DOCUMENT DE FORMATION - arts plastiques
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ARTS PLASTIQUES & NUMÉRIQUE Nouveaux lieux et espaces de monstration de la création artistique à l'école : exposition et diffusion numérique des œuvres, des artistes et des créations des élèves à partir de l’établissement scolaire. DOCUMENT DE FORMATION
Document de travail élaboré et utilisé dans le cadre d’une formation académique en arts plastiques et numérique de niveau 3 se déroulant en décembre 2019 à Caen et en novembre 2019 à Rouen Arts plastiques / M.BRISSIER - Me. BERNARD/ 2019
Présentation : "Qu'est-ce que les TraAM?" TraAM signifie : Travaux Académiques Mutualisés. Pilotés par la DNE (direction du numérique pour l'éducation) et en relation avec l'Inspection générale, les Travaux Académiques Mutualisés (TRAAM) visent à : favoriser la prise en compte, dans le domaine de l'enseignement des arts plastiques, dans l'objectif de généralisation du numérique dans l'éducation ; mettre en commun, faire connaître et valoriser au niveau national les expériences académiques et les pratiques les plus novatrices ; proposer des actions d'innovation et d'expérimentation de nouveaux outils pour apprendre à partir de thèmes proposés au niveau national.
Cycle 3 : La représentation plastique et les dispositifs de présentation. • La prise en compte du spectateur, de l’effet recherché : découverte des modalités de présentation afin de permettre la réception d’une production plastique ou d’une œuvre (accrochage, mise en espace, mise en scène, frontalité, circulation, parcours, participation ou passivité du spectateur...). Cycle 4 : La représentation : image / réalité / fiction : La conception, la production et la diffusion de l’oeuvre plastique à l’ère du numérique L’oeuvre, l’espace et le spectateur : La relation du corps à la production artistique. La matérialité de l’oeuvre : Le numérique en tant que processus et matériau artistiques (langages, outils, supports). Lycée : 1ère SPE : La monstration et la diffusion de l’oeuvre... : • Contexte d’une monstration de l’oeuvre : lieux situations, publics. • Fonctions et modalités de l’exposition, de la diffusion, de l’édition, dispositifs et concepteurs : visées, modalités, langages. (TRAAM) 1ère Option FAC : Domaine de la présentation des pratiques des productions plastiques et de la réception du fait artistiques : relation entre l’oeuvre l’auteur... • La réception par un public de l’oeuvre exposée, diffusée ou éditée... Présentation Monstration Exposition
Notion Doc à modifier
Doc à modifier https://www.education.gouv.fr/cid2770/le-socle-commun-de-connaissances-et-de-competences.html
http://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=94717 EXTRAIT Dans une société marquée par l'abondance des informations, les élèves apprennent à devenir des usagers des médias et d'Internet conscients de leurs droits et devoirs et maitrisant leur identité numérique, à identifier et évaluer, en faisant preuve d'esprit critique, les sources d'information à travers la connaissance plus approfondie d'un univers médiatique et documentaire en constante évolution. Ils utilisent des outils qui leur permettent d'être efficaces dans leurs recherches. Mieux comprendre la société dans laquelle ils vivent exige aussi des élèves qu'ils s'inscrivent dans le temps long de l'histoire. C'est ainsi qu'ils sont davantage confrontés à la dimension historique des savoirs mais aussi aux défis technologiques, sociétaux et environnementaux du monde d'aujourd'hui. Il s'agit pour eux de comprendre ce monde afin de pouvoir décider et agir de façon responsable et critique à l'échelle des situations du quotidien et plus tard à une échelle plus large, en tant que citoyens.
Éducation aux médias : règles à connaître http://eduscol.education.fr/internet-responsable/
http://lachiver.fr/?p=1711
https://docs.lachiver.fr/Opale/DroitAuteur/auroraW/co/Module_Auteur_1.html
http://cache.media.eduscol.education.fr/file/Arts_plastiques/ 62/6/33_RA_C4_AP_Quelques_reperes_567626.pdf
http://eduscol.education.fr/arts-plastiques/enseigner/ ressources-et-usages-numeriques/pratiques- numeriques-en-classe/creer.html http://cache.media.eduscol.education.fr/file/ Arts_plastiques/65/8/34_RA16_C4_APLA_arts- plastiques-numerique_usages_DM_625658.pdf
Terminologies : Présenter, localiser Simuler Représenter Translocaliser DÉFINITIONS
⚪ 1 ⚪ 1 Présenter Action : du latin praesens (rendre présent), fait de montrer quelque chose / quelqu'un ou soi-même (à quelqu'un d'autre). On met à la portée de... c'est exposer à la vue... mettre en avant... (Présenter ou rendre présent induit également une notion de temporalité) Localiser Action : du latin localis, venant lui-même de locus (signifie un point, une position), qui consiste à déterminer l'emplacement (la place) de quelque chose / quelqu'un ou soi-même. C'est définir ou identifier l'endroit, l'espace où cela se situe ou bien d'où cela provient. C'est situer, limiter, circonscrire. Ce lieu est singulier ("single" en anglais = unique). (Localiser induit donc une notion de spatialité) Hic & nunc, « ici et maintenant » est une expression utilisée depuis l'Antiquité pour désigner la position spatio-temporelle d'une personne au moment où elle l'énonce. Elle caractérise une attitude qui consiste à « vivre en étant ancré dans la réalité présente ». ⚪ 1 ⚪ 1
⚪ 2 ⚪ 2 Représenter > re-présenter Action : terme issu du latin reprœsentatio, de reprœsentare. Cette action consiste à " replacer devant les yeux de quelqu'un au moyen d'une image (bidimensionnelle ou tridimensionnelle), au moyen d'une figure ou d'un signe ". Cela revient à présenter à nouveau = re-présenter pour rendre sensible un concept, une idée ou un objet fugace, absent, à dupliquer, à re-produire, à copier ou à modifier... (Former, déformer, transformer). Matérialiser Représenter une idée, une action abstraite : sous forme matérielle (= prendre puis modifier de la matière pour faire apparaître concrètement) en lui permettant de devenir sensible et réelle. Représentation Représentation Représentation • photographie de la • de l'idée de la chaise, • de l'idée de la chaise par chaise = double = copie. = matérialisation. des signes (langage). Cela étant photographié. Présentation Présentation Présentation • accrochage de la • localisation de l'objet sur photographie sur le mur le sol du musée. • Accrochage sur le mur du musée. du musée. ⚪ 2 ⚪ 2 Références iconographiques liées au cours d’arts plastiques / Document de travail à usage pédagogique et non commercial à destination d’élèves du secondaire réalisé par M. BRISSIER ac-Caen.fr / 2019
⚪ 3 ⚪ 3 Simuler Action : de feindre. L'image-trace est devenue l'image matrice. Interactive et générée par du langage (= code), elle ne reproduit plus l'objet, elle le simule en synthétisant non seulement son apparence visuelle, mais aussi les lois naturelles ou imaginaires auxquelles il est soumis. Simuler provient du latin simulare qui signifie "faire semblant". « L’image numérique est d’abord une simulation du réel et non une reproduction optique, elle est la traduction visuelle d’une matrice de nombre qui simule le réel... C’est Le pixel est l'expression visuelle, matérialisée sur l'écran, d'un calcul effectué par l'ordinateur conformément aux instructions d'un programme. S'il y a quelque chose qui une image-matrice capable de se créer elle-même et de se préexiste au pixel et à l'image, c'est le programme, transformer dans le temps, c’est une image à la puissance c'est-à-dire du langage et des nombres, et non plus le image, elle déborde les limites étroites du périmètre réel. C'est pourquoi l'image numérique ne représente obligatoire qui clôt toute image traditionnelle. plus le monde réel, elle le simule. Edmond COUCHOT » Dématérialiser Action de supprimer, retirer la matière. Le support de la peinture ou de la photographie est matériel. Dans le cas de l'image numérique, le support spécifique est, non pas l'écran vidéo mais une collection de nombres, c'est à dire de symboles. (Ces nombres étant eux- mêmes des micro-impulsions électroniques, issus à la fois des circuits de l'ordinateur et du programme, puis organisés sous la forme d'une image pixelisée). Au réel, à la matière ou à l'énergie, s'est donc substitué le symbole. ⚪ 3 ⚪ 3
⚪ 4 ⚪ 4 Translocaliser Action : de circuler, transiter, changer de place, de lieu. Le préfixe est trans en latin, il signifie passer d'ici à là, passer à travers, passer outre, être au delà. « L'image conventionnelle est un phénomène "localisé", elle "n'a eu lieu" que dans un lieu singulier : un tableau, un livre, un écran, la pellicule d'un film ou d'un négatif photographique, le fond de la rétine aussi bien. L'image numérique, elle, bien qu'il lui faille un lieu pour s'afficher, comme l'écran vidéo, -en cela elle n'a pas perdu tous les aspects de l'image conventionnelle-, n'est pas, sous sa forme électronique, assignée à un lieu exclusivement réservé et dont elle ne puisse s'échapper. Elle est, nous l'avons déjà dit, une matrice de valeurs numériques (que l'on peut fixer, certes, sur une mémoire), mais vouée à subir un très grand nombre d'opérations qui ne sont en fin de compte que des déplacements d'impulsions électroniques à l'intérieur des microcircuits de l'ordinateur ou dans le réseau. Sans cesse délocalisée/relocalisée, l'image numérique est un phénomène translocal. Elle va et vient, presque instantanément et dans les deux sens, entre les terminaux de consultation et les centres serveurs du réseau ; se métamorphose à chaque instant, incessamment délocalisée/relocalisée, sans lieu propre sinon celui du réseau, sans existence hors de ce réseau, totalement translocale, partie intégrante et indissociable du réseau dont elle est la pulsation vivante. Diamorphique, l'image numérique, dans la mesure où elle est générée et circule sur le mode conversationnel, est également "diatopique". Bien qu'elle se compose toujours d'éléments formes perceptibles par la vue, elle n'est plus elle-même essentiellement un signifiant stable, une forme (Gestalt), mais comme dirait Paul Klee, quelque chose "en formation" (Gestaltung) et en déplacement. Dans la mesure où le » sens d'une image est lié aux éléments formels composant son signifiant, il semble désormais subordonné à cette aptitude nouvelle des signifiants à se déplacer, à "dériver". https://www.olats.org/livresetudes/etudes/couchot1984.php Edmond COUCHOT Ubiquité, ce terme vient du latin "ubique" qui signifie "partout". C'est la capacité d'être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément. Donc d'être omniprésent. ⚪ 4 ⚪ 4
Ubiquité Montrez que vous montrez ! RECENTRAGE
La polyvision A ses origines, le cinéma était un art forain. L’image était projetée sous chapiteau parmi d’autres curiosités. Trés vite, le cinéma a figé son dispositif de projection pour des raisons économiques mais aussi pour contrôler les corps et les esprits. Le spectateur s’est très vite vu bloqué dans un fauteuil et le regard rivé sur un écran unique. Cependant, Abel Gance avait inventé en I927, pour son film Napoléon, la polyvision avec écrans multiples, brisant l’illusion d’une fenêtre ouverte sur le monde. Il était le premier cinéaste, en outre, à tourner avec plusieurs caméras, en simultané. La Polyvision était à la fois la confrontation simultanée des images entre elles et leur union pour former un immense panorama. Le producteur MikeTodd avait breveté le Todd-AO. William Boyd s’en est inspiré pour créer son personnage de cinéaste des nouvelles confessions. En I955, le cinéaste Max Ophiils avait envisagé la projection de son film, Lola Montès, sur deux écrans - Lola étant suspendue sur son trapèze, sur un écran surplombant celui de la piste du cirque. Le cinéma ne retiendra de la polyvision que la solution de l’écran élargi : le cinémascope, en une image unique. Le split- screen sera la solution trouvée pour fragmenter l’image. L’Expanded Cinema ainsi nommé par Gene Youngblood (I970) reprendra I’attitude originelle du cinéma : un aspect vivant, expérimental et participatif de l’image projetée. Les installations vidéo participent de ce principe de projection élargie. Dans Seven minutes before de Melik Ohanian : Sept écrans en enfilade restituent chacun l’approche en temps réel de sept caméras en mouvement vers un point d’impact unique. Sept points de vue disjoints pour la mise en tension d’une méme surprenante action : l’explosion d’un camping-car quelque part dans le Vercors. Mais ce quelque part pourrait être ailleurs : ce décor de montagne générique et la bande son de chacun des sept plan-sequences nous emméne effectivement ailleurs. Ainsi le temps qui se dilate sur les 7 minutes qui précèdent l’événement est lourd d’une diffraction de l’espace qui induit aussi une diffraction des récits et qui suggère par conséquent l’idée d’une diffraction du temps lui- même. Le visiteur que nous sommes se voit confronté à une multiplicité dont il saisit l’ampleur sans pouvoir en cerner le détail, ou inversement. Source > pages 8 et 9 : https://www.lefresnoy.net/sites/prod/files/2015/downloads/basic-page/dossiers-pedagogiques//dossier-pedagogique-ficcionario-diaz-morales-web.pdf
La Polyvision, espoir oublié d’un cinéma nouveau Jean-Jacques Meusy https://journals.openedition.org/1895/68 L’idée du triple écran ou « Polyvision », tel que les spectateurs de 1927 ont pu le découvrir dans Napoléon, émanait d’un réalisateur qui se déclarait poète, Abel Gance, et nullement d’un technicien ou d’un ingénieur. (...) Au contraire, ce sont uniquement des considérations d’ordre artistique qui ont incité le réalisateur de la Roue à faire éclater l’écran traditionnel en trois images distinctes qui se raccordent en un vaste panorama lorsque culmine le souffle épique de l’œuvre, telles des rivières unissant leur impétuosité pour former un large fleuve dont les eaux assagies et puissantes se dirigent vers l’immensité de la mer. (...) Dès lors que le cinéma narratif a abandonné le plan unique de ses débuts – relation en durée réelle d’une action généralement unique se déroulant en un lieu unique – dès lors qu’il a voulu raconter des histoires complexes, il s’est trouvé confronté au problème du mode de représentation d’actions multiples se déroulant en des lieux et des temps eux-mêmes multiples. La trame spatio-temporelle du récit, composée de fils savamment entremêlés, ne semblait pouvoir être restituée au cinéma que séquentiellement, compte tenu du déroulement linéaire du matériau filmique et de l’unicité spatiale de sa représentation, limitée à un seul écran rectangulaire. (...) La surimpression a été utilisée très tôt, mais pas toujours pour faire éclater les conventions de représentation de l’espace-temps. Souvent elle a servi à montrer l’invisible, par exemple les pensées intimes des individus ou leurs rêves. Ainsi dans Histoire d’un crime (Ferdinand Zecca, 1901), le condamné à mort, endormi dans sa cellule, revoit en rêve les jours heureux de son enfance auxquels le spectateur est convié grâce à une surimpression (ce qui est aussi, au second degré, une incursion dans un autre espace-temps permis par le rêve et secondairement par sa représentation à l’écran, la surimpression). Le fractionnement de l’écran (split screen) a été et est encore parfois utilisé pour montrer simultanément des scènes généralement corrélées mais se déroulant en des lieux distants. Ainsi, sous une forme élémentaire, deux personnes qui sont en conversation téléphonique peuvent apparaître sur deux parties de l’écran et le spectateur voit ainsi les expressions de la personne qui parle en même temps que les réactions de son interlocuteur. L’écran divisé sert aussi à montrer des scènes appartenant à un autre couple « espace-temps ». Dans la première version de J’accuse (1919), Abel Gance montre sur la partie supérieure de l’écran les soldats harassés avançant en désordre, tandis qu’on voit dans la partie inférieure le déroulement impeccablement orchestré des fêtes de la Victoire sur les Champs-Élysées. (...) La Polyvision est donc à la fois la confrontation simultanée des images entre elles et leur union pour former un immense panorama comme le fera plus tard le Cinérama en utilisant d’ailleurs les mêmes principes techniques. Abel Gance laissait plutôt entendre que les « triptyques-panoramas », puis les triptyques à images inversées (comme vues dans un miroir) étaient nés d’une réflexion purement cinémato- graphique : Citation : " Quand j’ai fait Napoléon, je me sentais comme quelqu’un dont on a lié les bras et qui voudrait sortir ses bras des liens qui l’entourent. Et je me disais : mais comment pourrais-je présenter ces scènes, que les gens soient assez pris, qu’ils soient assez nombreux, que j’aie un champ immense, parce que plus j’aurai un champ immense, plus les gens devront être loin, et finalement je perdrai par l’éloignement ce que je gagnerai par le nombre, et je n’aurai pas du tout la sensation que je cherche. Et brusquement l’idée m’est venue : mais si j’avais un écran à droite et un écran à gauche, agrandissant mon champ visuel, c’est-à-dire me donnant trois fois la grandeur de l’image, alors je pourrais avoir un écran panoramique de mes soldats, quand j’ai besoin de soldats, qui aurait infiniment plus de puissance que ce que je pourrais avoir en une seule image en les éloignant… Et l’idée m’est venue primitivement de l’écran panoramique qui était en somme le grand écran de Napoléon. Ensuite, au montage, je me suis aperçu que si je montais l’image centrale, où Napoléon réfléchissait à la façon dont il allait diriger sa campagne, et que si je voyais en même temps à gauche ses armées descendant d’une colline par exemple, et que si j’inversais l’image de gauche par rapport à celle de droite, la même image d’armée descendant de cette colline, j’avais comme une architecture mouvante merveilleuse, tandis que lui, au centre, continuait ses rêves de construction de l’Europe d’alors… " Le Bureau des Rêves perdus d’Abel Gance, 20 décembre 1956, émission radiophonique de Louis Mollion réalisée par Albert Riera (Texte publié dans l’Écran n° 3, avril- (in : mai 1958 et cité par Roger Icart dans Abel Gance, Lausanne, l’Âge d’Homme, 1983, p. 185).
Notion Références iconographiques liées au cours d’arts plastiques / Document de travail à usage pédagogique et non commercial à destination de stagiaires de l'éducation nationale de la région normande / 2019
Enseignement des arts plastiques & pratique numérique ENJEUX MAJEURS
L’enseignant d’arts plastiques : Sensibilisera les élèves aux enjeux de « l’éducation aux médias et à l’information », enrichie de pratiques sensibles et réflexives. Questionnera la « production esthétique du regard et du corps ». Donc appréhende le numérique dans son pouvoir de transformer notre relation à l’artiste, à l’œuvre, au spectateur, à l’art. Fera appréhender aux élèves le numérique qui se manipule et s’interroge dans une intention artistique. Veillera à définir la plus value apportée par le numérique. Demandera : « de quelle manière le numérique réactive t-il à la fois nos gestes artistiques (en tant que processus) et à la fois l’expérience sensible du spectateur (en tant qu’expérience) ?
HYBRIDER Métamorphoser > 1+1=3 Translocaliser < > relocaliser Dématérialiser < > rematérialiser RÉFÉRENCES ARTISTIQUES
Modèle Prénom NOM artiste tte œuvre source: http://www.lien Références iconographiques liées au cours d’arts plastiques / Document de travail à usage pédagogique et non commercial à destination d’élèves du secondaire réalisé par M. BRISSIER ac-Caen.fr / 2019
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