Beethoven @ Versailles - Concert capté à l'Opéra Royal de Versailles ONDIF Live Lundi 21 juin à 20h30 - Orchestre national d'Île-de-France
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
ONDIF Live Lundi 21 juin à 20h30 Beethoven @ Versailles Concert capté à l’Opéra Royal de Versailles Direction Case Scaglione Piano Federico Colli
ONDIF Live Beethoven 7 Concert capté à l’Opéra Royal de Versailles et diffusé en ligne sur Ondif live Direction Case Scaglione Lundi 21 juin à 20h30 Piano Federico Colli www.orchestre-ile.com/ondiflive Violon supersoliste Ann-Estelle Médouze Violon supersoliste cosoliste Alexis Cardenas Remerciements au Château de Versailles, au Château de Versailles Spectacles et à son directeur, Laurent Brunner, Ludwig van Beethoven pour son accueil et sa collaboration. Concerto pour piano n° 5 en mi bémol majeur op. 73 dit « L’Empereur » Symphonie n° 7 en la majeur op. 92
« C’est sans aucun doute l’un des plus originaux, des plus Ludwig van Beethoven (1770 -1827) imaginatifs, des plus énergiques, mais aussi des plus difficiles Concerto pour piano n° 5 en mi bémol majeur op. 73 de tous les concertos existant à ce jour. » dit « L’Empereur » Critique parue dans l’Allegmeine musikalische Zeitung de Leipzig, 1er janvier 1812. 1. Allegro 2. Adagio un poco moto - RÉCEPTION - 3. Rondo. Allegro ma non troppo « L’auditoire réunit à Paris pour cette nouvelle soirée de Franz Liszt avec la Société des Concerts du Conservatoire était plein d’enthousiasme et brillant. C’est au Concerto pour 1808-1810 piano en mi bémol majeur de Beethoven qu’était réservé le 28 novembre 1811, à Leipzig par Friedrich Schneider le grand enthousiasme. Jamais, en effet, pareil virtuose n’eut et l’orchestre du Gewandhaus sous la direction à exécuter une telle musique avec l’accompagnement de Johann Philipp Christian Schultz d’un si magnifique orchestre. Ces longues périodes pompeuses 40 cordes, 2 flûtes, 2, hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, du premier mouvement, ces mélodies souriantes que le piano 2 trompettes, timbales mêle aux soupirs des hautbois et des flûtes, ce chant religieux 40 minutes des violons dans l’Adagio, ces dialogues si originaux, pendant lesquels le piano paraît tantôt menacer l’orchestre, et lui parler La composition du cinquième et dernier concerto pour piano en maître, tantôt le flatter, lui obéir, s’effacer et ramper de Beethoven est liée au contexte de la guerre qui opposait en esclave devant lui, ces notes aiguës tombant du clavier les Autrichiens aux troupes Napoléoniennes, et notamment lentement en octaves, comme des perles dans un vase d’or, à l’occupation de Vienne par la Grande Armée. Le début pendant que les instruments à vent, conversant du deuxième mouvement est noté dans le manuscrit autographe mystérieusement ensemble, semblent se confier l’un à l’autre au moment de la déclaration de guerre de l’Autriche à Napoléon de tendres secrets, tout cela rendu comme Beethoven a pu en avril 1809 ; la composition est interrompue au moment le rêver, mais non l’entendre, a tenu pendant trois quarts de l’occupation en mai 1809 ; l’achèvement de l’œuvre n’ayant d’heure la salle dans une véritable extase. On craignait lieu qu’après la Paix de Vienne signée en octobre 1809 ; d’applaudir, et pourtant on applaudissait ; on interrompait une les esquisses sont parsemées de notes liées au combat : phrase, pour se repentir après de l’avoir interrompue. Liszt Auf die Schlacht Jubelgesang (Chant de triomphe pour le combat), s’est surpassé dans l’interprétation poétique autant que fidèle Angriff ! (Attaque !), Sieg ! (Victoire !)… Mais le sous-titre de ce chef-d’œuvre ; il a montré toute la profondeur « L’Empereur » n’est pas une volonté du compositeur qui avait pris et la puissance de son talent, alors même qu’il ne veut point soin d’indiquer à ses éditeurs : « le concerto sera dédié à user des prestiges de son exécution exceptionnelle. l’Archiduc Rodolphe et pour le titre il n’a rien que : Il a été sublime ! » “Grand concerto dédié à son Altesse Impériale l’Archiduc Hector Berlioz, article paru dans le Journal des débats, 16 mai 1841. Rodolphe” ». Aussi ne faut-il voir aucun rapport entre Napoléon et le titre dont on ignore encore d’où il provient vraiment, mais plutôt la volonté de souligner que le dernier concerto de Beethoven était le plus grand.
- EN MIROIR DE L’œUVRE - « Dans les années qui suivirent la mort de Beethoven, l’avis Ludwig van Beethoven (1770 -1827) le plus partagé était que ses œuvres tardives – les dernières Symphonie n° 7 en la majeur op. 92 sonates pour piano, les derniers quatuors… – portaient les stigmates esthétiques de sa surdité. Les bizarreries 1 Poco sostenuto. Vivace formelles, pensait-on, loin d’être des traits de génie, 2 Allegretto ne faisaient que trahir une incapacité à percevoir les processus 3 Presto sonores en temps réel. Les anomalies de l’orchestration ou 4 Allegro con brio de l’écriture vocale, disait-on aussi, loin d’illustrer l’audace du compositeur, montraient l’impossibilité de se servir 1811-1812 de l’oreille pour contrôler la partition. Ce n’est que peu à peu, le 8 décembre 1813, à Vienne (Grande salle de l’Université), et notamment avec l’essai écrit en 1870 par Richard Wagner sous la direction du compositeur pour le centenaire de la naissance de Beethoven, que l’on vint 40 cordes, 2 flûtes, 2, hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, à penser qu’en perdant l’ouïe celui-ci avait gagné la capacité 2 trompettes, timbales à transcender le monde phénoménal et à ouvrir les oreilles 40 minutes de ses congénères à une réalité musicale supérieure, littéralement inouïe. Beethoven fut grand grâce à sa surdité et non pas malgré elle : l’idée fera son chemin jusqu’à une En observant les esquisses préparatoires à la composition véritable doxa. La découverte par Wagner de la philosophie de la Septième Symphonie, on peut remarquer que la première de Schopenhauer entra pour beaucoup dans ce retournement, matière musicale notée par Beethoven est de nature avec l’éloge de la musique comme “volonté” métaphysique rythmique : plusieurs motifs rythmiques constitutifs définie par opposition au monde sensible de la de l’œuvre sont en effet ébauchés et travaillés dès “représentation” ; aussi, y joua un rôle le nouveau paysage l’automne 1811. Une fois achevée, au printemps 1812, sonore issu de la révolution industrielle qui en quelques la partition conserve de toute évidence cette première années, avec ses stridences plébéiennes de fer et de verre, intention : une multitude d’intentions rythmiques irrigue fit du silence un bien précieux. Ainsi s’imposa la gloire chacun des mouvements et confère à cette œuvre une d’une musique née du silence. » effervescence particulière qui marque son originalité au sein Esteban Buch, « Bénéfices secondaires de la surdité », dans le catalogue du corpus des symphonies de Beethoven. Dès sa création en de l’exposition Ludwig Van. Le Mythe Beethoven, Gallimard-Philharmonie 1813, la Septième remporte un très beau succès au-delà de Paris, 2016. du cercle restreint des salons aristocratiques, auprès du public viennois qui raffole notamment de l’Allegretto (bissé à chacune ¢ EN 1811 ... des exécutions, et ce, dès la première audition de l’œuvre). * La femme de lettres anglaise Jane Austen publie Raison et sentiments (Sense and Sensibility) tandis que Chateaubriand commence l’écriture « Dans le cas de Beethoven, je suis face à une pensée sublime, des Mémoires d’outre-tombe (achevées en 1841). formidable, pour laquelle je ne trouve pas d’équivalent. » * L’industriel autrichien Johann Nepomuk Reithoffer fabrique Edgar Morin, Mes philosophes, 2011. les premiers produits en caoutchouc. * Napoléon Ier fait tirer 100 coups de canon pour célébrer la naissance de son fils François Joseph (Napoléon II, roi de Rome, né au Palais des Tuileries à Paris, fils de Marie-Louise d’Autriche).
- RÉCEPTION - - EN MIROIR DE L’œUVRE - « L’orchestre dont Beethoven hérite est déjà constitué par « Même au milieu de la tempête, de la passion la plus cet expérimentateur sonore hors de pair qu’a été Haydn. déchaînée, quel calme de fer et quelle clarté, quelle volonté Si Beethoven n’apporte rien de véritablement nouveau impitoyable de maîtrise et de mise en forme de la matière à son inventaire (sauf l’usage, plus désinvolte que chez brute jusqu’au dernier détail ! Jamais un artiste soulevé ses prédécesseurs, des trombones, du contrebasson, par cette soif pressante d’absolu n’a ressenti, “vécu” du piccolo), il y affirme une écriture personnelle qui tend vers la musique aussi intensément que Beethoven, jamais il ne s’y le lapidaire, le massif, vers les oppositions violentes, est plié avec tant de rigueur et d’humilité. La grande question les articulations très creusées et vers une monumentalité est évidemment de savoir dans quelle mesure ceci est compris ignorée jusque-là. Ce que cette écriture perd en finesse, du monde actuel ; de ce monde qui – passif et improductif en transparence, en demi-teintes par rapport à celle – semble ne plus accepter qu’une seule loi, celle de l’effet, d’un Haydn, elle le gagne sur un autre plan : l’orchestre de “l’effet à tout prix” prenant au besoin l’auditeur par de Beethoven est traité comme un instrument collectif surprise, pour ne pas dire : l’assommant. La grande question où jouent et s’affrontent des groupes plutôt que des solistes, est de savoir si ce monde veut et peut encore ressentir ce qui des blocs sculptés plutôt que des lignes ciselées, où fusionnent n’a pas la complaisance d’aller au-devant de lui, mais qui lui des amalgames de timbres inédits, où se marquent et se présente – en quelque sorte – des exigences ! Et si prisonnier creusent, enfin, de façon plus radicale, les différences. de ses propres autosuggestions, il a encore le désir et la Ainsi sonne-t-il, cet orchestre, de façon plus pleine et plus capacité de comprendre des lois qu’il bafoue lui-même chaque puissante, plus envahissante et plus sensuelle que celui jour. […] La musique de Beethoven a une base moins des classiques : c’est une évidence. » “sensuelle” que la musique des autres compositeurs ; André Boucourechliev, Essai sur Beethoven, 1991. c’est-à-dire que pour la traduction formelle de ses idées, Beethoven ne s’inspire pas à proprement parler du caractère des instruments ou des voix auxquels il les confie. Ceux-ci sont un moyen d’exprimer des idées qui les dépassent de loin. La flamme interne doit pour ainsi dire refondre, de l’intérieur, l’ensemble du corps instrumental ou vocal ; toute œuvre beethovénienne doit véritablement être arrachées de haute lutte à ses supports sonores. » Wilhelm Furwängler, Considérations sur la musique de Beethoven, 1918.
¢ EN 1813 ... * Naissances des compositeurs Richard Wagner, Giuseppe Verdi, Charles-Valentin Alkan, de l’écrivain et dramaturge allemand Georg Büchner et du philosophe danois Søren Kierkegaard. * L’écrivain britannique Percy Bysshe Shelley publie La Reine Mab (poème philosophique), l’écrivain britannique Lord Byron publie Le Giaour et La Fiancée d’Abydos (contes orientaux), tandis que Le Messager de l’Europe publie les premiers poèmes de Pouchkine. * Création à Londres de la Royal Philharmonic Society et à Venise des opéras Tancrède (La Fenice) et L’Italienne à Alger (Teatro San Benedetto) de Gioachino Rossini. Textes sélectionnés par Corinne Schneider
symphoniques de Houston, Dallas, Detroit, Phoenix, San Diego et Baltimore. En Asie, il est régulièrement invité de l’Orchestre philharmonique de Hong-Kong, et s’est produit à la tête des orchestres symphoniques de Shanghai, Canton et de l’Orchestre philharmonique de Chine. Case Scaglione a dirigé le Württembergisches Kammerorchester Heilbronn (WKO) au Concertgebouw d’Amsterdam, au Musikverein de Vienne et à la Herkulessaal de Munich. Case Scaglione direction Il a enregistré avec le WKO les Six Symphonies de Carl Ditters von Dittersdorf d’après Directeur musical et chef principal Orchestra à Los Angeles. les Métamorphoses d’Ovide et un de l’Orchestre national Il est diplômé du Cleveland Institute disque Copland avec le clarinettiste d’Île-de-France of Music, du Peabody Institute Sebastian Manz. et de l’Académie de direction Le chef d’orchestre américain d’Aspen où il a reçu Case Scaglione et l’Orchestre Case Scaglione est directeur musical le prix James Conlon. national d’Île-de-France ont et chef principal de l’Orchestre enregistré la Symphonie n°3 « Eroica » national d’Île-de-France depuis Case Scaglione a été l’invité de Beethoven et un disque Wagner le début de la saison 2019.20. du NDR Elbphilharmonie Orchester (NoMadMusic) avec en solistes de Hambourg, des orchestres Michelle DeYoung et Simon O’Neill Case Scaglione est également chef philharmoniques de Bruxelles, (janvier 2021). principal du Württembergisches Czczecin, du Luxembourg, Kammerorchester Heilbronn des orchestres symphoniques en Allemagne. de Lucerne, Bournemouth, RTVE de Madrid, Castilla y Léon, Il a été chef associé à l’Orchestre RTE Dublin, de l’Ulster et du Scottish philharmonique de New York Chamber Orchestra. Aux États-Unis, et directeur musical du Young il a dirigé l’Orchestre philharmonique Photo © ONDIF / Christophe Urbain Musicians Foundation Debut de New York, et les orchestres
Hong Kong City Hall, Théâtre municipal Federico Colli a partagé la scène avec de Rio de Janeiro, Lincoln Centre à New Lang Lang, Martha Argerich, York et Bennet Gordon Hall à Chicago. Nelson Freire, Leonidas Kavakos, le Quartetto della Scala et le Quartetto Federico Colli a collaboré avec les chefs Guadagnini. d’orchestre Valery Gergiev, Yuri Temirkanov, Vladimir Ashkenazy, Federico Colli se produira prochainement Vasily Petrenko, Juraj Valčuha, à la Elbphilharmonie de Hambourg, Ed Spanjaard, Thomas Søndergård, à Vienne, au Wigmore Hall et au Queen Alan Burybaiev, Joji Hattori, Elisabeth Hall à Londres, à Nottingham, Jacek Kaspszyk, Alpesh Chauhan, Leeds, Stockholm et Prague. Roman Kofman, Ion Marin, Sir Mark Elder, Il est également l’invité du Festival Dennis Russell Davis, John Axelrod, de Pohang en Corée et fera une tournée Stanislav Kochanovsky et Sakari Oramo. de récitals en Amérique du Nord passant par San Francisco, San José, Kalamazoo Ces dernières saisons, Federico Colli a été (Gilmore Rising Stars Serie) et Vancouver, Federico Colli piano l’invité des festivals Robeco avant d’être l’invité en soliste de la RAI SummerNights à Amsterdam, de Ravinia, de Turin, des orchestres philharmoniques Ferrara Musica, MiTo Settembre Musica, de Saint-Pétersbourg et Janacek, Federico Colli est né à Brescia en Italie de chambre de Vienne, l’Orchestre Brescia, Bergame, Lucerne, Eilat Chamber de l’Orchestre de chambre de Lausanne, en 1988. Il étudie au Conservatoire symphonique de Hambourg, l’Orquestra Music Festival, Ruhr Piano Festival. de l’English Chamber Orchestra, de Milan, à l’Académie internationale Sinfonica Brasileira et l’Orchestre national de l’Ulster Orchestra, du WKO Heilbronn de piano d’Imola et au Mozarteum d’Île-de-France. Federico Colli enregistre en exclusivité et de l’Orchestre de Kaoshiung en Corée. de Salzbourg. Il remporte le premier prix pour Chandos Records. Un disque au Concours Mozart de Salzbourg en 2011, Il s’est produit dans des salles aussi de sonates de Scarlatti est sorti en 2018 Le magazine Piano International puis le premier prix au Concours prestigieuses que les Musikverein (« Enregistrement de l’Année » par le a sélectionné Federico Colli parmi les international de Leeds en 2012. et Konzerthaus de Vienne, Konzerthaus magazine Presto Classical), suivi d’un « trente pianistes de moins de trente ans de Berlin, Herkulessaal de Munich, disque Bach et Bach/Busoni en 2019 qui domineront la scène dans les années à Federico Colli a joué avec l’Orchestre Laeiszhalle et Elbphilharmonie (*****Diapason) et d’un second volume venir ». Le Cercle britannique de la du Mariinsky et l’Orchestre à Hambourg, Beethovenhalle à Bonn, de sonates de Scarlatti en 2020 Critique (UK Critics’ Circle) lui décerne philharmonique de Saint-Pétersbourg, Gewandhaus de Leipzig, Concertgebouw (« Enregistrement du mois » par le BBC en 2018 le prix du « Talent émergent » le Philharmonia Orchestra, les BBC d’Amsterdam, Auditorium Parco della Music Magazine et Piano Magazine dans la catégorie instrumentiste. Symphony, BBC Philharmonic et Royal Musica à Rome et Théâtre Arcimboldi et sélectionné comme l’un des « meilleurs Sa ville natale de Brescia a remis Philharmonic Orchestra à Londres, à Milan, Philharmonie de Paris, Royal disques classiques de l’année » par à Federico Colli la distinction « Grosso le Royal Scottish Symphony Orchestra, Albert Hall, Wigmore Hall, Cadogan Hall le BBC Music Magazine). d’Argento » en reconnaissance de son le Royal Liverpool Philharmonic et Barbican Centre à Londres, Les prochains projets discographiques rayonnement artistique sur la Orchestra, l’Orchestre philharmonique Konserthuset à Stockholm, Rudolfinum de Federico Colli pour Chandos communauté. de Stockholm, les orchestres de de Prague, Théâtre Mariinsky, s’orienteront vers Mozart (piano solo l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia Nikkei Hall et Bunka Kaikan Hall à Tokyo, et musique de chambre) et le répertoire Photo © Sarah Ferrara à Rome et de la RAI de Turin, l’Orchestre Kumho Art Centre à Séoul, russe (Chostakovitch et Prokofiev).
Orchestre national d’Île-de-France Fier d’être l’un des vingt orchestres d’Igor Stravinski (2018), Ludwig, Case Scaglione, directeur musical au monde les plus impliqués dans un album consacré à Beethoven avec l’action culturelle, l’Orchestre le pianiste Cédric Tiberghien (2018) Orchestre résident à la Philharmonie de Paris imagine et élabore des actions et un autre dédié à Gustav Mahler Faire vivre le répertoire symphonique soutient la création contemporaine éducatives créatives qui placent avec le baryton Markus Werba. partout et pour tous en Île-de-France en accueillant des compositeurs en l’enfant au cœur du projet Sont parus (NoMadMusic) deux et le placer à la portée de chacun, résidence tels que Anna Clyne, pédagogique – notamment à travers enregistrements sous la direction telles sont les missions de l’orchestre. Dai Fujikura ou encore Guillaume de nombreux concerts participatifs de Case Scaglione : Formé de 95 musiciens permanents, Connesson, pour des commandes et spectacles musicaux pour toute la Symphonie n°3 « Eroica » résident à la Philharmonie de Paris, d’œuvres symphoniques, la famille. de Beethoven et un disque Wagner l’Orchestre national d’Île de-France de spectacles lyriques ou contes L’Orchestre mène une politique avec la mezzo Michelle DeYoung donne chaque saison une centaine musicaux venant enrichir dynamique en matière d’audiovisuel. et le ténor Simon O’Neill de concerts sur tout le territoire et son répertoire. Il dispose d’un grand studio (janvier 2021). L’Orchestre offre ainsi aux Franciliens la richesse En septembre 2019, Case Scaglione d’enregistrement high tech situé est fréquemment l’invité d’un répertoire couvrant quatre succède à Enrique Mazzola en tant aux portes de Paris. de prestigieux festivals en France siècles de musique. que directeur musical et chef Depuis 2016, une série et à l’étranger. L’orchestre mène une politique principal. Fervent défenseur d’enregistrements est parue chez artistique ambitieuse et ouverte, de la mission de l’orchestre, NoMadMusic : Bel canto amore mio Créé en 1974, l’Orchestre national nourrie de collaborations régulières il aime faire partager sa passion (2016), un album consacré à Manuel d’Île-de-France est financé par avec de nombreux artistes venus du répertoire symphonique De Falla (2017), La Bien-Aimée de le conseil régional d’Île-de-France d’horizons divers. Il promeut et au plus grand nombre. Darius Milhaud et L’Oiseau de feu et le ministère de la Culture.
SAIS N 21 22 À LA PHILHARMONIE DE PARIS Virtuoses Chantons avec l’Orchestre SYMPHONIQUE Rachmaninov - Respighi / Liszt / Week-end « amateurs » Chostakovitch Olympe la Rebelle à partir de 10 ans Portraits romantiques Une soirée chez Schubert DIRECTION ILYICH RIVAS LIVRET VIOLAINE FOURNIER Wagner / Dvorák / Strauss Schubert PIANO JEAN-PAUL GASPARIAN MUSIQUE ISABELLE ABOULKER DIRECTION CASE SCAGLIONE DIRECTION MICHAEL HOFSTETTER Vendredi 13 mai à 20 h 30 DIRECTION CHLOE DUFRESNE VIOLONCELLE ISTVÁN VÁRDAI SOPRANO SARAH WEGENER Avec soprano et baryton Mardi 12 octobre à 20 h 30 Lundi 14 février à 20 h 30 Choeur d’élèves (du CM2 à la 5e) d’Île-de-France EN FAMILLE Samedi 4 juin à 11 heures L’Âme russe Nuit américaine Prokoviev / Tchaïkovski Gershwin / Mackey / Debussy Cinecittà à partir de 7 ans DIRECTION EUGENE TZIGANE DIRECTION CASE SCAGLIONE Musique Nino Rota MUSIQUE DE CHAMBRE PIANO FLORIAN NOACK PIANO MARIE-ANGE NGUCI Bandes originales de films Lundi 22 novembre à 20 h 30 TIMBALES FLORIAN CAUQUIL de Federico Fellini BERNSTEIN INTIME Mardi 15 mars à 20 h 30 DIRECTION GIUSEPPE GRAZOLI Bernstein, Gershwin, Copland, Ellington Résonances COMEDIENS JULIEN COTTEREAU Samedi 8 janvier à 18 heures Schreker / Dessner / Beethoven La Vie céleste ANNA MIHALCEA DIRECTION RYAN MC ADAMS Mozart / Mahler Samedi 27 novembre à 16 h 30 MUSIQUE RUSSE TROMBONE JÖRGEN VAN RIJEN DIRECTION CASE SCAGLIONE Chostakovitch, Tchaïkovski, Rachmaninov Mardi 30 novembre à 20 h 30 VIOLON EMMANUEL TJEKNAVORIAN Émile en musique à partir de 4 ans PIANO MARIE-ANGE NGUCI SOPRANO RUBY HUGHES LIVRET VINCENT CUVELLIER Dimanche 13 mars à 11 heures Concert de Noël Mardi 29 mars à 20 h 30 MUSIQUE MARC-OLIVIER DUPIN Vivaldi / Piazzolla ILLUSTRATIONS RONAN BADEL DIRECTION ET VIOLON Tout un monde lointain DIRECTION LAUREAT DU CONCOURS ROSANNE PHILIPPENS Dutilleux / Saint-Saëns DE CHEF ASSISTANT Vendredi 17 décembre à 20 h 30 DIRECTION GEMMA NEW RECITANT GUILLAUME MARQUET VIOLONCELLE CAMERON CROZMAN Samedi 5 février à 11 heures Le Monde de Bartók AVEC ORGUE Bartók Vendredi 15 avril à 20 h 30 DIRECTION CASE SCAGLIONE PIANO MISHKA RUSHDIE MOMEN Dimanche 30 janvier à 16 h 30
L’Orchestre Trombones Patrick Hanss, 1er solo L’équipe Violaine Daly-de Souqual Communication et relations Directeur musical Delphine Masmondet Renaud Déjardin Clarinettes Laurent Madeuf, Direction adjointe à la publiques Case Scaglione Laurent-Benoît Ostyn Frédéric Dupuis Jean-Claude Falietti, 1er solo Fabienne Voisin responsable Emmanuelle Dupin Marie-Anne Camilo Peralta 1er solo Sylvain Delvaux directrice générale de l’action culturelle responsable de la Premiers violons Pichard-Le Bars Anne-Marie Rochard Myriam Carrier, Matthieu Dubray Alexis Labat Margot Didierjean communication supersolistes Marie-Laure Rodescu Bernard co-soliste administrateur Julie Mercier Mélanie Chardayre Ann-Estelle Médouze Stefan Rodescu Vandenbroucque Benjamin Duthoit, Contretuba / chargées de l’action chargée des éditions co-soliste Sakkan Sarasap ... clarinette basse tuba-basse Programmation culturelle et responsable Alexis Cardenas Pierre-Emmanuel Vincent Michel, André Gilbert Anne-Marie Clec’h internet Sombret Contrebasses petite clarinette conseillère artistique Bibliothèque Audrey Chauvelot Violons solos Eurydice Vernay Philippe Bonnefond, Timbales Lucie Moreau Nora Ouaziz Bernard Le Monnier Justina Zajancauskaite 1er solo Bassons Florian Cauquil Production bibliothécaire chargées des relations Clément Verschave Justine Zieziulewicz Pauline Lazayres, Frédéric Bouteille, Production des publiques ... co-soliste 1er solo Percussions concerts Régie et des partenariats Violons Pierre Maindive, Henri Lescourret, Georgi Varbanov, Alice Nissim Jean Tabourel Consuelo Flore Nicquevert, Altos 2nd solo co-soliste 1er solo responsable de la directeur technique Nascimento cheffe d’attaque Renaud Stahl, 1er solo Florian Godard Gwendal Villeloup Pascal Chapelon production François Vega assistante Domitille Gilon, Benachir Boukhatem, Pierre Herbaux Cyril Exposito, Andreï Karassenko Alexandra Aimard directeur technique de communication cheffe d’attaque, co-soliste Jean-Philippe Vo Dinh contrebasson Xavier Bastin des productions et des relations co-soliste David Vainsot, 2nd solo ... Harpe chargé de production musicales publiques Maryse Thiery, 2nd solo Ieva Sruogyte, 2nd solo Cors Florence Dumont Maria Birioukova Bernard Chapelle Yoko Lévy-Kobayashi, Sonia Badets Flûtes Robin Paillette, 1er solo responsable du régisseur général Comptabilité 2nd solo Raphaëlle Bellanger Hélène Giraud, 1er solo Tristan Aragau, personnel artistique Didier Theeten Isabelle Rouillon Virginie Dupont, Claire Chipot Sabine Raynaud, co-soliste régisseur adjoint responsable 2nd solo Frédéric Gondot co-soliste Annouck Eudeline Bureau Diffusion des Carole Claustre comptable Grzegorz Szydlo, Guillaume Leroy Nathalie Rozat, Marianne Tilquin du conseil concerts régisseuse Christelle Lepeltier 2nd solo Lilla Michel-Peron piccolo Jean-Pierre d’administration Adeline Grenet Stéphane Borsellino, assistante comptable Jérôme Arger-Lefèvre François Riou ... Saint-Dizier responsable de la Stéphane Nguyen Anne Bella ... Présidente diffusion Phu Khai Contact presse Marie Clouet Hautbois Trompettes Florence Portelli régisseurs du parc Ludmilla Sztabowicz Émilien Derouineau Violoncelles Luca Mariani, 1er solo Yohan Chetail, 1er solo Action culturelle instrumental ludmilla.sztabowicz@ Isabelle Durin Natacha Colmez- Jean-Philippe Nadine Schneider, Trésorier Vanessa Gasztowtt wanadoo.fr Sandra Gherghinciu Collard, 1er solo Thiébaut, co-soliste et cornet Hervé Burckel de Tell responsable de Maria Hara Raphaël Unger, co-soliste solo l’action culturelle et Rédaction des textes Bernadette co-soliste Hélène Gueuret, Daniel Ignacio Diez programmation jeune musicologiques Jarry-Guillamot Bertrand Braillard Paul-Edouard Hindley Ruiz public Corinne Schneider Mathieu Lecce Elisa Huteau cor anglais Laëtitia Martin 2nd solo
Retrouvez-nous sur orchestre-ile.com BelleVille 2021 / Photographies Christophe Urbain, Simon Pauly / Licences d’entrepreneur de spectacles n°2-1043164 et n°3-1118500 / APE 90.01Z Suivez-nous ! Après le concert, laissez votre avis Inscrivez-vous à notre newsletter depuis la page d’accueil de notre site Orchestre national d’Île-de-France 19, rue des Écoles 94140 Alfortville Rés. 01 43 68 76 00 nora.ouaziz@orchestre-ile.com
Vous pouvez aussi lire