LUIGI GHIRRI CARTES ET TERRITOIRES THE MAP AND THE TERRITORY 12/02 - 02/06/2019 - Jeu de Paume
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LUIGI GHIRRI CARTES ET TERRITOIRES THE MAP AND THE TERRITORY 12/02 – 02/06/2019 [ FR / EN ]
1. Pescara, 1972 Succession Luigi Ghirri 1 LUIGI GHIRRI Tout au long des années 1970, le travail de Ghirri CARTES ET TERRITOIRES emprunte simultanément différentes directions, sans PHOTOGRAPHIES DES ANNÉES 1970 suivre d’itinéraire unique ni linéaire. Photographiant une grande diversité de sujets – maisons et jardins Luigi Ghirri (1943-1992) aborde véritablement la de banlieue, plages et fêtes foraines, pages d’atlas, photographie en 1970, à l’âge de vingt-sept ans, alors inconnus observant des cartes ou posant devant qu’il exerce depuis dix ans la profession de géomètre l’appareil photo –, il organise ses images en plusieurs dans les villes et campagnes de sa province natale, ensembles distincts qu’il considère comme autant Reggio d’Émilie, en Italie. Au cours des deux décennies d’« œuvres ouvertes ». Certaines séries, élaborées suivantes, jusqu’à sa mort à l’âge de quarante-huit ans, selon des paramètres très précis, sont achevées il réalise des milliers de photographies « sur le au cours d’une année. D’autres, moins limitatives, terrain ». Ses sujets sont ordinaires, sa façon associent des photographies réalisées sur plusieurs d’aborder la photographie est modeste et sans années et dans différents lieux. À l’issue de sa affectation. Méditant sur la nature du médium, le première décennie de pratique du médium, Ghirri langage des images et leur rôle dans la formation des avait façonné une œuvre sans équivalent en Europe identités modernes, Ghirri trace les contours mouvants à cette époque, et mené une réflexion profonde et de la vie moderne dans une culture européenne en poétique sur cette technique prisée du plus grand équilibre entre l’ancien et le nouveau. nombre. À une époque où la photographie couleur était considérée avec méfiance dans les milieux artistiques Salle 1 traditionnels, en raison de sa proximité avec À l’occasion de « Vera fotografia », sa première la photographie amateur et commerciale, et où exposition personnelle d’envergure présentée à le noir et blanc était synonyme d’œuvre « sérieuse », Parme en 1979, Ghirri présente quatorze groupes de il travaille d’emblée exclusivement en couleurs. photographies réalisées au cours des dix dernières « Mes photographies sont en couleurs parce que le années. Pour illustrer les différents itinéraires empruntés monde réel n’est pas en noir et blanc et parce que par le photographe, la présente exposition, « Cartes et les pellicules et les papiers pour la photographie territoires », reprend la structure de celle de Parme. en couleurs ont été inventés », écrit-il. Ghirri confiait Ghirri travaillait pour l’essentiel en extérieur, le développement de ses rouleaux de pellicule déambulant dans les rues de Modène et de sa Kodachrome à un laboratoire photo grand public banlieue, effectuant avec son appareil photo des de Modène et revenait ensuite chercher ses tirages « voyages minimaux », ainsi qu’il les appelait. Il petit format. Ayant décidé d’adopter une approche s’aventurait parfois plus loin, lors de vacances à sans prétention du médium, il positionne son travail Amsterdam, Paris ou dans les Alpes suisses. Muni loin des sentiers battus, dans la proximité à la fois de son petit appareil Canon, il arpentait son du photographe amateur du « dimanche » et de l’art environnement immédiat, ayant toujours un projet conceptuel. précis en vue.
2. Modena, 1973 CSAC, université de Parme 2 Paesaggi di cartone [Paysages de carton] et Colazione banlieues, il poursuit l’observation attentive de son sull’erba [Déjeuner sur l’herbe] font partie de ses environnement immédiat. Il recense l’ensemble des premières séries les plus importantes. Avec Paesaggi images publicitaires affichées sur le mur d’enceinte di cartone, il rend compte de l’omniprésence de du circuit de course de Modène puis, dans la série l’image photographique dans l’environnement Diaframma 11, 1/125, luce naturale [Diaphragme 11, quotidien. Durant toute la décennie, il développera 1/125, lumière naturelle], retrace le rôle déterminant cet ensemble en une série plus vaste, Kodachrome, de la photographie dans la formation de la vie qui regroupe des photographies de panneaux moderne et des identités modernes ; le regard des publicitaires, d’affiches, de cartes postales et d’autres gens et la façon dont ils sont regardés. images trouvées au cours de ses déambulations dans En 1973, alors qu’il décide d’abandonner les relevés les rues de la ville. Considérant que le protagoniste de cartes et de plans en tant que géomètre pour se de Kodachrome, c’était l’« image photographique elle- consacrer à plein temps à la photographie, Ghirri même », il souhaitait que son travail fût une invitation revient vers les pages d’un atlas pour réaliser Atlante à « penser par images ». Avec Colazione sull’erba, [Atlas], une œuvre importante dans sa traversée des il scrute l’architecture anonyme des nouveaux signes et des images. faubourgs et observe les jardins soigneusement entretenus des pavillons de banlieue. Salle 3 La pratique photographique de Ghirri porte la Salle 2 marque de ses nombreuses années d’exercice de À Modène, au début des années 1970, parallèlement la profession de géomètre, mesurant distances et à ses activités professionnelles de géomètre, élévations, traçant des limites et des espaces. Ainsi, Ghirri fréquente un cercle artistique dynamique de il photographie presque systématiquement son sujet jeunes artistes et écrivains, parmi lesquels figurent de face, ses cadrages étant très souvent structurés notamment Franco Guerzoni, Claudio Parmiggiani par de puissantes verticales et horizontales. Vers et Franco Vaccari. Ils partagent des affinités avec les le milieu des années 1970, la ligne d’horizon qui pratiques artistiques contemporaines en Europe et délimite la terre et la mer par rapport au ciel revêt aux États-Unis, notamment avec le pop art et l’art une importance accrue, marquant la différence entre conceptuel qui questionnent le statut des images l’espace mesuré et l’espace incommensurable. et la nature de la perception. Ghirri est attiré par les lieux façonnés par l’homme, Cependant, Ghirri a toujours considéré que la mais ses photographies sont essentiellement vides de photographie était davantage qu’un outil analytique. toute présence humaine. Il s’intéresse principalement C’était une « grande aventure dans le monde de la aux objets ordinaires et aux zones de loisir ou de pensée et du regard », une technique merveilleuse divertissement, comme les stations balnéaires de se prêtant à la description et à la transformation du la côte Adriatique ou les lieux de villégiature des monde visible. Avec Catalogo [Catalogue], une série lacs suisses. L’impression de latence, d’un monde consacrée aux façades des bâtiments de la ville et des qui attend, est palpable, en particulier dans les
3. Bologna, 1973 CSAC, université de Parme 3 nombreuses photographies qui montrent des sites Salle 5 aménagés pour offrir aux promeneurs la possibilité Tout au long des années 1970, ce qui est au cœur de profiter de la vue. Celles-ci appartiennent à une du projet de Ghirri, c’est une réflexion sur la nature importante série intitulée Vedute [Vues], libre réflexion de la photographie et son rôle structurant dans sur la nature de la vision, où un grand nombre de la formation de la perception du monde qui nous vues différentes témoigne de la préoccupation du environne. La photographie est toujours reproduction photographe pour les cadres, les miroirs et les reflets. de quelque chose, représentation, duplication. En 1978, Ghirri publie Kodachrome, son premier Au fil de la décennie, Ghirri rend compte de livre, le plus important. Condensation poétique l’inéluctable emprise sur la vie quotidienne des des nombreux sujets et intérêts du photographe, reproductions photographiques, affiches et cartes Kodachrome se distingue comme l’un des livres postales, photographies publicitaires et copies kitsch. photographiques les plus singuliers de l’époque. Dans la série Still Life [Nature morte], il recadre des tableaux et des miroirs trouvés au marché aux puces Salle 4 de Modène ; de même pour l’album Slot Machine Ghirri est attiré par les lieux où l’expérience vécue [Machine à sous], il capture des images publiées du public repose sur une complicité enthousiaste dans les pages de magazines pour photographes avec la fiction. Le titre de l’ensemble de photographies amateurs. Il Paese dei balocchi [Le Pays des jouets] (1972-1979) Le changement d’échelle est un autre aspect est emprunté aux Aventures de Pinocchio, roman fondamental presque toujours présent dans l’image où un monde imaginaire se substitue au quotidien. photographique. C’est ce que souligne la série In Pour le réaliser, il fréquente durant de nombreux scala [À l’échelle], pour laquelle Ghirri photographie week-ends une fête foraine de Modène. Il photo- des miniatures de bâtiments célèbres installées dans graphie de préférence les coulisses, montrant les un parc à thèmes. structures qui étayent l’artifice. La fiction est fabriquée pour une foule qui est absente, la fête foraine revêt James Lingwood une dimension presque onirique, métaphysique. Commissaire de l’exposition L’intérêt qu’éprouve Ghirri pour le goût populaire, pour le dédoublement et le simulacre, l’amène à photographier des portraits de personnages célèbres dans un musée de cire à Amsterdam, des dinosaures dans un parc d’attractions de Vérone et des dioramas dans un muséum d’histoire naturelle à Salzbourg. À première vue, les détails des dioramas ressemblent à des paysages « réels », mais un examen plus attentif montre que ce sont des représentations de paysages, des images d’images.
4. Modena, 1973 CSAC, université de Parme 4 LUIGI GHIRRI a wide range of subjects, from suburban houses THE MAP AND THE TERRITORY and gardens to beaches and fairgrounds, pages PHOTOGRAPHS FROM THE 1970S in an atlas, people looking at maps or posing for the camera. He arranged his photographs into Luigi Ghirri (1943–1992) took up photography groups, which he came to consider “open works”. seriously in 1970, at the age of 27. For the previous Some were completed in a particular year and had decade, he had worked as a surveyor in the towns clear parameters. Others were more open-ended, and countryside of his native province of Reggio combining photographs taken over a number of Emilia in Italy. Over the course of the next two years and in many different places. By the end of decades, until his death at the age of 48, he made his first, formative decade, Ghirri had shaped a thousands of photographs out “in the field”. body of work without parallel in Europe at that time: His subjects were commonplace, his approach to a profound and poetic reflection on the popular photography modest and unaffected. Reflecting on medium of photography. the nature of the medium, the language of images and their role in the making of modern identities, Room 1 Ghirri charted the changing contours of modern life For the most important exhibition of his work to date, in a European culture poised between old held in Parma in 1979 and titled Vera fotografia, and new. Ghirri presented fourteen different groups of From the outset Ghirri worked solely in colour, at a photographs taken over the course of the decade. time when colour photography was regarded with The Map and the Territory reprises the structure of the suspicion in mainstream artistic circles because of its exhibition in Parma to show the different itineraries closeness to amateur and commercial photography, Ghirri followed. and when black-and-white was synonymous with He worked for the most part outside, walking the serious work in the medium. “I take photographs in streets of Modena and making what he called colour because the real world is not in black and “minimal journeys” with his camera out to the white, and because colour film has been invented,” suburbs. Occasionally he ventured further afield, he wrote. He took his rolls of Kodachrome film to be on holiday trips to Amsterdam, Paris and the Swiss developed in a normal processing lab in Modena, Alps. A small Canon camera in hand, he always and returned to collect the small prints later. With had a project in mind as he surveyed his immediate this decision to embrace an unpretentious approach environment. to the medium, he positioned his work away Amongst his most important early series are from the mainstream and closer to both amateur, Paesaggi di cartone [Cardboard Landscapes] and “weekend” photography and Conceptual Art. Colazione sull’erba [Breakfast on the Grass]. In Throughout the 1970s, Ghirri’s work moved in Paesaggi di cartone, he charted the ubiquity of the different directions simultaneously rather than photographic image in the everyday environment. following a single linear route. He photographed Throughout the decade, he extended this into a
5. Atlante, 1973 Bibliothèque nationale de France, Paris 5 more extensive series called Kodachrome, which In 1973, at the moment he decided to give up making featured photographs of billboards, posters, charts and maps as a surveyor in order to focus full- postcards and images found on his journeys time on his work as a photographer, he returned to through the city. He considered the protagonist the pages of an atlas to make Atlante, an important of Kodachrome to be “the photographic image work in Ghirri’s journey through signs and images. itself” and he wanted his work to be an invitation to “think through images”. In Colazione sull’erba Room 3 he looked closely at the anonymous architecture The many years that Ghirri worked as a surveyor, of the new suburbs and the neat gardens around measuring distances and elevations, delineating the houses. boundaries and spaces, left a distinctive mark on his photography. His subjects are almost always Room 2 photographed straight-on, and strong vertical and In the early 1970s, Ghirri was immersed in a vibrant horizonal lines recur throughout his work. By the artistic milieu in Modena whilst continuing his mid-1970s, the horizon line separating land and sea professional work as a surveyor. He was affiliated from sky became increasingly prominent, marking with a group of young artists and writers that the difference between measured and measureless included Franco Guerzoni, Claudio Parmiggiani space. and Franco Vaccari, who shared affinities with Ghirri was drawn to places shaped by contemporary art practices in Europe and the humankind, yet his photographs are mostly United States, notably Pop and Conceptual Art and without people. His focus is on ordinary objects their questioning of the status of images and the and places frequented by people for leisure nature of perception. or recreation, such as holiday locations on the However, photography was always more than an Adriatic coast or the Swiss lakes. A sense of analytical tool for Ghirri. It was “a great adventure latency, of a world that is waiting, is palpable, into the world of thinking and looking”, a marvellous not least in the many photographs Ghirri took medium for describing and transforming the visible of places made for people to sit and take in world. He continued to look closely at his immediate the view. These form part of an important series environment in Catalogo [Catalogue], a series of called Vedute [Views], an open-ended essay on photographs of surfaces on the walls of the city and the nature of vision that includes a multiplicity of the suburbs. He mapped all the advertising images different views and reveals his preoccupation with on the perimeter wall of a racing track in Modena, frames, mirrors and reflections. and in the series Diaframma 11, 1/125, luce naturale In 1978, Ghirri published his first and most important [f/11, 1/125, Natural Light] charted the formative role book, Kodachrome. Condensing his many subjects photography played in shaping modern life and and interests with precision and poetry, Kodachrome modern identities; the way people look, and are stands as one of the most singular photographic looked at. books of the period.
6. Rimini, 1977 Succession Luigi Ghirri 7. Rimini, 1977 Succession Luigi Ghirri 6 7 Room 4 photography magazines for the album Slot Machine. Ghirri was drawn to places where public Another key aspect of the photographic image experience was based on an enthusiastic complicity is that it almost always involves a significant shift with a fiction, and the title of the group of in scale. Ghirri emphasised this in the series In scala photographs Il Paese dei balocchi [The Land of Toys] [In Scale], where he photographed miniature (1972–79) comes from The Adventures of Pinocchio, a versions of famous buildings in a theme park, book where the everyday is replaced by a make- a tourist destination that is already a scaled-down believe world. version of somewhere else. He spent many weekends visiting a fairground in Modena. He preferred to photograph behind James Lingwood the scenes there, revealing the constructions that Curator of the exhibition underpin the artifice. The crowd for whom the fiction is made are absent, and the fairground takes on an almost dreamlike, metaphysical dimension. Ghirri’s interest in the popular appetite for doublings and simulations also led him to photograph portraits of famous people in a wax museum in Amsterdam, dinosaurs in an amusement park in Verona and dioramas in a natural history museum in Salzburg. At first glance the details of dioramas resemble “actual” landscapes. A closer look reveals them to be representations of landscapes, pictures of pictures. Room 5 Ghirri’s reflections on the nature of photography and its formative role in shaping people’s perception of their world was at the heart of his project during the 1970s. Photography is always a reproduction of something, a representation, a duplication. Throughout the decade he charted the inescapable rise of reproductions in everyday life – posters and postcards, advertising photos and kitsch copies. In the series Still Life, he reframed paintings and mirrors that he encountered in the flea market in Modena, as well as photographing pages from amateur
RENDEZ-VOUS PUBLICATIONS ❙ mercredis et samedis, 12 h 30 ❙ Catalogue de l’exposition : Luigi Ghirri. Cartes et les rendez-vous du Jeu de Paume : territoires, sous la dir. de J. Lingwood, textes de J. Benci, visite commentée des expositions en cours M. A. Pelizzari et J. Lingwood, écrits de L. Ghirri par une conférencière du Jeu de Paume Éditions française, anglaise, espagnole et allemande, ❙ mardi 12 février, 18 h Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía / visite de l’exposition par James Lingwood, commissaire Jeu de Paume / Museum Folkwang / MACK ❙ mardi 12 février, 19 h 364 p., 24,8 × 19,8 cm, 45 € table ronde avec les photographes Olivo Barbieri, ❙ Album de l’exposition : textes de J. Lingwood, Raymond Depardon et Claire Tenu, modérée par Jeu de Paume, français / anglais, 48 p., 22 × 31 cm, 9,50 € Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume ❙ samedis 23 février, 15 h 30, 30 mars, 11 h et 15 h 30, INFORMATIONS PRATIQUES et 27 avril, 15 h 30 1, place de la Concorde · 75 008 Paris les enfants d’abord ! : visites-ateliers pour les 7-11 ans +33 1 47 03 12 50 sur le thème « Colorama » mardi (nocturne) : 11 h-21 h ❙ mardis 26 février et 28 mai, 18 h mercredi-dimanche : 11 h-19 h les rendez-vous des mardis jeunes : fermeture le lundi et le 1er mai visite commentée des expositions en cours expositions par une conférencière du Jeu de Paume ❙ plein tarif : 10 € / tarif réduit : 7,50 € ❙ samedis 2 mars, 6 avril, 4 mai et 1er juin, 15 h 30 (billet valable uniquement à la journée) les rendez-vous en famille : un parcours en images ❙ accès libre aux espaces de la programmation pour les 7-11 ans et leurs parents Satellite (entresol et niveau –1) ❙ samedis 16 mars et 11 mai, 14 h 30 ❙ mardis jeunes : accès libre pour les étudiants et les moins visites croisées avec le musée de l’Orangerie de 25 ans inclus le dernier mardi du mois, de 11 h à 21 h (au départ de ce dernier) avec les conférenciers de la ❙ accès libre et illimité pour les détenteurs Réunion des musées nationaux et du Jeu de Paume du laissez‑passer du Jeu de Paume ❙ mercredi 10 avril, 19 h rendez-vous projection du film Il Mondo di Luigi Ghirri (1998) ❙ accès libre sur présentation du billet d’entrée de Gianni Celati, à l’Institut culturel italien aux expositions ou du laissez-passer, dans la limite ❙ mardi 23 et mercredi 24 avril, 14 h 30 des places disponibles 12-15ans.jdp : stage dédié aux 12-15 ans pour ❙ sur réservation : produire, transformer et partager des images · 12-15ans.jdp@jeudepaume.org · lesenfantsdabord@jeudepaume.org · rendezvousenfamille@jeudepaume.org ❙ visites croisées avec le musée de l’Orangerie : Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux · tarif plein : 18,50 € ; tarif réduit : 13,50 € · réservation : information@musee-orangerie.fr ❙ table ronde seule : 3 € #LuigiGhirri ❙ projection à l’Institut culturel italien : · 50, rue de Varenne · 75007 Paris Retrouvez toute l’actualité du Jeu de Paume sur : · entrée libre sur réservation : www.jeudepaume.org +33 1 85 14 62 50 / iicparigi@esteri.it lemagazine.jeudepaume.org Le Jeu de Paume est subventionné par Commissaire de l’exposition : James Lingwood le ministère de la Culture. Exposition organisée par le Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, en collaboration avec le Jeu de Paume, Paris, et le Museum Folkwang, Essen. Il bénéficie du soutien de la Manufacture Jaeger-LeCoultre, mécène privilégié. En partenariat avec l’Institut culturel italien de Paris. Avec le concours exceptionnel Couverture : Orbetello, 1974 de la Bibliothèque nationale de France. Succession Luigi Ghirri Médias associés : Toutes les images : © Succession Luigi Ghirri Traduction française : Christian-Martin Diebold Maquette : Benoît Cannaferina © Jeu de Paume, Paris, 2019 Remerciements à :
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