Lettre mensuelle Marchés et allocation - Février 2020 AVIVA INVESTORS FRANCE - Club Patrimoine

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Lettre mensuelle Marchés et allocation - Février 2020 AVIVA INVESTORS FRANCE - Club Patrimoine
AVIVA INVESTORS FRANCE

        Lettre mensuelle
        Marchés et allocation
        Février 2020

Aviva
Les marchés
Les marchés actions ont chuté en février au terme de leur plus mauvaise semaine depuis la crise financière
de 2008. Le mois avait pourtant bien débuté, les investisseurs espérant que l’épidémie de coronavirus soit
de courte durée. Mais cet espoir s’est brutalement évanoui devant l’accélération de sa propagation hors
des frontières chinoises, ravivant la crainte d’une récession mondiale. Les Bourses ont plongé en quelques
jours de plus de 10%. Sur le marché des matières premières, le pétrole a poursuivi sa dégringolade. Face
à cette onde de choc financière, les investisseurs se sont précipités sur des actifs tels que les obligations
des Etats jugés les plus sûrs, envoyant ainsi le taux des emprunts d’Etat américain à 10 ans à ses plus bas
historiques. A l’inverse, le marché du crédit, et plus particulièrement le compartiment « High Yield », a
souffert de cette flambée d’aversion pour le risque.

Performances à fin février 2020

 Actions                                                                                                  Février                           2020*
 CAC40                                                                                                      -8.55%                         -11.07%

 Euro Stoxx                                                                                                 -7.86%                          -9.45%

 S&P 500 composite en euro                                                                                  -7.66%                          -6.21%

 MSCI AC World en euro                                                                                      -7.45%                          -6.96%

 Taux                                                                                                     Février                           2020*
 Jpm Emu Government All Mat.                                                                                +0.49%                          +2.90%

 Bloomberg Barclays Capital Euro Aggregate Corp                                                             -0.40%                          +0.75%

 Bloomberg Barclays Pan European High Yield en euro                                                         -1.86%                          -1.66%
                                                                         Source : AIF au 28/02/2020, indices actions dividendes réinvestis / en euros.
                                                                                                         *Performances du 31/12/2019 au 28/02/2020.
                                                                               Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

             Actions

Wall Street a chuté en février en raison de l’accélération de la propagation de l’épidémie de coronavirus. Pendant près de trois semaines
pourtant, les indices ont progressé malgré des pics de volatilité, les investisseurs misant sur un impact négatif éventuellement fort, mais
temporaire, du virus sur l’économie mondiale. Le S&P 500 a ainsi atteint de nouveaux records au cours du mois. Tout a basculé le 20 février
et l’ampleur des baisses quotidiennes s’est ensuite accélérée à mesure que le virus gagnait du terrain dans le reste du monde, et notamment
en Europe puis, aux Etats-Unis. Un regain de prudence renforcé encore par des indicateurs économiques américains décevants, comme la
publication des indices PMI « flash » témoignant d’une contraction de l’activité dans les services en février. Jeudi 27 février, le Dow Jones, le
S&P500 et la Nasdaq sont ainsi officiellement rentrés en phase de correction, les replis depuis les récents plus hauts dépassant les 10%.
Vendredi 28 février, malgré l’intervention de Jerome Powell, qui a ralenti la baisse en fin de séance, la Bourse de New York a achevé la semaine
sur un plongeon hebdomadaire sans précédent depuis novembre 2008. Dans un communiqué, le président de la Réserve fédérale a assuré
que les fondamentaux de l’économie américaine restaient solides tout en rappelant que la banque centrale utiliserait tous ses outils « pour
soutenir l’économie de façon appropriée ».

Les marchés actions européens ont également plongé lors de la dernière semaine de février, emportés par le risque que fait peser le
coronavirus sur l’économie mondiale et les bénéfices des entreprises. Les investisseurs s’inquiètent des conséquences significatives des
perturbations causées par le virus sur les chaînes d’approvisionnement mondiales et la consommation. En effet, les mesures d’isolement, les
suspensions de liaisons de transports, les annulations de manifestations économiques, culturelles et sportives se multiplient partout dans le

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monde. Comme à Wall Street, les principaux indices européens sont ainsi rentrés jeudi 27 février en phase de correction. Ce mouvement de
panique a relégué au second plan l’accélération plus soutenue que prévu de l’activité en zone euro en février révélée par les premiers résultats
des enquêtes menées auprès directeurs d’achat. D’un point de vue sectoriel, les valeurs cycliques, financières, de tourisme, pétrolières et les
plus liées aux échanges internationaux ont particulièrement souffert.

La Bourse de Tokyo n’a pas échappé au vent de panique qui a soufflé fin février sur les marchés actions mondiaux face à l’accélération de la
propagation du coronavirus. Cette crise renforce un peu plus les risques de l’entrée en récession d’une économie fragile. Au quatrième
trimestre, le PIB japonais s'est contracté de 6,3% en rythme annualisé, soit sa baisse la plus importante en six ans. Dans ce cadre, la Banque
du Japon (BoJ) a annoncé être prête à prendre, si nécessaire, de nouvelles mesures de soutien.

Les marchés émergents ont également souffert en février, avec notamment une dernière semaine très mouvementée. Paradoxalement, le
repli des marchés chinois, relativement résistants depuis le début de la crise sanitaire, s’est avéré limité en février. Les investisseurs ont bien
accueilli les mesures prises par la banque centrale chinoise. Par ailleurs, la situation sanitaire semblerait s’améliorer.

            Taux

La chute des taux souverains s’est accélérée à mesure de l’aggravation de l’épidémie de coronavirus. La fuite vers la qualité a profité
aux emprunts des Etats jugés les plus sûrs. A l’inverse, les obligations d’entreprises ont pâti du vif regain d’inquiétude sur la
croissance mondiale. Les investisseurs attendent la réaction des banques centrales.

Aux Etats-Unis, l’aversion pour le risque a entrainé un repli massif des investisseurs vers les emprunts d’Etat américain à dix ans, dont les
taux de rendement ont atteint des plus bas historiques vendredi 28 février. Le rendement américain à dix ans a terminé la séance à 1,15%.

En Europe, le taux allemand à 10 ans, qui fait figure de référence a accéléré son repli à la fin du mois pour s’établir à -0,609%, son plus bas
niveau depuis septembre, en baisse d’environ 17 points de base en un mois. Dans le sillage de la dette allemande, le rendement de l’OAT
française à dix ans a abandonné en février 11 points de base à -0,29%, un plus bas également depuis septembre. Du côté des Etats
périphériques, le rendement de l’emprunt à dix ans italien, a rebondi d’environ 17 points de base en un mois à 1,1%, les investisseurs
s’inquiétant de l’impact de l’épidémie sur un maillon faible de la zone euro.

Sur le marché du crédit européen, les emprunts les mieux notés des entreprises ont débuté le mois de février dans l’optimisme à l’image
des marchés actions. Mais la tendance s’est brutalement inversée à partir du 24 février avec les craintes liées à l’impact du coronavirus pour
finalement afficher une performance mensuelle négative. La sanction est plus sévère pour le segment « High Yield » qui, après un bon début
de mois, a violement décroché dans le sillage des actions.

La politique d’allocation
Le fait majeur du mois de février est le développement des craintes liées à l’épidémie de coronavirus. Il est trop tôt pour mesurer l’impact
sur l’économie tant chinoise que sur l’économie mondiale.

La Chine représente environ 20% du PIB mondial alors qu’elle représentait 7% lors de l’épisode du SRAS en 2003. Pour rappel, le Sras avait
causé 774 morts pour environ 10 000 contaminés.

Nous suivons l’évolution de l’épidémie de près en espérant qu’elle soit contenue avant la fin du premier trimestre, sans quoi nous serions
amenés à revoir nos estimations de croissance mondiale (croissance en hausse en 2020 par rapport à 2019), car l’arrêt de l’activité en Chine,
la rupture des chaînes d’approvisionnement et la potentielle baisse de la demande dans certains pays contaminés seraient de nature à
peser sur la croissance mondiale.

Au sein des portefeuilles multi-actifs gérés par rapport à des indicateurs de référence, nous avons conservé notre politique de gestion au
cours du mois de février. Nous avons toutefois décidé de sécuriser quelque peu les portefeuilles au regard de la montée des incertitudes.

Nous maintenons notre opinion positive sur les actions. Toutefois, nous avons réduit légèrement notre position sur les actions (via des
cessions sur les actions émergentes) compte tenu des risques liés à l’épidémie de coronavirus.

Nous conservons notre opinion neutre sur les emprunts d’Etats en termes de duration (1) par rapport à nos indicateurs de référence.

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Nous terminons toutefois le mois avec une duration tactiquement légèrement supérieure aux indicateurs de référence afin de protéger les
portefeuilles en cas de poursuite des craintes sur la situation économique et sanitaire à court terme. Le marché commence à anticiper de
nouvelles interventions des banques centrales comme des politiques budgétaires pour soutenir les économies.

Sur les obligations d’entreprises, nous maintenons notre opinion neutre. Nous conservons une vision neutre sur la catégorie Investment
Grade ainsi qu’une opinion sélective sur le Haut Rendement. En février, nous avons décidé de réduire légèrement notre position sur le Haut
Rendement dont le comportement boursier est très lié aux performances des marchés actions. Dans la même veine, nous avons réduit notre
position en Dette émergente.

Signalons enfin que nous avons constitué une position en Yen vs Euro, position défensive qui devrait permettre de protéger partiellement le
portefeuille.

A ce stade où l’impact économique du coronavirus est beaucoup plus important que l’impact sanitaire, nos choix de gestion sont dictés à
court terme par l’évolution de l’épidémie et seront suivis de très près au cours des semaines à venir.

Avertissement : la politique d’allocation présentée concerne les fonds diversifiés gérés par AIF (y compris les fonds profilés).
L’horizon d’investissement de cette politique d’allocation est à court terme et peut évoluer à tout moment. Cette politique de
gestion ne constitue donc pas une indication pour construire une allocation de long terme d’un client.

Note : (1) La duration correspond à la durée de vie moyenne pondérée d'une obligation ou d'un portefeuille d'obligations exprimée en
années.

            La gestion actions
Nous continuons de favoriser les actions US au sein de nos portefeuilles multi-actifs. C’est à ce jour la seule zone géographique sur
laquelle nous ayons une opinion réellement positive. L’économie américaine continue de bénéficier d’une consommation bien orientée
grâce à une très bonne situation de l’emploi et un marché actions très élevé. De plus, la politique monétaire est venue en soutien de la
croissance l’an dernier et la Réserve fédérale dispose d’encore de munitions si le coronavirus devait impacter l’économie US. Seule
inconnue au tableau : les élections présidentielles de novembre créent une incertitude qui va aller croissante tout au long de l’année.

Nous revenons à une opinion neutre (vs tactiquement positive) sur les actions émergentes suite à l’avancée du virus et à son impact
évident sur la zone asiatique.

Nous conservons une opinion neutre sur la zone euro. Certes, la dynamique de croissance est positivement orientée en 2020 mais les
risques politique et sanitaire sont bien là. De plus, la période de négociation entre le Royaume-Uni et l’Union européenne est de nature à
générer des craintes. Le Royaume-Uni souhaite achever cette négociation d’ici la fin de l’année, ce qui est court au regard des enjeux en
présence.

Enfin, nous maintenons une opinion neutre sur les actions japonaises. L’économie japonaise a enregistré un mauvais dernier trimestre
2019 et l’épidémie actuelle n’est pas favorable au redressement immédiat du pays.

            La gestion taux
Nous avons conservé notre position neutre sur les emprunts d’Etats en termes de duration (1) par rapport à nos indicateurs de référence.
A la fin du mois, nous avons toutefois une position légèrement positive afin de protéger nos portefeuilles en réponse à la hausse de
l’aversion au risque sur les marchés.

Nous avons réduit la surexposition aux obligations périphériques, en adoptant une position légèrement sous-pondérée sur l’Italie. Nous
avons d’autre part renforcé la surpondération des pays semi-cœur, et réduit la sous-pondération des pays cœur.

Nous avons maintenu la position d’aplatissement des courbes française et italienne sur la partie longue.

L’exposition à l’inflation a été conservée en prévision du rebond des chiffres d’inflation et pour son bénéfice de diversification.

Enfin, nous avons conservé l’allocation en obligations du secteur privé.

Marchés du crédit : le marché du crédit Investment Grade est resté globalement stable au cours du mois. La baisse des taux a compensé
l’effet de l’écartement des spreads provoqué par les inquiétudes sur le coronavirus.

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Notre opinion reste neutre sur le crédit Investment Grade. Nous restons prudents sur cette classe d’actifs qui a abordé la phase actuelle
de correction avec une valorisation élevée.

Nous conservons notre position sélective sur le Haut Rendement (High Yield). La performance de la classe d’actif est négative en février,
les craintes liées à la croissance économique et la chute brutale des actions ayant pesé sur les titres. Les incertitudes à court terme ne
militent pas pour une opinion plus positive. Notre gestion reste prudente et s’oriente vers de meilleures signatures.

Note : (1) La duration correspond à la durée de vie moyenne pondérée d'une obligation ou d'un portefeuille d'obligations exprimée en
années.

Le scénario économique
Un mois dominé par le coronavirus et non pas par la macro-économie… à titre d’exemple, signalons que la dernière semaine de février
a été la pire semaine en bourse depuis la grande crise financière de 2008 … sans élément économique majeur.

Le nombre de cas de coronavirus ralentit en Chine, mais la contagion s’est propagée en dehors de la Chine. Vendredi 23 février, la presse
italienne a signalé 6 cas en Lombardie. Une augmentation exponentielle a fait de l'Italie le troisième pays en nombre de cas derrière la Chine
et la Corée du Sud. Ensuite les cas se sont multipliés dans le reste de l’Europe ainsi que dans le monde. Les craintes d'une pandémie mondiale
ont envahi les marchés et le spectre d'une récession mondiale a réapparu. Il est trop tôt pour tirer une conclusion, car la réponse dépendra
de l'étendue de l'infection Covid-19 et, selon l’organisation Mondiale de la Santé, elle n'est pas encore pandémique.

Sur ce sujet la recherche académique montre que :
1) l'impact économique dépend de la gravité de la contagion (pandémie légère ou sévère),
2) les effets sont forts à court terme (un an environ), mais à moyen terme, le PIB tend à être légèrement inférieur au niveau qu'il aurait atteint
en l'absence de pandémie,
3) à court terme, un virus très contagieux mais pas très létal est plus nocif à l’économie qu’un virus très mortel mais pas très contagieux, car
il est capable de provoquer des chocs plus forts tant chez les consommateurs que dans les entreprises,
4) les dégâts économiques sont plus importants pour les pays qui dépendent davantage du commerce international,
5) les pays émergents sont les plus touchés, non seulement parce qu'ils ont plus de difficultés à contenir la propagation du virus, mais aussi
parce que les capitaux ont tendance à se déplacer vers des pays avancés plus sûrs,
6) pour déterminer l'impact économique, il faut analyser le choc du côté de l'offre (baisse de l'offre de main-d'œuvre, baisse de la
productivité, hausse des coûts pour les entreprises, etc.) et aussi le choc du côté de la demande (réduction / modification de la consommation
due à la panique).

Dans ce contexte, les marchés ont ignoré les données macro-économiques qui faisaient référence à la période antérieure au virus. Parmi les
données les plus attendues, citons les PMI chinois de février (publiés le 29 février) qui ont touché leurs plus bas historiques. L'indice PMI des
services chinois s'est effondré à 29,6, l'indice PMI manufacturier à 35,7, c’est à dire respectivement 20 et 10 points de moins que prévu. Ces
chiffres sont évidemment effrayants, mais il convient de signaler que d’autres indicateurs montrent que l'activité en Chine se normalise
lentement. Il est donc important de suivre l’évolution dans les mois qui viennent. En février les PMI de la zone euro se stabilisent, le composite
est à 52.6 après 51.3. C'est à partir de mars que nous verrons à quel point l'impact du virus est important en Europe. En ce qui concerne l'Italie,
le gouvernement est intervenu avec un décret d'urgence et des mesures fiscales pour soutenir les personnes et les entreprises des régions
principalement concernées, et pour des secteurs tels que le tourisme et d'autres touchés au niveau national. D’autres mesures à hauteur de
€ 3.5 milliards ont été annoncées. La probabilité que l'Italie entre en récession est désormais très élevée étant donné que les trois régions les
plus touchées (Lombardie, Vénétie et Emilia Romagne) représentent un peu moins de 50% du PIB, sans tenir compte des restrictions de
voyage imposées à l'Italie par d'autres pays qui continueront de peser sur le tourisme pendant une période plus longue.

Vendredi 28 février, la Réserve fédérale a déclaré qu’elle utilisera les outils à sa disposition et agira comme il convient pour soutenir
l'économie. Elle a d’ailleurs baissé ses taux de manière inattendue le 3 mars de 50 points de base pour répondre à l’inquiétude des marchés.
La banque centrale européenne a aussi fait part de sa volonté de soutenir l’économie face à l’épidémie.

LES RISQUES CLIMATIQUES PARMI LES PLUS
GRANDS RISQUES MONDIAUX

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Voici un texte explicite sur les risques climatiques rédigés par le World Economic Forum

« Après une année d'inondations, de sécheresses, au cours de laquelle des incendies ont ravagé l'Australie et l'Amazonie, et où l'adolescente
Greta Thunberg, militante pour le climat, a été désignée comme la personnalité de l'année par le Time, il n'est peut-être pas étonnant que
les questions environnementales dominent les préoccupations des dirigeants pour l'avenir.

Mais la dernière édition du Rapport sur les risques mondiaux du Forum Économique Mondial montre à quel point ils tirent la sonnette
d'alarme. Les dirigeants installés, tout comme les nouveaux venus sont d'accord : le changement climatique est le risque, à long terme, le
plus important auquel le monde est confronté.

Le rapport, qui identifie les principales menaces qui pèsent sur notre monde selon la probabilité et l'ampleur de leur impact, identifie
l'incapacité à atténuer les changements climatiques et à s'y adapter comme la principale préoccupation du réseau de chefs d'entreprise,
d'ONG, d'universitaires et d'autres intervenants du Forum. Le groupe le place au premier rang des risques par l'impact et au deuxième rang
par la probabilité au cours des dix prochaines années. »

Source : World Economic Forum

Achevé de rédiger le 3 mars 2020. Données chiffrées au 29/02/2020

Vos contacts presse :
Léa Schultz - SHAN
lea.schultz@shan.fr
+33 (0)1 42 86 82 41

Marion Duchêne – SHAN
marion.duchene@shan.fr
+33 (0)1 42 86 82 43

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FA20/0017/02092020

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