VOYAGE DÉCOUVERTE - FRAC Auvergne
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
En couverture : Alexandre MAUBERT - De fils et d’aiguilles - Tirage pigmentaire sur Dibond - 100 x 80 cm - Collection FRAC Auvergne VOYAGE DÉCOUVERTE Exposition des œuvres de la collection du FRAC Auvergne Du 12 mars au 15 avril 2020 Lycée Blaise Pascal - Ambert Darren ALMOND Roland COGNET Jean-Charles EUSTACHE Dominique LIQUOIS Alexandre MAUBERT Achyara VYAKUL Grands mécènes du FRAC Auvergne
VOYAGE DÉCOUVERTE La jeunesse a cet œil ouvert sur l’immensité et la diversité du monde. Etre curieux, faire l’effort d’aller vers l’inconnu et au final en retirer le plaisir de la création toujours renouvelée, voilà ce qui stimule l’esprit de nos élèves. On raconte des histoires, on développe un imaginaire, on associe l’autre à nous, et on finit par avoir envie de créer à notre tour. Les plus grands voyages sont ceux qui interpellent. Le FRAC Auvergne nous permet de découvrir, ouvrir l’œil sur l’inconnu ou l’étranger, là, dans une pièce d’exposition. Alors questionnons ces œuvres avec nos yeux, qui nous permettent d’identifier notre époque. Marc LISTRAT - Professeur d’arts plastiques au lycée Blaise Pascal à Ambert
Darren ALMOND Né en Grande-Bretagne en 1971 – Vit en Grande-Bretagne ¬ Fullmoon@ShanShui La série Fullmoon se développe depuis plus de dix ans et parcourt de manière 2008 transversale l’ensemble de l’œuvre de Darren Almond. L’artiste traverse le Impression quadri sur vinyle monde pour y trouver les points de vue de la série, les plus récents ayant été 126 x 126 cm choisis en Ouganda, dans la luxuriance étouffante des forêts les plus humides Collection FRAC Auvergne de la planète, en quête des sources du Nil situées sur les plus grands glaciers d’Afrique, dans les montagnes du Ruwenzori culminant à plus de 5000 mètres d’altitude. La série Fullmoon, habitée par de multiples références à la peinture (John Constable, William Turner, Caspar David Friedrich ou rappelons encore que Shan Shui est un terme chinois évoquant le paysage pictural et littéraire), utilise le paysage pour délivrer une conception du temps et de la réalité. Une chaîne de montagnes asiatique aux contreforts escarpés évoque la gravure chinoise ; un paysage anglais aux contrées verdoyantes invite John Constable ; un alignement de falaises frappées par l’écume océanique convoque Caspar David Friedrich, et l’on comprend assez naturellement à quel point ces images peuvent fonctionner comme des filtres polarisants en s’intercalant entre les paysages photographiés et le souvenir de certaines œuvres. Prises en pleine nuit sous la lumière lunaire, selon des temps de pose longs, elles créent des images étranges. Chaque photographie (à l’exception de Fifteen Minute Moon, première de la série), est titrée de la manière suivante : Fullmoon@... suivi du nom du site photographié. L’utilisation du caractère arobase dans les titres de la série renseigne beaucoup sur le sens de ces photographies. Avant d’être utilisé à partir de 1971 par Ray Tomlinson, inventeur du premier Email, l’arobase est déjà utilisé au VIe siècle par les moines copistes pour figurer la ligature du ad latin. Il resurgit ensuite chez les marchands florentins comme unité de mesure, puis se retrouve dans les écritures commerciales et religieuses des siècles suivants. L’arobase indique donc à la fois la préposition latine signifiant "à", "vers", "jusqu’à", et la mesure de quelque chose. Son emploi dans les titres des Fullmoon indique l’idée d’une adresse ou d’une invite lancées au spectateur, indique qu’il est question d’une mesure particulière - celle de la durée.
Roland COGNET Né en France en 1957 - Vit en France ¬ Tête de singe Roland Cognet, déjà présent depuis 1992 dans la collection du FRAC Auvergne avec 2014 deux sculptures, inscrit son œuvre dans une réflexion concernant tout autant les enjeux Bronze et cèdre de la sculpture contemporaine que l’enracinement des matériaux utilisés dans une 165 x 47 x 40 cm temporalité et une localisation géographique. En cela il côtoie les réalisations d’autres Collection FRAC Auvergne sculpteurs comme Toni Grand, tout aussi attachés aux qualités sensibles des matériaux. En d’autres termes, il est inconcevable d’envisager les œuvres de Roland Cognet comme l’unique expression d’expérimentations formelles tant elles portent en elles la charge d’une poétique de la matière et les traces d’un romantisme totalement assumé. Sculpteur, Roland Cognet entame dès le début des années 80 une réflexion sur les matières, les formes et les quatre essences fondamentales : le minéral, le végétal, l’animal et l’humain dans la droite lignée des artistes de la sculpture concrète français ou américains. Il poursuit depuis son travail de confrontation entre nature et sculpture. Même fidélité aux matériaux bruts, même respect intransigeant pour ces matières premières qu’elles soient pauvres ou nobles, même sensualité sans mièvrerie dans son approche technique, même maîtrise du dessin, qu’il soit étude préalable ou oeuvre en soi. "Chaque pièce, chaque série innove dans sa méthode de travail, associant s’il le faut des modelages de matières indurées : ciment, plâtre, résine. La sculpture s’affirme alors posturale, fortifiant l’espace intérieur, se mesurant au paysage, indexant ses valeurs ou le glorifiant. Et si la chose est périssable comme le bois, l’artiste s’adresse à elle par le verbe du geste : caparaçonner, protéger, mouler, soutenir, peindre, prolonger, creuser, soigner, et cautériser même. Et si le défi semble impossible à relever, un portique tuteur va tirer la masse vers le haut". On retrouve également toujours dans l’oeuvre de Roland Cognet une fascination pour l’objet tel quel, sa présence immédiate, son irréfutabilité, sa pesanteur et sa distanciation nécessaire. Toute la poésie de Roland Cognet repose dans cet interstice là. Tête de singe, de gorille ou de cheval en bronze, où l’on devine dans le modelage chaque passage des doigts du sculpteur, perchée sur un piédestal tel un buste antique, tronc d’arbre en résine posé comme en apesanteur sur un billot de bois, If monumental dont la cime est en ciment. Jeu de socle ou d’échelle autant que de matériaux qui transposent la "copie" du réel en oeuvre d’art.
Jean-Charles EUSTACHE Né en France en 1969 - Vit en France ¬ It Blistered in my Dream Un voyage effectué en 2006 dans sa Guadeloupe natale, lui avait ainsi permis d’observer 2010 des ensembles de maisons à moitié abandonnées, à moitié construites, squattées, Acrylique sur toile dans les quartiers en déshérence de Pointe-à-Pitre. C’est à partir de ce voyage que 19 x 27 cm Collection FRAC Auvergne les premières maisons font leur apparition dans ses peintures, exécutées de mémoire d’après les souvenirs guadeloupéens. Les architectures se déconstruisent, les façades semblent littéralement s’évanouir, s’effondrer sur elles-mêmes, avalées par l’aplat qui sert de fond à l’œuvre, comme un photogramme déformé puis dévoré par une source de chaleur. Les images peintes par Jean-Charles Eustache ont toujours été ainsi, soit produites par une peinture très maigre, presque diaphane, soit soumises à une disparition, à un délabrement. L’artiste affirme ainsi la relative incapacité à retranscrire un réel insaisissable en même temps qu’il laisse délibérément les fêlures envahir ses représentations, comme pour en ouvrir le sens. La plupart de la production se cantonne à des petits formats qui intiment à leur spectateur une attention aigüe, une proximité du regard avec la surface de l’œuvre dont les irrégularités entrent en résonance avec la déréliction de ce qu’elles montrent : l’image en déliquescence est aussi une déliquescence de la surface que l’on peut alors envisager comme une peau ou, plutôt, comme une surface oculaire fragile, vouée à disparaître avec ce qu’elle porte. La cécité partielle de Jean-Charles Eustache est sans doute pour beaucoup dans sa manière d’appréhender la représentation lui qui, lorsqu’il observe les œuvres des autres dans les expositions qu’il visite, est amené à s’approcher de très près des surfaces pour les voir. La peinture de Jean-Charles Eustache est une expérience de la proximité, du détail, de la fragilité. [...] Mais c’est aussi un monde finissant parce que sa représentation elle- même ne tient plus, parce que l’image se dissout, rongée par le blanc et le bleu qui peu à peu la recouvrent, exactement comme dans la seconde peinture acquise par le FRAC Auvergne, It Blistered in my Dreams (" Cela s’est déformé dans mes rêves" ), où le sapin tronçonné brûle d’une aura rougeoyante qui, bien plus qu’elle ne consume l’arbre lui- même, consume l’image de l’arbre, le souvenir de l’arbre.
Dominique LIQUOIS Née en France en 1957 - Vit en France ¬ Bad Stream Après avoir fait partie d’un groupe de performers au Mexique au début des années 2009 1980, Dominique Liquois s’est consacrée à la peinture. De cette partie de sa vie au Huile, acrylique sur toile, Mexique, elle a gardé un goût pour les traditions populaires et pour le syncrétisme qui tissu, rembourrage, fil 153 x 152 cm marque encore sa peinture. Une peinture qui est, de prime abord, abstraite, dans une Collection FRAC Auvergne abstraction géométrique et ludique qui évoque aussi bien la peinture de Shirley Jaffe, avec laquelle elle entretient une proximité que celle de Shirley Kaneda ; une peinture, donc, de la complexité de signes hétérogènes s’interrompant brusquement, colligeant des éléments provenant de sources hétérogènes, inscrivant des motifs géométriques aux registres parfois contradictoires dans des asymétries et des basculements constants et jouant d’une polychromie joyeuse et ludique faite d’aplats dissonants. L’intervention picturale est, somme toute, assez formelle et les tissus qui viennent sur la peinture accentuent ce formalisme langagier voire grammairien. Des morceaux de tissus rembourrés font saillie, gonflent la surface picturale, parfois la décollent du mur, débordent et pendent ou bien relient deux panneaux ou retombent au sol ou s’agrippent au mur. Ces éléments de tissu peuvent aussi bien être des pompons, des patchworks de laine, des galons ou des tissus de fibres synthétiques. [...] Des morceaux de tissus africains ou indiens ou sud-américains viennent, dans les peintures de Dominique Liquois, s’insérer dans cette histoire de l’abstraction et la mettre en danger, viennent la contaminer, la rendre impure tout en nous amenant à voir leur force décorative. La qualité de l’œuvre de Dominique Liquois est de provoquer ces confrontations forcées qui cassent autant un registre que l’autre. D’autant que Dominique Liquois ne ravale pas ces tissus au rang de simples motifs, mais préserve leur caractère symbolique – qu’ils ont encore en Afrique ou en Inde, par exemple – et le motif de l’œil – qui apparaît dans l’œuvre qui est dans les collections du FRAC Auvergne, Bad Stream – " possède une signification traditionnelle précise, ajoute une charge ethnique et concrète que vient contrebalancer la géométrisation de l’espace pictural qui lui fait pendant ".
Alexandre MAUBERT Né en France en 1981 - Vit en France et au Japon ¬ De fils et d’aiguilles Les photographies d’Alexandre Maubert ont été réalisées selon un processus de 2014 destruction partielle visant à la fois à les rendre inopérantes en tant que témoignages Tirage pigmentaire sur Dibond authentiques et à les faire basculer vers une forme allégorique d’un évènement 102.5 x 82.5 cm Collection FRAC Auvergne historique majeur. En effet, ces photographies sont issues d’une série intitulée Le Temps d’après, dont le point de départ est un accident : à l’occasion d’un voyage au Japon en 2012, Alexandre Maubert transporte avec lui quinze pellicules dont les ¬ Soleil rouge images sont malencontreusement dégradées lors de leur passage dans le scanner 2014 aux rayons X du portique de contrôle de l’aéroport. Les images fixées sur la pellicule Tirage pigmentaire sur Dibond irradiée sont irrémédiablement altérées mais révèlent un potentiel insoupçonné, 102.5 x 82.5 cm tant dans la dimension picturale qu’elles font ainsi apparaître que dans la puissance Collection FRAC Auvergne allégorique que ce rayonnement développe (au sens le plus littéral du terme) dans le contexte mémoriel de ce pays autrefois dévasté par le feu nucléaire. Alexandre Maubert décide d’exploiter ce processus d’altération en faisant volontairement passer ses pellicules photographiques sous les rayons X à chacun de ses voyages au Japon. Le processus de révélation des images par brûlures successives renvoie, de manière assez implicite, aux catastrophes d’Hiroshima et Nagasaki. Les titres des photographies sont aussi étroitement référencés, à l’instar de Soleil rouge, inspiré par le titre du film Sans soleil, réalisé en 1983 par Chris Marker, dont le sujet porte en partie sur la civilisation japonaise.
Achyara VYAKUL Né en Inde en 1930 - Décédé en 2000 ¬ Sans titre Pendant près de 30 années, Achyara Vyakul pratiqua une peinture populaire anonyme 1994 comme n’importe quel autre citrakara (nom indien donné à ces peintres). Il n’avait Pigments naturels sur papier pas d’atelier et ne peignait que lorsque cela le submergeait – reste à définir le cela – 42 x 52 cm et refusait d’exposer. Si le directeur du Musée National des Arts Populaires de Delhi, Collection FRAC Auvergne découvrant cette œuvre l’assimila à l’art tantrique – et c’est ainsi que ces peintures furent diffusées en Occident –, il en reste très éloigné. Si l’on essaie de faire cette lecture, plusieurs éléments font sens. Tout d’abord l’idée ¬ Sans titre 1999 d’une représentation de l’essence des choses plutôt que de leur apparence. Si Pigments naturels sur papier certaines peintures de Vyakul évoquent des plantes ou des figures anthropomorphes, 52 x 42 cm elles dépouillent ces représentations de tout caractère anecdotique pour ne retenir Collection FRAC Auvergne presqu’un signe qui tend vers l’abstraction. Il y aurait, ensuite, l’idée du primitivisme. Les peintures de Vyakul ramènent souvent à un art des origines, à des pictogrammes ancestraux qui ne sont pas sans rappeler l’art du paléolithique – et le primitivisme est un des enjeux de la modernité. On pourrait, également, envisager l’invention formelle ou la création de nouvelles techniques – ou la réutilisation de techniques anciennes mais non académiques – et la peinture de Vyakul, des tracés digitaux à l’utilisation de la tache et de l’informe peut s’insérer dans cette histoire de la transgression technique moderne. Enfin, il y aurait le mysticisme de cette abstraction comme les thèmes de Vyakul – la nature, le sexe, l’énergie, la terre, le cosmos… d’après ce que l’on peut lire intuitivement de ces peintures –, peuvent évoquer certains de nos grands maîtres abstraits.
LE FRAC AUVERGNE Exposition : Retour au meilleur des mondes - Du 2 juillet au 2 octobre 2016 - FRAC Auvergne De gauche à droite : Marc BAUER - Rainer FETTING - Fiona RAE Créé en 1985, le FRAC Auvergne est une institution soutenue par le Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes, la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, la ville de Clermont-Ferrand et par un club de Mécènes réunissant une quinzaine d’entreprises régionales. Il est également soutenu, pour l’Art au Lycée, par le Rectorat de Clermont- Ferrand. Le FRAC Auvergne a pour vocation de constituer une collection d’art de haut niveau qui réunit aujourd’hui près de 1000 oeuvres majoritairement créées par des artistes de renomée nationale et internationale. Le FRAC organise une vingtaine d’expositions par an sur l’ensemble du territoire régional et contribue, par ses multiples actions éducatives, à un accès aisé et pédagogique à la création actuelle pour tous les publics, connaisseurs ou novices. En 2019, les expositions du FRAC ont accueilli plus de 100 000 visiteurs et, chaque année, ce sont plus de 25 000 scolaires qui bénéficient des actions éducatives du FRAC. Le FRAC Auvergne s’installera en 2021 dans un nouveau lieu, la halle aux blés, situé au coeur de Clermont- Ferrand et doté de 3000 m².
PROGRAMMATION 2019-2020 ¬ AGNÈS GEOFFRAY FRAC AUVERGNE Du 1er février au 3 mai 2020 ¬ LE MAUVAIS ŒIL Caroline ACHAINTRE - Michel AUBRY - Marc BAUER - Christian BOLTANSKI - Miriam CAHN - Clément COGITORE - Gregory CREWDSON - Agnès GEOFFRAY - Camille HENROT - Yuri KOZYREV - Natacha LESUEUR - Fabian MARCACCIO - Seamus MURPHY - Gerald PETIT - Émilie PITOISET - James REILLY Serban SAVU - Loredana SPERINI - Nancy Spero - Elly STRIK - Claire TABOURET - Sandra VÀSQUEZ DE LA HORRA Du 16 mai au 20 septembre 2020 ¬ MARC BAUER Du 10 octobre 2020 au 10 janvier 2021 ¬ À L’OMBRE DES GRANDS ARBRES - Du 5 novembre au 9 décembre 2019 - Brioude - Lycée Lafayette ART AU LYCÉE ¬ À L’OMBRE DE LA COULEUR - Du 7 novembre au 18 décembre 2019 - Clermont-Ferrand Ensemble scolaire la Salle ¬ FACE À FACE - Du 12 novembre au 16 décembre 2019 - Les Ancizes-Comps - Collège les Ancizes (dans le cadre de l’EROA) ¬ L’INVENTION D’UN CORPS - Du 26 novembre au 19 mars 2020 - Yzeure - Lycée Jean Monnet (dans le cadre de l’EROA) ¬ MÉTISSAGES - Du 7 janvier au 20 février 2020 - Cournon - Lycée René Descartes ¬ LA FABRIQUE DU RÉEL - Du 9 janvier au 17 février 2020 - Cusset - Lycée Albert Londres ¬ LE PAYSAGE N’EXISTE PAS - Du 14 janvier au 16 mars 2020 - Riom - Lycée Pierre-Joël Bonté (dans le cadre de l’EROA) ¬ ADRIAN PACI - Du 20 février au 16 avril 2020 - Clermont-Ferrand Ensemble scolaire la Salle ¬ LES MONDES INVISIBLES - Du 10 mars au 9 avril 2020 - Riom - Institution Sainte-Marie ¬ VOYAGE DÉCOUVERTE - Du 12 mars au 15 avril 2020 - Ambert - Lycée Blaise Pascal (dans le cadre de l’EROA) ¬ LE SENS DU GESTE - Du 24 mars au 15 mai 2020 - Saint-Gervais-D’Auvergne - Lycée agricole ¬ CONTRE-HISTOIRES - Du 16 octobre 2019 au 18 janvier 2020 - Clermont-Ferrand - Hôtel Fontfreyde HORS-LES-MURS Centre photographique ¬ LE SPECTACLE DU MONDE - Du 13 mars au 18 mai 2020 - Saint-Germain-Lembron - La Licorne ¬ DAVID LYNCH - Du 2 avril au 22 mai 2020 - Ambert - Centre culturel le Bief ¬ IMAGES DU MONDE - Été 2020 - Château de Villeneuve-Lembron ¬ CHARLES ROSTAN - De juin à septembre 2020 - Domaine Royal de Randan ¬ RÉSONANCES ET CONSPIRATIONS - Du 28 mai au 28 novembre 2020 - Musée d’art et d’archéologie d’Aurillac ¬ REGARDS CROISÉS - Du 26 novembre 2020 au 30 mai 2021- Le Puy-en-Velay Musée Crozatier
INFORMATIONS PRATIQUES Lieu d’exposition Lycée Blaise Pascal 23 rue Blaise Pascal - 63600 Ambert Dates d’exposition Du 12 mars au 15 avril 2020 Contact lycée : Marc Listrat - Professeur d’arts plastiques marc.listrat@ac-clermont.fr FRAC Administration 1 rue Barbançon - 63000 Clermont-Ferrand Tél. : 04.73.90.50.00 contact@fracauvergne.com Site internet : www.frac-auvergne.fr FRAC Salle d’exposition 6 rue du Terrail - 63000 Clermont-Ferrand Tél. : 04 73.90.50.00 Ouverture du mardi au samedi de 14 h à 18 h et le dimanche de 15 h à 18 h Fermeture les jours fériés. Entrée libre Contact FRAC : Laure Forlay, Chargée des publics Antoine Charbonnier, Adjoint chargé des publics 04.73.74.66.20 ou par mail à : laure@fracauvergne.com - antoinecharbonnier@fracauvergne.com Patrice Leray, Professeur relais - patriceleray@ac-clermont.fr Ce document est disponible en téléchargement sur le site du FRAC Auvergne : www.frac-auvergne.fr
Vous pouvez aussi lire