Questions ouvertes Réponses question 1 - Indico
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
Questions ouvertes Réponses question 1 Composantes de coordination de l'Université Paris-Saclay (départements, schools, collège doctoral). Rôle pour la formation et la recherche au sein de l'Université Paris- Saclay, rôle comme interlocuteurs des tutelles. Globalement, qu'attendez-vous des départements, schools et écoles doctorales de Paris-Saclay? Descriptif collectif : GROUPE 1 : Conseil des animateurs d'équipes de l'UMR1313 Génétique Animale et Biologie Intégrative, INRA-AgroParisTech, qui rassemble 200 agents permanents et non permanents. Collectif de 12 personnes. Départements : animation scientifiques transversales, collaborations nouvelles, faire reconnaître les sciences de la vie comme un domaine d'excellence de Saclay. Positionner les recherches en génétique, génomique et biologie animale (animaux d'élevage et animaux modèles, mammifères, oiseaux, poissons, insectes) comme sources de questions de recherches originales, méthodologies innovantes, métiers d'avenir. Financement de projets de recherche décloisonnés, avec priorité aux thématiques émergentes avec des crédits adaptés (fonctionnement, postdoc, bourses de thèse et de M2). Rendre visibles les dispositifs expérimentaux partagés, bénéficier de négociations de tarifs (maintenance, réactifs, etc.), avoir des conditions privilégiées d'accès aux plateformes du département de rattachement. Appui au montage institutionnel des projets, notamment européens, qui nécessitent des accords avec des intervenants de Saclay (ED pour les ITN par exemple, etc.) Schools: Simplification des procédures de demandes de cumul; élargir le vivier d'étudiants ayant accès aux formations dédiées aux animaux d'élevage pour préparer le recrutement de doctorants, ingénieurs, chercheurs voire techniciens; tirer partie des capacités de formation très importantes en nombre; développement de tronc commun en génétique pour la sélection; Ecoles doctorales: Accès à des bourses de thèse distribuées par les ED pour toutes les unités de l'UPSaclay, quelque soit la (les) tutelle(s) de rattachement. Simplification des procédures d'inscription, y compris pour les cotutelles : manque de clarté quant aux universités d'inscription (UPSaclay + université où de se fait réellement l'inscription), qui affaiblit le sentiment d'appartenance à l'UPSaclay GROUPE 2 : ARES – Association des réseaux étudiants de Paris-Saclay Regroupement des associations étudiantes informatiques/réseau de ENS-Cachan, CentraleSupelec et Upsud Fusion des moyens de communication entre établissement, regroupement des moyens de communication, cohérence plus importante qu’une réunion toute les 2 semaines entre les responsables chargés de com… GROUPE 3 : La réponse a été élaborée par le conseil de laboratoire du LMO (Laboratoire de Mathématiques d'Orsay) et le bureau du Département de Mathématiques d'Orsay (DMO) Dans ces composantes, les acteurs de terrain échangent des informations et se concertent rapidement sur les questions d'actualité. Ils collaborent, sans être freinés par les inquiétudes des multiples tutelles et l'esprit de chapelle. Formation et recherche ne doivent pas être déconnectés. Nous souhaitons une politique de formation avec adossement à la recherche, c’est difficile avec le découpage actuel en schools et départements de recherche. Remarque
lexicale : le mot « school » ne nous plait guère (euphémisme). Ecoles doctorales : danger d’une clé de répartition automatique des allocations entre les ED avec « formule mathématique ». Par exemple, partir du nombre de soutenances pour répartir est dangereux: cela peut être contradictoire avec une politique d’excellence, et cela nuit aux disciplines fondamentales, pour lesquelles les contrats doctoraux ministériels sont les sources essentielles de financement des thèses. A l’intérieur de l’EDMH, nous souhaitons que les allocations soient distribuées par consensus collégial au sein du conseil de l’EDMH. GROUPE 4 : Collectif des conseils d’unité du SPP, SACM de l'Irfu et secrétaire du C.U. Irfu (institut du CEA-Saclay/DRF), constitué de représentants du personnel élus. Le conseil d'unité peut discuter de nombreux sujets d'organisation de la vie de l'institut (organisation, budget, personnel - hors cas individuel, etc.) Comme il sera évoqué par la suite, il faudrait avant toute chose que les définitions, rôles et attributions de ces « composantes de coordination » soit clair pour tout le monde. Ce n’est pas le cas, une communication plus large et efficace est nécessaire. En ce qui concerne les départements (structurant la recherche au sein de Paris-Saclay), nous attendons qu’ils facilitent le partage des moyens liés à la recherche (outils, plateformes, expertises…) En ce qui concerne les schools (structurant l’enseignement au sein de Paris-Saclay), nous attendons qu’elles facilitent les partenariats entre structures d’enseignement, organismes de recherche et industriels en termes de stages, travaux de laboratoires et enseignements (diffusion de l’information sur les offres et les demandes). En ce qui concerne les écoles doctorales (structurant le 3ème cycle), nous comptons sur son rôle de guichet financier (bourses de doctorat, post-doctorat) et de vivier d’étudiants (diffusion des informations sur les offres de stages, thèses, etc) GROUPE 5 : Notre collectif est composé des chargés de recherche, directeurs de recherche, maitre de conférences, professeurs de l'unité MICALIS (INRA et AgroParisTech) qui ont pu prendre part à la discussion. En premier point et de manière générale, nous avons un grand besoin de plus amples informations concernant les composantes de l'université Paris Saclay. Nous ne connaissons pas suffisamment les instances et ce qui a été mis en place de manière effective ou ce qui sera mis en place dans l'université Paris-Saclay. Il nous semble crucial que ces informations soient facilement accessibles, claires, et mises à jour régulièrement. Nous souhaitons une amélioration de l'homogénéité des démarches administratives des écoles doctorales et des universités. Nous attendons des écoles doctorales, des financements de thèse, une formation des encadrants et un suivi des étudiants et de leur thèse. Elles doivent assurer le bon déroulement de la formation des étudiants et les aider à structurer correctement leurs compétences pour valoriser leur diplôme et les préparer à l'après-thèse. Dans le cas de l'unité Micalis les bourses des écoles doctorales ne concernent que très peu d'étudiants, nous attendons donc que les instances injectent plus de bourses dans les écoles doctorales. Conditions qui contribueront à garder le dynamisme et la visibilité de notre institut. Concernant les départements, nous sommes aussi en attente d'informations sur leurs directives, leurs rôles et sur les origines de leurs financements. Ils ne nous semblent pas suffisamment favoriser l'interdisciplinarité, ce qui peut être un frein pour le financement des départements. Nous avons de nombreuses questions sur leur devenir en cas de non renouvellement de l'IDEX, sont-ils des sources de financement? Ont-ils un pouvoir de pilotage scientifique ? Il nous semble intéressant qu'ils aient une possibilité de financer localement soit une population particulière (jeunes chercheurs) soit des projets à court terme afin de privilégier la "petite échelle" et non des grosses structures de type labex. GROUPE 6 : Conseil d'Unité et membres internes du Conseil scientifique et Technique du CEA/IRFU/Sédi
Départements : - Gagner en fluidité entre les laboratoires : o Facilitation de montages de plateformes instrumentales ou scientifiques communes. Elaboration de conventions types o Echanges et partage de personnel - Avoir une taille critique pour répondre à certains appels à projet - Aide au montage de dossier réponse à appel d’offre - Ecole doctorale : - Réelle capacité à financer des thèses. School : - Portail unique pour les stages. Un portail pédagogique unique. GROUPE 7 : Conseil de la faculté des sciences d'Orsay (Université Paris-Sud) composé de membres élus représentants des personnels BIATSS, des enseignants, des enseignants- chercheurs et des étudiants, ainsi que des présidents des départements de disciplines et services d’enseignement et des membres extérieurs nommés et de l’équipe de direction de la faculté. Ce texte a été approuvé à l’unanimité du conseil de faculté du 24 janvier 2017 Les composantes de coordination doivent être des espaces de partage et de co-construction des projets en formation et recherche. Ces structures doivent être visibles et compréhensibles pour l'extérieur, être des points d'entrée pour les étudiants et le monde socio-économique. Ces structures doivent prendre en compte l'ensemble de la communauté des établissements partenaires (unités de recherches, parcours de formation). Elles doivent également permettre le développement d’un lien fort et cohérent entre recherche et formation, de la licence au doctorat. GROUPE 8 : Conseil du Département de Chimie de la faculté des sciences d'Orsay de l’Université Paris-Sud, composé de membres élus et nommés représentants des personnels IATSS, des enseignants, des enseignants-chercheurs et des chercheurs Les composantes de coordination doivent être clairement identifiées et stables dans le temps. Elles doivent servir de point d’entrée pour l’extérieur (étudiants, entreprises,…) ; elles doivent rassembler l’ensemble de la communauté des établissements Paris-Saclay. Elles doivent permettre des échanges au sein de la communauté afin de favoriser les collaborations en recherche et assurer une cohérence au niveau formation. Ces composantes devraient avoir un rôle opérationnel et décisionnel au niveau des moyens humains et financiers dont disposent Paris-Saclay. Elles doivent décloisonner le système éducatif en supprimant l’opposition Universités / Grandes Ecoles. Il ne devrait pas y avoir de séparation recherche/formation pour favoriser l’adossement à la recherche des formations licence / master / doctorat. GROUPE 9 : Unité mixte de 800 personnels dont 460 permanents, réflexion du Conseil d'Unité - Nous ne nous sentons pas réellement concernés. Le département distribue un budget qui ne représente que quelques dizaines d’euros par chercheur. C’est un petit budget qui ressemble à de l’animation mais ne peut pas jouer de rôle structurant pour la recherche locale. - Nous attendons des départements qu’ils assurent l’animation scientifique et des schools qu’elles facilitent la fluidité du lien entre étudiants et laboratoires d’accueil. - Les schools avaient une vraie dynamique au début. Les enseignants chercheurs, semblent n’avoir plus beaucoup de temps à consacrer à cet ensemble et la dynamique initiale des schools parait arrêtée aujourd’hui. - Les structures Paris-Saclay devraient être un espace de concertation et de décision entre les différents partenaires permettant l’émergence de cohérence et de lien entre Formation et Recherche. - Quelle est la place réelle du collège doctoral de Paris-Saclay ? Paris-Saclay ne finance que quelques bourses de thèse et ce sont les établissements d’enseignement supérieur partenaires qui pilotent encore la politique de financement des thésards. Une intégration de ce dispositif est indispensable au niveau de Paris-Saclay pour légitimer cette vision collective du doctorat Paris-Saclay. GROUPE 10 : La Telecom Debating Society est l'association de débat en anglais de Télécom ParisTech. Elle concerne une vingtaine d'étudiants et fonctionne en commun avec
d'autres associations de débat des diverses écoles parisiennes. Nous organisons des séances de débat chaque semaine et préparons des tournois à l'international J'ai peu de connaissances de ces structures mais je suis persuadé de la nécessité de regrouper les écoles en département afin de proposer un nom unique à l'international, ce qui était avant le cas avec ParisTech. Les regroupements par domaines me semblent pouvoir tirer les formations vers le haut. GROUPE 11 : BDE Centrale Paris J'attends qu'elles collaborent pour faire du plateau de Saclay une zone étudiante où il fait bon vivre, conjuguant excellence académique et vie asssociative riche et variée GROUPE 12 : Membres d'un laboratoire (EGCE, Gif-sur-Yvette) Départements : que les départements aient les moyens de financer les orientations scientifiques, que toutes les disciplines soient bien représentées dans les conseils des départements, que le poids des labos (en nombre de personnes) soit respecté dans les différentes orientations de recherche, ainsi que les types de recherche (recherche fondamentale vs recherche appliquée) Shools : améliorer l'articulation entre les départements et les schools, mettre en lien effectif recherche et enseignement ED : revoir les contours des ED sur les départements ou les schools, mettre en cohérence les ED avec les disciplines de recherche, pb de découpage de certaines ED : certaines sont très générique (recouvrent plusieurs champs disciplinaires) d'autres sont thématiques (une discipline), définir une politique cohérente pour toutes les ED, créer une ED : Ecologie et Evolution, avoir une meilleure articulation et lisibilité des départements schools ED GROUPE 13 : Conseil d’Unité du Service de Physique Nucléaire (IRFU/SPhN, CEA/DRF Saclay) Ces composantes doivent apporter une plus-value par rapport à la situation antérieure à la création de la ComUE. Plus précisément, les écoles doctorales et les départements devront : • Au minimum, fournir un environnement privilégié/flexible pour promouvoir/faciliter les échanges d'information scientifique et la mise en place de collaborations entre les membres de l’Université Paris-Saclay et avec les étudiants. • Si leurs moyens le permettent, coordonner activement les activités de formation et de recherche des membres de l’Université Paris- Saclay en lien étroit avec les tutelles, sans se limiter à un rôle passif de guichet à appels d’offre. Cependant, la plus-value est loin d’être assurée et plus de deux ans après la création de l’Université Paris-Saclay il est aujourd’hui évident que ces composantes n’ont ni les pouvoirs, ni les ressources, ni les outils leur permettant de remplir leur mission efficacement. Dans la plupart des cas, ces composantes ne constituent donc qu’une strate supplémentaire à faible valeur ajoutée. A titre d’exemple, le département P2I auquel est rattaché le SPhN n’est toujours qu’une structure virtuelle sans budget opérationnel. Dans un autre registre, d’autres exemples du manque de moyens (et/ou de flexibilité) de la nouvelle structure commencent à émerger, comme les énormes difficultés à mettre en place des cotutelles de thèse avec des universités étrangères en raison des exigences de Paris-Saclay GROUPE 14 : Conseil d'Unité de recherche (UMR CNRS, Univ. Ecole) Offrir une meilleure visibilité aux formations et aux activités de recherche à l’international. Afficher une cohérence E/R La mutualisation des formations (Masters) permet un affichage cohérent et augmente l’attractivité. Les départements doivent certes favoriser l’interdisciplinarité mais aussi permettre d’approfondir les compétences dans la spécialité. Les
ED doivent pouvoir négocier à la hausse le nombre de contrats doctoraux auprès des membres, définir un mode de sélection commun et assurer une répartition équilibrée GROUPE 15 : Représentants des personnels de l’Institut de Chimie des Substances Naturelles, CNRS-UPR 2301. Les réponses apportées ici portent principalement sur l’organisation de la recherche. Nous souhaitons qu’émerge une bonne visibilité de chaque discipline, pour la recherche comme pour l’enseignement, en faisant ressortir et en renforçant les liens entre schools, départements et écoles doctorales ; sans pour autant ajouter des composantes supplémentaires telles que les Ecoles Universitaires de Recherche. L’hétérogénéité de fonctionnement d’un département à l’autre soulève également la question des unités de recherche dont les thématiques relèvent de plusieurs départements : comment devront-il gérer leur politique scientifique, réponse aux appels d’offres, etc. GROUPE 16 : Enseignants -chercheurs de l'unité EA 4043–Unité Bactéries Pathogènes et Santé (faculté de Pharmacie, Paris Sud) À ce jour, notre compréhension du rôle des départements et des schools n'est pas totale. De plus, les membres de ces composantes de coordination n'ont pas été élus au suffrage direct ce qui pose un problème de légitimité de ces composantes chargées de piloter la recherche d'une part et l'enseignement d'autre part. Ce pilotage ne nous semble ou pas évident, ou pas transparent. En ce qui concerne le fonctionnement des collèges doctoraux, qui nous semble plus clair ou pour lequel nous sommes mieux informés (?), les processus mis en place sont extrêmement complexes. Le rôle de ces composantes de coordination devrait être de favoriser et fluidifier l'obtention de budgets par exemple ou la création de formation, mais pour l'instant elles ne sont qu'une couche supplémentaire rajoutant encore à la complexité des processus GROUPE 17 : Laboratoire mixte de recherche Inserm-UPSud UMR-S1180, environ 50 personnes Nous attendons : a. une définition de la politique de recherche. b. des identifications plus tôt des étudiants pour la filière recherche, avec des stages plus tôt, style « rotation » américaine pour les M1 et avec compensation pour le laboratoire. Implantation d’un système de tutorat avec suivie dans le temps des étudiants. c. Nous attendons aussi une synchronisation des calendriers M2 afin que tous les étudiants aient ses résultats au moment du concours de l’école doctorale. d. Création de programmes d’échange des cours séjours à l’étranger pour les étudiants en thèse. GROUPE 18 : Conseil d'Unité constitué de 15 membres élus représentants des équipes et des corps et de 5 membres nommés (UMR 1402 INRA-AgroParisTech ECOSYS "Ecologie fonctionnelle et écotoxicologie des agroécosystèmes", située à Grignon et Versailles) L’unité ECOSYS souhaite que soit bien identifiés et positionnés les parcours de l’Université correspondant aux sciences agronomiques. L’agronomie n’a, pour l’instant, pas été enseignée à l’Université. Il faudra veiller à ce qu’elle existe bien en tant que telle dans les différentes strates universitaires (départements, schools, collège doctoral) ceci afin de permettre à nos enseignants-chercheurs de bien s’y retrouver mais aussi aux étudiants de rejoindre nos laboratoires dans le cadre de formations par la recherche (Master, Doctorat). GROUPE 19 : Bureau des sections syndicales de la FSU (SNCS, SNESup, SNASUB) sur le campus d’Orsay
Ces composantes devraient avant tout ne pas multiplier les couches administratives qui s’accumulent entre le niveau où les décisions sont prises et celui des personnels de l’université qui doivent les mettre en œuvre. Il n’en résulte que lourdeur et une distance trop grande entre les différents niveaux de l’université, nocive pour son fonctionnement démocratique. Le séparation des départements et des schools induit un clivage formation-recherche qui est une négation de la mission universitaire. La définition des départements correspond à un périmètre thématique plus petit que celui des composantes universitaires actuelles. Ce cloisonnement thématique est une régression (sans parler de la possible séparation L/MD prévue par les EUR, voir aussi la question 3). Pour fonctionner correctement et dans le respect de la liberté académique des enseignants et de chercheurs (constitutionnelle), ces composantes doivent être dirigées par des conseils comportant une majorité de représentants élus pour permettre de prendre en compte les diverses compétences des communautés concernées et de faire évoluer les orientations du fait de leur acceptation par la communauté. Si les tutelles ont bien le rôle de direction, elles doivent le faire en s’appuyant sur les communautés intervenant dans les formations et la recherche et non chercher à les contraindre comme c’est actuellement le cas à la limite du supportable dans la plupart des cas GROUPE 20 : Le groupe qui a formulé ces réponses est constitué des membres du conseil d'unité du Service d'Ingénierie des Systèmes au CEA/DRF/IRFU. Notre service tient principalement un rôle de support technique dans notre institut. Il est de ce fait assez peu en lien directement avec les composantes académiques de Paris-Saclay. On comprend en revanche, qu’un Paris-Saclay fort et fédéré dont le périmètre scientifique et technologique serait supérieur au seul périmètre du CEA, apporterait un poids supérieur vis- à-vis des tutelles (surtout au regard des autres Idex de la région parisienne). Actuellement, nous n’éprouvons pas de difficulté à trouver des étudiants pertinents (principalement en alternance) dans nos différents métiers bien que nous devons les former aux spécificités de nos activités (informatique de contrôle/commande des accélérateurs, circuits de puissance des aimants supraconducteurs…). Peut-être une opportunité pour des formations plus spécifiques à nos activités GROUPE 21 : Conseil Scientifique de l’Institut de Physique Théorique (Institut de la Direction de la Recherche Fondamentale du CEA et UMR rattaché à l’Institut National de Physique du CNRS) L’IPhT est thématiquement à cheval sur trois départements (Mathématiques, PHOM, P2I et un peu SDU), et est rattaché à l’école doctorale EDPIF qui est commune à plusieurs établissements de l’UPSAY et à d’autres établissements de Paris-Centre. L’IPhT organise de façon institutionnelle des cours niveau école doctorale de haut niveau, sans qu’ils soient nécessairement considérés comme tels. Plusieurs chercheurs de l’IPhT enseignent régulièrement au niveau master, sans que l’IPhT soit partenaire des susdits. Donc de notre point de vue, ces composantes (départements, schools, collèges doctoraux) devraient être prioritairement des structures de collaboration. Si les Labex et certaines opérations (comme le futur Institut Pascal pour la physique et ses interfaces ) marchent bien et sont très utiles, il y a un risque que les découpages, souvent différents, entre départements, schools et écoles doctorales apportent une rigidification et un cloisonnement fort du système, sans compter la multiplication des instances de discussion et de décisions et sans compter la multiplication des interlocuteurs avec les tutelles. Cela nuit de plus évidemment à la visibilité, en interne aussi bien qu’à l’externe, du système. Nous imaginons que ces préoccupations sont partagées par d’autres unités de recherche en physique théorique. Au stade actuel, les nouveaux projets d’Ecoles Universitaires de Recherche (EUR) sont très peu lisibles. Il n’est pas clair que la mutualisation des ressources comme les contrats doctoraux, ou bien un droit de regard global de l’UPSay sur les recrutements des chercheurs et enseignants chercheurs des
établissements n’ait pas plus d’effets négatifs que positifs. L’excellence et l’adéquation avec les besoins des établissements doivent rester les critères GROUPE 22 : Conseil de laboratoire de l'ISMO UMR 8214 Recherche et enseignement ne sont pas séparés dans les grandes universités internationales. Il faut donc mettre en place un mode de fonctionnement dans lequel départements et schools seraient en interaction forte pour obtenir une université forte. Il faut que les composantes de coordination soient autonomes et dotés de moyens propres pour impulser une politique scientifique Les tutelles ne devraient pas intervenir au niveau des composantes de coordination, mais à celui du CA On attend un fonctionnement homogène, transparent, et une politique scientifique globale qui prenne en compte de manière équilibrée les besoins de la recherche fondamentale aussi bien que la valorisation et les demandes du milieu industriel et ceux de l’enseignement GROUPE 23 : Conseil d'Unité + Conseil scientifique et Technique CEA/DSM/Irfu/SACM D’une manière générale et étant peu poussés à rechercher l’information, nous manquons d’informations sur l’organisation des départements. Les schools nous semblent plutôt orientées physique fondamentale et comme service “technique”, nous n’y voyons pas encore d’intérêts flagrants à ce jour… Côté école doctorale et plus particulièrement PHENIICS, son orientation vers la physique freine les accès aux sujets plus technologiques (par exemple, les bourses P2IO nous ont été peu accessibles sur des propositions de sujets technologiques) Globalement, l’objectif attendu est un échange des savoirs, un lieu facilitant les formations (étudiantes ou continues) y compris dans les sujets des technologies appliquées GROUPE 24 : Envoi par email (voir doublon avec réponse 3) Description du collectif : conseil du département de mathématiques recherche de l'Université Paris-Saclay. Composantes de coordination de l'Université Paris-Saclay (départements, schools, collège doctoral). Rôle pour la formation et la recherche au sein de l'Université Paris-Saclay, rôle comme interlocuteurs des tutelles. Globalement, qu'attendez-vous des départements, schools et écoles doctorales de Paris-Saclay ? Ces composantes pourraient être le lieu où les acteurs de terrain collaborent, sans être freinés par les inquiétudes des multiples tutelles et l'esprit de chapelle. Ne pas les voir comme des rouages (avec des conseils qui se prononcent sur des décisions statutaires...) mais comme des réseaux d'acteurs qui échangent des informations et se concertent rapidement sur les questions d'actualité. On est pris au piège des découpages non superposables des schools, ED et départements : ça va être très compliqué. Peut-être qu'à l'occasion de l'évaluation HCERES, avec ses "champs", on pourrait se rapprocher d'un découpage unique. En tout cas, le département de mathématiques revendique un droit de regard sur les questions doctorales et de formation, inséparables de la politique de recherche dans cette discipline. En particulier, il doit être consulté sur les nominations de responsables de master et d'école doctorale. Idéalement, le moteur de la politique de recrutement devrait être, dans chaque discipline, une combinaison de formation et de recherche. A l'heure actuelle, les départements recherche semblent mieux armés que les schools pour s'emparer de la question. Dans ce domaine, ils peuvent épauler les organes adhoc des établissements,
* en organisant des discussions préliminaires sur les profils et les besoins des différents établissements en enseignants-chercheurs et chercheurs, * en centralisant les vacances et les demandes d'ouverture de postes, * en centralisant les discussions sur certains postes temporaires (ATER et assimilés, monitorats), * en propageant les bonnes pratiques, notamment sur le recrutement non-local. Du côté des Ecoles doctorales, la centralisation des financements de contrats doctoraux du MENESR suscite une vive inquiétude sur les modalités de répartition par Ecole doctorale, voire par discipline, et par établissement. Les clefs de répartition ne doivent pas devenir purement numériques. Il est important par exemple de préserver le volant des allocations ministérielles de l’université Paris-Sud au risque d’y voir disparaître les financements pour les thèses de mathématiques très fondamentales. Il serait sage que la répartition négociée [CS : 1 tous les 2 ans, X-ENSTA : 4,5, Cachan : 1, UEVE : 1,5, UPSud : 8, UVSQ : 1, Ulm (PSL) : 1 de temps en temps], soit conservée les premières années. Les allocations provenant d’autres ministères doivent être traitées de manière semblable, pour ne pas créer de distorsion entre disciplines. GROUPE 25 : UMR1145 Ingénierie Procédés Aliments (GENIAL) AgroParisTech-Inra. 90 permanents (43% enseignants-chercheurs, 20% CR-DR-IR, 37% ITA), 40 non-permanents (doctorants, post-doctorants) Il nous semble important qu’il y ait un lien fort et structurel entre schools (enseignement) et départements (recherche) et de maintenir les diversités de recrutements et parcours (GE, université). Mais il faut aussi bien clarifier le rôle de chacun : recherche (départements) / enseignement (schools). Départements : il faut rendre plus évidente la plus-value de leur existence pour les chercheurs (car il s’agit d’ensembles très gros et il est difficile de faire naître le sentiment d’appartenance). Rôle ? orienter des AO projets coopératifs pour rapprocher les équipes au sein d’un département ? Mutualisation (masse critique) pour l’aide et l’appui au montage de dossiers (projets européens par ex.), coopération internationale… Schools : permettre une meilleure lisibilité sur l’offre de formation. Echanges inter- schools. Mais vigilance quant à la diversité et la spécificité des formations en fonction de l’histoire et de l’évolution de chaque composante et des besoins sociétaux et pour l’emploi. Ne pas faire disparaitre l’hétérogénéité disciplinaire et la diversité des champs d’application et des approches qui existent au sein de chacune discipline au sein de l’Université Paris- Saclay. GROUPE 26 : Réponses apportés par le Collège des Directeurs d’Unité PhOM au Questionnaire du Conseil Académique. Les Départements de l’Université Paris-Saclay se trouvent dans le prolongement direct des structures de collaboration, de concertation, et d’action qui existaient en amont, tel que le RTRA « Triangle de la Physique ». Etant donné les liens forts qui existent entre les unités de recherche qui les composent, il est absolument indispensable de maintenir les Départements
comme une structure de concertation et collaboration en ce qui concerne, premièrement, le développement de plateformes instrumentales d’envergure, deuxièmement, la définition de projets communs et la réponse aux appels à projet d’envergure (H2020, SESAME,…). La cohérence de la démarche et l’adhésion de tous les acteurs concernés doivent être garanties par une dotation financière conséquente des Départements, permettant un programme d’Appels à Projets et d’autres actions autonomes et porteurs, piloté, coordonné, et arbitré par les Départements (et non par le CoTuRe). Les laboratoires membres du Département PhOM souhaitent, au-delà, une approche plus ambitieuse où le Département est lieu de proposition d’une stratégie de recherche commune et d’initiatives d’envergure, et joue un rôle important dans l’identification des besoins RH, se positionnant comme porte-parole de la communauté vis-à-vis des tutelles (organismes, établissements, ministères). Dans le souci de garantir une qualité de recrutement élevée, les Départements doivent définir et proposer des pratiques / procédures de recrutement homogènes et transparentes pour tous les établissements membres. Les Départements et les Schools doivent entretenir une relation de proximité forte afin de définir des filières de formation, à tous les niveaux (LMD). Ce n’est pas le cas actuellement. GROUPE 27 : Cette réponse a été conçue et débattue collectivement en AG puis au sein du conseil de laboratoire du LIMSI, UPR CNRS 3251. En préambule, et pour lever l’ambiguïté, nous avons interprété ‘Université Paris Saclay comme désignant l’Université cible de l’IDEX (nécessairement intégrée), et non pas la COMUE dans sa forme actuelle. Un premier message du laboratoire est que ce projet d'intégration porté par l'IDEX est une opportunité qui doit être saisie pour le bénéfice de tous les acteurs du plateau (étudiants, enseignants, administratifs); il doit être poursuivi et approfondi. Nous n’avons pas souhaité répondre à toutes les questions, considérant que certaines, très générales, n’appelaient pas de réponse à notre niveau. L'existence de trois types de composantes de coordination fait débat. L'organisation disciplinaire qui s'est imposée pour former Schools et Départements bride le développement des activités pluridisciplinaires aussi bien en recherche qu'en enseignement. La séparation entre Schools et Département éloigne recherche et enseignement et donc probablement être repensée; cette réflexion pourrait s'étendre aux ED. Par ailleurs les personnels administratifs sont les grands absents de cette organisation puisqu’au niveau de la gestion (finance, RH, etc) aucune coordination n'est encore en place. Dernière remarque générale: l'interaction entre les laboratoires et les Schools, et avec les EDs est inexistante; la représentation des laboratoires au sein des départements est trop faible, alors que les laboratoires constituent les briques de base de l'organisation de la recherche dans l'Université. Concernant spécifiquement les départements, qui sont les seuls interlocuteurs identifiés des laboratoires, notre souhait est qu'ils jouent principalement un rôle de coordination et veillent à limiter l’apparition de doublons, à susciter des programmes de partenariat, etc. Ils doivent apporter une plus-value aux travaux menés dans les laboratoires dans l'optique faire émerger un pôle de premier plan au niveau international. Il s’agit donc de positionner les forces dans le contexte international et de localiser les manques qui pourraient fragiliser l’ambition. Il est également importants qu'ils mettent en place une politique visant au développement de synergies entre laboratoires, de soutien aux actions émergentes, de mutualisation de moyens (expérimentaux, numériques) et de plateformes, et de collaborations entre les différents départements de l’Université. Ils n’ont en revanche pas vocation à se substituer aux tutelles. Le fait qu’ils soient organisés par discipline est un problème pour l’émergence de programmes interdisciplinaires, sinon aux marges, alors que les défis scientifiques (dans notre laboratoire : mathématiques appliqués + calcul haute performance + visualisation scientifique + mécanique des fluides numériques ; mathématiques appliquées + linguistique + traitement du signal etc) et sociétaux (Energie, Environnement, Transport, Santé) d’aujourd’hui sont fondamentalement interdisciplinaires. Les laboratoires restent les seuls endroits dans lesquels de tels programmes de recherche peuvent se développer sur le long terme et de manière non-opportuniste.
GROUPE 28 : Conseil de laboratoire de l’UMR CNRS 8612 Notre conseil de laboratoire a soulevé la question des départements et des schools qui sont totalement éclatés. Nous pensons que les schools et les départements ne doivent pas être dissociés. Pour les Ecole Doctorales, nous pensons que le Collège Doctoral n’a fait que complexifier le fonctionnement des ED et qu’il aurait fallu faire plus confiance aux ED, leur donner plus d’autonomie en bref déconcentrer le rôle du collège. Les départements doivent disposer de moyen pour soutenir la recherche. C’est à eux que doit revenir le rôle de lancer des appels d’offres de l’IDEX
Question 2 Informations vers la communauté (forum, institutionnel, pages web, autres mécanismes, réunions d'information). Globalement, quels outils de communication vous sembleraient les plus efficaces pour diffuser l'information interne à Paris-Saclay ? Descriptif collectif : GROUPE 1 :Conseil des animateurs d'équipes de l'UMR1313 Génétique Animale et Biologie Intégrative, INRA-AgroParisTech, qui rassemble 200 agents permanents et non permanents. Collectif de 12 personnes. Outils considérés comme efficaces : newletters courtes et fréquentes adressées à tous les personnels par mail, avec liens internet. Avoir un annuaire des personnels de l'UPSaclay avec trombinoscope ? GROUPE 2 : ARES – Association des réseaux étudiants de Paris-Saclay Regroupement des associations étudiantes informatiques/réseau de ENS-Cachan, CentraleSupelec et Upsud Fusion des moyens de communication entre établissement, regroupement des moyens de communication, cohérence plus importante qu’une réunion toute les 2 semaines entre les responsables chargés de com… GROUPE 3 : La réponse a été élaborée par le conseil de laboratoire du LMO (Laboratoire de Mathématiques d'Orsay) et le bureau du Département de Mathématiques d'Orsay (DMO) Actuellement, il y a plusieurs outils de communication. Ils touchent un nombre très modéré de personnes. Dans la phase actuelle, et sans doute aussi dans la phase de démarrage de la future université-cible, il nous semble important de désamorcer le colportage de rumeurs qui inquiètent les personnels, et qui existe de manière non négligeable. Outil pour cela : Une FAQ, qui reprendrait les rumeurs et ferait un point précis sur la question ? Un forum de discussion avec modérateur ? GROUPE 4 : Collectif des conseils d’unité du SPP, SACM de l'Irfu et secrétaire du C.U. Irfu (institut du CEA-Saclay/DRF), constitué de représentants du personnel élus. Le conseil d'unité peut discuter de nombreux sujets d'organisation de la vie de l'institut (organisation, budget, personnel - hors cas individuel, etc.) La communication sur ce qu’est Paris-Saclay, son fonctionnement et ses offres est très insuffisante ou alors ne passe pas. Il nous semblerait efficace de baser cette communication sur a) des événements (séminaires et autres) b) des annonces par mail de type newsletter ou alerte qui donnent des informations brèves et des liens qui permettent aux abonnés de se tenir informés. GROUPE 5 : Notre collectif est composé des chargés de recherche, directeurs de recherche, maitre de conférences, professeurs de l'unité MICALIS (INRA et AgroParisTech) qui ont pu prendre part à la discussion. L'information doit être accessible sans que nous soyons obligés de nous inscrire sur des listes de diffusion. L'information peut en effet ne pas être évidente à tous lorsqu'elle se trouve au
milieu d'un message très général. Un retour des instances vers le personnel nous semble une première étape importante pour obtenir une information "globale" qui ensuite pourra être affinée, détaillée. De même il semble que nous ayons peu de retour d'informations du département. Une organisation sur site des "relais" qui assurent le transfert et l'organisation de l'information par exemple directement par affichage nous parait nécessaire. De même la participation de ces relais lors des assemblées générales et conseils d'unité serait importante GROUPE 6 : Conseil d'Unité et membres internes du Conseil scientifique et Technique du CEA/IRFU/Sédi Un bon site WEB interne + lettre information trimestrielle (sur abonnement). Réunions d’informations de la gouvernance de Paris-Saclay dans les établissements. GROUPE 7 : Conseil de la faculté des sciences d'Orsay (Université Paris-Sud) composé de membres élus représentants des personnels BIATSS, des enseignants, des enseignants- chercheurs et des étudiants, ainsi que des présidents des départements de disciplines et services d’enseignement et des membres extérieurs nommés et de l’équipe de direction de la faculté. Ce texte a été approuvé à l’unanimité du conseil de faculté du 24 janvier 2017 L’outil privilégié devrait s’articuler autour de pages web bien structurées et indexées répondant à la fois aux besoins de la communication externe et interne. En complément, un forum interne doit être développé qui permette une communication sous forme de questions-réponses. Cet espace pourra être modéré, permettant d'éviter la propagation de rumeurs. La communication doit également être organisée pour la remontée des informations des composantes vers la structure Paris-Saclay. GROUPE 8 : Conseil du Département de Chimie de la faculté des sciences d'Orsay de l’Université Paris-Sud, composé de membres élus et nommés représentants des personnels IATSS, des enseignants, des enseignants-chercheurs et des chercheurs Des réunions d’information sur les points les plus importants et structurants Informations via page web et publipostage GROUPE 9 : Unité mixte de 800 personnels dont 460 permanents, réflexion du Conseil d'Unité Il y a un manque important de diffusion de l’information envers tous les personnels des établissements, d’où le sentiment de ne pas appartenir à Paris-Saclay. - Un lien RSS nous semblerait efficace pour ceux qui souhaitent suivre l’information au plus près ainsi que quelques réunions d’information dans l’année avec envoi de l’ordre du jour si possible au moins deux semaines à l’avance. Le nombre de ces réunions n’a pas besoin d’être important (1 à 4 par ans), selon l’actualité (étape clé dans la structuration de l’UPS, appel d’offres/projets…) - Il faudrait des volontaires pour participer aux réunions d’information et qu’ils assurent le débriefing au niveau des sites ou unités pour les personnes intéressées. - Un retour de la constitution et l’avancée des groupes de travail sur les différents chantiers Paris-Saclay permettrait aux membres de la communauté de s’intéresser et de ne plus perdre de vue le « pourquoi » de Paris-Saclay. - Des membres du conseil académique pourraient organiser au sein des instituts ou d’ensembles locaux une réunion d’information. - Une lettre d’information synthétique retraçant régulièrement les péripéties et avancées du projet mériterait d’être envoyée à tous les personnels afin de les sensibiliser mieux au projet - Nous ne sommes pas suffisamment informés par le département SDV. Les ITA en particulier manquent d’information provenant à la fois de Paris-Saclay et du département
GROUPE 10 : La Telecom Debating Society est l'association de débat en anglais de Télécom ParisTech. Elle concerne une vingtaine d'étudiants et fonctionne en commun avec d'autres associations de débat des divers écoles parisiennes. Nous organisons des séances de débat chaque semaine et préparons des tournois à l'international Facebook, avec une page bien faite pour les étudiants et qui donne des informations très claires et renvoyant sur un site internet avec des descriptions plus précises GROUPE 11 : BDE Centrale Paris Les opérations de communication par mail ne sont efficaces que si elles sont réalisées en interne par les BDE de chaque école. Les réseaux sociaux sont aussi un moyen efficace pour communiquer avec les étudiants mais il faut effectivement en amont que les portes parole auprès des étudiants soient informés lors de réunion (comme celles de l'EPA PS) GROUPE 12 : Membres d'un laboraroire (EGCE, Gif-sur-Yvette) Site web parait le moyen le plus adapté mais en l'état actuel est peu maniable (méandres, difficile de s'y retrouver), une lettre d'information de type newsletter par mail est appréciée, avoir des correspondants Paris-saclay dans les unités (typiquement membres du CAc) est essentiel pour avoir en direct des informations et mieux comprendre les actualités GROUPE 13 : Conseil d’Unité du Service de Physique Nucléaire (IRFU/SPhN, CEA/DRF Saclay) De manière générale, plusieurs vecteurs d’information peuvent être utilisés (web, flux RSS, mailing, réseaux sociaux et institutionnels) en fonction de l’objectif et du public visé mais tous doivent renvoyer vers une source d’information unique et complète qui peut être le site web. Le site web est bien fait et assez complet, mais l’information est très peu diffusée en dehors du site et n’atteint pas la plupart des membres de la communauté Paris-Saclay. Pour la majorité de la communauté une diffusion des informations par email (ou flux RSS) serait beaucoup plus efficace à condition de pouvoir correctement cibler les destinataires et minimiser le nombre d’emails. Par ailleurs, la « Lettre de l’Université Paris-Saclay » était utile pour diffuser des informations générales et créer un début de sentiment d’appartenance à une communauté, mais le dernier numéro remonte à juin 2016… dommage GROUPE 14 : Conseil d'Unité de recherche ( UMR CNRS, Univ. Ecole) Mettre en place un site web de qualité, bilingue (anglais, français) avec un flux d’informations bidirectionnel des membres vers l’administration centrale, et une newsletter numérique hebdomadaire par exemple. Diffuser une information accessible à tous, définissant bien les élèments essentiels sur les statuts, les rôles et les fonctionnements. GROUPE 15 : Représentants des personnels de l’Institut de Chimie des Substances Naturelles, CNRS-UPR 2301. Les réponses apportées ici portent principalement sur l’organisation de la recherche. Les moyens mis en œuvre pour la communication au sein de notre principal département (chimie) nous semblent aujourd’hui insuffisants. L’organisation du département (conseil, bureau) et ses missions ne sont pas suffisamment connues. La page web du département devrait être enrichie. Une communication plus régulière est également nécessaire. Ceci est d’autant plus important dans la perspective de l’accroissement des compétences des départements, tel que décrit dans le bleu ministériel. A l’échelle du département comme à celle de l’université entière, des lettres d’informations électroniques régulières, envoyées
directement à un grand nombre de personnes, permettraient à chacun de suivre la vie de l’université. La lettre « CNRS-hedbo » est un bon exemple. Cela nécessiterait un recensement des membres de chaque département, indépendamment des structures existantes (type LabEx). L’université Paris-Saclay doit mettre en place le soutien logistique nécessaire pour que les départements puissent mettre en œuvre leur mission de coordination et de communication. Il pourrait être nécessaire qu’une ou plusieurs personnes supplémentaires assurent ces missions de communications pour l’ensemble des départements GROUPE 16 : Enseignants -chercheurs de l'unité EA 4043–Unité Bactéries Pathogènes et Santé (faculté de Pharmacie, Paris Sud) Lettres d'information mensuelles + site web plus détaillé où l'on peut se référer si nécessaire + réunions d'informations semestrielles ou annuelles GROUPE 17 : Laboratoire mixte de recherche Inserm-UPSud UMR-S1180, environ 50 personnes Nous sommes noyés d’information avec des centaines des mails dont on n’a pas toujours le temps de lire et c’est difficile filtrer l’info. Phrase dans le sujet ou début résumant l’info dans le message afin que les personnes concernées le lisent complètement et les autres ne perdent pas le temps. Certain membres ont suggéré : une radio, avec musique et infos de l’Université Paris Saclay. Une chaine télé en boucle type celles dans les aéroports. Facebook, twitter GROUPE 18 : Conseil d'Unité constitué de 15 membres élus représentants des équipes et des corps et de 5 membres nommés (UMR 1402 INRA-AgroParisTech ECOSYS "Ecologie fonctionnelle et écotoxicologie des agroécosystèmes", située à Grignon et Versailles) Une newsletter semble l’outil le mieux approprié pour regrouper et diffuser régulièrement un ensemble d’informations et d’actualités sur l’Université à destination des personnels. Elle peut être en format numérique bien entendu, avec un système de développement des sujets qui permette d’avoir une info succincte au premier coup d’œil et seulement le développement du sujet si cela est souhaité. Un site web (régulièrement mis à jour) pourrait être un support également intéressant pour rassembler et trouver des informations plus structurelles. Pourquoi pas une radio Campus Paris-Saclay ou une chaîne de télévision en circuit fermé ? D’une manière générale un studio audiovisuel attaché au service de communication. GROUPE 19 : Bureau des sections syndicales de la FSU (SNCS, SNESup, SNASUB) sur le campus d’Orsay Est-ce par manque d’information ou par refus de la politique proposée que la communauté ne se mobilise pas pour faire avancer l’idée d’une « Université Paris-Saclay » ? Le niveau de la communauté ne lui permet-il pas de trouver les informations qu’elle souhaite avoir quand elles sont disponibles (et non tenues secrètes comme cela a été, voire est encore le cas, pour la construction de l’Université Paris-Saclay via le projet idex). Encore faudrait-il écouter ses réponses qui remontent en maintes occasions et, mieux encore, en tenir compte GROUPE 20 : Le groupe qui a formulé ces réponses est constitué des membres du conseil d'unité du Service d'Ingénierie des Systèmes au CEA/DRF/IRFU. Un site WEB est certainement la méthode la plus efficace pour communiquer. Celui de Paris- Saclay semble bien structuré. Pour des services comme le nôtre qui restent peu impliqués dans les structures de Paris-Saclay et qui ont donc des difficultés à en appréhender l’intérêt,
Vous pouvez aussi lire