Decathlon présente une brassière de sport post-mastectomie
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Decathlon présente une brassière de sport post-mastectomie Dans un récent communiqué, la marque de running Kalenji de Decathlon explique travailler depuis 2017 avec le Centre Oscar Lambret, Centre régional de Lutte Contre le Cancer (CLCC) des Hauts de France, pour co-créer, avec les soignants et les patientes, la brassière adaptée à leurs besoins pour pouvoir se (re)mettre au sport. En mars 2021 aura donc lieu la sortie de cette brassière baptisée Jogkokoon+ et approuvée “dispositif médical” de par sa prothèse externe et un décolleté qui sécurise le maintien de la prothèse. Une belle nouvelle gratifiant les quatre années de recherche et de travail menées par 6 décathloniens accompagnés de 15 collaborateurs ressources. Ce sont également 35 patientes suivies pour un cancer du sein et 6 professionnels de santé du Centre Oscar Lambret qui ont aidé à co-créer le Jogkokoon+. Au terme de ce travail, l’équipe a décidé de décliner cette brassière en deux versions : une version avec poche prothèse pour les femmes ayant subi une opération mammaire et une version “classique” sans poche prothèse “pour toutes”. La brassière se règle par ailleurs par un système de fermeture facile et des bretelles ajustables à l’avant.
Le cancer du sein, touchant prêt de 1 femme sur 8, est le cancer le plus fréquent chez la femme. Le sport joue un rôle important dans la guérison puisqu’il réduit de 24% les risques de récidives et jusqu’à 50% les risques de mortalité. Clear Fashion lance le scan des codes-barres pour connaître l’impact des vêtements Lien vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=jglM4p218Tw&feature=emb_title 90% des consommateurs souhaitent acheter responsable, mais seulement 3% savent comment. Face au manque d’information auquel sont confrontés les consommateurs, Clear Fashion, acteur indépendant, démocratise la consommation responsable en rendant accessibles l’histoire et l’impact des vêtements. Dès aujourd’hui, les consommateurs peuvent scanner les codes-barres des vêtements de 15 marques différentes et découvrir leurs notes, leurs lieux de production et leur analyse complète sur plus de 150 critères d’évaluation. Pour le lancement de cette nouvelle fonctionnalité, plus de 30 000 vêtements ont déjà été évalués.
Sessùn, Tape à l’Oeil, Passionata, Madame porte la culotte, 1083, SKFK, Chantal Thomass, Asphalte, Picture Organic Clothing, La Gentle Factory, Darjeeling, Femilet, Ifa, Chantelle, Circle Sportswear… Ces 15 premières marques ont accepté de partager les pratiques de fabrication de chacun de leurs vêtements avec Clear Fashion afin de permettre aux consommateurs de scanner les codes-barres. En 1 clic, les consommateurs découvrent l’impact sur l’environnement, les travailleurs, la santé et le bien-être animal de chaque vêtement. Ils pourront également découvrir les lieux et les pratiques de fabrication. Grâce à la méthodologie d’évaluation unique développée par Clear Fashion, les consommateurs pourront s’informer et comparer n’importe quels vêtements de n’importe quelles marques et cela selon les mêmes critères objectifs. Les informations communiquées par les marques sont aussi vérifiées avant de les rendre accessibles depuis l’application. C’est un signal fort pour l’ensemble du marché puisque ces marques montrent qu’il est possible de fournir des informations claires aux consommateurs. C’est grâce à la demande des utilisateurs que Clear Fashion peut convaincre les marques de rejoindre le mouvement : ces derniers peuvent le faire directement sur l’application ou sur les réseaux sociaux via un hashtag. Clear Fashion appelle donc les consommateurs à féliciter les marques participantes et à demander à leurs marques préférées de contribuer au scan des codes-barres sur les réseaux sociaux grâce au hashtag #YESWESCAN
Les gilets de refroidissement atténuent la fatigue perçue par les infirmières En raison du niveau élevé de contagiosité du COVID-19, le personnel de santé doit travailler avec des vêtements de protection qui ne sont pas ou à peine ventilés. De bons vêtements de protection sont essentiels pour leur travail, mais la température sous ces combinaisons peut atteindre jusqu’à 36 degrés, ce qui réduit le confort au porter. Une équipe de chercheurs du centre médical universitaire de Radboud ont étudié l’intérêt de porter des gilets de refroidissement – développés à l’origine pour les athlètes d’élite participant aux Jeux olympiques d’été de Tokyo – qui ont été modifiés et préparés pour une utilisation dans les soins de santé liés au COVID. L’étude Cooling for COVID-19 Healthcare Workers (COOLVID) a suivi 17 infirmièr(e)s -5 hommes et 12 femmes – travaillant dans les soins COVID pendant deux jours: un jour avec et un jour sans gilet de refroidissement à base de matériaux à changement de phase . Ils/elles portaient le gilet par-dessus leurs vêtements médicaux mais sous leurs vêtements de protection. Les mesures de l’étude comprenaient la température centrale et la fréquence cardiaque, ainsi que des mesures subjectives telles que le confort et la sensation de chaleur.
Les résultats, maintenant publiés dans Temperature, montrent que la température corporelle des participants a augmenté légèrement mais pas énormément, même si dans le même temps la température sous leurs vêtements de protection a augmenté. La fréquence cardiaque des participants était inférieure de quelques battements par minute les jours où ils portaient les gilets de refroidissement. Il a également été constaté que l’utilisation de gilets rafraîchissants pouvait atténuer avec succès l’inconfort thermique perçu et les sensations thermiques chaudes chez 63% et 59% des infirmières.
Un film innovant qui absorbe la sueur et la transforme en énergie Une équipe de chercheurs de l’Université nationale de Singapour (NUS) a créé un nouveau film très efficace pour évaporer la sueur de la peau pour la garder au frais et à l’aise lorsque d’un exercice, et l’humidité récoltée de la sueur humaine peut être utilisée pour alimenter les appareils électroniques portables tels que les montres, les trackers de fitness, etc. Les principaux composants du nouveau film mince sont deux produits chimiques hygroscopiques: le chlorure de cobalt et l’éthanolamine. En plus d’être extrêmement absorbant l’humidité, ce film peut libérer rapidement de l’eau lorsqu’il est exposé au soleil, et il peut être «régénéré» et réutilisé plus de 100 fois. Pour tirer pleinement parti de la sueur absorbée, l’équipe NUS a également conçu un dispositif de récupération d’énergie portable comprenant huit cellules électrochimiques (EC), utilisant le nouveau film comme électrolyte. Chaque EC peut générer environ 0,57 volts d’électricité en absorbant l’humidité. L’énergie globale récoltée par l’appareil est suffisante pour alimenter une diode électroluminescente.
Les matériaux hygroscopiques conventionnels tels que les zéolites et les gels de silice ont une faible absorption d’eau et des structures solides en vrac, les rendant impropres à l’absorption d’humidité provenant de l’évaporation de la sueur. En comparaison, le nouveau film absorbant l’humidité développé par les chercheurs de NUS absorbe 15 fois plus d’humidité et le fait 6 fois plus rapidement que les matériaux conventionnels. De plus, ce film innovant montre un changement de couleur lors de l’absorption d’humidité, du bleu au violet et enfin au rose. Cette fonction peut être utilisée comme indicateur du degré d’absorption d’humidité. L’équipe NUS a emballé le film dans des membranes en polytétrafluoroéthylène (PTFE) respirantes et imperméables, qui sont flexibles et couramment utilisées dans les vêtements, et ont démontré avec succès l’application du film absorbant l’humidité pour le coussinet sous les aisselles, la doublure et la semelle intérieure de la chaussure. L’équipe NUS espère maintenant travailler avec des entreprises pour incorporer le nouveau film d’absorption d’humidité dans les produits de consommation.
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