Citations et textes Citations sur le Lionisme

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Citations et textes
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                              Citations sur le Lionisme
• J'ai vu , dans ma vie, de très grandes idées...Mais jamais aucune comme le Lionisme
(Harry TRUMAN)
• Le Lionisme n'est pas seulement la meilleure idée de notre temps, c'est aussi l'idée la
  plus brillante de tous les temps (Winston CHURCHILL)
• Il me semble que l’on ne va pas bien loin si l’on ne fait pas quelque chose pour quel-
  qu’un d’autre (Melvin JONES, Fondateur du Lionisme)

                  Autres citations (dans l’esprit du Lionisme)
• Le meilleur moyen pour apprendre à se connaître, c'est de chercher à comprendre autrui
(André GIDE)

• Rien de plus original, rien de plus soi que de se nourrir des autres. Mais il faut les digé-
rer. Les LIONS sont faits de moutons assimilés (Paul VALERY)

• La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir
(Albert EINSTEIN)
• On ne peut pas, sous prétexte qu'il est impossible de tout faire en un jour, ne rien faire
du tout (Abbé PIERRE)
• L'amitié disparaît où l'égalité cesse (INNOCENT VI)

• Le conquérant est craint, le sage est estimé mais le bienfaisant charme et lui seul est ai-
  mé (VOLTAIRE)
• Un homme est la somme de ses actes (André MALRAUX)

•J’ai appris qu’un homme a le droit d’en regarder un autre en bas seulement quand il faut
  l’aider à se relever (Gabriel GARCIA -MARQUEZ)
•Les riches doivent vivre plus simplement pour que les pauvres puissent simplement vivre
 (Mahatma GHANDI)
•Tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans soupçonner que le vrai bonheur
est dans la manière de gravir la pente (Gabriel GARCIA-MARQUEZ)

•Il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser (Albert CAMUS)

•Un homme est plus un homme par les choses qu'il tait que par celles qu'il dit (Albert CAMUS)
Textes sur le (dans l’esprit du) Lionisme

•”Lions” mon Ami

      Un ”Lions” est un ami béni de la nature;
      Un ”Lions” est un copain partageant la mie dure;
      Un ”Lions” est un collègue dont la présence est pure.
      Un ami , un copain , un collègue et bien sûr
      Un associé rêvé pour ce travail obscur
      Qu’à longueur de journée on façonne et apure.
      Un “Lions” est une personne active et statutaire;
      Un “Lions” est partisan de l’aide humanitaire;
      Un “Lions” est un allié avide de tout faire
      Pour idéaliser un songe salutaire.
      Personne , partisan , allié , genre exemplaire
      Prêt à tout sacrifier , dans le seul but de plaire.

      Un “Lions” a pour action l’élan philanthropique;
      Un “Lions” n’a par pensée nul rêve hypothétique;
      Un “Lions” prend la parole de façon méthodique.
      Action , pensée parole voilà bien un triptyque
      Où l’absence de haine , de faux et de critique
      sera digne d’éloges dans une vie épique.

      Un “Lions”, homme de cœur ou femme solidaire
      Président , Trésorier ou simple Secrétaire ,
      Compagnon de MELVIN , méritant et sincère ,
      Gouverneur s’il le faut pour un temps éphémère,
      Mais empreint pour la vie d’une devise claire :
      “SERVIR” , sans se servir , tant qu’on est sur la terre.
                                             (Yves BRIVAL)

                                                                       .. /...
•La parabole des clous
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en
planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le
nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour: il avait découvert que c'était plus facile
de se contrôler que de planter des clous.
Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Il alla voir son père et il lui
dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière
pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et fi    finalement le garçon put dire à
son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fifils devant la barrière et lui dit: "Mon fi
                                                                 fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous
les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un
et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle là. Tu peux planter un
couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien
de fois tu t'excuseras, la blessure restera. Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as
besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur cœur."

Pour fi
     finir: "Un des bonheurs de l'amitié c'est de savoir à qui confi
                                                                  fier un secret" (Alessandro MANZONI).

•Le Lionisme
      Le Lionisme c’est avant tout une disposition d’esprit : au départ il y a l’union puis l’amitié...
              au bout , il y a l’autre , celui qui attend , celui qui a soif , celui qui a besoin.
                                      A nous de découvrir les besoins.
                                        A nous de refuser l’égoïsme.
                  A nous de chasser l’indifférence et de promouvoir l’enthousiasme.
                                       A nous de choisir la tolérance.
                                A nous de nous battre contre la souffrance.
                        Amis , souvenons nous , personne ne nous a contraints ;
                 c’est en LIONS , librement , que nous nous nous sommes engagés.
                                               (G. LACOURT )
                                                      ***
                             Tu veux changer le monde et ne sais pas encore
                             L’héroïsme qu’il faut pour te changer toi-même.
                                  Faire la paix en soi , descendre de l’ego,
                              Avoir le regard clair comme un rai de lumière,
                                  savoir tout écouter sans y mettre un écho
                               Qui trahirait le sens des paroles elles-mêmes.
                                   Alors commencera à se lever l’aurore...
                                 Tu comprendras alors ce que dit le silence,
                                  Tu sauras t’engager sans jamais reculer,

                                                                                                          .. /...
Ta parole donnée ne reprendra jamais
                                    Et tu pénétreras le mystère des êtres.
                                Et tu pourras aussi oublier les “peut-être”,
                                  Être disponible , accueillant désormais,
                                 Prendre le parti de ceux qu’il faut sauver
                                Et ressortir enfin du temps de la pénitence
                                              ( M. FRENCH)
                                                    ***
•Un sens à la vie...
                                 Pour apprendre la valeur d'une année,
                                 demande à l'étudiant qui a raté un examen.

                                Pour apprendre la valeur d'un mois,
                          demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt.

                                Pour apprendre la valeur d'une semaine,
                               demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire.

                                 Pour apprendre la valeur d'une heure,
                               demande aux fiancés qui attendent de se revoir.

                               Pour apprendre la valeur d'une minute
                        demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion.

                              Pour apprendre la valeur d'une seconde,
                          demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident.

                            Pour apprendre la valeur d'une milliseconde,
                 demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux jeux Olympiques ...

                                       Le temps n'attend personne.
                  Rassemble tous les instants qu'il te reste, ils te seront de grande valeur.
            Partage-les avec des personnes de ton choix et ils deviendront encore plus précieux !
                                            (Auteur inconnu)

                                                   ***

.

                                                                                                    .. /...
•Servir (Poème de Gabriela MISTRAL )
Ce poème figure sur une stèle dans le site archéologique grandiose de Pukara Quitor en plein désert
d’Atacama au Chili.
Gabriela MISTRAL, premier prix Nobel du Chili est né à Vicuna, dans un petit village
proche de La Serana. Lucila Godoy, de son vrai nom, fut une petite institutrice rurale et
exerça ce métier du nord au sud du pays. Le destin l'amène ensuite à participer à la réforme
de l'enseignement au Mexique puis à devenir consul du Chili. Elle commence à parcourir le
monde tout en écrivant sur son pays. En 1945, quand elle obtient le prix Nobel de
littérature, elle est déjà très populaire au Chili. La souffrance de la disparition de l'être
aimé en 1909 et de son fils adoptif en 1943 ont marqué sa poésie d'une douleur et d'un sens
humain que le peuple reconnaît. L'institutrice n'a pas oublié non plus les enfants auxquels
elle dédie ses plus belles pages. Elle meurt en 1957, aimée de tous les chiliens.

                                       ALEGRÍA DE SERVIR

                             Toda la naturaleza es un anhelo de servicio :
                             sirve la nube, sirve el viento, sirve el surco .

                            Donde haya un árbol que plantar, plántalo tú.

                      Donde haya un esfuerzo que todos esquivan , acéptalo tú .

                               Sé tú el que apartó la piedra del camino ,
                                      el odio entre los corazones ,
                                    las dificultades del problema .

                             Hay la alegría de ser sano y la de ser justo .
                                Pero hay , sobre todo , la hermosa ,
                                    la inmensa alegría de servir .

                                        Qué triste sería el mundo
                                     si todo en él estuviera hecho ,
                                  si no hubiera un rosal que plantar ,
                                    una empresa que emprender ...

                          No sólo se hace mérito con los grandes trabajos ;
                                      hay pequeños servicios :
                             adornar una mesa , ordenar unos libros ...

                                                                                             . /...
El servir no es una faena de seres inferiores .
                                   Dios , que da el fruto y la luz, sirve.

                                 Y tiene fijos los ojos en nuestras manos
                                         Y nos pregunta cada día.

                                              ¿ Serviste hoy?

                                         (Gabriela MISTRAL)

Voici une traduction de ce beau poème

                                                 SERVIR

                                La nature entière est une aspiration à servir
                           Elle sert le nuage, elle sert le vent, elle sert le sillon.
                                 Là où il y a un arbre à planter, plante-le.
                 Là où il y a un effort à fournir, un effort que tous esquivent, accepte-le.
                               Tu sais ,toi, ce qui sépare la pierre du chemin,
                                              La haine des cœurs,
                                        Les difficultés du problème.

                                Il y a le bonheur d'être sain et d'être juste.
                      Mais il y a surtout, la merveilleuse, l'immense joie de servir.
                          Comme le monde serait triste si tout était déjà fait....
                       S'il n'y avait pas un rosier à planter, une tâche à effectuer.

              Il n'y a pas que le mérite à faire de grandes choses ; il y a les petits services:
                                Décorer une table, ranger quelques livres...

                              Servir n'est pas l'apanage des êtres supérieurs,
                               Dieu, qui donne les fruits et la lumière, sert.
                   Il a les yeux fixés sur nos mains et nous demande chaque jour ....
                                          As-tu servi aujourd'hui?

                                                    ***

                                                                                                   .../...
•Polonaise (Poème de Georges Le Sidaner)
Ce poème a été écrit à l’occasion de la Collecte de fonds organisée en 1982 par le LIONS
INTERNATIONAL en faveur de la Pologne.

                                             POLONAISE

      Un cri ne meurt jamais de son mal d’espérance
      Et si le tien déchire un ciel mal partagé
      Où la faim fait cortège au bâillon du silence
      Pologne, entends nos voix! Elles crient: Liberté!

      Si tant de mots sont morts à leur propre imposture
      Portant mépris de l’homme et rouge tablier
      Aucun regard glacé ne peut briser l’armure
      De celui qu’avec toi nous crions: Liberté!

      Recueille ta victoire à la rumeur du monde
      Où l’on chante Noël à ton sol déchiré
      Où la menace, en vain, cède à la main qui fonde
      Un pays libre, enfin de crier: Liberté!

      Et lorsqu’ira demain frémir à son aurore
      L’éveil du chemin clair que ton peuple a tracé
      Le nôtre s’y joindra pour y ouvrir encore
      Un destin fraternel où s’écrit: Liberté!

                                              (G. LE SIDANER)
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