Relance des économies post-Covid-19 : Le Togo plaide pour une mobilisation accrue des ressources
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Relance des économies post- Covid-19 : Le Togo plaide pour une mobilisation accrue des ressources Le Togo plaide pour une mobilisation accrue des ressources en vue d’une riposte efficace contre la pandémie et la relance effective des économies africaines post-Covid-19. Le plaidoyer a été formulé au nom du chef de l’Etat Faure Gnassingbé par le Secrétaire général de la Présidence de la République, Mme Sandra Ablamba Johnson qui prenait part vendredi dernier à une réunion ministérielle des Pays les moins avancés (PMA). « C’est le lieu de solliciter une fois encore l’appui des Nations Unies pour la mobilisation des partenaires internationaux et des institutions financières à travers la réallocation des Droits de tirage spéciaux (DTS) pour soutenir la relance des économies africaines et l’accès universel aux vaccins », a indiqué Sandra Johnson à la réunion consacrée aux défis de développement dans les PMA. Les flux de financement à l’endroit des Pays les moins avancés ont été en effet réduits par la crise sanitaire, ce qui compromet la trajectoire d’émergence des économies de ces économies de même que leur engagement en faveur de l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD).
Mme Sandra Johnson a également saisi l’occasion pour partager avec les PMA, les expériences du Togo en matière de relance de l’économie post-Covid-19. Elle a évoqué au passage, la réajustement de la stratégie développement du Togo à travers l’adoption d’une feuille de route pour la période 2020-2025, les initiatives implémentées dans le cadre de la stratégie des 3R (Riposte-Résilience- Relance) pour contenir la maladie et assurer la croissance et atteindre les prévisions de croissance estimées à 4,8 % pour l’année 2021. Le Secrétaire Général de la Présidence a en outre expliqué que le Togo a privilégié la voie de l’investissement dans les secteurs à fort potentiel économique et à fort impact sur le bien-être de la population, au regard de l’incertitude qui entoure les perspectives économiques à court et moyen termes avec l’apparition de nouveaux variants et la nouvelle vague de contamination. L’opérationnalisation de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) et la récente mise en service des centrales thermique de Lomé et photovoltaïque de Blitta sont entre autres de nouvelles initiatives qui devront permettre au pays de lutter efficacement contre la pandémie et garder le cap de la croissance. A cela s’ajoutent de nouvelles mesures sanitaires et sociales notamment l’intensification de la campagne de vaccination de masse, la gratuité des frais de scolarité et d’inscription dans les établissements publics d’enseignement secondaire, la gratuité des tranches sociales d’eau et d’électricité pour le mois d’août sans oublier le programme « Wezou » dédié à l’accompagnement des femmes enceintes et des nouveau-nés. David S.
Togo : 07 milliards de F CFA déjà mobilisés pour la réalisation du RGPH-5 Au Togo, la réalisation du cinquième Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5) est à l’étape de la mobilisation des ressources auprès des partenaires. A ce jour, 07 milliards de FCFA sont déjà mobilisés, soit près de 80 % des ressources nécessaires. 8.698.520.200 FCFA, c’est en effet le budget nécessaire pour la réalisation de cette opération prévue pour novembre 2021. La 2ème table ronde pour la mobilisation des partenaires a été tenue jeudi à Lomé sous la houlette de Mme Sandra Johnson, secrétaire générale de la Présidence de la République. Une réunion au cours de laquelle trois (03) milliards de F CFA ont été annoncés par les partenaires. Mme Sandra Johnson avait à ses côtés, la représentante résidente du Fonds des Nations unis pour la population (UNFPA) au Togo, Mme Josiane Yaguibou, cheffe de file des partenaires dans le cadre du 5è RGPH. Il faut souligner que le RGPH-5 permettra au Togo de disposer d’une part des indicateurs nécessaires au suivi et à
l’évaluation des agendas nationaux et d’autre part de connaitre la situation sociale de la population. Ce recensement permettra selon le gouvernement, de disposer des indicateurs nécessaires pour le suivi et l’évaluation des agendas nationaux et internationaux, de connaitre la situation sociale de la population, y compris celle des populations vulnérables notamment les personnes vivant avec un handicap, les orphelins, les enfants, les personnes âgées et les femmes à des niveaux géographiquement désagrégés. Par ailleurs, les données relatives aux caractéristiques de l’habitat et du cadre de vie de la population et les différents mouvements de la population seront également appréciées. Le dernier recensement de la population et de l’habitat au Togo date de 2010. David S. Climat des affaires : le Togo fait toujours bonne figure Le Togo demeure l’un des meilleurs réformateurs africains en matière d’amélioration du climat des affaires et de renforcement de la résilience du secteur privé.
C’est ce que révèle le Rapport 2020 du Baromètre du Conseil des investisseurs français en Afrique publié le 18 mars dernier à l’issue du Forum Afrique du CIAN 2021 auquel a pris part la Secrétaire générale de la Présidence de la République et coordonnateur de la Cellule du climat des affaires (CCA), Mme Sandra Johnson. Selon le document, le Togo figure parmi le Top 6 des économies africaines ayant offert en 2020 des meilleurs cadres incitatifs à l’investissement privé, avec un score de 2,8 points. Sur 31 pays cibles, seuls 16 ont pu réaliser un score supérieur à la moyenne fixée à 2,5 points. Le Togo occupe ainsi le 1er rang dans la sous-région ouest africaine, une place qu’il partage avec ses voisins du Bénin et du Ghana, et se positionne au 6è rang sur le continent. Il faut souligner que l’évaluation a pris en compte divers critères de performances notamment les infrastructures, l’administration, l’économie, les finances, le social, les facteurs de production et le développement durable. La Rédaction Togo : De nouvelles responsabilités pour Sandra Johnson et Malik Natchaba
Dans la foulée de la nomination du nouveau premier ministre du Togo en la personne de Mme Victoire Tomégah-Dogbé, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé a également procédé à d’autres nominations. Ainsi, la ministre déléguée Sandra Johnson en charge de l’amélioration du climat des affaires est nommée secrétaire générale de la Présidence de la République, en remplacement de Daté Patrick Têvi-Bénissan décédé le 1er septembre dernier. Par ailleurs, le Ministre délégué, Coordonnateur de la Cellule présidentielle pour l’exécution et le suivi des projets prioritaires M. Kanka Malik Natchaba est également nommé ce jour Secrétaire général du Gouvernement. Il remplace à ce poste Ahondo Komlan. Cris DADA Togo : Mme Victoire Tomégah- Dogbé succède à Komi Klassou à la Primature
Mme Victoire Tomégah-Dogbé est le nouveau Premier ministre du Togo. Elle vient d’être nommée ce lundi à ce poste par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. La Directrice de cabinet de la Présidence de la République succède ainsi en qualité de cheffe du gouvernement au désormais ex-Premier ministre Komi Sélom Klassou. C’est la première fois dans l’histoire politique du Togo qu’une femme est nommée à ce poste. Mme Victoire Tomégah-Dogbé occupait jusque là, le poste de Directrice de cabinet de la Présidence de la République et ministre du développement à la base, de l’artisanat et de l’emploi des jeunes. La composition du nouveau Gouvernement devrait également être dévoilée dans les prochaines heures. Pour rappel, c’est le vendredi 25 septembre dernier que le Premier ministre sortant Komi Sélom Klassou a remis sa démission ainsi que celle de l’ensemble du gouvernement au Président de la République Faure Gnassingbé. David S.
Sandra Johnson : « le Togo n’est pas concerné par les irrégularités dans les rapports Doing Business » « Notre patrie le Togo n’est pas concerné par les irrégularités dans le Rapport Doing Business », a indiqué ce lundi dans une interview accordée à nos confrères de TogoFirst, la ministre déléguée Sandra Johnson, Conseillère du Président de la République, en charge de l’amélioration du Climat des Affaires. Cette intervention fait suite à l’annonce de la suspension pour cause d’irrégularités, du rapport Doing Business qui évalue chaque année le climat des affaires dans près de 190 pays dans le monde dont le Togo. « Qu’importe les évaluations, le plus important reste la contribution des réformes réalisées au mieux-être des acteurs du secteur privé et de la population togolaise », a-t-elle ajouté. « Nous allons, pour notre part, poursuivre la mise en œuvre des reformes, qui constituent un des facteurs de succès de notre Plan National de Développement (PND) », a poursuivi la ministre. Dans un communiqué rendu public ce jeudi 27 août, la Banque mondiale avait notamment indiqué qu’ « un certain nombre
d’irrégularités ont été signalées concernant des modifications des données des rapports Doing Business 2018 et Doing Business 2020, publiés en octobre 2017 et 2019 ». « Les modifications des données n’étaient pas cohérentes avec la méthodologie Doing Business », soulignait le document. « Nous agirons sur la base des résultats et corrigerons rétrospectivement les données des pays les plus touchés par les irrégularités », poursuit le communiqué. Pour rappel, le classement Doing Business est publié chaque année au mois d’octobre. Dans l’édition 2020 rendue publique en octobre 2019, le Togo a réalisé un bond de 40 places, se classant ainsi au 97e rang sur 190 pays, faisant de lui le 3e pays le plus réformateur au monde derrière l’Arabie Saoudite et la Jordanie, et premier en Afrique. David S. De nouvelles réformes en matière d’amélioration du climat des affaires au Togo Les nouvelles réformes opérées par le gouvernement togolais en faveur de l’amélioration du climat des affaires ont fait
l’objet d’une rencontre d’échange avec les médias ce mercredi à Lomé. Face aux professionnels des médias, Mme Sandra Johnson, ministre déléguée, conseillère du président de la République et chargée de l’amélioration du climat des affaires a expliqué que les réformes majeures du Togo au cours de ces derniers mois concernent divers secteurs. Il s’agit notamment de l’exécution des contrats qui vise à garantir la sécurité juridique de l’investissement, la simplification du paiement des taxes et impôts et la promotion de la tranparence, la réduction des coûts de raccordement à l’électricité, l’opérationnalisation du guichet unique pour le foncier, la dématérialisation des procédures douanières en lien avec le commerce transfrontalier, la branchement gratuit à l’eau potable pour les PME/PMI, la réduction des coûts et procédures de création d’entreprise, et l’accès au crédit avec le renforcement du dispositif de sûretés mobilières au profit des banques au même titre que l’accompagnement du Bureau d’information de crédit (BIC). « Malgré les avancées notables, les défis à relever restent énormes, raison pour laquelle nous devons nous y atteler », a- t-elle souligné, précisant qu’ « à présent, le défi reste la répercussion des nouvelles dispositions sur le taux du crédit bancaire, même si les récents rapports notent une amélioration du taux moyen ». « Le gouvernement n’a pas hésité à poursuivre les réformes entreprises, parfois difficiles avec en première ligne la satisfaction des préoccupations du secteur privé dans un élan de partenariat public-privé », a fait savoir Mme Sandra Johnson. Le Togo il faut le rappeler, est tourné vers une dynamique de réformes visant à faire du pays, une destination de premier choix des investisseurs. Les multiples actions déjà engagées
lui ont permis de se positionner dans les différents rapports internationaux en termes d’amélioration du climat des affaires. En témoigne le bond historique de 40 places réalisé dans par le pays dans le rapport Doing Business 2020 de la Banque mondiale, ce qui le place au rang de 1er pays réformateur en Afrique et et 3è au monde en matière de facilitation des affaires. David S. MCC : Le Togo vise le Programme « COMPACT » Après le « Threshold », le Togo nourrit l’espoir d’une sélection pour le programme « Compact » du Millennium Challenge Corporation (MCC). Le pays réaffirme en effet son engagement à maintenir le cap de ses performances en vue de conserver et consolider les acquis et valider les indicateurs encore au rouge à la prochaine évaluation. De la lecture de la carte des scores 2020 présentée ce mercredi au cours d’un atelier organisé à Lomé, il ressort que pour la deuxième année consécutive, le Togo a maintenu le cap en validant au total 14 réformes notamment dans les catégories de la bonne gouvernance, de l’investissement dans le capital humain, et des libertés économiques.
« Globalement, le Togo a satisfait pour la quatrième année consécutive, les trois critères d’éligibilité au programme Compact à savoir : la validation de l’indicateur ‘’contrôle de la corruption’’, la validation d’au moins un des indicateurs de droits démocratiques (droits politiques et libertés civiles) et la validation de la majorité des vingt (20) indicateurs avec au moins un indicateur au vert dans chaque catégorie », a indiqué Stanislas BABA, coordonnateur de la cellule MCA-Togo. Pour être éligible au Millennium Challenge Account (MCA) géré par le MCC qui est un organisme gouvernemental des Etats Unis, le pays candidat doit en effet remplir certains critères de performance notamment la bonne gouvernance juste, l’investissement dans le capital humain et l’encouragement de la liberté économique. Il faut souligner que c’est depuis 2014 que le Togo s’est engagé à travailler pour valider progressivement les critères d’éligibilité aux programmes de la MCC. Le pays a été déjà sélectionné en décembre 2015 pour bénéficier du Programme Seuil ou Threshold. A la suite des négociations, l’accord de don du programme Threshold a été signé le 14 février 2019 avec la MCC pour un montant global de trente-cinq (35) millions de dollars US, soit vingt milliards (20 000 000 000) de FCFA. Le bénéfice du Programme « Compact » du MCC est synonyme d’une l’assistance financière pouvant atteindre environ 700 millions de dollars US. La cérémonie de présentation de la nouvelle carte des scores a été présidée par le coordonnateur de la cellule MCA-Togo, Stanislas BABA. Il avait à ses côtés, Mme Sandra Ablamba Johnson, ministre conseillère en charge du climat des affaires et coordonnateur adjoint la cellule et Roger Paneto, Expert sénior MCA. David S.
Réformes économiques : Comprendre le « miracle togolais » Les audacieuses réformes économiques opérées ces dernières années par le gouvernement togolais ont favorisé des avancées notables et un bon positionnement du pays dans les différents classements internationaux. En témoigne le classement Doing Business 2020 où le Togo gagne 40 places, faisant de lui le premier pays réformateur en Afrique et le 3ème au monde. Le Rapport Pays de ce nouveau classement Doing Business a été publié jeudi à Lomé au cours d’une cérémonie présidée par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Ces dernières années, le Togo s’est en effet engagé dans un vaste programme de réformes économiques empreintes d’initiatives novatrices, ce qui a notamment permis au pays d’améliorer sur la période 2018-2019, son environnement des affaires sur cinq indicateurs à savoir la création d’entreprises, l’obtention du permis de construire, le transfert de propriété, le raccordement à l’électricité et l’obtention de prêt. Selon Mme Sandra Ablamba JOHNSON, Ministre Délégué, Conseillère du Président de la République en charge du climat des affaires, afin de comprendre le « miracle togolais » sur
les réformes réalisées ces derniers mois, il faut de toute évidence se référer à trois choses notamment les choix opérés par le gouvernement, la volonté politique affirmée, le pragmatisme et le leadership des plus hautes autorités du pays. Selon l’institution de la Banque mondiale, cinq réformes réussies ont en effet permis ce classement exceptionnel dans l’amélioration du climat des affaires au Togo. Il s’agit d’abord des facilités liées à la création d’entreprise avec la suppression de l’obligation de faire authentifier les documents, et le raccourcissement du délai d’enregistrement. Le coût de la création d’entreprise est passé de 262.250 F CFA en 2012 à 28.250 F CFA en 2019, avec une réduction du temps d’enregistrement d’entreprise qui est également passé de 85 jours en 2012 à 4 heures en 2019. Ceci a permis une formalisation plus importante de l’économie avec au total 56.606 entreprises créées sur ces cinq (05) dernières années, générant selon la Banque mondiale, une économie sur les coûts de conformité aux textes et procédures précédemment en vigueur de près de 14 milliards de F CFA pour ces entités. Par ailleurs, le Togo a réussi à réduire les coûts et les délais d’obtention des permis de construire. Cette formalité a été simplifiée par la mise en place d’un portail en ligne pour le dépôt des demandes. Autre réforme importante relevée par Doing business et qui justifie la grande avancée du Togo, est la baisse du coût du raccordement à l’électricité. Cette baisse est due à la diminution du coût des travaux de raccordement et du dépôt de garantie pour les nouveaux branchements. Ce qui a fait qu’au cours de ces trois (03) dernières années, les demandes de raccordement ont augmenté en moyenne de 50 % par an. « L’application de la réduction de 50 % du tarif de raccordement génère une économie sur les coûts de conformité
aux textes et procédures précédemment en vigueur estimée à plus de 650 milliards FCFA pour les entreprises entre janvier 2018 et septembre 2019 », renseigne le gouvernement. Durant l’année écoulée, le Togo a en outre simplifié les formalités du transfert de propriété et les coûts ont été réduits de manière considérable. La dernière réforme à l’actif du Togo dans le Classement Doing business 2020 est l’accès à l’information sur le crédit. Il a été amélioré grâce à l’élargissement de la couverture de l’Office de crédit et le démarrage de la communication des données des entreprises de service public. Ces différentes performances ont été saluées par Mme Hawa Cissé Wagué, Représentante Résidente de la Banque mondiale au Togo et Sergio Pimenta, le vice-président de la SFI (Société financière internationale, Groupe de la Banque mondiale pour l’Afrique et le Moyen-Orient). « Aujourd’hui, c’est une journée spéciale pour le Togo. Nous avons constaté tous vos efforts et la qualité du travail mené. Je n’avais jamais vu un chef d’Etat en faire autant. Au-delà du rapport, nous fêtons ici le changement de l’image du Togo sur le plan international et sa perception auprès des investisseurs », a déclaré Sergio Pimenta. Le Togo ne compte pas dormir sur ses lauriers malgré ces excellents résultats. Le pays entend poursuivre les efforts et travailler de sorte à améliorer d’avantage le climat des affaires et rendre les investissements plus rentables et plus productifs. Des points essentiels sont déjà identifiés à cet effet notamment au niveau du paiement des impôts et aussi dans l’exécution des contrats avec l’opérationnalisation des tribunaux de commerce qui viennent d’être créés, et la dématérialisation des procédures ainsi que la mise en place des chambres des petites créances. « Il s’agira non seulement d’approfondir les réformes entamées
mais aussi de nous attaquer aux indicateurs sur lesquels notre pays a de la marge de progression tout en sachant que ces progrès remarquables nous rappellent aussi, si besoin en était, la nécessité de poursuivre les réformes ambitieuses exigées de nous, afin de contribuer à la mise en œuvre réussie du Plan National de Développement (PND 2018-2022) », a noté Mme Sandra Johnson. « Nous devons savoir que nous sommes en compétition avec d’autres pays. Ce que nous venons d’obtenir est bien, mais il nous faut maintenir le cap. Si jamais nous régressons, l’impact sera encore plus négatif que les avancées réalisées jusqu’à présent », a fait savoir Faure Gnassingbé, souhaitant une accélération des réformes en 2020. « (…) Il faut que nous maintenions le rythme des réformes même si les périodes de campagnes électorales sont toujours des moments d’incertitude », a-t-il recommandé. David SOKLOU
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