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Réponse à l'interpellation interpartis 20210338, Briechle Dennis, PVL, Halter Marisa, POP, Heiniger Peter, POP, Schneider Veronika, UDC, De Maddalena Daniela, Les Vert·e·s, «Être au lieu de paraître: rendez à la Vieille Ville sa lumière !» Les intervenants posent différentes questions en lien avec le remplacement de l’éclairage public à la rue des Maréchaux et à la rue Basse. Le Conseil municipal est en mesure ce jour de prendre position comme suit: 1. L’éclairage mis en place correspond-t-il aux idées du Conseil municipal en la matière ? Ou bien a-t-il été lui-même surpris par la très grande différence avec l’éclairage précédent ? Le nouveau dispositif respecte les prescriptions et les normes auxquelles doit satisfaire l’éclairage public dans ce secteur. En raison du changement de technologie (LED au lieu de vapeur de sodium), il était prévisible que l’ambiance lumineuse subjective serait profondément différente. 2. La hauteur moindre des lampes au-dessus du sol suffit-elle à garantir un éclairage suffisant de l’ensemble des rues, et ce, également compte tenu de sentiment subjectif de sécurité ? Le nouveau dispositif respecte les prescriptions et les normes auxquelles doit satisfaire l’éclairage public dans ce secteur et, par conséquent, garantit un éclairage suffisant. Comme son nom l’indique, ledit sentiment subjectif de sécurité dépend de chaque individu, et ne peut donc être dirigé ou évalué que partiellement sous l’angle de l’objectivité. 3. Le Conseil municipal est-il conscient qu’en raison des lampes plus basses, d’autres logements sont éblouis sur toute la longueur de la rue ? Les riverains et riveraines qui se sont habitués à la lumière, et l’ont appréciée dans leur logement selon les circonstances, déplorent sa disparition, alors que d’autres doivent désormais s’y habituer. Le nouvel éclairage réduit grandement la pollution lumineuse. En effet, il ne frappe désormais plus l’intégralité des façades, mais se concentre sur la rue, là où il est nécessaire. Il en résulte une nette modification de la situation en termes d’éclairage, et les riverains et riveraines concernés ne sont plus les mêmes qu’avant. De fait, ceux-ci sont désormais bien moins nombreux à être dérangés par la lumière. Grâce à des mesures adéquates, on a récemment nettement réduit l’effet éblouissant du nouvel éclairage. 4. Est-il envisageable de procéder encore à des adaptations de l’éclairage, notamment en termes de teinte ? Comme cela est usuel pour de tels projets, on procède à des améliorations et à des optimisations après le montage. Au cours du mois de mars 2022, on procédera une nouvelle fois à une optimisation des candélabres sur la base d’un échantillonnage. On réduira ainsi l’effet éblouissant, et la teinte passera simultanément de 3000 K à 2700 K. 5. Pourquoi les personnes directement concernées ont-elles le moins de droit à la parole ? Pour l’éclairage public, il y a un grand nombre de prescriptions et de normes légales à respecter, ce qui signifie que l’on ne dispose pas de la marge de manœuvre requise pour un processus participatif. 1/3
6. Récemment, le Conseil municipal a adopté une nouvelle charte baptisée «Vision 2030», visant en premier lieu à encourager la participation de la population biennoise comme il ressort de son introduction: «...nous n’hésitons pas à faire participer la population...». La Ville respecte- t-elle ici ses propres engagements ? Voir réponses aux questions 1 et 5. 7. Ces dernières années, la population a fait preuve d’une sensibilité particulière aux impacts sur l’image de la Vieille Ville: le réaménagement du Ring ou encore la planification de l’aire Wildermeth, par exemple, ont suscité une controverse dans le quartier. Lors du remplacement de l’éclairage public à la rue des Maréchaux et à la rue Basse, on a de nouveau ignoré les riverains et riveraines. Le Conseil municipal n’a-t-il rien appris ? Peut-on imaginer que lors de futurs projets, il aura une oreille plus attentive pour l’avis des riverains et riveraines ? Voir réponses aux questions 1 et 5. Dans les objectifs de la législature (objectif 1), le Conseil municipal s’engage à encourager la participation de la population biennoise. La mesure 1.2 stipule: «Une logique participative est instaurée au sein de l’Administration municipale pour les projets qui s’y prêtent dans les quartiers». Les futurs projets seront évalués selon ce point de vue et la population sera impliquée dans la mesure de possible dans un cadre approprié. 8. Le Conseil municipal connaît-il le concept de la Ville de Berne en matière d’éclairage public ? Le concept de la Ville de Berne est, en particulier, connu des responsables de l’éclairage public, notamment de l’entreprise ESB et de l’atelier lumière. 9. Y-a-t-il des raisons pour que les principes élaborés pour la Vieille Ville de Berne, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, ne fassent aucun sens pour la Vieille Ville de Bienne ? À divers égards, la situation dans la Vieille Ville de Berne n’est pas comparable à celle de la Vieille Ville de Bienne (autre architecture, autre régime de circulation, p. ex. aussi autre réglementation de l’interaction entre éclairage public et éclairage privé). Par conséquent, il ne faut pas obligatoirement appliquer les mêmes principes. 10. Pour la Vieille Ville, le Plan lumière prévoit ceci: «L'éclairage public visé doit créer une ambiance nocturne appropriée à la vie sociale caractéristique de la Vieille Ville.». Qu’entend le Conseil municipal par vie sociale caractéristique de la Vieille Ville ? Est-il d’avis que cette disposition est satisfaite avec le nouvel éclairage mis en place à la rue des Maréchaux et à la rue Basse ? Il faut toujours garder à l’esprit que l’éclairage public doit, en premier lieu, satisfaire à des exigences en matière de sécurité et de circulation. Par ailleurs, il convient aussi de réduire la pollution lumineuse au maximum. L’ambiance nocturne, en soi, est créée par l’interaction entre éclairage public et éclairage privé (éclairages de façades, éclairage d’ambiance de lieux spécifiques tels que terrasses de restaurants). Du fait d’une modification de l’éclairage public en place jusqu’alors, il peut s’avérer adéquat, voire même nécessaire, d’adapter les éclairages privés dans le sens de l’ambiance visée. Au final, on devrait retrouver la vie sociale caractéristique de la Vieille Ville. 11. Ne serait-il pas judicieux de compléter le Plan lumière avec des valeurs de mesure concrètes analogues à celles du concept d’éclairage de la Ville de Berne ? Si oui, le Conseil municipal serait-il prêt à impliquer les milieux concernés lors de cette adaptation ? Le Plan lumière est remanié et adapté périodiquement. À cette occasion, on peut examiner si des valeurs de mesure analogues au concept d’éclairage de la Ville de Berne seraient pertinentes. Étant donné toutefois qu’il s’agit de paramètres purement techniques, l’implication de milieux concernés hors de l’atelier lumière fait peu de sens. 2/3
12. La température de couleur retenue se répercute aussi sur la faune et la flore. Plus la teinte est chaude, moins les insectes sont attirés, les chauves-souris influencées et les arbres perturbés dans leur cycle annuel. Ces aspects écologiques ont-ils été pris en compte lors du choix de la teinte ? En ce qui concerne l’éclairage public, les aspects écologiques font toujours partie intégrante des concepts correspondants. Compte tenu du nombre d’autres exigences à satisfaire, le résultat final est toujours un compromis visant à remplir au mieux le maximum d’exigences posées. Cela vaut aussi pour le choix de la teinte. 13. Qu’advient-il des anciens réverbères de la rue des Maréchaux et de la rue Basse ? En particulier en termes de recyclage. Dans la mesure du possible, ces réverbères seront utilisés à court terme comme pièces de rechange pour des réverbères défectueux dans le reste de la Vieille Ville. Les luminaires, et en partie aussi les lanternes, sont toutefois arrivés en majorité en fin de vie et de durée d’utilisation, et reintégrés de ce fait dans le cycle des matériaux. Leur restauration potentielle a été examinée, et il est apparu qu’elle serait certes possible au plan technique, mais les coûts seraient disproportionnés. 14. Quelles autres démarches sont projetées ? La Ville envisage-t-elle de rééquiper d’autres rues ? Si oui, à quel horizon ? Du fait que les luminaires sont arrivés en fin de vie à la Vieille Ville, d’autres rues doivent en effet être rééquipées dans un proche avenir. À cet égard, la très forte pollution lumineuse actuelle doit être réduite. Il n’existe pas encore d’échéancier concret à l’heure actuelle. 15. Nous avons entendu parler que les réverbères de la rue des Maréchaux et de la rue Basse seraient réutilisés. Peut-on songer que les lanternes ainsi remplacées pourraient être réutilisées dans ces deux rues ? Concernant la réutilisation, voir la réponse à la question 13. 16. Si d’autres rues devaient être concernées: peut-on s’imaginer que le Conseil municipal se penche sur les réflexions évoquées ? Notamment concernant la teinte retenue ? Voir la réponse à la question 4. Bienne, le 16 mars 2022 Au nom du Conseil municipal Le maire: La chancelière municipale: Erich Fehr Barbara Labbé Annexe: ∙ interpellation interpartis 20210338 3/3
Interpellation g02-/0332- Sein statt Schein: Gebt der Altstadt ihr Licht zurück! In der Untergasse und der Schmiedegasse hat die Stadt Biel, bzw. der damit betraute ESB, die öffentliche Strassenbeleuchtung ausgetauscht. Die bisherigen Laternen wurden entfernt und durch solche in einem neuen Design ersetzt, sie wurden ca. einen Drittel tiefer aufgehängt und die bisherigen orange leuchtenden Natrium hochdruckleuchten wurden durch «warmweisse» LED-Leuchten ersetzt, die sich in ihrem Farbton deutlich vom bisherigen Licht unterscheiden, deutlich weisser und kälter sind. Der Farbton, die Farbtemperatur einer Leuchte wird in Kelvin gemessen, je höher die Kelvinzahl, desto weisser erscheint das Licht. Während Natriumhochdrucklampen einen Wert um 2000 Kelvin erreichen, so dürften die nun installierten Leuchten ca. 3000 Kelvin erreichen. Viele betrachten den nun verwendeten Farbton als zu weiss, zu kalt; die bisherige heimelige, wohnliche Atmosphäre in den betroffenen Gassen der Altstadt wurde schlagartig beendet. Auch die Verwendung neuer, moderner Laternen anstelle der historischen Laternen wurde kontrovers aufgenommen. Das Unbehagen vieler Betroffener und Besuchenden der Altstadt äussert sich durch die lancierte Petiton «Sein statt Schein», die innert weniger Wochen bereits viele hundert Male unterzeichnet wurde. Die neu installierte Beleuchtung wird von vielen als unangenehm empfunden: Das Licht ist kalt, beim direkten Blick in die Leuchten sehr grell; abseits der unmittelbaren Leuchten-Standorte sind die Gassen andererseits aber viel dunkler als zuvor. Dies auch dadurch bedingt, dass die Leuchten nun drei Meter tiefer aufgehängt sind. 1. Entspricht die neu umgesetzte Beleuchtung den Vorstellungen des Gemeinderates? Oder wurde auch er von der sehr grossen Diskrepanz zur vorherigen Beleuchtung überrascht? 2. Reicht die neue tiefere Höhe der Lampen ab Boden aus, um eine genügende Ausleuchtung der ge samten Gassen zu gewährleisten? Auch mit Blick auf das subjektive Sicherheitsgefühl? 3. Ist sich der Gemeinderat bewusst, dass durch die tiefere Aufhängung der Lampen nun auf der ganzen Länge der Gasse andere Wohnungen geblendet werden? Anwohnende, welche sich an das Licht ge wohnt haben, es unter Umständen in ihrer Wohnung geschätzt haben vermissen es, während sich nun andere daran gewöhnen müssen? 4. Ist es denkbar, dass an der Beleuchtung noch Anpassungen vorgenommen werden, namentlich be züglich des Farbtons? In der Mitteilung zum Ersatz der Leuchten schreibt der ESB, diese seien ins Konzept der Neugestaltung der Gassen integriert, entsprächen Normen der Schweizer Licht Gesellschaft, man habe Absprachen mit der kan tonalen Denkmalpflege und einem externen Planungsbüro für Beleuchtungstechnik vorgenommen.1 Kurz: Man hat verschiedene externe Institutionen miteinbezogen; die Liegenschaftsbesitzenden wurden mit einem kurzen Schreiben vor vollendete Tatsachen gestellt und ganz aussen vor blieben die von der Massnahme Direktbe troffenen, die Anwohnenden. 5. Weshalb haben die Direktbetroffenen am wenigsten zu sagen? 6. Vor kurzer Zeit hat der Gemeinderat mit der «Vision 2030» der Stadt ein neues Leitbild gegeben.2 Prominent wird in dieser die Partizipation der Bevölkerung erwähnt, so steht einleitend: «...nutzen bei der Weiterentwicklung unserer Stadt die Partizipation der Bevölkerung...». Wird die Stadt hier ihren ei genen Ansprüchen gerecht? 7. Eingriffe in das Stadtbild der Altstadt hat die Bevölkerung in den letzten Jahren mit besonderer Sensi bilität aufgenommen: Die Neugestaltung des Rings oder die Planung Wildermethmatte beispielsweise wurden in der Altstadt kontrovers aufgenommen. Mit dem Ersetzen der Beleuchtung Unter- /Schmiedegasse wurden die Anwohnenden erneut übergangen. Hat der Gemeinderat nichts gelernt? ist es denkbar, dass er bei zukünftigen Projekten wieder ein offeneres Ohr für die Anwohnenden hat? ' Medienmitteilung ESB. hltDs://www.esb.ch/de/esb/medien/niedienmilteilunqen/der-esb-erneuert-die-offentliche-beleuchtunq-der-altsladt/ 2 Vision 2030: https://www.biel-bienne.ch/piiblic/uDload/assets/6001/Biel%202030.pdf
Die Stadt Bern hat für ihr Stadtgebiet ein Beleuchtungskonzept.3 Dieses sieht vor, das in der Altstadt einerseits historische Leuchten verwendet werden sollten und andererseits «Lichtquellen, deren Lichtqualität und -färbe dem Glühfadenlicht entsprechen, einzusetzen» (S. 23 ff). Entsprechend schreibt das Konzept vor, dass in der Altstadt eine Lichtfarbe von maximal 2700 Kelvin verwendet werden darf. 8. Ist dem Gemeinderat das Beleuchtungskonzept der Stadt Bern bekannt? 9. Gibt es gute Gründe, weshalb die für das UNESCO-Welterbe Berner Altstadt erarbeiteten Grundsätze für die Bieter Altstadt keinen Sinn ergeben? Auch die Stadt Biel hat eine Beleuchtungskonzept, den Plan lumiere de la ville de Bienne vom 12.12.2013.4 Im Gegensatz zum Stadtberner Konzept, sind dem Plan lumiere viel weniger Kriterien für die Umsetzung einzelner Beleuchtungen zu entnehmen. 10. Für die Altstadt sieht der Plan lumiere vor: «L'eclairage public vise doit creer une ambiance nocturne appropriee ä la vie sociale caracteristique de la Veille Ville.». Was versteht der Gemeinderat unter dem charakteristischen sozialen Leben der Altstadt? Hält er diese Bestimmung für erfüllt mit der neuen Beleuchtung von Unter- und Schmiedegasse? 11. Wäre eine Ergänzung des Plan lumiere mit konkreten Messgrössen, analog dem Berner Beleuch tungskonzept, nicht sinnvoll? Falls ja, wäre der Gemeinderat bei der Bestimmung dieser bereit, be troffene Kreise miteinzubeziehen? Als einer der Gründe für die neue Ausgestaltung werden Umweltaspekte genannt. Während eine Einsparung beim Energieverbrauch durch die Verwendung neuer Leuchtmittel sicherlich sinnvoll ist und eine Reduktion der Lichtverschmutzung auch begrüssenswert ist, so stellen sich trotzdem Fragen: 12. Die gewählte Farbtemperatur hat auch Auswirkungen auf Fauna und Flora.5 Je wärmer der Farbton, desto weniger Insekten werden angezogen, Fledermäuse weniger beeinflusst und die Bäume werden weniger in ihrem Jahreszyklus gestört. Wurden diese ökologischen Aspekte bei der Auswahl des Farb tons mitberücksichtigt? 13. Was passiert mit den bisher in Unter-ZSchmiedegasse verwendeten Laternen? Stichwort: Recycling. Die neue Beleuchtung wurde an Unter- und Schmiedegasse realisiert. Es stellen sich nun Fragen zum weiteren Vorgehen: 14. Welche weiteren Schritte sind geplant? Beabsichtigt die Stadt, auch weitere Gassenzüge umzurüsten? Wenn ja, innert welchem Zeitrahmen? 15. Dem Vernehmen nach sollen die Laternen der Unter-ZSchmiedegasse wiederverwendet werden. Wäre es denkbar, dass die damit ersetzten Laternen später wieder in Unter-ZSchmiedegasse verwendet werden könnten? 16. Sollten weitere Gassen betroffen sein: Ist es denkbar, dass der Gemeinderat auf die geäusserten Be denken eingeht? Namentlich betreffend des gewählten Farbtons? Biel/Bienne, 18. November 2021 Dennis Briechle, glp f V Marisa Halter, PdA Pesche Heiniger, PdA Veronika Schneider, SVP Daniela de Maddalena, GPS 3 Beleuchtungskonzept Stadt Bern: https://www.bem.ch/mediencenter/medienmitteilunqen/akluell ptk/neue-richtlinien-fuer-die-oeffenlliche- beleuchtung/dokumente/bericht-zum-uberoeordneten-beleuchtuiiaskonzepl- der.pdf/@@download/(ile/Bericht%20zum%20%C3%9Cberqeordneten%20Beleuchtunqskonzept%20der%20Sladt%20Bern.pdf 4 Plan lumiere nicht öffentlich, dem Autor bekannt 5 https://www.vur- ade.ch/vur taqunqen arcliiv.plip?t-Gew%25C3%25A4sseriaiim%2B%25E2%258Q%2593%2BFraqen%2Bund%2BAnlwoiten%2Baus%2Bder%2BPraxi s&read cateoorv=24
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