Pathologies d'hypersollicitation lors de la pratique du sport chez l'enfant - Dr E Bailly Clinique de l'Europe Vivalto Santé SNMS 20 mars 2019 ...
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Pathologies d’hypersollicitation lors de la pratique du sport chez l’enfant Dr E Bailly Clinique de l’Europe Vivalto Santé SNMS 20 mars 2019
La surcharge locale d’effort physique pendant l’enfance et l’adolescence peut générer au niveau des zones de croissance des lésions regroupées sous le terme d’ostéochondrose ostéochondrites apophysites épiphysites ……..
favorisée par - augmentation de pratique intensive des activités sportives - enfants de plus en plus jeunes - nombre d’heure de sport - diminution des activités physiques quotidiennes - répétition du même mouvement ( sauts, lancer ) - muscles des membres inférieurs « trop courts » - entrainement mal adapté (geste technique, stage intensif..) - équipement mal adapté
Physiologie La survenue de ces lésions est basée sur 2 notions : 1- atteinte d’une zone de croissance, fragile: Classification de Siffert ostéochondrose physaire (cartilage de croissance) ostéochondrose épiphysaire (articulaire) ostéochondrose apophysaire (extra articulaire)
2- un mécanisme vulnérant: - la répétition des contraintes mécaniques ( compression, traction..) - cette léson est aggravée par le morphotype: genu varum, valgum, brieveté musculo-tendineuse pieds plats valgus, creux
Les 3 sites lésionnels de croissance 1° ostéonchondrose épiphysaire différentes théories: vasculaire++ endocrinnienne génétique micro traumatique multi factoriel
Ischémie transitoire de toute ou partie de l’épiphyse aggravée par les forces de pression : nécrose localisée revascularisation réparation complete ou non > déformation séquellaire atteinte du cartilage articulaire
La réparation est fonction: - du degré de maturité osseuse, (plus l’âge est avancé, plus les chances de réparation sont faibles) - de l’importance des charges appliquées +++
2 types : a – ostéochondrite primitive: atteinte globale chez un enfant jeune: maladie de Kohler Mouchet, maladie de Panner Legg Perth Calvé b – ostéochondrite disséquante : atteinte plus restreinte chez l’enfant plus âgé: Condyle femoral, talus, capitellum
2° ostéochondrose physaire atteinte primitive du cartilage de croissance : par traumatismes répétés Scheuerman radius l
3° Atteinte apophysaire la plus fréquente touche les apophyses d’insertion tendineuse Maladie d’Osgood Schlatter Maladie de Sever
La traction mécanique de l’insertion tendineuse sur les apophyses: génèrent 2 types de troubles : • les apophysoses = ostéochondroses apophysaires (lésions micro-traumatiques, de surmenage) • les arrachements apophysaires (traumatismes quasi-fracturaire)
Physiopatholgie La traction excessive du tendon sur son apophyse est favorisée par: - période pré-pubertaire et pubertaire - la différence de croissance entre l’os et le système musculo-tendineux > raideur musculo-tendineuse équivaut à un déficit relatif d’extensibilité ( quadriceps, ischio-jambiers ) - l’ augmentation des activités physiques - la force musculaire augmente plus rapidement que la résistance des cartilages de croissance
les micro-traumatismes répétés génèrent, à la jonction du tendon- cartilage de croissance: des micro-décollement-fractures, des réactions inflammatoires et des ossifications ectopiques.
Contrairement aux ostéochondroses épiphysaires pas de lésion nécrotique pas de déformation séquellaire sévère Ostéochondrose par traction et non par pression La qualité de la réparation dépend aussi de: l’ âge diminution voire suppression des forces de traction locale
Caractères communs des ostéochondroses apophysaires - Calendrier d’ossification des zones de croissance: Chaque apophysose survient pendant une tranche d’âge précise
Diagnostic clinique : C’est un diagnostic d’élimination des pathologies infectieuses, inflammatoires, tumorales 1- L’interrogatoire Essentiel pour faire le diagnostic Permet d’optimiser la prévention pour diminuer le risque de récurrence
- Grand enfant, adolescent, le plus souvent sportif ( ostéochondrose apophysaire ) - La douleur: signe essentielle des lésions d’ hyper-sollicitation+++ - Douleur mécanique, déclenchée ou augmentée par l’activité physique, calmée par le repos - Installation: a) Progressive b) brutale: arrachement apophysaire
- Localisation Précise, au doigt, d’autant que l’apophyse est superficielle - Développement pubertaire Résistance à l’effort variable dans la même tranche d’âge
- Analyser l’activité sportive nombre d’heures par semaine le niveau sportif motivation à pratiquer le sport - Recherche des signes précoces d’hyper sollicitation fatigue baisse des performances sportives troubles du sommeil
Renseignement sur: l’équipement le type de chaussure adapté au sport et au terrain analyse des ballons, balles, raquettes le type de terrain (terre, pelouse synthétique..) technique sportive, modification récente d’un geste
2- L’examen clinique : recherche de raideur myo-tendineuse, notamment aux membres inférieurs douleur sur les autres apophyses examen du rachis, hanches, genoux, chevilles testing neurologique et musculaire
Imagerie Intérêt de la radiographie: Diagnostic - Lésions unilatérales - Douleurs inhabituelles ( nocturnes, inflammatoires ) - Diagnostic différentiel: - autre affection: infection, fracture, tumorale
Echographie Inutile au diagnostic sauf pour les apophysoses profondes (bassin) IRM inutile pour le diagnostic Évaluation anatomique des lésions ostéochondrales
Principales pathologies Chaque noyau d’ossification où s’insère un muscle ou un tendon est susceptible de développer une ostéochondrose de croissance
Membres inférieurs
Les lésions apophysaires du bassin Période pré pubertaire et pubertaire 2 types de lésions - ostéochondroses apophysaires (apophysoses) - décollements apophysaires
1) Ostéochondroses apophysaires du bassin EIAS EIAI ischion petit trochanter - Le diagnostic est souvent difficile et tardif: symptomatologie douloureuse et atypique de hanche
Radiographie: aspect non spécifique Echographie: réaction inflammatoire Epine iliaque antéro-inférieure Branche ischio-pubienne : maladie de Van Neck Odelberg
Tubérosité ischiatique : maladie de Mc Master Petit trochanter
Devant une douleur de hanche avant de retenir le diagnostic d’ostéochondrose (tendinite !), il faut éliminer les autres diagnostics: +++ - synovite transitoire aigue - maladie de Legg-Perthes Calvé - épiphysiolyse - infections - tumeurs - pathologie du rachis
Traitement: Supprimer le mécanisme vulnérant Repos sportif jusqu’à l’indolence y compris à la palpation et aux exercices contre résistances Puis kiné: étirement, renforcement musculaire Evolution: favorable
2) Décollements apophysaires: Apophysiolyses Arrachement partiel ou total du noyau apophysaire Entre 13 et 18 ans, garçons Tous les sports surtout football, gymnastique, patinage et athlétisme Traction brutale et excessive de l’insertion tendineuse d’un muscle puissant et souvent raccourci sur l’apophyse
Arrachement de l’apophyse de EIAS, EIAI, et du petit trochanter - EIAS: sartorius, TFL sprinter, football - EIAI: droit fémoral shoot dans le vide, football - Petit trochanter: ilio-psoas gymnastique, saut
Points communs: Douleur brutale inguinale ou cuisse pendant l’effort sportif Craquement Impotence fonctionnelle totale Examen: Mobilisation passive de la hanche globalement douloureuse Flexum de hanche Douleur en regard EIAS sinon inguinale
Arrachement de l’apophyse de EIAS, EIAI, et du petit trochanter La radiographie EIAS EIAI Petit trochanter
Traitement : - Surtout orthopédique : - Repos au lit 5 à 10 jours, hanche fléchie (muscle incriminé au repos) - puis reverticalisation sous couvert de cannes anglaises. - Reprise du sport progressive après le 3 ème mois (test d’étirement tendineux indolore, cal osseux). - Reprise des compétitions entre le 4 ème et le 6 ème mois - Etirements des muscles courts après la guérison ++
Chirurgical : très rarement n’accélère pas la reprise du sport fragment volumineux très déplacé (supérieur à 2 cm)
Avulsion de l’apophyse ischiatique Saut, course de haie, football, gymnastique Douleur violente de la région fessière Craquement Irradiation jusqu’au creux poplité Examen: Douleur exquise sur la tubérosité ischiatique voire fessière majorée par l’étirement des ischio-jambiers
Radiographie de bassin face : Abaissement du noyau apophysaire
Traitement: Comme les autres arrachements apophysaires du bassin Reprise du sport après 6 mois
Evolution des arrachements apophysaires - le plus souvent favorable Evolution défavorable: - diagnostic erroné de claquage musculaire - reprise sportive prématurée, récidive - soins locaux intempestifs ( rééducation, massages, mobilisation précoce)
Genou Ostéochondrose épiphysaire 1- Poly-ostéochondrose de l’enfant Avant 10 ans Suractivité, surmenage Guérit avec le repos
2- Ostéochondrose disséquante du condyle fémorale: maladie de König La plus fréquente ( parfois patella, plateau tibial) 4 garçons, 1 fille, entre 10 et 13 ans 75% des cas au niveau du versant latéral du condyle fémoral médial
Examen clinique Pauvre Douleur mécanique mal précisée, à l’intérieur du genou Amyotrophie du quadriceps Douleur à la palpation du condyle fémoral médial, genou fléchi autour de 120° ( Wilson)
La radiographie Rx du genou : face en schuss + profil +fémoro-patellaire Classification de la lésion ( Bédouelle ) Stades: I, II, III, IV ménisque lat. discoïde (?)
IRM: examen essentiel, évalue le stade de la lésion Arthro-scanner ou arthro-IRM
Le pronostic dépend de : - l’âge : plus l’enfant est jeune ! meilleures sont les capacités de cicatrisation - du stade : moins le cartilage articulaire est lésé ! meilleur est le résultat - de la surface et du volume : plus les dimensions sont faibles, plus le résultat est bon: - de 240mm²
- de l’axe des membres inférieurs - de la localisation en zone portante ou non : vrai chez l ’adulte, discutable chez l’enfant - une très large majorité d’enfant va bien sur le plan clinique alors que les radiographies ne sont pas toutes parfaites. Leur histoire n’est pas terminée
I le traitement orthopédique - arrêt de sport de première intention pendant au moins 6 mois
Si la douleur persiste ou enfant hyperactif : immobilisation plâtrée de 6 semaines à 2 mois A réévaluer jusqu’à cicatrisation
II Traitement chirurgical Échec du traitement médical 1- Les perforations trans chondrales type Prydie : stade 2 Reprise du sport en moyenne après 4 à 6 mois
80% de bons résultats quand le cartilage de croissance est ouvert 60 % quand le cartilage de croissance est fermé 19 mois post opératoire
- 2 Le traitement par curetage-greffe-fixation : stade 3 fragment instable 67 % de bon résultat fonctionnel si le cartilage de croissance est ouvert
- 3 Les greffes ostéochondrales en mosaïque : Stade 3 surtout 4 Très rare Grand adolescent
- 4 Ablation du fragment ostéochondral : Expose à long terme à un risque d’arthrose
Ostéochondrose apophysaire du genou: Maladie d’Osgood Schlatter Entre 11-15 ans chez le garçon, 9-13 ans chez la fille 50% bilatéral 4% des cas, enfants peu ou non sportifs en surcharge pondérale
Tuméfaction douloureuse de la TTA Douleur à l’extension contrariée Genou normal Raideur des ischio-jambiers et du quadriceps
Radiographie => De profil : oedème en regard de la TTA stade de la maladie ossicules à la base du tendon rotulien
- Formes bilatérales: pas de Rx nécessaire - Formes unilatérales: éliminer une infection une tumeur +++
Traitement - Réduction ou arrêt de l’activité sportive - Immobilisation 3 à 4 semaines (phase hyper algique, enfant indiscipliné) - Orthèses plantaires moulées, amortissantes - Etirements du quadriceps et des IJ - Ablation du séquestre osseux intra-tendineux ( 5 % des cas)
Evolution Fonction du repos sportif Favorable, guérison avec hypertrophie locale à Risser 1 Ossifications dans le tendon rotulien - soit incorporation à la TTA, cicatrisation hypertrophique - soit séquestre douloureux à la fin de la croissance
Ostéochondrose de la pointe de la rotule Décrite en 1921 par Sinding Larsen et Johansson Age de découverte identique à l’Osgood Schlatter Même contexte (saut, course, shoot)
Association possible avec Osgood Schlatter Douleur et tuméfaction à la pointe de la rotule Traitement = Osgood Schlatter Guérison
Ostéochondrose apophysaire du calcanéum: - Décrite par Sever en 1912 - Touche autant les filles que les garçons 7 - 14 ans - Atteinte de l’ apophyse postérieure du calcanéum - Bilatéral dans 60% des cas
- Contraintes en impaction et en traction ( tendon d’Achille) - Sport: - de course : football, athlétisme - sauts à répétition - chaussures inadaptées au terrain
Douleur élective sur le noyau d’ossification Augmentée par la contraction contrariée du triceps Boiterie, voire esquive d’appui FF: tendons d’Achille courts valgus de l’arrière-pied
Radiographie Aucune spécificité Normale Importante pour le diagnostic différentiel : fracture infection tumeur
Traitement - Adapter l’activité sportive - Talonnettes visco-élastiques, amortissantes ou - Semelles correctrices du trouble morphostatique du pied - Etirements passifs doux des chaines suro-achilléo-plantaires - Botte résine dans les formes hyper algiques et les enfants indisciplinés - Evolution favorable en quelques mois
• • L’ostéochondrite du talus • • - après 10 ans • - micro-traumatismes répétés probables • sports en salle: volley, hand ball • - revêtement peu amortissant • - mauvais chaussage •
• • 2 lésions individualisées : • 1- lésion antéro-latérale • fracture parcellaire ostéochondral • post traumatique • • • 2- lésion postéro-médiale: • microtraumatiques vraies • ( et/ou ischémique ) • •
• Traitement • Stade I – II : • - semelles stabilisatrices et amortissantes • ou mise en décharge 1 mois • repos sportif au moins 6 mois • perforation trans chondrales • Stade III : rare • - traitement chirurgical ( curetage, fixation ) • • Stade IV : très rare • - traitement chirurgical ( ablation du CE, mosaïcplastie?)
• • évolution • • - Le plus souvent favorable • - L’image radiographique persiste alors que la cheville demeure indolore •
Les ostéochondroses au niveau du pied
Maladie de Köhler Mouchet Enfant moins de 8 ans Douleur mécanique bord médiale du pied, oedeme Rx: Applatissement os naviculaire
Traitement: Repos sportif Orthèses plantaires Bottes résine en cas de boiterie Evolution: Favorable Restitution ad intégrum du naviculaire en quelques mois
Autres ostéochondroses Base du 5è métatarsien: Iselin maladie de Iselin La tête du 2è voire 3è métatarsien: maladie de Freiberg
Les sésamoïdes: maladie de Renander Traitement repos sportif orthèses plantaires Chirurgical: maladie de Freiberg
Fracture de fatigue Pas de spécificité pédiatrique Fracture de stress à l’effort Sport avec sauts à répétition Extrémité supérieure du tibia à la jonction métaphyso-diaphysaire 1 fois sur 2, fibula, calcanéum, métatarsiens
Douleur mécanique Oedeme , inflammatoire Pas de fièvre Radiographie Signes Rx retardés par rapport à l’apparition des douleurs Appositions périostées à partir de 3 semaines et condensation osseuse Aspect parfois d’infection ou pseudo-tumoral
IRM Permet de faire le diagnostic précoce Traitement Arrêt sportif 2 à 3 mois Immobilisation 3 à 6 semaines
Membres supérieurs Les lésions d’hypersollicitation sont plus rares qu’au niveau du membre inférieur
Coude - valgus physiologique - compartiment latéral contraintes en compression - compartiment médial contraintes en traction Gymnaste, lancer, tennis
Compartiment latéral 1- Ostéochondrose primitive de l’ensemble du capitellum: maladie de Panner Enfant de 6 à 10 ans Chocs répétés coude en extension: gymnastique, tennis, lancer Douleur latérale, flessum antalgique blocage
Rx: nécrose, fragmentation puis reconstruction en 12 à 18 mois Traitement Repos sportif > 4 mois Immobilisation ( formes hyperalgiques) Evolution favorable 18 à 24 mois restitution ad integrum du capitellum
2- Ostéochondrose disséquante Atteinte localisée du capitellum Après 10 ans Surtout coude droit ( lancer, gymnastique ) Douleur latérale, flessum, blocage Rx: lacune, corps étranger
IRM ou arthoscanner: définit le stade
Traitement Arrêt sportif définitif si la douleur persiste temporaire si indolence: parfois protégée par une orthèse déchargeant le compartiment latéral et une modification du geste sportif Chirurgie gêne fonctionnelle persistante, stade 2, 3, ou 4 perforations trans chondrales S2 curetage, fixation de la lésion S3 ablation de corps étranger S4
Evolution Pronostic sportif = étendue de la lésion (car noyau mature) 50% des patients gardent des douleurs et un flessum de coude Retour à un sport de haut niveau est souvent problématique chez les gymnastes
Le poignet: Ostéochondrose physaire du radius distal, la plus fréquente Jeune fille gymnaste douleur chronique à l’entrainement intensif diminution des mobilités articulaires Rx: élargissement du cartilage de croissance (index ulnaire négatif contrainte sur le radius, plus long)
IRM: oedeme métaphysaire et inclusions cartilagineuses métaphysaires Si les contraintes persistent: Ponts d’épiphysiodèse avec troubles de croissance secondaire - totale: index ulnaire positif (radius plus court) - partielle: déformation ressemblant à la maladie de Madelung
Traitement Repos sportif Surtout au stade de l’élargissement de la physe avant l’apparition des ponts d’épiphysiodèse+++ - immobilisation par résine circulaire de 4 à 6 semaines permet la guérison
Conclusion « La survenue d’un syndrome d’hypersollicitation atteste d’une erreur de prise en charge de l’enfant »
Prévention Pour éviter l’apparition, la récurrence, la chronicisation des lésions - Rechercher par l’interrogatoire les facteurs favorisants les lésions d’hypersollicitation - Hygiène de vie - Équipement sportif adapté
- Analyser la quantité et la qualité de la pratique sportive - Prévenir la raideur musculo-tendineuse exercices d’étirements pendant toute la croissance surtout pubertaire même en l’absence de douleur
- Tenir compte du stade d’avancée pubertaire de l’enfant: pour un même âge civil l’appareil musculo-squelettique peut être très différent: grande inégalité > entrainement adapté à chaque enfant - Eviter une spécialisation sportive trop précoce afin de faire travailler des groupes musculaires différents
- Investir l’enfant dans sa prise en charge préventive: apprendre à s’écouter et à exprimer sa douleur pour stopper, freiner, changer un geste douloureux avant que les lésions d’hypersollicitation ne se pérennisent - L’entourage doit connaître aussi les signes précurseurs d’hypersollicitation
merci de votre attention
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