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Pour l’article homonyme, voir Extrêmement fort et incroyablement près. Extrêmement fort et incroyablement près Incendies causés après les impacts des vols 11 American Airlines et le 175 United Airlines sur le World Trade Center. Données clés Titre québécois Extrêmement fort et incroyablement près Titre original Extremely Loud and Incredibly
Close Réalisation Stephen Daldry Scénario Eric Roth d'après le roman de Jonathan Safran Foer Acteurs principaux Tom HanksThomas Horn (es)Sandra Bullock Sociétés de production Paramount PicturesScott Rudin ProductionsWarner Bros. Pictures Pays d’origine États-Unis Genre Drame Durée 129 minutes Sortie 2011 Pour plus de détails, voir
Fiche technique et Distribution Extrêmement fort et incroyablement près (Extremely Loud and Incredibly Close) est un drame américain de Stephen Daldry sorti en 2011, adapté du roman de Jonathan Safran Foer. L'histoire du film se déroule lors des attentats du 11 septembre 2001. Synopsis À New York, le jeune Oskar Schell rentre chez lui, selon la
consigne de son école. Tandis qu'il écoute les messages sur le répondeur téléphonique, il regarde la télévision qui retransmet en direct les attentats du 11 septembre 2001 où son père disparaît dans l'effondrement des tours du World Trade Center. Après s'être renfermé sur lui-même, il retrouve la dernière consigne que celui-ci lui avait laissée :
« n'abandonne pas ». L'enfant se lance alors dans la résolution d'une énigme, comme son père Thomas Schell lui avait appris à le faire : que peut bien ouvrir la clé qu'il vient de trouver dans un vase que son père avait caché ? Qui est l'homme d'origine afro-américain dont le nom apparaît sur l'enveloppe contenant la clé ? Persuadé qu'il trouvera un
dernier message du disparu, Oskar rencontre des membres de la communauté afro-américaine de New York, aidé par un vieux locataire de sa grand-mère, qui ne parle pas et ne communique que par des petits mots écrits sur un calepin. Fiche technique Titre original : Extremely Loud and Incredibly Close Titre français et québécois : Extrêmement
fort et incroyablement près Réalisation : Stephen Daldry Scénario : Eric Roth d'après le roman éponyme de Jonathan Safran Foer Direction artistique : Béatrice Delfe Décors : Peter Rogness Costumes : Ann Roth Photographie : Chris Menges Montage : Claire Simpson Musique : Alexandre Desplat Production : Scott Rudin Société(s) de production :
Paramount Pictures, Scott Rudin Productions et Warner Bros. Pictures Société(s) de distribution : Paramount Pictures/Warner Bros. Pictures (États-Unis) Budget : 40 000 000 USD[1] Pays d’origine : États-Unis Langue : anglais Format : couleurs - 35 mm - 2.35:1 - son Dolby numérique Genre : drame Durée : 129 minutes Dates de sortie : États-Unis,
Canada : 25 décembre 2011 France, Belgique : 29 février 2012 Distribution Thomas Horn (es) (VQ : Nicolas DePassillé-Scott[2]) : Oskar Schell Max von Sydow : le « locataire » Tom Hanks (VF : Jean-Philippe Puymartin et VQ : Bernard Fortin) : Thomas Schell, le père d'Oskar Sandra Bullock (VF : Françoise Cadol et VQ : Hélène Mondoux): Linda
Schell, la mère d'Oskar Viola Davis (VF : Claudia Tagbo et VQ : Johanne Garneau) : Abby Black Jeffrey Wright (VF : Jean-Louis Faure et VQ : Manuel Tadros) : William Black, le mari d'Abby Zoe Caldwell (VF : Yvette Petit et VQ : Béatrice Picard) : la grand-mère d'Oskar John Goodman (VF : Jacques Frantz et VQ : Hubert Gagnon) : Stan, le portier Paul
Klementowicz : le sans-abri Dennis Hearn Julian Tepper (en) Stephen Henderson Lorna Pruce Source : Version française (V.F) Accueil Box-office Monde 47 847 881 USD France : 195 574 entrées États-Unis : 30 630 595 USD Réception critique Extrêmement fort et incroyablement près reçoit en majorité des critiques passables. L'agrégateur Rotten
Tomatoes rapporte que 53 % des 53 critiques ont donné un avis positif sur le film, avec une moyenne de 5.9⁄10[3]. L'agrégateur Metacritic donne une note de 44 sur 100 indiquant des « critiques mitigées et négatives »[4]. Nominations et distinctions À la 84e cérémonie des Oscars, le film fut nommé deux fois : Oscar du meilleur film — Scott Rudin,
producteur Oscar du meilleur acteur dans un second rôle — Max von Sydow La nomination à l'Oscar du meilleur film fit polémique. Le film, n'étant pas un succès commercial, eut une critique très médiocre et fut totalement absent des nominations lors des récompenses précédentes (BAFA, Golden Globes, prix des guildes et de la critique…)[5],[6].
Autour du film Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Citations », « Autour de... », ou autres, est peut-être inopportune. En effet, en tant qu'encyclopédie, Wikipédia vise à présenter une synthèse des connaissances sur un sujet, et non un empilage d'anecdotes, de citations ou d'informations éparses (novembre
2016).Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un intérêt encyclopédique et sont correctement sourcés, de les intégrer dans d’autres sections. Extrêmement fort et incroyablement près est tiré du roman éponyme de Jonathan Safran Foer, publié en 2005, qui est la toute première œuvre majeure de fiction à se pencher sur la
détresse des familles touchées par les attentats du 11 septembre 2001. Le tournage d’Extrêmement fort et incroyablement près s'est entièrement déroulé à New-York. Après avoir démarré dans les studios JC à Brooklyn, l'équipe de tournage s'est aventurée dans les rues d'Harlem, de l'East Side et de l'Upper West Side, ainsi que dans des immeubles
de bureaux et des gratte-ciels de Manhattan, des tunnels de métro désaffectés de la gare Grand Central et même sur l'imposant pont de Manhattan. La première réplique du film - « Il y a aujourd'hui sur la terre plus de gens vivants qu'il n'y a eu de morts dans toute l'histoire de l'humanité » - est un postulat totalement erroné[7][réf. non conforme].
Notes et références ↑ (en) Extremely Loud & Incredibly Close (2011) sur Box Office Mojo. ↑ Carton de doublage.qc.ca consulté le 1er avril 2012. ↑ (en) « Extremely Loud & Incredibly Close (2012) », sur rottentomatoes.com, Rotten Tomatoes (consulté le 4 janvier 2012). ↑ (en) « Extremely Loud & Incredibly Close », sur metacritic.com, Metacritic
(consulté le 4 janvier 2012). ↑ « Nominations aux Oscars 2012 : les gagnants et les perdants », sur Film de Culte. ↑ (en) « Oscars 2012: Is Extremely Loud and Incredibly Close the worst best picture nominee ever? », sur The Guardian, 23 février 2012. ↑ [1]. Voir aussi Article connexe Extrêmement fort et incroyablement près (roman) Liens externes
(en) Site officiel Ressources relatives à l'audiovisuel : Allociné Centre national du cinéma et de l'image animée Ciné-Ressources Cinémathèque québécoise The Movie Database (en) AllMovie (en) American Film Institute (en) Internet Movie Database (en) LUMIERE (en) Metacritic (en) Movie Review Query Engine (de) OFDb (en) Oscars du cinéma
(en) Rotten Tomatoes Portail du cinéma américain Portail de New York Portail des années 2010 Ce document provient de « . Douze ans après le 11 septembre, il faut faire la distinction entre ce que l’on appelle « les romans du 11 septembre » (« 9/11 novels ») et « les romans post-11 septembre » (« Post-9/11 novels »). Basé sur les romans Extremely
Loud and Incredibly Close (2005) de Jonathan Safran Foer et The Zero (2006) de Jess Walter, cet essai décrit le passage d’une reproduction compulsive à une intégration de l’événement traumatique au sein du roman américain du xxie siècle. En se référant à la théorie du traumatisme et à la crise essentielle des médias après le 11 septembre, la
représentation (ou son absence) de Ground Zero comme un espace blanc dans la mémoire culturelle devient un facteur de différenciation pour les romans. Twelve years after 9/11, one needs to differentiate between the so-called “9/11 novel” and the “Post-9/11 novel”. Based on Jonathan Safran Foer’s Extremely Loud and Incredibly Close (2005) and
Jess Walter’s novel The Zero (2006), this essay describes the development away from a compulsive reproduction of trauma towards an integration of the events of 9/11 within the 21st century American novel. With references to trauma theory and the media crisis post 9/11, the novels’ (lack of) representation of Ground Zero as a gap within cultural
memory becomes their distinguishing mark. Haut de page Assmann, Aleida : Cultural memory and Western civilization : functions, media, archives. Cambridge : Cambridge, 2011. Baudrillard, Jean : “The Precession of Simulacra”. Simulations (1983) : 1-79. Berger, James : “There’s no Backhand to this”. Trauma at Home. Ed. Greenberg, Judith.
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now lies between us” (Translation is mine) 2 Versluys, Kristiaan: Out of the Blue: September 11 and the Novel. p. 2 3 Quoted in: idem, p. 14. 4 Berger, James: “There’s no Backhand to this”. Trauma at Home. Ed. Greenberg, Judith. Lincoln/London: University of Nebraska Press 2003. p. 57. 5 Caruth, Cathy: Trauma. Explorations in Memory. Baltimore:
Johns Hopkins, 1995. p. 6. 6 Idem: p. 7-8. 7 Freud, Sigmund. Beyond the Pleasure Principle. New York: W. W. Norton & Company, 1990. p. 60. 8 Caruth, Cathy: p. 6. 9 Berger, James: p. 54. 10 See: Virilio, Paul: “Fahrzeug”. Aisthesis. Wahrnehmung heute oder Perspektiven einer anderen Ästhetik. Ed. Barck, Karlheinz: Leipzig: N.N. p. 47-70. 11
Greenberg, Judith: “Wounded New York”. Trauma at Home. Ed. Greenberg, Judith. Lincoln/London: University of Nebraska Press 2003. p. 26. 12 Idem. p. 12. 13 Idem. 14 See: Virilio, Paul. 15 See: Caruth, Cathy. 16 Sturken, Marita: “The aesthetics of absence: Rebuilding Ground Zero.” American Ethnologist 31.3 (2004): p. 312. 17 Bray, Patrick M.:
“Aesthetics in the Shadow of No Towers: Reading Virilio in the Twenty-First Century”. Yale French Studies 114 (2008): p. 9. 18 Quoted in: Hirsch, Marianne: „I took Pictures. September 2001 and Beyond“. Trauma at Home. Ed. Greenberg, Judith. Lincoln/London: University of Nebraska Press 2003. p. 72. 19 Idem. 20 Idem. p. 71. 21 Stoichita, Victor
Ieronim: Eine kurze Geschichte des Schattens. Munich: Fink, 1999. p. 27: “If the image (as a shadow, a painting, a statue) in the tradition of Plinius is the Self’s Other, to Platon, the image (as a shadow, a mirror image, a painting, a statue) is the Self as its copy, the Self in a status of its Double.” (Translation is mine) 22 Idem. 23 Stamelman, Richard:
“Between Memory and History”. Trauma at Home. Ed. Greenberg, Judith. Lincoln/London: University of Nebraska Press, 2003. p. 15. 24 Virilio, Paul: p. 49. 25 Spiegelman, Art: In the Shadow of no Towers. New York: Pantheon, 2004. Foreword. p. 14. 26 Sturken, Marita: p. 312. 27 Spiegelman, Art: p. 14. 28 Idem. 29 Bray, Patrick M.: p. 4. 30
Spiegelman, Art: In the Shadow of no Towers. New York: Pantheon, 2004. Foreword. 31 Idem. p. 6. 32 Idem. Foreword. 33 Idem. p. 10. 34 Idem. 35 Bray, Patrick M.: p. 11. 36 Walter, Jess, The Zero. New York: HarperCollins, 2006. Appendix. p. 3-4. 37 See: Spiegelman, Art: Foreword. 38 Safran Foer, Jonathan: Extremely Loud and Incredibly Close.
New York: Penguin, 2006. p. 9. 39 Idem. p. 10. 40 Idem. p. 14. 41 Idem. p. 257. 42 For a definition of the term please see: Assmann, Aleida: Cultural memory and Western civilization: functions, media, archives. Cambridge: Cambridge, 2011. 43 Idem. p. 325. 44 Frost, Laura: “Still Life: 9/11’s Falling Bodies”. Literature After 9/11. Ed. Keniston, Ann.
New York: Routledge, 2009. p. 200. 45 Quoted in: Irsigler, Ingo (Ed.): Nine Eleven: ästhetische Verarbeitungen des 11. September 2001. Heidelberg: Winter, 2008. p. 71. 46 Safran Foer, Jonathan: p. 325. 47 Jess Walter: p. 280-88. 48 Hartman, Geoffrey: Das beredte Schweigen der Literatur. Frankfurt a.M.: Suhrkamp, 1996. p. 3.: “only an odyssey, a
dialectic process extended for infinity can fill the empty space” Translation is mine 49 Poppe, Sandra (Ed.): 9/11 als kulturelle Zäsur. Repräsentationen des 11. September 2001 in kulturellen Diskursen, Literatur und visuellen Medien. Bielefeld: transcript, 2009. p. 158: „The adequate literary response to the event of 9/11, thus, would not consist of
texts that perpetuate the editorial gossips but in their silence.” Translation is mine 50 Walter, Jess: p. 159. 51 Idem. p. 37. 52 Idem. p. 55. 53 Idem. p. 160. 54 Idem. p. 12. 55 Idem. p. 311. 56 Idem. p. 16. 57 Idem. 58 Idem. p. 12. 59 Idem. p. 311. 60 Idem. p. 310. 61 Versluys, Kristiaan: p. 149. 62 Hartman, Geoffrey: p. 11: “It extends language by
something that silently vibrates along, a quality that although inherent within the words cannot be reduced by either intentionality or phenomenality, and that, therefore, approaches silence. This talkative silence seems to be more original than speaking and embodies itself within writing.” Translation is mine 63 Idem. p. 40: “Nothing ... can free us
from the imagination (separating us from the world) other than the imagination itself that phantasizes about its own disappearance in order to come closer to the immediate sense of things („the plain sense of things“) as much as the deathlike absence of the imagining self.” Translation is mine 64 Walter, Jess: p. 323. 65 Versluys, Kristiaan: p. 14. 66
Laub, Dori: “Truth and Testimony. The Process and the Struggle”. Trauma. Explorations in Memory. Ed. Caruth, Cathy. Baltimore: Johns Hopkins, 1995. p.73-74. 67 Rothberg, Michael: “Seeing Terror, Feeling art: Public and Private in Post-9/11 Literature”. Literature After 9/11. Ed. Keniston, Ann. New York: Routledge, 2009. p. 141.Haut de page
Sanna Stegmaier, « The shadow of the Falling Man as an end of (im)mediate trauma », TRANS- [En ligne], 16 | 2013, mis en ligne le 03 août 2013, consulté le 30 juillet 2021. URL : �; DOI : de pagePage 2
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