont suivies par leurs oursons en bas âge.
Printemps, car c’est en juin que les plantes éclatent leurs couleurs et que les oiseaux s’installent,
pour repartir pour certains dès la mi-juillet.
Printemps enfin, car les morses sont de plus en plus nombreux à coloniser au mois de juin
les côtes de l’Ouest du Spitzberg, et c’est en mai et juin seulement, que les phoques du Groenland
Juin 2018 nés en mer Blanche sont par endroits des milliers à muer sur la banquise de l’Est.
Depuis 10 ans, la couverture de glace de mer
s’est considérablement restreinte au Spitzberg.
Source : Polarview-Iceportal-Met.no
Juin : LE mois pour découvrir le Spitzberg dans sa splendeur polaire.
Banquise de fjord compacte
Banquise compacte
Banquise assez compacte
Banquise assez lâche
Banquise très lâche
Itinéraire indicatif
16 juin : Paris-Longyearbyen ( Spitzberg )
Vol direct en début de matinée de Roissy CDG3 vers Longyear-
byen et arrivée vers midi dans la capitale de l’archipel. Excur-
sion en bus dans la vallée de l’Adventdal, temps libre en ville
puis embarquement.
Navigation dans l’Isfjord et proche de l’enclave russe de
Barentsbourg. Passage en soirée du Cap Linné et ses toun-
dras avant d’aller vers le large où les grandes baleines sont
souvent au rendez-vous.
17 juin : Baie de la Croix et baie de la Madeleine
Un front de glaces de 7 kilomètres de longueur, grandes colo-
nies d’oiseaux et des régions chargées d’histoire.
© Maxime Barthelmé/Grands Espaces
Nous passerons et tenterons de débarquer en baie du 14 juil-
let, où un glacier se jette en mer et où oiseaux coloniaux, re-
nards polaires et rennes sont en général au rendez-vous, de
même qu’une colonie de macareux moines.
Navigation le long de la côte des 7 glaciers. La baie de la Ma-
deleine est le fjord peut-être le plus connu, serti dans son ca-
dre impressionnant de pics alpins et de glaciers, et ses éboulis
sont habités par des milliers d’oiseaux... Elle fut autrefois un
abri pour les baleiniers qui y ont laissé un cimetière sur le cap
aux Tombes.
Les morses y sont de plus en plus réguliers.
18 juin : Banquise et glacier de Monaco
Navigation dans la banquise encore très présente et recher-
che des ours polaires sur la côte Nord.
Le Liefdefjord donne sur le glacier de Monaco, nommé en
l’honneur du Prince Albert 1er. Les paysages de ce fjord sont
parmi les plus spectaculaires de l’archipel, et le recul du gla-
cier autrefois puissant et long de 40 kilomètres donne des
icebergs impressionnants. La banquise de fjord est présente
longtemps dans ce fjord où ours , baleines, phoques et rennes
sont réguliers.
En soirée, navigation vers l’île de Moffen ( baleines, morses,
ours? ), au-delà de 80° de latitude Nord, si les glaces le per-
mettent. Une colonie de 30 à 200 morses se repose sur le cap
Sud.
© Christian Kempf
19 juin : Détroit de Hinlopen et Terre du Nord-Est
En forçant vraisemblablement la banquise, nous arriverons
dans le fjord de Murchison, avec sa station scientifique de 1958
et ses colonies de morses. Cette base fut construite lors de
l’ Année Polaire Internationale. Le fjord de Murchison est connu
pour ses eaux claires et ses roches colorées.
C’est dans ce détroit aussi que se trouve la grande colonie d’o-
iseaux la plus spectaculaire de l’archipel, nichée dans les fala-
ises déchiquetées des pics et orgues de basaltes.
Alkefjellet héberge 150 000 couples d’oiseaux, et renards
polaires et ours peuvent s’aventurer sous ses parois à la re-
cherche de proies. Selon la banquise, nous irons loin dans les
glaces et vers l’Est et le Nord, à la recherche des ours polaires.
20 juin : Fjord de Smeerenbourg
Le fjord des baleiniers du XVIIème et du départ de grandes
expéditions polaires. Le front du glacier s’abîme en mer et ses
montagnes sont taillées en dentelles par le gel. Les morses et
les phoques sont régulièrement présents, l’ours rôde...
Découverte de baies exceptionnellement visitées et d’immen-
ses colonies de mergules, cet oiseau typique de l’archipel.
21 juin : Baie du Roi
Les sommets des Trois Couronnes dominent cette baie super-
be et chargée d’une histoire d’une exceptionnelle richesse.
Le héros polaire Roald Amundsen en fit le lieu de départ pour
sa conquête du Pôle Nord. Plusieurs glaciers, en recul, y vêlent
leurs grands icebergs. Colonies d’oiseaux, réserves botaniques,
stations scientifiques. Rennes et renards polaires seront pro-
bablement au rendez-vous.
22 juin : Longyearbyen
Temps libre dans la capitale, puis transfert pour le vol direct
spécialement affrété vers Paris où nous arriverons en fin de
© Christian Kempf
journée.
PRIX par personne
Le prix comprend : les vols directs Grands Espaces Paris-Spitzberg-Paris, la croisière
en pension complète, les guides conférenciers francophones, les transferts, l’assu-
rance rapatriement, bottes en prêt.
Le prix ne comprend pas : supplément départ de Genève, assurance annulation,
boissons, pourboires, dépenses personnelles, classe confort sur les vols directs.
Cabine quadruples, 2 lits bas et superposés,
wc privés, fenêtre, 13 m2 3750 €
Cabines triples, 2 lits bas, 1 couchette,
wc privés, fenêtre, 10 à 12 m2 4150 €
Cabines doubles, lits superposés,
wc privés, fenêtre, 8 à 11 m2 * 4500 €
Cabines doubles, 2 lits bas,
wc privés, fenêtre, 10 à 11 m2 4900 €
Cabines supérieures, 2 lits bas,
© Christian Kempf
wc privés, fenêtre, 13 à 15 m2 5700 €
Cabine premium, grand lit bas,
wc privés, fenêtre, 17 m2 6900 €
* Cabines individuelles 9500 €
Départ Genève : supplément 330 € en chambre double, 370 € en chambre
individuelle.© Christian Kempf © Christian Kempf © Christian Kempf © Christian Kempf
© Maxime Barthelmé/Grands Espaces
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Pourquoi l’Ocean Nova ?Un navire polaire taillé pour l’exploration
PLAN DES PONTS ET DES CABINES
Construit en 1992, cet ancien express côtier du Groenland est le bateau taillé
pour naviguer entre icebergs et banquises. En 2006, il a été reconverti
à des fins touristiques, avec un large salon panoramique,
Salon
une salle de fitness, une bibliothèque, un magasin; il a été équipé de 8 zodiacs. d’observation
Zodiacs et de
D’octobre à mars, il navigue en Antarctique et de juin à septembre, conférences
il parcourt l’Arctique,du Canada à la Sibérie; une expérience polaire
hors du commun. Pont 5
Depuis 2012, Grands Espaces l’affrète et à partir de 2020, l’Ocean Nova Petit salon
Fitness
est dirigé par Grands Espaces avec nos itinéraires, nos aménagements, Passerelle
et comme toujours nos équipes de guides polaires à bord. Bibliothèque
Pont 4
Et le respect de l’environnement Accueil
L’Ocean Nova, par sa classe Glaces B1 et le nombre réduit de ses passagers,
Restaurant
est destiné à naviguer dans les zones polaires arctiques et antarctiques.
C’est pour cela en particulier que ce navire dispose des équipements Pont 3
largement supérieurs aux exigences des réglementations
environnementales, permettant de réduire son impact écologique : Accès Infirmerie
zodiacs
filtres de fumées de dernière génération, traitements des ordures à bord,
propulsion uniquement au fuel léger, moins polluant, et moteurs permettant Boutique
la plus faible consommation/passagers.
Cette consommation amène par ailleurs une compensation carbone Pont 2
intégrale, rendant ce bateau neutre. À bord pas de plastique jetable
et un suivi écologique des avitaillements. Cabine quadruple, Cabines doubles,
Enfin, de nombreux sites et réserves interdisent à raison et de plus en plus lits superposés lits bas
fréquemment les bateaux de plus 100 passagers dans les zones polaires Cabines triples, Cabines doubles supérieures,
lits superposés lits bas
fragiles, c’est pourquoi aussi l’Ocean Nova est permis à tous Cabine premium,
Cabines individuelles ou doubles,
les itinéraires polaires. lits superposés grand lit bas
13Votre bateau l’Ocean Nova
D’une longueur de 73 mètres et 11 mètres de largeur, un tirant d’eau de 4 mètres, il a une classe glaces A1-B1, et servi par 38 hommes d’équipage.
Ce navire polaire robuste est d’un confort remarquable, alliant efficacité et élégance, avec de plus l’expertise exceptionnelle de Grands Espaces
donnant ainsi la griffe des croisières d’exploration, au service de 72 passagers privilégiés.
Il va être réaménagé à l’automne 2019 pour vous offrir des cabines plus variées.
© Ocean Nova/Polar Quest/ Christian Kempf/ Quark© Wallpaper
www.grands-espaces.com
France/Belgique : Suisse :
Licence France IM 021170002.
Garantie financière APST.
Nos conditions générales de vente
info@grandssepaces.fr son disponibles sur notre site info@grandsespaces.ch
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