Togo-Agriculture : le MAPAH écosystème
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Togo-Agriculture : le MAPAH renforce son écosystème digital Ils sont au total 15 analystes programmeurs du ministère de l’agriculture, de la production animale et halieutique (MAPAH) à entamer le 10 février dernier à Lomé, une formation de dix jours sur le développement d’applications avec JAVA/JAVA EE et Web services. Cette formation s’inscrit dans les objectifs de moyen et long terme du Ministère de l’agriculture qui souhaite renforcer son écosystème digital en vue de mieux procéder à un meilleur profilage des chaines de valeur, élaborer une stratégie de transformation numérique du secteur agricole au Togo. Il s’agit en effet d’une session de renforcement de capacité financée par le Centre Technique de Coopération Agricole et Rurale (CTA) qui apporte un soutien aux nouvelles interventions du Ministère de l’agriculture du Togo. Au cours de la formation, les informaticiens participants auront à s’exercer dans le développement d’applications avec JAVA/JAVA EE et Web services, à maîtriser l’environnement Java, et comprendre le concept « Orienté objet ». Ils auront également à concevoir chacun, une application Java/Java EE et déployer une application Java/Java EE en environnement de production. Il faut souligner que le CTA a pour objectif de promouvoir le
transfert, l’échange et l’utilisation de l’information dans les pays ACP en fournissant des services qui améliorent l’accès des pays ACP à l’information pour le développement agricole et rural, ceci ) travers le renforcement des capacités de ces pays à produire, acquérir, échanger, exploiter cette information. L’appui du CTA dans la mise en œuvre des interventions du MAPAH prend bien en compte la filière semencière et la vulgarisation. David S. Faure Gnassingbé et Mahamadou Issoufou en visite de soutien aux autorités burkinabè Le Chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé, Président en exercice de la CEDEAO et son homologue nigérien Mahamadou Issoufou, Président en exercice de la force régionale antijihadiste G5-Sahel, se sont rendus ce lundi à Ouagadougou où des attaques avaient été perpétrées vendredi dernier. Les deux dirigeants ouest africains sont allés exprimer le soutien et la solidarité de la communauté sous régionale au peuple du Burkina Faso victime d’une double attaque qui a visé l’ambassade de France et l’état-major général des armées.
Après des échanges avec le Président burkinabè Rock Marc Christian Kaboré, les trois Chefs d’Etat se sont ensuite rendus sur les lieux des attentats afin de constater l’ampleur des dégâts. « La protection de nos populations et de leurs biens nous préoccupe au plus haut niveau de nos Etats. Face à cette insécurité, la coopération entre nos pays demeure une ressource inestimable », a indiqué Faure Gnassingbé sur son compte twitter, avant d’en appeler à plus de coopération des citoyens en termes d’alertes en cas de mouvements qu’ils jugent suspect dans leurs communautés. Les attaques avaient été revendiquées par le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM) du touareg malien Iyad Ag Ghalia qui explique qu’il s’agit de représailles à un récent raid de l’armée française dans le nord Mali. Cris DADA Laurent Gbagbo de retour en Côte d’Ivoire ! Acquitté par la justice internationale, l’ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo est finalement rentré ce jeudi 17 juin dans son pays la Côte d’Ivoire.
Laurent Gbagbo, 76 ans, est depuis ce jeudi à Abidjan en terre ivoirienne qu’il avait été contraint de quitter il y a dix ans suite aux évènements liés à la crise post-électorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire où il était poursuivi pour crimes contre l’humanité. A sa descente d’avion, il a été acclamé par une foule de centaines de personnes venue l’accueillir. Au rang de celles- ci, ses proches, mais aussi des responsables de son parti le Front populaire ivoirien (FPI), de même que des militants et sympathisants. Tout près de l’aéroport, certaines personnes également venues l’accueillir ont été dispersées par des tirs et des fumées de gaz lacrymogènes. Selon les informations, l’ex-président s’est rendu ensuite au quartier d’Attoban à Cocody, où se trouve son ancien QG de campagne, et où des centaines de personnes l’ont également accueilli. Pour rappel, en janvier 2019, Laurent Gbagbo et l’ex-chef des Jeunes patriotes Charles Blé Goudé avaient été acquittés, une décision qui a fait l’objet d’appel par le procureur, un appel qui a été par la suite rejeté le 31 mars dernier. Ce qui avait rendu l’acquittement désormais définitif. Mais il faut le retour de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire a été également rendu possible par le OK donné par Abidjan (le pouvoir de l’actuel président Alassane Ouattara) au nom de la « réconciliation nationale ». La Rédaction
Les médias publics, espace gratuit de promotion des jeunes entrepreneurs ! A la faveur d’une convention de partenariat signée ce jeudi à Lomé entre le ministre Guy Madjé Lorenzo en charge de la Communication et son collègue Victoire Tomégah-Dogbé du développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, les jeunes entrepreneurs togolais vont dorénavant promouvoir gratuitement leurs produits et services sur les médias publics notamment la télévision nationale (TVT), Radio Lomé, Radio Kara, le quotidien national TOGO PRESSE et l’Agence Togolaise de Presse, ATOP. Prévue pour une durée de trois ans, cette convention est une autre forme de soutien du gouvernement à la promotion de l’entreprenariat et des produits « made in Togo ». Les jeunes entrepreneurs bénéficiaires de l’accompagnement technique et financier de Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes (FAIEJ) et du Programme d’Appui au Développement à la Base (PRADEB) pourront se promouvoir gratuitement dans une émission intitulée «LABEL TOGO», de même qu’à travers des diffusions gratuites de publi-reportages, de spots publicitaires et la participation à d’autres émissions interactives au format de tables rondes et autres panels. Un comité de suivi et d’évaluation sera mis en place pour l’organisation de la mise en œuvre de cette convention de partenariat.
Cris DADA Covid-19 : le Couvre-feu étendu à toute la région des Savanes Au Togo, le couvre-feu de 20 heures à 05 heures et le bouclage qui sont déjà en vigueur depuis quelques jours dans le Grand Tône au nord du pays, s’étendent désormais dans toute la région des savanes à compter de ce mercredi 27 janvier. Les nouvelles préfectures concernées par ces mesures de riposte au nouveau Coronavirus sont l’Oti et de l’Oti Sud. Selon le gouvernement, cette décision est prise au regard de l’évolution de la pandémie dans le pays, une évolution marquée ces derniers jours par une importante augmentation du nombre de cas confirmés de Covid-19 surtout dans la Région des Savanes. Ces mesures restrictives concernent désormais aussi bien les préfectures du Grand Tône (Tône, Kpandjal, Kpendjal Ouest, Cinkassé et Tandjoaré) que les celles du Grand Oti (préfectures de l’Oti et de l’Oti Sud). « Toutes ces préfectures seront bouclées individuellement. A
cet effet, la circulation des personnes entre lesdites préfectures est interdite », précise dans un communiqué, l’exécutif togolais qui dit compter sur le civisme et le sens de responsabilité de tous, pour le respect de ces mesures qui, tout comme les autres mesures barrières (lavage des mains, port de masque, distanciation physique), sont destinées à limiter la propagation de la pandémie dans le pays. A la date du 27 janvier 2021, le Togo est à 4.765 cas confirmés de Covid-19 dont 621 cas actifs, 4.068 personnes guéries et 76 décès. La Rédaction Atakpamé : Formation des groupements des PTFM solaires en techniques de création d’entreprise Une trentaine de femmes déléguées des groupements gestionnaires des plateformes multifonctionnelles (PTFM) solaires sont en formation depuis ce lundi 25 mars sur les techniques de création d’entreprises à Atakpamé dans la préfecture de l’Ogou. Initiée par le
Programme Nationale de développement de la Plateforme Multifonctionnelle (PN-PTFM) en collaboration avec le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC), cette session de formation vise à améliorer les revenus des femmes à travers la promotion de l’entrepreneuriat féminin dans les zones rurales. Prévue pour durer quatre jours, cette formation rassemble des femmes issues de la région maritime et celle des Plateaux. Elle s’inscrit dans la composante « renforcement des capacités » du PUDC et intervient après celle de Kara déroulée du 19 au 23 dernier, avec pour objectif d’outiller les femmes de en techniques de création des entreprises afin qu’elles puissent initier et gérer des micro-entreprises en milieu rural. Sous la direction du consultant M. Djokoto Mensah, les participantes auront à plancher sur divers modules notamment les concepts de base liés à l’entrepreneuriat, le leadership et les valeurs citoyennes, les techniques de faisabilité d’un projet d’entreprise à l’aide des exposés participatifs, le brainstorming des exercices pratiques et études de cas. In fine, elles seront dotées des connaissances sur les secteurs et créneaux porteurs, les différentes formes juridiques, les démarches administratives de création d’une entreprise et les dispositions fiscales relatives aux micros-entreprises ainsi que les sources de financement adaptées à leurs
besoins. Le Directeur Régional du Plan M. Dazimwai Bazambadi a, à l’entame des travaux, indiqué que les problèmes de l’emploi et surtout des jeunes sont au cœur des préoccupations du gouvernement et se traduisent par la mise en place des mesures devant aider ces jeunes à créer des entreprises. Selon lui, la promotion de l’entrepreneuriat rural autour des PTFM et l’accompagnement des gestionnaires permettent aux groupements bénéficiaires d’utiliser au maximum ces équipements au niveau local pour créer des entreprises et partant, le développement de l’économie. Après avoir remercié le PUDC pour son appui financier, il a invité les apprenantes à tirer le meilleur profit de la formation et à restituer les enseignements reçus dans leurs bases respectives. L’expert chargé de la formation et du suivi-évaluation, M. Gbingbara Mondjinou a souligné que la plateforme multifonctionnelle donne des opportunités et des possibilités d’offrir différents services notamment la transformation des produits agricoles, le traitement des oléagineux, le râpage et la presse du manioc, les services artisanaux comme aiguisage des meules et outils agricoles et des services sociaux entre autres les micros réseaux d’électricité et des réseaux d’adduction d’eau potable. « Plus qu’un outil technique, la PN-PTFM induit une organisation
sociale et économique autour de l’entrepreneuriat, le développement institutionnel, le renforcement de capacités et les techniques de gestion au plan local », a- t-il ajouté. Il a également indiqué que l’un des défis du Programme est la promotion des énergies en milieu rural à travers l’installation des PTFM entièrement solaire et l’entrepreneuriat féminin. L’accompagnement des gestionnaires dans la promotion des entreprises rurales est l’une des priorités du Programme. Il s’agit de renforcer les activités génératrices de revenus que les femmes mènent de façon informelle dans les villages pour qu’elles deviennent de véritables entrepreneurs. Initié par le gouvernement Togolais à travers le Ministère du développement à la base, de l’artisanat et de la jeunesse, le PN-PTFM s’inscrit dans le cadre de la réduction de la pauvreté. Son but est de contribuer à l’accroissement des revenus et à l’amélioration des services sociaux de base en faveur des populations rurales, à travers un accès élargi aux services énergétiques. Depuis Atakpamé, Evrard NOMANYO
Le Togo réaffirme sa volonté d’adhérer au Commonwealth Le Togo est en passe d’adhérer au Commonwealth. Le processus enclenché depuis 2014 se poursuit. Une nouvelle mission de l’organisation séjourne actuellement à Lomé où elle a déjà eu des échanges avec le Premier ministre Mme Victoire Tomegah- Dogbé et des membres du gouvernement. Il s’agit d’une mission d’évaluation qui aura également des échanges avec d’autres acteurs de la vie sociopolitique et économique du Togo notamment les responsables des d’institutions de la République, des partis politiques, des organisations de la société civile et des organisations professionnelles de presse. Un rapport de la mission sera déposé au secrétariat général du Commonwealth pour décision finale à l’issue de laquelle le Togo pourra officiellement déposer son dossier d’adhésion. Le Commonwealth, c’est au total 54 Etats avec plus de deux (02) milliards de personnes. Le Togo espère dans cette dynamique, nouer de nouveaux partenariats économique et tirer le meilleur profit du marché que représente cette organisation. « Le Togo restera un pays francophone et appartiendra toujours également à la Francophonie. Rien ne changera sauf un renforcement du programme de l’enseignement de l’anglais (…) ; Le Togo est un État indépendant et peut adhérer à l’organisation de son choix. Ce n’est pas une façon de couper
les ponts avec la France. Nous voulons simplement activer d’autres partenariats et se frotter à d’autres culture », indique une source officielle à Lomé. Il faut souligner que c’est la troisième mission du Commonwealth au Togo après les deux premières qui remontent en 2017. David S. Le MAEP souffle sa 15eme bougie à Atakpamé Le bilan des acquis de la gouvernance du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP) après 15 ans de sa mise en œuvre en Afrique a fait l’objet d’un atelier organisé les 21 et 22 novembre derniers à Atakpamé dans la préfecture de l’Ogou. Cette rencontre de capitalisation des acquis du processus MAEP a regroupé les responsables politiques, administratifs de la préfecture de l’Ogou, les experts formateurs, les formateurs et formatrices endogènes de la Concertation Nationale de la Société Civile du Togo (CNSC) et ceux des réseaux régionaux de la société civile. Organisé par la Commission Nationale du MAEP (CNMAEP), cet atelier vise à maintenir en veille, les ressources humaines de la société civile impliquées dans l’implantation du MAEP au
niveau national, à renforcer les capacités des acteurs sur l’évolution du contexte historique, la mission et mandat du MAEP et à organiser un panel de discussion autour des thèmes intéressant le MAEP pour marquer la célébration de sa 15eme anniversaire. Au cours des deux jours, les participants sont sensibilisés et prêts aux exercices d’évaluation et d’auto évaluation. Un débat est aussi organisé pour commémorer les 15 ans d’existence du MAEP et un réseau de formateurs à été par ailleurs mis en place. Ils ont également avec les formateurs de la CNMAEP et de la CNSC plancher sur les différentes thématiques notamment le rôle de la jeunesse dans la quête du MAEP pour la bonne gouvernance, le développement et la démocratie, les principaux goulots d’étranglement auxquels l’Afrique fait face, le MAEP comme outil de suivi et d’évaluation des ODD et de l’agenda 2063, et d’alerte précoce pour la prévention des conflits en Afrique. À l’occasion, l’ancien Ministre Charles Kondi Agba, président de la CNMAEP a indiqué que ce séminaire est initié pour entretenir la flamme du MAEP dans les populations pour l’amélioration de la gouvernance. Pour lui, le MAEP est équivalent à la bonne gouvernance dans l’équité, sans corruption et avec un devoir de redevabilité. « Le mécanisme est né en 2003, le Togo y a adhéré en 2008 et il nous incombe de nous évaluer sur la gestion quotidienne de nos entreprises, du développement socio-économique et la démocratie », a-t-il souligné. Depuis Atakpamé, Evrard Nomanyo
La résolution de la crise togolaise à l’heure de la mise en œuvre des recommandations de la CEDEAO Les questions relatives à la mise en œuvre des recommandations de la Conférence des Chefs d’Etat de la CEDEAO sont au centre d’une rencontre ce mercredi à Lomé entre les protagonistes de la crise togolaise et une mission de la Commission de l’organisation sous régionale conduite par son Président, Jean-Claude Kassi Brou. Il s‘agit de faire le point des avancées enregistrées depuis le 31 juillet 2018 au sujet des décisions prises par les Chefs d’Etat, et d’écouter les deux parties notamment le pouvoir et l’opposition sur les propositions dans le chronogramme de la mise en œuvre des différentes actions définies par la CEDEAO dans sa feuille de route pour une sortie de crise au Togo. Cette rencontre a connu la participation des membres de la coalition des 14 partis de l’opposition, du parti au pouvoir et du gouvernement de même que des représentants des deux facilitateurs, les présidents ghanéen Nana Akufo-Addo et guinéen Alpha Condé. Après avoir rappelé les différents points de la feuille de route de la CEDEAO, Jean-Claude Kassi Brou a au nom des facilitateurs et de la Commission de la CEDEAO, invité les acteurs et l’ensemble des parties prenantes au dialogue et à
s’engager pleinement dans la mise en œuvre effective de la feuille de route. Il a appelé les acteurs politiques à travailler main dans la main dans un esprit d’ouverture et de tolérance pour continuer les avancées dans la mise en œuvre de la feuille de route. « La Commission de la CEDEAO fera bon usage de ce qu’elle a entendu cet après midi et on en fera un compte rendu aux deux facilitateurs de la crise socio politique togolaise. Nous allons travailler résolument dans ce sens afin d’accompagner l’ensemble des parties et le Togo à organiser des élections transparentes et fiables », a indiqué Jean-Claude Kassi Brou. Il a ans la foulée annoncé la tenue d’une réunion du comité de suivi de la mise en œuvre des décisions qui aura lieu avant la fin de ce mois d’août à Lomé. Un projet sera soumis par la Commission de la CEDEAO aux facilitateurs dans les prochains jours pour servir de plan d’action au comité de suivi. ème A l’issue de leur 53 session ordinaire tenue le 31 juillet dernier à Lomé, les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO avaient invité le gouvernement et les acteurs politiques togolais à œuvrer en vue de l’adoption des réformes constitutionnelles par la voie parlementaire ou au cas échéant, par des consultations électorales. Lesquelles réformes devront prendre en compte entre autres : le mode de scrutin à deux tours pour l’élection du Président de la République, la limitation à deux du nombre de mandats présidentiels, la recomposition de la Cour Constitutionnelle avec limitation du mandat de ses membres la poursuite du processus électoral avec l’assistance technique de la CEDEAO. David
Présidentielle de 2020 : les jeunes d’Atakpamé se mobilisent pour UNIR « L’engagement de la jeunesse face aux défis de l’heure » : c’est le thème au centre d’une conférence débat organisée ce 30 août à Atakpamé avec pour objectif non seulement d’explorer des pistes de réflexion pour le développement du grand Ogou, mais aussi de redynamiser les militants et sympathisants du parti Union pour la République dans cette préfecture (UNIR- Ogou) en vue d’une victoire assurée du parti à la présidentielle de 2020. Cette rencontre est à l’actif du Cadre de réflexion des jeunes de l’Ogou. Des communications relatives au développement de la préfecture de l’Ogou et l’engagement de la jeunesse face aux défis de l’heure qui sont entre autres le renforcement de la solidarité entre les fils et filles de l’Ogou, et la culture du pardon ont été présentées à l’assistance. Le secrétaire préfectoral UNIR-Ogou, M. Dossou Delofon a informé l’assistance sur les enjeux de la présidentielle de 2020 et le bien fondé de cet engagement. Il a invité les jeunes à se départir des divisions ethniques, des règlements de compte, du manque de respect les uns envers les autres, du non respect de la hiérarchie politique, de l’égoïsme et de la recherche de l’intérêt personnel. Le parrain du cadre de réflexion des jeunes, M. Desanti Jean
Gerard, a rappelé un certain nombre de principes cardinaux devant guider les réflexions et aider à identifier les meilleures pistes de rassemblement. Le maire de la ville d’Atakpamé, M. Adjonou Kassegne et le président du conseil de la préfecture ont tour à tour félicité et remercié les participants pour la tenue de cette assise. Le président du cadre de réflexion, M. Akoda Mawussi a pour sa part exprimé le vœu de voir les populations dire non à la division, aux querelles et de faire en sorte que le développement de l’Ogou reste et demeure leur priorité. De notre correspondant à Atakpamé, Evrard Nomanyo
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