De l'usage de la notion de contexte en didactique du français au Maroc: enjeux, dérives et perspectives de recherche
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De l’usage de la notion de contexte en didactique du français au Maroc: enjeux, dérives et perspectives de recherche NAB KHALID Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH) Laboratoire de Recherche sur les Langues et la Communication (LARLANCO) Université IBN-ZOHR, MAROC khalidnab290@gmail.com Colloque AIRDF 2019 Université Claude Bernard I-Lyon 27/08/2019
Le titre de cette contribution, issue d’une thèse en cours de préparation, se veut à la fois un constat , un programme et des hypothèses
Un constat Emerge et se déploie de plus en plus la notion de contexte dans le champ épistémologique contemporain des SHS pour trois raisons fondamentales: i) L’intérêt des SHS pour la question du sujet, de son activité et de ses représentations sociales (ex. sociologie, linguistique); ii) La rupture avec la vision positiviste du contexte comme ontologie ou détermination externe (le contexte comme un déjà-là); iii) La prise en compte de la contextualisation comme étape décisive, voire primordiale de tout travail de recherche, qu’il soit spéculatif ou empirique (le contexte comme un construit)
Un programme Comprendre les enjeux réels de la contextualisation en didactique du français comme discipline de recherche à l’université ; Nuancer le cadre théorique qui la concerne en tant qu’opération à la fois cognitive et discursive (un choix conceptuel); Analyser les obstacles auxquels elle se heurte, voire les dérives dont elle fait l’objet à travers une étude exploratoire de 16 mémoires de master en didactique du français.
Des hypothèses En raison des spécificités de son objet, à savoir la langue-culture (dont le statut reste flou dans les textes officiels), la contextualisation se fait très problématique en didactique du français au Maroc, à trois égards: i) Le primat est accordé plus aux dimensions praxéologiques de la discipline (intervention dans le terrain, ingénierie de la formation, optimisation des pratiques pédagogiques, modélisation des situations d’apprentissage, etc.) qu’à la constitution épistémologique de la discipline; ii) L’existence d’une solide tradition "anti-théoriciste" à l’intérieur du champ didactique, plus ou moins hostile à l’épistémologie et donc aux démarches de contextualisation; iii) La centration sur les exigences d’employabilité des étudiants, de professionnalisation des enseignants, au détriment du développement de leurs capacités intellectuelles à l’innovation et à l’inventivité, de leurs stratégies (cognitives et métacognitives) d’accès au savoir.
Un plan en trois parties Contexte et contextualisation: un essai de (re)conceptualisation ; Élaboration des observables pour décrire et élucider les démarches de contextualisation dans les mémoires de master en didactique du français ; Quelques éléments d’analyse des obstacles à la contextualisation dans les textes recueillis
Contexte ou contextualisation? Le contexte, qui n’est pas une notion allant de soi et qui revêt diverses acceptions en sciences humaines et sociales, peut être défini ici plus comme processus que comme entité observable, descriptible et analysable en soi (Delcambre, 2013). En effet, I. Delcambre distingue entre trois types de contexte: 1. Le contexte comme contenant : le contexte représente en lui-même un déjà-là, une réalité préexistante à la recherche scientifique, indépendante du sujet lui-même et qu’il suffirait de restituer. 2. Le contexte comme produit : selon cette conception, qui découle du mouvement de l’interactionnisme social qui s’appuie sur les travaux de Vygotsky , le contexte est perçu étant un construit qui se forge à travers les interactions entre les protagonistes d’une situation. 3. Le contexte comme système d’interaction complexe : le contexte est le fruit d’une interaction intersubjective, en d’autres termes et suivant la même vision, le contexte représente un système relationnel résultant des interactions éventuelles entre le sujet et les objets. C’est en quelque sorte l’effet des objets sur le sujet et vice versa. Suivant cette conception le contexte s’inscrit dans une théorie d’apprentissage de type socioconstructiviste selon laquelle l’apprentissage (a fortiori celui de l’écrit de recherche) est le résultat d’un processus de négociation du sens.
Contexte ou contextualisation?(suite) La définition du contexte comme système, voire comme démarche de négociation du sens au sein des écrits scientifiques, implique de s’intéresser particulièrement à la contextualisation qui consiste à«mobiliser des éléments et des phénomènes qu’on choisit de faire entrer dans le champ d’observation au titre de contexte, c’est-à-dire des paramètres efficients mais qui ne sont pas au centre de la focale, pour comprendre les éléments et les phénomènes sur lesquels on focalise l’observation, phénomènes qu’on inscrit dans le continuum des pratiques sociales». En ce sens, le concept retrouve l’étymologie du mot qui sert à le désigner, puisqu’en latin, contextus signifie «assemblage» (Blanchet, 2016). Ainsi, la contextualisation est essentiellement une opération cognitive et discursive, tout en étant définitoire de la démarche scientifique elle-même.
Contexte ou contextualisation?(suite) Une entrée sera privilégiée pour l’analyse du corpus Assimiler la contextualisation (au sens d’élaboration du contexte) à la question du cadrage théorico-pratique qu’effectue le chercheur (ou l’apprenti-chercheur) au fil de son travail d’écriture, se construit dans et par le discours lui-même. Elle implique concrètement un positionnement spécifique par rapport au savoir, aux données du terrain et aux dimensions institutionnelles de la recherche (textes officiels et discipline scolaire). Or, dans le cadre des littéracies universitaires, comme toute pratique scripturale, elle est susceptible de variations significatives, selon les statuts des scripteurs, leurs appartenances institutionnelles, leurs filiations disciplinaires et leurs positionnements épistémologiques, mais aussi en fonction des genres d’écrit pratiqués à l’université (Delcambre & Lahanier- Reuter, 2012, dir.,; Pollet, 2014) La question est de savoir en quoi consiste la contextualisation dans les écrits des étudiants ou, plus particulièrement, comment se manifeste discursivement cette démarche et quelles sont les procédures intellectuelles qui la rendent possible, voire pertinente
Dispositif de recherche : une approche en corpus Composition et démarche d’analyse du corpus Corpus aléatoire de 16 mémoires en didactique du français (résultats forcément partiels, non généralisables) La didactique du français comme champ disciplinaire en cours d’universitarisation au Maroc, alors qu’elle était jusque-là limitée aux institutions de formation non-universitaire aux métiers de l’enseignement (CFI, CPR, ENS) Le mémoire de master en tant que pratique scripturale faisant partie de ce que l’on appelle «l’écriture de recherche en formation » (Reuter, 2004), et envisageable comme lieu de formation à et par la recherche scientifique) Une démarche compréhensive et exploratoire visant à mettre en évidence ce qui peut constituer la spécificité épistémologique de la didactique du français: des logiques scripturales, des positionnements cognitifs et des postures discursives observables dans la matérialité des écrits recueillis
Dispositif de recherche : une approche en corpus Critères de sélection du corpus Mémoires suffisamment homogènes répondant potentiellement aux mêmes normes institutionnelles de présentation et d’écriture (Licence vs. Master) Mémoires récents et anonymes, soutenus entre 2016 et 2018 à la FSE de Rabat et à la FLSH d’Agadir, et collectés dans leur version initiale (avant leur évaluation et leur validation par des formateurs), afin d’éviter d’y porter des jugements évaluateurs (de quelque nature qu’ils soient) Mémoires clairement inscrits, de par leurs intitulés, dans le champ de la recherche en didactique du français, comme en témoigne la pluralité des approches et des objets déclarés. == > l’étude du corpus ne peut être ni exhaustive, ni représentative du champ de la recherche en didactique du français qui ne peut être ramenée à la pratique du mémoire de master.
Dispositif de recherche : une approche en corpus Lieu et mode de repérage des énoncés pour l’analyse Définition des observables d’analyse (l’inscription dans le champ des littéracies universitaires et plus particulièrement, des travaux portant sur les pratiques scripturales de recherche à l’université) Repérage de quelques lieux stratégiques du texte où l’apprenti- chercheur est amené à citer le discours d’autrui et se référer aux dimensions contextuelles de sa recherche Catégorisation des mémoires (de M1 à M16, par commodité d’analyse) et identification, par inférence, des unités textuelles liées, implicitement ou explicitement, aux observables d’analyse déjà établis Analyse des données à partir de deux variables : modes de référencement au discours d’autrui et rapport entre théorie et pratique
Le corpus d’analyse Titre du mémoire Catégorie Le rôle des techniques d’animation dans l’amélioration de l’activité d’écriture. Cas des élèves de la M1 deuxième année du baccalauréat Le lycéen et les œuvres littéraires au Maroc M2 La nouvelle fantastique comme support didactique pour favoriser l’enseignement-apprentissage de la M3 lecture L’interactivité en activité de lecture M4 Difficultés liées au transfert des savoirs grammaticaux en écriture : cas des élèves de la 3ème année du M5 cycle secondaire collégial L’influence des représentations du français sur le processus de l’enseignement et de l’apprentissage du M6 FLE La lecture en français dans le primaire marocain. Difficultés et remédiations didactiques M7 Dans quelle mesure l’enseignement de la littérature de jeunesse peut-il améliorer la maîtrise de la M8 langue française chez les lycéens marocains ? L’enseignement de la lecture du texte littéraire au secondaire qualifiant M9 La didactique de l’oral en classe de français : la posture de l’apprenant M10 Le traitement des erreurs d’interférence linguistique par l’approche didactique. Cas de la 3ème année du M11 cycle secondaire collégial) Les TICE au service de l’apprentissage du FLE M12 L’exploitation de la chanson dans l’enseignement-apprentissage du FLE en 3ème année du collège M13 Le questionnement comme outil d’apprentissage en classe de FLE : aspects M14 L’enfant et l’apprentissage du français par la comptine : le cas de trois niveaux de l’école maternelle et M15 du premier niveau de l’élémentaire L’enseignement marocain en classe internationale : les enjeux et les limites de la médiation M16 interculturelle à l’ISPM d’Agadir
Des observables d’analyse pour opérationnaliser la notion de contextualisation Le rapport au savoir issu des disciplines dites «de référence» Modes de Rapport entre théorie et référencement au pratique (Delcambre, discours d’autrui (Boch 2013; Blanchet, 2016) & Grossmann, 2002; Boch, Grossmann & Rinck, 2010) Le rapport aux Le rapport aux textes officiels et données du au français terrain discipline scolaire Des observables qui se croisent et s’interpénètrent pour déterminer les démarches de contextualisation à la fois théorique et pratique des mémoires de master
L’analyse du corpus : quelques cas de figure
Des textes qui se structurent en deux parties indépendantes l’une de l’autre « Afin d’accomplir notre recherche, nous avons réparti notre travail en deux parties : La première partie est consacrée au cadre théorique …. La deuxième partie est consacrée à l’analyse …. »[M6] « Pour répondre à nos deux questions problématiques et répondre à notre objectif, nous avons conçu minutieusement notre travail à la base de cinq chapitres. Les deux premiers chapitres sont des chapitres qui traitent de la théorie alors que les trois derniers sont des chapitres empiriques. »[M13]
Des textes qui ne sont pas ancrés clairement dans le champ didactique « Selon Jean-Louis Weissberg : « l’interactivité doit je crois, être pensée en regard des spécificités de l’informatique, et plus précisément de la réflexivité constitutive des programmes informatiques. » En physique, l’action et la réaction constituent les deux piliers majeurs de l’équilibre… »[M4 /L’interactivité en activité de lecture ]
Des textes qui ne font pas mention du contexte de la recherche et qui se contentent d’asseoir des généralités « La question de l’apprentissage de la lecture est dans tous les discours. Elle a fait couler beaucoup d’encre et ne cesse de le faire. Si cela arrive, c’est parce qu’elle considérée comme la pièce maîtresse de tout apprentissage, quel qu’il soit… Tout le monde s’accorde à dire que l’apprentissage de langue française dans notre pays souffre d’un état de délabrement sans précédent… »[M7]
Des textes qui inventorient, au lieu de les synthétiser, des disciplines de référence pour définir un concept déjà constitué « La notion de représentation se situe au carrefour de plusieurs disciplines, notamment la philosophie, la sociologie, le psychologie et la didactique des langues: Nous trouvons que d’un côté la représentation désigne : En philosophie : ……. En psychologie : …. En sociologie : …. En didactique : … »[M6]
Des textes qui regorgent d’îlots ou de blocs citationnels, en l’absence de tout commentaire du scripteur « ‘’Selon Jean-François Haleté et André Petit jean, l’écriture est « une réflexion constante sur la relation entre ‘’ce qui se conçoit’’ et ‘’ ce qui s’énonce’’ » . Donc, l’écriture se base sur une relation harmonieuse et complémentaire entre ce qui peut être imaginé grâce à la pensée de l’élève et ce qui peut être verbalisé et par conséquent écrit. Dans le même sens, Jean-Pierre Robert confirme que l’écriture est « un système normalisé de signes graphique conversationnels qui permet de représenter concrètement la parole et la pensée ». De ce fait, elle est un ensemble d’élément qui reproduit pratiquement ce qui s’exprime oralement tout en se référant à la pensée. Cette transcription de l’oral se fait à travers des mots représentatifs, régis par des règles, qui assurent la bonne production des écrits. Par ailleurs, Escarpit Robert définit l’écriture comme étant « la rencontre des deux langues, un langage phonétique et un langage de traces ». En d’autre termes, la transmission d’un message quelconque se fait grâce à l’interaction de ka langue de signe et celle de l’oral. Donc, l’activité de l’écriture a pour objectif de transcrire et convertir le langage oral en message écrit, basé sur tout ce qui est pensé, et ce, dans l’intérêt d’être lu. En revanche, Michel Melot avance que « l’écriture supplée aussi aux silence de la langue. Ce quez la langue ne veut pas, ou ne peut pas dire, on peut l’écrire ». Autrement dit, cette écriture ne se limite pas à clarifier la ,parole mais elle permet aussi de dire ce que celle-ci n’a pas pu exprimer. Donc, l’écriture nous permet de s’exprimer davantage contrairement à la parole. Ainsi, les mots écrits ont le pouvoir de mieux exprimer les dires et de révéler ce que l’on ne peut pas montrer par la parole.’’ »[M1]
Des textes qui citent sans mentionner de façon explicite l’origine des références ‘’Cependant , le cas du français au Maroc , jouait et joue toujours un rôle principal , dans le fait où cette Langue étrangère est une Langue seconde , pour la simple et unique raison qu'elle est devenue un dispositif social , commercial , économique et bien sur comme elle était depuis toujours , un dispositif éducatif où le pratiquant de ce métier adoptera un esprit de médiation pour tisser les liens et produire un terrain d'entente entre plusieurs cultures dans un espace social fermé , et c'est le cas de notre problématique même.’’ [M16]
Des textes qui recourent plus au sens commun qu’à des théories scientifiques ‘’Tout le monde s’accorde à dire que l’apprentissage de la langue française dans notre pays souffre d’un état de délabrement sans précédent et que le faible niveau de performance en lecture en est pour le principal responsable.’’ [M7]
Des textes qui s’inscrivent dans une logique de résolution de problèmes un chercheur ‘’acteur de changement ‘’ ‘’L’idée directrice de ce travail, est de comprendre et analyser les éléments qui rendent l’acquisition du français défectueuse. A la limite, tout en s’efforçant de rester sur le terrain de la didactique, nous tentons de souligner à travers la linguistique et le contexte sociologique des apprenants marocains, l’origine de ces résistances, et d’y apporter des remèdes.’’ [M11] ‘’Notre objectif pilier que nous cherchions à atteindre de la réalisation de ce travail est de prouver aux responsables (au gouvernement Marocain, au ministre de l’Education nationale, aux concepteurs des manuels, aux enseignants non utilisateurs de la chanson en classe) l’efficacité de la chanson lorsqu’elle est choisie soigneusement et exploitée correctement dans l’enseignement/apprentissage du FLE en classe. ‘’ [M13]
Des textes qui prescrivent des modèles didactiques et des pratiques pédagogiques en reprenant le métalangage des textes officiels ‘’ …le troisième chapitre est consacré à l’analyse des résultats de l’enquête établit auprès des enseignants et enfin, nous clôturons notre recherche en proposant un dispositif didactique …’’[M9] ‘’…nous tentons de souligner à travers la linguistique et le contexte sociolinguistique des apprenants marocains, l’origine de ces résistances, et d’y apporter des remèdes…’’ [M11]
Des textes à forte teneur idéologique ou militantiste ‘’Le Maroc traverse une phase critique dans tous les domaines. L’allégeance au modèle français, bien qu’économiquement portant ses fruits, connait des imperfections dans le domaine de l’éducation, ce qui cause un faible rendement des étudiants lycéens marocains, illustré par : l’échec et le décrochage scolaire, les mauvaises notes, un niveau de plus en plus faible dans toutes les matières et notamment la langue française.’’ [M2]
Conclusion Pour conclure la présente communication et d’après les résultats avancés ci-dessus, il convient tout de même de dire que cette recherche a permet de s’arrêter sur trois remarques importantes à savoir: - les mémoires en question adoptent un processus de contextualisation presque identique endossant des disciplines de références récurrentes, dont l’absence de prise en considération de la problématique et l’objet de recherche demeure le fait le plus marquant. - Une contextualisation gouvernée par une vision praxéologique. - Une démarche de contextualisation qui repose sur une seul et unique référence théorique . Toutefois, il s’agit d’une étude exploratoire et donc discutable, vue qu’elle est issue d’un projet de thèse en cours.
Éléments bibliographiques Beacco, J.-C. 2005. « Métamorphoses de l’ailleurs. Éléments pour une histoire de la notion de situation en didactique du français langue étrangère ». In : Mochet, M.-A. et al. (dir.) Plurilinguisme et apprentissages. Mélanges Daniel Coste. Lyon : ENS Éditions, p. 59-69. Blanchet, P. 2009. « ‘Contextualisation didactique’ : de quoi parle-t-on ? ». Le français à l’université, 14e année, n°2. Disponible en ligne : http://www.bulletin.auf.org/index.php?id=833 Blanchet, P.2016. « Contextualisations didactiques et didactologiques : questions en débat »,dans revue ‘’Contexte et didactique’’, N7, juin 2016 BOCH F., RINCK F. & GROSSMANN F. (2010). Le cadrage théorique dans l’article scientifique : un lieu propice à la circulation des discours. Actes du colloque Circulation des discours et liens sociaux: Le discours rapporté comme pratique sociale, 5-7 octobre 2006, Université Laval (Québec). BOCH F., Grossmann F. & Rinck F., «Le cadrage théorique dans l’article scientifique : un lieu propice à la circulation des discours », dans . J.-M. Lopez-Munoz, S. Marnette & L. Rosier (Eds.), Actes du Colloque International Ci-dit, Québec, Nota Bene, 2009 Castellotti, V. & Moore, D. 2008. « Contextualisation et universalisme : quelle didactique des langues pour le 21e siècle ? » Castellotti V. (2015) « Diversité(s), histoire(s), compréhension… Vers des perspectives relationnelles et alterdidactiques pour l’appropriation des langues ", Recherches en didactique des langues / cultures. Les cahiers de l’Acedle. n°12, http://acedle.org/spip.php? rubrique40
Éléments bibliographiques (suite) Coste, D. 2006. « Pluralité des langues, diversité des contextes. Quels enjeux pour le français ? ». In Castellotti, V. & Chalabi, H. (dir.). Le français langue étrangère et seconde. Des paysages didactiques en contexte. Paris : L’Harmattan Huver, E. 2015. « Prendre la diversité au sérieux en didactique / didactologie des langues. Contextualisation – universalisme : Des notions en face à face ? », Recherches en didactique des langues / cultures. Les cahiers de l’Acedle. n°12, http://acedle.org/spip.php? Rubrique40 Delcombre I. 2013 « ÉCRITURE, CADRE, CONTEXTE » Multilinguales numéro 2ème semestre 2013 MESSAOUDI L,, 2002, « L’aménagement linguistique au Maroc », dans bulletin Économique et social au Maroc, Rabat, Éditions OKAD. MESSAOUDI L, 2005, « Les rôles de la situation et du contexte dans les technolectes bilingues français – arabe », actes du colloque Mots, termes et contextes, Bruxelles. Porquier, R. & Py, B. 2004. Apprentissage d’une langue étrangère, contextes et discours. Paris : Didier/CREDIF. 07/11/2017
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