Le Feu sous la glace Saison 20.21 - ONDIF Live - Orchestre national d'Île-de-France
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Saison 20.21 Le Feu sous la glace Captation du concert Grande Salle Pierre Boulez Philharmonie de Paris ONDIF Live Samedi 20 mars à 20 h 30
ONDIF live Le Feu sous la glace Philharmonie live Concert capté dans la Grande Salle Pierre Boulez, Philharmonie de Paris Direction Case Scaglione Samedi 20 mars à 20 h 30 Piano Yeol Eum Son Violon supersoliste Ann Estelle Médouze Introduction du concert par Tristan Labouret Chef assistant Brian Liao Cheffe assistante Rebecca Tong www.orchestre-ile.com/ondiflive /live.philharmoniedeparis.fr/ Serge Rachmaninov Concerto pour piano n° 2 en ut mineur op. 18 Jean Sibelius Symphonie n° 2 en ré majeur op. 43 Grande Salle Pierre Boulez, Philharmonie de Paris (75) Réalisateur Guillaume Klein Conseillère musicale Charlotte Thoreau La Salle Directeur de la photographie Raphaël Pannier Moyens techniques HD Loc
Serge Rachmaninov (1873-1943) « Chaque fois que je l’entends, j’éclate en morceaux ! ça me secoue ! ça me fait trembler ! ça me donne la chair Concerto pour piano n° 2 en ut mineur op. 18 de poule ! je ne sais plus où je suis, ni qui je suis, ni ce que je fais ! » 1. Moderato Le personnage de Marilyn Monroe à propos du Deuxième Concerto de Rachmaninov 2. Adagio sostenuto dans Sept ans de réflexion (film réalisé par Billy Wilder en 1955). 3. Allegro scherzando - PROPOS DE RACHMANINOV « LE COMPOSITEUR » - 1900-1901 « À mon avis, le compositeur doit posséder deux qualités le 11 septembre 1901, à Moscou par le compositeur au piano essentielles – qui ne sont pas obligatoirement et dans la même avec l’Orchestre de la Société des concerts de Moscou mesure celles de l’interprète. Premièrement, c’est sous la direction d’Alexander Siloti l’imagination. Je ne veux pas affirmer par là que l’interprète 35 cordes, 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, n’a pas d’imagination. Mais on peut considérer que le 2 trompettes, 3 trombones, 1 tuba, timbales, 2 percussionnistes compositeur possède un talent plus important, car avant 32 minutes de créer, il doit imaginer. Il imagine avec une telle force que dans sa conscience se crée la future composition avant même qu’une seule note ne soit écrite. […] Le deuxième talent, À propos de son Premier Concerto pour piano composé plus important encore, qui distingue le compositeur de tous en 1890-1891, Rachmaninov parlait d’une « composition les autres musiciens, c’est le sens aigu de la couleur musicale. immature » ; il en révise d’ailleurs la partition en 1917. J’estime personnellement qu’un interprète, tout en étant Son Deuxième Concerto pour piano représente une étape un excellent musicien, ne peut jamais atteindre la profondeur importante dans sa carrière de compositeur : la conception de sentiment d’un compositeur, ni développer la gamme et l’écriture de cette œuvre survient après une grave des couleurs musicales comme le fait le créateur, car ceci dépression qui l’avait frappé à la suite de la création est vraiment une capacité due au talent du compositeur. […] désastreuse de sa Première Symphonie (1897). Résolument Je me suis rendu compte, en travaillant avec des pianistes, ancré dans le style romantique (longues mélodies lyriques, à quel point il peut être difficile pour un compositeur de se développement organique, dissonances expressives faire comprendre et d’expliquer comment doit être jouée la et coloristes, élans passionnés…), ce Deuxième Concerto composition. » représente l’apothéose du genre à une époque où certains Serge Rachmaninov, extrait d’une interview publiée dans de ses contemporains se tournent vers la modernité (Debussy, The Monthly Musical Record, New York, 1934. Bartók, Schönberg…). D’une grande difficulté technique, ce concerto rencontre un succès immédiat auprès du public. Il a également inspiré de nombreux réalisateurs de cinéma qui l’ont utilisé pour leurs films, comme par exemple Claude Lelouch, dans Partir, revenir (1985), avec Annie Girardot, Jean-Louis Trintignant, Françoise Fabian, Michel Piccoli et Evelyne Bouix, où il sert de trame au récit qui se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale.
- PROPOS DE RACHMANINOV « L’INTERPRÈTE » - « Je sens bien que j’interprète mes propres œuvres Jean Sibelius (1865-1957) différemment de celles des autres compositeurs, et ceci, Symphonie n° 2 en ré majeur op. 43 uniquement parce que je connais mieux ma propre musique. En tant que pianiste, j’approche ma musique de l’intérieur, 1. Allegretto. Poco allegro la comprenant mieux que n’importe quel autre pianiste 2.Tempo andante ma rubato. Allegro. Andante sostenuto ne pourrait la comprendre. On étudie toujours les œuvres 3. Vivacissimo (attacca) des autres comme quelque chose de nouveau et d’extérieur 4. Finale : Allegro moderato à soi-même. On ne peut jamais être sûr de réaliser, par son interprétation, les intentions du compositeur. […] D’autre part, pour un artiste-interprète, le contrôle de ses émotions est un 1901-1902 problème plus personnel. Je sais très bien que mon jeu varie le 8 mars 1902, à Helsinki par l’Orchestre philharmonique d’un jour à l’autre. Le pianiste est l’esclave de l’acoustique. d’Helsinki sous la direction du compositeur Ce n’est qu’après avoir joué la première pièce, ayant étudié 45 cordes, 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, l’acoustique de la salle et ressenti l’atmosphère générale, 3 trompettes, 3 trombones, 1 tuba, timbales que je conclus dans quel esprit je mènerai tout le concert. 45 minutes D’un certain point de vue, ce n’est pas bien pour moi, mais peut-être qu’il vaut mieux qu’un artiste ne soit jamais sûr d’avance de son jeu, plutôt que d’atteindre une sorte de niveau C’est avec l’orchestre que la créativité et l’invention d’exécution invariable qui pourrait facilement devenir de Jean Sibelius se sont exprimées au mieux, que ce soit une routine mécanique. » dans le registre des associations de timbres et de couleurs Serge Rachmaninov, extrait d’un entretien publié dans The Monthly Musical autant que dans le domaine des recherches formelles. Record, New York, 1934. Il a trente-six ans lorsqu’il est invité à séjourner en Italie avec sa famille par le baron Axel Carpelan, passionné d’art ¢ EN 1901... et de musique. Durant ce séjour, à Rapallo puis à Florence, * L’Académie des sciences de Saint-Pétersbourg reçoit le compositeur esquisse un poème symphonique en quatre un mammouth conservé par les glaces de Sibérie. parties sur la vie de Don Juan. De retour en Finlande, il achève * Inauguration de l’hôtel de ville de Philadelphie la partition qui devient finalement sa Deuxième Symphonie, (dont la construction avait débuté en 1871 dans le style sans comporter aucune trace de programme extra-musical, Napoléon III) qui devient le plus haut bâtiment en maçonnerie mais souvent nommée « L’Italienne » en référence à ce voyage du monde (sa tour mesure 167 mètres avec à son sommet très inspirant. La partition se caractérise par une forme très la statue de William Penn, fondateur de la ville et de l’Etat de libre, presque rhapsodique, même si elle conserve la coupe Pennsylvanie). traditionnelle en quatre mouvements (les deux derniers * L’Américain King Camp Gillette dépose le brevet d’un rasoir s’enchaînent) et une grande variété des coloris instrumentaux. à lames interchangeables tandis que le britannique Cecil Booth L’œuvre obtient un succès public dès sa création (elle est invente l’aspirateur. rejouée les trois jours suivants à guichets fermés) et consolide en Finlande la renommée de Sibelius comme héros national.
« Une œuvre comme la Deuxième Symphonie de Sibelius n’avait « Au plan formel, l’éventail du jeune Sibelius est plus vaste encore jamais résonné chez nous, c’est tout juste si nous avons que celui des compositeurs russes de la même génération, entendu dans le domaine de la symphonie moderne quelque et sa démarche est plus moderne. La plupart des chose de comparable ! » compositeurs russes s’adonnent à la musique à programme, Karl Flodin, extraits d’une critique musicale parue au lendemain de la création prenant modèle pour cela sur Franz Liszt. Sibelius est plus de la Deuxième Symphonie, 1902. proche de Strauss. Sa musique a quelque chose du sens de la nature du nomade, elle respire une hardiesse et une joie - RÉCEPTION - primitives. » « Le ton spécifiquement finlandais n’apparaît pas avec la même Critique musicale publiée dans la Gazette musicale russe de 1907. netteté dans les différentes œuvres de Sibelius. C’est incontestablement un gain, car cela montre que Sibelius « Le premier mouvement de la Deuxième Symphonie, le plus a échappé à un grand danger : se répéter, travers dans lequel, original qu’ait écrit jusque-là le compositeur affiche étant donné sa façon de formuler ses idées et de créer extérieurement une certaine naïveté peut-être en rapport ses atmosphères, il avait de fortes chances de tomber. à l’attachement à un thème qui peu à peu s’impose. En fait, Le compositeur puise son inspiration dans des sources tout on découvre un tissu thématique très dense au sein duquel à fait modernes et cosmopolites. Ses structures mélodiques chaque modèle rythmique de base, chaque dessin mélodique, évoquent de près le style de Liszt, et l’on y décèle aussi chaque palette de couleurs orchestrales s’élance l’influence de Wagner et de Tchaïkovski, sans que pour autant et s’émancipe à un haut degré, selon le principe de la Sibelius laisse ces maîtres empiéter en quoi que ce soit sur son métamorphose thématique continue (attitude créatrice originalité mélodique. Ses idées musicales sont d’une moderne et promise d’ici peu à un brillant avenir). La subtilité étonnante richesse. Parfois, ce n’est plus de la musique, mais du discours est telle que peu de commentateurs s’accordent simplement une atmosphère, un paysage sonore immobile, quant au moment où le deuxième sujet débute, par exemple ! au repos, où les hauteurs changent en fonction Son biographe Tawaststjerna va plus loin en affirmant qu’ “il ne de l’instrumentation, mais dont le contenu ne change pas. se contente plus de verser des mélodies neuves dans des Conclusion ? Le compositeur se propose per fas et nefas moules prédéterminés mais, comme le font les maîtres d’exercer sur ses auditeurs, par ses atmosphères et ses viennois eux-mêmes, il crée une forme nouvelle”. Il réévalue modulations, un pouvoir hypnotique auquel ils ne peuvent jusqu’à un certain point la traditionnelle forme-sonate et que se soumettre. […] Un talent d’une richesse infinie, délibérément s’en détache en présentant le matériel sous une une maîtrise souveraine des ressources de l’orchestre, forme fragmentaire et brute, préférant consacrer la véritable des dons incomparables pour créer une atmosphère, continuité linéaire pour le développement. Quand arrive pour le grandiose et la grandeur passagère, pour la passion le moment de la récapitulation, il ne se satisfait pas dans le chant, et une profonde originalité dans l’expression de rappeler simplement ce qui a été dit auparavant, musicale, mais en même temps un manque de retenue, il superpose différents textes et en façonne un nouveau, un manque de compassion envers les auditeurs laissés puis termine par une section finale plutôt brève. On s’aperçoit dans l’ignorance du fait que, pour parvenir à l’extase, ainsi que les thèmes se dégagent les uns des autres et que ils devront s’exposer à de fortes tensions nerveuses ! » la mosaïque éparse du début évolue vers une consolidation Karl Theodor Flodin, extrait d’un article publié dans Nya Pressen, 1896. sonore et dynamique inimitable. Cet abord singulier aboutit à un mouvement accompli et saisissant. » Jean-Luc Caron, Jean Sibelius : la vie et l’œuvre, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1997.
¢ EN 1902... - RÉCEPTION - * Retour en Norvège de l’expédition polaire arctique « De Mozart, j’ai appris : 1. L’art des phrases de longueurs du capitaine Otto Sverdrup initiée en 1898 pour tenter inégales ; 2. La coordination d’éléments hétérogènes en la conquête du pôle Nord, et première tentative sérieuse une même unité thématique ; 3. L’émancipation du nombre pour rejoindre le pôle Sud dans l’Antarctique par l’expédition pair de mesures dans la construction d’un thème et de ses britannique « Discovery » (Robert Scott, Edward Wilson et composants ; 4. L’art de créer des idées secondaires ; Ernest Shackleton). 5. L’art de l’introduction et de la transition. » * Début à Vienne des soirées psychologiques du mercredi Arnold Schönberg, « Du nationalisme en musique », 1931. dans l’appartement de Sigmund Freud qui deviendront les séances de la « Société viennoise de psychanalyse ». ¢ EN 1788... * Projection du Voyage dans la lune de Georges Mélliès, * Création de la Société des amis des NoirsSAISON par 20.21 considéré comme le premier film de science-fiction. Jacques Pierre Brissot, Etienne Clavière et l’abbé Grégoire qui avait pour buts : l’égalité des Blancs et des hommes de couleur, l’interdiction immédiate de la traite des Noirs Textes sélectionnés par Corinne Schneider et l’abolition de l’esclavage. * Entrée en vigueur de la Constitution des États-Unis d’Amérique. * Début de la construction de la Porte de Brandebourg à Berlin (achèvement en 1791). Textes sélectionnés par Corinne Schneider
RTE Dublin, de l’Ulster et du Scottish Chamber Orchestra. Aux États-Unis, il a dirigé l’Orchestre philharmonique de New York, et les orchestres symphoniques de Houston, Dallas, Detroit, Phoenix, San Diego et Baltimore. En Asie, il est régulièrement invité de l’Orchestre philharmonique de Hong-Kong, et s’est produit à la tête des orchestres symphoniques de Shanghai, Canton et de l’Orchestre philharmonique de Chine. Case Scaglione a dirigé le Württembergisches Case Scaglione direction Kammerorchester Heilbronn (WKO) au Concertgebouw d’Amsterdam, au Musikverein de Vienne et à la Herkulessaal de Munich. Il a enregistré avec le WKO Directeur musical et chef principal et directeur musical du Young les Six Symphonies de Carl Ditters de l’Orchestre national Musicians Foundation Debut von Dittersdorf d’après d’Île-de-France Orchestra à Los Angeles. les Métamorphoses d’Ovide et un Il est diplômé du Cleveland Institute disque Copland avec le clarinettiste Le chef d’orchestre américain of Music, du Peabody Institute Sebastian Manz. Case Scaglione est directeur musical et de l’Académie de direction et chef principal de l’Orchestre d’Aspen où il a reçu le Case Scaglione et l’Orchestre national d’Île-de-France depuis prix James Conlon. national d’Île-de-France ont le début de la saison 2019.20. enregistré la Symphonie n°3 « Eroica » Case Scaglione a été l’invité de Beethoven et un disque Wagner Case Scaglione est également chef du NDR Elbphilharmonie Orchester (NoMadMusic) avec en solistes principal du Württembergisches de Hambourg, des orchestres Michelle DeYoung et Simon O’Neill Kammerorchester Heilbronn philharmoniques de Bruxelles, (janvier 2021). en Allemagne. Czczecin, du Luxembourg, des orchestres symphoniques Photo © ONDIF / Christophe Urbain Il a été chef associé à l’Orchestre de Lucerne, Bournemouth, RTVE philharmonique de New York de Madrid, Castilla y Léon,
en Grande-Bretagne. Elle fera avec le Quatuor Modigliani prochainement ses débuts à la Philharmonie de Cologne, avec, entre autres, le Budapest à Trento et à Innsbruck. Festival Orchestra, l’Orchestre philharmonique d’Helsinki Yeol Eum Son a enregistré un disque et l’Orchestre symphonique de Bâle. Schumann comprenant la Fantaisie en ut majeur, les Kreisleriana Cette saison 2020-21, Yeol Eum Son et Arabesque (Onyx, 2020), Modern est « artiste en résidence » Times qui présente des œuvres de au Residentie Orkest de La Haye, Berg, Prokofiev, Stravinsky et Ravel interprétant différents concertos composées entre 1910 et 1920 dans la salle habituelle de l’orchestre (DECCA). Avec l’Academy of St. mais aussi au Concertgebouw Martin in the Fields et Sir Neville d’Amsterdam et à Utrecht. Marriner, elle a enregistré le Concerto n° 21 de Mozart (Onyx). Elle a joué sous la direction de chefs tels que Dmitri Kitayenko, Valery Yeol Eum Son est depuis 2018 Yeol Eum Son piano Gergiev, Vasily Petrenko, Vladimir Spivakov, Andrew Manze, Susanna Directrice artistique de « Music in PyeongChang » qui est l’un des Mälkki, Omer Meir Wellber, Pietari principaux festivals de musique Inkinen, Jonathan Nott, Mikko Franck, classique de Corée du Sud. Elle est Nicholas Collon, Joshua Weilerstein, également ambassadrice honoraire La pianiste Yeol Eum Son est née Konzerthausorchester Berlin, Joana Carneiro, Pablo González, Case du Centre des Arts de Séoul et de sa en 1986 à Wonju en Corée du Sud. Dresdner Philharmoniker, Deutsche Scaglione et Roberto ville natale de Wonju. Diplômée de l’Université nationale Radio Philharmonie Saarbrücken, González-Monjas. coréenne des arts et du Tonkünstler Orchester au Festival Conservatoire de Hanovre, où elle a de Grafenegg, orchestres Yeol Eum Son a donné des récitals étudié avec Arie Vardi, elle est philharmoniques de Radio-France, à San Francisco (Chamber Music lauréate des prestigieux concours de Bergen, Liège, Saint-Pétersbourg, Society), Washington (Phillips piano Tchaïkovski (Moscou, 2011) Belgrade, Zagreb, Sofia, de la Radio Collection), Helsingborg, Lucerne et Van Cliburn (Etats-Unis, 2009). et Télévision espagnole à Madrid, (KKL Saal), Fribourg (International Aurora Orchestra, WKO Heilbronn, Piano Series), Moscou (Maison de la Yeol Eum Son a été l’invitée des Orchestre de la Suisse Romande, Musique), Cardiff (Royal College of orchestres suivants : New York Orchestre symphonique KBS, Music), Porto (Casa de la Musica), Philharmonic Orchestra, Orchestre Virtuoses de Moscou, Orchestre Tallin, Vilnius, Belgrade, Istanbul du Théâtre Mariinsky symphonique de Slovénie. et en Ecosse (East Neuk Festival). de Saint-Pétersbourg, Orchestre Avec l’Orchestre symphonique philharmonique tchèque, d’Islande, elle a joué le Concerto pour En musique de chambre, Gürzenich-Orchester Köln, la main gauche de Ravel en tournée Yeol Eum Son joue cette saison
Orchestre national d’Île-de-France Fier d’être l’un des vingt orchestres d’Igor Stravinski (2018), Ludwig, Case Scaglione, directeur musical au monde les plus impliqués dans un album consacré à Beethoven avec l’action culturelle, l’Orchestre le pianiste Cédric Tiberghien (2018) Orchestre résident à la Philharmonie de Paris imagine et élabore des actions et un autre dédié à Gustav Mahler Faire vivre le répertoire symphonique soutient la création contemporaine éducatives créatives qui placent avec le baryton Markus Werba. partout et pour tous en Île-de-France en accueillant des compositeurs en l’enfant au cœur du projet Sont parus (NoMadMusic) deux et le placer à la portée de chacun, résidence tels que Anna Clyne, pédagogique – notamment à travers enregistrements sous la direction telles sont les missions de l’orchestre. Dai Fujikura ou encore Guillaume de nombreux concerts participatifs de Case Scaglione : Formé de 95 musiciens permanents, Connesson, pour des commandes et spectacles musicaux pour toute la Symphonie n°3 « Eroica » résident à la Philharmonie de Paris, d’œuvres symphoniques, la famille. de Beethoven et un disque Wagner l’Orchestre national d’Île de-France de spectacles lyriques ou contes L’Orchestre mène une politique avec la mezzo Michelle DeYoung donne chaque saison une centaine musicaux venant enrichir dynamique en matière d’audiovisuel. et le ténor Simon O’Neill de concerts sur tout le territoire et son répertoire. Il dispose d’un grand studio (janvier 2021). L’Orchestre offre ainsi aux Franciliens la richesse En septembre 2019, Case Scaglione d’enregistrement high tech situé est fréquemment l’invité d’un répertoire couvrant quatre succède à Enrique Mazzola en tant aux portes de Paris. de prestigieux festivals en France siècles de musique. que directeur musical et chef Depuis 2016, une série et à l’étranger. L’orchestre mène une politique principal. Fervent défenseur d’enregistrements est parue chez artistique ambitieuse et ouverte, de la mission de l’orchestre, NoMadMusic : Bel canto amore mio Créé en 1974, l’Orchestre national nourrie de collaborations régulières il aime faire partager sa passion (2016), un album consacré à Manuel d’Île-de-France est financé par avec de nombreux artistes venus du répertoire symphonique De Falla (2017), La Bien-Aimée de le conseil régional d’Île-de-France d’horizons divers. Il promeut et au plus grand nombre. Darius Milhaud et L’Oiseau de feu et le ministère de la Culture.
L’Orchestre Trombones Patrick Hanss, 1er solo L’équipe Violaine Daly-de Souqual Communication et relations Directeur musical Marie-Anne 2nd solo Clarinettes Laurent Madeuf, Direction adjointe à la publiques Case Scaglione Pichard-Le Bars Renaud Déjardin Jean-Claude Falietti, 1er solo Fabienne Voisin responsable Emmanuelle Dupin Mathieu Lecce Frédéric Dupuis 1er solo Sylvain Delvaux directrice générale de l’action culturelle responsable de la Chef assistant Laëtitia Martin Elisa Huteau Myriam Carrier, Matthieu Dubray Alexis Labat Margot Didierjean communication Brian Liao Delphine Masmondet Camilo Peralta co-soliste administrateur Julie Mercier Mélanie Chardayre Laurent-Benoît Ostyn Anne-Marie Rochard Benjamin Duthoit, Contretuba / Alexandra Aimard chargées de l’action chargée des éditions Premiers violons Marie-Laure Rodescu Bernard clarinette basse tuba-basse assistante de direction culturelle et responsable supersolistes Stefan Rodescu Vandenbroucque Vincent Michel, André Gilbert internet Ann-Estelle Médouze Pierre-Emmanuel ... petite clarinette Programmation Bibliothèque Audrey Chauvelot co-soliste Sombret Timbales Anne-Marie Clec’h Lucie Moreau Nora Ouaziz Alexis Cardenas Justina Zajancauskaite Contrebasses Bassons Florian Cauquil conseillère artistique bibliothécaire chargées des relations Maria Hara Philippe Bonnefond, Frédéric Bouteille, publiques Violons solos Eurydice Vernay 1er solo 1er solo Percussions Production Régie et des partenariats Bernard Le Monnier Sakkan Sarasap Pauline Lazayres, Henri Lescourret, Georgi Varbanov, Production des Jean Tabourel Consuelo Clément Verschave ... co-soliste co-soliste 1er solo concerts directeur technique Nascimento Pierre Maindive, Gwendal Villeloup Pascal Chapelon Alice Nissim François Vega assistante Violons Altos 2nd solo Cyril Exposito, Andreï Karassenko responsable de la directeur technique de communication Flore Nicquevert, Renaud Stahl, 1er solo Jean-Philippe Vo Dinh, contrebasson production des productions et des relations cheffe d’attaque Benachir Boukhatem, 2nd solo Harpe Xavier Bastin musicales publiques Domitille Gilon, co-soliste Florian Godard Cors Florence Dumont chargé de production Bernard Chapelle cheffe d’attaque, David Vainsot, 2nd solo Pierre Herbaux Robin Paillette, 1er solo Maria Birioukova régisseur général Comptabilité co-soliste Ieva Sruogyte, 2nd solo Robert Pelatan Tristan Aragau, responsable du Didier Theeten Isabelle Rouillon Maryse Thiery, 2nd solo Sonia Badets co-soliste personnel artistique régisseur adjoint responsable Yoko Lévy-Kobayashi, Raphaëlle Bellanger Flûtes Annouck Eudeline Bureau Carole Claustre comptable 2nd solo Claire Chipot Hélène Giraud, 1er solo Marianne Tilquin du conseil Diffusion des régisseuse Christelle Lepeltier Virginie Dupont, Frédéric Gondot Sabine Raynaud, Jean-Pierre d’administration concerts Stéphane Borsellino, assistante comptable 2nd solo Guillaume Leroy co-soliste Saint-Dizier Adeline Grenet Stéphane Nguyen Grzegorz Szydlo, Lilla Michel-Peron Nathalie Rozat, Présidente responsable de la Phu Khai Contact presse 2nd solo François Riou piccolo Trompettes Florence Portelli diffusion régisseurs du parc Ludmilla Sztabowicz Jérôme Arger-Lefèvre ... Yohan Chetail, 1er solo instrumental ludmilla.sztabowicz@ Anne Bella Hautbois Nadine Schneider, Trésorier Action culturelle wanadoo.fr Marie Clouet Violoncelles Luca Mariani, 1er solo co-soliste et cornet Hervé Burckel de Tell Vanessa Gasztowtt Émilien Derouineau Natacha Colmez- Jean-Philippe solo responsable de Rédaction des textes Isabelle Durin Collard, 1er solo Thiébaut, Daniel Ignacio Diez l’action culturelle et musicologiques Sandra Gherghinciu Raphaël Unger, co-soliste Ruiz programmation jeune Corinne Schneider Bernadette co-soliste Hélène Gueuret public Jarry-Guillamot Bertrand Braillard, ..., cor anglais
Le concert Le Feu sous la glace était programmé en Île-de-France :: LES PROCHAINS CONCERTS Alfortville - Le POC (94) ONDIF live ! Vendredi 19 mars Yerres - CEC Théâtre de Yerres (91) Rendez-vous sur www.orchestre-ile.com/ondiflive Dimanche 21 mars Rungis - Théâtre (94) Mardi 23 mars Chaville - L’Atrium (92) Mercredi 24 mars Paris - Grande Salle Pierre Boulez - Philharmonie de Paris (75) Apollon Musagète Vendredi 26 mars STRAVINSKY Direction Christian Reif Montereau-Fault-Yonne - Centre omnisport Jean Allasseur (77) Captation à l’Orchestre national Samedi 27 mars d’Île-de-France Diffusé le samedi 27 mars à 19 heures Villeparisis - Centre Culturel Jacques Prévert (77) Présentation du concert par Dimanche 28 mars Tristan Labouret Le Poc, Alfortville (94)
Rés. 01 43 68 76 00 nora.ouaziz@orchestre-ile.com 19, rue des Écoles 94140 Alfortville Orchestre national d’Île-de-France orchestre-ile.com Retrouvez-nous sur Suivez-nous, laissez votre avis ! BelleVille 2021 / Photographies Christophe Urbain, Simon Pauly / Licences d’entrepreneur de spectacles n°2-1043164 et n°3-1118500 / APE 90.01Z Programme et informations donnés sous réserve de modifications.
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