LES COMPAGNIES LE FIL DE LA PLUME & MOVIMENTI CON ANIMA PRÉSENTENT - Fastly
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LES COMPAGNIES LE FIL DE LA PLUME & MOVIMENTI CON ANIMA PRÉSENTENT PIGMENT.S DOSSIER DE CRÉATION C O N TACT Mathilde Flament-Mouflard Adeline Bernardo cielfdlp@gmail.com compagniemca@gmail.com 06.58.24.77.35 06..35.28.31.82
PRÉSENTATION DE LA CRÉATION 'Au commencement était le sombre, l'infini' C’est ainsi que commence ce spectacle, fruit d’une écriture contemporaine où la danse se mêle à la parole. Un spectacle qui n’est ni une pièce de théâtre, ni une représentation de danse mais le mariage des corps et des paroles qui évoluent ensemble autour d’une problématique commune : celle de notre jeunesse en 2020. C’est à travers la danse, la musique et les textes que les artistes évolueront au plateau, mêlant le corps à la parole, la parole au corps jusqu’à ce que le geste vienne remplacer le mot. La quasi-totale absence de ponctualité et la mise en page sont à elles-seules des indications aux comédiens, au travail du texte et de la langue. Avec Adeline Bernardo, nous avons un réel désir de travailler avec des artistes « pluridisciplinaires » danseurs, chanteurs, comédiens, afin de faire se rencontrer différentes disciplines qui viendront s’articuler ensemble autour d’un même projet, à travers une parole chorale.
Evoluer avec le groupe dans un travail de chœur, avoir une parole anonyme qui jaillit d’un ensemble, superposer le texte au mouvement. Chercher avec les corps comme on cherche avec les mots, mener la quête autour de la collectivité en opposition à l’individu (au sens individuel, singulier), comment chacun tente de trouver et de faire sa place dans ce monde qui l’entoure… Ce sont là les lignes directrices de cette création, aussi parce que c’est ce que nous traversons actuellement, dans nos travaux et nos quotidiens, nos lectures, les spectacles que l’on va voir, tout ce qui nous influence Ce spectacle est né de la collaboration entre deux compagnies, Le Fil de la Plume et la compagnie Movimenti Con Anima. Auteures et chorégraphes, nous avions toutes les deux le désir de parler de nos jeunesses, de nos générations à l’heure actuelle. Qu’est-ce que ça signifie, qu’est-ce que ça représente d’avoir entre 20 et 30 ans en 2020 ? Nous voulions que ce sujet soit porté au plateau par une équipe jeune, avec une écriture et des problématiques contemporaines, plongées au cœur de l’actualité : la solitude, la peur de l’avenir, la pression sociale. Il y a finalement assez peu d’artistes de nos âges qui se penchent sur ces questions et écri- vent sur le sujet : souvent, quand on parle de la jeunesse au sens large, c’est sous la plume d’un auteur qui est plus proche de la quarantaine que de la vingtaine. Alors que c’est à ce moment que tout change, tout évolue, entre vingt et trente ans. Ecrire sur ce sujet, c’est le prendre à bras le corps, quitte à perdre du recul ou se perdre au présent, mais peut-être est- ce ça aussi, avoir la vingtaine aujourd’hui : saisir la vie quand elle passe et non après-coup quand on peut l’analyser. Et pour autant, immédiateté ne rime pas forcément avec immaturité ou précipitation. Mais à travers cette pièce, il s’agissait surtout pour nous d’offrir notre jeunesse (la notre, au sens de celle que nous vivons et qui nous appartient) sans jugement ni morale. Il ne s’agit pas là de faire une généralité tout en cherchant à culpabiliser ceux qui regardent, mais de dire « voilà, nous vous présentons une part de nous, de notre jeunesse, de notre génération. A vous d’y lire l’histoire de votre choix. »
NOTE DE MISE EN SCÈNE Ce spectacle se construit à travers un prologue, deux actes et un épilogue. Comédiens, musiciens et danseurs occupent ensemble un plateau presque nu où seuls une estrade et trois portants à vêtements se font face, sur lesquels sont regroupés les costumes. J’ai le désir de travailler ainsi, de faire évoluer les artistes dans un espace épuré de décors faisant ainsi écho au texte, où tout se construit au fur et à mesure en partant d’un « rien ». ‘D’un espace vide, infini. L’action ne s’inscrit pas dans un lieu précis; si elle se déroule dans une temporalité précise – à savoir au moment même de sa représentation, aujourd’hui – le spectateur sera libre de la situer où bon lui semble. Du plateau dénué de décor, l’imaginaire peut se mettre en route / en marche / en branle, bercé par le texte, les corps en mouvements, les compositions musicales. J’ai choisi de garder les huit artistes constamment au plateau : tantôt protagonistes, tantôt observateurs, ils sont du début à la fin exposés au regard du spectateur. Je n’avais pas envie d’entrer dans la forme scénographique de la coulisse où l’artiste quitte la scène pour aller boire après une chorégraphie ou se changer entre deux répliques. Dans le propos porté au plateau, dissimuler des actions du quotidien n’avait pas de sens, au contraire. Le danseur qui va boire ou le comé- dien qui se change participent eux aussi au déroulement de l’action, tout autant que celui qui prend la parole. Dans un désir de rendre accessible la scène de théâtre en laissant la possibilité aux gestes ordinaires du quotidien d’arriver, c’est un moyen d’impliquer le spectateur en lui disant «Comédien, danseur, peut - être, mais avant tout être humain qui comme toi a soif après avoir dansé ou parlé. » Tout comme l’ abolition du Quatrième Mur, un changement de costume face public a la même signification qu’une adresse directe, droit dans les yeux. Nous sommes ensemble, tous ensemble le temps de vous raconter cette histoire. - Mathilde Flament Mouflard
NOTE D'INTENTION CHORÉGRAPHIQUE Au plateau, debout, assis, présents, danseurs et comédiens se côtoient. Les deux disciplines s’apprivoisent, tantôt s’esquivent, tantôt se retrouvent pour former une belle osmose. Les corps-danseurs s’essayent au jeu d’acteur, les comédiens mettent leurs corps au service de la danse, le temps d’une envolée, d’une course, d’un arrêt sur images. Dans cette création, il est important que le mouvement ne vienne pas singer le sens des phrases et des mots, cela serait trop attendu. Il faut aller là où le public ne nous attend pas, le surprendre, l’émerveiller, lui montrer à voir entre les lignes. Profiter des répétitions, pour laisser les corps se livrer à l’improvisation, se chercher, se trouver parfois, faire marche arrière et enfin s’emparer de cet instant magique où le corps et l’esprit se sont mis d’accord. La danse peut exprimer bien des choses, et aller bien au-delà des mots, alors pourquoi s’en priver. Laissons la couleur des mots envahir les corps, laissons les corps embellir les phrases… Jouons avec le sens qu’offre le texte, refusons parfois le mouvement afin d’éviter le trop, le surplus. Profitons de ces instants ‘crescendo’ lorsque les voix, les corps et la musique envahissent les planches, pour faire exploser la danse, faire vibrer la scène et émouvoir la salle. La danse vient alléger le texte quand le sujet traité devient trop oppressant, elle vient offrir une esquive quand le trop plein de mots a besoin de lâcher-prise. De temps à autre la danse invite la parole à entrer sur scène, la danse est ce liant, ce coup de fouet, ce hachoir, ce continium, qui de temps à autre fait du bien. La danse relève de l’indicible, le corps peut ainsi exprimer des sensations, des ressentis, des souvenirs, alors à quoi sert- il encore d’écrire ? Trop en dire sur la place du mouvement dans ce spectacle viendra détériorer l’opinion que vous vous en ferez en sortant de la représentation. Alors, laissons votre imaginaire vivre l’histoire de Pigment.s, votre vécu, votre état du moment viendront édifier ce que votre esprit a envie de voir et de ressentir. - Adeline Bernardo
POURQUOI PIGMENT.S ? 'Jouer avec les couleurs' Nous avons longtemps cherché un titre qui corresponde à ce spectacle. Qui ne soit pas explicatif ou illustratif mais qui puisse faire écho à ce que nous allions raconter. Au fil des répétitions est né, de cette nécessité de jouer avec les couleurs, Pigment.s. Les couleurs sont extrêmement présentes dans cette pièce : nous partons de tons sombres sur des corps à moitié dénudés pendant le Prologue pour amener petit à petit des touches de couleurs mat, brutes qui font référence à des couleurs terrestres, organiques comme le bordeaux, le marron, l’ocre, le rose pâle, etc. Des pigments de couleurs comme une gamme chromatique qui viennent remplacer le noir et colorer les peaux. Nous nous sommes penchées sur l’étude des couleurs afin de nourrir notre désir de partir du noir pour amener la couleur. En colorimétrie, le noir n’est pas une couleur mais dépend de la luminosité, indépendamment des teintes : le noir est à une extrémité de l’échelle de la luminosité. « Au commencement était le sombre, l’infini », il était évident que l’on commencerait dans une ambiance sombre, avec des costumes noirs qui viennent se détacher des peaux de chacun des artistes au plateau. Ensuite, au fil du texte, les couleurs s’installent peu à peu. Le terme « pigment » désigne une substance présente dans les cellules et qui leur confère leur couleur. Ainsi, la mélanine est le pigment brun qui donne sa couleur à la peau et qui influe aussi sur la couleur des yeux. Ce sont ces pigments qui façonnent nos identités, créent nos différences et nos appartenances. L’évolution des couleurs des costumes va de pair avec la création lumière, qui tient un rôle très important. Jouer avec les intensités et les contrastes, les différentes teintes des gélatines utilisées, jouant entre les teintes chaudes en opposition aux intensités froides de début de spectacle.
L'ÉQUIPE Texte et mise en scène : Mathilde Flament-Mouflard Chorégraphies : Adeline Bernardo, assistée de Marie-Camille Bouvier Compositions : Niccolò Romero-Passerin Avec : Clara Antoons, Ludovic Bernardo, Marie-Camille Bouvier, Kostia Cerda, Alexandre Cordier, Océane Denaës, Léa Dosch, Paul Fraysse, Pierre Lamy, Alexandra Morette, Niccolo Romero-Passerin
LA COMPAGNIE LE FIL DE LA PLUME ... voit le jour dans le 12ème arrondissement de Paris en juillet 2018, à la suite de la présentation du Regard du Cygne du premier spectacle de Mathilde Flament-Mouflard, Je me suis fait prendre par l’orage. Le spectacle est programmé à la Comédie Nation pour neuf dates avant de partir en Bourgogne (89) pour jouer devant des scolaires et le public bourguignon. La compagnie tient à monter et défendre un théâtre engagé, « réveillateur » de consciences à travers des projets pluridisciplinaires afin de mêler les rencontres entre plusieurs arts, et pourquoi pas en collaboration avec d’autres compagnies pour enrichir les projets et les parcours.
Mathilde Flament-Mouflard – auteure et metteure en scène Bercée par le théâtre et les livres depuis l'enfance, Mathilde a fait ses premiers pas sur les planches au théâtre d’Auxerre, elle poursuit son parcours au Studio Evi’danse où elle prend des cours de danse et de comédie musicale, avant de partir faire ses études à Paris. En juillet 2017, elle passe l’audition d’entrée de l’Ecole Claude Mathieu et y suit une formation de comédienne. Elle travaille plusieurs techniques de jeu avec (entre autres) Thomas Bellorini, Teddy Mellis, Brigitte Boucher ou Diana Ringel. A la suite de la création de son premier spectacle ‘Je me suis fait prendre par l‘orage’, elle fonde la compagnie Le Fil de la Plume en août 2018. En juin 2019, elle termine son Master Recherche sur ‘le théâtre contemporain et la redéfinition de l'espace scénique’ et part travailler en service civique aux côtés de Catherine Anne et de Juliette Nonn pour la compagnie A Brûle-pourpoint, en parallèle du Fil de la Plume pour la saison 2019-2020. Clara Antoons – comédienne et danseuse Attirée depuis toute petite par le théâtre, Clara ne se lance qu’au lycée, en choisissant l’option théâtre. Elle fait la rencontre de Grégoire Cuvier, metteur en scène, qui la poussera à passer le casting de la série Candice Renoir en 2013 : c’est ainsi que Clara fait ses premiers pas devant la caméra. Par la suite, elle poursuit ses études à la faculté de droit, et sa licence en poche, elle se consacre enfin pleinement au théâtre en entrant à l’école Claude Mathieu en 2017. Elle fait son chemin dans le monde du cinéma, avec notamment un court-métrage de genre, Demon, dans lequel elle campe le rôle principal, mais aussi à la télévision dans les Petits Meurtres d’Agatha Christie, Nina, ou encore dans des clips comme "Movie Star" de Sam Dian, ou prochainement "Crépuscule en Mineur" d’Anthelme Dubois, tourné en pellicule. En 2018 elle monte sur les planches du théâtre Clavel avec SCUD, de Nicolas Bazin et Thomas Andrei , ou avec La résistible ascension d’Arturo Ui de Bertolt Brecht en 2019, mise en scène par Paul Fraysse, et rejoint l’équipe du Fil de la Plume pour la création en collaboration avec la compagnie Movimenti Con Anima.
Alexandre Cordier du Truel – comédien et danseur Alexandre découvre le théâtre très jeune à travers des ateliers en MJC. A 16 ans il rentre au Conservatoire de Genève et suis les cours menés d'Anne Marie-Delbart. Après l’obtention de son bac option théâtre il poursuit son parcours au Conservatoire de Genève puis entre pour une formation de trois ans à l’Ecole Claude Mathieu à Paris. En plus de la formation de l’école, il assiste Diana Ringel professeure de danse et Thomas Bellorini metteur en scène et professeur de chant avec qui il jouera dans plusieurs créations d'école. En 2018 il joue Novecento : Pianiste, l’année d’après il va approfondir le mouvement expressionniste allemand auprès de Diana Ringel en Italie. En 2019 il obtient son diplôme de formation d’acteur à l’Ecole Claude Mathieu et joue dans La Dame De Chez Maxim’ montée par Sylvie Artel (Théâtre 12, Bretonneau). Il défend un théâtre de troupe qui se veut vivant et proche des problématiques contemporaines. Parallèlement à son métier de comédien il se consacre à l’écriture et à la mise en scène et poursuit une formation d’Etudes Corporelles à l’Université S orbonne Paris 3. Il est animateur bénévole depuis 2017 dans l’association Centre De Jeunes et De Séjour Du Festival d’Avignon avec laquelle il anime les Dialogues des Ateliers de La Pensée en collaboration avec le Festival IN. Paul Fraysse – comédien et danseur Au plus profond de lui, Paul su qu’il voulait devenir comédien le jour où il vu la prestation magistrale de Bill Murray dans Lost in Translation de Sofia Coppola. Après un parcours universitaire varié (droit et médecine) il passe l'audition à l’école Claude Mathieu. Il est accepté et pendant ces trois années à l’école absorba tout ce qui pouvait l’être : travail de voix, de corps, de clown, de masque, scènes d’ensemble, travail de chœur, travail sur les vers etc… Il joua dans deux ateliers d'élèves Novecento d’Alessandro Baricco et Sixtine d’Héloïse Marty et il monte le sien en 2019 : La résistible ascension d’Arturo Ui de Bertolt Brecht, un désormais spectacle qui sera joué deux fois en mars 2020 à la MJC de Ay en Champagne-Ardenne. Fraichement sorti de l’école, il commence 2020 en jouant dans une adaptation de l’œuvre d’Andrée Chedid Le sixième jour à Catane en Italie et se consacre à deux projets visant chacun à travailler avec des jeunes et des artistes locaux d’une part au Cambodge « Antigone Voyage » et d’autre part au Bénin « Les jeunes pousses de Nati » et dont deux voyages respectifs sont prévus au 2ème semestre 2020. Fervent partisan d’un théâtre de troupe, d’un théâtre vivant et sans cesse remis en question, il décide de monter une compagnie « Compagnie Fox » avec sa bonne amie Morgane Lafont, avec qui il espère pouvoir partager l’expérience du théâtre avec le plus grand nombre, pour un théâtre à la fois divertissant et au message fort.
LA COMPAGNIE MOVIMENTI CON ANIMA ...est née de l'union créatrice de deux artistes aguerries, Adeline Bernardo et Marie-Camille Bouvier. Les deux danseuses interprètes se sont rencontrées dès leur plus jeune âge en classe danse étude au conservatoire de Chalon-sur-Saône, une petit ville située entre Dijon et Lyon en pleine région Bourgogne/Franche-Comté. Elles ont ensuite chacune suivi leur voie professionnelle, aussi bien dans la danse, que dans le théâtre, le stylisme et l'événementiel, pour se rejoindre au sein de la Cie amateure PPCC créée par Adeline à Paris il y a 5 ans. Toutes deux animées par le désir de créer l'émotion en dansant et de le faire partager autour d'elles c'est assez naturellement qu'elles ont décidés de mettre en commun leur univers et d'unir leurs efforts pour continuer à éveiller et émerveiller le plus grand nombre.
Adeline . Bernardo – chorégraphe C’est au CRR de Chalon - sur - Saône qu’ Adeline découvre la danse classique et la danse contemporaine, avant de partir se former à l’Académie Internationale de la Danse avec notamment : Floriane Blitz, Michael Cassin, Florence Crespi, Vincent Ansart, Michael Cassan, Marine Ghierlmetti (technique Graham). Elle a travaillé avec plusieurs chorégraphes : Pál Frenák, Frédéric Cellé, Nathalie Adam, François Lamargot, Stéphane Loras, Ingrid Florin ; David Drouard, etc. Avant de fonder la compagnie de danse contemporaine Pas à pas – Corps à corps en 2015, dont elle assure la direction artistique et chorégraphie les pièces d’une saison à l’autre. En juin 2019, elle obtient son Diplôme d’Etat de professeure de danse contemporaine à Choreia et fonde la compagnie Movimenti Con Anima avec Marie-Camille Bouvier. Marie-Camille Bouvier – danseuse et assistante à la chorégraphie Marie-Camille découvre la danse au Conservatoire de Chalon-sur-Saône en cursus danse étude, option danse contemporaine. Elle a ensuite suivi deux ans de formation à Montpellier dans l’école professionnelle EPSE Danse dirigée par Anne-Marie Porras et Rudy Bryans. Elle a dansé pour de nombreux chorégraphes comme Pàl Frenak, Lali Ayguadé, Corinne Lanselle, Russel Maliphant, Olga Cobos, Peter Mika, Roberto Ollivan et se forme à plusieurs techniques : Limon, Horton, danse-contact, Gaga dance et danse aérienne. Elle intègre la Compagnie Junior CobosMika en Espagne puis la Cie Francesca Selva en Italie. De retour en France, elle danse dans la Cie Pas à pas - Corps à corps d’Adeline Bernardo et obtient son Diplôme d’Etat de professeure de danse en 2018 au sein de l’ESMD Hauts-de-France- Lille dans le cadre d’un partenariat avec le CCN de Roubaix Ballet du Nord
Ludovic Bernardo - danseur Ludovic s’est formé en danse contemporaine au sein du Conservatoire de Chalon - Sur - Saône. Il a suivi un cursus en classe à horaires aménagés option danse jusqu’à obtenir son baccalauréat et son Diplôme d’Etudes Chorégraphiques en contemporain. Il a notamment travaillé avec des chorégraphes de grande renommée comme Johanne Saunier, Nathalie Adam, Frédéric Cellé. En 2014, il intègre la compagnie de danse Pas à pas - Corps à corps, puis un master en Langues, Littérature et Civilisations Etrangères du monde lusophone. Durant ses études à l’Université Paris Nanterre, il décide de participer à un atelier d’expression théâtrale bilingue franco- portugais, pour développer ses qualités artistiques et s’ouvrir au monde du théâtre. En 2019, il intègre l’école Choreia afin de préparer le Diplôme d’Etat de professeur de danse en danse contemporaine. Kostia Cerda - danseur Adolescent, il pratique le Karaté Shotokan (1er Dan) et l’Aïkido. Attiré par une recherche autant physique qu’artistique, il se tourne ensuite vers la danse Hip-Hop (New style et Break dance) et la danse contemporaine. En parallèle de ses études d’Histoire, il se forme au cirque, notamment en acrobatie et aux équilibres aux Noctambules des Arènes de Nanterre, auprès d’Ahmed Saïd et de Kim Langlet. Parti en Equateur pour ses études, il continue de se former à la voltige auprès de Luis Miguel Cajiao et où il intègre également le groupe de clown de Juan Lautero Veneziale dans lequel il s’initie au théâtre d’improvisation et au clown. Kostia a travaillé ou a traversé le travail de divers chorégraphes : Javier Perez Caicedo, Jorge Alcolea, Javier Diaz Dalannais, Tina Nasika, Tamara Gvozdenovic, etc... Entre 2017 et 2019, il est interprète dans deux projets de Théâtre- Dansé mis en scène par Magali Serra (Compagnie le L.E.D) Influencé depuis quelques années par la danse-contact improvisation et le floorwork, il développe une recherche tournée autour de l’acro-danse et du théâtre physique. Alexandra Morette – danseuse D’abord formée en danse classique, jazz puis contemporaine auprès de divers professeurs, Alexandra passe ensuite par le conservatoire rue Boulogne - Billancourt où elle travaille avec Manuèle Robert, Yorick Grand, Mélanie Hurel, Millard Hurley... Elle intègre le groupe de recherche chorégraphique proposé par le conservatoire auquel elle participe encore, qui lui permet d’approfondir le travail de création et de représentation en collectif. Elle obtient son Examen d’Aptitude Technique en danse classique et contemporaine en 2019. Sa formation en danse n’a cessé de s’intensifier au fil des années, en parallèle de ses études, elle obtient un Master de psychologie en 2018 et travaille maintenant avec une compagnie de danse en tant qu’assistante de projets. Elle danse dans la Cie Pas à pas - Corps à corps d’Adeline Bernardo depuis 2016 et poursuit son apprentissage personnel dans différentes techniques. Ses aspirations sont tournées vers l’approche de l’art chorégraphique dans son versant créatif, thérapeutique et éducatif.
Léa Dosch - danseuse Débutant sa formation en Jazz au conservatoire de Bordeaux avec Patricia Kelly, Léa décide de partir à Cergy Pontoise pour entreprendre sa licence « Lettres et Arts Vivants » option danse. Celle-ci lui permettra d’élargir sa culture générale et de s’en nourrir pour sa pratique artistique. A travers son parcours, elle est sensibilisée et amenée à pratiquer la danse contemporaine avec Agnès Grelier et Laurence Perez. En parallèle, elle se forme aux danses hip-hop et aux danses latines. Elle obtient son diplôme « LAV » en juin 2018 et entre au Pôle Supérieur de Paris Boulogne Billancourt, en DNSPD Jazz, où elle est amenée à travailler avec différents pédagogues et chorégraphes tel que Patricia Alzetta, Carl Portal, Rick Odums, Geraldine Armstrong, Magali Verin (technique Horton ) Bruce Taylor, Alain Grutadoria, Julie Sicard et d’autres encore... Tout au long de sa formation, elle suit différents stages et workshop pour s’enrichir : notamment avec des danseurs de la Batsheva (Gaga dance) ainsi qu’ avec Sherwood Chen (technique floorwork). En Juillet 2019, elle participe à la Comédie musicale « West Side Story » à l’Aren Ice de Cergy Pontoise, en tant que stagiaire assistante chorégraphique et danseuse. Ce qui lui donne goût au chant et au théâtre, elle décide de s’y perfectionner afin de compléter son panel artistique.
FICHE TECHNIQUE DU PROJET Pour le festival de danse de Beaujon, le plateau sera presque vide, à l'exception des portants qui permettront un changement de costumes. Intentions lumières et son L’essentiel de notre spectacle (ou en l’occurrence de l’extrait présenté) repose sur la création d’une ambiance sonore et des lumières. Son : en plus de la diffusion de la musique via des enceintes, nous aurions besoin de micros (main, pied ou cravate) Lumières : la création s'adapte évidemment à la disposition des projecteurs et du plateau, mais idéalement nous utiliserons des faces, des contres et une douche de lumière. Au niveau des gélatines, des lumières dans les tons froids pour commencer puis chauds (dans les jaunes/ oranges). Nous travaillons beaucoup sur le clair - obscur créé grâce aux projecteurs en accentuant les contrastes, les pleins feux et les ombres.
Et pour finir, quelques... PHOTOS DE CRÉATION
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