COMMUNIQUÉ MÉDIAS - Goethe-Institut

COMMUNIQUÉ MÉDIAS
24 Juin 2020

« VIVRE, PALPER, SENTIR L’EUROPE »
LE GOETHE-INSTITUT BELGIQUE ET L’AMBASSADE DE LA
RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D’ALLEMAGNE PRÉSENTENT
LEURS PROJETS POUR LA PRÉSIDENCE ALLEMANDE DU
CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE                                                      Goethe-Institut

                                                                                   Avenue des Arts 58
                                                                                   Kunstlaan 58
                                                                                   1000 Brüssel
Le premier juillet prochain, la République fédérale d’Allemagne
prendra la présidence du Conseil de l’Union européenne. C’est                      www.goethe.de/bruessel

également le premier juillet que démarre son programme culturel
européen qui encadrera la présidence allemande. La contribution du
Goethe-Institut au programme culturel du gouvernement fédéral est
axée sur la question suivante: À quoi ressemblera l’Europe de
demain et comment est-il possible d’assurer la cohésion en période
de pandémie de coronavirus? Les projets proposés par le Goethe-
Institut se consacreront, artistiquement et par le biais de
discussions, à la diversité en Europe et à la création d’une sphère
publique unique - que ce soit par des débats sur l’influence de
l’intelligence artificielle, sur l’état des libertés en Europe ou sur
l’élaboration de concepts de voyages à empreinte carbone neutre,
ou encore moyennant des installations artistiques spectaculaires
dans différentes villes européennes.

En Belgique, le Goethe-Institut organise, ensemble avec l’Ambassade de la
République fédérale d’Allemagne et pour la présidence de l’Allemagne au
Conseil de l’UE, un programme culturel montrant des exemples d’une
solidarité européenne vivante en temps de crise et après celle-ci, et
démontrant l’efficacité transgénérationnelle d’un dialogue culturel et de
l’éducation.

Le démarrage officiel et à niveau européen de la création participative «
Earth Speakr » de l’artiste dano-islandais Ólafur Elíasson vivant à Berlin
aura lieu le 1er juillet 2020, en même temps que sera donné le coup d’envoi
de la présidence allemande du Conseil de l’Union européenne. Par ce
programme culturel spécialement conçu pour la présidence, le
gouvernement allemand souhaite donner une place à des activités
artistiques, promouvoir une action collective en faveur de l’avenir, donner
des moyens aux (jeunes) participant(e)s européens de se qualifier et les
encourager. L’idée d’une sculpture sociale, donc d’une œuvre d’art qui se
créerait, grandirait, prendrait forme avec et à travers le public est un concept

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largement répandu dans l’art européen. Le protagoniste probablement le
plus connu en était Joseph Beuys. Tout au long de la présidence allemande
et par le biais d’une plateforme numérique, de jeunes gens pourront parler
de leurs attentes, de leurs espoirs et faire part de leurs idées pour l’avenir
de l’Europe et du monde, puis aussi y laisser des messages vocaux. Ceux-ci
seront animés, ces messages se verront concrètement renforcés par l’œuvre
d’art qui fournira ainsi à ces jeunes Européennes et Européens un porte-
parole fort et créé par eux-mêmes. Le Goethe-Institut Belgique et
l’Ambassade d’Allemagne accompagneront ce projet artistique participatif
pour enfants et adolescents en proposant une série d’événements organisés
pendant l’été et l’automne 2020.

Le 3 octobre 2020, jour du 30e anniversaire de la réunification allemande, le
Goethe-Institut Belgique présentera à Bruxelles l’installation artistique
interactive intitulée « Un mur qui disparaît ». Cette œuvre se compose d’un
mur portant en plexiglas sur lequel s’insèrent 6.000 citations émanant tant
de la culture savante que de la culture pop européennes, et imprimées sur
des blocs en bois. À partir du jour où ce mur sera dévoilé, passantes et
passants pourront prendre ces blocs à citations jusqu’à ce que, finalement,
ne subsiste plus que la structure transparente: le mur aura disparu. La
première inauguration officielle de ce « mur qui disparaît » aura lieu dans le
cadre des festivités du 3 octobre (fête nationale) organisées par l’Ambassade
de la République fédérale d’Allemagne, mais deux autres inaugurations sont
également prévues, dont une en Flandre et une en Wallonie.

Les 30 et 31 octobre 2020 aura lieu le Festival « Freiraum », où le Goethe-
Institut se penchera, e. a. à Bruxelles, avec 53 acteurs du monde culturel,
scientifique et civil de 42 villes européennes sur la question : Que signifie le
mot liberté aujourd’hui en Europe ?

Puis, au format de concours et pour un public adolescent, aura lieu un travail
d’élaboration de concepts pour des voyages écologiques ou climatiquement
neutres ; avec « #oekoropa » (écorope), il s’agira de découvrir qui voyage
comment et le plus écologiquement possible à travers les capitales des pays
du trio présidentiel de l’Union européenne, soit Berlin, Lisbonne et Ljubljana?
La date limite pour la remise des réponses à cette question de concours est
fixée au 1er octobre 2020 pour toute l’Europe. Les dix équipes gagnantes de
jeunes qui auront réussi à enthousiasmer un jury d’experts par leurs idées
innovantes se verront remettre un prix au cours d’une cérémonie solennelle,
le 20 novembre 2020 à Bruxelles.

De l’été à l’hiver 2020, place au cinéma allemand dans le cadre du festival
du film « L’heure d’été » (en coopération avec le Cinéma Galeries), du festival
du film gantois « Film Fest Gent » et, au cours d’une spéciale à Bruxelles, du
« Berlinale Forum » pour le 70e anniversaire du festival du film berlinois
(en coopération avec le cinéma du BOZAR).

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Commentaire de S.E. Martin Kotthaus, Ambassadeur de la République
fédérale d’Allemagne auprès du Royaume de Belgique :
« Au cours des mois écoulés, nous avons tous appris qu’il n’est pas, après
tout, si évident de vivre dans une Europe ouverte, sans frontières.
Cependant, la crise, nous ne pourrons la vaincre qu’en nous unissant. Et cela
se reflète dans l’esprit du programme culturel de la présidence du Conseil de
l’Union: donc pas de concerts de musique classique allemande ou des
expositions d’artistes allemands, mais des œuvres d’art paneuropéennes,
invitant les citoyennes et les citoyens européens à participer à leur genèse.
Les projets participatifs élaborés dans le cadre du programme culturel de la
présidence allemande du Conseil de l’UE visent à rendre possible une
réalisation européenne commune, une action positive tournée vers l’avenir
et une proximité culturelle. Ils sont censés apporter leur contribution à la
solidarité européenne, à la souveraineté européenne et à la formation d’une
sphère publique européenne. Et c’est nulle part ailleurs qu’ici, en Belgique,
au cœur de l’Europe dans le sens propre du terme, qu’il est plus propice de
réfléchir ensemble, qu’il est plus facile de travailler ensemble à la question
du comment nous voulons et pouvons façonner une Europe durable. »

Propos que souligne Elke Kaschl Mohni, directrice du Goethe-Institut
Belgique:
« Grâce à nos programmes et projets, nous voulons renforcer la sphère
publique européenne de manière artistique et au travers de la discussion,
promouvoir une société civile européenne et intensifier les efforts pour un
changement culturel vers un plus grand respect de l’environnement. C’est
maintenant, plus que jamais, qu’il est important que les femmes et les
hommes de tous les pays membres de l’Union européenne s’échangent et se
rencontrent – et ceci dans le cybermonde aussi. Nous accordons la priorité
au dialogue culturel durable et à la transmission des valeurs culturelles
européennes. »

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Le Goethe-Institut, actif à l’international, est l’institut culturel de la République fédérale
d’Allemagne. Avec ses 157 représentations dans 98 pays, il promeut l’étude de la langue
allemande à l’étranger, entretient des liens de collaboration culturelle avec tous les
pays du monde et est chargé de communiquer une image actuelle de l’Allemagne. Grâce,
en sus, à ses programmes de coopération avec des organismes partenaires dans de
nombreux endroits, le Goethe-Institut dispose d’environ un millier d’antennes dans le
monde. En tant qu’institut culturel national et européen le Goethe-Institut s’engage en
faveur de la vision d’une intégration européenne progressive et plaide continuellement,
au travers de ses activités, pour un renforcement constant des valeurs de l’Union
européenne : la liberté, l’égalité et l’ouverture. En Europe, l’organisation compte 52
instituts.

Informations complémentaires:
UE 2020 - Projets du Goethe-Institut Belgique
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html

Programme culturel complet de la République fédérale d’Allemagne pour la
présidence allemande du Conseil de l’Union européenne
https://www.eu2020.de/

Contacts médias:
Tanya Wittal-Düerkop
Goethe-Institut Belgique
Avenue des Arts 58
B-1000 Bruxelles
E-mail : tanya.wittal-dueerkop@goethe.de

Henrike Radermacher
Ambassade de la République fédérale d’Allemagne
Rue Jacques de Lalaing 8-14
B-1040 Bruxelles
E-mail : henrike.radermacher@diplo.de

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ANNEXE
LES PROJETS DANS LE DÉTAIL

« Earth Speakr »
Œuvre d’art participative avec voix d’enfants et d’adolescents à propos de
l’avenir de l’Europe et de la Terre
« Earth Speakr » est une œuvre d’art participative conçue par Olafur
Eliasson, et réalisée avec les membres de son atelier, des enfants et des
adolescents, des partenaires créatifs, des scientifiques et des experts.
Le lancement officiel aura lieu le 1er juillet 2020, parallèlement au coup
d’envoi de la présidence allemande du Conseil de l’Union européenne. Au
cours de l’année, l’œuvre prendra forme grâce à la participation active de
jeunes gens européens et moyennant une application ludique et une
plateforme digitale utilisables dans toutes les langues des pays membres de
l’Union. Ces jeunes gens pourront y déposer des messages dans lesquels ils
expriment, passée la présentation de l’artiste, leurs espoirs et leurs idées
pour l’Europe et la Terre de demain. Ce projet est subventionné par le
Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères dans le cadre de la
présidence allemande du Conseil de l’UE en 2020 et est réalisé en
collaboration avec le Goethe-Institut. Le Goethe-Institut soutient également
le studio Olafur Eliasson dans la réalisation du projet, e. a. par des ateliers
préparatoires dans les 27 pays de l’Union et en assurant la mise à disposition
de son réseau d’instituts européen. En Belgique aussi, le Goethe-Institut et
l’Ambassade d’Allemagne coopèrent à la présentation du projet et dans le
transfert de propositions. D’autres événements relatifs à cette œuvre d’art
participative sont déjà en cours de planification.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html
https://earthspeakr.art/en/

Ce projet est soutenu par le Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères à
l’occasion de la présidence allemande du Conseil de l’Union européenne en 2020, et
réalisé en coopération avec le Goethe-Institut.

« Un Mur qui disparaît »
Installation artistique interactive dans un lieu de l’espace public belge et
dans neuf autres pays européens
Cette installation interactive spectaculaire portant le titre de « Un Mur qui
disparaît » voyagera, dans le cadre de la présidence allemande du Conseil
de l’UE, à travers dix pays de l’Europe à partir de l’été 2020. En Belgique, le
mur pourra être admiré dans trois villes du pays. L’installation se compose
de 6.000 citations issues de la culture savante ou de la culture pop
européenne, donc par exemple des phrases ou des mots prononcés par des

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penseurs et des artistes, hommes ou femmes célèbres de toute l’Europe. Ces
citations ont, auparavant, été rassemblées par le biais d’un appel à
propositions public. Après chaque lever du voile, passantes et passants
auront la possibilité de se servir et de partir avec une de ces citations, ne
laissant derrière eux que le cadre transparent qui les tenait : le mur aura
disparu.
Le 3 octobre 2020, à Bruxelles, l’Ambassadeur d’Allemagne et la directrice
du Goethe-Institut Belgique inaugureront publiquement l’installation murale
à l’occasion du 30e anniversaire de la réunification allemande.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html

Le « Mur qui disparaît » est un projet du Goethe-Institut, réalisé grâce au budget
spécial consacré par le Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères à la
présidence allemande du Conseil de l’Union européenne en 2020.

À la découverte du cinéma allemand
Projections de films à Bruxelles et à Gand au cours du deuxième semestre
2020
En coopération avec des partenaires belges, le Goethe-Institut Belgique
organisera, pendant les six derniers mois de l’année, un programme de
cinéma très varié. En juillet et en août 2020, c’est dans le cadre du festival
« l’heure d’été » lancé par le cinéma bruxellois des Galeries que seront
projetés, en salle et en plein air, des films ayant un rapport avec la ville de
Berlin.
Du 13 au 24 octobre 2020, le plus important festival de films en Belgique, le
« Film Fest Gent », consacrera une partie de sa programmation à l’Allemagne,
et plus spécifiquement à la nouvelle vague allemande des années soixante
et septante. De plus, il y aura une rétrospective des films d’Angela Schanelec,
à laquelle la réalisatrice est d’ailleurs conviée. Dans la série « German
Filmfestivals on Tour à Bruxelles », c’est avec la collaboration du cinéma
BOZAR que sera visible, du 22 au 26 octobre 2020, le « Berlinale Forum ».
Il s’agit d’une sélection de films programmés pour le 70e anniversaire du
festival du film de Berlin dans le cadre du « Berlinale Forum » et pour la
première édition de ce festival en 1971.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html (à.p.d. juillet 2020)

« #oekoropa »
Concours digital européen pour jeunes
Dans le cadre du concours digital européen pour jeunes intitulé « #oekoropa
» (écorope), des adolescent(e)s de tous les pays de l’Union européenne seront

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invités à déposer leurs idées pour un voyage à empreinte carbone neutre à
travers l’Europe. Puisque la pandémie du coronavirus exige justement de
renoncer à des voyages, il n’y a donc pas de meilleur moment pour se poser
la question : Comment voulons-nous nous déplacer en Europe, à l’avenir,
sans porter trop de préjudice à notre environnement ?
Dans tous les pays membres de l’Union, des élèves âgé(e)s de 16 à 19 ans et
leurs professeurs sont invités à envoyer leurs propositions concrètes pour
un voyage climatiquement neutre à travers l’Europe. Pour pouvoir participer
à ce concours, les adolescent(e)s se regroupent en équipes numériques de
trois à quatre, connectées à leur professeur, et élaborent ensemble un
concept pour un voyage circulaire au départ de leur lieu d’origine vers les
trois capitales des pays qui assurent, de 2020 à 2021, la présidence du
Conseil de l’UE (Berlin, Lisbonne et Ljubljana) - que ce soit à bicyclette, en
train ou virtuellement, tous les moyens de locomotion respectueux du climat
sont permis. Parallèlement à l’élaboration du programme de voyage, ce
concept reprendra aussi leurs idées pour convaincre un public le plus large
possible du bien-fondé de leur concept neutre en carbone, suscitant ainsi, au
sein de la population européenne, une prise de conscience en faveur d’une
mobilité responsable en Europe.
La date limite pour l’envoi de tous les concepts digitaux est fixée au 1er
octobre 2020 et ils doivent être rédigés en allemand.
Un jury international composé de représentant(e)s de diverses organisations
environnementales, de fondations et de ministères de l’environnement
récompensera, le 20 novembre 2020 au cours d’une cérémonie festive à
Bruxelles, les dix propositions les plus innovantes. Les dix équipes gagnantes
pourront accomplir leur voyage au printemps ou à l’été 2021. De plus, il sera
demandé à toutes les équipes gagnantes de rédiger, ensemble, une
recommandation pour une mobilité climatiquement neutre qui sera adressée
ensuite au Parlement européen.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html

« #oekoropa » est un projet du Goethe-Institut financé par le budget spécial du
Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères consacré à la présidence allemande
du Conseil de l’Union européenne en 2020.

Festival « Freiraum »
Festival digitalo-local sur l’état actuel de la liberté, avec des voix de toute
l’Europe
Isolation, confinement, fermeture des frontières et surveillance ont dicté la
vie des Européen(ne)s pendant ces derniers mois de pandémie du
coronavirus, restreignant tant les libertés privées que publiques. Quelle est
l’importance des libertés aujourd’hui en Europe? Où sont-elles menacées et

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comment pouvons-nous les protéger? Voilà les questions qui seront, les 30
et 31 octobre 2020, au centre du Festival « Freiraum ».
Le festival se présente sous deux formats : le format physique, réel et le
format digital, virtuel. À côté d’un programme en ligne co-organisé par
l’ensemble des partenaires, présentant des colloques, des débats et des
performances préenregistrés et retransmis en direct dans toute l’Union
européenne le 31 octobre entre 14 et 19 heures, il y aura également, le même
jour, dans une quinzaine de lieux en Europe, des événements live organisés
en collaboration avec les Goethe-Instituts locaux et rassemblant les
partenaires de ce projet « espace libre ». De plus, un programme inaugural
plus étendu se tiendra au BOZAR à Bruxelles, où e. a. le politologue bulgare
Ivan Krastev prononcera un grand discours sur le thème de la liberté et de
l’Europe à l’heure du (post-)Covid-19.
Le deuxième jour de ce festival à Bruxelles sera consacré à des formats de
débats et de présentations artistiques dans les salles pluridisciplinaires du
théâtre du Beursschouwburg. Ainsi, c’est là que se tiendra la table ronde
participative intitulée « Big Conversation », où des journalistes de tous les
pays européens, des représentant(e)s des institutions européennes et d’ONG
échangeront leurs points de vues sur la liberté des médias en Europe.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html
https://www.goethe.de/prj/fre/en/index.html (programme complet du festival à.p.d. de
juillet 2020)

« Freiraum » est un projet du Goethe-Institut qui se consacre, depuis 2017, avec 53
acteurs du monde de la culture, des sciences et de la société civile de 42 pays, à l’étude
de l’état des libertés en Europe.

« Génération A=Algorithme »
Ateliers, débats, leçons sur canapé, résidences et plus à propos de l’avenir
de l’intelligence artificielle
Big data, algorithmes ou deep learning: l’intelligence artificielle change notre
vie et est déjà bien présente dans notre quotidien. Quels sont les potentiels
que nous offre l’IA et comment pouvons-nous l’intégrer sans danger dans
nos sociétés de demain ? Ce projet s’intéresse, au moyen de différents
formats interactifs, à la question de savoir comment l’intelligence artificielle
modifie le monde et comment cette évolution peut être influencée de
manière socialement responsable ; les aspects relevant des domaines de
l’éthique, du travail, de la créativité et du changement climatique doivent
rester au premier plan.
Ce projet sera accompagné par le réseau européen de la European A(i)lliance,
qui compte en son sein des spécialistes de renom des questions actuelles en
matière d’intelligence artificielle, mais aussi des représentant(e)s
d’initiatives sur l’éducation aux médias, d’institutions artistiques et

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d’organisations de la société civile. En collaboration avec les Goethe-Instituts
en Europe, le projet prévoit de travailler, en 2020 et au-delà, sur différents
formats tant virtuels que réels. Les résultats des réflexions devront ensuite
être intégrés dans un manifeste qui sera remis e. a. à des décideurs
politiques.

Pour les dates et plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html

« Generation A=Algorithmus » est un projet du Goethe-Institut bénéficiant de
subventions du budget spécial consacré par le Ministère fédéral allemand des Affaires
étrangères à la présidence allemande du Conseil de l’Union européenne en 2020.

Série de conférences sur le « multilinguisme en Europe »
Tables rondes sur la diversité linguistique au sein de l’Union européenne
Selon l’Union européenne, on parlerait 24 langues officielles en Europe -
sans compter les nombreux dialectes et variantes linguistiques régionales.
L’Europe est un continent multilingue. Pourquoi faut-il promouvoir ces
langues différentes et quel est le rôle joué par la transmission des valeurs
européennes ? Ce sont là les questions qui figureront au centre de la série
de colloques sur le « multilinguisme en Europe » mis en œuvre par le
programme ‘Réseau européen pour la langue allemande’ du Goethe-Institut
à l’occasion de la présidence allemande du Conseil de l’UE. Ces colloques se
tiendront dans des villes des trois pays de présidence européenne 2020-21
(Allemagne, Slovénie, Portugal).
Une grande conférence de clôture est prévue à Bruxelles pour la fin de
l’année 2021.

Pour plus d’informations :
https://www.goethe.de/ins/be/fr/kul/prj/eup.html