30 -01 20-02 EXPOSITION COLLECTIVE DES OEUVRES SELECTIONNÉES - L'Entrepôt Monaco
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EXPOSITION COLLECTIVE
DES OEUVRES SELECTIONNÉES
Thème :
Paradoxe du Ô.
Le Ô n’est jamais silencieux.
30 -01 >20-02
L’ENTREPÔT - DANIEL BOERI- Galerie d’art contemporain
Ouverture Publique : Lundi au vendredi 15h à 18h30 et le samedi sur rendez vous
22 rue de Millo-98000 Monaco - Tel : +377 93 50 13 14
Open des Artistes de Monaco 2019 : 2ème phase
Exposition collective des œuvres sélectionnées : 30 janvier – 20 février 2019
Soirée d’inauguration Mercredi 30 janvier à partir de 18h30
« Le paradoxe du Ô, le Ô n'est jamais silencieux...»
La neuvième édition de l’Open des Artistes de Monaco organisée par l’Entrepôt – Daniel Boeri,
en partenariat avec Monaco Telecom et la Compagnie Monégasque de Banque (CMB), a réuni 97
artistes de tous horizons, pour relever le défi d’un sujet peu commun, sur lequel le directeur de la
galerie, Daniel Boeri, a proposé aux artistes de s’exprimer.
La première phase de l’Open s’est terminée le 23 janvier à minuit. .
Au terme de cette première phase du concours, 38 œuvres ont été sélectionnées ; 35 par le jury, et
3 par les Internautes.
Cette édition confirme la tendance de l’an passé, qui dépasse largement les frontières et les scores
quand à la diffusion des œuvres sur la galerie interactive.
Par rapport à 2018, par exemple pour le nombre de votants et de pages vues en l’Italie c’est plus
de 130 %, en Russie plus 147 % et en Allemagne plus 33 %.
La Galerie numérique www.lentrepot-monaco.coma rencontré un nombre de visiteurs croissants ;
ainsi, en deux semaines, il y eut :
- 3 753 votes
- Plus de 219 000 pages vues
- 17 160 visiteurs, dont plus de 10 000 étaient de nouveaux visiteurs du site.
La deuxième phase du concours se déroule donc du 30 janvier au 20 février 2019 ; lors de cette
exposition, le public est invité à voter à la galerie pour l’œuvre de son choix, afin de nommer le Prix
du Public qui sera dévoilé en même temps que le prix du jury, lors de la soirée de clôture prévue le
20 février 2019.
Mercredi 20 février 2019 : soirée de clôture et attribution des prix
C’est au cours de la soirée de clôture du 20 février que les trois prix seront attribués.
Rappel des Prix :
- Prix du jury de l’Open des Artistes 2019 :
Attribué par le Jury, le lauréat du Prix Open des Artistes 2019 remportera une exposition personnelle
à l’Entrepôt. L’œuvre primée fera la couverture de l’Annuaire Monaco Telecom, édition Pages Jaunes.
- Prix du Public :
Les visiteurs de l’exposition collective auront la possibilité de voter pour l’œuvre de leur choix, lors
de leur passage à la galerie l’Entrepôt.
L’œuvre ainsi choisie sera publiée en couverture de l’Annuaire Monaco Telecom, édition Pages
Blanches. !
N°2 Akeb Fatima
Plasticienne, créatrice d’arbres métalliques
Artiste-Peintre
Formation
Docteur en chimie Bio-organique (Université de Nice Sophia –Antipolis)
Cours de peinture à l’huile (2009-2012)
Initiation au travail de la résine époxy
Travail sur l’oxydation des métaux
Son travail sur les arbres métalliques a trouvé son élan grâce à l’amitié de Laurent et Rogers.
Expositions
Vernissage collectif : tableaux peinture à l’huile au CSL Nice Gorbella (juin 2010-
2011-2012) Vernissage collectif : Autour de la nature 2 juin 2018 à la Quincaillerie d’Art Nice
Exposition du bohinia originel et du mur floral bohinia - Vernissage collectif : Gay 7 juillet 2018 à la
Quincaillerie d’Art Nice- Exposition du Roger’s bohinia et du gai bohinia
Vente à un particulier du mur floral bohinia- VentArt édition 3 (2019) - Galerie La quincaillerie d’art - Le
VentArt
N°2 Le Ô bohinia
façonnage métallique, peinture, oxydation, résine
50 x 120 cm
Prix : 1 800 euros
Simple hommage de l’Arbre au Ô
Ou Le Ô bohinia L’arbre, comme le Ô, a largement inspiré les poètes. Il est
tantôt symbole de grandeur, de longévité, de vie, de protection, de paix,
d’amour, etc.
« Ô arbre », le simple graphème Ô suffit à faire l’éloge de l’arbre, à le magnifier
et si l’arbre faisait l’éloge du Ô à travers cet hymne créatif.
La symétrie de ce graphème s’intègre parfaitement à celle de l’Arbre.
Je me suis également intéressée à la portée vocale du Ô. Cela m’a rappelé le
témoignage de Gilles Tremblay, compositeur et humaniste canadien mort en
2017.
C’est un arbre qui, lors de son séjour à Java, lui a inspiré sa composition « L
‘arbre de Barabudur ». Un arbre à la source d’une succession de portées de
notes.
Je le cite : « Au centre de Java, à Borobudur, se trouve un temple bouddhique
en forme de pyramide du IXe siècle. C’est là qu’en 1972, je vis cet arbre
extraordinaire dont les fruits sont des instruments de musique. Il semble nous dire : la musique des hommes
est sublime, mais celle de la nature l’est plus encore. J’ai essayé d’imaginer le vent soufflant à travers cet
arbre au feuillage intense. J’ai essayé d’écouter ce que cet arbre de pierre évoque. Va-til battre comme un
coeur ? » Gilles Tremblay évoque l’arbre à cloches où chaque fruit est remplacé par une cloche. Le vent qui
souffle agite chacune de ces cloches. Ensemble, elles nous jouent une symphonie spontanée qui « invite
à l’action du corps », nous surprend, nous interpelle, peut aller jusqu’à provoquer « la crainte ou l’effroi »
L’arbre comme le Ô est simple car il fait partie de notre quotidien ; on oublie trop souvent qu’il s’agit d’un
être vivant. En réalité, il n’est « jamais silencieux ». Quel que soit son emplacement, la saison, il suscite notre
admiration qui se résume par ce simple graphème Ô. Les trois tailles des O (grand, moyen, petit) peuvent
être interprétées de différentes manières. Et si cette trinité symbolisait le physique, l’émotif et l’intellectuel,
les trois qualités humaines que nous inspire le Ô. Comme toujours, l’art invite à une douce rêverie et nous
interpelle sur notre avenir commun. Cette structure métallique reste inachevée et évolue au gré du temps,
les petits cercles sur les branches nous incite à la transformer. Le Ô magnifie chacun de nos désirs et nous
accompagne dans nos voyages créatifs.
N°3 Arly Auclair
«Arly Auclair est une artiste peintre française, plasticienne, née en 1961, à Riom en Auvergne.»
«Ecriture, peinture au couteau et grande maitrise des techniques plastiques, sa peinture et ses oeuvres
aiment raconter des histoires, parfois l’Histoire. Son talent évocateur se fonde sur deux mouvements
picturaux, la figuration narrative et la figuration libre des années 1980 dans laquelle elle s’exprime. Loin
de l’abstraction où rien n’existe, elle adhère au positionnement de Roland Barthes, aux représentations
sémiologiques ou tout fait signe, ou tout fait sens. Mélant le texte à la peinture, elle explore l’arrière
monde de notre inconscient. C’est ainsi que l’artiste revêt une valeur toute particulière, celui du passeur,
de l’ouvreur vers une dimension dont nous avons oublié avoir besoin.»
«Elle travaille par série. Des vanités aux questionnements de l’Homme dans son rapport au temps, au
corps, à son environnement urbain, industriel, ses oeuvres se confrontent à la réalité de notre monde
autophage, disruptif,»
«vie, mort, transmission, transcendance....»
«Lauréate de plusieurs prix et de commande publique, elle vit et travaille en Nouvelle Aquitaine depuis
1996.»
«Expositions internationales, collections privées, classée parmi les artistes contemporains du XXIeme
siècle, elle est inscrite via ses adjudications sur la base de données du marché de l’Art International «
Artprice ».»
«Travaille et vit en charente-maritime en France :»
«sur l’île d’Oléron, Grand Village Plage.»
N°3 - O OVNI.
70 x 70 cm
techniques mixtes sur toile
Prix : 950 euros
Les Extraterrestres du cinéma sont un facteur pouvant apporter l’angoisse ou donner au spectateur le
moyen d’assouvir son penchant inavouable pour l’occulte et les phénomènes inexpliqués, mais c’est
surtout l’occasion de montrer d’autres modes de pensée, par exemple plus neutres, pour critiquer les
humains ou une partie d’entre eux.
Le cinéma des États-Unis s’en est servi ainsi en tant qu’allégorie belliqueuse et manichéenne des
communistes, jusque la fin de l’Union soviétique. La fièvre extraterrestre était inexistante avant les
années cinquante, preuve de l’efficacité de cette propagande sur la population ; elle rencontra une
belle illustration avec les films Rencontres du troisième type, et E.T. l’extra-terrestre, l’humanisme des
personnages face aux pouvoirs militaire et fédéral donnant ici le clivage manichéen.
La récente reprise de La Guerre des mondes de Spielberg montre que l’allégorie a changé de destination,
les rouages restant les mêmes.
N°4 Roberta Back Sole
CV d’une dilettante.
Liceo Artistico à Gênes, 4 années avec obtention de la «maturità artistica» ( 1952 - 1956 ).
1959 à Zürich; fréquente l’atelier Henri Wabel ( élève de Pascin ), y pratiquant surtout le nu, accessoirement le
portrait. Avec le temps, les paysages, surtout urbains, peints à la tempera sur toile. Mais le support de prédilection
reste le papier! Dessine à la mine de plomb, les crayons de couleur, le pastel, l’encre de chine, l’aquarelle. Deux
expositions à la Galerie Bürdeke.
Hiatus pour acquérir les diplômes de traductrice, puis d’interprète. Travail dans la publicité, la traduction mais
surtout dans l’interprétation à Zürich, Bruxelles, en Allemagne.
Moins de temps pour le dessin.
Fin 1986 arrive à Monaco, reprends à dessiner régulièrement avec le groupe autour de John Pelling. En été
dessine beaucoup en plein air avec une amie. Croquis de vieilles villas et immeubles à MC, qui n’existent plus.
Participation ponctuelle à des petites expos de groupe.
Début 1991, déménagement à Vence, adopte mon jardin, m’y investis, y dessine beaucoup. Expose avec une
amie. Fréquente une Master Class chez Nall à la suite de laquelle j’ai beaucoup travaillé le chiaroscuro. En
vacance à la montagne dessine la flore sauvage, me lance dans celles que j’appelle, incorrectement, mes planches
botaniques. Brève période d’»engins» dont je me suis entichée! 2004 découverte fortuite d’un cours de peinture
sur porcelaine à Vence -’ fascination de la fusion oxydes-verre! Transpose mes dessins sur supports en porcelaine,
pratique assidûment cette technique, participe aux expositions du groupe.
2006 retour à Monaco; dessine mes plantes, des insectes morts trouvés en ville, des coquillages. Continue à
dessiner et à peindre sur porcelaine chez mon ancienne enseignante à Vence et chez une amie ayant un four à
porcelaine à St-Agnès.
De plus en plus impliquée dans la pensée écologique ainsi que dans le féminisme, j’ai adopté les créneaux
traditionnellement réservés aux femmes puisque ma pensée et mon intérêt s’y calent naturellement.
N°4 my piece 024
42 cm X 59,4 cm
crayons de couleur, mine de plomb
Prix : 800 €
La parabole du secret violé, qui stimatise le manque de discrétion, le non-respect de la parole don-
née, qui exprime l’indignation - OOH ! - «à haute voix», trouve à notre époque son écho et parallèle
dans la déliquescence des valeurs-pilier des sociétés humaines et son corollaire, l’incurie et destruc-
tion de notre environnement.
N°9 Valérie Battaglia
Née le 04/04/1962 à Monaco
Artiste autodidacte et pluridisciplinaire
L’imagination est le principal catalyseur de toutes ses créations, alliée à la curiosité des matières,
des supports, des outils, elle crée une histoire dans chacune de ses oeuvres. Dessinatrice industrielle
1980/84, intermittente du spectacle 1981/2008, et depuis dix ans bibliothécaire et animatrice d’ateliers
créatifs. Membre du CNMAP 1992/93 : exposition de dessins à l’encre de chine. Galerie Monalisa
Monaco 1994 : exposition de sculptures. Forum des artistes de Monaco 2018 : exposition de sculpture
et pliage de livre.
« C’est de l’art brut » Dubuffet
N°9 Critique de la raison dialectique du ô
collage sur livre
45 x 30 cm
prix : 800 €
Cette création se découvre comme un livre d’images
Il y en a vingt-cinq ! Bonne lecture !
« C’est le titre du livre qui m’a amenée à choisir ce support.
C’est l’histoire du ô… Son origine, son évolution, ses libertés et ses contraintes … Son essence ou
non-sens !!
Le ô, celui qui accompagne le cycle « d’à la vie à la mort ! »
Le ô de tous les délires.
Et DALI ? Il mérite bien son ô !
PS : Ce livre est interactif, le visiteur en tournera les pages…
N°13 Patricia Boffa
Née en 1962 à Monaco, j’ai essayé de faire cohabiter une carrière dans la finance et ma passion pour la terre. J’ai
pu approfondir mes connaissances à l’Ecole Municipale d’Arts Plastiques de Monaco que j’ai complété par une
Licence en Arts Plastiques à Paris Panthéon Sorbonne.
Mon travail est intimement lié à la nature humaine et sa complexité, et ma démarche s’inscrit dans un lien entre
la terre, les hommes et la nature et la manière dont ils peuvent communiquer et s’exprimer les uns avec les autres
et dans le respect de la vie.
Il a, tout d’abord, été en liaison avec la nature humaine, le coeur, le cerveau,… et leur contenant, l’amour, la
pensée,….
Ma démarche aujourd’hui est de plus en plus en lien direct avec la nature au sens large et les rapports des divers
éléments entre eux (la terre, le feu et maintenant le bois, trouvent un dialogue et se répondent). Je fais intervenir
cette nature qui nous entoure, et que nous sommes en train de ne plus voir, dans la réalisation de mes pièces afin
d’obtenir une influence directe des éléments, leur permettant ainsi de se rappeler à notre bon souvenir par les
traces indélébiles qu’ils impriment sur la terre.
Je crois qu’au même titre que les Artistes de l’Art Nouveau utilisaient la Nature comme modèle de leurs réalisations,
j’utilise la nature comme support de mes travaux, pas forcément dans la cadre de la reproduction plastique, mais
également dans celui de « l’outil de la réalisation».
Je suis interrogée par les notions de temps et d’empreinte et les regards que l’on peut leur porter.
En 2011 mon travail m’a permis d’être sélectionnée lors d’un concours international et de partir travailler cinq
semaines au Japon avec huit autres artistes dans le cadre d’un programme de rencontres artistiques international.
Je participe régulièrement à des concours internationaux de céramique et j’interviens dans des work-shop.
N°13 Sans titre
Grès - Terre Sigillée - Enfumage
50 x 40 cm
Prix : 3 500 euros
Le Ô ne peut être cantonné à une lettre utilisée dans certaines langues sur terre.
Le Ô est une ouverture vers soi et vers l’autre, une porte qui nous entraine vers d’autres horizons. Le
Ô transporte avec lui une multitude de Ô. C’est la représentation graphique d’une émotion, d’un
ressenti, la représentation de tous les possibles.
N°15 Christian Bonavia
Profondément ancré dans la tradition du POP ART et de la Figuration Narrative, Christian BONAVIA,
s’est s’orienté vers une recherche où il privilégie l’image dont l’axe principal reste la contradiction
qui se décline dans un espace où est inversée l’échelle des valeurs traditionnellement véhiculées par
l’homme. Ses séries traitent d’un même propos que l’on peut lire comme une histoire et qui développe
une thématique où domine la femme et où chaque toile raconte une anecdote souvent dissimulée. Son
style est tout en sobriété autant dans la composition que dans les masses de couleur. Ses peintures
épurées, lisses et sans effets, donnent un caractère intemporel à ses compositions, influencées par la
photographie où ses personnages restent figés dans l’étendue indéfinie du temps et de l’espace. Sa
technique très neutre proche de l’imagerie publicitaire se situe délibérément à part.Ce réalisme se pare
de mystère et ses oeuvres apparaissent comme des énigmes futiles et entêtantes.
Expositions personnelles ou collectives :
Monaco (Comité AIAP UNESCO, Jardin Exotique, Auditorium Rainier III, Maison de France, Club des
Résidents Etrangers de Monaco), / France (Paris : Carrousel du Louvre et Grand Palais, Cannes, Ste
Agnès), Italie (Milan, Exposition personnelle Pavillon de Monaco lors de l’Exposition Universelle de
Milan ), / Allemagne (Cologne, Berlin, Postdam, Munich) / Belarus («De Lisbonne à Vladivostok via
Minsk», exposition internationale, organisée par le Ministère des Affaires Etrangères de la République
de Belarus) / Lichtenstein (Vaduz) /Espagne (Madrid) / Tunisie (Tunis) / Japon (Osaka, Yokohama, Sendaï)
/ Chine (2ème Biennale d’Art Contemporain de Beijing; Exposition Universelle de Shanghaï, Pavillon
de Monaco).
Création des affiches pour les « Rencontres Artistiques Monaco Japon » .
N°15 Ō TEMPORA , Ō MORES
Acrylique sur toile
150 x 100 cm
Prix : 2 000 €
Expression célèbre de Cicéron, servant à interpeller et à exprimer un sentiment intense d’étonne-
ment et d’indignation qui peut se traduire encore aujourd’hui, pour certains par «QUELLE EPOQUE,
QUELLES MŒURS»
N°16 Jacques Boyer
Je travaille toutes les matières qui viennent sous mes mains. J’aime que l’acte manuel devienne la
forme dans la la matière, qu’elle soit pierre, qu’elle soit bois, qu’elle soit métal, il faut qu’à un moment
je puisse la toucher pour prendre contact avec les forces et les douceurs qui l’ont façonnée, que je puise
sentir que l’idée est venue du geste plus que d’une cérébralité. Si concept il y a il, est issu du processus
dynamique et évolutif de l’acte de création. Quand je regarde le résultat de mon travail, j’aime bien me
questionner sur ce qui s’est passé entre la matière et mes mains, avec toutes ces contraintes, tous ces
aléas et ces limites que je ne maîtrise que partiellement.
Ferronnier de formation, travaille la pierre depuis un séjour en Polynésie, et le bois depuis 2012.
Dernieres expositions :
2017
expositon permanente «La Manufacture» l’Isle sur la Sorgue (84)
exposition Banne’art (25/28 Mai) Banne Ardèche
exposition « rendez vous au jardins » juin/juillet/août Six fours (83) Maison du cygne
exposition Authon du perche (28330) 3/5 Juin
exposition Art outsider Demin, Meysse (Ardèche) 11/12/13 Aout
exposition biennale hors normes 7BN LYON 29/30 septembre/1er octobre
2018
expositon permanente «La Manufacture» l’Isle sur la Sorgue (84)
exposition « rendez vous au jardins » juin/juillet/août Six fours (83) Maison du cygne
exposition Banne’art (juillet) Banne Ardèche
exposition Médiathèque le Cannet des Maures sur le thème du développement durable
Juin/Juillet
N°16 Anneau
60 x 60 cm,
sculpture métal formé (zinc, acier), gravure, assemblage par rivets.
Prix : 1 500 euros
Ô je ne savais point, Que j’avais un mien Cousin lointain Vietnamien, / Qui fait des Ô quand je fais les miens. Je
lui transmet cette forme Ô de zinc, / Qu’il voie notre Ô de surprise et d’admiration : « A toi ami lointain qui ar-
rondis la bouche, / Qui fait comme moi que les bords se touchent, / Regarde la forme Ô et écoute, / Que sa vue
silencieuse vienne à tes oreilles / Regarde la forme Ô, entends-tu sa musique ? / De loin, de loin, sans une note
/ Regarde en Ô la lune, / Astre sans son et son halo Et autour d’elle l’univers et les étoiles,/ Cercles célestes et
bouche ronde / Sans bruit, d’ici je te vois, / Sans bruit de là bas tu m’entends. »Du fin fond de l’infini, courbons
la lèvre / Par nos bouches formons le Ô, Et dans ce geste en forme de musique / observons le temps en forme
d’anneau /Qui parcourt la Terre circulaire, / Sans verre, goûtons la voie, / Buvons la voie lactée, / Formons la
lettre,
Tu répètes, je répète, répétons, / Tu répètes, je répète, répétons... ÔN°19 Cecile Callens
EXPOSITIONS
Mai 2015: Aéroport de nice Centre affaires
Septembre 2015: Domaine du loup Villeneuve loubet
Octobre 2015: villa particulière a Saint tropez
Novembre 2015 à Janvier 2016: Restaurant Marcos à saint Laurent du Var
Mars 2017: Domaine du loup, Villeneuve Loubet
Mars à juin 2018: Restaurant Mirabelle, La Gaude
Depuis Avril 2018: Aéroport nice centre affaires.
Octobre 2018: Association des amis du musée de Picasso, Antibes
24/11/18 au 09 /12/18: Institut Meditéranéen des arts plastiques. port de Saint Laurent du Var
Expositions prévues:
2019: Centre culturel de la Gaude
2019: Espace culturel Villeneuve Loubet village
COTE AKOUN EN 2018
2ÈME PRIX DE PEINTURE À L’HUILE . CONCOURS ORGANISE
PAR L’ASSOCIATION DES AMIS DU MUSÉE PICASSO 10/18.
N°19« Vue d’en Ô »
60 x 90cm
Technique mixte acrylique et huile sur toile
Prix : 1 600 euros
« Ô » terme du voyage,Que deviendra notre univers ?
Bruit assourdissant ou silence Ôppressant...
j’ai tenté de traduire par cette nébuleuse traçant un « Ô » toutes les interrogations de l’homme face à
la question essentielle posée par l’origine et le devenir de l’univers ;
En cela , la question ne peut rester silencieuse...N°20 Calzaroni Martin
Martin Calzaroni est un artiste peintre niçois de 20 ans, développant son art depuis 5ans. Très tôt attiré
par l’art et le moyen que chacun de nous avons pour l’exprimer, il n’a cessé d’explorer différents univers
graphique et d’étudier de nombreuses techniques.
Depuis 2017, il développe son univers à travers des portraits colorés, style vitrail. Martin développe des
portraits distinctifs par l’absence de chevelure et pour la plupart, des oreilles.
Très vite, ses portraits hauts en couleurs facettées, aux fonds métallisé et pailleté se profilent et
s’imposent. Un travail minutieux de ciselure en techniques mixtes voit le jour et signe sa griffe.
De nature minutieuse, martin fourni un travail détaillé de couleurs, formes géométriques, et de jeux de
lumières qui font de ses créations des œuvres changeantes selon la luminosité, l’endroit et l’heure à
laquelle ont les regardes. Il met l’accent sur l’expression de ses portraits, travaille sur différents supports
et développe son style au fil des œuvres, grandissantes en taille et en complexité.
Événements :
- Décembre 2015 : vernissage collectif chez l’association Dinosart, Marseille
- Mai 2016 : sélectionné pour exposer un projet scolaire en binôme au musée d’art moderne et d’art
contemporain de Nice (MAMAC)
- Juin 2017, participe a l’événement “la journée des artistes, Lons le saunier, Jura
- Mai 2018, sélectionné parmi 11 artistes internationaux pour exposer son travail à l’événement Seven
Continents Of Fashion,
Hotel intercontinental Carlton, Cannes
- Juin 2018, sélectionné parmi un jury pour une exposition où il remporte le prix du Jeune Talent au
salon Pictural 2018, Saint Jean Cap Ferrat
N°15 Surprised Women
Techniques mixtes sur bois
82 x 80 cm
Prix : 2 350 euros
On y voit une femme surprise, presque effrayée, en train de se
retourner, regardant par-dessus son épaule la main devant sa
bouche grande ouverte.
J’ai voulu exprimer le Ô à travers trois points :- L’expression, la
spontanéité et les couleurs.
J’ai voulu par la couleur représenter une fraction temporelle et émotionnel. Le bleu est avant tout un indicateur
de temps, sa domination froide face au rose fixe l’instant dans la stupeur, la femme est en train de se retourner,
vient d’ouvrir la bouche et d’amener sa main au niveau de cette dernière. Nous sommes spectateur d’un réflexe
inné dont le portait saisie l’instant.
Le rose, moins présent car plus tardif dans l’action mais tout aussi fort visuellement représente la première étape
de l’analyse de la situation immédiatement suivi du soulagement.
Ce tableau est une référence au portraits type du pop art, que j’ai réinterprété dans mon style, en y intégrant mes
codes et mon esprit.
J’ai choisi une forme et un cadre peu ordinaire afin de « coller « avec le thème de ce concours.
Le Ô, qui est cette fois ci représenté dans sa forme alphabetique, habille le fond de l’oeuvre à travers un cerclage
doré, la forme du tableau ainsi que son cadre métallique, provenant d’un moteur d’avion, qui comporte 18 « Ô «,
le cadre faisant partie intégrante de l’oeuvre.N°24 Centre Esperanza
Participer à l’édition 2019 de l’Open des artistes est le challenge choisi par l’équipe du Centre Speranza-
Albert II, en ce début d’année.
Le Centre Speranza-Albert II est l’accueil de jour thérapeutique de la Principauté pour les personnes
atteintes par la maladie d’Alzheimer ou présentant des troubles cognitifs apparentés. Les arts
(peinture, musique, danse…) sont fréquemment utilisés comme supports aux activités de stimulation
cognitives et d’interaction sociale. Objet de nombreuses études médicales, l’intérêt est reconnu dans
l’accompagnement thérapeutique. Centré sur les capacités résiduelles des personnes considérées,
l’objectif est d’établir les conditions d’expression dans une dynamique individualisée de lacher prise ou
à contrario de guidage. L’idée est de permettre aux hôtes de l’accueil de jour de laisser émerger leurs
capacités créatrices afin qu’ils expriment leurs émotions au travers d’une réalisation artistique et
témoignent ainsi de leur présence dans la société malgré des troubles cognitifs. Pouvons nous parler
d’expression Artistique? Aucune technique, pas de prédisposition pour le plus grand nombre, sauf M.C.
adepte de l’acquarelle. Si nous définissons la créativité artistique comme la capacité à produire des
choses innovantes et esthétiques, nous nous inscrivons dans cette démarche et nous nous rapprochons
de la définition de l’art brut, l’art autodidacte, l’art spontané auquel le peintre Jean Dubuffet
accorde un caractère d’originalité affranchi des règles de l’art Académique. Alors, nous pouvons dire
qu’il réside en chaque individu une force de créativité, formidable vecteur d’émotion qu’il faut laisser
s’exprimer....
N°24 Le Ô et ses 14
déclinaisons
Vidéo. Durée 3 min.
De l’enfance à l’âge d’or des séniors, le « ô » est certainement l’un des moyens d’expression le plus
utilisé et depuis bien longtemps.
Voici que les hôtes du Centre Speranza Albert II s’en emparent afin de nous offrir leur plus belle gamme
de « ô ». En nous divertissant de leur singularité.
Avec beaucoup d’humour, un zeste de concentration et un grand talent, l’émotion la plus simple est là
pour vous exprimer votre « ô ».
Les hÔtes du Centre Speranza Albert IIN°26 Jocelyne Cornet
Née en Bourgogne il y a 58 ans autodidacte , je peins depuis 25 ans.
Je me suis longtemps cherchée à travers ma peinture et je me suis trouvée en peignant en priorité
des portraits de femmes avec ou sans chapeaux. J’ aime en effet les textiles et les chapeaux et j essaie
de faire partager mon univers d’ élégante et de subtile féminité. Je travaille à partir d’un fond , dont la
richesse et la densité permettent à chacun de laisser place à son imagination en fonction de sa propre
sensibilité et de sa propre inspiration .
J’ apprécie particulièrement les œuvres de Gustave KLIMT, peintre Autrichien du 19ème siècle qui
utilise des couleurs chaudes et chatoyantes. Je suis sensible à l’élégance et à la mode que j essaie de
retranscrire dans mes peintures,et qui soulignent d’une certaine façon , la nostalgie des années 1900.
Certaines de mes toiles expriment également d’autres sentiments et abordent d’autres univers en
fonction de mon inspiration et de ma créativité.
Grand Palais 2017-2018 -2019, Cannes 2017-2018 , Monaco,Galerie « L’Entrepot » 2017-2018,
Galerie « les Lombards » Auxerre 2014 , Galerie « Appac » Auxerre , Chateau des Gondi Joigny 2014-2016
Maison du Coulangeois 2015- Septembre 2018 , Le cloitre de Saint Germain 2016 , Vezelay (salle Gothique) 2015
Sens (Maison Jean Cousin)2016 , Saulieu (Galerie Pompon) 2016-Aout 2018 , Les Eliès ( restaurant Vaux) 2014
Le Phare (Auxerre) 2017 , L’Eko ( restaurant exposition permanente) , Marmiton (restaurant )2016-2018
Le Moulin de Tan Druyes les Belles Fontaines 2016 , Galerie Toucy 2017 -Juillet 2018 , Neuf- Brisach 2017-2018
Saint Amarin 2017, Chablis « Art Présent » 2017-2018 , La Madeleine (Paris) 2017 , Peintres en Vignes (Saint
Bris)2017
Saulieu « Art Présent » 2015- 2016-2017 2018 , Sentiers des Arts de Turny 2017-2018 , Porte Ouverte (Conseil
Départemental) 2017 -2018 Musée de Saint Florentin (Novembre 2019) , Belgique Bruges (Juillet 2018)
Mimizan (Mimizarts) 2018 , Les Amazones ( Ingersheim Alsace) 2017-2018.
Sans titre
54 x 65 cm (F15)
Huile sur toile
Prix : 600 euros
Une fillette curieuse de cet environnement de ce monde qui l’entoure, soulève le couvercle d’une
poubelle et marque son étonnement en voulant y voir des fleurs et des papillons qui s’ y échappent.
La vision peut paraitre paradoxale, naïve, idéaliste, mais ouvre sur l’espoir d’un monde meilleur, à travers
le regard innocent d’une enfant.N°28 Giorgio De Gobbi
DE GOBBI Giorgio – Né en 1960 à Tréviso (Italie) habite à Monaco depuis 30 ans.
Occupé depuis toujours à mettre dans le bon ordre : la famille, le travail, la culture, la musique, l’argent,
les loisirs, les amis, le sport, la lecture, les vacances, avec le temps qu’il faut pour chaque chapitre
Resultat toujours raté
L’exercice de dessins techniques acquis lors de mes études de géomètre, m’a donné les bases pour la
réalisation de mes œuvres, qui représentent des immeubles, des skylines et des quartiers de villes.
Ces villes peuvent êtres imaginaires, inspirées de voyage ou de photos, avec une prédilection pour les
constructions se situant dans les villes américaines de New York, Chicago, Los Angeles, durant la
période des années 1930-1960, c’est-à-dire avant les tours en verre que l’on connait aujourd’hui.
Les dessins sont totalement exécutés avec de pointes fines à l’encre de chine noire. Quelques
touches de couleur sont rajoutées à la fin. Les dessins sont totalement exécutés avec de pointes fines à
l’encre de chine noire. Quelques
touches de couleur sont rajoutées à la fin.
L’objectif est de restituer l’atmosphère si typique de ces bâtiments caractéristiques d’une époque
que je considère forte et poétique, d’un point de vue architectural.
Je suis artiste amateur : mes œuvres décorent ma maison et mon bureau.
Participation à l’Open des Artistes de l’Entrepôt depuis 2012.
Participations à l’exposition collective des Artistes de Monaco depuis 2017.
N°19« Vue d’en Ô »
60 x 90cm
Technique mixte acrylique et huile
Prix : 4 000 euros
LA SURPRISE D’UN O SUSPENDU DANS L’O
GRAND MAIS FRAGILE
IMPOSANT ET TRANSPARENT
UN VRAI PARADOXE !N°31 Tatiana Drozd
Artiste, diplômée de l’Académie d’Art et Design (St Petersburg, Russie), Tatiana Drozd intègre à la fin des
études Studio du cinéma d’Etat « Len film ». A son arrivée en 1992 en France elle enseigne l’art plastique aux
l’école céramique de Vallauris, ABAC de Cannes. Toujours à la recherche de s’exprimer et communiquer, elle
exposes ses ouvres en France, Italie, Hollande, Russie, Angleterre. L’ensemble de son oeuvre présente une
réflexion sur la relation entre trois paradigmes : art classique, moderne et art contemporain ; les déplacements
entre les frontières et notamment entre les disciplines. Académie d’Art et Design, Ecole Supérieure d’art
industriel St. Petersbourg, - 1984- 1990, diplôme: conception artistique des produits textiles; (option: industrie
légère textile).
Professeur de dessin, peinture, sculpture à L’école Municipal des Beaux Arts de Vallauris - 1994- 2012
(actuellement en disponibilité pour convenance personnelle)
Professeur d’art plastique, l’école d’art sous patronage du Consulat de Russie, Monaco - 2012-2013
Professeur de peinture, ABAC de Cannes - 2013
Master-classe «Art et Regard», Lugano (SWISS), Natale (BREZIL) - 2013, 2014
Décoration des vitrines, boutique «Isado» Gray d’Albion, Cannes, France – 1991
Assistante de décorateur, de costumière, studio de cinéma d’Etat «Lenfilm», St. Petersbourg, – 1990-1991
Assistante de décorateur, Théâtre de Grosniy – 1987
Artiste-décorateur d’intérieur, Université de Technologie Marine, St. Petersbourg, Russie – 1979-1981
Expositions
Galerie « Musée » Eze Village - 2017
« Open des Artistes », galerie « L’Entrepôt », Monaco - 2017
Prix de Claude Monet, Dolceacqua, Italie - 2016
« Open des Artistes », accessit 1, galerie « L’Entrepôt » Monaco - 2016
« Château Doria », Dolceacqua, Italie - 2015
Salon d’art contemporain, « Espace Léo Ferré », Monaco - 2014
« Sporting d’été », « La nuit des Etoiles », Monaco - 2014
Galerie municipal de Fayence, France - 2013
Vent aux enchères, « Fine Art Galery », Monaco - 2011
N°31 Sans Titre
dessin sur Plexiglas,
21 x 30 cm
Prix : 1 200 euros
« La Terre ne t’a pas été léguée par tes parents, elle t’a été prêtée par tes enfants »N°36 Claudiane Foret
Née en 1968, vit et travaille dans le Var, France. Titulaire d’un Master à finalité recherche, Université de Provence Aix-
Marseille I, Aix-en- Provence. Titulaire d’un C.A.P.E.S. Arts plastiques. Artiste pluridisciplinaire, elle pratique aussi
bien la peinture, le dessin, la photographie, la sculpture, tous ces supports créent une cosmogonie qui reflètent son
interrogation sur les Mythes Fondateurs, sur le statut de l’être humain, notamment sur ses rapports avec le divin, la
nature, ainsi qu’avec avec les autres individus (d’un autre sexe, d’un autre groupe). Sa production artistique se construit
comme des rites initiatiques. Chaque partie est empreinte de magie, de signes secrets et intimistes faisant écho à des
signes universels.
Expositions personnelles / collectives :
Pékin, Londres, Paris, Aix-en-Provence, La Baule, Fréjus, Saint-Raphaël, Draguignan …
Distinctions / Prix :
Septembre 2018 : Prix de la ville pour Les grands formats, Label V’Art, Centre culturel de Saint-Raphaël.
Novembre 2006 : 1er Prix des « Peintres du Patrimoine », Maison du patrimoine, Roquebrune-sur- Argens.
Mai 2006 : Mai (14Mai) : Diplôme de la « Médaille d’ Argent » décerné par « Arts-Sciences-Lettres » Société Académique
d’Education et d’Encouragement fondée en 1915 couronnée par l’Académie Française, Grand Hôtel, Paris IX.
Septembre 2005 : 1er Prix de Peinture du Castellet pour le 16ème Grand Prix de Peinture du Castellet.
Mai 2005 : 2ème Prix Dou Capelan de la ville de Sainte Maxime pour le XXXème Grand Prix de Peinture de Sainte
Maxime.
Octobre 2004 : 3ème Prix Peinture pour la 9ème édition du Grand prix d’Arts Plastiques, Draguignan.
Décembre 2003 : Prix du Conseil Général pour la 8ème édition du Grand prix d’Arts Plastiques, Draguignan.
2000 : 1er Prix Création d’ Affiches pour une campagne publicitaire/Concours Région Provence, Alpes, Côte d’ Azur.
N°36 O creux de mon coeur
tréteau, différents bois naturels, laine feutrée, satin,
cire…
80 x 70 x 65 cm.
Prix : 5 400 €
Ma sculpture-installation m’est apparue en rêve : ce serait
un nid dont l’ouverture prendrait la forme d’un O. Le Ô du
questionnement, du mystère….
Un nid qui abriterait des trésors, qui susciterait
l’émerveillement, la surprise, le Ô !
Le nid a été déposé dans une structure berceau-nacelle
réalisée à partir de différents bois récupérés, bois flottés
et bois manufacturés. Cette structure se développe
autour du nid. Dans sa partie basse, elle est composée
d’un X au centre, évoquant le chromosome féminin, structure relativement stable. De part et d’autre, ont été assemblés
différents bois flottés façonnés par la mèr(e), comme deux jambes … une sorte de corps en construction, parfois en
reconstruction. Corps fait d’accidents, de fragilité, semblant bancal , pourtant, à bien y regarder ; l’équilibre est là. Dans
sa partie haute, la structure en bois naturel se déploie et protège l’ensemble. Quelques branches hérissées, telles des
bois de cerf, prêtes pour le combat en assurent la sauvegarde en l’encadrant. Je voulais par l’utilisation de ces différents
matériaux bois et par la création de ce corps hybride, parler de mon corps, de celui de tous les hommes, mélange de
Nature et de Culture—Ne dit-on pas dans le langage courant : De quel bois es-tu fait ?—ainsi que de la terre Mère Gaïa.
Cette structure ainsi créée, allait pouvoir accueillir le nid. Ce dernier a été basculé et par ce geste plastique, j’ai voulu
attirer l’attention sur la particularité de sa forme ovoïde, sorte de matrice divine et de son ouverture en forme de Ô.
En l’offrant au regard, inviter à aller au-delà de la forme, forme frontière entre deux mondes, l’un extérieur, dévoilé, voire
impersonnel et l’autre, intérieur, plus caché, plus secret, promesse de tous les possibles.
Par l’Ô et au-delà de l’Ô, un autre monde se révèle à nous. Lieu de l’intime où en germe, tout se crée. Certains mystères
demeurent dans la pénombre et dans les plicatures de la structure de laine feutrée rouge sang, la transmutation
alchimique se produit. Au creux de la peau de satin grenat, j’ai déposé des petites formes blanche et or que j’ai
façonnée et moulée aux creux de mon corps. Une façon pour moi qui n’ai pas pu enfanter, de créer d’une autre manière
et de dire : « Nous sommes notre propre nid, et Ô creux de nos corps, Ô creux de nos cœurs résident tous les possibles
et tous les trésors. » Une manière aussi de faire une Ôde à la terre Mère, bien fragilisée en ce moment mais qui au creux
de son ventre produit des fruits d’or.N°47 Johannes Kithil
1983 Geboren in Günzburg
2005- 2009 Studium an der Kunstakademie Düsseldorf bei Hubert Kiecol
2009- 2012 Studium bei Siegfried Anzinger
2012 Meisterschüler von Siegfried Anzinger
2012 Absolvent der Kunstakademie Düsseldorf
Preise/ Stipendien
2013 Artist in Residence Programm der Villa-Arson Nizza
2012 Städtische Galerie Wolfsburg Druckgrafik Werkstatt-Stipendium
2012 MKK Stipendium für bildene Kunst
2008 Kunstförderpreis von Rundstedt HR Partners „Rund statt eckig“
Einzelausstellungen
2018 Salonshow by Amy Rush “With my pure Love”
2015 Gold und Beton, Köln “Katze und Katharsis”
2013 Städtische Galerie, Iserlohn “ Touching myself”
2012 Bausstelle Kalk, Köln „Tiere sind so“
2007 Villa de Bank, Enschede „Bergamo“
N°47 The cat keeps them busy
Pencil and coloured wax-crayon / Pinceau and crayon cire de couleur
29,7 x 42 cm
Prix : 800 €
The normal daily life offers so much challenges. We appreciate to be needed,
and try to fix all the little things around us. And just when you think you´re on top of
the everlasting chaos, on things makes your whole order collapse. Let´s make life
fun and fun sounds like „Ô“ . That little things you step over makes us shout out loud
„Ô“ . Even though it sounds quiet stupid and does only exist in french language the
whole world knows about the „Ô“ in Life. The cat ,by the way, in this painting stands
for the unpredictable in life.
La vie quotidienne normale offre tant de défis. Nous apprécions être nécessaires, et essayez de réparer
toutes les petites choses autour de nous. Et juste au moment où vous pensez être au sommet, tout peut
s’effondrer. Rendons la vie amusante et amusante comme «Ô». Les petites choses que vous enjambez
nous font crier à haute voix „Ô“. Même si cela semble assez stupide et n’existe qu’en français, le monde
entier connaît le „Ô“ dans la vie. Le chat, d’ailleurs, dans ce tableau se dresse pour l’imprévisible dans
la vie.N° 50 Lionel Laurenti
En 1986, je participais à un séminaire de bien-être dans un château de la région parisienne. Je suis
tombé en extase devant une oeuvre de Sergio MACEDO, artiste brésilien, une fresque murale de 4 m
sur 2. J’officiais déjà dans le domaine de l’art puisque je jouais du synthétiseur depuis 1978, mais face à
cette oeuvre, j’ai su immédiatement quelle était ma voie.
J’ai bradé mon synthétiseur pour acheter tout le matériel nécessaire et je me suis lancée à corps perdu
dans cette passion. Ce n’est que plus bien tard que j’ai ressenti la nécessité de perfectionner ma
technique au moyen de stages et d’échanges.
Mes premières créations ont été des paysages futuristes en couleur.
Et puis en 2008, ayant acquis plus de confiance et d’expérience dans ma technique, je me suis lancé
dans la réalisation de mon tout premier portrait, une femme touareg.
J’ai développé mon art et mon ressenti pour peindre au plus juste les expressions des regards, les
courbures des lèvres, en couleurs, puis en noir et blanc.
Le support en contrecollé, spécifique pour les techniques à l’aérographe, est blanc, et simplement avec
de l’encre diluée, au moyen de l’aérographe (pistolet qui pulvérise de la peinture au moyen de l’air), je
crée par superpositions les fondus, les nuances, les reliefs…
Je n’utilise que les 3 couleurs primaires, le cyan, le bleu et le jaune, pour créer au moyen de la colorimétrie
toutes les couleurs que j’utilise, y compris le noir.
Cette technique de l’aérographe demande d’être soigneux,
précis, délicat et patient. Il faut beaucoup de finesse, par
petites touches, pour jouer sur les nuances, les reflets…
Cette technique permet un résultat hyper réaliste.
N°50 Ô Miroir
l’aérographe sur un support cartonné spécial pour
cette technique, d’une épaisseur de 1,5 mm.
80 x 50 cm.
Prix : 600 euros
Le Ô naît silencieux à l’origine de la vie… et prend naissance
sur les lèvres d’un bébé qui s’arrondissent pour se nourrir
au sein… dans le bâillement béat d’un bébé rassasié qui s’abandonne en sécurité dans le sommeil
réparateur… qui lui permet de grandir…»
Le Ô se retrouve sur les lèvres émerveillées d’une petite fille qui découvre la vie… avec étonnement et
joie…» Le Ô se transforme en plaisir… d’une jeune femme… taquine… qui observe la scène de la vie…
avec admiration… et parfois même interrogation…
Le Ô peut aussi devenir étonnement… étonnement ravi… étonnement d’effroi aussi… et les mains
viennent protéger ce Ô… viennent nous protéger… Tel un miroir ovale de la vie, le Ô nous fait traverser
en boucle les émotions qui» jalonnent nos existences… émotions belles… émotions fortes…
émotions difficiles… Mais pareil à la boucle qu’il forme, le Ô nous ramène, telle cette petite fille sereine,
apaisée et souriante, à l’essence pure de notre être… le Ô nous permet de retrouver le chemin si l’on se
perd… J’ai choisi de représenter des femmes car comme ces miroirs qui sont leur objet de prédilection,
elles dévoilent et reflètent avec une pudeur effrontée, le reflet de l’âme… au-delà de l’apparence… Les
femmes sont telles le Ô, le plus beau paradoxe qui soit donné à l’homme…N°51 Marc Lavalle
Ancien élève de l’ENSBA de Paris et de l’école du Louvre.
2000 : Biennale d’aquarelle de Kairouan
2001 : Galerie BC2 Luxembourg
2004 : Chapelle de la Providence Nice
2004 : L’œuvre en cours Palais Carnolès Menton
2005 : Triangle d’art Breil
2006 : Exposition à l’Opéra de Nice
2008 : Galerie Quadrige Nice
2010 : Galerie ID Luxembourg
2012 : Galerie des Docks Nice
2013 : La menuiserie Nice
2014 : Galerie 5 Nice
2015 : Librairie Niçoise 2018 : Galerie Bonaparte Paris
N°51
Fusain lavé et aquarelle sur papier
71 x 101 cm
Prix : 1 200 euros
Le « o », ovale ou rond comme l’œil, la bouche, l’étoile, le trou, l’œuf …. Contient, exprime et ordonne
le chaos .
Ce thème évoque pour moi à la fois la stupeur et la catastrophe .
Je l’ai exprimé par la cassure, l’explosion, la fragmentation et la reconstitution de la forme .
J ai utilisé une technique de lavis de fusain, d’encre et d’aquarelle , les sculptures sont en terre cuite .N° 56 Silvana LUCCHETTA
Silvana Lucchetta-Rossetti .
Silvana Lucchetta –Rossetti peintre originaire de Vénétie Italie . Vit et travaille en France .Peintre de
l’émotionnel . Sociétaire des Artistes Français depuis 2013 . Expose tous les ans au Grand Palais à
Paris à « ART en CAPITAL ».
Son graphisme est libre de toutes contraintes académiques . Silvana exprime les passions ,les joies
les peines les espoirs d’une société dont elle fait partie. L’artiste travaille depuis toujours à main levée
sans ratures ni gommages
Tous les signes de son graphisme sont réalisés à l’encre et acrylique sur toile ou sur papier .Eprise de
couleurs l’artiste donne à voir une peinture expressive où s’entremêlent symboles et clés de lectures
,au service d’un imaginaire sans fond .Une peinture qui parle à chacun.
Silvana Lucchetta-Rossetti peintre d’une grande créativité .
Expose à l’étranger depuis 2014 Chine - Corée du Sud -Japon -Allemagne - Belgique -Etats-Unis.
Détachée de toute influence et courant artistique , Silvana Lucchetta - Rossetti a développé un style
totalement personnel .Une artiste qui revendique sa singularité et séduit en Europe , Asie et aux
Etats-Unis .
Réalisée à l’encre et acrylique sur drap ancien, sur toile ou sur papier, la peinture de silvana exprime
toute la palette des sentiments humains : tristesse , joie , amour, trahison…Autant d’émotions qui
trouvent leur unité dans les énergies libérées. Eprise de couleurs, l’artiste donne à voir une peinture
expressive où s’entremêlent symboles et clé de lecture au service d’un imaginaire sans fond : La cou-
leur vient apaiser l’histoire . Chacun des tableaux de Silvana Lucchetta -Rossetti est une histoire qui
embarque .Ses créations prennent naissance dans un mot ,une émotion vécue.
Un travail qui ne recourt pas à l’esquisse .Le trait réalisé toujours à main levée Ne souffrant d’aucune
rupture. Une œuvre criante de vérité , qui s’offre et ne triche pas .
N° 56 LE SENTIMENT
100 x 100 cm
ENCRE et ACRYLIQUE
PRIX : 2 500 euros
« Je voudrais que vous trouviez à travers mon œuvre cette
réflexion
Autour de l’usage du Ô ce graphème de l’alphabet latin et vietnamien.
Le personnage central du tableau exprime un sentiment , la bouche ouverte, renforcée par le geste et
le mouvement de son corps .
Son cri ? est -ce du désespoir ? ou la rage de vivre dans cette grande bataille de la vie qui lui dit
AVANCE…
Tout autour du personnage d’autres sujets attirent notre attention par leurs regards , la position de
leurs corps en mouvements , leurs bouches fermées ou entr’ouvertes , ils avancent et sont envahis par
leurs sentiments : de bonheur , de tristesse, de crainte .
Ce n’est pas le chaos mais le monde qui avance avec nos joies , nos peines et nos sentiments.Vous pouvez aussi lire
