EMBRASSE-MOI SUR TA TOMBE 2 - 20 FÉVRIER 2022, 20H30 UNE PIÈCE DE JEAN-DANIEL MAGNIN - Document sans nom
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DOSSIER DE PRESSE CRÉA TION EMBRASSE-MOI SUR TA TOMBE UNE PIÈCE DE JEAN-DANIEL MAGNIN INSPIRÉE DU SCÉNARIO DE MARYAM KHAKIPOUR MISE EN SCÈNE JEAN-DANIEL MAGNIN ET MARYAM KHAKIPOUR AVEC CHRISTINE MURILLO, RENÉ TURQUOIS HÉLÈNE VIAUX, BENJAMIN WANGERMÉE 2 – 20 FÉVRIER 2022, 20H30 GÉNÉRALES DE PRESSE : MERCREDI 2, JEUDI 3 ET VENDREDI 4 FÉVRIER À 20H30 CONTACTS PRESSE HÉLÈNE DUCHARNE RESPONSABLE PRESSE 01 44 95 98 47 H.DUCHARNE@THEATREDURONDPOINT.FR ÉLOÏSE SEIGNEUR CHARGÉE DES RELATIONS PRESSE 01 44 95 98 33 E.SEIGNEUR@THEATREDURONDPOINT.FR CLÉMENCE MARY ASSISTANTE DU SERVICE PRESSE 01 44 95 58 92 C.MARY@THEATREDURONDPOINT.FR
À PROPOS Le fils, agent de sécurité à l’aéroport, est licencié sans raison et chassé par sa femme. Il flirte avec les idées noires quand il rencontre un gars de son âge, humilié comme lui par l’injustice. Le nouvel ami, prophète illuminé, l’entraîne sur les voies de la radicalisation et le goût du terrorisme. Comédie noire à échappées burlesques, la pièce bifurque avec le clivage mental d’une mère aimante. C’est elle, Christine Murillo, par sa drôle de folie, qui va contrecarrer les plans maléfiques des petits poseurs de bombes. Directeur littéraire du Rond-Point, Jean-Daniel Magnin s’inspire d’un scénario de Maryam Khakipour. Il compose avec elle une farce trempée d’acide où les individus se dédoublent pour ne pas sombrer dans le désespoir et les actes barbares.
CRÉATI EMBRASSE-MOI SUR TA TOMBE ON UNE PIÈCE DE JEAN-DANIEL MAGNIN INSPIRÉE DU SCÉNARIO DE MARYAM KHAKIPOUR MISE EN SCÈNE JEAN-DANIEL MAGNIN ET MARYAM KHAKIPOUR AVEC CHRISTINE MURILLO............LA MÈRE RENÉ TURQUOIS...................LE FILS HÉLÈNE VIAUX....................LA VOISINE BENJAMIN WANGERMÉE........LE RECRUTEUR SCÉNOGRAPHIE JANE JOYET LUMIÈRES LÉANDRE GARCIA-LAMOLLA CRÉATION VIDÉO OLIVIER ROSET CRÉATION SONORE STÉPHANIE GIBERT PRODUCTION ANTISTHÈNE, COPRODUCTION THÉÂTRE DU ROND-POINT, SÉMIRAMIS, CIE O T’AIM, THÉÂTRE DU CROCHETAN — MONTHEY (SUISSE), LA MAISON — NEVERS — SCÈNE CONVENTIONNÉE ART EN TERRITOIRE LE TEXTE A BÉNÉFICIÉ DE SÉANCES DE TRAVAIL ET DE MISES EN ESPACE PUBLIQUES AU FESTIVAL NAVA — LIMOUX 2017, DE LECTURES PUBLIQUES AU THÉÂTRE DU ROND-POINT EN DÉCEMBRE 2017 ET AU THÉÂTRE DES HALLES EN JUILLET 2019 LE TEXTE DE LA PIÈCE EST ÉDITÉ PAR LÉA (LES ÉDITIONS ANTISTHÈNE). DURÉE ESTIMÉE : 1H10 EN SALLE JEAN TARDIEU (176 PLACES) 2 – 20 FÉVRIER 2022, 20H30 DIMANCHE, 15H30 — RELÂCHE LES LUNDIS GÉNÉRALES DE PRESSE : MERCREDI 2, JEUDI 3 ET VENDREDI 4 FÉVRIER À 20H30 PLEIN TARIF SALLE JEAN TARDIEU 31 ¤ TARIFS RÉDUITS : GROUPE (8 PERSONNES MINIMUM) 23 ¤ / PLUS DE 60 ANS 28 ¤ DEMANDEURS D’EMPLOI 18¤ / MOINS DE 30 ANS 16 ¤ / CARTE IMAGINE R 12 ¤ RÉSERVATIONS 01 44 95 98 21 - THEATREDURONDPOINT.FR - FNAC.COM
ENTRETIEN AVEC JEAN-DANIEL MAGNIN ET MARYAM KHAKIPOUR Quel était le point de départ du scénario de LA MÈRE : Mon prince. Aujourd’hui c’était Maryam ? Le déclic ? notre anniversaire de mariage. J’aimerais Maryam Khakipour : Au départ il y a l’histoire de ma mère à Téhéran, qui m’a inspiré un scénario que tu dormes avec moi. que j’espère pouvoir tourner un jour là-bas. Mon LE FILS : Maman s’il te plaît. frère avait perdu son boulot, il avait été mis à la LA MÈRE : J’aimerais que tu ne retournes porte par sa femme et ses propres enfants. Il a trouvé refuge chez notre mère. Impuissante devant plus au cimetière. cette chute que vivait son fils, ma mère voit un Elle lui caresse la main. jour dans le linge sale une chemise ensanglantée. LE FILS : Ça suffit. Elle a eu un choc émotionnel en comprenant que son fils avait tenté de mettre fin à ses jours. LA MÈRE : Je sais que tu es mort il y a dix- C’était heureusement sans gravité, mais du jour au neuf ans mais à présent tu es revenu. Tu es lendemain elle a pris son fils pour son mari, décédé si beau. Tu ne sens ni la terre ni les cendres. depuis de nombreuses années. Papa était revenu du cimetière pour remettre les choses à l’endroit. LE FILS : Laisse-moi, je suis fatigué, j’ai Le plus extraordinaire c’est qu’elle avait conservé conduit toute la journée. toute sa tête, sauf que désormais il n’y avait plus LA MÈRE : Arrête ça ! deux, mais trois personnes à la maison. Cela a duré quelques mois, le temps que son fils résolve La mère le gifle. ses problèmes. Ce jour-là papa est retourné au LE FILS : Qu’est-ce qui te prend ? cimetière, tout simplement. LA MÈRE : Cette phrase je l’ai entendue Quel est le sujet ici ? La radicalisation ? La chaque fois que tu revenais à la maison. folie d’une mère ? Le dédoublement des LE FILS : Maman pour te faire plaisir je me personnalités ? lève à l’aube. Je fais le taxi jusqu’à minuit. Je Maryam Khakipour : Le sujet c’est l’amour, un amour démesuré à l’antique, l’amour et la suis crevé. Et là on a roulé depuis ce matin. crainte d’une mère qui voit son fils basculer vers Je suis crevé de crevé. le pire, l’échappée poétique qu’elle va trouver LA MÈRE : Oui crevé crevé, un bonhomme pour dépasser son impuissance, et par là-même crevé qui a trop fait la java, j’ai toujours eu sauver son vieil enfant, puisque le fils aura bientôt droit à une loque dans mon lit. Tu n’aurais quarante ans. Elle n’est pas folle, elle a en elle un amour infini, plus grand que la mort, un amour jamais dû revenir. capable de faire revenir du cimetière ce père qui Elle se couche en lui tournant le dos. avait été si peu présent du temps de son vivant. LE FILS : Boude pas à présent. Jean-Daniel Magnin : Adaptée à nos contrées, cette histoire a vite percuté la question de la Pas de réponse. radicalisation. Quel plus grand danger pour une mère que de voir son fils prêt à mourir et à faire mourir, pour des idéaux qui l’excluent à jamais EXTRAIT de la société ? Même si elle ne le discerne pas tout à fait, c’est cet engrenage qui est en train d’aspirer son fils, de le faire disparaître à ses yeux. Grâce à l’illusion qu’elle projette, la mère va se défendre et réussira à sauver son enfant de ce piège. Elle invente une situation très puissante où le fils va être obligé de s’occuper d’elle, une espèce de conte de fée qu’elle va opposer au scénario noir du recruteur en train de manipuler la détresse de son fils. Qu’elle va ainsi aider à être enfin un homme. Le Ichspaltung, c’est quoi ? Est-ce la clé de la pièce ? Maryam Khakipour : Dans la pièce le fils dit qu’il est allé consulter un psychiatre au sujet de sa mère et que celui-ci a diagnostiqué un clivage du moi – Ichspaltung en allemand : une partie seulement de la conscience est affectée, pour une période qui peut être brève ou permanente. Cela est indiqué en passant pour rassurer le public sur la vraisemblance d’un tel mouvement psychologique. De mon côté, dans la réalité, j’avais évité d’emmener ma mère chez le médecin. J’avais compris qu’elle avait trouvé inconsciemment un biais salvateur et qu’il fallait lui faire confiance.
Qui a décidé du titre ? Jean-Daniel Magnin : Comme bien souvent, c’est l’écriture elle-même qui amène le titre : « Embrasse-moi sur ta tombe », c’est une réplique que la mère répète plusieurs fois vers la fin de la pièce. On peut y entendre une sorte de danse avec la mort. La danse affreuse du terrorisme vers lequel le fils semble se diriger pour laver l’affront des humiliations sociales subies. Mais aussi, irrésistible, la danse de l’amour avec la mort, car l’amour de la mère pour son fils va au-delà de toute convention ou morale, enjambe la tombe du père, attend l’étreinte du fils, dans l’espoir de le maintenir au sein des vivants. Le théâtre tragique est habitué à fréquenter ces eaux. Disons que notre spectacle en assume la part mélodramatique et comique, à travers un quiproquo poussé jusqu’au burlesque. Vous mettez en scène une chronique familiale ? Un drame noir ? Une comédie féroce ? Jean-Daniel Magnin : Notre précédente création, Dans un canard, exploitée principalement au Théâtre Rond- Point puis au Théâtre des Halles il y a deux ans, abordait déjà un sujet grave, très grave, mais sous la forme d’un récit à la limite de l’absurde où les rires étaient bienvenus — et ils étaient au rendez-vous : la souffrance au travail, le suicide en entreprise. À l’issue du spectacle, les rencontres et débats avec des salariés, de futurs apprentis, des DRH, syndicalistes et psychologues du travail nous ont convaincu de la force que peut avoir une fable pour défaire les appréhensions et lâcher la parole. C’est ce que nous tentons pour cette nouvelle pièce dont le texte a été retravaillé au fil de lectures publiques où chaque fois les retours nous ont encouragé à persévérer. Ici, il s’agit donc de la résilience d’un fils qui, sans la folie de sa mère, aurait pu verser dans la radicalisation. Nous avons mené une enquête sur les petits recruteurs autoproclamés, jeunes révoltés contre les inégalités et les portes injustement fermées sur leur chemin, qui ruminent dans leur coin leur jonction avec la vague terroriste, et qui, sans réseau, sans connaissances doctrinales, veulent passer du côté de l’horreur pour se faire voir ou entendre. Ils bricolent leur radicalité et cherchent à y entraîner des frères de condition. Sans entrer dans l’analyse complexe de ce type de radicalisation, la pièce va faire se télescoper un tel processus avec un élément surprise – la lubie de la mère – ce qui provoque une forme de comédie de plus en plus décalée et, je l’espère, libératoire. Maryam Khakipour : À travers cette histoire, nous essayerons de dire une chose simple, si simple qu’elle en paraîtra mélo, une chose qu’on perd parfois de vue tant elle est évidente : la vie vaut mieux que la mort. Le personnage de la voisine est là pour nous le rappeler avec candeur. Comment avez-vous travaillé l’espace où la pièce se joue ? Jean-Daniel Magnin : L’espace a joué un rôle clef dans l’écriture : entrées et sorties, des portes claquent, et puis le recours à la vidéo : les tournages effectués par le recruteur, les échanges visiophones par portables, les rêves des personnages, le road movie avec la mère. Il y a l’espace de vie et celui de leurs projections, des scénarios qu’ils se racontent… Maryam Khakipour : Les trois personnages qui entourent le fils se font chacun un film sur lui. Le fils est désorienté, sans cap, ouvert aux quatre vents. Il est la matière brute sur laquelle s’impriment les désirs : il y a le film, violent, dévastateur, que se fait le recruteur perçu par le fils comme un envoyé céleste ; celui de la mère dont nous venons de parler ; et celui de la voisine qui fantasme de reconstruire sa vie avec cet homme au destin si proche du sien. Jean-Daniel Magnin : Pour ouvrir la réflexion sur le décor, que nous imaginons moins réaliste que ne le sont le jeu et les dialogues, nous avons eu la chance de collaborer avec l’école de scénographie Hourdé. La classe de 4e année dirigée par Rodolfo Natale a ainsi élaboré une dizaine de projets de décors et costumes qui nous seront très utiles pour déplier bon nombre de questions liées à l’espace de la pièce. Mais la réflexion proprement dite viendra de la rencontre avec la scénographe Jane Joyet dont nous aimons l’invention et la fantaisie. Maryam Khakipour : Il y aura aussi, très important, le regard du vidéaste Olivier Roset qui nous fera entrer dans les rêveries et les errances de nos personnages. Quelle est votre priorité de metteurs en scène ? Qui fait quoi ? Comment travaillez-vous ? Maryam Khakipour : Nous partageons le plus de choses possibles, et il sera difficile de dire à la fin qui a fait quoi. Jean-Daniel Magnin : Disons pour te répondre que si je suis très attentif à la dimension comique du texte et à la manière de la faire passer dans le jeu, Maryam est quant à elle plus sensible aux émotions, à la profondeur des enjeux et sait mieux que moi en parler aux acteurs. Et puis elle a eu cette rencontre formidable avec une troupe de Commedia dell’ arte iranienne, qu’elle avait filmée et fait venir au Théâtre du Soleil et en Europe. Ce rapport à un comique populaire sera très précieux pour mettre en scène notre histoire. Maryam Khakipour : Nous avons la chance d’avoir pu réunir une distribution idéale, avec de vraies «natures» de comédiennes et comédiens, chacun d’un seul tenant, bêtes de scène à même de porter toute la naïveté de cette histoire de résilience et d’amour. Avec eux, nous miserons avant tout sur le jeu, que nous voulons le moins formel possible, en privilégiant l’émotion, le rythme, la générosité. Nous ne nous interdirons pas d’aller à la limite de la parodie. PROPOS RECUEILLIS PAR PIERRE NOTTE
JEAN-DANIEL MAGNIN TEXTE ET MISE EN SCÈNE Après avoir préparé avec Jean-Michel Ribes le projet du Rond-Point, il en devient le directeur littéraire, y anime la revue ventscontraires.net et programme le festival Nos disques sont rayés. Il a écrit une vingtaine de pièces éditées par Actes Sud, Théâtrales, Lansman, Léa, et créées dans le IN d’Avignon, à la Comédie-Française, aux Théâtres de la Renaissance, de la Bastille, du Rond-Point, à l’Opéra de Massy ou à l’étranger. Il a écrit et mis en scène des spectacles aux festivals de Nancy, Avignon In, Sarrebruck, Polverriggi, à la Manufacture de Mulhouse et a présenté, en 2017, Dans un canard au Rond-Point et au Théâtre des Halles Avignon, après avoir fondé la compagnie O t'aim avec Maryam Khakipour. Il est actuellement en création d'un nouveau spectacle, Fast Romance. REPÈRES BIOGRAPHIQUES SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT 2022 Nos disques sont rayés #5 – Que demandent les peuples ? 2019 Nos disques sont rayés #4 – Réparer le monde 2018 Nos disques sont rayés #3 – Festival citoyen des "périféeries urbaines" 2017 Nos disques sont rayés #2 Dans un canard de et m.e.s Jean-Daniel Magnin 2016 Nos disques sont rayés – Quinze jours sur les blocages français 2010 Portraits de monstres de Jean-Michel Ribes, Pierre Notte, Philippe Minyana, Jean-Daniel Magnin 2009 Cabinet de curiosités de Jean-Daniel Magnin 2006 Léviathan Coccyx de Jean-Daniel Magnin, m.e.s Agathe Alexis 2005 La Baignoire et les deux chaises, écriture collective, m.e.s Gilles Cohen 2003 Texte Nu : Le Monde plat de Jean-Daniel Magnin
MARYAM KHAKIPOUR SCÉNARIO ORIGINAL ET MISE EN SCÈNE Après les cours du Conservatoire d’art dramatique en Iran et son engagement comme actrice au Théâtre de la Ville de Téhéran, elle arrive à Paris en 1982. Elle suit les cours de L’École Lecoq et du Conservatoire supérieur d’art dramatique, puis enseigne le théâtre, anime des ateliers autant auprès des écoles, collèges, lycées qu’avec des amateurs. Elle collabore pour les manifestations de l’an 2000 avec le plasticien Jochen Gerz. Siah Bâzi, les ouvriers de joie, son premier film documentaire, est primé et sélectionné dans de nombreux festivals. Après l’avoir vu, Ariane Mnouchkine lui propose de présenter le film au Théâtre du Soleil, suivi du spectacle interprété par la troupe iranienne du film. Le spectacle tourne pendant deux ans : Théâtre national de Belgique, Théâtre national populaire de Villeurbanne, Centre dramatique national de Châteauvallon, Festival Bello Horizonte Brésil, Festival de Liège, Théâtre Saint-Gervais de Genève. Shadi, son deuxième film documentaire, est primé à Clermont-Ferrand, à La Rochelle et dans de nombreux festivals. Suit un court métrage avec Hafsia Herzi, Un vrai job, produit par la Télévision Suisse Romande. En 2017, elle crée avec Jean-Daniel Magnin la compagnie de théâtre O t'aim. REPÈRES BIOGRAPHIQUES SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT 2017 Dans un canard de et m.e.s Jean-Daniel Magnin 2007 Siah Bâzi, les ouvriers de joie de Maryam Khakipour 2005 Film : Siah Bâzi, les ouvriers de joie de Maryam Khakipour
CHRISTINE MURILLO INTERPRÉTATION / LA MÈRE Issue du Conservatoire national supérieur d’art dramatique, elle a été sociétaire de la Comédie-Française, a tourné dans une trentaine de longs métrages (Baer, Lévy, Ribes, Balasko, Dupontel, Goupil, Kaurismäki, Mordillat, Mnouchkine, Oury, Vecchiali, Serreau...), joué une cinquantaine de spectacles (Fau, El Azan, Didym, Pelly, Tordjman, Kerbrat, Nichet, Françon, Weber, Jourdheuil-Peyret, Bénichou, Konchalovski, Arias, Régy, Lassalle, Vincent, Roussillon...) pour lesquels elle a raflé trois Molières. Avec ses comparses Grégoire Œstermann et Jean-Claude Leguay elle a écrit les 4 tomes du Baleinié Dictionnaire des tracas et les spectacles Xu, Oxu et Ugzu qui en ont découlé. En 2020, Christine Murillo obtient le Molière de la Comédienne dans un spectacle de Théâtre public. REPÈRES BIOGRAPHIQUES DEPUIS 2008 THÉÂTRE CINÉMA 2020 La Mouche de George Langelaan, 2017 Knock de Lorraine Lévy m.e.s Valérie Lesort et Christian Hecq Salauds de pauvres de Jean-Claude Deret Ouvert la nuit de Edouard Baer 2017 Le Tartuffe de Molière, m.e.s Michel Fau 2014 Brèves de comptoir de Jean-Michel Ribes 2016 Chinoiseries de Évelyne de la Chenelière, m.e.s Nabil El Azan 2013 Demi-soeur de Josiane Balasko Alceste à bicyclette de Philippe Le Guay 2013 Les Pâtissières de Jean-Marie Piemme, Le Grand Retournement de Gérard Mordillat m.e.s Nabil El Azan Ugzu de et avec Jean-Claude Leguay, 2008 Le Vilain d’Albert Dupontel Christine Murillo, Grégoire Œstermann 2012 Résumons-nous d’Alexandre Vialatte, SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT m.e.s Charles Tordjman 2015 Cabaret Deret Soirée orchestrée par 2011 Chroniques d’une haine ordinaire Jean-Claude Deret de Pierre Desproges, m.e.s Michel Didym 2013 Ugzu de et avec Jean-Claude Leguay, 2010 Funérailles d’hiver de Hanokh Levin, Christine Murillo, Grégoire Œstermann ad. Laurence Sendrowicz, m.e.s Laurent Pelly 2010 Funérailles d'hiver de Hanokh Levin, m.e.s Laurent Pelly 2009 Oxu 2 de et avec Jean-Claude Leguay, Christine Murillo 2009 Oxu 2 de et avec Jean-Claude Leguay, Oxu de et avec Jean-Claude Leguay, Christine Murillo Christine Murillo, Grégoire Œstermann Oxu de et avec Jean-Claude Leguay, Vers toi terre promise Christine Murillo, Grégoire Œstermann de Jean-Claude Grumberg, Vers toi terre promise m.e.s Charles Tordjman de Jean-Claude Grumberg, Oxu B de et avec Jean-Claude Leguay, m.e.s Charles Tordjman Christine Murillo Oxu B de et avec Jean-Claude Leguay, Christine Murillo 2008 Deux petites dames vers le nord de Pierre Notte, mise en scène Patrice Kerbrat
RENÉ TURQUOIS INTERPRÉTATION / LE FILS Après le conservatoire de Tours puis à l’École de la Comédie de Saint-Étienne sous la direction de Jean-Claude Berutti, puis d’Arnaud Meunier, il est l’interprète de Michel Raskine, Robert Cantarella, Arnaud Meunier, Catherine Hiegel. On l’a particulièrement remarqué dans Chapitres de la Chute de Stefano Massini joué au Théâtre du Rond-Point par Arnaud Meunier et dans les spectacles de Valère Novarina. REPÈRES BIOGRAPHIQUES DEPUIS 2011 THÉÂTRE 2019 L’Animal imaginaire de et m.e.s Valère Novarina Cosmik Debris conception et m.e.s Paul Schirck 2017 Maldoror/Chant 6 du Comte de Lautréamont, m.e.s Michel Raskine Cyrano d’Edmond Rostand, m.e.s Lazare Herson-Macarel 2016 Les Femmes savantes de Molière, m.e.s Catherine Hiegel 2015 Le Vivier des noms de et m.e.s Valère Novarina Le Retour au désert de Bernard-Marie Koltès, m.e.s Arnaud Meunier 2013 Chapitres de la chute de Stefano Massini, m.e.s Arnaud Meunier 2012 Un jeune se tue de Christophe Honoré, m.e.s Robert Cantarella L’Atelier volant de et m.e.s Valère Novarina 2011 Don Juan revient de guerre de Ödön von Horváth, m.e.s Michel Raskine Introspection d’après Peter Handke, conception Gwenaël Morin SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT 2013 Chapitres de la chute de Stefano Massini, m.e.s Arnaud Meunier 2012 L’Atelier volant de et m.e.s Valère Novarina
HÉLÈNE VIAUX INTERPRÉTATION / LA VOISINE Comédienne issue de l’école nationale supérieure des arts et techniques du théâtre, elle étudie l’art du clown auprès de Vincent Rouche et Anne Cornu. Au théâtre, elle joue sous la direction de Nicolas Klotz, Pierre Pradinas, Julie Brochen, Alice Laloy, Jean-Michel Ribes et crée plusieurs spectacles. Au cinéma avec Emmanuelle Cuau, Jeanne Biras, Richard Bean, Guillaume Nicloux, Anne Villacecque, Max Hureau. Elle est également autrice, compositrice et interprète et donne des concerts dans divers cabarets parisiens et festivals. REPÈRES BIOGRAPHIQUES CINÉMA 2014 Brèves de comptoir de Jean-Michel Ribes 2008 P.J. de Michelle Podroznik, Frédéric Krivine 2007 Leur morale… et la nôtre de Florence Quentin Très bien, merci d’Emmanuelle Cuau La Clef de Guillaume Nicloux 2004 À l’est de Walbrzych de Max Hureau Insurrection / Résurrection de Pierre Merejkowsky 2002 Play Back de Richard Bean Une affaire privée de Guillaume Nicloux 2000 Petite Chérie d’Anne Villacèque THÉÂTRE 2011 Batailles de et m.e.s Alice Laloy 2009 Les Nouvelles Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio, ad. Jean-Michel Ribes, Jean-Marie Gourio, m.e.s Jean-Michel Ribes Un garçon impossible de Petter S. Rosenlund, m.e.s Jean-Michel Ribes SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT 2009 Les Nouvelles Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio, ad. Jean-Michel Ribes, Jean-Marie Gourio, m.e.s Jean-Michel Ribes Un garçon impossible de Petter S. Rosenlund, m.e.s Jean-Michel Ribes
BENJAMIN WANGERMÉE INTERPRÉTATION / LE RECRUTEUR Pendant ses études au Conservatoire national supérieur d’art dramatique avec Jean-Damien Barbin, il étudie le chant et le violon, tourne dans de nombreux films. Au théâtre, il travaille avec Fanny Sydney, Jean-Luc Moreau, Julien Oliveri, Hans-Peter Cloos, Jean-Michel Ribes, Guillaume Delaveau, Léna Paugam, Christophe Honoré, Jean-Luc Moreau, Jacques Vincey, Alexis Michalik où il joue le rôle-titre dans Edmond. Au cinéma avec Jonathan Helpert, Jean-Jacques Eilberman, Gérard Mordillat, Aure Atika, Sarah Petit, Christophe Thomson, Nicolas Novak, Mathieu Charrier. REPÈRES BIOGRAPHIQUES THÉÂTRE CINÉMA 2019 Tout brûle, so what ? 2016 House of time de Jonathan Helpert de et m.e.s Côme de Bellescize 2014 À la vie de Jean-Jacques Zilberman 2018 Mickaël de Benjamin Wangermée, 2013 Le Grand retournement de Gérard Mordillat m.e.s Élie Triffault, Benjamin Wangermée 2009 Au voleur de Sarah Petit 2016 Edmond de et m.e.s Alexis Michalik Bus Palladium de Christopher Thomson Laisse la jeunesse tranquille de Côme de Bellescize, m.e.s Léna Paugam TÉLÉVISION 2014 Ainsi se laissa-t-il vivre 2013 Les Mauvaises Têtes de Pierre Isoard d’après Robert Walser, m.e.s Guillaume Delaveau 2010 Les Vivants et Les Morts de Gérard Mordillat Homme pour homme de Berthold Brecht, 2008 L’Affaire Bruay-en-Artois m.e.s Clément Poirée de Charlotte Brandström La Nef des fous de et m.e.s Antonin Fadinard 2007 Le Lien de Denis Malleval 2013 Et, dans le regard (d’après Les yeux bleus, Les Diablesses de Harry Cleven cheveux noirs de Marguerite Duras), m.e.s Léna Paugam 2006 Louis, enfant de la mine de Thierry Binisti Détails de Lars Norén, m.e.s Léna Paugam Simon, m.e.s Léna Paugam SUR LES SCÈNES DU ROND-POINT 2012 Nouveau Roman de et m.e.s Christophe Honoré 2016 Moi, présidente de et m.e.s Gérard Mordillat Amédée de et m.e.s Côme de Bellescize 2011 René l’énervé de et m.e.s Jean-Michel Ribes Jours souterrains d’Arne Lygre, m.e.s Jacques Vincey 2011 René l’énervé de et m.e.s Jean-Michel Ribes Les Trois sœurs d’Anton Tchekhov, m.e.s Julien Oliveri Cabale et amour de Friedrich von Schiller, m.e.s Hans-Peter Cloos 2008 Chat et souris de Ray Cooney, m.e.s Jean-Luc Moreau 2007 L’Opéra du dragon de Heiner Müller, m.e.s Joséphine Serre Si ce n’est toi d’Edward Bond, m.e.s Fanny Sidney 2002 L’Été de Romain Weingarten, m.e.s Franck Delorme
TOURNÉE 28 JANVIER 2022 MAISON DE LA CULTURE DE NEVERS AGGLOMÉRATION / NEVERS (58)
20 ANS ! RIRE DE RÉSISTANCE / SAISON 15 TOUTE LA SAISON 2021-2022 EN VENTE SUR THEATREDURONDPOINT.FR OU AU 01 44 95 98 21 SUIVEZ-NOUS #THEATREDURONDPOINT CONTACTS PRESSE HÉLÈNE DUCHARNE RESPONSABLE PRESSE - 01 44 95 98 47 – H.DUCHARNE@THEATREDURONDPOINT.FR ÉLOÏSE SEIGNEUR CHARGÉE DES RELATIONS PRESSE - 01 44 95 98 33 – E.SEIGNEUR@THEATREDURONDPOINT.FR CLÉMENCE MARY ASSISTANTE DU SERVICE PRESSE - 01 44 95 58 92 – C.MARY@THEATREDURONDPOINT.FR ACCÈS 2BIS AV. FRANKLIN D. ROOSEVELT PARIS 8 MÉTRO FRANKLIN D. ROOSEVELT (LIGNES 1 ET 9) OU CHAMPS-ÉLYSÉES CLEMENCEAU (LIGNES 1 ET 13)
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