Ensemble, Agir pour la vie ! - Institution de Lavigny
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Ensemble, Agir pour la vie ! N°153 Bulletin d’information JUIN 2018 Plein Soleil dévoile le projet lauréat ... 20 ans après Portrait de pour construction de ses appartements protégés ! Histoires p. 7 Charlotte Cazin, des classes décentralisées, Coordinatrice « le nid » vu par Ivo Frei p. 8 d’hier à aujourd’hui du Forum de La Passerelle p. 3-4 p. 5-6 sans oublier les rubriques habituelles... La ferme de l’Institution. Le Forum de La Passerelle, centre de synergies créatives, La maison des femmes, au début du XXe siècle. en mai 2018. (crédit photo : Collection privée) Le quartier des Dalfines dans son ensemble, le lien entre l’Institution et le village de Lavigny. De gauche à droite : Forum de La Passerelle, immeubles locatifs et internat scolaire. Barbara Vanrietvelde Assistante direction générale Communication et RP Tél : 021 821 45 03
Image de synthèse du projet de quartier. La participation des jeunes dans la gestion de ce centre proposant des prestations publiques leur offre des expériences permettant des perspectives professionnelles. Un restaurant, une grande salle polyvalente, un appartement pour de ’est en 2011 que l’Institution de Lavi- jeunes adultes et un gny a lancé le projet d’étude portant centre de documentation sur la construction d’un ensemble font également partie cet urbanistique cohérent et harmonieux ensemble. pour l’implantation de logements pou- Des chambres d’hôtes vant accueillir des résidents et des seront bientôt à dispo- locataires, un futur internat scolaire sition du public et un pour nos élèves et un centre d’activités atelier du livre ouvrira pour La Passerelle. Un mandat d’étude bientôt sa presse. a été confié à trois bureaux d’archi- Après ces années de rêve, tectes et c’est le projet du bureau bunq de projet, de chantier et qui a été retenu en avril 2012. Organisé de travaux, c’est un im- autour d’une cour collective, l’ensemble mense plaisir de voir se devait s’intégrer dans la structure concrétiser ce nouveau urbaine du lieu et faire le lien entre quartier et de constater l’Institution et le village de Lavigny. que tous les rouages se Six ans plus tard, deux immeubles mettent progressivement de logement ont vu le jour, occupés en place, que la vie prend notamment par 10 résidents du dépar- possession de chaque tement hébergement socio-éducatif, recoin. Encore en phase un internat scolaire de 16 places com- de rodage, nous ou- prenant 2 appartement de transition vrirons les portes du de 3 places chacun pour les adoles- Forum cet automne, cents en formation, et le tout nouveau après la rentrée scolaire, Forum qui a pris vie depuis quelques et nous aurons plaisir semaines. L’ancienne ferme, totalement à vous faire découvrir rénovée et transformée, accueille ces magnifiques espaces notamment les classes décentralisées. et toutes ses activités créatives ! Thierry Siegrist Directeur général 2
. . . 20 ans après Histoire des classes décentralisées d’hier et à aujourd’hui Dans le bulletin d’informations du mois d’avril 2018, nous mentionnions le retour des classes décentralisées au Forum de la Passerelle. Michel Hugli, éducateur à la retraite, à La Passerelle, a accepté de nous livrer l’histoire de la première classe. Par monts et par vaux en août 1998, enseignant, éducateur et élèves partent de Lavigny à pied pour rejoindre… leur classe décentralisée située à Morges. Le 16 mars 2018, enseignants, éducateurs et élèves ont réalisé le trajet inverse pour rejoindre le Forum de La Passerelle. « Durant l’année scolaire 1997-1998, un petit groupe de profession- nels de La Passerelle se réunit sur une proposition de l’enseignante des travaux manuels pour envisager la création d’une structure décentralisée. Cette commission relève un certain nombre d’éléments qui fondent le besoin d’une classe hors institution, une classe urbaine adaptée aux élèves en fin de scolarité. La Passerelle adresse formellement un courrier au Service de l’Enseignement Spécialisé (SES) en février 1998 qui précise le projet de cette classe, ses objectifs et les moyens de les réaliser. Un poste d’enseignant et un poste d’éducateur sont nécessaires pour en assurer la conduite. Le projet est d’abord refusé par le SES puis accepté en juin 1998, quelques semaines avant la nouvelle rentrée scolaire. Un appartement est trouvé à la Place Dufour, le bail sera signé en juillet. C’est à ce moment-là, en juin, que je suis engagé en même temps que Vincent Besse, mon futur collègue enseignant avec le mandat d’ouvrir une classe hors murs de l’Insti- tution. Ce premier mandat, d’une année, a été reconduit en 1999 pour une durée indéterminée, avec pour mission de préparer l’avenir post-scolaire des jeunes confiés, de renforcer toute compétence utile à cette fin et de rendre ces adolescents autonomes le plus possible en développant une flexibilité d’esprit qui leur rendrait la formation pré-professionnelle plus accessible. La classe décentralisée avait donc été définie comme un lieu devant permettre à l’élève de passer de l’enfance à l’adolescence, en proposant un lieu, des activités, dont l’accès à de nouveaux espaces (urbain, culturel, social et professionnel), des responsabilités et des défis qui le conduise à se tourner résolument vers son avenir de jeune adulte. La pratique de cette classe allait demander à l’élève comme à sa famille un certain courage et une vraie détermination, tranchant parfois avec les croyances établies, les routines sécurisantes et un équilibre durement acquis. 3
La collaboration et la confiance entre la direction de l’école, les responsables de la classe, le jeune et sa famille était la clef de voûte de la réussite du projet scolaire de la classe décentralisée de La Passerelle. Le premier choix pédagogique a été dicté par l’urgence de la situation. Nous disposions d’un appartement vide, à Morges, sans passé scolaire, d’une enveloppe financière pour les premiers achats et d’aucune réelle expérience scolaire de référence. Qu’à cela ne tienne, nous allions construire cette classe avec les élèves et produire du sens ensemble. Quelques tables et quelques chaises, des tapis et des bibliothèques vides ont constitué les seuls outils au départ de cette aventure. Un espace quasi vierge était nécessaire pour déduire une fonctionnalité d’un besoin opérationnalisé et non l’inverse. La rentrée scolaire a eu lieu le 24 août 1998. Une semaine plus tard, nous avions décidé de participer à l’assemblée générale de l’Ecole La Passerelle, « la Karakoia » comme on l’appelait à l’époque. Cela se passait dans la grande salle du bâtiment principal de l’institution, car à l’époque la salle de psychomotricité n’existait pas. En début de rencontre, Deborah Galmiche proposa à chaque classe de se lever, chacune son tour, pour présenter élèves et responsables. Derniers levés, ce fut pour nous l’occasion de dire quelques mots sur le projet de la classe décentralisée de Morges, comme nous avions décidé de la nommer à l’époque, ce qui n’a pas changé depuis. Au sortir de l’assemblée, pour marquer le passage «d’en haut à en bas», soit de Lavigny à Morges, nous avons ressenti le besoin de descendre à pied par monts et par vaux, la période nous permettait aussi de couper à travers champs quand cela s’avérait nécessaire. Dix kilomètres pour sentir dans son corps le changement, mais aussi pour parler à bâtons rompus et réaliser que ce qui allait être vécu serait différent. En quittant la « maison-mère », après avoir traversé la cour de récréation et en empruntant le chemin qui plongeait en direction du lac, on eut soudain l’impres- sion de partir en quête de nouveaux repères. On respirait autrement, on laissait derrière soi le temps de l’enfance pour l’inconnu, l’inconnu de soi et l’inconnu des autres. Mais on était heureux et confiant. Comme souvent par la suite, le Boiron nous accompagna jusqu’au lac, et de là, le sentier des rives nous conduisit au Parc de l’Indépendance, notre future cour de récréation face à la classe. » Récit par Michel Hugli 16 mars 2018 - Pause repas à Etoy - Enseignants, éducateurs et élèves partagent ensemble ce retour sur Lavigny. 4
Portrait Charlotte Cazin Coordinatrice du Forum de La Passerelle, Centre de synergies créatives Coordinatrice du Forum de la La Passerelle, Centre de synergies créatives, mais qui se cache sous cette description de fonction ? Arrivée au 1er janvier 2018, Charlotte Cazin a accepté de nous livrer son parcours et de répondre à quelques questions. Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir le métier que vous exercez ? A vrai dire, ce sont différentes voies qui m’ont menée jusque là. J’ai un parcours varié et chaque expérience professionnelle en amenait une autre que je suivais par instinct, envie et curiosité. Mes compétences de journaliste, de réalisatrice et d’art thérapeute sont autant d’atouts acquis que je peux mettre au service de ce vaste projet qu’est le Forum. La coordination est un concept que je trouvais déjà dans mon métier de réalisatrice puisqu’un projet de film nécessite de pouvoir harmoniser les différentes ressources, compétences afin qu’elles se com- plètent, pour atteindre un même but. C’est aujourd’hui ce que je m’efforce de faire pour le Forum de La Passerelle. Nous sommes une belle équipe motivée et il nous faut trouver notre équilibre pour que nos spécificités deviennent la particularité de cet endroit. Son concept est assez unique et ce Forum est un terreau riche pour créer des synergies, pour que l’intérieur et l’extérieur en fassent un écosystème stable et vivant. C’est de l’énergie cinétique pure. Contribuer à instaurer des fondations solides, accompagner, imaginer, mettre en œuvre, associer en acceptant le surgissement de l’imprévu sont tous ces éléments de l’exploration créative qui mène parfois au beau concept de sérendipité. Je suis heureuse et fière de pouvoir être un des rouages de cette ingénierie nouvelle, expérimentale et prometteuse. Quel chemin vous a menée jusqu’à Lavigny ? Je suis venue rencontrer Déborah Galmiche pour proposer à La Passerelle des ateliers d’art thérapie puisque j’avais longtemps travail- lé, à Paris, avec la même population et après 4 ans à accompagner les addictions, je crois qu’être avec ces enfants me manquait un peu. Longtemps après, Déborah m’a appelée pour me proposer de rejoindre l’équipe en tant que coordinatrice, ce qui m’a beaucoup flattée et enjouée. C’est Déborah qui m’a menée à Lavigny, c’est son regard global sur mon parcours, mes capacités, mes expériences, plutôt que sur la case où je me trouvais à ce moment là, qui m’a offert cette opportunité et je lui en suis reconnaissante. 5
En dehors de votre travail, qui êtes-vous ? Un animal social ! J’aime la découverte, le voyage, la nature et les rencontres, les expositions et le théâtre que j’affectionne particulièrement. Je suis d’ailleurs impatiente de pouvoir emmener mes filles vivre ces moments intenses qu’offre le théâtre. Pour l’heure, nous sommes plutôt baroude en famille, au vert. Quelles impressions avez-vous de notre institution ? Je suis impressionnée par l’état d’esprit, la bienveillance, la gentillesse que j’ai rencontrés jusqu’à main- tenant. Nous avons bénéficié de beaucoup d’aides diverses au Forum et toujours avec le sourire, l’envie. C’est une fourmilière incroyablement riche et efficace qui prend soin de ceux qui l’habitent et la font vivre. Comment envisagez-vous votre fonction à l’Institution ? Comme une petite fourmi ;).Mais je crois avoir développé cette réponse dans la première question… Pour vous, que signifie « Agir pour la vie » ? En extrapolant, c’est tendre vers ce que l’être humain fait de mieux et non vers ce qu’il fait de pire. C’est être en accord avec ses principes et préserver notre terre et ses habitants. C’est sortir de sa zone de confort, l’empathie, le respect de tout être vivant. C’est penser au delà de soi. C’est, à mon sens, ce que fait l’Institution à son échelle et c’est précieux. Questionnaire de Proust Le principal trait de mon caractère : L’humour – J’aime beaucoup rire et sourire ! La qualité que je désire chez un homme : L’intégrité et le respect des femmes. La qualité que je désire chez une femme : La simplicité dans les rapports et la complicité. Ce que j’apprécie le plus chez mes amis : Mes amis, ma tribu, être soi et pouvoir tout se dire. Mon principal défaut : Être un petit taureau borné. Mon occupation préférée : Mes enfants et m’accorder du temps . Mon rêve de bonheur : Changer quelques absurdités de notre société. Le pays où je désirerais vivre : Ici et maintenant. La couleur que je préfère : Le vert. La fleur que j’aime : Toutes. L’oiseau que je préfère : Le Phoenix. Mes auteurs favoris en prose : Ils sont nombreux mais comme cela vient, j’ai beaucoup exploré l’univers de Boris Vian et je découvre en ce moment une trilogie de Ken Follett dont j’aime beaucoup la narration cinématographique. Mes compositeurs préférés : Les grands du classique, les requiem de Mozart et Campra ou les musiques empreintes d’une culture comme le jazz manouche ou le swing. Mes peintres favoris : Munch, Soulages et Friedrich. Le don de la nature que je voudrais avoir : Pouvoir l’aider à renaître et à se préserver de la destruction. Etat présent de mon esprit : Essayer de profiter de chaque instant comme si c’était le dernier mais c’est difficile. Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence : Celles qui sont reconnues. Ma devise : « Chaque jour de ta vie est un feuillet de ton histoire que tu écris ». 6
Plein Soleil dévoile le projet lauréat pour la construction de ses appartements protégés ! Fin 2016, l’Institution de Lavigny a acquis une parcelle, située à deux pas de Plein Soleil. Le but visé : la construction d’appartements protégés. Dans un secteur médico-social en pleine évolution, Plein Soleil souhaite renforcer sa mission. Cette nouvelle offre s’adressera à des personnes avec une pathologie neu- rologique, suffisamment autonomes, pour accéder à la location d’un logement. Le collège d’experts et la présidente du Conseil de Fondation Le concept développé mise, pour se différencier, sur avec le lauréat. De gauche à droite: J. Gross, A. Gallo, T. Siegrist, C. Brouyère, I. Frei, J.-G. Decosterd, F. Decroux, S. Krattinger les qualités sociales du projet. L’Institution prévoit (manque O. Thibaud) de construire un immeuble de 23 logements avec un espace communautaire et des aménagements Lors du vernissage à Plein Soleil le 17 mai extérieurs ouverts sur le quartier. 2018, sous l’égide de Christiane Brouyère, présidente du Conseil de Fondation, le Cet objet n’est pas soumis aux marchés publics. Cepen- collège d’experts a dévoilé le lauréat. dant, pour se déterminer sur l’attribution du mandat d’architecte, le Conseil de Fondation a choisi de réaliser L’Atelier nivo-o, avec son projet « le des mandats d’étude parallèles (MEP). Il s’agissait, tout nid », a été désigné pour poursuivre en respectant les contraintes fixées par le plan d’exten- l’étude en vue de la réalisation du sion, de donner une réponse aux problématiques projet. complexes suivantes : • implanter, dans un quartier construit, un immeuble Ce projet a séduit les experts par la qualité d’appartements protégés, des solutions apportées. Leur choix a été • proposer des accès et aménagements extérieurs de motivé, selon le rapport, par « une concep- qualité, tion bien développée des logements, une • concevoir des logements qui apportent une approche constructive et environnemen- réponse rationnelle au thème d’habiter avec un tale poussée et l’économie de moyens handicap. proposés ». Pour cet article, le lauréat, l’architecte Ivo Frei, a accepté de partager Le Conseil de Fondation a choisi d’inviter quatre sa perception du thème. bureaux d’architectes, ayant tous une expérience dans la construction d’appartements protégés : Par la suite, la commission de construction • Boschetti architectes, Lausanne va poursuivre avec le bureau désigné la • Jean-Baptiste Ferrari & Associés SA, Lausanne réflexion pour optimaliser le projet. • Frédéric Laurent Atelier d’architecture, Lonay Celui-ci sera soumis au Conseil de Fonda- • Atelier niv-o, architecte Ivo Frei, Lausanne tion pour validation en vue de la réalisation de la construction. Les deux ateliers d’audition des participants se sont déroulés dans une ambiance de travail constructive. A l’horizon 2021, nous visons la mise à disposition d’un nid confortable où les Pour se déterminer sur ces quatre projets de qualité, locataires se sentent en sécurité et leur le collège d’experts s’est référé aux critères du règle- permettant de tisser des liens durables. ment. La décision a été prise à l’unanimité. Sylvie Krattinger 7
« le nid » vu par Ivo Frei Vivre avec un handicap, c’est notamment être moins mobile, plus sédentaire et dépendant de la qualité et du confort de la maison pour son bien-être. Disposer d’un logement lumineux, accueillant et offrant diversité spatiale et sécurité est primordial. Le projet La parcelle est couronnée d’arbres majestueux du jardin existant. Le projet tire avantage de cette situation : par opposition à un bâtiment profond avec une distribution centrale et borgne, ici, quatre « maisons » se groupent pour générer un espace de distribution ouvert sur les arbres. Les « maisons » sont formées de dalles en béton armé, soutenues par des piliers. Ceux-ci divisent la surface en deux carrés d’environ 60 m2. Les appartements s’y installent, tel que des nids, avec des matériaux légers, naturels et assemblés à sec. Chambre et bain, disposés sur la dia- gonale, modulent l’espace jour : salle à manger et salon. De généreuses baies vitrées ouvrent les appartements sur l’extérieur et captent la lumière tamisée par les arbres. Galerie à rideau et tablette en bois équipent les baies qui deviennent objets tridimensionnels que les habitants pourront s’approprier. 8
Journée NE mondia le des Il s’est passé... d’HYGIÈ AINS M Journée mondiale de l’hygiène des mains vendre di 2018 4 AI M 13h de 9h à ée dans le de Plei s halls n Sole il & d’entr Lavigny Vendredi 4 mai 2018 à Lavigny et Plein Soleil 6 946 31 86 èree HPCI 0799 94 èr n•rmièr Giraud 1 46 40 - 07 d,, iin• aud au Michau 821 82 h - 021 ants, y ch lle G x/croiss ny. ëlle ignny gâteau ël Joë ig avig prix o : Jo urr toute @ilav d@ av , quiz et nfo déos nf iinf , vi aud ctobox au ec dida .gir .g le.g stand av le lle Pou joe Po jo Soirée de recrutement de bénévoles Mardi 6 mars 2018 Le 6 mars 2018, onze organisations et hôpitaux vaudois actifs dans les soins palliatifs (CHUV, Rive Neuve, Caritas, Ligue vaudoise contre le cancer, Institution de Lavigny avec des représentants de Plein Soleil et Lavigny-Morges,…) se sont associés pour organiser une rencontre au CHUV pour informer le public et recruter de nouveaux bénévoles. Les bénévoles auprès de personnes gravement malades, au nombre de 350 dans le canton de Vaud, sont des volontaires qui font partie inté- grante de l’accompagnement global de ces patients/résidents. Pour notre Institution, c’est plus de 50 bénévoles à Lavigny et 30 bénévoles à Plein Soleil qui oeuvrent au quotidien pour l’accompagne- ment de personnes accueillies. Jean-Michel Capt (responsable de missions, palliative vaud) : « le bénévole fait partie de la société civile et fait le lien entre le milieu hospitalier et l’extérieur. Il apporte un autre soutien qu’un professionnel. Le bénévole intervient bien en amont de la fin de vie (balades, conversation, écoute,…). Il existe une formation de 8 jours dans le canton durant laquelle les bénévoles apprennent à réfléchir et à travailler sur eux-mêmes. Tout un travail réflexif est à effectuer. Le bénévole peut soulager les proches en cas de fin de vie, par exemple en faisant des veilles. Soutien personnalisé, activités de groupe, présence dans les chambres, cela dépend de chaque association. » (extrait d’une interview donnée à la RSR le 6.03.18). Une centaine de personnes se sont déplacées lors de la soirée du 6 mars et elles furent nombreuses à laisser leurs coordonnées. Nicole Müller, responsable du bénévolat à Lavigny 9
Il s’est passé... Marché au plantes d’été 20km de Lausanne Durant 4 jours, les ateliers ont vendu les plantes Forte participation de Lavigny et de Lausanne d’été de leur propre production ! pour cette édition 2018 qui s’est déroulée les 28 et 29 avril. Fête des voisins - hébergement à Lavigny Ce 25 mai 2018, c’est sous le signe de la guinguette que le département hébergement socio-éducatif a célébré la fête des voisins. Collaborateurs et personnes accueillies se sont retrouvées autour de nombreuses animations. 10
L M M J 1 V S 2 D 3 Agenda juin 1 19.06 Office du Milieu de jour 4 5 6 7 8 9 10 23.06 Fête de la Musique à Plein Soleil 11 12 13 14 15 16 17 29.06 Fête du personnel 18 19 20 21 22 23 24 Venez nombreux et nombreuses nous rejoindre 25 26 27 28 29 30 déguisé-e ou non au Musée Olympique à Lausanne Ouchy. Inscription sur Intranet ou aux réceptions de Lavigny et Plein Soleil. Bonus Kagura Maï Dojo Lavigny Enseignement de l’Aïkido - Pratique de méditation Zazen (zen soto) www.kaguramaidojo.com Le 23 juin 2018, nous fêterons le solstice d’été. Ce sera l’occasion de pratiquer et de présenter le travail qui se déroule au sein du Kagura Maï Dojo entre méditation et Aïkido, dans la salle de psychomotricité de l’école de La Passerelle de l’Institution de Lavigny. Depuis bientôt 12 ans l’Aïkido est enseigné au sein du Kagura Maï Dojo aux adultes et aux enfants et depuis bientôt 10 ans Jean-Michel Degoumois, moine zen de l’école soto guide nos méditations. Déroulement de la matinée : 8h00 à 9h00 Méditation Zazen (pour ceux qui n’ont jamais pratiqué ce n’est pas une initiation mais vous pouvez participer à ce moment de silence) 10h00 Accueil des autres visiteurs 10h30 Pratique d’Aïkido - Démonstration 11h30 Remise des diplômes 12h00 Apéritif Renseignements : Philippe Vidon 021 821 47 46 / 079 436 51 66 www.kaguramaidojo.com / philippe.vidon@bluewin.ch Bonus collaborateurs Pour rappel, deux autres activités se déroulent dans la salle de Psychomotricité. Il s’agit des cours de Pilates donnés par Camille Chavaillaz tous les mardis entre 12h00 et 13h00 et de Vinyasa Yoga donnée par Nayky Bestenheider les mercredis entre 17h00 et 18h30. Elle sont toutes les deux physiothérapeutes au sein de l’Institution. 11
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